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25/11/2011

IMPRESSIONS DE MARAUDES...

Maraude du 8.11.11.jpg

 
 

Par le pasteur Blanchard.

 

Tous les amis qui viennent marauder sont surpris de notrefamiliarité avec les SDF. Il faut dire que nous sommes dans notre cinquième campagne de maraudes.  Le temps à fait que nous avons fini par nous connaître, d'un certain point de vu on peut parler d'amitié : nous finissons par avoir des informations sur leur vie, leurs épreuves, ce dont ils ont réellement besoin au-delà des problèmes matériels qu'ils traversent.

 

C’est de véritable empathie dont ils ont besoin. Celle-ci, ils ne la trouvent pas dans les grandes associations. Il faut croire qu'elles finissent par le perdre de vue, elles qui ont à gérer la misère à l'échelle nationale, elles ont du mal à répondre aux véritables questions que génèrent le train train quotidien.

 

Hors de la ville.jpg

 

Il y a un autre problème qui prend de l'ampleur : Les rondes de la police pour déloger les sans domicile du pavé parisien. La loi interdisant de les déloger "manu militari", on fait tout pour les dégoûter en raflant leur bardas, les laissant sans rien sur le trottoir, avec le secret espoir que par lassitude ils quitteront Paris. A l'origine de la démarche, il y a la gauche caviar du maire, pour qui la misère est une lèpre dans la Capitale, un abcès pullulant qu'il faut éradiquer. Il peut sembler paradoxal que des hommes classés à gauche se définissant comme humanistes au service de l'humanité soient ceux qui organisent la chasse à la misère dans les rues de la cité ; force est de constater que les bobos sont parmi ceux dont les valeurs sont totalement antagonistes avec le peuple véritable, les petits, les sans grade et cela au nom de principes désincarnés.

CLIC

 

Quant à nous, continuons notre travail, pour la défense des Nôtres, pour la véritable cause du peuple.
 
 

Pasteur  Blanchard

MARAUDE DU 22 NOVEMBRE 2011.

Cliquer ICI

24/11/2011

LES TGV ROULENT SUR LE PAIN DES PAUVRES (1).

TGV.jpg

 
 
Ces jours-ci,
 
trois faits se conjuguent au sujet de la SNCF
 
et dont la signification globale est considérable :
 
le 30e anniversaire de la création des TGV,
 
des grèves à répétition
 
et un horrible accident de passage à niveau.
 
Ces événements se rattachent à la ruine infligée
 
au peuple français par le mammouth SNCF ; 
 
cette ruine étant provoquée en grande partie par les TGV.
 

Personne ne discute les immenses agréments qu'offrent ces TGV,

aux riches voyageurs qui voient défiler

à toute allure la campagne à bord des magnifiques jouets.

Et pourtant, comme nous allons le montrer,

nous roulons, alors, sur le pain des pauvres.

 

VGT.jpg

 

Comment se manifeste cette ruine ?

Un rapport de la Cour des Comptes sur "La réforme ferroviaire de 1997"

a démontré que les TGV sont largement à la source de la ruine de la SNCF.

Le rapport dénonce "Le lourd endettement de la SNCF induit principalement

par les investissements considérables effectués

pour construire et équiper les lignes nouvelles à grande vitesse".

Étant donné les chiffres, l'importance de ces dettes contribue largement

à l'endettement abyssal de la nation tout entière.

En effet, pour les analystes honnêtes, il n'y a pas de distinction à faire

entre les dettes de la SNCF et les dettes globales de la nation.

Et en visant la SNCF, nous incluons Réseau Ferré de France

ou RFF, les deux étant complètement imbriqués.

L'effet de ruine est patent, compte tenu de la charge massive des intérêts

et de la multiplication abusive sur trente ans de la construction des TGV.

La paupérisation du pays en est la conséquence et,

comme il est de règle, cette paupérisation

frappe particulièrement les plus faibles.

 

A suivre le 22/11/2011 à 10 heures 55...

 

17:20 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

LES TGV ROULENT SUR LE PAIN DES PAUVRES (2).

En grève.jpg

 

A suivre... ?

