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19/06/2011

ASSEMBLEE GENERALE DU 18 JUIN 2011.

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17/06/2011

COURRIEL DU PASTEUR VOLFF

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suite à : les Volff : une famille française !
 
 
 
Cher Jean-Pierre,
 
Je ne m'attendais pas à cette mise au point, mais elle était dans l'air du temps, et j'apprécie sa teneur.
 
Les destinées de la chair (notre sang, nos ancêtres, la terre et les morts) sont quand même étonnantes. Voilà douze ans que je suis retourné dans le pays où j'ai la plus grande part de racines traçables, et je vis à l'endroit même où a basculé le destin de ma famille, le 6 août 1870.
 
Petite anecdote d'ailleurs sur la branche maternelle, cette fois-ci, de mon père : au soir de la bataille, deux jeunes soldats bavarois passent à Spachbach (au sud-ouest de Woerth, à portée de Chassepot) devant la maison où l'oncle Henri (Henri Jacob, oncle de la grand'mère de ma grand'mère, fameux caractère restée dans l'histoire familiale sous le nom de "la grand' mère"), de sa fenêtre à l'étage, médite sur les évènements. Encore fanfarons de leur victoire, l'un des fantassins lance à l'autre : "Tiens, regarde le vieux, je me le descendrais bien". L'Alsacien, à la surprise des Bavarois, les bien compris : il ouvre alors grand sa chemise et lance au jeune blanc-bec : "Vas-y, ne te gêne pas !".
Les Jacob, Stoltz et autres Muller n'ont pas "opté", contrairement aux Volff. Du côté Jacob-Stoltz comme du côté Muller, il y aura par contre beaucoup d'émigration, à l'intérieur du Reich, en Amérique ou, pour mes deux aïeux, à Paris où ils se rencontreront. C'est là que le patriotisme français est tombé sur le père de ma grand-mère qui s'est retrouvé en pantalon rouge garance tout comme, par d'autres chemins, le père de mon grand-père.
 
Philippe

13/06/2011

Monsieur le ministre de l’intérieur n’a pas tort…loin de là !

 

 

 

Philosophie A (9).gif

 

Il faut une fois pour toutes mettre les points sur les « i » sans langue de bois. L’immigration en France a posé quelques problèmes dans le passé sans jamais porter atteinte à l’unité nationale. Successivement les Italiens, Polonais, Portugais, Espagnols, etc. et même Maghrébins, sont arrivés, se sont installés et ont intégré notre civilisation car la France avait besoin de cette main-d’œuvre et cela jusqu’en 1962 date après laquelle, à la fin des protectorats marocains et Tunisiens, on a offert l’indépendance à l’Algérie.

 Dès lors l’immigration algérienne s’est multipliée et l’on peut se poser la question : pourquoi ? Alors qu’un million « d’affreux colons » ont traversé la Méditerranée et que les Algériens se sont battus, sont morts, pour obtenir l’indépendance de leur pays, des centaines de milliers d’Algériens ont quitté « leur paradis retrouvé » pour se réfugier en France ? La réponse est simpliste : l’assistanat et les aides que nous leur offrons leur permet de vivre bien mieux que dans leur libre patrie.

Cette immigration massive est devenue un problème national, pour ne pas dire international, car s’il est vrai que le million de maghrébins de la précédente génération s’est parfaitement intégré une large minorité des 5 millions de nouveaux arrivants, qu’ils soient nés en France ou à l’étranger, refusent cette intégration et prétendent imposer leurs us et coutumes et leur religion en provoquant volontairement notre identité nationale. Ils n’acceptent ni les droits ni les devoirs de notre république laïque qu’ils insultent, diffament, détruisent, incendient, vilipendent, à tel point que nous refusons d’ouvrir les yeux sur le constat qu’environ 70% de la population carcérale appartient à leur communauté. Nous préférons nous attarder sur des problèmes mineurs tels que le port du voile, les repas halal,  le refus des femmes d’être soignée par un homme, les horaires particuliers pour celles-ci  dans certains lieux publics, les prières dans les rues de nos villes, etc.

