Les peuples gaulois avant la conquête romaine |
Les grandes invasions |
L'Europe du Traité de Verdun en 843 |
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L'Europe du Traité de Verdun en 843 |
09:33 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
« Je n’ai guère envie de me joindre à la grande ronde des intellectuels qui passent leur temps à débattre de l’immigration… Le peuple sait déjà toutes ces choses, intuitivement : que la France, telle que nos ancêtres l’ont façonnée depuis des siècles, est en train de disparaître.»
Et qu’on amuse la galerie en parlant sans cesse de l’immigration sans jamais dire la vérité finale. Une vérité d’ailleurs indicible car celui qui la proclame est immédiatement poursuivi, condamné puis rejeté. Richard Millet s’en est approché, voyez ce qui lui est arrivé.
On dissimule aux Français la gravité du problème. À commencer par les dirigeants politiques. Publiquement, tout va très bien, mais, la porte fermée, ils reconnaissent que “oui, vous avez raison : il y a un vrai problème”.
J’ai sur ce sujet des lettres édifiantes de hauts responsables de gauche, de droite aussi : “Mais vous comprenez : on ne peut pas le dire…” Ces gens-là ont un double langage, une double conscience.
Le peuple sait qu’on lui cache les choses. Aujourd’hui, des dizaines de millions de gens ne partagent pas le discours officiel sur l’immigration. Ils ne croient aucunement que ce soit une chance pour la France. Parce que le réel s’impose à eux, quotidiennement.
Le modèle d’intégration ne fonctionne plus. Même en admettant qu’on reconduise un peu plus de clandestins à la frontière et qu’on réussisse à intégrer un peu plus d’étrangers qu’aujourd’hui, leur nombre ne cessera pas de croître et cela ne changera rien au problème fondamental : l’envahissement progressif de la France et de l’Europe par un tiers-monde innombrable.
Ces gens-là ne se retournent pas vers leurs gouvernements pour protester, ils n’en attendent rien. Ils se tournent vers nous et arrivent en Europe par bateaux, toujours plus nombreux, aujourd’hui à Lampedusa, ailleurs demain. Rien ne les en décourage.
Par le jeu de la démographie, dans les années 2050, il y aura autant de jeunes Français de souche que de jeunes étrangers en France. Beaucoup seront naturalisés. Ce qui ne signifie pas qu’ils seront devenus français.
Les “naturalisations de papier” ne sont pas des naturalisations de cœur. Je ne peux pas les considérer comme mes compatriotes.
Il n’y a que deux solutions. Soit on essaie de s’en accommoder et la France s’effacera sans même qu’on lui fasse des funérailles. Soit on ne s’en accommode pas du tout — c’est-à-dire que l’on cesse de sacraliser l’Autre et que l’on redécouvre que le prochain, c’est d’abord celui qui est à côté de soi.
Ce qui suppose que l’on s’assoit quelque temps sur ces « idées chrétiennes devenues folles », comme disait Chesterton, sur ces droits de l’homme dévoyés, et que l’on prenne les mesures d’éloignement collectif et sans appel indispensables pour éviter la dissolution du pays dans un métissage général.
Je ne vois pas d’autre solution. J’ai beaucoup voyagé dans ma jeunesse. Tous les peuples sont passionnants mais, quand on les mélange trop, c’est bien davantage l’animosité qui se développe que la sympathie. Le métissage n’est jamais pacifique, c’est une utopie dangereuse. Voyez l’Afrique du Sud !
Je ne crois pas un instant que les partisans de l’immigration soient plus charitables que moi : il n’y en a probablement pas un seul qui ait l’intention de recevoir chez lui l’un de ces malheureux…
Tout cela, c’est de la frime émotionnelle, un maelström irresponsable qui nous engloutira.
09:53 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
Des élus ont annoncé leur intention de déposer une proposition de loi pour rendre légale une telle clause de conscience. Certains évoquent un recours contre la circulaire Valls qui menace de sanctions judiciaires les maires récalcitrants. D'autres veulent saisir la Cour européenne de droits de l'homme... Ces réactions sont généreuses : elles manifestent une volonté de ne pas abandonner le combat. Mais elles démontrent aussi une erreur de jugement qui, dans les circonstances extrêmes que nous vivons, les condamnent à l'échec.
