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19/11/2010

Ancienne Maraude

ASP : pré-maraude vue par Audrey responsable du FNJ Essonne

Posté par NP Info Ile-de-Francele 18 septembre 2010

 

Pré-maraude du 14 09 2010 (5).JPG

La misère humaine la plus sordide se terre dans l'environnement inhospitalier de la municipalité bobo-écolo-gauchiste de Delanoë. Les SDF sont les premières victimes d'une société inégalitaire, individualiste, matérialiste et ultralibérale.

Par Audrey, responsable FNJ Essonne

C’est au cours d’une réunion du FN Île-de-France que je pris contact avec l’un des membres de l’Action Sociale Populaire. Intéressée de prime abord par leur action en faveur de nos compatriotes les plus défavorisés, je pris contact avec le Pasteur Blanchard. Après une rencontre avec le Pasteur qui me présenta plus en détail le but de l’association et les actions concrètes que celle-ci menait tout au long de l’année, le Pasteur me proposa de participer à une pré-maraude.

C’est ainsi que nous nous retrouvâmes tous les 4 au domicile du Pasteur, dans le but de préparer les maraudes qui se dérouleront pendant les mois à venir. L’antique voiture du Pasteur  est rempli jusqu’au toit, de vêtements, café et autres soupes collectés auprès des adhérents et sympathisants de l’association.

Cette pré-maraude était pour moi le meilleur moyen de me rendre compte de la misère qui se cache dans les rues de Paris et qui passe souvent inaperçue aux yeux des politiques actuels.

J’ai pu ainsi rencontrer un couple qui dormait à même le sol, dans le dénuement le plus total. La femme s’appelait Isabelle. La quarantaine dépassée, pratiquement dénudée, le regard  perdu, et dont le physique laisse imaginer la dureté des conditions de vie dans les rues. Cette femme me touche tout particulièrement. J’ai alors ressenti une certaine gêne et incapacité à trouver les mots justes pour commencer ne serait-ce que le début d’un dialogue. En quelques secondes de nombreuses questions me viennent à l’esprit et je retiens celle-ci. Lorsque l’on est une femme, comment fait-on pour s’en sortir dans la rue, seule parmi un monde essentiellement masculin. Je me suis dit alors, que cette femme que je voyais pour la première fois, était une survivante. Dans cet environnement sans merci, le quotidien de cette femme et malheureusement de tant d’autres me fait froid dans le dos.

D’autres rencontres, parmi les nombreuses que nous ferons ce soir-là attireront un peu plus mon attention. Ainsi, Francis, connu de longue date des membres de l’ASP qui l’aide à survivre dans la rue depuis près de 10 ans, fut dans un premier temps un peu désorienté par notre venue, peut-être un peu surpris aussi. Lorsque nous sommes arrivés, il était allongé sur un matelas, enfin bien entendu c’est un bien grand mot pour définir ce sur quoi il était allongé. Après un certain laps de temps, il commença à nous confier quelques moments de sa vie et nous raconta quelques épisodes de son enfance qui furent particulièrement difficiles, de son passage à l’armée et puis tant d’autres encore. Francis aménage depuis 10 ans, son petit espace au bord de ce passage souterrain qu’emprunte chaque jour des dizaines de voitures sans même faire attention à notre homme. Il a réussi malgré tout à se bâtir son chez-soi comme chacun d’entre nous le fait dans son foyer.

À la fin de cette maraude, les maux du quotidien me paraissent bien futiles face à la détresse et aux dénuements de nos compatriotes que nous laissons aujourd’hui crever dans les rues de Paris.

Je remercie le Pasteur Blanchard, sa femme Catherine pour cette expérience auprès des plus démunis et Nicolas pour m’avoir accompagnée dans cette expérience particulièrement touchante. 

 

Commentaires

Commentaire par locktat134 le 18 septembre 2010 @ 12:05

Ouai et pendant ce temps, les associations sois disants humanistes défilent dans le rock pour les sans papiers !!!

Merci Nicolas !
Merci Bertrand !

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Commentaire par Marino le 18 septembre 2010 @ 12:44

‘Avis perso’ au FN Île-de-France

* Emplois : Delanoë épinglé
La Chambre régionale des comptes d’Ile-de-France pointe l’inflation des recrutements mais aussi des primes à la Mairie de Paris, dans un rapport dévoilé vendredi par Le Monde. Des « irrégularités » démenties par l’Hôtel de Ville.

http://www.lejdd.fr/Politique/Actualite/Emplois-Delanoe-e...

* Delanoë empêtré dans son deal avec Chirac

http://www.liberation.fr/politiques/0101654643-delanoe-em...

* Il est toujours intéressant de lire les commentaires pour connaïtre la « température des français »

*** Bien-sûr au Pasteur Blanchard, sa femme Catherine et FNJ

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Commentaire par alain le 18 septembre 2010 @ 12:44

Et Merci Audrey bien entendu !

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Commentaire par Marino le 18 septembre 2010 @ 12:46

Rectif :Bien-sûr un grand « MERCI » au Pasteur Blanchard, sa femme Catherine et FNJ

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Commentaire par bernard le 18 septembre 2010 @ 13:15

en France il ne fait pas bon d’être Français …

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Commentaire par claudio le 18 septembre 2010 @ 15:36

Le témoignage d’Audrey est saisissant.
Les conditions de survie de ces pauvres gens seront encore plus cruelles avec l’arrivée de l’hiver.
J’aimerais que les chefs d’entreprises du CAC 40 qui délocalisent leurs activités pour gagner toujours plus, partagent, ne serait-ce que deux jours, la vie des gens cités par Audrey.
Et que les bonnes âmes qui ne cessent d’exiger l’ouverture des frontières à tous ceux qui souhaitent s’installer en France, partagent durant tout l’hiver la vie de misère de ceux qui traînent dans les rues parcequ’ils n’ont plus rien.

