01/04/2011
La maraude vue par Gaël FOUILLEUL canditat FN aux cantonales trésorier de L'ASP
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25/03/2011
La maraude vue par Gilles CLAVEL Secrétaire départemental FN du 93
Changement d’heure ce weekend.
Il était une fois, une maraude organisée dans les premiers soirs du printemps de l’année 2011. Depuis quelques jours, le temps en France est radieux et il fait bon vivre la nuit, dans une température parisienne agréable. Pourtant, il y a des personnes qui attendent ce weekend avec impatience. En effet, sans le savoir, elles attendent la nuit de samedi à dimanche car elles vont vivre un peu mois de souffrance, de tristesse et de déshonneur, tout simplement parce que c’est le seul jour de l’année qui ne contient que 23 heures !
Voici le monde dans lequel nous vivons : Pendant que certains réclament des droits et ne se préoccupent pas de leurs devoirs, d’Autres n’ont plus de droit et ont le devoir de ne pas perturber l’environnement, de déranger les beaux hôtels et les passants, ont le devoir d’aller plus loin encouragés par les forces de l’ordre. Il m’est impossible de parler de tous les personnes que nous avons rencontrées cette nuit là, mais sachez qu’à l’heure où tout le monde se plaint et réclame, d’autres mènent un combat pour la dignité et la survie.
J’ai été très touché par les échanges, parfois sur ton de camaraderie, parfois basés sur un geste ou un regard … Je retiendrai ce petit moment d’espoir et la poignée de main d’un Polonais, après lui avoir dit quelques mots dans sa langue maternelle. Plus loin, du coté d’Alésia, Ulysse, qu’on surnomme « l’italien » est à un feu rouge et essaie de gagner son repas. Il est alerte, dynamique, entrepreneur …. Il avait un bon job et maintenant il n’a même plus un toit sur la tête. Au départ timide, réservé, il se laisse prendre au jeu de la discussion et soudain se rend compte qu’il parlait avec des inconnus …. La langue du cœur venait de nous rassembler comme si on se connaissait depuis longtemps ; ça, s’était ma séquence émotion !
Sur les quais de seine, ces « Robinson CRUSOE » ressemblent à des personnes comme rejetées par la seine sur les bords des berges. Ils n’ont ni la force, ni la lumière dans leurs yeux pour communiquer. Il nous faudra attendre un petit mouvement de tête pour comprendre que ce tee-shirt ou ce pull over les intéressent. Mais qui sommes nous pour nous plaindre !
A Saint-Michel, la tête dans un caddie comme pour se protéger, une femme dort en paix. Rue de Rivoli, il ne reste même plus le moindre souvenir de la célèbre chanson de « Paris brûle-t-il ? »
Impossible de crier « vive la libération » tant la gorge se noue et les yeux s’embuent subitement …. Boulevard HAUSSMANN, une famille fait chambre à part. Les patriarches et leurs chiens sont devant les vitres d’un grand magasin ; de l’autre coté des portes vitrées, il y a des vêtements à profusion, mais ils n’y auront peut-être jamais accès. Plus loin, les « gosses » sont entassés devant une porte cochère qui ne s’ouvre plus. Ils sont comme là, blottis comme au fond d’une impasse. Un petit rayon de soleil vient comme les illuminer à 2h00 du matin : c’est l’ASP qui vient simplement leur rendre visite et nous, comme de grands enfants, nous sommes fiers d’avoir partagé quelques sourires avec eux.
Juste avant de nous quitter, nous nous sommes penchés au chevet d’une femme qui, dans l’indifférence de la nuit, dormait à même le bêton devant la gare Saint-Lazare. Le bêton : voilà encore et encore ce qui sera une des caractéristiques de cette nuit !
C’est le moment pour moi de dire un grand MERCI à l’ASP, à tous ses membres, ainsi qu’à tous les participants aux maraudes, car, ce que j’ai retenu de cette nuit, c’est que pour eux : Pas question de dire : « laisse bêton ! ». Soutenez l’ASP dans tous ses projets et aidez-la ! N’ayons aucun regret de le faire !