Effectivement ces différents problèmes sont ennuyeux mais leur origine est ailleurs, elle est dans l’importance d’une présence sur notre sol de six millions d’individus de religion musulmane et c’est là que se situe le danger présent et surtout futur.

Nous nous glorifions d’une natalité supérieure à celle des autres pays européens, comme s’il s’agissait là d’une épreuve sportive mais la réalité est tout autre car cette natalité n’est pas le fait de nos femmes occidentales mais de femmes françaises d’origine nord africaine (voir la liste des mères de plus de 5 enfants des cinq dernières années en France) et c’est sur ce problème qu’il nous faut intervenir d’urgence car il est certain que les évènements actuels et futurs qui se déroulent dans les pays du Maghreb, nous le constatons chaque jour, produisent une très importante augmentation de cette immigration.

Dès lors il s’agit d’un problème de mathématique élémentaire, celui que fort justement redoutait le général de Gaulle : « Dans moins de 50 ans la France sera à majorité musulmane et ne pourra plus être une république laïque puisque la religion musulmane rejette les autres religions partout où elle est souveraine »

Cela devient pour nous Français plus urgent que le réchauffement de la planète, que le trou dans la couche d’ozone, etc. : Si cette immigration progresse et si la natalité issue de cette immigration n’est pas stoppée il est inéluctable que la France sera musulmane dans un demi-siècle.

Si c’est ce que nous voulons alors laissons faire les choses, si c’est ce que nous ne voulons pas il devient alors très urgent de stopper totalement l’immigration et même de la réduire…si possible !

Le ministre de l’intérieur paraît l’avoir parfaitement compris.

Des premières mesures doivent être prises :

-         Arrêt immédiat de toute immigration.

-         Expulsion de tous les « sans papiers »

-         Arrêt des primes après le troisième enfant.

-         Rétablissement de la nationalité par le droit du sang.

-         Application stricte de l’article 23-7 du code civil

Ce sont des mesures drastiques mais nécessaires pour la survie de notre identité occidentale et ce n’est pas le Parti Socialiste qui les appliquera.

 

Manuel GOMEZ

 

 

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11/06/2011

Maraude de clôture avec Jany Le Pen:Une marraine de coeur


Jeudi 6 mai au soir se clôturait la saison 2010 2011 des maraudes de l’Action Sociale Populaire (ASP). Pour cette occasion, nous avions l’immense plaisir de recevoir la marraine de notre Association, Madame Jany Le Pen.
La charge de marraine n’est pas un vain mot chez cette Dame de Coeur qui nous a prouvé jusqu’à très tard dans la nuit ce qu’entraide, fraternité et don de soi voulaient dire.
Il y a 15 ans déjà le Pasteur Blanchard et Madame Le Pen animaient ensemble la distribution de soupe populaire à Saint Lazare. Le Pasteur c’est près de 40 ans d’expérience dans le social, au service d’hommes et de femmes en souffrance. Autant de preuves concrètes que notre famille de pensée, la Droite des valeurs, est la seule réellement et concrètement attaché à la solidarité nationale.
21h nous rejoignons notre point de ralliement Porte d’Italie, notre équipe se forme, nous partons à deux voitures nous enfoncer dans les avenues de Paris.
La première halte, métro Sèvres-Lecourbe, ne devait durer qu’une quinzaine de minutes et c’est près d’une heure que nous y resterons ! Nous y retrouvons une petite communauté de 5 à 6 SDF, français et polonais, fraternellement regroupés, qui se sont organisés avec méthode un lieu de vie, de survie devrais-je dire. Nous sommes tout de suite frappés par la farouche dignité dans le regard bleu de ces européens.
L’un d’entre eux me montre ses papiers, parfaitement en règle, mais tout cela ne lui est d’aucune utilité. L’état français ne le reconnaît pas et lui refuse même l’aide médicale ! Mais diable sur quels critères cette injustice est elle fondée ? Je n’ose imaginer.
Jany Le Pen a eu la touchante attention de préparer des petits cadeaux pour nos amis visités cette nuit. Ce sont de très pratiques petites lampes de poche qui remportent immédiatement un incroyable succès et illuminent les tentes dans ce coin sombre au pied du métro aérien.
L’un des SDF nous demande assez vite qui est cette Dame qui très spontanément s’est assise au milieu du groupe, à côté de la seule femme et lui témoigne une affection non feinte (lui remettant notamment des produits de soin qu’elle avait précieusement préparé). Cette scène touchante n’échappe pas à notre camarade SDF, à qui le Pasteur indique discrètement l’identité de notre hôte. Après un instant d’hésitation et d’étonnement, c’est tout le groupe qui réalise que l’épouse du Président du Front National leur consacre sa nuit.

