12/12/2011
LES GASPILLAGES DES COLLECTIVITES LOCALES (2).
UNE PYRAMIDE
D'ELUS
La France compte à peu près six cents mille élus.
Ils reflètent la pyramide abusive des collectivités locales.
Il existe en effet trente six mille communes.
Et, par-dessus les communes,
s'empile une foule de collectivités :
cantons, départements, régions et autres.
Puis s'ajoute une couche floue mais épaisse
de regroupements comme les intercommunalités
ou encore les "agglos".
Parmi les six cents mille élus,
on trouve de cinq à dix mille super-privilégiés.
Leur poids kolossal se traduit
par des salaires accompagnés d'avantages informels.
Ces "à-côtés" prennent de la place
et débordent parfois les rémunérations
dans une cascade de cumuls indécents.
Ces nantis du système exploitent
le butin public en parfaite légalité
car ce sont eux ou leurs zamis qui fabriquent les lois.
Mais, le boulet est encore trop léger
et ces élus se dépensent à l'amplifier
pour montrer qu'ils existent et sont utiles.
Dans ce contexte, les gaspillages sont innombrables.
Tout le monde a en ligne de mire les palais somptueux,
chaque organisme rêvant d'ériger le sien.
Mais, on dénombre bien d'autres gâchis :
♣ à Clermont-Ferrand, c'est un tramway
qui mis en route plus que difficilement
et d'un fonctionnement chaotique
s'acharne à rattraper le montant de la facture,
♣ à Vitrolles, dans les Bouches-du-Rhône,
un cube de béton de quinze millions de kilos d'euros
se prend pour un complexe sportif et culturel
dans une ville de vingt huit mille habitants,
♣ à signaler enfin les "ambassades",
certaines régions en érigent à l'étranger.
La ville de Lyon en possèdent
notamment à New-York et à Tokyo.
A suivre...
07:50 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
LES GASPILLAGES DES COLLECTIVITES LOCALES (3).
LES MECANISMES
AUTOMATIQUES
DES GASPILLAGES
Ce ne sont que des exemples ponctuels.
Tous les citoyens en connaissent d'autres dans toutes les régions.
Le plus grave est qu'il existe des mécanismes automatiques de gaspillage :
♣ par exemple les aides aux industries,
grandement inutiles par ailleurs
et auxquelles les collectivités locales
participent largement aux côtés de l'État,
♣ faire la fête est courant,
nous connaissons un conseil général
dont le président reçoit tous les jours à sa table
une vingtaine de personnes,
♣ quant aux dépenses de communication,
dénoncées régulièrement,
c'est la grande explosion,
♣ n'oublions pas la valse des subventions,
la plupart inutiles et souvent scandaleuses,
la ville de Lyon, pour sa part, subventionne la Casbah d'Alger !
L'État se vante de supprimer un fonctionnaire sur deux.
Cela devrait se traduire par des mutations dans les régions.
Bien au contraire, le résultat des deux décentralisations
est d'avoir renforcé les compétences des régions
avec un accroissement pléthorique de leurs effectifs
et sans diminuer le personnel dans les services des préfectures.
N'oublions pas l'absentéisme du personnel
composé parfois d'amis des élus
et qui dépasse largement les niveaux du privé !
Enfin à toutes ces dépenses abusives,
il faut ajouter le freinage des activités des entreprises,
pénalisées par des formalités absolument insupportables
pour obtenir telle ou telle subvention.
L'habitude détestable des financements croisés
est un obstacle redoutable à la vitesse de réaction
des entreprises censées en être les bénéficiaires.
Quel est le comportement du gouvernement face à cette situation ?
Il agit dans un sens tout à fait opposé à l'intérêt national.
Il prétend d'abord réduire le millefeuille administratif
et se lance à cet effet dans des réformes complexes et longues.
Simultanément, il agit dans l'autre sens
en créant de nouvelles collectivités.
La plus désolante est le Grand Paris, rêve pharaonique
dont les parisiens et les autres n'ont nul besoin.
L'effet de ruine est déjà en route :
♠ par la création de nouvelles administrations
et de postes prestigieux,
♠ et se profile le concept de "métropoles",
nouvelles collectivités tentaculaires
prêtes à avaler certaines grandes villes.
07:45 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (1)
LES GASPILLAGES DES COLLECTIVITES LOCALES (4).
Compter sur l'élection de 2012, serait illusoire.
Les hommes politiques les plus visibles ont, peu ou prou,
le même programme et poursuivront les gaspillages
et la ruine qui en découle.
Ne soyons pas, toutefois, pessimistes
car toute situation historique est réversible.
Nous avions proposé, dans une note précédente,
d'organiser des référendums privés
qui pourraient arrêter les projets ruineux de certains maires.
Il suffirait d'un succès quelque part,
même dans une petite commune, pour que la méthode se répande.
Une autre formule serait de prendre en cible
les luxueux voyages collectifs que font,
sous un prétexte ou un autre, les conseils généraux
souvent vers de prestigieuses destinations.
Des citoyens victimes pourraient
par des moyens appropriés empêcher le départ.
Une seule victoire dans un département serait significative.