Gilles
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Maraude du 24 Mars 2011
09:28 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (0)
23/03/2011
DEFICITS ET ASSURANCE-VIE
L'assurance-vie est victime de l'incertitude fiscale : c'est le titre d'un grand journal. Il aurait pu écrire : l'assurance-vie est victime des déficits publics car l'incertitude fiscale est la fille de ces déficits.
La caractéristique essentielle du système Sarkoziste, comme de tout système socialisant, est de dépenser à tout va et, donc, de creuser en permanence les déficits publics ; de ce fait, dans tous les couloirs des ministères, les énarchos-socialos galopent à la recherche de ressources nouvelles et l'assurance-vie se présente comme une mine à explorer. Leurs prédécesseurs ne se sont pas gênés depuis longtemps pour y puiser puisque le paradis fiscal de ces contrats à été violé sous prétexte des prélèvements sociaux et ceci, dans une complexité impossible à décrire.
HISTORIQUE
Un bref rappel nous remettra en mémoire ce qu'est l'assurance-vie.
Les contrats actuels ont été créés en 1976 grâce au fondateur de l'AFER qui, contre toute attente, s'est attaqué aux assureurs-vie de l'époque, lesquels profitaient grassement de l'argent récolté via les contrats d'assurance ayant trait à la vie humaine. Il a voulu associer les titulaires de contrats aux profits sur ces placements ; comme tout novateur il eut des difficultés jusqu'à l'acceptation d'un essai par une compagnie. Ainsi sont nés les contrats d'assurance-vie que nous connaissons aujourd'hui et qui n'ont rien à voir d'ailleurs avec des assurances sur la vie. Il s'est ajouté ensuite des faveurs fiscales accordées par les pouvoirs publics à ces contrats ce qui leur a procuré un grand succès les faisant devenir une sorte de paradis fiscal pour beaucoup de Français. Toutes les compagnies d'assurances se ruèrent alors sur le nouvel eldorado.
Bien sûr il ne faudrait jamais mélanger des problèmes fiscaux à des problèmes d'investissement mais, avec les gouvernements de la fausse droite et de la vraie gauche que nous connaissons depuis si longtemps, il n'est pas possible d'arriver à une neutralité fiscale de tous les investissements.
L'État y a trouvé son compte car à l'analyse de la répartition des placements des grandes compagnies d'assurance-vie l'on constate qu'il y a souvent une forte majorité de placements d'État.
L'incertitude fiscale dont se plaignent à juste titre les compagnies d'assurances et leurs représentants déferla dès les débuts, comme dans tous les domaines de la vie nationale, avec l'effet de paupérisation auquel conduit inévitablement cette incertitude fiscale, ce que beaucoup d'économistes ne mettent jamais en lumière.
Voici des exemples.
INCERTITUDE FISCALE
Les contrats DSK, créés en 1998, furent des contrats d'assurance-vie investis en actions et en unités de comptes, mis en place pour encourager l'épargne assurance-vie à s'investir en actions françaises. Dans le nuage d'usine à gaz habituel cela gênait les investisseurs par leur complexité et par la restriction des choix. Une autres contrainte survint par de nouveaux contrats NSK, créés par la loi de finances pour 2005, devant comporter au moins 30 % d'actions et 10% de titres à risque.
En 2004, le pouvoir de l'époque avait un MonsieurRenaud Dutreil comme secrétaire d'État aux PME. Par son existence même en tant que secrétaire d'État, il était un obstacle au développement des PME, à leur prospérité et à l’emploi qu’elles génèrent. Il mijota un plan de supposé soutien à ces PME. Il comportait un nouvel impôt qui serait prélevé sur les contrats d’assurance-vie et était annoncé comme devant être « faible » : tout le monde connaît les menaces que ces termes annoncent. Les sommes collectées devaient garnir un fond censé garantir des prêts aux sociétés de capital risque. Nous ne savons pas si le cauchemar a été réalisé mais l'incertitude fiscale se manifestait.