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Commentaire par au secours la patrie le 18 septembre 2010 @ 15:57

Terrible la misère et la crise pourrait encore l’aggraver.

Depuis le mois de mai, j’essaye de chercher des infos, des avis d’économistes qu ‘une personne comme moi peut comprendre, pour savoir si on nous raconte la vérité sur cette crise..

J’ai trouvé ce site : LEAP : Laboratoire Européen d’ Anticipation Politique, chargé d’analyser cette crise, et plutot bien informé et qui anticipe la suite.

( ils ont annoncé la crise dès 2006 )

Tous les mois ils publient un bulletin GEAB.

Les Etats Unis s’enfonce dans une austérité sans précédent.

De nombreux américains connaissent la misère, et ça va encore empirer, d’autant plus qu ‘ils auraient un peu triché sur les chiffres..

Quel peut être l’impact sur l ‘Europe ?

Pendant que l’autre nain nous enfume avec les roms ou avec les retraites alors qu ‘on risque d’être nombreux à se retrouver sur la paille, ce qui risque de changer la donne pour les élections de 2012.

Pour l’instant il faut s’abonner pour avoir l’info, mais elle devrait être publiée dans un prochain bulletin.

« Les conséquences directes pour l’Asie et l’Euroland :

Découplage accéléré réussi ou chaos social

Dans les deux prochains numéros du GEAB nous reviendrons plus en détail sur l’Asie et l’Europe. Mais nous pouvons déjà anticiper les défis que vont soulever pour ces deux zones l’entrée des Etats-Unis dans la phase d’austérité… (page 21)
S’abonner »

Voici le liens des derniers bulletins :

http://www.leap2020.eu/Sommaires-des-precedents-numeros_r...

Voici ce qu ‘ils annonçaient dans le numéro 2

« 2- Les sept facettes de la crise mondiale en gestation
Les décisions américaine et iranienne de la semaine du 20 au 26 Mars 2006 vont catalyser en crise globale, sept crises sectorielles, affectant toute la planète dans les domaines politique, économique et financier, et probablement militaire : perte de confiance dans le Dollar, explosion des déséquilibres financiers américains, crise pétrolière, disparition du leadership américain, défiance du monde arabo-musulman, inefficacité de la gouvernance mondiale et incertitudes sur gouvernance européenne… (pages 4 à 7) »

inefficacité de la gouvernance mondiale et incertitudes sur gouvernance européenne…

Voilà qui donne raison au FN de revenir à notre monnaie et à un mode économique plus sain et lorsque dollars et euros ne vaudront pas plus que le papier Q, on pourra peut être rembourser notre dette.

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Commentaire par au secours la patrie le 18 septembre 2010 @ 16:05

J’avais oublié ces points.

- crise pétrolière,

- disparition du leadership américain, ( on ne va pas s’en plaindre, et donc pour le nouvel ordre mondial et le controle de l’ Europe par l’OTAN, ça à l’air plutot rapé.)

- défiance du monde arabo-musulman,( les voilà )

Tout celà en espérant que leur saloperie d’ UE éclate très vite, peut être avant 2012. Ce qui donnera raison au FN.

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Commentaire par barabas le 18 septembre 2010 @ 17:37

Bonjour . Merci a Audrey de nous éclairez sur tant de misères cela a du être très pénible mais très instructif et surtout de comprendre que des Français étaient dans la misères sans espoir d’un retour a la normal vue la situation de la France actuellement,cette France qui préfère priviligiès les étrangers en situations irrégulières aide de toute part . Merci au Secours la Patrie Merci a Marino je vous lis avec beaucoup d’attention ce que vous écrivez n’a rien de réjouissant l’Europe est finalement une vaste fumisterie qui profite seulement a quelques uns . Mr Le Pen était, est un visionnaire l’Europe va nous bouffez,pauvre France.

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Commentaire par bobo le 18 septembre 2010 @ 18:54

et dire qu il vaut mieux etre roms que clochard francais pour etre pris en estime par tous ces collabos ! notre que nos compatriotes n interesse pas nos bobo pourri jusqu a l os ! ils sont dechu de leur dfroit civique pour la plupart ! simple clientelisme rien de plus ! et dire que des cretins votent encore pour eux ! scandaleux !!!

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Commentaire par Marino le 18 septembre 2010 @ 19:23

« Inondations au Pakistan : l’ONU presse à nouveau le monde de venir en aide aux réfugiés »

Article sur le Point :

Le Haut commissaire de l’ONU pour les réfugiés Antonio Guterres a pressé jeudi la communauté internationale d’accroître son effort financier pour venir en aide au Pakistan, dévasté depuis deux mois par des inondations exceptionnelles.

*** Commentaire de Marino sur l’article :
Que font les « Émirats arabes unis » pour leurs fréres ?
Les Émirats sont l’un des plus importants producteurs et exportateurs de pétrole…

*** O.N.U : réunion ce jour des Ministres des Affaires étrangéres ! que va promettre le Médecin Kouchner sur le dos des con-tribuables français !

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Commentaire par Jenny le 18 septembre 2010 @ 21:53

Quelle formidable équipe dirigée par le sympathique Pasteur Blanchard qui a su depuis des années véhiculer les idées sociales propres à l’ASP au sein de cette grande famille politique qu’est le FN… en espérant un jour avoir la chance de pouvoir rencontrer le Pasteur Blanchard et son équipe.

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Commentaire par Stéphane le 18 septembre 2010 @ 23:57

Un grand bravo au Pasteur Blanchard

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Commentaire par Stéphane le 18 septembre 2010 @ 23:58

 

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Commentaire par bidule chose le 19 septembre 2010 @ 6:59

et oui, on aide les clandestins, les pays belliqueux à l’égard de l’occident… et on laisse mourir les nécessiteux Français !!! Honte à l’umps.

