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13/09/2013

Mariage gay : lettre ouverte d’Alain Dubrulle à François Hollande

 

 
Alain Dubrulle, Principal honoraire du Collège Gambetta à Cahors
A
lain Dubrulle, Principal honoraire du Collège Gambetta à Cahors, opposé à la dénaturation du mariage a écrit une « Lettre ouverte » à François Hollande. Le bon sens près de chez nous. La voici dans son intégralité.
Il y a cinquante-trois ans et demi, lorsque mon épouse et moi-même nous sommes mariés, nous avons souscrit aux termes d’un contrat parfaitement clair, qui ne laissait place à aucune ambiguïté, et qui était prévu pour durer jusqu’à la fin de nos jours. Aussi, aujourd’hui – six enfants, dix-neuf petits enfants et quatre arrière-petits-enfants plus tard – sommes-nous surpris d’apprendre que, sans nous consulter, les termes du contrat ont été complètement modifiés, et ses objectifs totalement dénaturés. Nous avons donc décidé, mon épouse et moi-même, d’un commun accord, d’entamer une procédure de divorce, le mariage civil ayant perdu pour nous toute signification. Notre mariage religieux, qui conserve, lui, tout son sens pour l’éternité, suffira à assurer notre bonheur et celui de notre famille.¢
 


En tant qu’ancien membre de l’enseignement public, professeur de philosophie, puis pendant trente ans chef d’établissement, commandeur des Palmes Académiques, je suis personnellement très attaché aux principes de la laïcité – la vraie -, et je déplore que par votre projet du « mariage pour tous » un coup fatal soit porté à l’une des institutions les plus représentatives de notre code civil, laïque et républicain. Le mariage civil perdant, par cette tromperie, beaucoup de sa valeur, c’est le mariage religieux qui sera revalorisé aux yeux de nombreux citoyens. Sans doute est-ce d’ailleurs pour cette raison que vos partisans se sont opposés à la suppression de l’obligation du mariage civil avant tout mariage religieux : laisser le choix serait peut-être trop dangereux !
 
On peut comprendre, Monsieur le Président, que vos échecs personnels en ce domaine vous conduisent à attacher peu d’importance et de considération au mariage. Mais en arriver à modifier le code civil contre l’avis d’une majorité des citoyens et à imposer au pays, comme première dame de France, une concubine ou une maîtresse – on ne sait pas trop quel terme choisir – n’est pas, pour moi, le fait d’un Président normal.
 
N’espérant pas vous avoir convaincu, mais la conscience libérée d’un grand poids, le respect n’interdisant pas, mais supposant au contraire la franchise, j’ai l’honneur de vous prier, Monsieur le Président de la République, de bien vouloir agréer l’expression de mon plus profond respect.¢
La vie quercynoise
 
 
 

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10/09/2013

PS : Familles, je vous hais ! par Jean-Yves LE GALLOU

 

 

«
Familles, je vous hais», «Familles françaises, je vous hais», telle semble être la devise du gouvernement Ayrault, lequel a consacré sa première année à la dénaturation du mariage pour complaire aux exigences libérales/libertaires et satisfaire à tous les caprices du lobby homosexualiste.
Il attaque sa deuxième année en démantelant la politique familiale sous couvert de réforme des retraites.
Dans un système de retraite par répartition, ce sont les enfants des familles nombreuses qui paient les retraites des célibataires ou des couples inféconds ou moins féconds, par choix ou fatalité. Dans un esprit de solidarité, il est donc logique que les parents de familles nombreuses bénéficient d’un bonus (de 10 %, 15 % ou 20 %) sur leurs retraites. Bonus qui vient (partiellement) compenser leurs sacrifices antérieurs en termes de revenus ou de patrimoine. Dans le même esprit, les mères de famille bénéficiaient de deux annuités supplémentaires par enfants. Le gouvernement Ayrault a décidé de rayer d’un trait ces mesures d’équité.¢
 


C’est une réforme injuste précisément en ce qu’elle consiste à diminuer la retraite de ceux qui permettent aux autres d’avoir une retraite. Le message est le suivant : « Pauvres pommes, vos enfants paieront la retraite des autres, mais la vôtre sera diminuée. »
 
C’est une mesure nuisible : la France a peu d’atouts dans la compétition internationale. Grâce à sa politique familiale, sa natalité en était un par rapport à l’Espagne, à l’Allemagne, à l’Italie et à la Grande Bretagne. Et pas seulement grâce à l’immigration mais aussi grâce à la fécondité des Françaises de souche, nettement supérieure à celle des Européennes de souche des pays voisins.
 
