03/01/2012
POUR BIEN COMMENCER L'ANNEE.
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28/12/2011
RENCONTRE AVEC LE PASTEUR BLANCHARD...
Par Les Identitaires
le 16 Novembre 2002.
Pour un combat
social et identitaire.
Question : Depuis la proposition de Jörg Haider de réunir les droites Populistes Européennes, ce terme est désormais mis à toutes les sauces. Pouvez-vous nous décrire les principales caractéristiques de la droite populiste ?
Réponse : J'abonde tout à fait dans votre sens lorsque vous déclarez que le mot populiste est arrangé à toutes les sauces, mais il est vrai qu'il recouvre une multiplicité de sens parmi lesquels il n'est pas toujours aisé de se retrouver. Maurras et l'Action Française l'ont condamné comme faisant le lit du césarisme, la chose n'est pas totalement fausse. Pour autant, peut-on parler d'un populisme générique ? En fait, au-delà de toutes les palettes du spectre, il y a deux grands courants populistes. L'un est réactionnaire, mouvement de défense des paysans, des petits boutiquiers de type poujadiste, l'autre révolutionnaire défend également les classes moyennes contre l'accaparement du grand capital mais en constatant que le système bourgeois est une véritable machine à tuer les peuples et qu'il faut radicalement le changer. Représenté par les syndicalistes révolutionnaires, Sorel, Berth, Lagardelle, Valois et les maurassiens de gauche, c'est le courant dont je me sens proche. Le point commun entre tous les populismes réside en une vision organique de la société fondée sur la terre et les morts ainsi que sur le refus de l'individualisme bourgeois.
Question : La république française semble être régulièrement traversée par des poussées populistes de droite (Boulanger, Poujade etc). Le phénomène Le Pen n'est-il qu'une énième vague populiste ou est-il à votre avis un événement qui aurait comme origine d'autres explications que les précédents ?
Réponse : Une fois succinctement décrite la notion de populisme, on s'aperçoit que l'on ne peut mettre dans le même panier Boulanger et Poujade. Certes, le général Boulanger était en fait un réactionnaire qui a bien dissimulé son jeu mais l'état-major qui l'entourait était composé essentiellement de l'aile ultra-gauche du parti radical, parti ouvertement en guerre contre le système. En ce qui concerne le phénomène Jean-Marie Le Pen, il montre, à mon sens au-delà du Front National, le reflet que notre pays va très mal.Bernard Tapie avait un jour déclaré en parlant de Le Pen : "ce n'est pas en cassant le thermomètre que l'on fera tomber la fièvre". Je pense que l'on se situe seulement au début du processus d'explosion du système, comme l'a magistralement démontré Guillaume Faye dans ses ouvrages. Nous entrons dans des zones de turbulences dont il est difficile pour le citoyen lambda d'imaginer les bouleversements qu'elles susciteront.
Question : Quelles conclusions tirez-vous des dernières élections présidentielles ? Comment voyez-vous l'après Le Pen ?
Réponse : Un immense choc psychologique s'est produit, la dimension psychologique n'est pas assez prise en compte dans nos milieux. La chape de plomb qui a permis au système de tenir toute véritable opposition sous l'éteignoir est en train de se fissurer. L'impensable est arrivé, un homme de notre camp, victime qui plus est, depuis des années d'attaques, de calomnies, d'injustices, se retrouve au second tour de l'élection présidentielle. Il s'agit d'un événement dont on n'a pas encore réalisé la profondeur et toutes les conséquences. Pour le reste, que l'on considère comme une réussite ou un échec le score du second tour, est accessoire. La seule chose à retenir est que maintenant nous sommes assez forts pour changer les données du jeu et que nous avons des cartes en main pour l'avenir. C'est un phénomène incontestable, incontournable qui va au fil du temps poser de plus en plus de problèmes à la classe politique de l'establishment.
Question : Dans un numéro récent de la Revue "Terre & Peuple", vous laissiez filtrer le désir de voir naître un espace politique fédérateur pouvant réunir les différentes sensibilités de notre famille politique. Selon vous, à quelles conditions devrait répondre cet espace et qui ou quoi aujourd'hui pourrait incarner ce rôle ?
