09/11/2011
LE TROU DE LA SECU OU LA RUINE PROGRAMMEE.
Comme un rituel, le fameux trou de la sécu
revient chaque année à la fin de l'été.
Ces jours-ci, il apparaît que le fameux déficit devrait être ramené
à 13,9 milliards d'euros en 2012,
contre 18,2 milliards en 2011
et 23,9 milliards en 2010.
Le pouvoir a l'audace de crier victoire pour 2012
alors que ce sont de simples promesses et que,
même en cas de réalisation, il s'agira toujours de déficit.
La dérive financière est permanente et croissante :
en 2002 le déficit était de 3,50 milliards d'euros.
La Cour des Comptes, théoriquement chargée de surveiller,
a écrit publiquement naguère qu'elle ne pouvait rien contrôler
car il n'y avait pas de gestion.
Les remèdes imaginés dans le nouveau plan
sont de même nature que dans les plans précédents.
On tape au hasard sur les laboratoires,
sur les patients avec de moindres remboursements,
sur les indemnités d'arrêts de travail ;
les complémentaires santés sont appelées au secours.
La course éperdue se reproduit chaque année
vers un équilibre qui, par nature, n'existera jamais.
Cela ressemble au travail du sapeur Camembert
qui comblait un trou avec de la terre enlevée ailleurs !
Pour ceux qui ont la mémoire courte,
il faut rappeler qu'en 1996,
la dette était telle que le pouvoir de l'époque imagina
de la cacher sous le tapis
en créant à cette fin une bureaucratie nouvelle la CADES.
Elle devait amortir cent trente quatre milliards jusqu'en 2025
et deux impôts furent inventés dans ce but :
la CSG et la CRDS.
Comme ces impôts ne suffisent pas,
cette CADES emprunte sur le marché international
pour combler davantage.
L'ORIGINE
HISTORIQUE
Un rappel historique est nécessaire
si l'on veut bien comprendre
les raisons profondes de cette situation.
C'est un gouvernement quasi communiste
qui en 1946 créa la sécurité sociale,
alors que personne n'en avait besoin :
les risques qu'elle prétendait couvrir étaient,
en effet, avant la dernière guerre
très bien assurés par des circuits privés.
Le projet de nationaliser ces risques rentrait, en fait,
dans l'objectif fondamental de communiser la France.
En 1960 et pour mieux ramasser les sous, les URSSAF furent créés.
Indépendamment du sigle, en lui-même significatif (!),
ces organisations n'avaient pas d'existence légale
et n'en n'ont toujours pas à notre connaissance,
ceci à l'image du parti communiste lui-même.
Dans les gènes de l'organisation et dès le début,
le déficit probable était inscrit.
En effet, c'était et c'est toujours comme un gigantesque baquet
où l'argent arrive de toutes parts et sans beaucoup d'efforts ;
il en sort au hasard de l'humeur
des politiciens et syndicalistes momentanément aux affaires,
c'est-à-dire sans une véritable gestion.
C'est pour cela qu'il est tout à fait faux d'utiliser des expressions comme :
"assurance-maladie".
Une véritable assurance implique une série de contrats :
choix des clients, mesure du risque,
primes, indemnité en cas de sinistre, etc.
Rien de tel avec la sécu.
La preuve chiffrée de la ruine apparaît
dans les tarifs des assurances maladie sur le marché international ;
les Français qui peuvent en bénéficier
pour des raisons diverses paient moins d'un tiers
de ce qu'ils devraient verser à la sécu
pour la prétendue assurance maladie dont ils sont arrivés à s'affranchir.
Il est vrai que la sécu, pour sa défense,
pourrait faire valoir les charges d'assistance
qu'elle supporte d'une façon tout à fait abusive
en faveur d'un grand nombre d'étrangers (CMU et AME) :
même avec cette correction, la différence reste flagrante.
La télévision France 3, pourtant soumise comme d’autres à la P.U.T.
ou Pensée Unique Totalitaire, a dit un jour :
"La Sécu avait dès son départ le déficit inscrit dans ses gênes".
LA PAUPERISATION
INEVITABLE
Ainsi décrite cette administration imposée au peuple français
joue un rôle majeur dans la paupérisation de ce même peuple français.