Le Conseil Constitutionnel a affirmé par deux fois qu'il n'y a rien dans la constitution qui puisse protéger la République de l'idéologie du genre : en juin lorsqu'il s'est prononcé sur la loi Taubira, et hier lorsqu'il a statué sur la clause de conscience des maires. Ni le droit de l'enfant à être éduqué par un père et une mère, conformément aux traités internationaux ratifiés par la France, ni l'interdiction d'être poursuivi pour ses opinions, conformément à la déclaration universelle des droits de l'homme, n'auront constitué des remparts légitimes contre une loi injuste. Le Conseil Constitutionnel l'a confirmé : la République est légalement sans défense face à une idéologie qui s'est infiltrée jusqu'au sommet de l'Etat. La loi Taubira, la circulaire Valls, la réforme Peillon, les nominations au Comité d'éthique par François Hollande : tout cela relève d'une même idéologie qui vise à imposer en France une société trans-genre.
Le Printemps Français n'exprime aucune surprise face à la décision des sages, car il n'a jamais confondu la légalité avec la légitimité. Peu importe à ses yeux que la loi soit conforme à la constitution. Cette base juridique, humaine et passagère, ne l'emporte pas sur les données intangibles de la nature humaine. Celle-ci porte en elle-même une dignité que la constitution n'a pas le droit de nier. Notre tâche de citoyens libres et conscients est de le rappeler.
Dans quelques mois, les français seront appelés à élire leurs maires. Ils savent désormais qu'ils n'éliront qu'un agent d'Etat privé de toute conscience. De telles élections ne pourront être qu'une parodie de démocratie. Il appartient à chacun d'en tirer les conséquences.
10:17 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (1)
Que savait-on déjà de Facebook ? Que ce que l’on y mettait n’avait de privé que le nom. Que cette photo de vous, roulant sous la table, à l’issue de la soirée d’intégration de votre école de commerce, destinée à l’origine à n’être partagée qu’avec vos copains de biture, finirait peut-être, cinq ans plus tard, par être examinée par celui qui, sans elle, aurait pu devenir votre employeur.
On savait aussi que ce qui était publié l’était pour la vie. Ces blagues graveleuses, ces prises de position à l’emporte-pièce que vous avez publiées avec l’inconséquence de vos 18 ans, puis supprimées en rentrant dans la vie active parce qu’elles ne siéent plus avec votre condition de cadre respectable, n’ont pas réellement disparu pour qui se donnerait les moyens de les retrouver.
On le savait et on l’avait accepté. Parce qu’on ne peut rien y faire. Parce que Facebook est plus fort que vous. Le symbole même de la servitude volontaire.
Ce que l’on ne sait pas – ce que l’on vient d’apprendre –, c’est que ce flicage à perpétuité concerne aussi ce que vous n’avez jamais publié. Seulement à peine esquissé. Ces mots tapés en vitesse sous le coup de l’émotion. Ces insultes outrancières, ces déclarations ampoulées, ces réponses mal torchées et mal ficelées qui, d’un coup, vous ont fait honte et que vous avez effacées avant de les poster comme on roule en boule une lettre que l’on n’enverra jamais, sont conservées par Facebook. À la manière de ces brouillons qui s’enregistrent au fur et à mesure sur Gmail…
On dit qu’avec Facebook, on n’a pas de vrais amis. Mais on a, semble-t-il, un vrai ennemi.
C’est ce que révèle une étude publiée par deux Américains travaillant pour Facebook et ayant précisément étudié le comportement « d’autocensure » de cinq millions d’utilisateurs anglophones. Parce que vous pensiez peut-être qu’une boîte ambitieuse comme Facebook n’avait pas de service Recherche & Développement ? Qu’elle se contenterait de vivoter ad vitam sur le concept d’amitié virtuelle sans chercher d’autres débouchés pour tout ce qu’elle peut stocker, comme un équarrisseur qui se contenterait de brûler les carcasses sans vendre le cuir ni la fourrure ?