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Commentaire par caprice le 19 septembre 2010 @ 15:22

ou vont nos impots chez les milliardaires et les antis français on peut peut etre y remédier en votant FN s il n est pas trop tard . courage marine(Signaler un abus)

 

 

  

Pré-maraude du 14 09 2010 16.JPG

 

17/11/2010

LES COMITES THEODULE

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Un fait nouveau vient d'intervenir dans le fonctionnement intime de la « République Fromagère » (R.F.). Le pouvoir vient de s'apercevoir qu'il existe 697 comités « Théodule » pour conseiller le premier ministre et les autres ministres. Les étranges intitulés foisonnent : comité de la prévention et de la précaution (sic), comité national de l'initiative française pour les récifs coralliens, commission nationale d'indemnisation des dégâts du gibier. Sauf quelques suppressions, le pouvoir depuis 2007 en a créé une vraie marée : Grenelle de l’environnement, commission pour la libération de la croissance, conférence sociale sur les salaires et le pouvoir d’achat, comité consultatif de réforme de la carte judiciaire, commission chargée de l’élaboration d’un livre blanc sur la défense et la sécurité nationale, commission sur les PME et les marchés publics. Mentionner aussi la conférence sur l'emploi et le pouvoir d'achat avec plusieurs groupes de travail sur le Smic, les allégements de charges, et le revenu de solidarité active. L'architecture enchevêtrée est pleine de doubles emplois et de comités plus ou moins dormants. Les intérêts embusqués derrière chaque organisme sont tels que le ménage est impossible à faire sauf volonté politique qui n'existe pas.

Le projet de loi de finances pour 2011 évalue le coût de ce cirque à 25 millions d'euros mais nous allons voir comment cette évaluation manque complètement de sérieux.

 

L'ETENDUE DU DESASTRE

C'est un désastre économique car les entreprises croulent sous les impôts pour payer les fonctionnaires en excédent et nul besoin de commissions pour faire leur travail. Ce vrai maquis dépasse largement les 697 soudainement devenus à l'ordre du jour.

A l'échelon central il existe des autorités administratives indépendantes (AII), qui prolifèrent avec allégresse. Leur pouvoir dépasse celui des commissions puisqu'elle ne se contentent pas d'opiner du bonnet mais exercent de véritables pouvoirs. Voici quelques-unes d’entre elles : la Halde ou Haute autorité de lutte contre la discrimination et pour l'égalité, la C.R.E. ou commission de régulation de l'énergie, la C.N.I.L. ou commission nationale de l'informatique et des libertés, le C.S.A. ou conseil supérieur de l'audiovisuel. le conseil de la concurrence et bien d’autres. Tous ces « machins » quasiment indépendants sont dispensés de vrai contrôle financier.

Mais il faut ajouter les innombrables commissions des conseils régionaux, des conseils généraux et des grandes mairies. Le nombre total de ces commissions décentralisées est absolument impossible à connaître et doit être de l'ordre de 10000, ceci dans un meli-melo et un désordre épouvantable avec de nombreux doublons.

Ne pas oublier les « Hauts Conseils » dont la liste est impossible à faire (Il n'existe pas de Bas Conseil !). Un Haut Conseil s'occupe de l'assurance maladie ; il réuni 53 représentants de ceux qui se dénomment les forces vives de la nation et qui ne sont en fait que des branches mortes avec en particulier des syndicalistes.

 

LE POURQUOI ET LE COMMENT

Plusieurs explications peuvent permettre de comprendre ce véritable tsunami.

En premier lieu se situe le principe des calamités. Les pouvoirs dirigistes, créant des calamités diverses par leur propre action et ne voulant surtout pas réformer., déclenchent de nouvelles calamités pour prétendument corriger les premières : ce sera une commission ou mieux une nouvelle structure ; le semblant d'action permet de passer à autre chose après avoir communiqué pour faire croire que l'on s'agitait.

Le reclassement des camarades en perdition, une habitude dans ce « milieu » des politiques, est un des moteurs. Qui ne la respecte pas n'en bénéficiera pas le moment venu. Dans le foisonnement se trouvent beaucoup de cadres syndicaux. C'est un aspect parmi d'autres de l'opacité scandaleuse et d'ailleurs souvent illégale du financement des syndicats.

En toile de fond se situe le refus de l'économie de marché qui est la seule façon de créer de la richesse. La plus grande partie des problèmes dont l'État et ses succursales se saisissent abusivement se trouveraient résolus si le marché les géraient dans la liberté des contrats. Voici un exemple parmi des quantités d'autres ; beaucoup de conseils régionaux et généraux ont un comité du tourisme et à l'échelon national, idem, avec en plus un ministère du tourisme. Ce sont des organismes totalement abusifs ; les entreprises travaillant dans le tourisme sont seules qualifiées pour développer leur business. Les superstructures inutiles les écrasent par les impôts nécessaires pour les nourrir et financer leur luxe extravagant ; au lieu de les aider elles les ralentissent. Le même schéma peut être appliqué à toutes les calamités d'origine publique.

LES DEPENSES

Une grande majorité de ces structures ne dispose pas d'une véritable comptabilité. Quand il en existe elles ne rendent pas compte de l'essentiel.

L'essentiel c'est principalement le temps passé dans les parlottes le plus souvent sans aucun résultat concret : les rapports viennent vite garnir les étagères des fonctionnaires !. Ces parlottes rassemblent des personnes supposées de qualité qui pourraient créer de la richesse dans des activités privées au lieu de voir leurs talents dissipés dans la marée des structures publiques. Si par un calcul impossible à réaliser le nombre d'heures ainsi perdues était connu et multiplié par leur valeur, ce serait un total astronomique représentant une richesse purement détruite par la superstructure.