17:15 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

LES TGV ROULENT SUR LE PAIN DES PAUVRES (3).

Décor.jpg

 

L'IDEOLOGIE

DU  "TOUT TGV"

 

D'où vient cette idéologie du "tout TGV" ? 

Plusieurs phénomènes dus à l’économie dirigée se rencontrent :

la volonté ardente des multiples élus joue un rôle majeur.

Chaque maire de grande ville ou chaque président de région veut "son" TGV.

De faux motifs interviennent :

par exemple, le nombre d'emplois créés

alors que l'on cache le nombre d'emplois détruits.

Et puis, l'on proclamera comme de vrais gamins

qu'un quart d'heure ou une demi-heure de gagnés

sont source de prospérité pour la région !

Les calculs de rentabilité peuvent être biaisés.

Banques et travaux publics, la main dans la main

minorent les coûts prévisibles et majorent les retombées éventuelles :

dix ans après plus personne ne vérifie.

 

Certes, la ruine de la SNCF a aussi bien d'autres causes.

Il y a le statut incomparable du personnel :

un agent de la SNCF coûte 30 % plus cher

à compétences égales qu'un salarié du privé.

A ce statut s'ajoute la pléthore de personnel

et une grande rigidité dans la gestion

avec du laxisme dans les heures de travail.

Le maintien abusif de liaisons secondaires sous-employées

sous la pression des élus est aussi un facteur ;

ces liaisons auraient pu facilement être supprimées

et remplacées par des autocars qui fonctionnent très bien dans d'autres pays.

 

SNCF...SNCF.jpg

 

LA

GUERRE

DES CHEMINOTS

CONTRE LE PEUPLE

FRANCAIS

 

A signaler particulièrement les grèves à répétition, évoquées ci-dessus.

Nous venons ces jours-ci d'en connaître deux exemples.

Il y eut d'abord cette forme particulière de grève qu'est le droit au retrait.

Un contrôleur avait été tué ce qui est certes inadmissible :

les cheminots en ont profité pour punir cruellement les voyageurs

en paralysant le pays pendant plusieurs jours.

Et rebelote quelques jours après pour d'autres motifs.

 

En fait, nous nous trouvons devant une sorte de guerre ouverte

par les cheminots contre le reste de la population.

Depuis des décennies, la vie quotidienne de millions de Français

et en particulier de dix millions de banlieusards

est empoisonnée par des grèves à répétitions

qui ont pour résultat que les usagers sont brusquement cloués sur le quai.

Il est évident que si le droit de grève est inscrit dans la constitution,

le droit de circuler librement est inscrit dans le droit des gens

et devrait être très supérieur au droit de grève.

Dans ces circonstances,

il est exact de dire que depuis des décennies les cheminots

à la remorque de certains syndicats

ont déclaré une véritable guerre au peuple français.

Ces dysfonctionnements techniques nombreux

sont directement liés à l'idéologie du  "tout TGV".

Parmi eux, se trouvent les passages à niveau.

Le tout récent et terrible accident de passage à niveau

est loin d'être le premier :

il existe 15 100 carrefours

où quotidiennement le trafic routier rencontre le trafic ferroviaire

et en 2007, ils ont été l'occasion de 115 collisions

au cours desquelles trente-huit personnes ont perdu la vie.

Les programmes de sécurisation sont terriblement lents

puisqu’il n’y a plus d’argent nulle part.

Au même moment en Allemagne,

il n’existe pratiquement plus de passages à niveau dangereux.

 

SNCF...SNCF...SNCF.jpg

 

Il est encore un aspect majeur à signaler dans cette triste histoire.

La SNCF est soumise au bon plaisir des pouvoirs publics

ainsi que des syndicats et échappe donc au contrôle du marché.

Or, lorsque les pouvoirs publics interviennent

ils mettent du temps à s'apercevoir de leurs erreurs

alors que lorsque le marché règne

les erreurs sont corrigées au plus vite sous la pression des clients.

C'est pour cela que le 30e anniversaire de la création des TGV est à signaler.