 

 

Le groupe s’agite soudainement et s’empresse alors de congratuler Jany, on ressent dans leurs yeux une émotion intense, un profond respect. En somme un hommage fraternel rendu au peuple français !
Nous quittons nos amis sous les vivas et les « Le Pen Président » lancés à la cantonade par nos amis avec leur accent de l’Est… Surréaliste.
Quelques heures plus tard, sur les quais de Seine, Austerlitz, le thermomètre est passé sous la barre des 10°, ce qui en soi n’est pas le plus dur pour ceux qui sont dans la rue mais ce soir le vent souffle continument. C’est pourquoi nous redoublons d’efforts dans la distribution de duvets et couvertures, très souvent recouvrant dans leur sommeil nos compatriotes. Nous en profitons pour leur déposer sardines, biscuits ou barres de céréales et imaginons les voir se réveiller dans quelques heures surpris par ce don du ciel.
Notre sang se glaça un instant face à un homme, allongé à quelques centimètres des voies sur berge, terriblement seul et sans signe de vie.

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Quelques longues secondes où nous nous cherchons tous du regard, l’angoisse tenaillée au coeur. Il finira, Dieu merci, par bouger. Notre ami et dévoué Christian,  bondissant  alors dans la voiture pour lui servir un bon café fumant d’arômes qu’il accepta avec reconnaissance.
Plus loin sur les quais, nous rencontrons une équipe de la police fluviale. Ils sont apparemment en patrouille à la recherche de quelqu’un ou de quelque chose, armés eux aussi de leurs lampes puissantes. « Nous recherchons des terroristes. Que faites vous ici ? » Nous lancent-ils.
A cette question certes un peu provocatrice, nous engageons la discussion pour mieux faire savoir la raison de notre action. Il faut dire que notre bon pasteur Blanchard, arborant son col romain et sa gapette n’a fondamentalement pas l’air d’un chef terroriste !
La discussion prenant assez vite une tournure plus légère, les policiers réalisent petit à petit qu’ils ont affaire à une équipe dans laquelle ils identifient Mme Le Pen, les bras chargés de sacs, le pas pressé d’aller à la rencontre des SDF, sans caméras ni journalistes, dans une véritable démarche personnelle de solidarité.
Une fois de plus dans cette soirée, je verrais le regard de nos interlocuteurs changer et tous nous quitter avec un profond respect pour notre Marraine de coeur et ainsi pour les idées que nous tenons tant à défendre.
Après encore beaucoup de rencontres, de paroles échangées, de poignées de main ou d’embrassades chaleureuses, des litres de cafés et de soupe offerts bien chauds, des kilos de vêtements et chaussures distribués, la maraude se terminera tard à 2H00, devant la gare St Lazarre.
Cette gare qui a bien changée mais où le Pasteur et Jany se remémoreront avec joie l’épopée des soupes populaires d’Entraide Nationale. Devant cette gare, avant de repartir, nous rencontrons un SDF, niçois d’origine qui engage aussitôt une discussion enflammée et sans fin autour de la politique, ses amis, ses rencontres et surtout les dates de naissance. Un autre, nous sommes tous unanimes pour dire qu’il s’agit du sosie de Daniel Guichard, avec qui nous terminons la soirée par quelques exemples du meilleur répertoire de la chanson française, entonnés simplement et chaleureusement par notre petite équipe. Une fois encore, magie de l’instant, surréalisme des rencontres
Surtout la fierté d’avoir contribué modestement à la solidarité de notre peuple
Merci Madame Le Pen

 

 