Voilà qui était insupportable idéologiquement aux socialistes attachés à promouvoir « le grand remplacement » de la population française par haine de l’identité nationale.
 
D’autant qu’électoralement, les familles nombreuses de la classe moyenne française ne leur sont pas électoralement favorables. C’est donc elles qu’il faut faire payer, de même qu’il faut leur faire payer leur opposition à la loi Taubira.
 
Ajoutons que les sommes ainsi dégagées ne permettront pas d’équilibrer le régime des retraites mais qu’elles alimenteront le tonneau des Danaïdes des banlieues de l’immigration, gouffre financier mais… vivier électoral du Parti socialiste.
 
Les socialistes font ainsi d’une pierre deux coups : ils satisfont leurs fantasmes idéologiques et servent cyniquement leurs intérêts électoraux.
 
Ceux – syndicats et patronat notamment – qui se rendront complices de ces mesures par leur silence sont de beaux salopards.
 
Face à cela, les familles françaises doivent se mettre en état de légitime défense.¢
Boulevard Voltaire

 

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27/08/2013

LA CRISE DANS TOUS SES ETATS (1).

 Manif pour tous.jpg

 

Juin 2013 :"Il règne un climat pré-révolutionnaire en France et tout çà pour une histoire de mariage gay ou plutôt de la destruction de cette institution fondatrice de notre civilisation. Qu'adviendra-t-il quand notre pays connaîtra le sort de la Grèce avec la baisse drastique des salaires et des retraites couplée à une hausse vertigineuse des impôts ? Nous sommes en récession et la zone euro est à l'agonie... Ne l'oublions pas ! Le chômage explose, la pauvreté s'installe semble-t-il durablement (faute de solution de la part des collabos mondialistes qui nous "gouvernent"), le pouvoir d'achat n'est plus qu'une mauvaise blague, notre souveraineté perd des plumes au fil des mois (maintenant, c'est au tour de la Défense... Pas sûr que çà plaise à tous les militaires !), la dette du pays ne cesse de se creuser (nous en sommes à 90% du PIB tout de même) et le peuple est méprisé, ignoré, bafoué... Voir à ce sujet le terme "populiste" que pour ma part je revendique avec fierté mais qui est abordé avec tant de dédain par tous ces journaleux et autres politiques du système... Le temps est à l'orage et certains auront bien du mal à passer entre les gouttes !"

 

A suivre...

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26/08/2013

LA CRISE DANS TOUS SES ETATS (2).

Par  SAIGNEUR VENIN

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20/08/2013

Combien sommes-nous? Par Alain de Montere

 

 
 
C
omment?... mais comment pouvons-nous encore, en cette aube grise du vingt-et-unième siècle, supporter toujours - il est vrai de plus en plus mal -cette méprisable frange de la société qui, se dénommant  « POLITIQUE »,  s'arroge par le système du trucage électoral le droit prétendu de nous gouverner. Quel droit?
Moi, féodaliste, dont la vénérable Maison, à l’égale de celle de Montmorency, a fait la France, je dénonce ce prétendu droit!
Moi, monarchiste légitimiste, dont la Maison a fait la Fance, je dénonce ce prétendu droit!
Moi, monarchiste Orléaniste, dont la Maison a fait la France, je dénonce ce prétendu droit!
Moi, Bonapartiste, dont la Maison a fait la France, je dénonce ce prétendu droit!
Moi, aristocrate étranger, dont la Maison a fait l'Europe, venu en France parce qu'attiré par ses lumières (pas celles des hallogènes attirant les allogènes comme des phalènes), et qui ai servi dans l'armée nationale de conscription, je dénonce ce prétendu droit!¢
 

Moi, l'Anar, qui ne reconnaît aucun système de gouvernement, surtout pas la démocratie qui est la forme la plus pernicieuse de prostitution politique,  je dénonce ce prétendu droit!
 