En effet, les élus qui nous ont apporté cette catastrophe

ont pris largement leurs retraites fastueuses et imméritées,

alors que c'est maintenant seulement que les pouvoirs publics

commencent à s'apercevoir de l'erreur qui remonte à trente ans !

 

A suivre le 24/11/2011 à 9 heures 25 précises...

17:10 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

LES TGV ROULENT SUR LE PAIN DES PAUVRES (4).

Escargot.jpg

 

Le train pour quelque part,

initialement prévu à 9 heures 25

est annoncé avec un retard d'environ quelques heures.

 

A suivre...

17:05 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

LES TGV ROULENT SUR LE PAIN DES PAUVRES (5).

Terminus.jpg

 

LES AVEUX OFFICIELS

DE L'ERREUR

 

Les dirigeants reconnaissent maintenant

que le prétendu succès

s'est fait au détriment

de toutes les autres lignes secondaires et régionales.

Des spécialistes remarquent même qu'il faudrait fermer

un certain nombre de lignes à grande vitesse

ou les transformer en ligne à moindre vitesse.

Le président de la SNCF lui-même, Guillaume Pepy

a déclaré que la SNCF transporte cinq millions de voyageurs par jour

et que les TGV n'en transportent que 300 000.

Il a lancé un cri d'alarme en septembre 2010 :

"Trop de TGV risquent de tuer la SNCF et le système ferroviaire français".

Une question peut se poser :

que se serait-il passé si, au lieu de l'arbitraire, le marché avait régné ?

Il y aurait peut-être eu un seul TGV

par exemple sur la ligne Paris-Lyon-Marseille.

De riches clients auraient payé à son prix le confort incroyable

et les chemins de fer auraient eu beaucoup d'argent

pour s'occuper des lignes secondaires.

 

La conclusion ne peut être que mélancolique.

L'information des politiques est désormais totale

sauf aveuglement volontaire.

La SNCF est un mammouth parmi plusieurs autres

qui font souffrir le peuple français.

Un changement ne pourrait intervenir

que si le personnel politique lui-même changeait

et ce n'est pas en vue actuellement !

 

Michel de PONCINS

17:00 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

18/11/2011

IMPRESSIONS SUR MA PREMIERE MARAUDE...

Maraude du 25 octobre 2011.jpg

 

Par le Professeur SULZER

membre du bureau politique  du FN.  

 

Porte d'Italie, le 25 octobre à 21 heures :

je retrouve le Pasteur, son épouse,

ainsi que Stéphane, un jeune militant dévoué.

 

Nous voilà partis

et mon rôle est de servir la soupe et le café :

les thermos seront vite épuisés.

Stéphane vous a déjà narré ses impressions sur le site

et je partage entièrement ses constats.

 

 Cliquer ICI

 

Permettez-moi donc de ne vous décrire que les faits frappants.

D'abord et surtout,

nous n'avons rencontré que des européens de souche,

à l'exception d'un maghrébin émèché .

En clair, les minorités visibles protègent les leurs.

Il est probable que leurs familles s'entassent

dans des logements à la salubrité douteuse

mais aucun des leurs n'est obligé de dormir à la belle étoile.

 

Seul, l'Européen blanc est obligé de coucher dans la froidure.

Au vu de cela, il ne faudra pas nous étonner

de la montée en flèche des communautarismes.

J'ai découvert ce soir là une vraie question.

D'ailleurs, les SDF eux mêmes vivent en groupes

afin sans doute d'éviter les agressions.

 

Gaulois en détresse.jpg 

Les SDF que nous avons rencontrés

sont d'abord des compatriotes françaises et  français.

Le dialogue avec ces concitoyens, affectueux, sans agressivité

et parfois assez cultivés

montre les ravages de la désindustrialisation dans notre économie.

Leur galère est jalonnée de fermetures d'usine :

il est temps de protéger nos frontières .

 

Nombreux sont également les femmes

et les hommes venus des pays de l'Est.

Ils ne pensaient pas trouver un eldorado français.

La raison de leur présence est toute autre :

pour un miséreux, la France est un pays de cocagne

où le froid nocturne ne tue pas.

 

Ce qui donne une idée de la détresse sociale

qui règne à l'Est de l'Europe.