Patrice Hubert Secrétaire général de l’ASP du Pasteur Blanchard

08/06/2011

LE PANIER DE CRABES MARSEILLAIS DU PARTI SOCIALISTE

Jean-Noël GUERINI a été réélu président du conseil régional des Bouches du Rhône et cela malgré le rapport explosif confié à Martine AUBRY par l’un des prétendants socialistes à la présidence de la république M. Montebourg. Celui-ci dénonçait la collusion de ce triste personnage avec son frère l’entrepreneur Alexandre Guérini mis en examen pour détournements de fonds et de biens publics, recel, blanchiment, abus de biens sociaux, corruption active et trafic d’influence (excusez du peu…)

 

 

Voici un extrait de ce rapport : « Ce sont des pratiques effrayantes qui reposent sur un système de pouvoir et de captation d’argent, d’utilisation de l’argent public, de pressions sur les élus et sur les fonctionnaires. L’intimidation et la peur  étant l’arme quotidienne des deux frères. Les liens avec le grand banditisme sont dans le dossier judiciaire ».

 

 

Ce rapport est accablant et pourtant Martine Aubry ne veut pas en entendre parler, elle refuse de prendre en considération les preuves, elle le rejette. Après avoir prétendu l’avoir perdu elle a ajouté « qu’il n’y avait rien dedans » !!. Elle a préféré que le parti socialiste conserve la présidence du conseil régional même au prix d’un système mafieux dénoncé par un haut responsable de son propre parti.

Ne peut-on pas supposer qu’elle-même en ait peur et que les frères Guérini détiennent quelques fichiers brûlants concernant des procédés identiques dans la région Nord ?

M. Montebourg n’a pas avalé la pilule et il est certain que ce sujet reviendra très bientôt sur le tapis au cours des « primaires » du PS.

Que les électeurs socialistes marseillais se fassent rouler dans la farine par les deux frères c’est leur problème mais que le Parti Socialiste et Martine AUBRY ferment les yeux sur de telles accusations et nous proposent cette image de la « Nouvelle France », celle de demain, nous n’en voulons pas.

 

Manuel GOMEZ

 

 

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06/06/2011

LE FMI ET SES FRASQUES

 

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Nous allons évoquer les frasques du FMI, mais ce n'est pas forcément celles de DSK dont les médias nous abreuvent à longueur de journée. Il reste cependant qu'un observateur attentif et subtil peut probablement trouver des liens entre tous les phénomènes.

Pour sauver en quelque sorte DSK, la presse, les médias et tous ses anciens amis chantent les louanges de son action à la tête du Fonds Monétaire International (FMI) ; nous ne les suivrons pas sur ce chemin et à entendre dans la rue les peuples irlandais, portugais et grecs entre autres, nous ne sommes pas seuls.

 

UN STATUT EXTRAVAGANT

D'abord, il est absolument nécessaire en citant des chiffres que la presse a publié de rappeler le formidable prélèvement que cette institution internationale opère, pour ses frais de fonctionnement, par la force fiscale sur le monde entier. Citons quelques chiffres concernant le président déchu. Il touchait 500 000 $ par an. Son indemnité de séparation se monte à 250 000 $. Sa retraite de patron de l'institution lui garantit environ 80 000 $ par an jusqu'à la fin de sa vie. Ces sommes, pour être comparées à d'autres, doivent être affectées d'un coefficient multiplicateur pour tenir compte d'une exonération totale ou partielle d'impôt et du fait que c'est pour l'argent de poche, puisque que l'essentiel de la vie courante et bien au-delà fut assurée par l'institution. Comme il est de règle dans les dinosaures internationaux le statut abusif du sommet se répand en ondes bienfaisantes sur tous les échelons inférieurs. La bureaucratie du FMI compte 2700 employés ! Nous ne connaissons pas le coût total des frais de fonctionnement et probablement la moitié de ce chiffre doit est considéré comme un enrichissement sans cause pour les bénéficiaires.