Moi, le pauvre con qui paie, paie, paie et repaie l'impôt toujours plus inéquitable, (parce qu'un Franc chez Bergé et un Franc chez moi ce n'est pas vraiment la même chose), je dénonce ce prétendu droit!
 
Moi, autre pauvre con, que l'on va bientôt contraindre à boufffer halal parce les POLITIQUES trouvent quelque(s)  avantage(s) personnel(s) ou sont trop lâches pour s'opposer aux envahisseurs qui lèvent leur cul pour en adorer leur innommable divinité, je dénonce ce prétendu droit!
 
Moi, le travailleur immigré européen d'hier (pas le rouge venu foutre le bordel, pas le profiteur des alocs et du travail au noir...) qui ai sué sang et eau pour me faire une place dans cette France qu'une Taubira appelle "Hexagone", je dénonce ce prétendu droit!
 
Moi le Hmong, moi le Harki, qui nous sommes battus pour la France, et que les POLITIQUES ont méprisés, nous dénonçons ce prétendu droit!
 
Moi...
 
Oh! non pas le rouge héritier d'un détraqué comme Robespierre; d'un opportuniste comme Danton; d'un illuminé pédéraste comme Saint-Just; d'un taré comme Marat; d'assassins comme Fouquier, Collot-Herbois, Billaud-Varennes... Non! Parce-que c'est justement lui et ses semblables qui sont aujourd'hui au pouvoir en France, comme hier à la Convention.
 
Combien de centaine de milliers, de millions parmi vous dont le QI est nettement supérieur au bigleux de l'Élysée? J'écarte comme ne pouvant entrer en lice un Ayrault, une Duflot ou une Taubira..., nullités avérées qui pointeront demain au chômage, telle une Voynet après son improbable parenthèse ministérielle - comme quoi ces gens sont sans pudeur!. Combien parmi vous, docteurs, agrégés, chercheurs et penseurs (nous oublierons bien évidemment le Lévy de service qui s'auto-proclame LE philosophe du siècle... mais lequel?), que le POLITIQUE méprise et ne caresse dans le sens du poil que lorsque nécessité oblige?
 
Combien parmi vous, obscurs, qui ont purement et simplement deux sous de jugeote?
 
Combien...?
 
Combien sommes-nous enfin pour dire qu'il y en a MARRE, et dénoncer ce prétendu droit de gouverner de ce gouvernement d'insufférables (1) fantoches parvenus?
 
 
Montebourg, là, y a un os: c'est une grande gueule... Et s'il lui prenait l'envie de me la casser?
 
 
Tapie? bah!...
 
Quel (le) sera le(la) suivant(e)?
 
Pendant ce temps les POLITIQUES  continuent d'engraisser sur notre compte. Et certains naïfs ont pu une seconde envisager que la Duflot démissionnerait pour soutenir sa collègue. D'abord, entre meufs, pas de solidarité qui tienne; cette connerie, c'est bon pour certains mecs à l'esprit attardé!  Songez à la différence de montant entre les virements sur le compte bancaire de l'intéressée avant et après sa nomination de ministre!
 
Comme il faut bien savoir terminer, je vais le faire, mais non sans une pensée pour l'armée égyptienne, et l'immense regret que la nôtre ne soit plus foutue de mettre en ligne des généraux, voire des colonels qui en aient dans la culotte et le prouvent pour l'amour de leur Patrie!¢
 
Note
(1) Le mot « insufférable » signifie insupportable, insoutenable. Il s'agit d'un terme ancien, vieilli, peut-être vaguement dialectal (Sud-Ouest de la France). Il est en effet fréquemment utilisé par Robert MERLE dans sa suite romanesque « Fortune de France », qui présente la particularité de "reconstituer" le langage d'un gentilhomme périgourdin du XVIe siècle.
 