Et pourtant Bruxelles a versé des milliards d'euros

aux anciens pays communistes.

Où est donc passé l'argent du Fonds Social Européen ?

Et pourtant, la France s'est lourdement endettée

pour engraisser sans doute des oligarques corrompus.

Et quid du principe de libre circulation

des personnes dans l'espace Schengen ?

L'UMPS a eu tout faux.

 

Le dîner.jpg

 

Reste enfin l'accueil chaleureux qui nous a été réservé.

La centaine de personnes

que nous avons secourues ce soir-là

étaient heureuses de pouvoir retisser un lien humain :

la joie se lisait dans leurs yeux.

Mais, en même temps, nous n'avons pas pu rencontrer

les dizaines de milliers de leurs compagnons d'infortune ;

lesquels peuplent les boulevards des Maréchaux

ainsi que les départements de petite ceinture.

Aucune structure caritative ou publique ne peut plus traiter

le cas de ces milliers de malheureux.

 

Ressaisissons nous les Amis !

Car cette effroyable montée des dérives individuelles

pourrait bien être le signe avant coureur d'un naufrage collectif .

 

Professeur Jean Richard SULZER

CREFIGE

Université Paris Dauphine

G.O + G.S.O = A.S.Plus.

Lumière.jpg

 

Le conseil d'administration de l'ASP s’est réuni

pour étudier deux candidatures,

afin d'ouvrir deux nouvelles délégations.

 

Les candidatures ont été acceptées.

Monsieur Thierry PELOUIN nous représentera pour le Grand Ouest,

et Monsieur Christophe GILLET pour le Sud-Ouest.

 


 
Pour le Bureau                        Pour le Conseil d'administration
 

Pasteur  BLANCHARD               Jean  CHABERNAUD
 

Président                                    Oscar  WESLEY

14/11/2011

DEXIA : LA RUINE DES CONTRIBUABLES.

Mister Who.JPG

 

Il n'est pas possible actuellement

d'ouvrir un journal sans lire de gros titres sur Dexia.

C'est l'heure des mensonges.

Un grand quotidien énonce :

"Dexia, la première banque victime de la crise".

Ce n'est pas vrai

car cette banque est victime de l'incompétence de ses dirigeants

et sans doute de beaucoup de compromissions.

Malheureusement, de nombreuses banques

souffrent du fait de la médiocrité de leurs dirigeants :

voir tous ces établissements qui, avec une légèreté coupable

ont prêté à l'État grec et, ceci, depuis longtemps

alors que les dangers étaient connus des bons analystes.

 

Un peu d'historique sur Dexia est nécessaire.

En 1987, c'était une obscure petite division

de la Caisse des Dépôts et Consignations,

finançant les collectivités locales.

Elle s'en émancipa pour devenir le crédit local de France,

coté en Bourse et privatisé.

En 1996, eût lieu un mariage avec un voisin belge à vocation similaire,

l'union recevant un nouveau nom :

 

Dexia.jpg

 

L'objectif était de devenir un des leaders mondiaux

dans le financement des collectivités locales.

L'inconvénient de ce métier est la faiblesse des marges.

Au lieu de chercher à améliorer le coeur de la profession,

les dirigeants partirent à l'aventure.

 

Ce fut, tout d'abord, la "transformation".

Ils empruntèrent à court terme pour pas très cher

et prêtèrent à long terme pour plus cher ;

une mécanique infernale était lancée.

Comme cela faisait de l'argent,

les mêmes mauvais banquiers

se lancèrent dans une boulimie d'acquisition d'entreprises,

d'activités ou même de portefeuilles :

Espagne, Italie, Japon, États-Unis étaient leurs terrains de chasse.

Tout baignait, mais ce n'était qu'une apparence.

En 2008, brusquement Dexia eût besoin

de deux cents soixante milliards d'euros,

la banque n'ayant que quatre jours de liquidités devant elle.

Les États belges, français et luxembourgeois furent appelés au secours.

Chemin faisant, l'action a perdu 94 % de sa valeur...