Il est une règle absolue au sein de la dictature mondialiste, dont ce FMI n'est qu'un des multiples visages : plus les organismes sont importants, moins il y a de vrais contrôles et plus les fuites d'argent s'aggravent ; les titulaires vivent à l'abri dans une sorte de bulle financière et juridique dont ils ne cherchent surtout pas à sortir. En témoigne la bataille homérique pour se partager entre les nations les grandes fonctions internationales, bataille déjà engagée pour le FMI où les politiques de chacun des pays trouvent le moyen de s'échapper en quelque sorte par le haut.

Les analyses ci-dessus s'appliquent peut-être à mille « bourreaucraties » internationales exerçant à un titre ou à l'autre la dictature mondialiste. Quelles sont les personnes qui souffrent le plus de cette situation scandaleuse ? Ce sont les pauvres de toute la planète, car par répercussions successives la force fiscale sur laquelle repose ces édifices fait souffrir principalement les pauvres. La participation du démissionnaire à cette entreprise ne peut pas du tout être, pour ce seul premier motif, considérée comme positive contrairement aux déclarations de la presse et des médias et même si bien d'autres dans le monde se partagent ainsi injustement le butin international public

 

LES ACTIONS ENGAGEES

Encore, faut-il examiner cependant si les actions engagées sous son égide ont été positives.

Le FMI a apporté son concours en corrélation avec les États à des politiques de relance dans un grand nombre de pays. Or ces politiques sont véritablement catastrophiques et ne font que propager et prolonger la crise économique. En effet, elles reposent toutes sur l'intervention des États dans l'économie ce qui est tout à fait contraire à la liberté économique absolument nécessaire à la création de richesses. Cette intervention implique des impôts et des endettements croissants. L'objectif annoncé découle de l'idée qu'après le détour d'un certain nombre d'années les PIB augmenteront et pourront ainsi résoudre les diverses calamités que les mêmes États ont créées par leurs propres activités multiples et destructrices. C'est évidemment un faux raisonnement. L'observation quotidienne montre que les pays européens et en particulier la France, championne des politiques de relance, voient leurs économies traînasser dans une médiocrité qui ne s'arrête pas.

Ensuite, il est permis de constater qu'avec l'aide des diverses banques centrales, le FMI a maintenu le taux de l'argent à un niveau extrêmement modeste ce qui a conduit à créer de la fausse monnaie et à engendrer en particulier dans beaucoup de pays des bulles immobilières. Or, il est un principe sur le plan économique : le capital doit être payé à un taux normal permettant une allocation adaptée des ressources, ce qui ne fut pas le cas. Il en est résulté un grand nombre de calamités ayant frappé entre autres plusieurs pays comme l'Irlande, le Portugal et la Grèce.

Ayant été le pyromane, le FMI a-t-il été un bon pompier ? Pas du tout. En effet, les recettes appliquées l'ont été sur la base d'aides financières et les milliards ont valsé : un jour la Grèce a besoin de 60 milliards et le lendemain cela n'est déjà plus suffisant. Les pyromanes ont continué à attiser le feu. Puisqu'il s'agit de la Grèce, il paraît que la nouvelle aide pourrait se faire en échange d'une hypothèque sur de nombreux biens comme les sites olympiques construits en 2004. A quand la vente de l'Acropole qui, au demeurant, n'est qu'un temple dédié à une idole !

L'arrosage avec de la fausse monnaie s'accompagne généralement de l'exigence d'une diminution du déficit public d'une façon drastique et c'est là qu'apparait un autre défaut. Cette diminution est imposée avec des mesures très dures pour les populations comme par exemple le gel des salaires, le gel des retraites, voire des diminutions, le rabotage des avantages sociaux, du chômage en accroissement et des aggravations de la fiscalité. Dans la plupart des pays visés, ces programmes sont propres à détruire la richesse et pas du tout à la développer dans l'intérêt des populations. Ainsi s'explique que dans les divers pays, ces populations à juste raison protestent violemment dans la rue contre des mesures qu'elles ne comprennent pas.

 

LES PREDATEURS PUBLICS

Enfin, aucun sacrifice personnel important n'est demandé aux prédateurs publics qui dans ces pays comme ailleurs, sont uniquement attachés au maintien de leurs propres privilèges si extravagants soient-ils, le reste n'étant vraiment pas leur souci.

