QUOI

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

24/11/2011

LES TGV ROULENT SUR LE PAIN DES PAUVRES (1).

TGV.jpg

 
 
Ces jours-ci,
 
trois faits se conjuguent au sujet de la SNCF
 
et dont la signification globale est considérable :
 
le 30e anniversaire de la création des TGV,
 
des grèves à répétition
 
et un horrible accident de passage à niveau.
 
Ces événements se rattachent à la ruine infligée
 
au peuple français par le mammouth SNCF ; 
 
cette ruine étant provoquée en grande partie par les TGV.
 

Personne ne discute les immenses agréments qu'offrent ces TGV,

aux riches voyageurs qui voient défiler

à toute allure la campagne à bord des magnifiques jouets.

Et pourtant, comme nous allons le montrer,

nous roulons, alors, sur le pain des pauvres.

 

VGT.jpg

 

Comment se manifeste cette ruine ?

Un rapport de la Cour des Comptes sur "La réforme ferroviaire de 1997"

a démontré que les TGV sont largement à la source de la ruine de la SNCF.

Le rapport dénonce "Le lourd endettement de la SNCF induit principalement

par les investissements considérables effectués

pour construire et équiper les lignes nouvelles à grande vitesse".

Étant donné les chiffres, l'importance de ces dettes contribue largement

à l'endettement abyssal de la nation tout entière.

En effet, pour les analystes honnêtes, il n'y a pas de distinction à faire

entre les dettes de la SNCF et les dettes globales de la nation.

Et en visant la SNCF, nous incluons Réseau Ferré de France

ou RFF, les deux étant complètement imbriqués.

L'effet de ruine est patent, compte tenu de la charge massive des intérêts

et de la multiplication abusive sur trente ans de la construction des TGV.

La paupérisation du pays en est la conséquence et,

comme il est de règle, cette paupérisation

frappe particulièrement les plus faibles.

 

A suivre le 22/11/2011 à 10 heures 55...

 

17:20 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

Les commentaires sont fermés.