27/08/2012
RADARS ROUTIERS...
Le temps des écorcheurs ?
"Entre 675 et 700 millions d'euros. Voilà ce que devraient rapporter les radars routiers cette année, en comparaison des quelque 630 millions d'euros générés l'année dernière, selon une estimation de l'Agence nationale du traitement automatisé des infractions (Antai). Entre le 1er janvier et le 30 juin, les bêtes noires des automobilistes français ont déjà rapporté 324 millions d'euros. C'est presque deux foix plus qu'il y a seulement cinq ans: en 2007, les revenus générés par les radars ne s'élevaient qu'à 362 millions d'euros, sans compter les amendes forfaitaires majorées. Ce chiffre est à mettre en regard du coût du parc de radars (installation et maintenance), estimé à 200 millions d'euros en 2011. Celui de l'insécurité routière (assurances, interventions des secours, perturbations du trafic, etc.), sans commune mesure, s'élèverait à 24 milliards d'euros par an.
Selon Les Échos , cette hausse s'explique en partie par l'augmentation des installations fixes - d'environ 1400 en 2008 à 2200 en fin d'année -, dont certains flashent plus de 450 automobilistes par jour, mais aussi par la banalisation de nouveaux types de radars, comme les radars aux feux rouges. Les automobilistes étrangers (Belges, Luxembourgeois et Suisses) peuvent également expliquer cette hausse: s'ils ne sont pas soumis au retrait de points, ils doivent néanmoins s'acquitter d'amendes identiques aux conducteurs français s'ils sont flashés. Plus généralement, un expert interrogé par le quotidien note un «relâchement des automobilistes, et une légère augmentation de la vitesse moyenne».
Au 1er juin, la France comptait 2190 radars fixes, 1209 radars pédagogiques, 933 radars mobiles, 659 radars aux feux rouges et 8 radars sur des passages à niveau. Le nombre de radars tronçons, qui permettent de contrôler la vitesse moyenne entre deux points d'un tronçon routier, devrait être multiplié par dix d'ici la fin de l'année, pour atteindre les 40 unités."
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24/08/2012
DU SOIR AU MATIN...
Pon abbettit, Messieurs !
O ministres intègres !
"On ne le dira jamais assez : pour beaucoup le mois de Ramadan est synonyme de mois de la nourriture. Les musulmans jettent plus de 40 % des plats préparés chaque jour pendant le Ramadan. C’est le constat d’une étude réalisée par Mohammed Aman, un écologiste du Bahreïn spécialiste de l’environnement et des déchets.
« Les gens ont tendance à multiplier par trois la quantité de nourriture qu’ils consomment durant l’Iftar (repas du soir, quand les musulmans rompent le jeûne) », a déclaré Mohammed Aman.
« Il y a entre quatre à six types de plats sur les tables des musulmans durant l’Iftar, ce qui signifie que plus de trois d’entre eux seront gaspillés. Soit 40 % de la nourriture est gaspillée par jour. »
« Il peut également y avoir des problèmes de santé puisque les gens compenserait toute la journée de jeûne en mangeant des portions supplémentaires très élevé de nourriture. Je pense que nous avons besoin de campagnes de sensibilisation pour éduquer le public sur les bonnes méthodes de consommation tout en étant économique lors de ce mois sacré » a-t-il noté.
¶ 50 tonnes de nourriture jetés en 2011
L’année dernière, la BBC rapportait que plus de 50 tonnes de nourriture avaient été jetés pendant le Ramadan à Abu Dhabi seulement.
Majid Al Mansouri, Secrétaire Général de l’Agence de l’Environnement à Abu Dhabi informe qu’« une façon simple de réduire les déchets alimentaires est de faire cuire moins dans un premier temps et ensuite, réfléchir à deux fois avant d’ajouter de la nourriture dans son assiette ».
Plusieurs initiatives dans de nombreux pays musulmans ont également commencé à recueillir pendant la période du mois de Ramadan les restes de nourriture et de les redistribuer aux pauvres. Dans les Émirats arabes unis par exemple, l’organisme de bienfaisance nommée Al Hefth Ne’ma, actif depuis 2004, a collaboré avec certains grands hôtels de luxe d’Abu Dhabi l’an dernier pour récupérer la nourriture qui aurait été jeté pour la redistribuer.