Une des caractéristiques de la dictature mondialiste en construction très avancée est la solidarité sans faille entre les manipulateurs du sommet. Ce tour de piste dans le prétendu génie du FMI et de son président déchu le montre abondamment. S'il semble abandonné par ses pairs, il fut encensé par eux dans diverses fonctions et pendant très longtemps.

Au début de cette analyse, nous évoquions des liens subtils entre les diverses catastrophes au sein du FMI. Ce n'est pas si subtil : la planète entière était au courant de tout !

Ces manipulateurs du sommet vivent dans une sorte de bulle psychologique et leur devise semble se formuler ainsi : « prédateurs de tous les pays, unissez-vous ».

Michel de Poncins

09:36 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

03/06/2011

Lettre ouverte du Pasteur Blanchard aux instances du Protestantisme Français

  

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Il y a de cela quelques années, alors que j’étais en grande précarité, mon ancien synode m’a hébergé. Il me fut demandé de me repentir de mes convictions politiques,et mon engagement auprès du FN. Mon refus me valut de ne pas être réintégré, de ne pouvoir desservir une paroisse. Depuis, la Fédération Protestante pratique envers moi la loi du silence, du cordon sanitaire.

Actuellement, comme mes actions caritatives font de plus en plus parler de mon association, je reçois de nombreuses lettres et appels téléphoniques… Visiblement, mes activités ne laissant pas certaines personnes indifférentes, je souhaite préciser aux instances du Protestantisme Français que mon seul désir est de préserver la paix ; de ne pas retomber dans de stériles querelles, comme à l’époque de la création avec Madame Jany Le Pen du Cercle des Amitiés Protestantes, en 1995.

Comme Abraham et Lot, assumons sans hostilité nos chemins différents. Sachez qu'à titre personnel je persiste et signe. Sans mandat d'aucune sorte, sans subvention pour mon travail social, comme citoyen libre je voterai pour Marine Le Pen lors des élections présidentielles : elle est à mes yeux le seul espoir pour la régénération de notre pays.

Pasteur Jean-Pierrre Blanchard Président de l'ASP

 

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01/06/2011

LE POUVOIR D'ACHAT

 

 

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La question du pouvoir d'achat est de nouveau sur la sellette, chacun des candidats potentiels à la future l'élection présidentielle prenant la posture sur ce sujet en s'efforçant bien entendu de se démarquer de la posture des autres. Le premier ministre vient de déclarer : « la question du pouvoir d'achat est aussi une priorité du gouvernement même si en la matière nous n'avons pas de baguette magique ». Dans la même intervention le premier ministre a fait à nouveau la promotion de la prime obligatoire de 1000 € dont nous avons décrit le caractère catastrophique. Un autre a pris un langage martial pour parler de donner « un coup de poing contre la hausse des prix » ! En 2008 Madame Christine Lagarde fut dépêchée dans un supermarché pour faire ses courses crayon en main et démontrer que le camembert n'avait pas augmenté ! Nous allons montrer qu'en fait, s'il n'y a pas de baguette magique, c'est parce que le gouvernement lui-même est à l'origine de la dégradation de ce pouvoir d'achat et que pour l'arrêter il faudrait qu'il se renonce à lui-même.

Cette question du pouvoir d'achat n'est qu'un aspect parmi d'autres de la paupérisation générale du peuple français. Celle-ci s'exprime de diverses façons comme le chômage, l'insuffisance des logements, la faiblesse des retraites allant parfois jusqu'à une vraie misère et bien d'autres manifestations. Un étalon de mesure se trouve dans la prospérité des restos du cœur : ces gens qui pilonnent l'économie française, soit pour détruire les industries et services, soit pour les chasser ailleurs, ont au moins une production qui marche bien c'est justement celle des restos du cœur.

L'Insee dans son étude annuelle sur les revenus montre qu'un Français sur deux vit avec moins de 1580 € par mois. Évidemment ces chiffres sont très difficiles à interpréter : il est plus facile d'être pauvre à Paris lorsque l'on a peu de revenus qu'en province avec les mêmes revenus. Les familles monoparentales souffrent bien davantage que les familles stables et unies ; il est remarquable également que les immigrés récents souffrent plus que d'autres.

