02/04/2012
"L'ISLAMISME S'ENRACINE DANS L'ISLAM...
N'EN DEPLAISE A CERTAINS."
"Lorsque Jésus déclare : Abraham a eu un ardent désir de voir mon jour et il l'a vu, nous touchons au coeur des longues controverses qui structurent l'évangile de S. Jean. Affirmation que ses auditeurs prennent pour une antériorité temporelle incompréhensible et une supériorité personnelle intolérable : cet homme qui n'a pas même 50 ans (50, chiffre de perfection) serait plus important que le patriarche de qui procède tout le peuple ! Alors Jésus va plus loin et lève le voile : Avant qu'Abraham fût, je suis. Jésus change radicalement de registre : il ne se range plus parmi les partenaires humains de l'Alliance, il s'identifie au partenaire divin. Ce Je suis, ce présent intemporel, c'est justement l'expression par laquelle Dieu se désigne lui-même à Moïse dans le désert. En prononçant le nom divin et en se l'attribuant, Jésus révèle son identité profonde : il est Dieu, Dieu venu dans la chair. Mais cette révélation n'est pas reçue, car trop choquante : on ramasse des pierres pour le lapider... C'est pourtant cette révélation qui est au principe de la confession de foi chrétienne. C'est ce que montre l'épître : Jésus est le médiateur d'une Alliance nouvelle et meilleure parce que son sacrifice, offert une fois pour toutes, est efficace. Au seuil du temps de la passion, la liturgie nous rappelle ainsi solennellement la dignité de celui qui va apparaître comme la victime d'un acte ignoble, d'un acte qui jette une tache sur toute l'humanité. Toute l'humanité puisque l'évangile a soin de noter qu'Hérode et Pilate d'ennemis deviennent amis. Le monde romain et le monde juif, le monde religieux et le monde politique. La passion apparaît comme le centre de l'histoire : la violence qui court depuis Caïn est confondue par le silence de l'Agneau. Dans le creuset de la passion, Dieu forge le nouvel Adam, celui qui devient la matrice de l'humanité nouvelle. Celui qui pardonne en mourant à ses bourreaux est l'archétype de l'humanité nouvelle, le dernier mot de Dieu sur l'homme. En son Fils, Dieu nous a tout dit. Il n'a plus rien à ajouter à l'histoire, il n'a plus qu'à en révéler l'accomplissement final à travers ces accomplissements partiels que sont nos propres vies. D'une certaine manière, il n'y a pas d'après Jésus-Christ : il n'y a plus que la dilatation jusqu'à l'éternité de ce point d'orgue du temps qu'est Pâques, par l'incorporation progressive de tous les hommes à l'homme par excellence qu'est le Christ.
Qu'est-ce à dire ? Que de notre point de vue, qui est celui de la vérité révélée, toute doctrine, et en particulier toute doctrine religieuse, qui relativise la centralité du Christ dans l'histoire est fausse. La croix juge toute doctrine religieuse comme elle juge aussi tout comportement humain. Et à cet égard les événements de la semaine écoulée méritent réflexion. : Depuis deux mille ans, et malgré leurs infidélités dans l'histoire, les chrétiens savent qu'on rend gloire à Dieu et qu'on travaille à l'extension de son règne non en usant des armes de ce monde, dont le prince est homicide et mensonger dès l'origine, mais en imitant celui qui n'a eu d'autres armes que la vérité et la charité. Le témoignage que le Fils rend au Père sur la croix, la marturia suprême, c'est celle que les chrétiens doivent rendre à Dieu. Elle va jusqu'au sang comme tant et tant de nos frères de par le monde et, à des degrés divers en France, ne cessent de le montrer. Une doctrine religieuse qui conduit si souvent à des actes horribles et ignobles comme l'a déclaré