En 2006, c'était Villepin ; pour écorner le déficit perpétuel de la sécu il fallait deux milliards. La libération de l'assurance-maladie, seule façon de gérer tout système d'assurance maladie, ne pouvait pas évidemment être envisagée par les hommes au pouvoir partisans fervents du dirigisme étatique quel qu'en soit le coût pour le peuple français. Villepin avait donc envisagé une gymnastique pour spolier une nouvelle fois les titulaires d'assurance-vie. Les banquiers et les assureurs l'ont fait reculer.
L'incertitude fiscale dont se plaignent aujourd'hui à juste titre les compagnies n'est donc absolument pas nouvelle. L'on se trouve devant un tremblement de terre permanent à la japonaise lequel déclenche des répliques en cascade. Leurs représentants constatent une chute de la collecte qui va passer à 13 % et il y a lieu d'en être inquiet.
L'origine de ce micmac se situe comme indiqué plus haut dans les déficits publics qui obligent le pouvoir, faute de vouloir mettre fin à ces déficits, à chercher de l'argent partout.
UNE BARRIERE DE PAPIER
Simultanément et par une sorte d'aveu implicite, ce pouvoir veut faire inscrire dans la constitution une soi-disant « règle d'or » pour ces déficits. Admirons la pyramide de papiers imaginée : loi constitutionnelle, lois cadres de programmation des finances publiques sur au moins trois ans, loi organique pour définir les lois-cadres. La pyramide n'a pas du tout pour objet de supprimer les déficits mais seulement d'édicter des règles de bonne gestion. L'objectif annoncé se limite à des pourcentages de déficit par rapport au PIB : on imagine toutes les combines possibles avec de tels critères ! Les lecteurs réguliers de ces flashs et bien d'autres savent fort bien ce qu'il faut faire, non pas seulement pour réduire les déficits, mais pour les remplacer par des excédents.
Dans ce désordre il y a de dangereuses perspectives ; les demandes de remboursement des propriétaires de contrats d'assurance-vie doivent et peuvent en marche normale être gérés dans la tranquillité. Si la cadence s'accélérait, cela pourrait contraindre les compagnies à vendre des titres en vue de rembourser et certaines pourraient devoir en conséquence afficher des pertes. Il semble que les autorités jurisprudentielles ont le droit à tout moment de demander le gel des rachats des contrats ce qui serait une atteinte grave aux droits de propriété et une sorte de faillite déguisée.
Évidemment pour les compagnies cette perspective éventuelle est un argument qui s'ajoute à celui de la souscription aux emprunts publics nécessaires à la nourriture du monstre étatique.
Lord Melbourne, Premier ministre de la Reine Victoria disait : « Le premier devoir du gouvernement est d’empêcher le crime et d’assurer l'exécution des contrats. »
Nous en sommes décidément très loin.
Michel de Poncins
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18/03/2011
La maraude vue par Tristan JOSSEAUME adhérent du FN, menbre de L'ASP
RIEN NE CHANGE !
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16/03/2011
LES GESTICULATIONS FISCALES
Depuis des semaines tous les journaux bruissent d'informations diverses autour d'une réforme fiscale sur le patrimoine et les revenus du patrimoine. Va-t-on ou ne va-t-on pas supprimer l'ISF ? Les dernières nouvelles annoncent une modération de cet impôt mais avec la création d'un impôt nouveau : l'IRF. Le tout se passe dans une atmosphère irrespirable d'usine à gaz, comme si des impôts nouveaux pouvaient créer du gaz là où il n'existe pas.
Personne ne peut imaginer l'intensité de la ruine imposée à tous les entreprenants du pays par ces inondations de lois auxquelles s'ajoutent les variations permanentes dans la loi et les annonces de ces variations ; chacun est alors obligé de s'adapter à des éventualités dont personne ne sait si elles arriveront. L'inondation de lois est comme une marée noire où la vitalité du pays vient s'engluer.