Réponse : Combien de fois ai-je regretté, alors que nous étions en butte à toutes les forces du système, de nous voir nous entre-déchirer pour des querelles de chapelles qui, même si elles ont leur raison d'être, ne représentent dans les faits aucun péril pour la cause que nous défendons. Soyons un instant sérieux, ce n'est pas le paganisme ou le christianisme qui menacent de destruction notre culture mais bel et bien l'islam, l'influence des loges et le nouvel ordre mondial. Alors ne nous trompons pas d'adversaires et sachons ménager, même si nous avons des points de désaccord, ceux de notre camp. Je suis foncièrement convaincu, comme je l'ai déclaré dans "Terre & Peuple" que nous allons vers d'immenses bouleversements de société qui passeront par le biais de la métapolitique. Qui pourra jouer ce rôle ? Ceux qui auront l'intelligence et les capacités de fédérer sur des bases minimales toutes les forces de notre famille.
Question : Alors que les impôts n'on jamais été aussi élevés, que l'état providence est désormais tout-puissant et que les services publics sont présentés comme la solution à tous nos problèmes, quel constat social dressez-vous de la France aujourd'hui ?
Réponse : C'est l'éducateur, l'homme de terrain que je suis depuis des années qui constate que la France marche sur la tête .Jamais le discours officiel n'a été aussi lénifiant, pseudo-consensuel ; pourtant, jamais, depuis bien longtemps le désarroi et la radicalisation n'ont été aussi grands. Ce ne sont pas les mesurettes sécuritaires, saupoudrage artificiel qui vont changer un tant soit peu les choses. Les problèmes éludés par les différents gouvernements comme l'immigration, le choc des cultures, la violence et ll'insécurité, sont en constante aggravation. Même la bonne vieille méthode Coué du "tout va bien" se lézarde et ne produit plus les effets escomptés. Tous les gouvernements ont ignorés et sous-estiment l'ampleur du malaise et le potentiel des bouleversements révolutionnaires qui s'annoncent. Nous allons vers autre chose, dont les paramètres seront radicalement différents de ce que nous vivons à l'heure actuelle. A partir de là, il est difficile de dire a-priori quelle forme prendra l'inévitable recours. Une seule chose est sûre, c'est nous qui l'incarnons.
Question : Pendant plusieurs années vous avez animé l'association "Entraide Nationale", quel était l'objectif de cette association et quel bilan tirez-vous de cette expérience ?
Réponse : L'Entraide Nationale fut une belle et formidable aventure. Elle a démontré qu'il y avait de profonds besoins et une réelle attente des petits, des sans-grades de notre peuple. Partis de rien et sans beaucoup de moyens, nous avons réussi à mobiliser un impressionnant réseau de solidarité populaire acquis à nos idées. Ce fut sur le plan humain quelque chose d'extraordinaire ; essayer d'apporter de la considération et de l'aide à une population que l'on peut décrire comme la plus démunie des démunies, chez nous : les S.D.F, les clochards, les laissés-pour-compte... La seule réserve que j'émettrai est, peut être, l'impression d'avoir servi de vitrine pour le mouvement. Les enjeux véritables n'ont pas été compris et je crois que,, si j'avais eu plus de moyens, cette association serait devenue quelque chose de puissant et de fort. Ce qui devrait être l'objectif et la finalité de toute initiative populiste.
Question : Nous savons que vous venez de créer une nouvelle association d'entraide "Solidarité Populaire", qu'est-ce que qui vous a motivé pour repartir dans cette nouvelle aventure ?
Réponse : Pourquoi ai-je créé "Solidarité Populaire" ? Parce que je suis un homme d'extraction modeste, du peuple, autodidacte, sorti du rang. J'ai beaucoup d'estime et d'amour pour les "petits" et je souhaite à travers "Solidarité Populaire" pouvoir apporter des aides concrètes aux patriotes. Je déplore et j'ai du mal à supporter que les personnes appartenant aux couches sociales modestes, qui sont une des sources vives de notre famille politique, se trouvent dans des situations délicates et laissées pour compte du fait de leur engagement. Etre à leurs côtés, n'est-ce pas l'un des vrais sens du mot populiste, du combat que nous menons ? Je suis fier de pouvoir le dire et le seul titre que je revendique, c'est celui de fils du peuple.