le porte-parole du Saint-Siège en qualifiant les crimes de Montauban et de Toulouse, montre qu'elle n'est qu'une imposture humaine. L'islamisme radical se ramène à l'islamisme tout court, et l'islamisme s'enracine dans l'islam, n'en déplaise à certains. On voudrait nous faire croire que c'est une exception doctrinalement aberrante et numériquement insignifiante. C'est faux. L'islam repose sur un corpus scripturaire qui est une juxtaposition de dits qui ne possèdent pas, à la différence du judaïsme et encore plus du christianisme, avec ses deux Testaments, de différentiation interne, de relectures interprétatives autorisées qui permettent de relativiser certains passages. Si nous continuons à lire certains récits cruels, c'est parce que nous les savons réinterprétés au cours des siècles par des auteurs inspirés, parce que surtout nous les savons réinterprétés par la vie même du Christ, clé d'interprétation de toutes les Ecritures. Et, pour prendre un seul exemple, on accepte d'entendre se réjouir les Hébreux contemplant les cadavres des Egyptiens, c'est parce que nous savons qu'il ne s'agit pas tant d'un modèle à célébrer que d'une figure qui annonce la vraie libération de l'esclavage, celle obtenue sur la croix. Ces Egyptiens lancés à la poursuite des Hébreux, diront les Pères, ce sont les vices qui menacent l'âme dans sa marche vers la Terre promise qu'est la sainteté. Ce changement de regard justifie le passage de l'Ancien au Nouveau Testament. Quiconque interpréterait ces textes au pied de la lettre passerait à côté de l'exemplarité normative du Christ sur nos comportements.
Or, dans le Coran, il n'y a pas cette structuration historique : tout est intemporel, tout est sur le même plan. Et, à l'instar du protestantisme, comme il n'y a pas de magistère, d'autorité reconnue par tous pour interpréter authentiquement ces textes, ceux qui leur accordent foi en sont réduits au libre examen. Chacun est libre de privilégier un élément et d'en minimiser un autre. Il y a bien des écoles, mais aucune ne jouit d'une autorité infaillible. Si bien que des appels à la violence peuvent être pris à la lettre tandis qu'en vertu de l'herméneutique chrétienne les mêmes, contenus dans l'Ancien Testament, ne le peuvent plus pour nous : à cause de l'exemplarité du Christ. C'est pourquoi l'islamisme radical est une option légitime de l'islam et non une de ses déformations, quoi qu'en disent les médias. Même s'il y a des écoles qui réduisent le spectre des possibilités, il y a potentiellement autant d'islams qu'il y a de mahométans. En outre, certaines de ces écoles prônent ouvertement la conquête du monde par le moyen de la guerre sainte. C'est d'ailleurs, historiquement, la base même de l'expansion islamique dans le monde. Le succès étonnant de cette voie, me disait un carme égyptien, s'explique par le déséquilibre entre l'énergie mobilisée d'un côté – toute l'énergie religieuse qui aboutit à faire des saints chez nous – et de l'autre l'impossibilité d'orienter verticalement, sur Dieu, dans la mystique, cette énergie. Dans l'islam, on ne sait rien de Dieu et Dieu ne nous invite pas à une communion avec lui où l'absolu du désir humain trouverait son apaisement. Alors cette énergie religieuse formidable se répand horizontalement, investissant les réalités terrestres. Elle se fait politique. Et la religion idéologie. C'est pourquoi dans l'islam, à la différence du christianisme, on ne distingue pas l'Église et l'Etat, Dieu et César. Ce n'est pas la religion qui absorbe le politique, en fait c'est le politique qui absorbe la religion.