La seule question qui vaudrait la peine d'être annoncée c'est-à-dire la réduction massive des dépenses publiques est un sujet tabou dont personne ne parle, sauf pour l'évoquer en vitesse, les prédateurs publics se contentant d'en rire sous cape.
Toute cette agitation autour de la fiscalité du patrimoine se résume à des gesticulations politiques et n'empêche pas de voir filtrer dans les mêmes journaux par divers échos le crime silencieux des impôts locaux en folie.
LA TAXE PROFESSIONNELLE
C'est l'occasion de rappeler une autre gesticulation, à savoir la suppression inattendue et par une sorte de coup d'état fiscal de la taxe professionnelle. Un beau jour en 2009 notre bien-aimé leader sans avoir prévenu personne a brusquement annoncé la disparition de cette taxe en 2010. Le budget de cet exercice comporte à cet égard 235 pages avec 1257 alinéas !
L'enfer fiscal français, alimenté largement au feu de l'imagination débordante de Bercy, est toujours pavé de bonnes intentions. Apparemment, en effet, la suppression de la taxe professionnelle serait justifiée puisqu'elle frappait principalement les investissements, sources de richesse future, et qu'à ce titre elle pourrait sauver les entreprises et freiner les délocalisations.
Cette considération est mensongère, car cette taxe n'est pas la seule à nuire aux entreprises et tous les impôts sont mauvais. Ceux qui remplacent la taxe sont meurtriers comme d'autres, soit directement quand les entreprises les paient, sont indirectement quand ce sont leurs clients ou leur personnel qui les supportent.
Dès l'annonce de l'événement, les courtisans se sont activés de multiples manières. Les uns, pour ne pas être en retard dans la flagornerie, ont salué le prétendu génie de la mesure. Les autres ont dû dans la hâte actionner leurs méninges pour imaginer comment remplacer cet impôt qui finançait 50 % des budgets des collectivités locales. L'évènement est intervenu au moment où l'on s'occupait du millefeuille des ces collectivités. L'embrouillamini introduit par la perspective du changement dans les collectivités s'est donc entremêlé avec celui qui provenait de la suppression de la taxe professionnelle.
Les phrases idiotes ont fleuri : nous savons que, s'il détruit les industries, le dirigisme est expert dans la fabrication de telles phrases ; un énarque a dit : « la suppression de la taxe professionnelle assure l'avenir de la France » (sic et resic). Un politique a renchérit : « Cette mesure sera un accélérateur de la sortie de crise ». !
LES COLLECTIVITES LOCALES
Des promesses mensongères ont été tout aussitôt lancées dans le public : les ressources perdues par les collectivités locales seraient retrouvées à l'équivalent par la création de nouvelles taxes ou par des transferts étatiques. C'est une promesse structurellement mensongère car, dans les usines à gaz incroyables du système fiscal français, personne ne sait jamais où va exactement l'argent et d'où il vient, ceci malgré tous les jeux d'ordinateurs possibles.
Depuis lors l'imagination fiscale s'est développée comme prévu en majesté et une kyrielle d'impôts nouveau a été créée. La tête de pont est la contribution économique territoriale (CET). Elle comprend la cotisation foncière des entreprises (CFE), qui reprend une grande partie des dispositions qui étaient applicables jusqu'à maintenant à la taxe professionnelle, et la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) qui remplace la cotisation minimale de taxe professionnelle. Chacune de ces cotisations est soumise à des règles différentes !
La somme de ces deux cotisations correspond au montant global de la contribution économique territoriale à payer par l'entreprise, qui peut faire ensuite l'objet d'une réduction au titre du plafonnement de la valeur ajoutée et de la réduction temporaire pour accroissement de taxe pour les entreprises qui existaient déjà avant 2010.
Les usines à gaz prolifèrent décidément comme du chiendent et elles influent nécessairement sur les délocalisations d'entreprises.