¶ Une forte condamnation religieuse
Face à ce fléau, les savants ont critiqué unanimement la forte augmentation du gaspillage alimentaire pendant ce mois sacré, en disant que cette pratique va à l’encontre de l’esprit du jeûne et du jeûneur. Rappelons-nous qu’Allah (Le Très-Haut) nous a dit dans le Coran : « Et mangez et buvez; Ne commettez pas d’excès ; Dieu n’ aime pas ceux qui commettent des excès » (Sourate 7 – Verset 31) ou encore « Car les gaspilleurs sont les frères des diables » (Sourate 17 – Verset 27)."
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DU LUNDI JUSQU'AU SAMEDI...
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23/08/2012
CHERS COMPATRIOTES INANIMES (4)...
"L'ancien ministre de la Santé, Xavier Bertrand rappelle : « des mesures qui visaient à ralentir la progression des dépenses liées à l’AME ». Car depuis son entrée en vigueur, il y a douze ans, le coût du dispositif a explosé : 588 millions d’euros en 2011, contre 75 millions dans le budget 2000 ! Pour expliquer cette courbe exponentielle, le rapport parlementaire de Claude Goasguen (UMP) et Christophe Sirugue (PS), publié en 2011, « exclut la fraude caractérisée ». « Les causes sont plutôt dues à la croissance du nombre de bénéficiaires, avancent les deux députés, et aux modalités de la tarification hospitalière ».
La seule facture hospitalière pèse pour trois quarts des dépenses. En contrepartie de cette « mission d’intérêt général », les hôpitaux ont tendance à surfacturer les soins accordés aux sans-papiers. « Il est pour le moins surprenant qu’une séance de dialyse coûte 349 euros en général mais 990 euros à l’APH de Paris pour les patients AME et 1.815 euros à Marseille ! », souligne le député UMP Dominique Tian. Comme le note le rapport, « l’hôpital, aujourd’hui, n’est parfois pas incité à une sortie rapide du patient d’un service coûteux en raison du caractère journalier de la facturation. Cela peut conduire à des durées d’hospitalisation des bénéficiaires de l’AME sensiblement plus longues que la moyenne »…
En tout cas, même si personne n’a su mettre de nom sur ses mystérieux picotis, Abukaria est « satisfaite de (sa) prise en charge médicale ». Et bien décidée à rester en France. « Si les médecins ici ne trouvent pas ce que j’ai, lâche-t-elle, vous pensez bien qu’aux Comores ils ne trouveront pas plus ! »"
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20/08/2012
CHERS COMPATRIOTES INANIMES (1)...
Avez-vous donc
une AME ?
Des professionnels de la santé s'expriment dans Le Figaro :
"Cette fois-ci encore, les médecins ne lui ont rien trouvé. Depuis un an et demi, Abukaria (prénom fictif), jeune comorienne de 33 ans, entrée en France en touriste, séjourne illégalement sur le territoire français. « C’est pour me faire soigner, confie-t-elle. L’hiver dernier, j’ai eu des fourmis dans les mains. Parfois, ça me reprend. J’ai vu des généralistes, des spécialistes, fait des radios, des scanners, mais personne n’y comprend rien… » Grâce à l’Aide Médicale d’État (AME), Abukaria, tout comme deux cents vingt mille clandestins en 2011, n’a payé cette année qu’un droit de timbre de 30 euros.
Au Centre médical Europe, près de la gare Saint-Lazare, des « AME », on en croise à tous les étages. Et chez les médecins débordés, on sent poindre une certaine exaspération. « Beaucoup sont charmants, mais d’autres sont très exigeants !, soupire une généraliste. Il est normal que la France soigne les plus misérables, sauf que certains abusent vraiment ». Il y a cette femme qui vient faire un bilan complet tous les deux mois. Cette autre qui a exigé la sclérose de ses varicosités, ainsi que six paires de bas de contention, « pour sa sœur en Algérie ». Ces Africaines qui savent mieux que la dermatologue quelle crème guérira leur eczéma : le Diprosone, un dermocorticoïde qui a la particularité d’éclaircir la peau… Il y a aussi cette patiente victime d’un malaise, dont on prévient le mari, qui constate, ahuri… que ce n’est pas sa femme. « Ah oui, explique la patiente, j’ai perdu ma carte, alors j’ai pris celle d’une amie… »"
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CHERS COMPATRIOTES INANIMES (2)...