 

LES CAUSES

Les causes de la dégradation du pouvoir d'achat sont bien connues des économistes. Elles se ramènent toutes à leur source commune, c'est-à-dire la socialisation générale du pays, entreprise et poursuivie par les gouvernements de toutes sortes depuis plusieurs décennies, quelles que soient les couleurs apparentes qu'ils se donnent pour gagner leurs élections.

Cette socialisation se traduit par l'interventionnisme abusif de l'État dans tous les domaines de la vie publique et privée ; les conséquences sont le poids des impôts et le déluge de réglementations polluant toute activité créatrice de richesse.

A signaler à ce sujet l'Autorité de la concurrence créée le 4 août 2008 pour succéder au Conseil de la concurrence qui, parait-il, ne faisait plus l'affaire. Le motif de la création était précisément le pouvoir d'achat, une concurrence accrue étant censée le favoriser. Les Autorités indépendantes, naviguant pratiquement sans contrôle véritable, sont l'une des causes de la paupérisation du peuple français et elles comptent parmi les moyens pour les prédateurs publics de s'enrichir indûment. La vogue des « observatoires » dont le nombre exact ne sera jamais connu se rattache à la même logique.

Ce qui domine le paysage c'est l'immensité de la richesse que les prédateurs publics captent à leur profit et qui en pesant lourdement sur l'économie écrase davantage les pauvres que les riches lesquels peuvent toujours trouver des solutions. Le calcul de ce prélèvement abusif est extrêmement difficile à faire. La socialisation met dans les mains de l'État des sommes d'argent et de moyens presque sans limite. C'est ce que j'ai appelé dans un livre aujourd'hui épuisé : « La République Fromagère » (R.F. pour les intimes ! ). Tous les jours et parfois plusieurs fois par jour, l'on voit dans le journal se manifester l'avidité des prédateurs publics pour arracher à leur profit telle ou telle partie du butin étatique.

Cela se traduit en particulier par la création de postes nouveaux et parfaitement inutiles pour les recalés du suffrage universel ou les ministres débarqués lors d'un énième remaniement ministériel. C'est aussi la création de structures abusives comme les Autorités indépendantes citées plus haut. Dans la gestion courante de ces dinosaures publics se trouvent d'innombrables parlottes qui brassent du vent et s'accompagnent de fêtes diverses. Quoi de plus confortable que de faire régulièrement la fête avec des amis !

Des calculs montrent qu'environ dix % du PIB s'évaporent ainsi chaque année. Les deux décentralisations, avec des structures parfaitement inutiles et même nocives sur tout le territoire national, ont déclenché une course fabuleuse en vue de dérober pour usage privé le butin des collectivités territoriales. Les projets insensés du Grand Paris et de la création de « Métropoles » s'inscrivent dans cette logique dépensière avec à la clé de confortables fromages républicains pour lesquels la bataille est déjà commencée : l'effet de paupérisation est garantie avec ces projets

 

LA MARGE DE MANOEUVRE

L'absence prétendue d'une marge de manœuvre est une des légendes répandues par les pouvoirs socialisants depuis des décennies. C'est complètement faux et la légende a pour but de permettre aux prédateurs publics de continuer la « danse devant le buffet », l'orchestre médiatique répétant à l'envi la légende. Les données énoncées plus haut montrent que la marge de manœuvre est considérable, puisqu'elle correspond exactement au degré de socialisation du pays.

Pour bénéficier de cette marge de manœuvre il faut détruire le socialisme morceau par morceau.

Destruction des dépenses publiques d'abord en choisissant les plus scandaleuses, les plus idiotes, les plus inutiles, les plus néfastes. Nous parlons bien de destruction et non pas de diminution. Les pouvoirs publics nous chantent perpétuellement l'utilité d'une simple diminution de ces dépenses : c'est une mauvaise chanson. Que signifie la suppression de quelques fonctionnaires si par ailleurs l'on crée une kyrielle de structures nouvelles pour gâter les camarades ? Le bon chemin est de supprimer des services entiers, ce qui supprime les bureaux, les palais, les dépenses de communication, les contentieux et les réglementations.