Question : Quels sont les objectifs et les moyens d'action de votre nouvelle association ?
Réponse : L'association "Solidarité Populaire" a pour vocation de venir en aide aux patriotes défavorisés et vivant, par exemple, dans des quartiers difficiles. Il ne s'agira pas d'effectuer des saupoudrages financiers pour gagner la confiance de ces personnes dont la détresse est grande. Mais bel et bien de prendre en compte des situations concrètes en respectant la personnalité de chacun. L'ambition de "Solidarité Populaire " est de répondre aux problèmes ponctuels, couvrant un champ large de difficultés matérielles mais aussi de détresses morales, des militants nationalistes et des patriotes laissés pour compte. Les secours apportés seront divers : améliorer la salubrité, le confort d'un appartement, aider à un déménagement, procurer des meubles, des vêtements, des denrées alimentaires, prodiguer des conseils et des aides dans l'accomplissement de formalités. En effet, ces personnes dans le dénuement et le désarroi sont souvent ignorantes ou peu enclines à réclamer et à faire valoir des droits légitmes. Pour collecter des fonds, dans ce but, nous allons lancer à la rentrée une campagne auprès de la presse amie, bien entendu l'ampleur de notre aide et le développement de "Solidarité Populaire" dépendra des retombées de celle-ci.Mon objectif est de faire comprendre à ce petit peuple de France qu'ils ne sont pas seuls, qu'ils sont importants à nos yeux et qu'ils représentent un pilier de notre cause.
08:00 Publié dans C'était hier, Société | Lien permanent | Commentaires (0)
19/12/2011
ANNE SINCLAIR ET HASSAN II EN 1982.
Cela
remonte au déluge
et que faut-il en penser aujourd'hui ?
08:04 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
12/12/2011
LES GASPILLAGES DES COLLECTIVITES LOCALES (1).
Depuis peu, des emprunts toxiques
contractés par un grand nombre de collectivités,
font irruption dans le paysage médiatique.
Le département de la Seine-Saint-Denis,
la ville d'Angoulême, celle d'Argenteuil
et bien d'autres s'avouent gravement touchés.
Pour favoriser leurs projets,
appâtés par des offres de départ
anormalement basses,
offrant l'occasion de faire passer des projets difficiles,certains élus se sont laissés aller
à souscrire des emprunts très dangereux
car à taux d'intérêt variable .
Rien dans la finance n'est gratuit :
ces emprunts sont indexés sur des indices complexes et volatils,
par exemple sur la parité dollar-yen ou même sur le franc suisse.
La sanction devait tomber un jour ou l'autre.
C'est la majoration insupportable
des remboursements et des charges d'intérêts.
Cette triste affaire ne reflète pas seulement
l'incompétence et la légèreté des élus.
Elle trahit aussi la négligence des autorités de tutelle,
fort nombreuses dans un pays sur-administré.
Comme d'habitude, tout le monde est responsable
et personne n'est coupable !
L'une des raisons de cette situation détestable
est la possibilité et le désir d'emprunter à tout prix.
La banque DEXIA, aujourd'hui en quasi-faillite,
a joué un rôle majeur dans ce désastre
en poussant les collectivités à s'endetter par son intermédiaire.
Ses dirigeants ont ainsi pu tirer profit
du piège tendu aux collectivités locales.
La dette de ces collectivités est passée
de quatre vingt treize milliards d'euros en 2005
à cent trente huit milliards en 2010,
sans que l'on sache si les chiffres cités dans les journaux sont exacts.
En fait d'endettement, un train en cache souvent un autre.
Quelques soient les vrais chiffres, tout cela constitue
une partie importante du déficit global de la nation
lui-même destructeur de richesses.
Nous nous trouvons devant un nouveau
et dramatique scandale d'État
qui touche des milliers de collectivités.
Les impôts locaux durement acquittés,
remettons à plat le problème majeur
des gaspillages de ces collectivités locales.
07:54 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
LES GASPILLAGES DES COLLECTIVITES LOCALES (2).
UNE PYRAMIDE
D'ELUS
La France compte à peu près six cents mille élus.
Ils reflètent la pyramide abusive des collectivités locales.
Il existe en effet trente six mille communes.