"La plupart des médecins déplorent le manque de contrôle. Pour obtenir l’AME, « c’est superfacile ! », témoigne Abukaria. Il suffit de justifier d’une résidence ininterrompue de trois mois en France, et d’un revenu inférieur à 634 euros par mois. Pour « prouver » qu’elle n’avait aucune ressource, Abukaria a simplement montré que le forfait de son portable n’était qu’à 5 euros… « La semaine dernière, j’ai reçu un homme qui voulait se faire arracher quatre dents, toutes saines, raconte un dentiste. En fouillant dans son dossier, j’ai vu qu’il était adressé par un service d’orthodontie, où il avait entamé un traitement esthétique pour aligner ses dents, facturé 4.000 euros ! Rendez-vous compte que ce type bénéficie de l’AME et s’offre un service que n’ont pas les moyens de se payer la plupart des assurés sociaux ! J’ai réussi à le faire payer pour les extractions, mais on a failli en venir aux mains ! »
Comment admettre qu’« un assuré social lambda qui paye ses cotisations sociales, mais qui n’a pas de mutuelle, ait une moins bonne couverture qu’un étranger en situation irrégulière ? », s’interrogent plusieurs praticiens du Centre Europe, qui voient défiler de nombreuses familles modestes.
« Cela fonctionne comme un supermarché, témoigne le dentiste. À partir du moment où c’est gratuit, les gens veulent tout ce à quoi ils ont droit, même s’ils n’en ont pas besoin ». Comment tenir bon lorsque le patient, parfois accompagné d’un interprète ou d’un « cousin » costaud, s’énerve et exige « vingt boîtes de Doliprane et dix flacons de bain de bouche », puisque « c’est gratuit » ? « Parfois on craque, avoue un médecin. De toute façon, si on ne cède pas, ils iront voir ailleurs… » Comme les bénéficiaires de l’AME n’ont pas de médecin traitant à déclarer, « cela entraîne un nomadisme et la multiplication d’examens redondants », poursuit-il."
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CHERS COMPATRIOTES INANIMES (3)...
"Car le système est pervers. « Plus ils ont d’ordonnances et de certificats, plus ils ont de chances d’être régularisés, explique un généraliste. C’est pour cela qu’ils veulent absolument qu’on leur trouve une maladie grave ! Certains sont même prêts à se faire opérer quatre ou cinq fois… Il y a quelque temps, ils s’étaient passé le mot de manger avant les prises de sang, pour qu’on leur trouve du diabète ! » Urologue et député UMP, Bernard Debré confirme : « Lundi, deux Turcs sont venus me voir, tous deux disant souffrir de brûlures urinaires, raconte-t-il. Mais leurs examens ne montraient rien ! J’ai donc refusé de leur prescrire les antibiotiques et les analyses complémentaires demandés. En cas d’arrestation, cela leur aurait permis de dire “Regardez, je suis très malade, j’ai vu cinquante médecins, je suis même allé jusqu’au Pr Debré pour me soigner !” ».
Il y a trois ans, c’était un député malien qui lui avait demandé de l’aide. « Sa première épouse avait déjà fait une FIV ici, en payant, se souvient le Pr Debré. Il voulait une autre FIV pour sa seconde épouse, en situation irrégulière, donc à l’AME. J’ai refusé. Il fallait du courage, car à l’époque, c’était théoriquement possible ! » En 2011, après l’instauration du forfait annuel de 30 euros, le gouvernement a également restreint le panier de soins : en sont désormais exclues la procréation médicalement assistée et les cures thermales…"
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14/08/2012
DES VACANCES POUR NOUS TOUS !
L'ASP, grâce à votre aide précieuse n'est évidemment, pas la seule, à s'occuper de nos compatriotes défavorisés.
En autres, la police citoyenne, pas celle qui renverse les adolescents au volant de leur scooter, mouille sa chemise et organise des activités pour les vacances.
Ces jeunes de nos collèges, futurs délinquants potentiels ou futurs jeunes délinquants, pour certains, ne sont pas qu'une chance pour la France. Ils ont aussi un peu de chance.
Ouvrez grands les yeux et fixez vos oreilles.
