27/01/2012
MARAUDE DU 26 JANVIER 2012.
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08:55 Publié dans Action sur le terrain, C'était hier | Lien permanent | Commentaires (0)
UNE NOUVELLE ACTION POUR LES PATRIOTES DEFAVORISES...
Les français sont
les premiers touchés
par la crise.
Nous continuons notre humble travail d'aide aux patriotes défavorisés.
Les besoins sont immenses, nous aimerions faire plus.
Il serait nécessaire d'élargir ce type d'actions
mais, à notre échelle nous sommes heureux d'aider quelques familles.
Vous serez touchés par la gentillesse d'Anne et sa disponibilité,
mais ce que vous ne savez pas,
c’est que derrière ce sourire se cache des choses bien difficiles à vivre.
Travaillant à temps partiel, elle élève seule ses deux filles.
Avec ses modestes revenus elle doit payer la cantine,
la garderie du soir, les centres de loisirs...
Tout cela coûte fort cher, si on y ajoute les frais d'avocat pour "le papa"
et la réparation du véhicule, son budget et plus que serré.
A un moment sa situation fut tellement précaire,
qu'elle pointa pendant deux ans aux "Restos du Cœur".
Mais ce genre d'histoire n'intéresse pas la presse qui a pignon sur rue.
Vous pensez ! Une Française, qui plus est Frontiste !
Eh bien, l'ASP, petite association aux faibles moyens,
lui est venue en aide en lui offrant ce samedi 21 Janvier un sèche linge,
et comme j'ai pu le lui dire, à l'avenir nous continuerons à l'aider !
La solidarité n'est pas un vain mot pour la droite nationale,
ni notre combat pour la justice sociale des Nôtres.
Pasteur Blanchard
07:43 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (0)
24/01/2012
JEAN CAU, FILS DU LANGUEDOC.
Il a été un des rares à avoir croqué l'image paradisiaque de notre midi,
et de l'Espagne qu'il aimait tant.
Ce fou de la langue Française , à la plume flamboyante,
a si bien décrit ce qui fait le sel de nos vies,
le soleil, la vie, la mort, l'amour et la cruauté !
Je ne l'ai jamais rencontré
mais suite à divers liens épistolaires,
il m'a remercié par une jolie lettre manuscrite.
Après sa mort, je me suis rendu en pèlerinage à Bram,
son village natal sur la route de Toulouse,
ainsi que sur sa tombe au cimetière de Carcassonne.
C’est l'époque où j'ai fait la connaissance de sa sœur et de son neveu,
qui m'ont invité à la bergerie qu'il avait aménagé au-dessus de l'étang de Bage.
J'ai eu aussi le privilège de visiter son petit appartement rue de Seine.
Il était certainement un des derniers à porter en lui "l'esprit de tradition",
âme de notre Languedoc,
cette vertu si précieuse que la modernité a fini par détruire.
Toute son œuvre est un cri contre ce monde délétère
qui efface toute dignité et tout sens de l'honneur,
terreau sur lequel prospère notre société décadente.
Pasteur Blanchard
07:05 Publié dans Biographie | Lien permanent | Commentaires (0)
21/01/2012
21 JANVIER 2012 : UNE NOUVELLE ACTION...
20:52 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (0)
20/01/2012
IMPRESSIONS DE MARAUDE...
Par Bernard Chauvet
Secrétaire départemental FN du Loiret
Elodie, je t'ai rencontrée dans la nuit du 12 janvier
avec le Pasteur Blanchard et son épouse Catherine !
T'en souviens-tu ?
Tu étais assise en tailleur sur le trottoir,
sous le métro aérien du côté de la station Sèvres-Lecourbe.
Tu avais l'air frigorifiée sous ta couverture à fleurs et ta capuche noire !
Je sais pourquoi je t'ai repérée.
Tu es blonde et j'ai un petit penchant pour les blondes....
Tu as vingt-cinq ans environ mais je me trompe peut-être
car ton visage est tellement fatigué,
tes yeux sont mangés par des cernes sans fin.
Je t'ai proposé du café ou du potage
pendant que mes amis t'habillaient ou te couvraient.
Tu as choisi du café avec un sourire las.
En te voyant je lisais une immense détresse
et je me demandais les raisons de ce "camping sauvage".
Pourquoi es-tu là ? Tu n'es pas venue du néant ?
Tu as une famille sans doute ?
T'as-t-elle rejetée ou l'as-tu quittée pour vivre ta vie ?
Car enfin, cette nuit-là, tu avais froid et nous avions chaud.
Tu avais faim et nous étions rassasiés.
Nous avions pris une bonne douche le matin
et toi peut-être il y a huit jours.
A ton âge, les filles guinchent, toi tu végètes.
Vers quatre heures du matin, nous irons retrouver notre lit douillet,
toi ton bout de macadam, froid, dur, humide.
Tu étais avec ton compagnon d'infortune,
nous avec nos amis Jean-Pierre, Catherine et David.
Nous sommes quelquefois fatigués de rire et toi, rire te fatigue.
Comment, comment, comment en es-tu arrivée là ?
Nous connaissons, la tendresse, l'amour, la chaleur du foyer familial,
toi tu connais sans doute la solitude, la solitude et encore la solitude !
Pourquoi, pourquoi, pourquoi cette situation ?
Cette nuit-là, même à mon âge,
je n'ai pas osé entamer la conversation,
connaître ta vie, les raisons de ton état, de ton désarroi, de ton drame.
Par pudeur par timidité ?
Tu n'as sans doute plus de souvenirs heureux.
Tu les oublies peut-être dans l'alcool
mais je ne crois pas, dans la drogue peut-être ?
