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04/01/2019

Maraude du 03/01/2018..........

 

 

01/01/2019

Il est temps de juger les juges !

 

 

 

 

 
 
 

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L’affaire Outreau a mis en lumière l’impact dramatique d’une erreur judiciaire. Dans ce cas précis, c’est la médiatisation de l’affaire et la présence de ténors du barreau qui ont permis l’ouverture d’une enquête parlementaire. Mais combien d’autres affaires ont vu la condamnation d’innocents ou le classement sans suite d’affaires impliquant la responsabilité évidente de magistrats, ces derniers bénéficiant du corporatisme de leurs pairs, l’institution judiciaire se contentant de laver le linge sale en famille. Récemment, encore, un juge d’instruction de Nanterre, poursuivi pour avoir pourtant commis un faux évident, a bénéficié d’un non-lieu.

 

 


 
Un homme politique, un militaire en zone de combat, un policier ou un avocat encourent tous différents types de responsabilités.

 

 


 
Prenons l’exemple de l’avocat, affublé de manière méprisante du qualificatif « d’auxiliaire de justice ». Ce dernier engage sa responsabilité professionnelle civile vis-à-vis de ses clients, déontologique vis-à-vis de ses confrères et pénale dans l’exercice difficile de sa profession qui le place au cœur de secrets et de confidences (obligation de dénoncer son client ou agissements dont il a connaissance). Et il n’est pas rare de voir des juges d’instruction essayer de déstabiliser la défense en s’en prenant à l’avocat.

 

 


 
Il en est de même pour le policier ou le militaire en opérations qui agissent souvent avec des ordres flous de leur hiérarchie et qui serviront de fusible au moindre dérapage.

 

 


 
Le magistrat ne sera jamais responsable que vis-à-vis de sa hiérarchie, contrairement à l’avocat qui, s’il est jugé en première instance pour les fautes disciplinaires par des confrères, sera jugé en appel par des magistrats professionnels. La responsabilité des magistrats qui ont commis une faute personnelle se rattachant au service public de la Justice ne peut être engagée que sur l’action récursoire de l’État. Toutefois, l’action récursoire de l’État à l’encontre d’un magistrat ayant commis une faute personnelle se rattachant au service public de la Justice n’a jamais été mise en œuvre.

 


 
S’il place en détention provisoire de manière abusive un innocent, c’est, le cas échéant, l’agent judiciaire de l’État qui paiera avec les deniers public, c’est-à-dire avec votre argent.

 


 
On entend bien l’argument a contrario qui consiste à dire qu’une telle responsabilité fragiliserait les décisions de Justice et ferait peser une épée de Damoclès au-dessus de la tête des juges. Mais cela signifie que les juges seraient les seuls à échapper à un véritable contre-pouvoir à l’heure ou la Justice est décriée. Or, nous ne sommes pas devant la justice divine mais devant une justice humaine imparfaite, par définition, où tout parti pris, négligence ou passion sont par définition inacceptables.

 


 
C’est la raison pour laquelle une véritable réforme judiciaire digne de ce nom doit envisager une telle responsabilité pénale et civile des magistrats pour des actes graves.

 

 

Certes, la loi organique du 22 juillet 2010 a fixé les conditions dans lesquelles les plaintes des justiciables sont examinées contre les juges présumés fautifs.

 

 

Cependant, d’une part, cette responsabilité est cantonnée au domaine disciplinaire alors qu’elle devrait être étendue aux domaines pénal et civil et, d’autre part, en quatre ans, 1.278 dossiers ont été enregistrés, dont seulement 29 ont été déclarés recevables, soit 2,25 %. Surtout, la composition du Conseil supérieur de la magistrature, une fois passé le filtre de la commission d’admission des requêtes, prise en sa formation disciplinaire, comprend majoritairement des magistrats, même si on y trouve également quelques personnalités nommées par les présidents de la République, du Sénat et de l’Assemblée nationale.

 

 


 
Il convient donc que les juges ne soient pas jugés par d’autres juges pour les affaires pénales et civiles commises dans l’exercice de leurs fonctions.

 

 


 
C’est la raison pour laquelle il conviendrait de créer une commission tripartite pour juger les juges pour les faits les plus graves, commission qui serait composée d’avocats, de juges et de citoyens, à l’image des jurés, pour exercer un véritable contre-pouvoir et éviter cet incroyable corporatisme et ce sentiment d’impunité qui place les juges au-dessus des lois.