Par ses dimensions titanesques après des extensions successives,
elle absorbe une large part de l'activité nationale ;
le monstre, quels que soient les changements de statut depuis sa création,
reste étroitement soumis à la dictature de syndicats
dont la légitimité est plus que douteuse et qui en tirent profit.
L'effet de ruine survient inévitablement par plusieurs canaux.
D'abord, les charges sociales sont meurtrières ;
ajoutées aux impôts, elles expliquent largement
la destruction permanente du tissu industriel
avec le chômage en conséquence.
Ensuite vient le caractère obligatoire du système
avec la tornade permanente des lois et règlements :
des contrats libres sont toujours créateurs de richesse,
car ils mettent en jeu la responsabilité personnelle.
A signaler l’asservissement progressif
de la médecine au monstre étatique ;
le système comporte direction des prix,
suppression des choix individuels,
mise au pas des médecins et de l’industrie pharmaceutique,
dictature des syndicats.
Il faut ajouter la stérilisation d’immenses capitaux.
De tous temps les hommes épargnaient pour le jour
où la maladie interviendrait et ces épargnes
contribuaient à la richesse générale.
Quand la sécu fut rendue obligatoire,
elle obligea tout le monde à cotiser dans son immense gouffre,
ce qui fit disparaître l’épargne correspondante
et la richesse future qu’elle devait générer,
avec notamment le jeu fabuleux des intérêts composés.
Quelle est aujourd’hui la richesse manquante
et quels sont les gigantesques capitaux qui ne sont pas nés ?
Difficile à calculer.
La quasi interdiction de la retraite par capitalisation a, aussi,
privé l'économie de montants appréciable de capitaux
que la capitalisation aurait mis en œuvre.
POUR LA LIBERATION
La feuille de route qu'emprunterait
un pouvoir "Libérateur" pour sortir du piège peut être définie.
Il y aurait la libération de l'assurance-maladie
avec la possibilité de s'assurer sur le marché international :
cela devrait être relativement facile
puisque des directives européennes sont claires à ce sujet.
Un éditorial de la revue d’information
de la mutuelle du ministère de l’Intérieur a écrit :
"L’application des directives européennes
qui tend à faire jouer la libre concurrence va nous obliger,
un jour ou l’autre, à briser le monopole de notre sécurité sociale".
Sur le plan de la retraite
il ouvrirait une large place à la retraite par capitalisation.
Le problème des hôpitaux publics
qui sont une source de perte est connu et devrait être géré.
Également, il faudrait porter remède à l'assistance médicale
très générale sous diverses formes en faveur d'étrangers
qui seraient mieux soignés en restant chez eux.
Mais il faudrait encore que ce pouvoir libérateur
ait l'intelligence et la volonté de s'attaquer
à certaines vaches sacrées et ce n'est pas gagné d'avance.
Michel de Poncins
07:47 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
07/11/2011
LE DEVENIR DE LA FRANCE.
C’est de l’étranger que parviennent les quelques vérités
qui sont dissimulées aux Français par un consensus
entre gouvernants, politiciens de tous les partis et médias.
Ainsi l’une des principales chaînes de télévision américaine nous informe
que la France a été reconnue cette année aux USA comme :
«Le pays où il fait le meilleur vivre grâce à ses avantages sociaux».
Exagèrent-ils quand ils prédisent que notre pays connaîtra d’ici 2025
une implosion sociale sans précédent à cause de sa générosité ?
Générosité pour qui ?
La France a accueilli et naturalisé sans projection
une immigration maghrébine et africaine
qu’elle a du mal à intégrer
culturellement
(beaucoup de ses membres ne se sentent pas français)
et économiquement
(déficits publics et sociaux exponentiels).
Le problème est si grave
qu’il est politiquement tabou ;
toute allusion entraînant la suspicion de racisme.
Plus grave, aucun recensement officiel clair n’est disponible.
Seuls les statistiques indirects ↔
permettent de dénombrer une population d'origine étrangère
d’environ douze millions de personnes ;
la plupart venant du Maghreb et d'Afrique subsaharienne.
A cause de cette même générosité,
de nombreux avantages sociaux
et de leurs traditions culturelles
ces "minorités" naturalisées mais souvent non intégrées
sont extrêmement dynamiques démographiquement
(regroupement familial et familles nombreuses).