 
 

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13/08/2013

Respect de la loi contre liberté de conscience

 

 

Philosophie (1).gif

Dans Le Figaro, Thibaud Collin signe une tribune sur l'objection de conscience des maires :

"Le refus par certains maires de célébrer des mariages entre personnes de même sexe révèle deux logiques qui se font face. Celle du pouvoir qui rappelle qu'une loi doit être appliquée quelques soient les états d'âme des citoyens et a fortiori des maires. En effet, si l'application de la loi était mesurée par la conscience individuelle, le sens même de la loi serait détruit. Celle-ci ayant pour objet la vie commune ne peut accepter sous peine d'anarchie que des individus s'y soustraient. Face à cette logique légaliste, se dresse celle de la conscience morale, sanctuaire irréductible à tout rapport de force, lieu où l'humanité éprouve sa dignité et le courage de dénoncer des lois injustes. En effet, si toute loi devait être appliquée sans discernement, cela signifierait que la loi est mesure du juste et qu'il devient impossible de contester une quelconque loi votée. Coupée de la conscience, la démocratie deviendrait alors le règne de l'arbitraire et du fait accompli majoritaire.

Dès lors, ne sommes-nous pas devant un problème pratique insoluble ? Une société ne peut se passer de lois et toute loi exige une obéissance soutenue par la possible coercition. Mais la même société ne peut se passer de la voix de la conscience humaine, ressource d'un perpétuel questionnement sur la justice des lois. L'inquiétude morale ne peut sans dommage être exclue du champ de la vie politique.

En épousant le diagnostic et la solution élaborés par la philosophie politique moderne depuis le XVIIème siècle, la République laïque n'a-t-elle pas mis au cœur de son identité le respect de la conscience ? Revenons sur les présupposés de la situation actuelle pour en estimer la gravité.

Le régime démocratique libéral est élaboré pour répondre au conflit des croyances religieuses cherchant chacune à imposer son hégémonie dans le champ politique. Pour éteindre ce foyer de guerre civile, il convient de neutraliser la dimension politique des croyances en les circonscrivant à la vie privée. La paix repose ainsi sur la division du monde humain en deux sphères régies par deux principes différents mais pensés comme complémentaires : la sphère de la vie publique régie par les lois, communes, contraignantes et neutres en matière religieuse et intellectuelle; la sphère de la vie privée régie par la conscience personnelle libre. Cette solution semble pertinente mais elle a un coût, longtemps passé inaperçu, qui rejaillit dans le débat actuel.

Ce coût est la perte de l'unité de la personne, du lien intrinsèque entre ce qu'elle pense et ce qu'elle fait. Spinoza l'assume explicitement dans son Traité théologico-politique.« Nous voyons suivant quelle règle chacun, sans danger pour la paix de l’État, peut dire et enseigner ce qu'il pense ; c'est à la condition qu'il laisse le souverain le soin de décréter sur toutes actions, et s'abstienne d'en accomplir aucune contre ce décret, même s'il lui faut souvent agir en opposition avec ce qu'il juge et professe qui est bon. » Il s'agit donc d'une sorte de troc : ma liberté de penser sera d'autant plus garantie que j'abandonnerais la détermination de mes actes à la loi. Mais une telle position s'oppose de plein fouet à l'honneur d'un homme libre en tant qu'il lui conseille tout simplement l'hypocrisie. Elle contient aussi un secret mépris pour l'agir humain identifié à un strict conformisme de façade et non plus à l'expression de la personne dans son orientation fondamentale. Bref, cette dualité fondatrice ne fonde-t-elle pas une logique de dépersonnalisation des rapports humains et de la politique ?

Le maire ou le fonctionnaire ne serait que le maillon impersonnel d'une loi et sa liberté ne pourrait se manifester que dans son for interne. Qui ne voit qu'on a là le ressort d'une politique court-circuitant toute responsabilité au profit d'un pouvoir anonyme déroulant ses procédures ?