Avec la disparition de la taxe professionnelle se profilait d'une façon dramatique l'équilibre des finances des collectivités locales.
SUPPRESSION DES DEPENSES
Si les acteurs au sommet avaient supprimé des dépenses étatiques avec en premier lieu les dépenses les concernant personnellement ils auraient pu conseiller fortement dans cette occurrence aux dirigeants des collectivités locales de faire de même. Supprimer les dépenses c'eût été d'abord supprimer les montants extravagants qui profitent à ces élus et aux dirigeants de ces collectivités ; il aurait aussi fallu tailler dans le vif de leurs activités soit inutiles soit faisant double ou triple emploi avec d'autres. Le sinistre méfait aurait pu ainsi se transformer en bienfait. L'exemple nécessaire ne venant pas du sommet, les collectivités locales ont été tout simplement conduites à trouver d'autres ressources sans ralentir en rien leurs dépenses à la grande joie des élus et de leurs bureaucratie.
Rappelons, que ces collectivités locales, dont l'importance s'est considérablement accrue suite aux deux décentralisations, sont largement à l'origine de la paupérisation de la France.
Un point important est à signaler avant de conclure ce point n'étant jamais mis en lumière. Il est parfaitement vain de parler de simple réduction des dépenses publiques et de simple réduction de la fiscalité. Ces objectifs sont parfaitement impossibles à atteindre dans l'état d'esprit des politiques au sommet et cela s'inscrit dans les échecs successifs des projets de réforme de l'État. A supposer qu'après des palabres interminables et des délais insupportables il puisse y avoir un résultat celui-ci serait minime. En outre si l'on parle, dans les deux cas, de simple réduction, on laisse en place la souche dont les rejets vénéneux repousseront très vite.
UNE FEUILLE DE ROUTE
Un pouvoir « Libérateur » finira bien par arriver un jour sous les décombres du désastre français. La feuille de route comporterait une direction impérative : suppression immédiate et complète de certains impôts particulièrement meurtriers et de beaucoup de dépenses notablement idiotes. Les dépenses supprimées devront dépasser le montant des impôts supprimés afin de conduire, avec d'autres éléments, à une régression de la dette.
La suppression totale des impôts signifie la disparition des déclarations, des réglementations, des bureaux, du personnel nécessaire et des contentieux. Celle des dépenses conduit aussi à la disparition de l'appareil d'État correspondant, avec en plus celle de l'effet négatif propre à une foule de dépenses inutiles.
Le public, à tous les niveaux de la société, ne pourra qu'applaudir dès lors qu'il retrouvera très vite, grâce aux impôts supprimés et dans son niveau de vie, de l'argent dont il avait perdu le souvenir.
Michel de Poncins
02:39 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
14/03/2011
Magistrats : oubliez votre « ego » et descendez de votre piédestal.
Votre devoir est de défendre la veuve et l’orphelin, donc l’innocent et non pas le coupable.
Lorsqu’un criminel est condamné par un jury populaire de cour d’assises à 20 ans de prison ce n’est pas pour que vous le fassiez libérer à la moitié de sa peine ou alors faites-le en engageant votre pleine responsabilité et en vous rendant complice de ses prochaines exactions et en supportant toutes les conséquences de votre décision.
Vous vous considérez comme le troisième pouvoir mais ne perdez jamais de vue que le premier pouvoir c’est le peuple qui le détient (théoriquement et jusqu’au jour où il le reprendra…). Vous vous prenez pour une caste supérieure mais vous n’êtes pas des « intouchables ». Vous êtes au service de la société, des Français, et non à celui des assassins, violeurs, marchands de drogue, braqueurs et j’en passe ;
Il est trop facile pour vous de rejeter vos disfonctionnements sur le manque moyens alors que vous savez pertinemment que c’est faux : est-ce le manque de moyen qui rend à la liberté les délinquants du Tribunal de Bobigny au mépris de toute justice ? Est-ce le manque de moyen qui vous autorise à rendre la liberté à un malfrat, un marchand de morts (drogue) en recherchant la moindre erreur de procédure alors que vous le savez coupable ? Vous outrepassez vos devoirs et vous vous mettez ainsi au service des criminels.