Et j'en arrive au dernier point que je voulais aborder ce matin : notre attitude chrétienne face à de tels comportements. Le chrétien se sait citoyen de deux patries, la communauté terrestre à laquelle il appartient et le royaume des cieux auquel il aspire. Citoyen du ciel, il a pour modèle le Christ et doit refuser de répondre au mal par le mal, à la violence par la violence, même s'il y est tenté. Citoyen de la terre, il doit se soucier de préserver partout ces réalisations embryonnaires du royaume des cieux que sont les valeurs conformes au droit naturel. Toutes les civilisations en effet ne se valent pas. Certaines sont des structures de péché qui étouffent l'âme et la nôtre a tendance à le devenir de plus en plus. Mais elle porte encore aussi les valeurs inestimables de la chrétienté. A cet égard, elle mérite d'être défendue par les moyens qui relèvent de l'ordre politique et qui incluent la force militaire. C'est d'ailleurs cette dimension qui a été explicitement visée et qui constitue ainsi un acte de guerre. Si Jeanne d'Arc s'est levée jadis au nom de la justice contre les Anglais qui n'étaient pas à l'époque de pires chrétiens que les Français, si les Français se sont battus contre les Allemands de Guillaume II, qui n'étaient pas de plus mauvais Européens qu'eux, a fortiori avons-nous le droit de nous opposer, en tant qu'Européens et en tant que chrétiens à l'emprise d'une civilisation à bien des égards plus inquiétante par les valeurs sociales et religieuses qu'elle véhicule. Les moyens que nous avons à utiliser sont religieux et ils passent par l'évangélisation. Ils sont aussi politiques et, eu égard à la pression démographique sans précédent que connaît notre continent, cette question est devenue cruciale. S'il affirme que les nations mieux pourvues sont tenues d'accueillir autant que faire se peut l'étranger en quête de la sécurité et des ressources vitales qu'il ne peut trouver dans son pays d'origine, le Catéchisme de l’Église Catholique dispose aussi : que les autorités politiques peuvent en vue du bien commun dont elles ont la charge subordonner l'exercice du droit d'immigration à diverses conditions juridiques, notamment au respect des devoirs des migrants à l'égard du pays d'adoption. L'immigré est tenu de respecter avec reconnaissance le patrimoine matériel et spirituel de son pays d'accueil, d'obéir à ses lois, de contribuer à ses charges (CEC 2.241). La question de l'accueil de l'étranger, contrairement à ce que croient certains, n'est pas simplement une question compassionnelle, c'est aussi une question d'ordre public qui relève du bien commun national et donc de l'ordre politique.
Homélie de l'abbé Iborra
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19/03/2012
"HEUREUX QUI PENSENT AUX PAUVRES."
Le 15 mars dernier, les catholiques célébraient le jour natal ou jour de naissance à la vie bienheureuse de Sainte-Louise de Marillac.
"Originaire d'Auvergne, Louise de Marillac, devenue parisienne par son mariage avec Antoine Le Gras, le resta, après la mort de son mari, par une vie toute entière au service des pauvres et des malades de la capitale. Elle est la fondatrice et fut la première supérieure des Filles de la Charité, servantes des pauvres, qu'à la demande de Saint-Vincent de Paul, elle initia à leur mission... Quand elle mourrut, le 15 mars 1660, les Filles de la Charité comptaient déjà plusieurs fondations... Ses reliques sont conservées à la chapelle de la rue du Bac, où elles sont exposées à la vénération des fidèles."
Missel quotidien et vespéral par Dom Gaspar Lefebvre et le chanoine Emile Osty.
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22/02/2012
L'OMNIPOTENCE DES SYNDICATS (1).
Deux évènements simultanés se produisent sous nos yeux et sont étroitement liés : l'entrée "officielle" de la France en récession et l'omnipotence des syndicats.
La récession, faisant suite à une panne de croissance vertigineuse est le résultat de plusieurs années de gouvernements situés à gauche, non par leurs déclarations mais par leurs actions ou omissions. Elle se continuera quel que soit le résultat de l'élection de 2012,tous les programmes se ressemblent, à quelques nuances près : ils nous mènent à la ruine. Le plus étonnant est qu'Angela Merkel court aussi à cette ruine. Elle ne s'aperçoit pas ou, par idéologie, ne veut pas s'apercevoir que l'économie allemande peut, elle aussi, sombrer dans l'abîme vers lequel les vingt-sept s'engagent résolument.
Dans le cas particulier de la France, la toute puissance des syndicats est au coeur du problème avec leur richesse insolente dont les détails fleurissent ces jours-ci dans les médias. En 2007, ils ont reçu solennellement le pouvoir qui leur a été donné par le président sorti des urnes. Depuis lors, par lâcheté, leur omnipotence, au demeurant ancienne, a non seulement perduré mais grandit. Leur richesse et celle de leurs chefs s'est consolidée ;situation d'autant plus intolérable que leur représentativité est sujette à caution, voire plus qu'extrêmement faible.