Il faut ajouter dans le coût global du cirque le désordre introduit dans tout le fonctionnement de l'économie. Les entrepreneurs, en particulier de moyennes et petites entreprises, qui sont les principaux créateurs de richesse dans le pays souffrent gravement de ce désordre : temps et énergie passé à comprendre, recherche épuisante d'aides éventuelles, attente insupportable de la réunion d'une commission qui se réunit tous les trois mois !

En évoquant à nouveau les syndicats, mentionnons que, dans la mesure où ces structures abritent bien au chaud des cadres syndicalistes, elles servent avec les impôts versés pour les nourrir à entretenir des gens qui s'attachent ensuite à détruire les entreprises et donc la richesse nationale par leurs actions.

 

L'EXEMPLE DE L'ECOLE


En 2003 l'école était en déroute et depuis longtemps. Une grandissime parlotte fut organisée par Raffarin dans toute la France ; treize mille établissements ont gaspillé des heures précieuses sur le sujet avec des milliers de réunions. Les moulins à paroles ont brassé du vent dans le vide. Au sommet une Commission nationale  régnait pour organiser la parlotte. Il existait pourtant un Haut Conseil de l’évaluation de l’école qui est peut-être encore là.  Quelle finalité donner à l’école ? » était une question soumise aux participants. Or les gens raisonnables pensent que la finalité de l'école est d’enseigner, ce qui pour des raisons idéologiques ne convient pas aux syndicats vrais patrons de l'Éducation Nationale. Plusieurs années après l'école est toujours en déroute.

La solution, pourtant, est connue et porteuse d'espoir : c'est la libération de l'enseignement en commençant par le bon scolaire qui marche fort bien ailleurs.

Au risque de paraître optimiste il faut affirmer que toute calamité étatique comporte des solutions à condition qu'elles ne soient pas noyées dans des comités Théodule avec des parlottes interminables.


        Michel de Poncins

 micheldeponcins@orange.fr

 


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12/11/2010

Impressions de maraude par Thiérry GOURLOT

 

 

 

 

Maraude du 4 11 2010 (12).JPG

Paris, il est 21 h00 et je me presse en compagnie de mon collègue conseiller régional de Lorraine (et SD du 54), Jean-Luc Manoury, à la rencontre du pasteur Blanchard et de son épouse Catherine à notre rendez-vous, Porte d’Italie.

Embrassades avec ce disciple moderne de St-Martin  du camps national et nous voila parti  pour une nouvelle maraude pour une nuit où les rencontres et émotions ne vont pas manquer.

 

Nous avons pu rencontré près d’une trentaine de SDF (sans domicile fixe) autrefois appelés clochards.

 

A chacun selon ses besoins et jusqu’à épuisement de notre stock, nous avons distribués, pulls, chaussures, chaussettes, couvertures, duvets, boites de sardines, café ou soupe chaude….Je retiendrai plusieurs « figures » par ailleurs bien connues du couple Blanchard.

 

En commençant par Yves, garçon intelligent et pétri d’humour, dormant sous une tente sous un pont de la RATP. Ma surprise, tout comme Jean-Luc fut de voir ses chaussettes blanches immaculées lors d’un essai d’une paire de chaussures. La rue n’empêche pas la propreté et le respect de sa dignité. J’ai remarqué aussi une petite médaille de la vierge miraculeuse de la rue du bac attachée à son pull. Nous avons eu du mal à nous arracher de sa sympathique gouaille….plus loin au pied de l’Hôtel Marriot à Denfert Rochereau, un couple dormant lui aussi sous une tente sous un pont RATP. Isabelle et Jean-Luc. Isabelle a essayé (et gardé)  une casquette, puis des chaussettes. Isabelle est très coquette, elle m’a montré les chaussettes qui « affinent » ses jambes et d’autres qui pour elle « ne ressemblent à rien ».

La rue et la drogue n’ont pas encore détruit sa féminité et une certaine grâce qui se dégage d’elle.

 

Son compagnon d’infortune, Jean-Luc était moins loquace mais une certaine fierté émanait de lui au côté de sa compagne. Un autre SDF, présent, qui discutait avec deux bénévoles de la Croix Rouge, présente sur les lieux leur à désigné du doigt, le pasteur  et son épouse en déclarant : « vous les voyez, eux, avec leur voiture pourrie, il n’ont aucun moyens comparé a vous, mais ils ont un cœur gros comme ça »  Et, là, j’ai pu voir une larme couler sur les joues du pasteur.

Continuant notre route, nous sortons du carton ou il à élu domicile, tel un Diogène actuel, Francis. L’un des « chouchous » du pasteur.  Francis, ancien militaire et natif de Nancy,  était heureux de rencontrer deux lorrains et de se trouver des points communs avec Jean-Luc, outre Nancy ou ils ont vécus, ils sont tous deux cavaliers et du même signe astral…un grand moment de partage.

 

Puis nous « visitons » un polonais qui nous fit défiler sur son portable, un flot d’images de la vierge et du christ, témoignant par la, de l’importance de la foi pour tenir dans ses conditions.  Puis des roumains, des russes, deux africains, défoncés par le crack, dormant à même le sol et avec qui, il fut impossible de communiquer, ne répondant pas à nos appels, vivant leur « trip » à fond.

Je me souviens d’un vieil arabe, pieds nus, démuni de tout, allongé sur une bouche du métro, qui après lui avoir servi un café chaud, nous dit « bonne chance et merci ». Cette parole chaleureuse d’un homme qui n’avait rien m’a bouleversé.

 

Je retiendrai aussi dans mes pensées, Michel, le « moulin à paroles » du « boul-mich » qui nous dit : « quand j’étais plus jeune et qu’on évoquait l’an 2000, on pensait à une crise nucléaire entre l’Amérique et la Russie, personne n’avait vu venir la crise sociale ».