Vaclav Havel, dans un texte écrit pour être lu à Toulouse en 1984 et intitulé La politique et la conscience, exhorte les démocraties de l'Ouest à considérer les régimes de l'Est comme l'avant-garde d'un danger majeur, « la domination totale d'un pouvoir hypertrophié, impersonnel, anonymement bureaucratique, qui opère en dehors de toute conscience ». « Le politicien moderne est transparent. Derrière son masque circonspect et son langage artificiel, nous ne trouvons pas un homme enraciné dans l'ordre du monde naturel par son amour, sa passion, ses goûts, ses opinions personnelles, sa haine, son courage ou sa cruauté ; tout cela est tenu pour une affaire purement privée, est relégué dans sa salles de bains. Si nous découvrons quoi ce soit derrière le masque, ce ne sera qu'un technologue plus ou moins adroit du pouvoir. »

En ignorant de manière procédurale les cas de conscience de maires ou de fonctionnaires cherchant la vérité sur ce qui est juste, la République risque de nier ce qui la rend possible : l'honneur et la responsabilité des citoyens."

 

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09/08/2013

La décadence de la France, par Jean-Luc TARI

 

 
 

U
ne élite s’est mise en tête de réaliser une communauté fraternelle universelle. Mais pour atteindre cet idéal, il faut faire table rase du passé. Toutes les idées de bon sens sont remises en cause. Ainsi, le mariage n’est plus exclusivement l’union d’un homme et d’une femme.
La théorie du genre explique que les individus peuvent choisir leur sexe malgré le déterminisme biologique. Le mot « race » doit être supprimé des textes de loi car il ne correspond pas à une réalité. Ces théories délirantes sont présentées comme de grandes avancées intellectuelles. Une élite prétentieuse veut construire un monde meilleur en reniant les fondements de notre civilisation.¢
 


Ainsi, les racines chrétiennes de la France sont reniées. Le programme d’Histoire de la 5ème est un exemple édifiant du travail de sape entrepris. Le cours commence avec les débuts de l’islam. Ensuite l’Occident féodal est présenté et on passe aux « regards sur l’Afrique ». Enfin on arrive à « la modernité » avec les bouleversements culturels et intellectuels puis « l’émergence du roi absolu ». Ce programme cosmopolite tend à faire croire que l’islam est à l’origine de la civilisation occidentale. L’étude d’une tribu primitive africaine est placée après l’Europe féodale comme si les deux sociétés étaient similaires. Pourtant cette tribu n’ayant pas atteint le stade de l’écriture, son étude repose sur du vent. À cette occasion, l’Éducation nationale confond l’Histoire avec la Préhistoire. Enfin la Renaissance est grossièrement dévalorisée puisqu’elle débouche uniquement sur « l’émergence du roi absolu ».
 
Louis XIV a de la chance d’être mentionné dans ce bavardage déstructuré. Cette « histoire » fait l’impasse sur les grands hommes qui ont fait la France : Clovis, Charlemagne, Saint Louis, François Ier, Henri IV, Napoléon. Il n’y a plus aucune fierté à être Français, ni aucune victoire qui soit célébrée. Les racines chrétiennes de la France ainsi que l’héritage gréco-romain sont niés. Ce programme est une falsification grotesque de notre Histoire qui vise uniquement à faire plaisir à un public africain. L’Éducation nationale n’a de nationale que son nom. Le cours de géographie servi aux élèves de 5ème en apporte une preuve supplémentaire. Dans ce cours, la géographie de la France n’est pas étudiée. On commence par la « question du développement durable », ensuite il faut se pencher sur les « sociétés inégalement développées », et pour finir il faut s’intéresser à la préservation de l’atmosphère, de l’eau et de l’énergie. Ainsi une propagande écolo-altermondialiste tient lieu de cours de géographie.
 