 

 

10:29 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (1)

28/12/2018

Catherine: la mascotte de l'ASP:

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Depuis les origines de l'association, Catherine, la femme du Pasteur, par sa gentillesse, sa disponibilité, son sens de l'écoute, sa générosité, joue un rôle fondamental au sein de notre association.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Qui, de l'équipe, un jour de grande solitude, n'a pas apprécié son sens de l'hospitalité du gîte et du couvert ? Sa présence à nos maraudes et efficace et rassurante, discrète mais efficace elle est un élément décisif de nos actions. Elle est aimée par tous les membres de l'ASP, mais aussi par tous ceux qui ont de prés ou de loin à faire avec notre association. Tous nous lui sommes reconnaissants de son investissement, sans lequel nous n'aurions certainement pas réussi : on peut dire qu'elle est la mascotte de l'ASP.

 

 

 

 

                                      

 

             

 

 

    Alexandre SIMONNOT, Secrétaire-général de l'ASP

 
 
 

26/12/2018

FROID !!!

 

 

 

 

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21/12/2018

Maraude de Noël: 20 / 12 / 2018.......

 

 

18/12/2018

Alain de Benoist : « Pour le monde médiatique, le monde extérieur, le monde réel, n’existent pas… »

 

 

 

 

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Ce n’est un secret pour personne : les quotidiens nationaux se vendent de moins en moins, certains étant même, tels Libération et L’Humanité, artificiellement maintenus sous perfusion financière. Il est, pourtant, des pays où la presse papier reste florissante. Comment expliquer ce paradoxe ?

 

 

 

Deux remarques pour commencer. D’abord, quand on parle de la crise de la presse française, c’est en fait de la presse parisienne qu’on veut parler. La presse régionale se porte un peu moins mal, bien qu’elle soit en général peu attractive. Tradition jacobine oblige, tout ce qui se veut d’audience « nationale » se doit d’être à Paris. Deuxième remarque : les journaux emploient des journalistes, mais il y a longtemps que ceux-ci ne les possèdent plus. Dix milliardaires, marchands d’armes, banquiers, représentants de l’industrie du luxe ou du bâtiment possèdent, à eux seuls, 89,9 % des quotidiens nationaux. Pourquoi Dassault, Bouygues, Lagardère, Drahi, Niel, Bernard Arnault investissent-ils dans la presse ? Certainement pas par philanthropie. Ils se targuent tous, la main sur le cœur, de ne pas peser sur les choix rédactionnels, mais ils n’ont nul besoin le faire : il leur suffit de s’assurer que ne seront jamais recrutés des adversaires de l’idéologie dominante (ce qui leur est assez facile, puisque les écoles de journalisme forment déjà à cela).

 

 

 

Pourquoi la presse se porte-t-elle si mal ? D’abord, bien sûr, parce qu’elle est mal faite. Quand on les compare à la presse quotidienne italienne ou allemande, le caractère misérable des quotidiens français saute aux yeux. Mais la cause principale, c’est évidemment la défiance envers les médias. Elle est, aujourd’hui, générale, mais elle est particulièrement significative quand elle s’exerce vis-à-vis de ceux qui sont censés informer. Les gens constatent que l’information est biaisée et qu’elle ne reflète en aucun façon ce qu’ils voient tous les jours autour d’eux. Les journalistes ne jouissent plus de la moindre autorité morale, la preuve en étant sur un certain nombre de problèmes-clés, au moins 80 % d’entre eux pensent exactement le contraire de ce que pensent 80 % des Français. Comment s’étonner de cette désaffection quand, comme le disait Guy Debord, « le vrai n’est plus qu’un moment du faux » ?

 

 

 

Autrefois, les journaux professaient des idées différentes. Aujourd’hui, on a l’impression qu’ils disent tous plus ou moins la même chose. Pourquoi ?

 

 

 

Journaux, télévisions, partis politiques : depuis trente ans, tous disent plus ou moins la même chose parce que tous raisonnent à l’intérieur du même cercle de pensée. On zappe sans cesse, mais on n’entend qu’une voix. La pensée unique est d’autant plus omniprésente dans les médias qu’elle s’exerce dans un micromilieu où tout le monde a les mêmes références (les valeurs économiques et les « droits de l’homme »), où tout le monde se tutoie et s’appelle par son prénom, où les mêmes relations incestueuses unissent journalistes, hommes politiques et show-business. Pour ces gens-là, le monde extérieur, le monde réel, n’existe tout simplement pas.