Enfin, n’ayant plus de café, ni soupe, ni héla de couvertures à distribuer a ceux qui en manquent, ils nous restait à saluer Catherine (si discrète et si présente à la fois, tel un ange..) et Jean-Pierre.

 

Cette courte présence aux côtés de ce couple qui se dévoue quotidiennement au service de l’autre et en particulier de nos compatriotes les plus démunis, comme l’expérience de cette nuit laissera des traces. Nous sortons renforcé dans notre volonté d’agir en faveur d’un grand combat social au sein du mouvement qui porte tant d’espérances, le Front National.

 

 

 

Thierry GOURLOT, Président au conseil régional Lorraine du groupe Front National, menbre du bureau politique du Front National.

 

 

 

 

 

 

 

11/11/2010

Mon premier livre sur Martin HEIDEGGER

 

Martin Heidegger Philosophe Incorrect de Blanchard, Jean Pierre - Livre

Blanchard, Jean Pierre - 1997 - Poche  

Martin Heidegger est il le plus grand philosophe de ce siecle ? était il chrétien ou antichrétien ? Nazi ou antinazi? , le pasteur jean pierre Blanchard fait voler en éclat tous les mensonges...

 

10:34 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0)

10/11/2010

ASP : la maraude vue par Jean-Luc Manoury

 

ASP LorraineLe jeudi 04 novembre, le pasteur Blanchard, président de l’Action sociale et populaire m’a fait l’honneur de me convier à une maraude à Paris en compagnie de Thierry Gourlot, président du groupe FN au Conseil régional de Lorraine.

C’est la première fois que je participais à une telle expérience avec ce serviteur de Dieu qui a mis le social au bout de ses idées et qui avec une poignée de bénévoles avec le parrainage bienveillant de Jany Le Pen, sillonne Paris pour aider les plus démunis.

Jadis l’on appelait clochards ceux qui dormaient dans la rue et aujourd »hui parce que ce mot a une connotation péjorative, l’on parle pudiquement de sans domicile fixe. Derrière la sémantique il y a une augmentation d’exclus sans toit, 10.000 dans la capitale dont 3000 dans le 3ème arrondissement de Paris.

Partant de la porte d’Italie à 21h00 nous avons sillonné les différents arrondissements de la capitale, une bonne partie de la nuit. J’ai avec Thierry, le pasteur et Catherine son épouse dévouée apporté des vêtements, des chaussures, de la soupe, du café, des boîtes de sardine à des sans-abris et surtout un peu de réconfort à ceux qui en marge d’une société d’opulence, à proximité des immeubles cossus vivent dans la précarité sous une tente, un carton ou parfois à même le sol.

 

Tous avaient à notre égard, une immense reconnaissance car nous passions un peu de temps à discuter avec eux. Ce qui m’a frappé c’est la mauvaise santé, le manque d’hygiène pour certains ou pour d’autres au contraire comme Yves essayant une paire de chaussures, des chaussettes immaculées. Surtout la solitude, l’isolement de ces personnes abandonnées cherchant refuge dans l’alcool ou dans la drogue et puis surtout l’immense pudeur de ces écorchés de la vie, fatalistes face à leur situation.

Honte à notre société, au gouvernement UMP, à la mairie socialiste de Delanoë. Comment accepter qu’une immigration planétaire ait droit (à un logement aidé, à des soins gratuits) alors que beaucoup de français sont dans la rue.

C’est ainsi qu’au hasard de notre pérégrination nocturne, nous avons rencontré Francis, un Lorrain, originaire de Nancy, orphelin de naissance qui après avoir servi la France dans l’armée, a aujourd’hui pour unique demeure un carton et comme compagnon d’infortune le « pinard ». Il a tenu, après nous avoir narré sa vie de galère, et notamment les pressions quotidiennes de la police municipale pour lui faire quitter son territoire, à se faire prendre en photo avec des compatriotes lorrains.

Le Front National est à la croisée des chemins et son avenir va se jouer autant au plan politique que social. En attendant qu’il arrive au pouvoir et prenne des mesures efficaces il faut aider le travail métapolitique de cette association caritative soit en donnant du temps, de l’argent ou en fournissant des vêtements. J’ai ainsi pu remettre une couverture tricotée par une grand-mère

Comme le disait Victor Hugo dans Quatre-vingt-treize : « vous voulez les misérables secourus, moi je veux la misère supprimée ».

Le Front National lorsqu’il sera au pouvoir, pourra combattre les causes économiques mais aussi sociales de la précarité en soutenant des associations bien ciblées, qui viendront apporter au soutien moral et financier à nos compatriotes en réduisant les subventions des associations dédiées à l’immigration et en appliquant la préférence nationale.

Jean-Luc Manoury, membre du Comité central, vice-président du groupe FN au Conseil régional de Lorraine

09/11/2010

GREVES : MENSONGES ET VERITE

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Malgré le vote de la loi, la bataille n'est pas finie et il n'est pas exclu qu'elle se prolonge longtemps. Il ne faut pas oublier que la promulgation éventuellement prochaine n'empêchera pas un très grand nombre de recours. Ces recours sont si nombreux que dans la France d'aujourd'hui personne n'est jamais sûr de la valadité d'une loi qui peut même être annulée rétroactivement. L'on peut aussi imaginer pendant une période intermédiaire toutes sortes de négociations secrètes entre les acteurs avec d'étranges retournements !

Le monde entier a vu avec stupéfaction la France s'offir une sorte de théâtre de marionnettes où chacun jouait avec conviction le rôle du guignol qui lui revenait de droit. Le tout s'est déroulé sur fond de mensonges variés.