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L'OMNIPOTENCE DES SYNDICATS (2).
07:50 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
L'OMNIPOTENCE DES SYNDICATS (3).
UNE BOMBE
Dans ce paysage, une véritable bombe vient d'éclater. La "médiacratie" en a peu parlé laissant une large place au tour d'horizon habituel des crimes qui se produisent un peu partout.
Un rapport de sept cents pages a été réalisé sur le financement de ces syndicats suite à la création, le 8 juin dernier, au sein de l'Assemblée d'une commission d’enquête. 700 pages, ce n'est pas rien et une centaine de personnalités ont été auditionnées, non sans peine tant le terrain est miné. Le coût même du rapport doit être astronomique. La commission créée à cet effet était présidée par un député nouveau centre, Nicolas Perruchot, très connaisseur du sujet.
Le rapport dissèque pour la première fois les quatre milliards d’euros de financements annuels, directs ou indirects de nos syndicats, nécessaires faute de cotisations. En effet, les cotisations des adhérents n'apportent que 3 à 4 % du financement. Les spécialistes connaissent depuis longtemps ce scandale. La nouveauté est qu'un rapport officiel vient de faire éclater la terrible réalité.
Monsieur Bernard Accoyer, président de l'Assemblée a décidé qu'il n'était pas possible de publier ce rapport et, sauf erreur, une telle décision est unique dans l'histoire des rapports de l'Assemblée. Il a déclaré que la commission d'enquête terminait ainsi son existence. La bombe était si forte que son explosion aurait menacé tout le système : une chape de béton s'imposait ! Certes, il y eut certaines protestations et même du côté syndical,contre l'arbitraire de la décision. Les protestataires, présentés abusivement comme courageux, savaient très bien que la décision salvatrice était prise et qu'elle corroborait leur toute puissance quasi totalitaire. Le seul avantage du rapport est que les langues se sont déliées et que beaucoup d'informations ont circulé.
07:30 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
L'OMNIPOTENCE DES SYNDICATS (4).
Voici quelques faits disparates aussi bien dans leur nature que dans leur importance : A Pékin, en Septembre 2004, cent quatre vingt dirigeants français des caisses de sécurité sociale ont séjourné dans les plus luxueux hôtels de la capitale de la Chine ; motif : participer à l'assemblée générale de l'association internationale de sécurité sociale. Le nombre stupéfia les autres délégations.
Le 8 novembre 2004, selon un présentateur de France 2, un chauffeur de la CFDT a avoué que toute sa vie, il avait été rémunéré par le Crédit Lyonnais, qu’il ne voyait que pour aller toucher sa feuille de paie.
Le président de la CGC a confié tout sourire qu’il était appointé par Total et que son trésorier l'était par les Pompes Funèbres générales ; vingt huit personnes du siège étaient rémunérées par des firmes privées.
A la même époque, la télévision a déclaré à propos d'une multinationale que dès qu'un salarié était nommé délégué, il recevait une promotion, qu'il choisissait parfois lui-même. Bien mieux, il y avait aussi d’autres avantages : embauches de proches, primes et indemnités de logement de gaz et de chauffage.
C'est la mairie de Paris qui, de 1990 à 2001, soit pendant onze ans, a payé un des domestiques de Marc Blondel baptisé "garde du corps ". Le contrat a été finalisé lors d’une petite fête dans un restaurant landais de la capitale le 11 mai 1990.
Après ces "menus" faits, voici plusieurs sources de la "rivière argentée " : La formation professionnelle des adultes ou FPA,le paritarisme avec le patronat dans une foule d'organismes comme les caisses de retraites, le dialogue social, les comités d'entreprises, le conseil économique, social et environnemental, avec ses succursales.
La Cour des comptes, dans un rapport publié le 6 décembre de cette année, vise le comité d'entreprise de la RATP et demande l'ouverture d'une enquête pénale : appels d'offres douteux, doubles facturations, dépenses somptuaires. La charge du comité d'entreprise représente cent treize euros par agent. Il s'y ajoute la subvention aux oeuvres sociales qui multiplie d'une façon importante la manne financière du syndicat. Cette étude est tombée sur la RATP mais aurait pu aussi tomber ailleurs. En effet, si la Cour des comptes ne se dérange pas, l'omerta est la règle. Depuis la loi Waldeck Rousseau de 1884, les syndicats n'avaient pas de comptes à fournir. La loi d'août 2008 sur leur représentativité les y oblige désormais, mais personne n'est vraiment pressé !