Au Zuckerbergland, pas de droit à l’oubli, au repentir, aux mots qui dépassent la pensée. Et ces non-dits, ou plutôt ces non-écrits, ont évidemment un prodigieux intérêt puisqu’ils sont le reflet de votre impulsivité primaire avant qu’elle ne soit bridée par la raison. Le début du flicage de l’esprit, en somme, car ce que l’on a manqué écrire, c’est ce que l’on a pensé très fort… à l’état brut, avant d’être aseptisé, limé, arrondi, contrôlé et déclaré bon pour l’exportation vers les amis. Un prodigieux intérêt commercial, mais aussi – pourquoi pas ? – judiciaire… Vous avez le droit de garder le silence, tout ce que vous posterez, mais aussi tout ce que vous avez failli poster, pourra être retenu contre vous.
On dit qu’avec Facebook, on n’a pas de vrais amis. Mais on a, semble-t-il, un vrai ennemi. Par un curieux paradoxe, les réseaux sociaux risquent bien, à terme, d’aliéner aussi puissamment la parole qu’ils l’ont libérée ces dernières années.
Gabrielle Cluzel dans Boulevard Voltaire
10:00 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
Tout est dit dans l’introduction de cette proposition de loi déposée au Sénat le 18 décembre 2013 (par des membres de l’UMP) :
« L’un des buts de la scolarisation de l’enfant est sa socialisation. Celle-ci nécessite une éducation qui ait une dimension collective, qui lui permette de découvrir la diversité des conditions et des cultures des enfants de son âge et de rendre son développement plus harmonieux.
Dans cet esprit, l’éducation à domicile par la famille ne peut être qu’une situation exceptionnelle, liée à l’état de santé ou à l’incapacité permanente ou temporaire de l’enfant.
Elle ne peut être le prétexte d’une désocialisation volontaire, destinée à soumettre l’enfant, particulièrement vulnérable, à un conditionnement psychique, idéologique ou religieux.
La présente proposition de loi, qui respecte l’esprit de la convention internationale relative aux droits de l’enfant, ratifiée par la France en 1990 (et notamment les articles 3, 13, 14 et 29 alinéas 1er a) et d) vise donc à redimensionner cette possibilité en la limitant aux cas d’incapacité et à la soumettre à un contrôle de professionnels agréés par l’Éducation Nationale sans faire pour autant disparaître l’enquête sociale de la commune ».
Sous prétexte que les parents ne doivent pas « endoctriner » leurs enfants (alors que c’est leur droit le plus strict de les éduquer et leur transmettre ce qu’ils veulent), la République totalitaire entend leur bourrer le crâne avec ses lubies idéologiques ! Cosmopolitisme, « gender », shoahtisme, immoralité, etc.
Source LSB
09:42 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
Vu sur usine-digitale.fr :
« Suite aux révélations du journal allemand Der Spiegel sur l’étendue de l’infiltration de la NSA dans les infrastructures informatiques, voici une liste de 10 outils de cyberespionnage stupéfiants utilisés par la National Security Agency.
Le journal allemand Der Spiegel a lancé des révélations chocs sur le cyberespionnage à partir de documents confidentiels partagés par l’ancien consultant de la NSA Edward Snowden. Voici un palmarès des outils les plus fous utilisés par la National Security Agency pour nous espionner.
Il semblerait que pour chaque porte verrouillée par les fournisseurs d’équipements réseaux, les produits informatiques et les télécoms, la NSA possède une clé. La liste complète de ces outils disponible ici.
FEEDTHROUGH
Juniper Networks n’est ni plus ni moins que le 2e équipementier mondial de systèmes réseaux pour entreprises. Ses pare-feux Netscreen permettent de faire respecter la politique de sécurité d’un réseau informatique, définissant quels types de communication y sont autorisés. La NSA inflitre ce périmètre sécurisé grâce à Feedthrough.
DEITYBOUNCE
Deitybounce permet d’installer des logiciels malveillants de façon permanente, notamment sur les serveurs “PowerEdge” du fabricant mondial de PC Dell. La NSA implante son malware dans les “BIOS”, ces logiciels sur la carte mère d’un ordinateur qui sont les premiers éléments installés au démarrage de l’appareil. Le PC ou serveur infecté semble fonctionner normalement, et même s’il est nettoyé, et son contenu entièrement effacé, les logiciels espions de la NSA restent logés de façon invisible. Dell a répondu à cette révélation.