 

LES RETRAITES

Le premier mensonge fut d'affirmer que le projet était une réforme capable de sauver les retraites dans le cadre de la répartition, ce qui n'est pas vrai ; le système est condamné pas seulement par la démographie mais par sa nature même. Reculer l'âge de départ à la retraite dans un avenir incertain ne peut pratiquement servir à rien. La capitalisation, seul moyen d'assurer l'avenir des retraites et en particulier de sauver la répartition pour ceux qui veulent y rester, fut absolument exclue, sur ordre exprès d'un quarteron de chefs syndicalistes. C'était une grève contre une non réforme.

Nous avons déjà dit ce qu'il fallait penser de ces collégiens qui annoncaient dans la rue faire grève pour leur future retraite : pur mensonge car la meilleure façon pour un collégien de préparer sa retraite est de travailler afin de gagner sa vie et de pouvoir épargner pour ses vieux jours.

Un étrange raisonnement fut énoncé. L'accroissement naturel du PIB grâce aux progrès techniques devrait permettre aux gens de travailler moins longtemps c'est-à-dire de prendre plus tôt leur retraite. Résumons sans vraiment rire : de longues études et la retraite au plus vite, ceci grâce aux robots !

Un mensonge couramment proclamé y compris dans les cortèges est que Sarkozy serait un « ultra-libéral », terme doublement injurieux dans la sémantique à la mode. Pour juger sereinement il ne faut pas s'arrêter aux déclarations d'un président qui bat la campagne depuis son élection en 2007, la campagne se déroulant au hasard des sondages : le jugement doit se porter sur les actes. Depuis plus de deux ans le pouvoir a engagé le pays dans une marche forcée vers le socialisme. Il y a un ministre de l'industrie ce qui est tout à fait typique d'une orientation socialiste ; pendant ces événements, ce ministre est intervenu dans certains dossiers d'une façon tout à fait autoritaire et anti liberale. Nous reviendrons prochainement sur cette marche forcée vers le socialisme qui n'est pas perçue par tous tant le rôle de chacun dans le théâtre des marionnettes est figé.

 

LES MULTIPLES ET PRETENDUES GREVES

La grève est la rupture d'un contrat de travail généralement en vue d'améliorer les conditions de ce travail. Toute autre manifestation de colère n'est pas une grève mais une sorte de guerre.

Ces guerres furent si nombreuses pendant cette période et continuent de l'être qu'il n'est pas possible de toutes les énumérer. Des ports ont été bloqués avec des dommages irrémédiables aux armateurs et à l'environnment économique. Actuellement, des aéroports sont bloqués obligeant les passagers à traîner eux-mêmes leurs bagages sur de longues distances. De même les attaques contre la circulation et contre les raffineries ne peuvent en aucune façon être assimilées à des grèves. Le personnel des raffineries jouit d'un statut très privilégié ; en arrêtant ces raffineries, ce personnel a déclaré une véritable guerre au peuple français qui a besoin absolument de rouler.

Cela ressemble tout à fait à la véritable guerre permanente qu'un groupe de syndicalistes cheminots a déclarée aux dix millions de banlieusards habitant la couronne de Paris et qui ne sont jamais sûrs depuis très longtemps de trouver un train à l'heure ; cette guerre permanente s'est rallumée pendant ces évènements.

Un autre mensonge courant est d'affirmer que le droit de grève étant inscrit dans la constitution (on se demande pourquoi) serait supérieur à tous les autres droits. Or le droit de circuler librement, de travailler, le droit de propriété sont normalement supérieurs au droit de grève.

Une contrevérité par omission fut de ne voir dans les médias que des personnes favorables à la grève et de ne jamais entendre l'immense peuple qui sait bien qu'il faut travailler pour préparer sa retraite. Dans cette désinformation mensongère les médias reçurent l'aide de sondages trafiqués faisant croire à une approbation populaire.

À la revendication principale et mensongère pour la retraite comme nous l'avons décrite ci-dessus il s'est très vite ajouté d'autres revendications multiples et variées n'ayant pas de rapport du tout avec la retraite : les salaires, l'emploi des jeunes, celui des vieux, le pouvoir d'achat, le bouclier fiscal... .

Le plus guignolesque dans le jeu des marionnettes fut lorsque les grévistes publics prétendirent faire grève pour représenter les privés empêchés par leur mauvais patrons d'arrêter le travail (sic). Il faut reconnaître qu'il est difficile pour des agents publics d'imaginer que les privés sont les seuls créateurs de richesse et que le vrai patron c'est le client c'est-à-dire souvent eux-mêmes. Le scénario des éboueurs de Marseille est assez drôle ; ils ont arrêté leur grève s'apercevant qu'ils travaillaient contre eux-mêmes en ne travaillant pas !

Nous passerons sur la non-représentativité des syndicats qui est ben connue et dont nous avons déjà traité.

 

LES RUINES

C'est évidemment la ruine. Le gouvernement par la voix de Chistinne Lagarde a couru au secours des grévistes en déclarant que les dommages à l'économie étaient finalement négligeables. Ce type de calcul est absolument faux car il n'est pas possible de totaliser toutes les pertes réalisées au niveau d'une multitude d'entreprises petites, moyennes et grandes s'ajoutant aux destructions visibles.

En outre, le dommage principal est l'image détestable que l'étranger a reçu de la France. Une décision de délocalisation se prend à un moment donné et il s'en prend tous les jours. Il est évident que pendant ces événements des décisions ont été prises dont nous ne connaîtrons jamais les effets sur l'emploi. Qui peut mesurer l'étendue de la ruine due au blocage de Marseille ?

Quant aux dégâts moraux ils sont inconnus et inchiffrables. Que dire de ces collégiens poussés dans la rue avec l'idée d'y préparer leur avenir (sic), alors que l'opposition manifestait une satisfaction discrète devant la perspective d'accidents irréparables ?