- Libéré par le Tribunal d’Aix-en-Provence pour avoir « oublié » de renouveler dans les délais… Lucien Boursier incarcéré pour actes de tortures et de barbarie et complicité d’assassinat.
- Remise en liberté par la cour d’Appel d’Aix-en-Provence et sans contrôle judiciaire des quatre auteurs de l’enlèvement crapuleux du PDG de Sud-Est Assainissement pour simple erreur de procédure.
- X…Accusé de viols, enlèvement, séquestration et déjà condamné pour des faits de même nature et remis en liberté parce que le greffier a écrit « infirmé » au lieu de « confirmer ».
- X…Condamné à 20 ans pour avoir enlevé et tué deux femmes Jacques Maire est remis en liberté parce qu’une greffière a « omis » de signer le procès-verbal.
- X…Mis en examen pour 5 viols il est remis en liberté pour ne pas avoir été présenté au juge dans le délai de 20 heures.
Je m’arrête là car la colère me monte à la gorge mais vous pouvez consulter sur GOOGLE la très longue liste des « libérés pour erreur de procédure » vous en avez pour plusieurs jours.
Etes-vous convaincu véritablement d’avoir dans ces centaines de cas défendu la veuve et l’orphelin, donc l’innocent ?
Votre premier devoir en tant que citoyen est de mettre hors état de nuire tous les criminels, violeurs et délinquants de toutes sortes. Etes-vous certains de ne pas avoir de comptes à rendre à la société ?
Vous savez pertinemment, car vous n’êtes pas tous bornés ou de gauche, que même davantage de moyens n’empêcheront pas un violeur de récidiver il faut donc l’éloigner impérativement de la société soit chimiquement soit physiquement et puisque la peine de mort a été abolie…au mépris de l’opinion du peuple français, il reste l’éloignement définitif, la relégation. Le bagne de Cayenne n’existe plus depuis 1946. Il était (peut-être) inhumain mais il nous préservait du retour du « mal ».
Peut être serait-il temps d’en ouvrir un nouveau, plus humain sans doute afin de ne pas choquer les « biens pensants » de tous bords où seront relégués tous les criminels de sang condamnés par une cour d’assises et les récidivistes violeurs et autres…nous seront au moins assurés qu’ils ne reviendront pas tuer nos enfants.
Contrairement à ce que vous préconisez haut et fort et qui est totalement illusoire l’objectif principal d’un emprisonnement n’est pas la réhabilitation mais la punition pour un acte commis contre la société.
Manuel GOMEZ
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11/03/2011
La Maraude vue par Aurélia BEIGNEUX, Secrétaire FN (10 arrondissement) de Paris
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Maraude du 10 Mars 2011
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04/03/2011
Impressions de maraude par Lionel Stiefel Secrétaire départemental FN de l'Orne
Je tiens à remercier le Pasteur BLANCHARD d'avoir pensé à nous pour l'accompagner lors de la maraude du 24 février dernier.
Nous avons pu voir de plus près cette misère insupportable dans laquelle vivent nos concitoyens dans les rues de la capitale et dans l'indifférence complète.
Le Président Sarkozy avait pourtant promis, durant la campagne présidentielle, qu'il n'y aurait plus de gens dans la rue, une fois élu !
Nous pouvons nous apercevoir que cela est très loin de la réalité.
J'ai pu en parler autour de moi et faire prendre conscience de cette misère inadmissible (photos à l'appui) que l'on se garde bien de montrer dans les journaux ou à la télévision.
Encore bravo pour le courage du Pasteur BLANCHARD et de sa femme pour cette action, qui mérite beaucoup de respect et d'admiration.
Lionel STIEFEL
Secrétaire Départemental Front National de l'Orne
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