 

 

 

Et comme leur discours ne passe plus, ils sont de plus en plus haineux, de plus en plus hargneux. La campagne visant à faire en sorte qu’Éric Zemmour ne soit plus invité par aucun média en est un exemple parmi bien d’autres (souvenons-nous de l’affaire Richard Millet). Les pyromanes jouent aux pompiers, et les porteurs de fausses nouvelles font semblant de s’en prendre aux « fake news » pour mieux s’ériger en tribunal. On assiste à ce spectacle incroyable de journalistes qui dénoncent leurs confrères et pointent du doigt ceux qu’il faut ostraciser. Ayant déjà perdu le pouvoir culturel, ils s’efforcent de constituer un contre-pouvoir, non plus face à la puissance d’État, mais face aux pensées non conformes, ce qui les transforme en petits flics, en curés inquisiteurs, en procureurs au petit pied pour le compte de l’idéologie dominante, c’est-à-dire, comme toujours, de la classe dominante. Autrefois, la presse était victime de la censure. Aujourd’hui, elle est devenue le vecteur principal de la censure. « Le problème, dit Frédéric Taddeï, aujourd’hui exilé sur RT Francec’est que vous n’avez plus de vrai débat à la télévision française et que ça n’a l’air de gêner aucun journaliste. » Derrière tout cela, il y a de la peur. La peur d’une vague qui monte et que rien, bientôt, ne pourra plus endiguer.

 

 

 

Il est souvent prétendu qu’à sa manière, Internet réhabiliterait la lecture, et qu’en fait les Français liraient de plus en plus. Pieuse illusion ?

 

 

Le cinéma n’a pas tué le théâtre, la photo n’a pas tué la peinture. On sait bien, aussi, qu’Internet et le papier se complètent plus encore qu’ils ne se font concurrence. Mais il ne faut pas tout confondre. Quand on parle de la lecture dans le grand public, il faudrait déjà savoir qui lit quoi. Le lecteur de Closer et celui du Débat n’ont pas tout à fait le même profil ! Quand on dit que 91 % des Français lisent des livres, ce qui place la France au neuvième rang des pays qui lisent le plus (les États-Unis n’occupant que la 24e place), on ne sait pas toujours si ce sont des polars ou des œuvres littéraires de haute volée.

 

 

Ensuite, la lecture à l’écran est très différente de la lecture d’un livre imprimé. Outre que la première est cause d’une fatigue visuelle beaucoup plus intense, la façon dont l’œil se déplace en lisant n’est pas la même. La lecture numérique est souvent interactive ; contrairement à la lecture papier, elle ne se limite pas à une seule tâche à la fois. Les spécialistes de psychologie cognitive l’ont observé : à l’écran, la lecture se fait en diagonale et par saccades, dans l’immédiateté, ce qui interdit le retour en arrière, la pensée profonde et la réflexion critique. Les circuits neuronaux doivent s’adapter à cette perte des repères spatiaux, due à la disparition d’un lien logique dans la lecture. Si Internet « réhabilite la lecture », c’est donc d’une autre lecture qu’il s’agit. Les enseignants ne devraient pas l’oublier.

 

 

Entretien réalisé par Nicolas Gauthier

 
 

 

09:47 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

14/12/2018

UN CAS SOCIAL EPINEUX:

 

 

 


  

 

 

Il m'arrive souvent, et de plus en plus, suite à des articles dans la presse amie, ou à des passages sur les ondes de radio Courtoisie, de recevoir des appels téléphoniques qui sont de véritables SOS. Comme celui de cette famille de province, obligée d'accueillir un oncle marginal revenant d'Amérique, cet extravagant leur rendait la vie impossible, je pus, grâce au bon soin d’Oscar, lui trouver un hébergement en région parisienne.

 

 

 

 

 

 

 

 


Quelque mois plus tard, je reçois un appel d'une des filles de la famille qui vit dans la capitale. Elle me téléphone pour me dire qu'il avait quitté le centre de réinsertion où il ne se plaisait pas, pour venir squatter chez elle. Elle lui avait trouvé une chambre chez un particulier, mais il refusait d'y aller, sous prétexte que la propriétaire ne voulait pas que l'on fume à l'intérieur. Elle était désemparée. Ne sachant que faire, je lui dis qu'il ne fallait pas céder au chantage, c'était la chambre ou le retour en foyer. N'ayant pas d'autre choix, il accepta. Elle me téléphona pour me remercier. Il fallait entendre les mots de gratitude et de soulagement de cette femme, pour être conforter dans la conviction que nos modestes actions et conseils ont leur utilité.

 

 


  
Pasteur Blanchard   

 

12/12/2018

Maraude du 11 /12 /2018..........

 

 

 

11/12/2018

Lorsque la droite européenne était socialiste:

 

 

 

 
 
 
 

 

 

Dans un précédent article (Pourquoi la droite sociale ?), nous montrions que la droite légitimiste et la droite bonapartiste avaient été à la pointe du combat social. Il nous faut aller plus loin aujourd’hui. En effet, la droite traditionaliste et la droite révolutionnaire se sont réclamées du « socialisme » comme alternative au matérialisme marxo-libéral. En France et en Allemagne, le socialisme a pu recouvrir une signification tout autre que celle du collectivisme. Dans le premier pays, il a pu être défini comme un système économique où la justice sociale occupe le premier plan. Alors que, dans le deuxième pays, il apparaît comme un anthropologisme recouvrant la communauté du peuple.