 

UNE VERITE

Dans les cortèges, l'anti-sarkozisme était et reste visible s'inscrivant sur des pancartes : le pouvoir actuel fut rendu responsable de tous nos malheurs. Il est difficile de nier que ce n'est pas sans raison : ayant tout centralisé d'une façon inattendue au sommet de l'Etat le voici devenu la cible. Mais il y a un paradoxe : si les manifestants l'accusent c'est à cause de son ultra libéralisme supposé. Or, s'il est responsable, c'est bien au contraire pour ne pas avoir desserré le carcan socialiste qui étouffe la France depuis si longtemps, alors qu'il a aurait pu et dû faire dès l'été 2007.

Le théâtre des marionnettes nous réserve décidément bien des surprises !

Michel de Poncins

micheldeponcins@orange.fr

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04/11/2010

Maraude du 4 Novembre 2010

02/11/2010

LE PASTEUR JEAN-PIERRE BLANCHARD...

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...sur METAPEDIA

 

Jean-Pierre Blanchard est une figure de la Droite nationale

prolétarienne française, chapelain de Jany Le Pen,

il est à l’origine des premières "soupes au lard",

distribuées dans les rues de Paris et de la création

tant de Fraternité française que de l’Entraide nationale,

associations caritatives,

ayant émergé respectivement dans les années 1980 et 1990.

Il préside actuellement l'Action sociale populaire.

 

Biographie :

 

Né en Languedoc d'un père ancien ouvrier devenu gendarme,

il découvre la dureté du travail à la chaîne,

au cœur des années 1960, dans une usine à Mazamet,

où le futur pasteur devint d'ailleurs un ouvrier modèle.

Mai 68 explose, avec lui son cortège de rêves.

Prenant conscience de sa vocation de travailleur social,

le futur pasteur des pauvres découvre l'étendue de la misère,

en tant qu'animateur de l'Armée du Salut à Paris 13e.

Croyant, de culture protestante, il devient pasteur à Paris 15e,

après un stage pastoral et une ordination au Saint Ministère.

Dans les années 1970,

les errements idéologiques de sa génération

le pousseront au festival de l'île de Wight,

dans les rangs de la Ligue communiste d'Alain Krivine,

puis dans l'aile situationniste des Maoïstes,

pour finir dans les fêtes de Lutte ouvrière.

Dans les années 1990, seul le Front national,

et surtout Jany Le Pen, de culture et de foi protestante,

lui permettront de réaliser son grand dessein,

une vraie soupe populaire au cœur de Paris,

face à la gare Saint-Lazare,

une soupe de nuit ouverte à tous les miséreux de la capitale.

Même L'Humanité le reconnaît à l'époque,

c'était un succès en terme de population aidée.

En 1997, il sera nommé par Jean-Marie Le Pen

au Comité central du Front national,

mais les soubresauts liés au "putsch" de Bruno Mégret

mettront fin à cette aventure caritative,

le pasteur étant considéré par les caciques du FN

comme un "mégrétiste" honteux.

En 2005, le Pasteur Blanchard portera

sur les fonts baptismaux l’Action sociale populaire (ASP)

qui recevra un soutien certain du Front national.

Et, en 2008, il sera intégré à l'organigramme officiel du FN

comme responsable des actions sociales

au sein du cabinet du secrétaire général.

 

Œuvres :

 

 

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Communiqué

 

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Notre blog a été l'objet d'un piratage par un groupe qui se fait appeller "Noël vaincra". Il faut croire que les succès de notre association suscitent bien des jalousies, puisque toutes les notes et commentaires ont été éffacé, ne laissant qu'une partie de nos albums.

Nous allons tenter de récupérer, auprès de notre hébergeur, les informations détruites. L'intrusion frauduleuse dans un système informatique est un délit passible de 45000 euros d'amende et de trois ans d'emprisonnement. L'ASP est déterminée à faire valoir ses droits et entamera les démarches nécessaires pour confondre et poursuivre ces flibustiers. Et ce, sans relâche ni faiblesse de notre part...  

 Que ceux qui se rabaissent à de tels procédés sachent que l'intimidation non seulement ne change rien mais renforce notre volonté de continuer notre combat pour la défense des Notres. A bon entendeur...

                                      Le Conseil d'administration de L'ASP

 

01/11/2010

BIODIVERSITE : LA CHIMERE EN CROISSANCE

La chimère de la biodiversité est une petite sœur jumelle de celle du réchauffement et lui ressemble étrangement.

 

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Elle a rassemblé du 18 au 29 octobre 2010 pour une grande parlotte à Nagoya au Japon les plus hauts dirigeants de 193 pays s'y sont succédés avec des milliers d'experts venus à grand renfort de CO2 ! Un accord a été obtenu pour faire avancer la chimère. L'exemple plutôt douteux du GIEC était couramment invoqué afin d'essayer de consolider l'ensemble.

L'arme de la terreur est manipulée sans vergogne. Les dauphins du Mékong meurent. En 2050 les requins auront disparu. Il s’ajoute que les albatros, splendides oiseaux océaniques dont l'envergure peut atteindre jusqu'à 3,5 mètres, sont très menacés. Tous les experts annoncent que la population mondiale du tigre a chuté de 95 %, seuls 4000 spécimens résistants encore dans la nature.

Avec le réchauffement nous serons cuits selon les experts. Si nous ne portons pas remède à la supposée disparition des espèces, la vie sur terre deviendra impossible et si des mesures totalitaires au niveau des États ne sont pas prises, il faudra dans l'urgence chercher une planète de rechange (sic).

Pour donner une apparence scientifique à tous ces cauchemars, le Programme des Nations Unies pour l'Environnement (PNUE), qui est au centre du dispositif, rêve de chiffrer la valeur des écosystèmes afin que les décisions étatiques les prennent en compte. La pyramide de l'édifice statistique nécessaire pour faire ces calculs sans fondement fait frémir. Sans attendre et sans rire, des experts arrivent d'ores et déjà à chiffrer à 23 500 milliards d'euros par an les services rendus par la nature, soit la moitié du PIB mondial.