Leur nombre devrait doubler en quinze années,
même, selon les études démographiques opaques
de l’Institut National de la Statistique "de France",
soit vingt-cinq millions d'individus en 2025,
1/3 de la population française.
Aucune politique d’aide au retour n’étant envisageable,
l’on peut se poser la question :
que deviendra la France ?
La réponse est évidente n’est-ce pas ?
Une chose est certaine,
Martine Aubry qui s’ennuie tellement
entre «français d’une seule origine»
va pouvoir se distraire pendant des années
dans la "Nouvelle France" qui se prépare !!
Manuel GOMEZ
06:41 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (4)
05/11/2011
QU'EST-CE QU'UNE MARAUDE ?
Lors d'une rencontre avec Jean-Marie Le Pen, le fin linguiste qu'il est m'interrogea sur la définition du mot maraude. Il en gardait un souvenir péjoratif, lié au maraudeur : ce personnage toujours prêt à commettre des mauvais coups. Il convint qu'avec le temps les mots changent de sens.
Je lui fis part que ce fut lors de la création du SAMU social que son fondateur Xavier Emmanuelli lança l'idée de maraude. Le principe en était simple : sillonner les rues de Paris, à la rencontre des SDF, pour leur amener soupe, café, nourriture sèche, couvertures, duvets, vêtements, sous-vêtements, chaussettes, chaussures etc.
C’est ce que nous faisons aussi à l'ASP : nous tournons du sud au nord de la Capitale jusqu’à 2h du matin ; mais le plus important pour nous, au-delà de l'aide matérielle, c’est l'écoute et le soutien moral de ceux que la vie a laissé sur le bord de la route.
Pasteur Blanchard
15:34 Publié dans Présentation de l'Action Sociale et Populaire | Lien permanent | Commentaires (0)
04/11/2011
IMPRESSION DE PREMIERE MARAUDE...
Par Stéphane
militant de l'ASP et du FN.
Mardi 25 octobre : après avoir fait quelques courses pour l'ASP,
je vais enfin voir de près à quoi ressemble une maraude.
Embarqués dans le vieux break chargé à ras bord de sacs,
nous avons rendez-vous vers 21h avec le professeur Sulzer porte d'Italie.
Un professeur de faculté et un employé de ménage, l'équipe est diversifiée.
Notre circuit se feras surtout rive gauche :
Alésia, Denfert, Italie, Austerlitz...
Le temps restera clément toute la nuit.
Jusqu'à 23h30, les sans-abri sont encore éveillés ;
beaucoup connaissent déjà le Pasteur Blanchard
et se doutaient que l'on allait passer par là ce soir.
Pendant que le pasteur leur remonte le moral,
je cherche des vêtements à leur taille.
le professeur offre soupe et café, ainsi que des boîte de sardines,
même s'ils en sont un peu lassés.
Devant l'église St Pierre de Montrouge, nous retrouvons Ulysse,
qui fait la manche toute la journée et une partie de la nuit.
Il s'y connaît un peu en économie et a de quoi causer avec le professeur.
Plus loin un groupe de cinq-six personnes, dont une femme,
occupent le terre-plein d'un carrefour ; ils nous attendaient, je pense.
Là, il y a Yves qui me parle de l'étoile du berger, Vénus, qui le protège.
Je suppose qu'il faut croire en son étoile pour tenir le coup.
Je remarque beaucoup d'immigrés de l'Est
et finalement on n'aura rencontré que deux Maghrébins,
dont un plutôt imbibé qui nous a baragouiné quelques vindictes...
Mais on n'est pas là pour que ça dégénère.
Il y a aussi pas mal de Français, et qui ne nous connaissent pas forcément,
ce qui rappelle que de plus en plus de monde est exposé,
et pas seulement les gens de l'est venus ici
espérant l'Eldorado avec un travail au noir.
Vers minuit, rue de Rivoli,
les sans-abri dorment cachés sous des couvertures
dans l'encoignure des portes des magasins de luxe.
Il s'agit alors de leur déposer des vêtements sans chercher à les réveiller.
Vers 1h, le coffre du break est vide :
retour à Athis-Mons.
Stéphane
07:33 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (0)
02/11/2011
LA REPENTANCE (1).
«En un siècle,
à force de bras, les colons ont, d’un marécage infernal,
mitonné un paradis lumineux.