07:20 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
L'OMNIPOTENCE DES SYNDICATS (5).
La ruine infligée au peuple français par cette situation ne vient pas seulement de la formidable captation d'argent dont les dirigeants sont les principaux bénéficiaires mais aussi de la destruction des entreprises et de l'usage perpétuel et abusif de la grève.
Dans cette action meurtrière, les chefs syndicalistes forment une alliance de fait avec les politiques dont certains responsables détournent aussi beaucoup d'argent.
Le plus grave, peut-être, est que ces fausses élites se livrent publiquement à des actes immoraux ; ce qui explique, en autres causes, le mépris qu'elles encourent de la part de la population.
Madame Thatcher arrivée au pouvoir se trouva devant des syndicats encore bien plus puissants que les syndicats français d'aujourd'hui. Elle sut les briser et les péripéties du combat méritent d'être connues et analysées.
Michel de Poncins
07:00 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
20/02/2012
MISE A JOUR DU 13 FEVRIER 2012...
Identité et âge Date et ville du décès
Prénom |
Nom |
Age |
Jour |
Mois |
Année |
Ville |
|
Un homme |
|
1 |
1 |
2012 |
Lille |
|
Un homme |
30 ans |
3 |
1 |
2012 |
Strasbourg |
|
Un homme |
50 environ |
4 |
1 |
2012 |
Cavaillon |
José |
Landre |
48 ans |
5 |
1 |
2012 |
Lavelanet |
Macie |
Mazurkiewicz |
43 ans |
6 |
1 |
2012 |
Paris |
Un homme |
40 environ |
11 |
1 |
2012 |
Venette |
|
Un homme |
|
12 |
1 |
2012 |
Saint-Ouen |
|
Un homme |
|
13 |
1 |
2012 |
Auberville-la-Renault |
|
|
Un homme |
66 ans |
14 |
1 |
2012 |
Bassens |
José |
Droit |
64 ans |
16 |
1 |
2012 |
Paris 10ème |
Vincent |
|
34 ans |
16 |
1 |
2012 |
Beauvais |
|
Un homme |
55 ans |
17 |
1 |
2012 |
Mont-Saint-Aignan |
Patrice |
Le Floch |
51 ans |
17 |
1 |
2012 |
Lorient |
Ahmed |
Odjilali |
55 ans |
|
1 |
2012 |
|
|
Une femme |
46 ans |
17 |
1 |
2012 |
Le Kremlin-Bicêtre |
Bruno |
Letuddier |
50 environ |
17 |
1 |
2012 |
Paris |
|
Un homme |
58 ans |
18 |
1 |
2012 |
Montans |
Christian |
Loinsard |
56 ans |
18 |
1 |
2012 |
Paris 15ème |
Johnny |
Cleris |
30 ans |
19 |
1 |
2012 |
Lyon |
Laurent |
Gavois |
44 ans |
19 |
1 |
2012 |
Lyon |
Philippe |
Bigoin |
48 ans |
19 |
1 |
2012 |
Lyon |
Guy |
Herrero |
66 ans |
20 |
1 |
2012 |
Paris 14ème |
|
Une femme |
|
21 |
1 |
2012 |
Versailles |
|
Un homme |
56 ans |
21 |
1 |
2012 |
Argenteuil |
Prénom |
Nom |
Age |
Jour |
Mois |
Année |
Ville |
|
Un homme |
29 ans |
22 |
1 |
2012 |
La Séguinière |
Gérard |
Vernerez |
58 ans |
24 |
1 |
2012 |
Paris |
|
Un homme |
|
25 |
1 |
2012 |
Menton |
|
Une femme |
|
|
1 |
2012 |
Annemasse |
|
Un homme |
|
28 |
1 |
2012 |
La Défense |
|
Un homme |
30 environ |
28 |
1 |
2012 |
Poitiers |
Hayette |
Allag |
40 ans |
|
1 |
2012 |
Versailles |
Véronique |
Mahot |
|
|
1 |
2012 |
Beauvais |
Jamel |
|
49 ans |
|
1 |
2012 |
Beauvais |
|
Une adolescente |
17 ans |
3 |
2 |
2012 |
Avignon |
Henrik |
Piatek |
45 ans |
3 |
2 |
2012 |
Paris 10ème |
Marie-France |
Pause |
43 ans |
4 |
2 |
2012 |
St-Denis/Réunion |
|
Un homme |
56 ans |
4 |
2 |