S'il y a d'autres moyens, merci à nos lecteurs ne nous les signaler.
Michel de PONCINS
07:34 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
10/12/2011
UNE ACTION POUR LES PATRIOTES DEFAVORISES...
23:02 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (0)
LE SQUAT D'AUSTERLITZ, EVACUE DE FORCE.
Les pirates voulaient effacer notre histoire en s'attaquant au blog de notre association. Nous inaugurons, aujourd'hui, une nouvelle catégorie intitulée : "C'était hier" qui essaiera de restituer les notes et les photos disparues. Seules quelques fautes d'orthographe ou défauts de syntaxe ont fait l'objet de corrections.
"Paris, le 17.07.2008. Le camp de personnes sans-logis du quai d'Austerlitz, où l'Action Sociale Populaire s'est rendue tant de fois, a été totalement évacué par la police. A part quelques rares rescapés repliés autour de la gare, dans des tentes improvisées, tout est vide et désert sur la berge.
Même nos "irréductibles Gaulois" semblent avoir disparu : à côté des plants de tomates qu'ils cultivaient, nous avons trouvé un livre : les mystifiés."
17:29 Publié dans C'était hier | Lien permanent | Commentaires (0)
09/12/2011
SERGE DE BEKETCH. COMBIEN DE SOUVENIRS...
La première fois que nous nous sommes rencontrés,
il y a de cela bien des années, c'était aux BBR.
Pour ceux de notre famille politique,
il était déjà une légende.
Par la suite, nous nous voyions
au Cercle des Amitiés Protestantes avec Jany
et aux soupes distribuées à la gare Saint-Lazare.
Grâce à lui, des passages réguliers
sur les ondes de radio Courtoisie
m'ont beaucoup aidé pour mener à bien mes projets.
Avec le temps nous sommes devenus amis.
Combien de souvenirs...
Des mémorables repas chez La Mère Agitée,
jusqu'aux rencontres, rue Frantz Liszt, chez lui.
Je le revois avec ce don si rare, parodiant
des figures célèbres de nos milieux ;
j'entends ses bons mots, son humour.
La fidélité sans faille aux amis, "les copains d'abord"
n'était pas pour lui un vain mot,
cela révèle sa personnalité profonde.
Il fut, lors de ma traversée du désert,
un des rares à me témoigner un soutien sans faille,
une exception durant cette éprouvante période.
Alors Serge, toi qui contemple
la Gloire de Notre Seigneur Jésus-Christ,
demande lui de nous donner
une double ration de son Esprit Saint
pour continuer notre Saint combat,
ton exemple nous fait un devoir de persévérer,
avec l'aide du Dieu Trois fois Saint.
Pasteur Blanchard
07:50 Publié dans Editorial | Lien permanent | Commentaires (0)
07/12/2011
MARAUDE DU 6 DECEMBRE 2011.
Cliquer ICI
10:38 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (0)
05/12/2011
LES MOSQUEES DE BOBOLAND.
17:11 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
FRANCOIS HOLLANDE, NOTRE SAUVEUR !
Voici un "portrait économique" pris sur le terrain, de l’homme qui veut diriger notre pays et le sortir du "gouffre" dans lequel il est prêt de sombrer. Je veux parler bien sûr de François Hollande, président du Conseil Général de Corrèze.
La Cour des Comptes nous révèle que ce département était déjà très endetté lorsque François Hollande l’a "conquis" en 2008, c'est-à-dire en pleine crise économique. Son rôle premier aurait donc dû être de chercher à le désendetter ! Eh bien ! Ce n’est pas le cas apparemment.
Je n’entrerai pas dans les détails de certaines dépenses parfaitement soulignées par la Cour des Comptes ; une seule suffisant à nous tracer une image de l’homme qui souhaite diminuer notre énorme dette en engageant 60 000 nouveaux fonctionnaires, entre autres, 12 000 venants s’ajouter à 12 000 venants s’ajouter à 12 000 etc., sur cinq ans et se prolongeant sur toute une carrière retraite comprise. Faites vous-même le compte avec une calculatrice car je n’y suis pas parvenu.
Cet homme donc, c’est toujours de François Hollande dont il s’agit, a pris la Corrèze en 2008 avec une dette très importante. A l’époque, le Conseil Général se composait de 831 employés mais en 2009, un an plus tard, il se compose de 1 218 employés ; soit 400 de +. La dette par habitant se montait à 100 euros par mois, soit trois fois + que celle des autres départements français. Et de combien est-elle aujourd’hui ?
J’espère que d’ici les élections présidentielles François Hollande va nous prouver qu’il peut encore faire mieux avec la France qu’avec la Corrèze. S’il est élu, il ne s’occupera plus de la Corrèze mais son successeur aura fort à faire, comme aura fort à faire son successeur à la tête de la France…pour ainsi dire "mission impossible".
Manuel GOMEZ
06:35 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
03/12/2011
AIDEZ-LES ! ILS COMPTENT SUR NOUS !
Aujourd'hui, le dessinateur Ydel
qui soutient notre action depuis longtemps
nous fait parvenir ce dessin :
13:19 Publié dans Les copains | Lien permanent | Commentaires (1)