Seul, l’amour pouvait oser pareil défi…
Quarante ans est un temps honnête, ce nous semble,
pour reconnaître que ces foutus colons ont plus chéri cette terre
que nous, qui sommes ses enfants»
(Boualem Sansal – 2002)
Au fil des générations,
nos hommes politiques et les médias qui les soutiennent,
n’ont eu de cesse de cultiver le mythe de la culpabilité nationale :
colonisation… repentance… soumission… ignorant,
comme le disait Charles Péguy,
«qu’il y a des contritions plus sales que les péchés».
C’est pourquoi, le "remords" aidant, ils s’interdisent
(et nos magistrats avec eux)
toute action systématique de reconduite à la frontière
qui pourrait être interprétée par le lobby pro-immigrationniste
comme un acte raciste…
Et de cette façon, la misère s’ajoute à la misère…
Et déjà dans ce pays, la démocratie ipso facto
repose sur la cosmopolite reconnaissance
du peuple français à disparaître inéluctablement.
Ainsi, inexorablement, toutes les traditions historiques
qui ont fait la grandeur de la France sont en train de se dissoudre
dans un pluralisme qui admet tout et comprend tout
et qui n’est que trop voisin de la lâcheté pure et simple.
Elle agit, cette France-là, comme si elle n’était plus intéressée
à maintenir sa position dans le monde.
Elle s’accuse elle-même
et se déclare honteuse de son passé guerrier, impérialiste et colonialiste,
oubliant toutefois que le passé des autres nations
n’est ni plus paisible, ni plus vertueux…
Dénigrer l’histoire de son pays, de son passé, sa grandeur
et le sacrifice de ses aînés est un acte criminel.
Nous n’avons pas à tronquer notre histoire pour faire plaisir
à telle minorité, telle association au «cœur sur la main» ou tel parti politique.
«Dans cette rumination morose, les nations européennes oublient
qu’elles, et elles seules, ont fait l’effort de surmonter leur barbarie
pour la penser et s’en affranchir» écrivait Pascal Bruckner.
Que ceux qui s’adonnent à ce type d’autoflagellation jouissive
n’oublient pas cette mise en garde de Henri de Montherlant :
«Qui a ouvert l’égout périra par l’égout.».
Ce dénigrement perpétuel de la France et de son passé colonial
par nos "bien pensants", martyrocrates de profession,
faussaires de l’antiracisme,
est le pire danger auquel elle est confrontée.
L’historien Max Gallo, dans son essai «Fier d’être Français», déclare :
«il faut bien que quelqu’un monte sur le ring et dise :
“je suis fier d’être français”.
Qu’il réponde à ceux qui condamnent la France
pour ce qu’elle fut, ce qu’elle est, ce qu’elle sera :
une criminelle devenue vieillerie décadente.
[…] Ils exigent que la France reconnaisse qu'elle les opprime,
qu'elle les torture, qu'elle les massacre.
Seule coupable !
Pas de héros dans ce pays !
Renversons les statues, déchirons les légendes.
Célébrons Trafalgar et Waterloo et renions Austerlitz !
Ils veulent que la France s’agenouille, baisse la tête, avoue, fasse repentance,
reconnaisse ses crimes et, tondue, en robe de bure,
se laisse couvrir d’insultes, de crachats,
heureuse qu’on ne la “nique” qu’en chanson
et qu’on ne la brûle que symboliquement chaque nuit !
Il est temps de redresser la tête, de hausser la voix,
de monter sur le ring… et de boxer à la française !»
Et Malika Sorel, française d’origine algérienne, de renchérir :
«au Maghreb, les gens sont consternés par ce qui se passe en France.
Pour eux, la situation est liée à cette "repentance"
et la responsabilité en incombe aux adultes français
qui passent leur temps à se prosterner et être à genoux...»
José CASTANO
09:00 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
LA REPENTANCE (2).
Repentance !
C’est un mot que les Français commencent à connaître tant ils l’entendent !
Celui-ci désigne la manifestation publique du sentiment personnel
qu’est le repentir pour une faute que l’on affirme avoir commise
et dont on demande le pardon.
Pardon !
Mais quelle faute a bien pu commettre la France
pour demander pardon ?
Et à qui ?
Pardon d’avoir un passé colonial ?