Parallèlement il faut évidemment supprimer des impôts. Dans cette action, comme dans les dépenses la bonne pratique n'est pas d'écorner simplement les impôts : cela ne servira à rien car l'impôt réduit renaîtra inévitablement de ses cendres. Il est nécessaire de détruire complètement certains impôts grands ou petits : plus de déclarations, plus de bureaux, plus de contentieux.

Pour utiliser la marge de manœuvre et retrouver la prospérité perdue, il faut donc bien renoncer au socialisme, cette vache sacrée, et amorcer un cercle vertueux qui élargira encore plus la marge de manœuvre.

A cette fin et pour gagner entre autres la bataille du pouvoir d'achat, les gouvernants doivent être clairs dans leur tête ce qui n'est pas gagné d'avance.

Michel de Poncins

10:50 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

30/05/2011

Christophe BARBIER vous me décevez énormément.

 

 

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Jusqu’à présent j’ai souvent apprécié vos analyses politiques mais hier, lundi, lors de l’émission « C dans l’air » vous méritez un zéro pointé.

A la question posée : « Le Front National est-il un parti républicain ? » Vous avez répondu : « Non car Marine Le Pen réclame le rétablissement de la peine de mort et du droit du sang au sujet de l’acquisition de la nationalité française et cela n’est pas républicain ».

J’en déduis donc que selon vous la France n’a pas été une république jusqu’en 1981 puisque la peine de mort et le droit du sang y étaient appliqués légalement et qu’elle n’est devenue « république » que grâce à Robert Badinter (1981) et Elisabeth Guigou (1998)… triste constat pour les républicains que nous sommes : « Tous les Présidents de la république avant 1981 n’étaient donc pas des républicains »…Ils doivent se retourner dans leur tombe et 20% des Françaises et des Français qui font la démarche citoyenne de remplir leur devoir électoral et votent Front National ne sont pas des « républicains »… Merci pour votre analyse Christophe BARBIER vous êtes un vrai « républicain démocrate ».

Ce qui n’est pas « républicain » Christophe BARBIER c’est de légiférer sur des lois contraires à la volonté des citoyens et sans leur demander leur avis mais pour cela il n’est pas trop tard et ce qui est « républicain » serait de le leur demander aujourd’hui par référendum et leurs réponses pourraient surprendre !!

 

Manuel  GOMEZ

09:34 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (1)

27/05/2011

Les VOLFF : une famille Française!

 

 

 

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Force est de constater que notre blog est de plus en plus visité,

 

 

Aussi par des personnes dont je ne soupçonnais pas

Qu 'elles puissent avoir un quelconque intérêt

pour ma personne et mes activités.

 

 

 

 

Il y a de cela pas mal de temps, j’avais fait un reportage

Sur mon meilleur ami le Pasteur Volff,

qui a visiblement été lu en Alsace et ailleurs.

 

 

 

Il a eu quelques remarques suite à mon article.

C’est pour moi l'occasion de redire

Que si mon ami Philippe ne renie en rien son passé militant,

Son évolution ( comme pour moi même aujourd'hui)  la conduit à des années lumière de la politique,

Pour laquelle il n'a plus grand intérêt.

 

 

La famille Volff a refusé de devenir Allemande.

Après la guerre de 1870, elle s'est installée en région parisienne.

 

 

Depuis cette époque, elle a été de tous les combats nationalistes.

 

 

Le grand-père de mon ami a été barré dans sa carrière militaire

 

 

pour avoir été de cœur avec nos compatriotes d'Algérie,

 

 

lâchement abandonnés.

 

 

Son père a été proche des mouvements pied noir,

 

 

avant de devenir il y a bien longtemps, candidat FN dans le Val D'Oise, c'étais une autre époque.

 

 

Ce sont des familles comme celles-là

qui sont l'honneur de notre pays,

 

 

Qui méritent le plus beau qualificatif :

Français.

 

V famille française 2.jpg

 

 

 

 

Pasteur   Blanchard