 

Mister LBP.jpg

UN SAUVETAGE

EN URGENCE

Nous en arrivons à la situation actuelle

où le sauvetage est organisé en urgence.

Sous réserve d'autres évolutions, car cela bouge tous les jours,

il semble que l'on s'oriente vers la seule solution logique :

vendre tout ce qui est vendable

et cantonner le reste dans une "bad bank" ou banque pourrie,

que le contribuable sera appelé à supporter,

bien sûr sans que son avis lui soit demandé.

Cela rappelle de tristes souvenirs des années 1990 :

le Crédit Lyonnais, le Crédit Foncier, la compagnie d'assurances GAN,

autres responsables de scandales d'Etat.

 

Les enseignements à tirer de cette triste histoire sont nombreux.

Il y eût certainement des multiples compromissions.

Dans ce monde, où les uns et les autres se tiennent par la barbichette,

les dirigeants principaux n'étaient certainement pas les seuls à fauter.

Avant la découverte soudaine du scandale,

il est évident que des signaux devaient exister :

pourquoi le silence ?

Les Etats sont directement responsables.

Parmi les actionnaires se trouvent non seulement les Etats français et belge,

mais aussi de faux nez comme la Caisse des Dépôts et Consignations,

instrument tout puissant de l'économie dirigée en France.

 

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LES MILLIARDS

DES CONTRIBUABLES

L'appui des Etats pour sauver les meubles a pris de multiples formes :

garanties accordées aux déposants et aux créanciers,

perspective d'accroissement des pourcentages dans le capital,

garanties des futurs emprunts éventuels lors de la remise en ordre.

Personne ne peut à ce jour, mesurer le nombre de milliards

que les contribuables devront supporter en définitive

et tout chiffre avancé peut être dépassé le lendemain.

 

Les mauvais banquiers qui siègeaient avec d'autres

dans les conseils d'administration de Dexia

ont été parfaitement enclins à pousser aux secours étatiques,

dans l'espoir que ces Etats seraient prêts

de même à venir au chevet de leur banque le cas échéant.

Simultanément, ils ont été encouragés dans leurs mauvaises pratiques.

 

Dans l'historique, nous constatons une boulimie d'acquisitions.

Rien de plus dangereux que de se lancer dans une telle course folle :

c'est se heurter inévitablement au manque de temps et de talents

pour analyser les cibles et mener à bien leur bonne gestion ultérieure,

ainsi que la cohérence de l'ensemble.

 

Pire encore, cette voracité s'est développée

dans un grand nombre de pays ;

il est périlleux de se présenter avec un grand appétit dans un pays étranger

que l'on ne connaît pas.

Les nationaux ne manquent pas de vous "refiler" des patates chaudes

ou même des traquenards juridiques

car eux seuls connaissent à fond la loi et les us et coutumes locaux.

 

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LA

RUINE

PAR LES

COLLECTIVITES LOCALES

Le métier d'origine, à savoir le financement des collectivités locales,

était considéré comme ne comportant pas de risque :

à voir !

En effet, hier, ces collectivités locales n'étaient pas tellement endettées

et ce sont les lois de décentralisations

qui les ont conduites à s'endetter davantage.

Erreur funeste, ces collectivités s'engagèrent

dans des dépenses tout à fait insensées,

pour des besoins artificiels,

parfois contractant des emprunts toxiques ;

des palais ont été bâtis sur endettement public !

La richesse nationale a gravement souffert de cet emballement.

 

La conclusion de cet ènième scandale d'Etat

est que si les dépôts ou les créances ont pu, éventuellement, être garantis,

il n'y a nul espoir pour les actionnaires.

La conséquence malheureuse

est de décourager une nouvelle fois les gens de placer leur argent

à la bourse en achetant des actions.

Ce qui est grave car, dans la déroute actuelle des marchés,

c'est justement le bon moment pour acheter,

avec évidemment la plus grande prudence,

les plus belles affaires qui sont littéralement sous évaluées.

Cette dernière conséquence est particulièrement tragique

car le développement de l'actionnariat

est une vraie nécessité pour l'accroissement de la richesse nationale.

 

Michel de Poncins

 

A suivre...

06:45 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)