Mais, Messieurs les détracteurs, le colonialisme que vous décriez,
n’est rien d’autre que ce phénomène
qui a poussé l’Occident à partager l’essentiel de son avance technique
avec le reste du monde qui ne l’avait même pas entrevue.
L’entreprise s’est accompagnée de souffrances, certes,
mais il n’est pas d’aventure humaine
qui ne s’accompagne de ce douloureux cortège…
Il est le prix de sueur et de sang qu’il faut payer, mais le bilan est positif.
J’en appelle à tous ceux qui ont atterri dans une colonie
soumise à la loi et aux méthodes de l’Occident.
Le changement de tableau est subit.
Des récifs, elle a fait des ports ;
de la poussière et des marais, elle a édifié des villes ;
dans cet air embrasé, elle a fait pousser des feuillages et des jardins.
Quand un contraste crie, il faut l’entendre,
et ce serait être apocryphe en nature humaine, en morale pure,
que de ne pas comprendre la puissance occidentale.
Voyez donc, en exemple, ce qu’est devenue l’Algérie
en un siècle seulement de colonisation...
les terres arables et fertiles ont été gagnées sur le désert
et sur les marais au prix de tant de tombes qui jalonnent l’Afrique du Nord
que le terme même de "colonisation" est aujourd’hui dépassé.
Comment oublier que ce sont les premiers Européens
(les pères de ces enfants qui ont été chassés)
qui ont asséché les marais, ensemencé les maquis,
transformé les douars, les casbahs,
les repaires de pirates en paisibles villages,
en cités prospères, en ports dignes de ce nom,
bâti les écoles, les universités et les hôpitaux,
tracé les routes et édifié les ponts,
chassé la maladie, la famine,
fait jaillir des pierres la vigne généreuse et les orangers ?
Comment oublier que c’est la France, et elle seule,
qui a fait gicler du sable du désert le pétrole et le gaz ?
Et c’est pour toutes ces réalisations qu’il faudrait demander pardon ?
A cela, qu’ont opposé les révolutionnaires ?...
La révolte, le terrorisme, l’abomination et pour finir,
la dilapidation de l’héritage "colonial".
Les autochtones jouissaient-ils de toutes ces réalisations ?
Les avaient-ils réalisées ? La France les en avait-t-elle privées ?
La réponse est non !
Et ce qu’ils n’ont pas su faire eux-mêmes en tant de siècles,
voici qu’ils se l’approprient aujourd’hui
et qu’ils accusent la France de n’avoir rien fait pour eux en 132 ans…
Dès lors, les voix des apparatchiks du FLN, au pouvoir depuis 1962,
conscients de leur responsabilité dans la misère qui frappe le peuple,
n’ont de cesse de façonner les esprits
en utilisant invariablement ce même refrain, vieux d’un demi siècle,
qui répète sans cesse que les Français sont des ravisseurs et des bourreaux,
qu’ils ont dévasté par le fer et par le feu la patrie algérienne
en pillant ses richesses et exigent aujourd’hui réparation et repentance.
Pour preuve :
en novembre 2009, à l’occasion du 55ème anniversaire
du début des attentats terroristes du FLN (novembre 1954),
le secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem
qui est également ministre d'Etat
et représentant personnel du président Bouteflika,
n’a pas manqué d'exiger de la France
«des excuses et des réparations pour les crimes barbares et génocidaires
commis durant 132 ans par le colonialisme en Algérie...
[...] la période de destruction coloniale fut la plus difficile
et la plus horrible jamais vécue par notre peuple.
L'Algérie ne cessera pas d'exiger la reconnaissance par la France
de ses crimes coloniaux à l'endroit du peuple algérien»…
déclaration en parfaite contradiction avec celle d’Aït Ahmed,
leader historique du FLN, actuellement réfugié en Suisse :
«du temps de la France, l’Algérie c’était le paradis !»
José CASTANO
08:00 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (1)
LA REPENTANCE (3).
En effet, un quart des recettes en hydrocarbures de l’Algérie,
découverts et abandonnés par la France dans un Sahara
qui n’était même pas algérien, permet aujourd’hui à ce pays
d’importer ses produits alimentairesissus notamment de l’agriculture…
alors qu’elle les exportait du temps de la "colonisation".