Et, par-dessus les communes,
s'empile une foule de collectivités :
cantons, départements, régions et autres.
Puis s'ajoute une couche floue mais épaisse
de regroupements comme les intercommunalités
ou encore les "agglos".
Parmi les six cents mille élus,
on trouve de cinq à dix mille super-privilégiés.
Leur poids kolossal se traduit
par des salaires accompagnés d'avantages informels.
Ces "à-côtés" prennent de la place
et débordent parfois les rémunérations
dans une cascade de cumuls indécents.
Ces nantis du système exploitent
le butin public en parfaite légalité
car ce sont eux ou leurs zamis qui fabriquent les lois.
Mais, le boulet est encore trop léger
et ces élus se dépensent à l'amplifier
pour montrer qu'ils existent et sont utiles.
Dans ce contexte, les gaspillages sont innombrables.
Tout le monde a en ligne de mire les palais somptueux,
chaque organisme rêvant d'ériger le sien.
Mais, on dénombre bien d'autres gâchis :
♣ à Clermont-Ferrand, c'est un tramway
qui mis en route plus que difficilement
et d'un fonctionnement chaotique
s'acharne à rattraper le montant de la facture,
♣ à Vitrolles, dans les Bouches-du-Rhône,
un cube de béton de quinze millions de kilos d'euros
se prend pour un complexe sportif et culturel
dans une ville de vingt huit mille habitants,
♣ à signaler enfin les "ambassades",
certaines régions en érigent à l'étranger.
La ville de Lyon en possèdent
notamment à New-York et à Tokyo.
A suivre...
07:50 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
LES GASPILLAGES DES COLLECTIVITES LOCALES (3).
LES MECANISMES
AUTOMATIQUES
DES GASPILLAGES
Ce ne sont que des exemples ponctuels.
Tous les citoyens en connaissent d'autres dans toutes les régions.
Le plus grave est qu'il existe des mécanismes automatiques de gaspillage :
♣ par exemple les aides aux industries,
grandement inutiles par ailleurs
et auxquelles les collectivités locales
participent largement aux côtés de l'État,
♣ faire la fête est courant,
nous connaissons un conseil général
dont le président reçoit tous les jours à sa table
une vingtaine de personnes,
♣ quant aux dépenses de communication,
dénoncées régulièrement,
c'est la grande explosion,
♣ n'oublions pas la valse des subventions,
la plupart inutiles et souvent scandaleuses,
la ville de Lyon, pour sa part, subventionne la Casbah d'Alger !
L'État se vante de supprimer un fonctionnaire sur deux.
Cela devrait se traduire par des mutations dans les régions.
Bien au contraire, le résultat des deux décentralisations
est d'avoir renforcé les compétences des régions
avec un accroissement pléthorique de leurs effectifs
et sans diminuer le personnel dans les services des préfectures.
N'oublions pas l'absentéisme du personnel
composé parfois d'amis des élus
et qui dépasse largement les niveaux du privé !
Enfin à toutes ces dépenses abusives,
il faut ajouter le freinage des activités des entreprises,
pénalisées par des formalités absolument insupportables
pour obtenir telle ou telle subvention.
L'habitude détestable des financements croisés
est un obstacle redoutable à la vitesse de réaction
des entreprises censées en être les bénéficiaires.
Quel est le comportement du gouvernement face à cette situation ?
Il agit dans un sens tout à fait opposé à l'intérêt national.
Il prétend d'abord réduire le millefeuille administratif
et se lance à cet effet dans des réformes complexes et longues.
Simultanément, il agit dans l'autre sens
en créant de nouvelles collectivités.
La plus désolante est le Grand Paris, rêve pharaonique
dont les parisiens et les autres n'ont nul besoin.
L'effet de ruine est déjà en route :
♠ par la création de nouvelles administrations
et de postes prestigieux,
♠ et se profile le concept de "métropoles",
nouvelles collectivités tentaculaires
prêtes à avaler certaines grandes villes.
07:45 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (1)
LES GASPILLAGES DES COLLECTIVITES LOCALES (4).
Compter sur l'élection de 2012, serait illusoire.
Les hommes politiques les plus visibles ont, peu ou prou,
le même programme et poursuivront les gaspillages
et la ruine qui en découle.