JETPLOW
Jetplow permet d’installer des logiciels espions permanents dans les pare-feux du géant mondial des réseaux informatiques Cisco. Il peut aussi “modifier le système d’opération des pare-feux de Cisco au démarrage”. Une option de “porte dérobée permanente” permet aussi “un accès complet”. Cisco a répondu à cette révélation.
HEADWATER
Headwater nstalle une “porte dérobée permanente“ (Persistent Backdoor) sur certains routeurs du fabricant de matériel informatique chinois Huawei. Ces “implants” espions peuvent être installés à distance via internet.
NIGHTSTAND
Nightstand est un appareil sans fil d’exploitation et d’insertion de données, “typiquement utilisé quand on ne peut accéder à une cible via une connexion internet.” Il permet des attaques de loin, jusqu’à près de 13 kilomètres de distance de la cible.
PICASSO
D’apparence assez habituelle voire désuète, Picasso est un téléphone sans fil avec puce GSM (dont deux modèles de Samsung) qui permet de “collecter les données d’utilisateurs, des informations de géolocalisation et le son d’une pièce”. Ces données peuvent être récupérées via un ordinateur portable ou bien par SMS “sans alerter la cible”.
COTTONMOUTH-I
Pour le novice, cet outil ressemble à un port et câble USB inoffensifs. Mais à l’intérieur, se cache une carte mère qui fournit “un pont sans fil dans un réseau cible, ainsi que la possibilité d’introduire des logiciels « exploit » sur des ordinateurs portables ciblés.” (Un “exploit” permet à un logiciel malveillant d’exploiter une faille de sécurité informatique dans un système d’exploitation ou un logiciel.) Autrement dit, la NSA peut introduire un cheval de Troie dans n’importe quel ordinateur.
IRATEMONK
Iratemonk est un logiciel malveillant qui infecte des ordinateurs portables et de bureau en attaquant le firmware de disques durs fabriqués par Western Digital, Seagate, Maxtor et Samsung, qui sont toutes à l’exception de la dernière, des entreprises américaines. Le firmware, ou microprogramme, concerne l’ensemble des instructions et des structures de données qui sont intégrées dans le materiel informatique.
TOTEGHOSTLY 2.0
Toteghostly 2.0 est un implant logicel à destination du système d’exploitation Windows Mobile, qui permet d’extraire et d’installer des données à distance. La NSA peut ainsi accéder aux SMS, liste de contacts, messages vocaux, géolocalisation, fichiers audio et vidéo, etc. de l’appareil.
CANDYGRAM
Candygram est une “station GSM active”, qui permet d’imiter le comportement d’une tour de téléphonie cellulaire et ainsi de repérer et monitorer des téléphones portables. Quand un appareil ciblé entre dans le périmètre de la station Candygram, le système envoie un SMS à l’extérieur du réseau à des téléphones “espions” préalablement enregistrés.
Tout cela sans compter Dropoutjeep qui permet à la NSA d’installer des logiciels espions sur les iPhone, et sur tous les appareils iOS et collecter ainsi des données sans que la “cible” s’en aperçoive. »
10:42 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
J
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10:37 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
J
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10:37 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
Prenant acte de la timidité des propositions remises par les experts de Terra Nova, le groupe de hauts fonctionnaires, de financiers, de journalistes et de syndicalistes socialistes connu sous le nom de « groupe Attila » a décidé de se muer en un authentique think tank au nom programmatique de « Tabula Rasa ». Coupant l’herbe sous les pieds de ses concurrents, le groupe a d’ores et déjà remis à l’Élysée une série de rapports dont nous avons pu nous procurer la copie.
Concernant la politique familiale, Tabula Rasa veut rompre radicalement avec les hésitations et les demi-mesures de Terra Nova : parmi ses 457 propositions, on peut retenir le projet d’inversion du quotient familial : plus le nombre d’enfants sera élevé, plus les parents paieront d’impôt. Une exemption est cependant prévue pour les personnes d’origine étrangère, pour les disciples des « religions minoritaires apparues tardivement sur le sol républicain » ou encore pour les « nouvelles formes de famille » dont les enfants ont été conçus par PMA ou GPA. Au carrefour de la politique familiale et de la lutte contre les stéréotypes sexués, le groupe propose de doubler l’impôt sur le revenu des couples dans lesquels seul le parent 1 travaille dès lors que ce parent 1 est un homme, mais de supprimer l’impôt pour les couples dans lesquels le parent 2 de sexe féminin travaille mais pas son conjoint 1 sauf si ce conjoint est aussi de sexe féminin. Les couples monoparentaux ou polyparentaux (dans la limite de sept personnes par couple) seraient également exemptés.