Dans les livres d’histoire, écoliers et étudiants
retiennent de l’armée française, qu’elle ne s’est strictement et uniquement
livrée qu’à des exactions envers la population civile algérienne.
C’est proprement odieux !
A l’inverse, rien n’apparaît sur les bienfaits de la Pacification
et sur le bien-être que cette armée-là a apporté à l’homme du Bled.
Sur les réalisations précitées, rien n’est mentionné.
L’Histoire de l’Algérie rapportée par les livres
est une Histoire tronquée, falsifiée, vide de toute vérité vraie
et injurieuse vis-à-vis de ces milliers d’hommes et de femmes,
Européens et Musulmans, qui ont œuvré de concert
pour sortir ce pays du cadre moyenâgeux qui était le sien en 1830.
Et il se trouve des Français pour soutenir les thèses diffamatoires du FLN !...
des nigauds de naissance, champions des "droits de l’homme",
de "l’antiracisme" et de "l’antifrance"
qui demandent à grands cris la "révision des livres d’histoire".
«Rien n’est plus dangereux au monde que la véritable ignorance
et la stupidité consciencieuse» a écrit Martin Luther King…
Dès lors, que peuvent bien retenir les jeunes enfants dès leur scolarité ?
Une histoire de France faite d’intolérance, d’inégalités,
de compassion excessive, de récriminations et d’accusations
qui ne manqueront pas de marquer à jamais leur esprit
et d’entacher durablement l’image qu’ils se feront désormais de leur pays.
«Vous tenez en vos mains, l’intelligence et l’âme des enfants.
Vous êtes responsables de la Patrie. Les enfants qui vous sont confiés…
ils sont Français et ils doivent connaître la France,
sa géographie, son histoire :
son corps et son âme», déclarait Jean Jaurès…
Ce que dénia Jacques Chirac en interdisant les cérémonies
en mémoire de l’Empereur Napoléon Bonaparte
au nom du complexe des conquêtes des siècles passés…
Quant aux immigrés, comment les encourager à s’intégrer
à une nation qui n’a de cesse de culpabiliser et de se mépriser elle-même ?
Dans le journal «Le Monde » du 21 janvier 1992,
Michel Serres suppliait les journalistes :
«si vous pouviez… de temps en temps dire un peu de bien de la France !»
Et en 1947, déjà, Raymond Aron déclarait :
«la vanité française consiste à se reprocher toutes les fautes
sauf la faute décisive : la paresse de la pensée».
Alors, afin d’éviter toutes critiques par trop virulentes
et se prémunir de tout procès d’intention
de la part des pseudos associations antiracistes
qui n’ont de cesse d’en appeler,
d’une part, aux grandes traditions de générosité
et d’ouverture du peuple français
et, d’autre part, de prêcher pour une société pluriculturelle,
nos gouvernants, depuis un demi-siècle,
engoncés dans leurs scrupules congénitaux,
sont demeurés amorphes et frileux face aux décisions
qui devaient être prises et à la fermeté qui s’imposait…
«Je vous laisse deviner ce qui se passe lorsqu’un peuple estime
que ses élites ne le représentent plus,
ne défendent plus son identité,
ne défendent plus ce qu’il est,
eh bien l’étape suivante, c’est que le peuple reprend son destin en main»
a lancé, en guise d’avertissement, Malika Sorel.
Quant aux adeptes de la "repentance" et de l’anticolonialisme,
ils devraient s’inspirer de cette cinglante leçon d’histoire
que nous donne Walter Williams, Africain-Américain
et professeur d’économie à l’université George Mason
de Virginie (Etats-Unis) :
«peut-être que votre professeur d’économie vous a enseigné
que la pauvreté du Tiers-Monde est l’héritage de la colonisation.
Quel non-sens ! Le Canada a été une colonie,
comme l’Australie, la Nouvelle-Zélande ou Hong-Kong.
En fait le pays le plus riche du monde, les Etats-Unis,
fut jadis une colonie.
Par contraste, l’Ethiopie, le Liberia, le Tibet, le Sikkim, le Népal et le Bhoutan
ne furent jamais colonisés
et pourtant ils abritent les populations les plus pauvres du monde…»
Mortifiant sujet de réflexion…
José CASTANO
«Je n'ai jamais entendu un musulman présenter ses excuses
pour avoir occupé l'Espagne pendant huit siècles»
José-Maria Aznar,
ancien chef du gouvernement espagnol
Journal "Jeune Afrique" du 1er octobre 2006)
07:00 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (1)
26/10/2011
MARAUDE DU 25 OCTOBRE 2011.