Garde à vous ! Fixe ! Repos !
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23/07/2012
RECONQUERIR LES BANLIEUES (1).
Que c'est étrange, le problème des banlieues pourtant significatif fut le grand absent de la campagne des présidentielle 2012.
Tout s'est passé comme si la majorité des candidats avaient la crainte de parler du brasier, de peur qu'il ne s'allume tout seul. Parler des banlieues c'est, à l'évidence, évoquer seulement celles qui ont des problèmes et non les plus paisibles.
Huit millions de personnes vivent dans cinq cent villes ou quartiers échappant à l'autorité de l'État. Cela signifie que, dans le pire des cas, la police ne peut jamais y pénétrer sauf avec des effectifs considérables, médecins et pompiers idem, pharmacies fermées, boutiques en déshérence. Évidemment ce terrifiant tableau varie selon les lieux et dans chaque lieu selon les moments ou les périodes. Il y a la banlieue dont les trafiquants sont les propriétaires et qui se gère totalement comme un territoire indépendant, en passant, au besoin, des "traités" pour le partage de zones avec d’autres territoires ; à côté peuvent exister des quartiers simplement tristounets.... .
Vivre dans la paix, n’importe où, reste l'un des services majeurs que les habitants d'un pays doivent exiger et obtenir de l'État. Or, dans ces banlieues, les habitants vivent baignés dans une sorte de guerre larvée, ceci hormis le groupe des trafiquants qui se réjouissent du désordre et prolifèrent avec lui. Il existe d'autres zones de non-droit telles que les lignes de RER des environs de Paris ; la vie de milliers de personnes y est gâchée par l'impossibilité de monter tranquillement dans un train bien. Mais, attardons-nous sur ce sujet des banlieues.
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RECONQUERIR LES BANLIEUES (2).
L'histoire est compliquée et très ancienne. En 2005, les banlieues s'étaient enflammées ; quelques années avant, la place de la Bastille avait été détruite par une armée de mille malandrins parfaitement entraînés et dirigés.
Tous les gouvernements, qu'ils soient de la vraie gauche ou de la fausse droite, ont allumé ou attisé le feu, comme des pyromanes, tout en jouant les pompiers avec de l'argent dilapidé sans contrôle. L'appel lancé jusqu'au fond de l'Afrique pour attirer toute la misère du monde est puissant et n'est pas près de s'éteindre. La folie du logement social en croissance permanente et jamais suffisante y aide. Le manque d'argent d'un État toujours impécunieux interdit toute solution comme, par exemple, l'accroissement de la présence policière. La calamité grandit et s'enroule sur elle-même : en témoigne l'échec des politiques de la ville successives qui engloutissent en pure perte de l'argent qui n'existe pas et aggrave à son tour le manque dramatique de moyens financiers. Le prétexte de l’anti-racisme empêche de tenir des statistiques et de prendre ainsi les solutions adéquates. Concernant l’immigration, les politiques et les médias se sont enfermés dans le politiquement correct qu'ils ont eux-mêmes créée.
Malgré cette omerta officielle, la police commence timidement à avouer que l'islamisation rapide de la société aggrave les problèmes en créant des territoires ne cherchant pas à s'intégre. Elle se garde, toujours au nom du politiquement correct, de dire que le refus des traditions chrétiennes historiques de la France, toujours valables, même si tout le monde n'en n'a pas conscience, forme un obstacle insurmontable. Il faut ajouter le problème des bandes qui, au nombre de trois cents recensées par la police, manipulent des armes de guerre. Elles sont comme des armées étrangères campant au milieu du territoire national, images lointaines des grandes compagnies ravageant naguère le territoire !
Dans ces banlieues, le chômage, déjà dramatique ailleurs, est pratiquement doublé. Bien sûr, la drogue règne. A quoi peut rêver un jeune désœuvré, inadapté à l'école et qui gagne facilement sa vie à faire le guet ? Tout simplement à devenir lui-même dealer et à rouler à son tour dans des voitures de luxe. Droit de vote ? Pourquoi l'exercer dès lors qu'une sorte de zone d'exclusion existe ? Le résultat est que le nombre de non-inscrits sur les listes électorales est le double de ce qu'il est ailleurs et qu'il y a davantage d'abstentions dans ces territoires.
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