Tu sais l'alcool et la drogue ne règlent rien,
ce sont des plaisirs artificiels trompeurs et mortels.
Quand je vais raconter ton aventure à mon entourage,
je sais que certains, sans coeur, vont se gausser :
"n'a quà bosser" !
Ils ne savent pas que la vie est bizarre et peut réserver des surprises.
Je ne te jugerai pas. Sans cesse je m'interrogerai sur tes mobiles.
Mais cette nuit là, la seule satisfaction
que j'ai eue grâce au Pasteur Blanchard, son épouse,
à l'ASP (Action Sociale et Populaire),
"c'est que tu avais faim et que nous t'avons donné à manger,
c'est que tu étais nue et que nous t'avons habillée."
J'étais heureux !
Merci Elodie ! ! !
Bernard
06:44 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (0)
13/01/2012
MARAUDE DU 12 JANVIER 2012.
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10:15 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (0)
09/01/2012
LES PREDATEURS PUBLICS (1).
"Prolétaires de tous les pays : unissez-vous".
On se souvient de la célèbre apostrophe.
Les évènements économiques tragiques
que connaissent les pays occidentaux
mettent en lumière une autre maxime :
de tous les pays :
unissez-vous ".
Nous allons montrer la réalité de ce principe
avec toutes ses conséquences néfastes.
L'actualité est brûlante à ce sujet.
Le journal espagnol, "la Razon"
nous apprend que Papandréou avant de quitter le pouvoir en Grèce
a commandé quatre cents chars aux USA pour un milliard de dollars.
Il est impossible qu'il n'y ait pas de commissions à l'appui.
Silence radio dans le monde entier sur ce vrai scandale.
Par ailleurs, une députée grecque, Hara Kefalidou,
a écrit au journal "Kathimerini" pour appeler ses collègues
à renoncer à certains de leurs incroyables avantages,
comme les voitures gratuites,
les trois cents dix euros accordés pour assister aux commissions
et les doubles retraites.
Elle s'est faite fortement rabrouer par son parti ;
seules des mesurettes ont été adoptées.
Au moment où toute l'Europe vole au secours de la Grèce,
aucun gouvernement ne demande l'abandon massif des privilèges des élus :
la solidarité entre prédateurs publics est manifeste.
07:14 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
LES PREDATEURS PUBLICS (2).
les privilèges des politiciens
sont tellement considérables
que leur groupe est couramment désigné par le terme de "Caste".
Le symbole est si fort que celui qui n'appartient pas à la "Caste"
est considéré comme
inexistant.
En dix ans, le budget de la chambre des députés a gonflé
de sept cents cinquante millions à un milliard d'euros,
celui du Sénat de trois cents quarante neuf millions
à cinq cents soixante quatorze millions.
Il y a cents dix provinces
qui font double emploi avec vingt régions.
Les salaires flambent ;
les membres de la Caste disposent de privilèges insensés,
comme des voitures gratuites,
des droits aux voyages gratuits,
la nourriture gratuite
et la disposition
d'un grand nombre de collaborateurs.
Le tout nouveau premier ministre a-t-il annoncé
qu'il porterait le fer rouge dans cette situation inadmissible
qui a conduit le pays à perdre pratiquement son indépendance ?
Les prétendus experts qui font le voyage à Rome
pour lui imposer des mesures draconiennes
n'ont pas du tout la mission de réduire de façon douloureuse
les privilèges de la "Caste".
Or, pourtant, récupérer cet argent public
serait un élément essentiel du programme de redressement du pays.
07:10 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
LES PREDATEURS PUBLICS (3).
En France, la situation n'est pas meilleure,
les lecteurs habituels de ces flashs connaissent
l'étendue des prélèvements abusifs
des grands prédateurs publics sur le PIB.
L'omerta qui protège la "Caste" en France est totale.
François Hollande a pris l'engagement
en cas de succès à l'élection présidentielle de réduire
de 30% sa propre rémunération.
Proposition très intéressante !
Il n'a encouru que les moqueries de ses adversaires
et n'a pas généralisé le projet à tous les élus...
Quant à Bruxelles,
les eurocrates sermonnent à qui mieux mieux
les pays qui ne font pas les efforts réclamés.
Mais ils se gardent bien de renoncer eux mêmes
à une part importante de leurs propres privilèges.
Ce qui serait un argument de poids pour leurs discours.
Parmi les gouvernements des États membres,
personne ne demande cette mesure évidente et, ceci,
p-a-r-s-o-l-i-d-a-r-i-t-é-.
07:05 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
LES PREDATEURS PUBLICS (4).
Comment expliquer à la fois le pillage organisé
et la solidarité internationale des prédateurs ?
La force fiscale alimente sans fin le butin public.
Il existe trois destinations possibles
pour ce gigantesque amas d'argent :
♠ l'enrichissement personnel
des membres de la "Caste".
L'observation montre que cette première destination
s'accroît à vitesse grand V,
pratiquement sans aucune limite.
+ les abcès de fixation grandissent,
+ leur croissance s'accélère,
voir l'Europe et l'empire onusien.
Les vrais contrôles à ces niveaux deviennent impossibles.
Mais reconnaissons que cet enrichissement
s'avère parfaitement légal
puisque ce sont les bénéficiaires
qui en élaborent eux-mêmes les règles.
La conséquence inévitable est le carriérisme politique.
Gagner sa vie sur un marché libre
nécessite de rendre de vrais services aux autres
dans un effort d'adaptation permanent.
Avoir accès aux trésors du butin étatique,
c'est détenir la corne d'abondance
pourvoyeuse de richesses illimitées.
Un autre choix de vie avec ses propres exigences
mais qui n'implique pas de servir véritablement la communauté.
06:55 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)