Cliquer ICI
10:21 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (0)
24/10/2011
COMMENT L'ETAT DETRUIT LE LOGEMENT.
Les offensives du gouvernement contre le logement
ne s'arrêtent jamais.
Voici quelques-unes parmi les plus récentes.
Dans la liste des nouveaux impôts
se trouve un projet de taxation accrue des plus-values réalisées
à l'occasion de la vente de résidences secondaires.
Il est tout à fait normal de faire une plus-value
lorsque l'on vend une habitation quelle qu'elle soit
et il est immoral que les politiciens taxent ces plus-values
de quelque façon que ce soit.
Autre projet :
surtaxer les loyers des chambres de bonne
quand ce loyer ne convient pas au gouvernement
pour une raison ou pour une autre ;
il en résultera une nouvelle pénurie ou des transactions au noir !
Le Président de la République «veut»
une France avec 70 % de propriétaires
au lieu de 58 % aujourd'hui.
De quoi se mêle-t-il ?
Si le logement était libéré, chacun,
selon les circonstances choisirait librement
d'être propriétaire ou locataire.
Il en résulte la promotion du PTZ ou prêt à taux zéro,
nous rappelant le triste exemple des subprimes aux USA
qui avaient pour but de vendre des logements
à des personnes ne pouvant pas acheter.
Ces toutes dernières mesures font suite
à un déluge de dispositions qui, depuis 2007,
forment des obstacles considérables
à la construction nécessaire de logements valables.
DES DISPOSITIFS
DESTRUCTEURS
Le gouvernement dirige étroitement les loyers,
ce qui va jusqu'à un quasi blocage du type «loi 1948» :
erreur fatale.
En conséquence et pour, soi-disant,
aider les propriétaires bailleurs,
il déclenche une floraison de dispositifs
avec leurs complications et leur arbitraire :
Robien, Scellier, Scellier BBC, Scellier social, Scellier meublé.
Dans la réalité, c'est autant de pièges pour ces propriétaires bailleurs,
l'essentiel des avantages fiscaux étant captés par les intermédiaires.
Le droit au logement opposable (DALO),
entré en application le 1er janvier 2008 est un concept socialiste.
Quand une personne se trouvant
sur le territoire français n'est pas logée
ou logée d'une façon qui ne la satisfait pas,
elle a le droit de se retourner
contre l'État à l’aide d’une instance juridique
pour exiger un logement qui lui convienne.
Bien sûr, cette innovation est liée aux logements sociaux
dont l'État prétend avoir la charge
et qui constituent une sorte de verrue communiste
dans le paysage français.
Cette verrue est bien connue au fond de l'Afrique
et susceptible, suivant la phrase d'un socialiste pur et dur,
d'attirer en France toute la misère du monde.
L'extension sans fin de ces logement sociaux
s'est accrue par la pression sur les maires,
menacés d'une arme fiscale ;
ces innombrables logements sont, à la fois,
signe et cause de la dégradation du patrimoine immobilier.
Ce DALO crée à l’intérieur de la France
des besoins nouveaux et artificiels,
aggravant la lancinante pénurie.
L'on pourrait citer encore le zonage du territoire ;
il existe tant de zones enchevêtrées
que la complexité des démarches
pour construire un logement est inextricable.
Parmi ces zones, se trouvent les régions classées
au patrimoine mondial de l'Unesco.
Ce classement tout à fait inutile se propage
sur la terre entière depuis 1972 date de sa création.
La vallée de la Loire, par exemple, a été classée.
Les conséquences sont extrêmement importantes
sur le plan des formalités
car le classement conduit à des délais supplémentaires
pour l'étude des dossiers
et aussi à des décisions tout à fait arbitraires.
Rappelons que ce système a pour objectif évident
bien que non déclaré d'enrichir l'Unesco,
monstre administratif ruineux,
qui compte cent soixante-quinze directeurs
et mille consultants !
Un promoteur avait évalué
il y a quelques années à 25 % du prix du logement,
le coût des formalités administratives.