2012 |
Champigny |
|
Un homme |
61 ans |
4 |
2 |
2012 |
Villetaneuse |
Muriel |
Lassalle |
46 ans |
6 |
2 |
2012 |
Compiègne |
Constantin |
Fudalache |
55 ans |
6 |
2 |
2012 |
Paris 10ème |
|
Un homme |
53 ans |
7 |
2 |
2012 |
Dunkerque |
|
Un homme |
60 environ |
8 |
2 |
2012 |
Montauban |
|
Un homme |
50 environ |
8 |
2 |
2012 |
Toulouse |
|
Un homme |
20 ans |
10 |
2 |
2012 |
Epinal |
|
Un homme |
32 ans |
12 |
2 |
2012 |
Marcq-en-Baroeul |
|
Francis |
|
13 |
2 |
2012 |
Paris 16ème |
Jaroslaw |
Turniak |
50 ans |
14 |
2 |
2012 |
Paris 8ème |
" Décès de personnes ayant vécu à la rue
dont nous avons appris la mort depuis le début de l'année2012."
09:17 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
13/02/2012
LA MANIPULATION "ANTIRACISTE"(1).
"Il est bon qu’une nation soit assez forte de tradition et d’honneur
pour trouver le courage de dénoncer ses propres erreurs,
mais elle ne doit pas oublier les raisons de s’estimer elle-même "
Albert Camus
Le triple anathème "raciste-fasciste-xénophobe" est réservé
de préférence à ceux qui défendent l’identité française et occidentale.
La gauche internationaliste brandit cet épouvantail
dans un but politico-idéologique évident :
il s’agit de dévaloriser nos identités afin d’ouvrir la voie
à une société "mondialisée".
La droite honteuse, quant à elle, est prête à toutes les concessions
et à tous les reniements pour se laver de l’accusation.
Elle croit habile de surenchérir, espérant séduire l’électorat
en adoptant les valeurs de l’adversaire plutôt qu’en défendant les siennes.
La diversité des ethnies, des cultures et des nations
constitue pourtant une richesse irremplaçable.
La construction d’un monde meilleur et plus fraternel
n’impose nullement de renoncer à cette diversité
pour la remplacer par une humanité grise, uniforme, standardisée,
réduite à ses fonctions de consommation, de production et de reproduction,
formidablement appauvrie et donc condamnée à la stagnation
qui précède l’extinction des espèces.
06:07 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
LA MANIPULATION "ANTIRACISTE"(2).
Nous sommes, quant à nous, d’ethnie indo-européenne
et de culture gréco-romaine et chrétienne dominantes.
Nous avons construit notre civilisation sur ces bases,
dont les valeurs ont rayonné sur le monde entier,
par des méthodes qui ne furent certes pas toujours pacifiques.
Pour autant, nous n’avons rien à renier,
nous ne sommes redevables d’aucune "repentance" à l’égard de quiconque
et n’avons de leçons d’antiracisme à recevoir de personne.
Nous ne revendiquons aucune supériorité intrinsèque,
ne prétendons pas appartenir à une quelconque "race des seigneurs",
ni à un soi-disant "peuple élu"
et n’avons aucune vérité prophétique à imposer au monde par le sabre.
Nous sommes tolérants à l’égard des autres cultures,
même si cette tolérance n’est pas toujours payée de retour,
y compris de la part de communautés
que la France accueille sur son sol, mais attention :
la "tolérance" ne doit pas servir d’alibi à la démission !
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