 

 

 

Historiquement, ce sont Édouard Drumont et Maurice Barrès qui utilisent les premiers l’expression « socialisme national » pour désigner le recours indispensable à une économie solidaire dans une nation organique. De son côté, Charles Péguy s’est dit « socialiste », tout en récusant le jauressisme : « Le socialisme qui était un système économique de la saine et de la juste organisation du travail social, est devenu sous le nom de jauressisme et sous le nom identique et conjoint de sabotage, un système de désorganisation du travail social et en outre et en cela, une excitation des instincts bourgeois dans le monde ouvrier, un entraînement des ouvriers à devenir, à leur tour, de sales bourgeois. » Péguy stigmatise plus généralement la domination de l’argent – il est l’auteur de L’Argent, suivi de l’Argent (suite) -, non en raison d’un égalitarisme niveleur, mais parce qu’il souhaite une plus grande équité dans la répartition des richesses. C’est là plus qu’une nuance.

 

 

 

Charles Maurras et les Cahiers du Cercle Proudhon se sont également revendiqués d’un socialisme corporatif et mutualiste tour à tour. Le maître de Martigues a pu écrire : « Le socialisme libéré de l’élément cosmopolite et démocratique peut aller au nationalisme comme un gant bien fait à une belle main. » Dans les colonnes de L’Action française, on peut même lire : « Le nationalisme sous-entend une idée de protection du travail et des travailleurs, et l’on peut même, au moyen des calembours qui sont fréquents en politique, y faire entrer l’idée de nationaliser le sol, le sous-sol, les moyens de production. Sans calembour, un sentiment national plus intense, avisé par une administration plus sérieuse des intérêts nationaux, en tant que tels, pouvait introduire dans l’esprit de nos lois un compte rationnel des fortes plus-values que la société ajoute à l’initiative et à l’effort des particuliers, membres de la nation. Cette espèce de socialisme nationaliste était viable à condition d’en vouloir aussi les moyens, dont le principal eût dépendu d’un gouvernement fortement charpenté. Si l’État doit être solide pour faire face à l’Étranger, il doit l’être bien davantage pour résister à cette insaisissable étrangère, la Finance, à ce pouvoir cosmopolite, le Capital » (2 août 1914).

 

 

 

De leur côté, Pierre Drieu La Rochelle et Maurice Bardèche font appel à un « socialisme fasciste »dans une perspective européenne. Un « socialisme européen » loué plus tard par Jean Mabire.

 

 

 

En Allemagne, le courant Jeune-Conservateur prône un socialisme soldatique et communautaire. Arthur Moeller van den Bruck constate : « Chaque peuple a son propre socialisme. » Il renvoie à Oswald Spengler (Prussianité et Socialisme) et à Werner Sombart (Le Socialisme allemand). Un socialisme national qu’il ne faut pas confondre avec le national-socialisme…

 

09:51 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0)

07/12/2018

MON AMI LOUIS.

 

 

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Depuis tout ce temps que nous nous connaissons,

 

nos racines de sudistes ont fini par créer des liens.

 

En effet, nous partageons la même origine :

 

celle de "Montagne Pyrénées",

 

cet amour sans borne pour notre région,

 

et pour le rugby.


Il a gardé l'accent que j'ai perdu dans les brumes du nord.

 

 

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J'avais trois ans quand mon père, devenu Gendarme,

 

fut muté à Saint-Quentin.

 

Dix ans plus tard, suite à une autre mutation,

 

nous voilà de retour à Mazamet.

 

Le temps de passer mon certificat d'étude à l'école du Gravas,

 

et de m'entendre dire par mon paternel

 

que j'étais bon pour devenir ouvrier délaineur.

 

L'accent ne change rien,

 

nous nous reconnaissons entre peuplades du sud,

 

par une certaine manière de parler,

 

par des tics, des expressions qui nous sont propres,

 

que nous sommes seuls capables de décrypter.

 

Ce fut le cas entre Louis et moi,

 

ce qui, de suite, a généré de la sympathie,

 

presque une forme d'amitié, 

 

cette inexpugnable fidélité à nos valeurs et notre terre.

 

C’est pour cette raison que je me réjouis de savoir 

 

qu'il a depuis toujours soutenu nos campagnes de soupes à St Lazare puis de maraudes. 

 


 
 
                                              

Pasteur  Blanchard

 

 

 

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