Une intelligentsia sans intelligence veut détruire les traditions les plus anciennes et les idéaux les plus nobles de notre civilisation. La grandeur passée de la France est niée pour se mettre au niveau des nouveaux immigrants. En effet, le gouvernement laisse massivement entrer des immigrés incultes et fait fuir les diplômés français les plus entreprenants. Ainsi le niveau baisse et tout est fait pour rabaisser la France et les Français.
 
L’État accorde la nationalité française comme on distribue des tracts publicitaires. Un remplacement de population est programmé pour le plus grand malheur de la France. Des politiciens indignes collaborent avec des intellectuels décadents pour accélérer le mouvement. Les médias politiquement corrects travestissent la réalité pour la faire coïncider avec la doxa socialo-hippie.
 
Par exemple à Brétigny-sur-Orge, les vols sur les corps gisants ont été niés par les grands médias avant que la vérité ne transpire. La déformation de l’Histoire est complétée par la désinformation des citoyens. Le reniement de
 

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09/07/2013

L’accord de libre-échange USA-UE peut attendre

 

Le billet de Patrick Parment

L’accord de libre-échange Etats-Unis-Union européenne que veut nous faire ratifier Bruxelles, n’a rien d’urgent à un an des prochaines élections européennes qui verront le départ de cet ectoplasme de Manuel Barroso et accoucheront, on l’espère, d’autres rapports de force au sein de la future assemblée. En effet, la montée des partis dits « populistes » risque fort de venir perturber le champ des magouilles diverses et variées et donner des sueurs froides à tous les lobbies qui s’agitent dans ce cloaque.

Même Le Monde n’y va pas par quatre chemins vis-à-vis de ce sinistre personnage qu’est Barroso : « Sarkozyste sous la présidence de Nicolas Sarkozy, incapable, depuis, de la moindre initiative politique pour relancer l’Union, il a accompagné le déclin des institutions européennes. » On se saurait mieux dire.

Et si ce sinistre personnage fait le forcing sur cet accord, c’est bien parce qu’il est en train de se ménager un avenir dans le Barnum anglo-saxon, à l’OTAN ou aux Nations Unies.

Il est bien évident que sur le papier, cet accord impressionne puisque l’Amérique associée à l’Europe représentent la moitié du marché mondial. Un poids certain face au monde asiatique.

Reste qu’un tel accord, et en l’état actuel des choses, serait dangereux pour l’Europe car nous ne sommes pas en position de force face à la puissance dominante que sont encore les Etats-Unis. Et, on connaît suffisamment les moeurs américaines pour savoir qu’ils accommodent les traités à leur sauce, usant et abusant du protectionnisme quand cela les arrange. L’Europe est déjà un marché très ouvert, tellement ouvert d’ailleurs que l’on a pris la crise de plein fouet, crise qui, comme par hasard a pris naissance aux Etats-Unis et dont les plus féroces spéculateurs demeurent ces financiers américains à la Soros & C°. Qui continuent d’ailleurs de se goinfrer sur notre dos.

Par ailleurs, dans un domaine sensible comme l’agroalimentaire, Américains et Européens n’ont pas les mêmes mœurs et la même notion de la sécurité alimentaire. On mange déjà assez de saloperies comme ça grâce à la grande distribution et autres fabricants de bouf rapide, pour ne pas voir débarquer dans nos assiettes des poulets blanchis à l’eau de Javel.

Concernant l’exception culturelle, j’avoue que je reste dubitatif sur la notion elle-même, vu que nous sommes déjà envahis – colonisés ? - de toutes parts par la sous-culture américaine. Nos chanteurs de banlieue, à voix de fausset, surnagent comme ils peuvent, nos cinéastes produisent des films sans intérêt aucun – il est loin de temps des Tontons flingueurs – et l’exception culturelle française est battue en brèche chaque matin par l’idiovisuel, toutes chaînes confondues. Pas étonnant que Les Experts battent en audience un François Hollande coincé sur M6 à la même heure. La radio, je n’en parle même pas, on est dans le borborygme.