Concernant la défense de la laïcité, le laboratoire d’idées se déclare résolument en faveur d’une discrimination positive des religions. L’idée serait de supprimer les interdictions stigmatisantes du type niqab ou la dénomination péjorative de « sectes » afin d’aboutir à une acceptation globale de toutes les pratiques et revendications philosophico-religieuses à l’exception des pratiques chrétiennes qui seraient interdites sur l’ensemble du territoire français afin de compenser l’avantage que leur donne l’antériorité de leur présence. Il en serait de même au niveau de l’attribution de la citoyenneté qui serait automatiquement accordée à tout ressortissant étranger qui ne prendrait pas de lui-même l’initiative de la refuser tandis que les enfants nés de deux citoyens français devraient faire une demande officielle à l’âge de 18 ans et réussir une épreuve de langue étrangère au choix (arabe ou bambara) ainsi qu’un QCM intitulé « Ouverture des esprits et des frontières ».
Concernant la politique scolaire, le rapport préconise un étalement des heures d’enseignement sur sept jours ouvrables mais concentrés sur le créneau 5h30/8h30, le restant de la journée étant consacré à des activités ludiques ou informatives du type réalisation de colliers de nouilles pour les élus socialistes de la circonscription ou écriture de poèmes à la gloire d’Harlem Désir ou François Hollande. Des ateliers de rééducation sont également suggérés de manière à apprendre aux petites filles à faire pipi debout et aux garçons à se coincer le zizi entre les cuisses de manière à le faire disparaître. Les experts de Tabula Rasa songent également à généraliser de bénignes opérations chirurgicales qui rendraient à terme inutile ce genre d’ateliers. On pourrait par exemple prélever un testicule sur chaque garçon pour le greffer sur sa sœur. Pour les petites filles uniques, des expériences sont à l’étude avec des testicules de bonobos. Quoi qu’il en soit, ce nouveau cadre scolaire respectera mieux les rythmes biologiques de l’enfant et lorsque ses parents pourront venir le chercher – aux alentours de 22h30 – chacun pourra profiter d’une vie de famille plus harmonieuse.
Concernant la politique de santé, le groupe propose d’euthanasier systématiquement les personnes âgées ou les malades incapables de financer les frais de leur prise en charge. Les experts les plus progressistes songent même à euthanasier les chômeurs (de nationalité française seulement), les alcooliques, les fumeurs, les chasseurs, les partisans de la Manif pour tous, les adolescents bruyants et ceux qui jettent des détritus sur la voie publique. La frange la plus audacieuse aurait même émis l’hypothèse d’euthanasier dès la naissance les enfants dont les parents ne seraient pas en mesure de certifier qu’ils auraient clairement exprimé un désir de vivre. Géniteur et parent n’étant pas synonymes, des éducateurs des services de santé pourront dans certaines circonstances (indigence ou tendance politique inacceptable des géniteurs) assumer le rôle de parents et se prononcer sur le désir de vivre de l’enfant.
Mais que c’est beau, cette audace, cette générosité, cette modernité assumées, ce progressisme décomplexé, cet humanisme républicain. On en aurait presque la larme à l’œil… Rien à voir avec les demi-mesures de Terra Nova !
Source Article from http://www.ndf.fr/poing-de-vue/18-12-2013/tabula-rasa-le-...
12:01 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
D’après le magazine :«Il est exact que les immigrés non européens bénéficient plus souvent que les natifs des aides sociales.
Mais cela ne veut pas dire pour autant qu’ils plomberaient les finances publiques.
Cette surreprésentation des immigrés parmi les bénéficiaires des prestations sociales s’explique pour l’essentiel par leurs caractéristiques socio-économiques (faible niveau de qualification, origine sociale modeste, nombre d’enfants plus important, etc. A caractéristiques identiques, la probabilité d’avoir recours aux allocations familiales ou aux aides au logement est strictement la même pour un Français de naissance que pour un immigré.»
10:32 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)