 

LA COMPLEXITE EFFROYABLE DU PROJET

Une différence existe cependant avec la grande sœur du réchauffement, car les adorateurs de cette nouvelle religion sont arrivés à simplifier les objectifs : l'ennemi abattre est le CO2, devenu l'objet d'une haine universelle, légale et commerciale. Pour la biodiversité la complication est extrême ce qu'au Japon les fidèles ont du admettre.

Des interrogations redoutables se présentent. Faut-il reconstituer les espèces telles qu'elles étaient en 1900, ceci au risque d'une histoire incertaine à explorer ? Faut-il protéger les espèces telles qu'elles sont en septembre 2009 ? Faut-il protéger la totalité des espèces ? Nous nous trouvons devant une tâche évidemment impossible car le Créateur a disposé des centaines de millions d'espèces dont une toute petite partie, simplement, est connue ; le début de l'exploration des abysses sous-marins nous découvre des horizons infinis.

En outre, des découvertes permanentes dévastent les statistiques déjà fausses par nature. Il ne restait plus, parait-il, que 50 000 à 60 000 orangs-outangs vivant à l'état sauvage dont 80 % en Indonésie et 20 % en Malaisie. Or une colonie de plusieurs milliers d'individus fut découverte à l'est de Bornéo.

 

LES INTERETS EMBUSQUES

Comme dans toute chimère mondialiste, les intérêts qui poussent à l'extension sans limite du cauchemar sont considérables et étroitement soudés. La secte des écolos s'y prélasse avec délices. La France a une secrétaire d'État à l'écologie (sic), Madame Chantal Jouanno. Dans son sillage et jusqu'au niveau local ainsi que dans les ONG subventionnées se trouvent une foule de fonctionnaires, para-fonctionnaires ou experts s'enrichissant soit modestement soit grassement sur la bête si l'on ose dire. Des homologues existent partout dans le monde : cela fait éventuellement dix millions de fonctionnaires embarqués pour la magnifique croisière.

Un seul exemple : en France il existe partout des personnes payées pour compter les oiseaux ( sicissime) ; au demeurant, c'est un travail fort sympathique qui se passe dans la nature et évite de s'ennuyer dans un bureau ; c'est moins dangereux que de compter les orangs-outangs. La complication est forte car quoi de plus fugace qu'un oiseau ? Mais justement d'autres intérêts arrivent pour faciliter la tâche ; pour compter ce qui est impossible à recenser il faut du matériel et d'autre part des consultants qui travaillent à la méthode ; une fois le matériel créé et la méthode bâtie, des formateurs surviennent : que de marché juteux !

 

L'EFFET DE RUINE

Ce dernier arrive comme toujours dans toute activité publique et par les mêmes canaux.

D'abord les immenses sommes d'argent dérobées par la force fiscale aux peuples bien conditionnées en vue de financer ce cirque mondialiste génèrent de la pauvreté par une succession de mécanismes bien connus.

Ensuite surviennent des dégâts collatéraux pour faire plaisir à des membres de la secte plus actifs que d'autres. Le coût du TGV pour Marseille a été majoré à l’époque pour protéger un unique couple d’aigles de Bonnelli, dont, au demeurant, il n’est pas sûr que la trace ait été retrouvée. A cette fin, le trajet a été modifié et le chantier fut interrompu à plusieurs reprises. Il a fallu aussi complaire aux castors et, notons bien la précision, aux plobates cultripèdes qui sont, comme tout le monde ne le sait sans doute pas, de rarissimes crapauds.

Puis arrive l'effet habituellement destructeur des règlementations publiques, telle Natura 2000. C'est une directive européenne qui depuis 1992 établit partout des zones rurales où aucune activité n’est autorisée, sauf accord des bureaucrates de Bruxelles. Le prétexte est de défendre précisément cette biodiversité. La France a proposé 800 zones représentant 5 % du territoire. A ce titre des camarades des chauves-souris ont voulu sévir dans une commune parce qu’un quart des chauves-souris prétendues rares avaient élu domicile dans une caverne se trouvant sur son territoire. La directive a pour effet de paralyser ou de ralentir toute nouvelle activité, sauf accord du préfet, dans les territoires malheureusement visés. De ce fait, elle génère chômage et paupérisation.

 

L'HOMME EST-IL DE TROP ?

Voici une autre ressemblance avec la grande sœur jumelle . L'homme serait de trop dans la nature, idée voisine de la culture de mort et de la propagande pour l'adoration de la déesse terre-mère, dénommée Gaïa.

Que faire dans tout ce tumulte ?

Pour échapper à la ruine et aux tendances totalitaires des écolos, il faudrait reconnaître et diffuser sans cesse que l'homme n’est pas capable de diriger les espèces et qu'il doit simplement dans le cadre de sa raison voisiner avec ces espèces telles qu'elles sont, tout en en tirant d’ailleurs le meilleur parti.

A cette fin, laissons jouer le droit de propriété et son corollaire la liberté des contrats. Ceux qui aiment particulièrement les chauves-souris ou les tigres, ou les vipères peuvent très bien s'organiser à leur propre échelle dans le cadre du droit naturel et sans nuire aux autres. De même les plus grands et plus beaux animaux peuvent être exploités librement avec parfois la création de fonds d'investissement. Si ces animaux risquent de disparaître, leur valeur augmentera et les propriétaires légitimes prendront les mesures adéquates.

Il est important en terminant de constater que la quasi-totalité de la population aime la nature et peut fort bien s'en occuper dans la liberté et la variété des situations. Seuls les dirigeants écologistes peuvent être considérés comme des ennemis objectifs de la nature puisqu'ils veulent l'asservir à leur propre pouvoir ainsi qu’à leur richesse personnelle, tout en empêchant les autres de s’en occuper… .

Michel de Poncins

 

micheldeponcins@orange.fr

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