La conséquence est la réduction des surfaces disponibles
ou des pertes de qualité.
Les chanceux qui disposent de grandes surfaces
ne s'en aperçoivent guère.
Pour celui qui n'a que dix m2 , c'est dramatique.
Le résultat est pitoyable.
Suivant les statistiques de la fondation de l'abbé Pierre,
deux millions six cents mille français (sic)
seraient mécontents de leur logement.
Comment se fait-il que dans ce pays
bénéficiant de tant de possibilités une telle catastrophe puisse exister ?
LE VOLONTARISME
COUPABLE
DE L'ETAT
L'unique explication est le volontarisme coupable de l'État
qui s'incarne dans un double attelage ministériel :
Madame Nathalie Kosciuszko, ministre du logement,
est flanquée de Monsieur Benoist Apparu,
secrétaire d'État chargé du logement.
Ce fabuleux attelage pèse lourdement
par son existence même sur le marché du logement :
impôts abusifs et règlementations obscures détruisent le dit marché.
L'attelage s'accompagne
d'une foule d'organisations «bourreaucratiques» publiques
comme des «Agences Départementale de l'Information sur le Logement».
Si l'on multiplie par le nombre de départements
et si l'on ajoute une foule d'autres organismes parasitaires,
le coup de massue
frappant les candidats locataires et propriétaires
est meurtrier à souhait.
Provenant de l'action négative des ministres,
les causes de la calamité sont si nombreuses
qu'il est difficile de les inventorier :
il s'en ajoute beaucoup à celles qui viennent d'être mentionnées.
Citons l'impossibilité de faire partir
sans délai le locataire mauvais payeur
(En Belgique, c'est immédiat
et, de ce fait, l'on trouve à se loger)
et l'obligation des diagnostics sans véritable intérêt
qui majorent de 2 % les coûts.
Il existe, même,
grâce à l'imagination des énarchos-socialos au pouvoir
et sous la pression des écolos, une trouvaille absolument incroyable :
c'est le logement «idéologique» ;
suivant la doctrine officielle
de tels logements «économisent la planète» !
En d'autres termes, les candidats au logement
sont incités à faire plaisir aux caciques
du prétendu réchauffement climatique
rattaché à une cause humaine
et parmi eux à Jean-Louis Borloo.
L'incitation comporte une foule d'aides de natures diverses
en vue d'encourager les travaux désignés
arbitrairement comme écologiques :
ce sont des «aides vertes».
Un exemple de l'orientation «idéologique»
du logement est la maison «BBC».
Ces initiales désignent la maison basse consommation.
La construction est terriblement compliquée
et ces logements BBC coûtent 15 % de plus que les autres.
Certes, ce surcoût est pratiquement compensé par des avantages fiscaux.
Il en résulte un double effet de ruine pour un acteur du logement :
il perd sa liberté de choix
alors que celle-ci dans un domaine
aussi important fait partie de la richesse
et il souffre, comme d'autres,
du matraquage des impôts nécessaires
pour compenser les avantages fiscaux.
LIBERER
LE LOGEMENT
La solution à la calamité existe
et est connue de tous les économistes :
libérer complètement le logement
en laissant le marché jouer dans tous les domaines
est la seule façon de gérer le problème.
Une des causes profondes du désastre Français
vient de ce que l'horrible calamité, comme beaucoup d'autres,
est le terreau où politiques et chefs syndicalistes
cultivent leur fausse gloire et leur vraie richesse
grâce aux remèdes mensongers qu'ils appliquent.
Quelqu'un a remarqué que, du temps d'Henri IV et de Sully,
les gens s'enrichissaient car, malgré son pouvoir,
le Roi ne «tracassait pas les particuliers».
C'est une phrase extraordinaire.
A présent nous sommes soumis à un millier de «Princes»
qui fabriquent à leur usage un pouvoir quasi absolu
grâce auquel ils nous tracassent de tous les côtés.
Nous vous en prions :
cessez de nous tracasser
et nous serons tous logés à notre gré !
Michel de Poncins
07:04 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
21/10/2011
COMMUNIQUE.
Béatrice et Jean Chabernaud,
Dans un souci d'amélioration,
Président
07:42 Publié dans L'équipe de L'ASP | Lien permanent | Commentaires (0)