Ne soyons pas, toutefois, pessimistes
car toute situation historique est réversible.
Nous avions proposé, dans une note précédente,
d'organiser des référendums privés
qui pourraient arrêter les projets ruineux de certains maires.
Il suffirait d'un succès quelque part,
même dans une petite commune, pour que la méthode se répande.
Une autre formule serait de prendre en cible
les luxueux voyages collectifs que font,
sous un prétexte ou un autre, les conseils généraux
souvent vers de prestigieuses destinations.
Des citoyens victimes pourraient
par des moyens appropriés empêcher le départ.
Une seule victoire dans un département serait significative.
S'il y a d'autres moyens, merci à nos lecteurs ne nous les signaler.
Michel de PONCINS
07:34 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
05/12/2011
LES MOSQUEES DE BOBOLAND.
17:11 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
FRANCOIS HOLLANDE, NOTRE SAUVEUR !
Voici un "portrait économique" pris sur le terrain, de l’homme qui veut diriger notre pays et le sortir du "gouffre" dans lequel il est prêt de sombrer. Je veux parler bien sûr de François Hollande, président du Conseil Général de Corrèze.
La Cour des Comptes nous révèle que ce département était déjà très endetté lorsque François Hollande l’a "conquis" en 2008, c'est-à-dire en pleine crise économique. Son rôle premier aurait donc dû être de chercher à le désendetter ! Eh bien ! Ce n’est pas le cas apparemment.
Je n’entrerai pas dans les détails de certaines dépenses parfaitement soulignées par la Cour des Comptes ; une seule suffisant à nous tracer une image de l’homme qui souhaite diminuer notre énorme dette en engageant 60 000 nouveaux fonctionnaires, entre autres, 12 000 venants s’ajouter à 12 000 venants s’ajouter à 12 000 etc., sur cinq ans et se prolongeant sur toute une carrière retraite comprise. Faites vous-même le compte avec une calculatrice car je n’y suis pas parvenu.
Cet homme donc, c’est toujours de François Hollande dont il s’agit, a pris la Corrèze en 2008 avec une dette très importante. A l’époque, le Conseil Général se composait de 831 employés mais en 2009, un an plus tard, il se compose de 1 218 employés ; soit 400 de +. La dette par habitant se montait à 100 euros par mois, soit trois fois + que celle des autres départements français. Et de combien est-elle aujourd’hui ?
J’espère que d’ici les élections présidentielles François Hollande va nous prouver qu’il peut encore faire mieux avec la France qu’avec la Corrèze. S’il est élu, il ne s’occupera plus de la Corrèze mais son successeur aura fort à faire, comme aura fort à faire son successeur à la tête de la France…pour ainsi dire "mission impossible".
Manuel GOMEZ
06:35 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
24/11/2011
LES TGV ROULENT SUR LE PAIN DES PAUVRES (1).
Personne ne discute les immenses agréments qu'offrent ces TGV,
aux riches voyageurs qui voient défiler
à toute allure la campagne à bord des magnifiques jouets.
Et pourtant, comme nous allons le montrer,
nous roulons, alors, sur le pain des pauvres.
Comment se manifeste cette ruine ?
Un rapport de la Cour des Comptes sur "La réforme ferroviaire de 1997"
a démontré que les TGV sont largement à la source de la ruine de la SNCF.
Le rapport dénonce "Le lourd endettement de la SNCF induit principalement
par les investissements considérables effectués
pour construire et équiper les lignes nouvelles à grande vitesse".
Étant donné les chiffres, l'importance de ces dettes contribue largement
à l'endettement abyssal de la nation tout entière.
En effet, pour les analystes honnêtes, il n'y a pas de distinction à faire
entre les dettes de la SNCF et les dettes globales de la nation.
Et en visant la SNCF, nous incluons Réseau Ferré de France
ou RFF, les deux étant complètement imbriqués.
L'effet de ruine est patent, compte tenu de la charge massive des intérêts
et de la multiplication abusive sur trente ans de la construction des TGV.
La paupérisation du pays en est la conséquence et,
comme il est de règle, cette paupérisation
frappe particulièrement les plus faibles.
A suivre le 22/11/2011 à 10 heures 55...
17:20 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)