Avant de passer des accords, les Européens feraient mieux de commencer par faire le ménage chez eux. Régler ce petit problème, par exemple, d’une perfide Albion qui depuis Jeanne d’Arc ne veut pas que se constitue une puissance continentale. Hier encore, c’était pour défendre leurs intérêts, aujourd’hui, c’est pour défendre ceux des Américains. Sans compter que, quand on parle d’Europe, chacun tire la couverture à lui.

Enfin, il y a un autre obstacle majeur à cet accord de libre-échange, de taille celui-là : il exclut la Russie du champ des négociations. Et ceci est pour le moins inacceptable, parce qu’il met en péril notre avenir qui, comme chacun peut s’en rendre compte sur une carte, se situe plus à l’Est qu’à l’Ouest. Sans la prise en compte de la Russie, l’avenir de l’Europe est incertain. Les Américains l’ont bien compris. Je préfère Vladimir Poutine à Obama. Cela s’appelle faire preuve de réalisme, ce qui n’est pas le cas, semble-t-il, de nos libéraux de gauche comme de droite, de Hollande à Copé. Dans ce pays d’aveugles, les borgnes sont rois.

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02/07/2013

Google : toujours plus loin dans l’espionnage de ses utilisateurs

 

Lu sur zdnet :

Le 2 mai 2013, Google a déposé un brevet au doux nom de « Policy Violation Checker » ou « Vérificateur de violations de politiques » dans la langue de Molière.

De quoi s’agit-t-il ? Si ce brevet surgit un jour sur le marché, il permettra aux entreprises de constituer une base de données répertoriant les phrases, mots, expressions jugées « problématiques » (aussi vague ce terme soit-il).

Ces mots damnés, qui pourraient engendrer la fuite d’informations confidentielles ou encore porter un préjudice quelconque à l’entreprise, seraient immédiatement repérés par le logiciel, dans un mail ou même un simple fichier word, qui proposerait à l’employé « fraudeur » une reformulation moins polémique.

Jusqu’ici il ne pourrait s’agir que d’un petit logiciel agaçant et donneur de leçons mais lorsque celui-ci s’adonne à la délation, son caractère légal devient beaucoup plus problématique. En effet, le « Policy Violation Checker » ne se contente pas de vous avertir de votre écart, il s’empresse d’en informer votre employeur ou encore le département juridique de l’entreprise.

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28/05/2013

ALLOCATIONS FAMILIALES...

 Romaine.jpg

 

- pour Marc

+ pour Mamadou !

 

La casse.jpg

 

L'Etat n’a plus d’argent ! Qu’à cela ne tienne, Jean-Marc Ayrault cogne sur ce qui contribue à la natalité du pays avec dans l’idée qu’il serait plus simple de laisser rentrer quelques centaines de milliers d’immigrés pour palier à une éventuelle baisse de cette dernière. Le premier ministre a ainsi annoncé que la réduction des allocations familiales toucherait environ 15% des Français. Mais si la République récupère quelques deniers d’un côté, c’est immédiatement pour les redistribuer de l’autre… Coté de la méditerranée !


Voilà ou part notre argent : "En France, la nouvelle est restée confidentielle. Mais pas en Algérie (voir notamment Le Matin DZ) : désormais, tout parent algérien installé en France pourra toucher des allocations familiales au titre de ses enfants, nés en Algérie, qui décideraient de le rejoindre. Et même, précise la Cour de Cassation réunie le 7 avril dernier en assemblée plénière, si les enfants en question ont pénétré en France en dehors de toute procédure de regroupement familial. Ce qui s’applique naturellement, d’abord, aux enfants de pères polygames, puisque les autres peuvent, depuis l’institution du système, en 1976, bénéficier dudit regroupement ! Résultat : les hommes ayant "épousé" plusieurs femmes dans leurs pays vont pouvoir, sans contourner la loi française comme ils le faisaient jusqu’à maintenant (en faisant passer, par exemple, leurs compagnes pour des "mères isolées"), financer légalement le séjour en France de leur descendance."

 

Source : Contre-info

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