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21/05/2019

Gilets jaunes : ce bilan accablant que vous ne lirez nulle part ailleurs:

 

 

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Il y a six mois que le mouvement des gilets jaunes s’est imposé en une de l’actualité, avec des temps forts et de cruelles déceptions, tant chez les manifestants que du côté du gouvernement.

 

 

On a assez répété que la force du mouvement faisait aussi sa faiblesse. Sans chef ni ligne de conduite, le 8 décembre, il a fait peur au pouvoir, physiquement peur, et ce dernier ne l’a pas pardonné. D’où une répression inédite.

 

 

Pour les analystes, le mouvement devait disparaître dès lors qu’il n’ouvrait aucune perspective politique nouvelle. Il suffisait d’attendre. Pour le gouvernement, l’administration d’une bonne raclée avant Noël ne pouvait que précipiter les choses et clore ce regrettable épisode ; le jeu trouble avec l’extrême gauche ultra-violente faisait partie du scénario. Fin décembre, le pire était passé, pensait-il, et on allait pouvoir se souhaiter une bonne année.

 

 

Début janvier, il fallut déchanter. Les gilets jaunes, toujours soutenus par la majorité de la population, étaient à nouveau sur les ronds-points et au cœur des villes emblématiques. Changement de tactique, donc. L’heure était au grand débat et à la performance physique du débatteur. Sept heures d’affilée sur tous les sujets, sans note et sans même prendre le temps de faire pipi – une performance, vous dis-je. On apprit, après coup, que le public était trié sur le volet et les questions préalablement soumises à l’intéressé.

 

 

Après avoir eu un Président commentateur de sa propre inaction, on attendait un chef, un vrai – Jupiter, disaient-ils – et on découvrit un animateur de débat connaissant, certes, toutes les ficelles du métier mais ayant perdu toute idée de la fonction présidentielle.

 

La morosité gagnait : entre des gilets jaunes qui se retrouvaient chaque samedi parce qu’ils étaient là le samedi précédent, et un Président courant après les débats dans toute la France comme un canard fait encore le tour de la basse-cour quand on lui a coupé la tête, il faut bien avouer que ce début d’année avait un côté surréaliste.

 

 

N’était l’intermède des Champs-Élysées, où le ministère de l’Intérieur chercha à faire porter la violence des Black blocs sur les gilets jaunes, nous n’aurions pas vu passer les semaines.

 

Aujourd’hui, le grand débat est clos. 24 % des interventions porteraient sur l’écologie ; je peine à le croire. Il est certain, en revanche, qu’à l’heure des synthèses et des propositions, il y aura beaucoup de déçus chez les gilets jaunes. En dehors du fameux référendum d’initiative populaire, qu’aucun homme politique responsable ne peut à bon droit accepter, les gilets jaunes n’ont pas réussi à présenter une seule demande forte et imparable par le gouvernement et soutenue par la base et l’opinion.

 

 

Cette déception, qui pourra même virer à la colère, sera renforcée par l’incompréhension quasi maladive dont font preuve, aujourd’hui encore, à l’égard du mouvement et le Président et le gouvernement. Car, mis bout à bout, les faits sont accablants. Dernier en date : la provocation de l’installation de 400 nouveaux radars encore plus puissants.

 

 

Mais on pourrait aussi ajouter :

 


– la frénésie de comparutions immédiates et les sanctions disproportionnées ;
– le dévoiement des règles d’emploi de certaines armes de maintien de l’ordre ;
– l’inconscience du transfert de certaines gardes statiques à l’opération Sentinelle ;
– la duplicité qu’il y a à signer le pacte de Marrakech en prétendant qu’il n’engage à rien ;
– la hargne tranquille mise à détruire la famille ;
– l’irresponsabilité de vendre sans raison le patrimoine économique de la France ;
– et, d’une façon plus générale, l’usage systématique du deux poids deux mesures quand il s’agit d’accabler le peuple.

 

Sauf événement majeur, le gouvernement a toutes les chances de faire triompher ses propositions et de remporter une victoire inespérée. Que les gilets jaunes se rassurent : ce sera une victoire à la Pyrrhus, de celles dont l’Histoire nous enseigne qu’il eût mieux valu ne pas les remporter.

 

 

 

09:42 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

17/05/2019

Ancienne maraude.......

 

 

 

ASP : L'ETERNEL RETOUR...

 

 

 

 

 

Notre combat

 

 contre la misère sociale

et pour la préférence nationale

n’a jamais été aussi juste !

 

 

 

 

Mardi 22 Décembre

 

Nous avons participé à la dixiéme maraude de Noël avec Catherine et le Pasteur Blanchard.

 

 

 


Les Maraudes, ces tournées nocturnes à la rencontre des sans-abris parisiens, sont pour chacun de ceux qui les vivent une expérience sans commune mesure, de celles de nature à vous transformer, en tout cas qui ne vous laissent pas indifférents.

 

 

 


La majorité de nos accompagnants reviennent de ces maraudes « touchés » par la dignité des personnages rencontrés, « émus » par les situations de grande détresse, « surpris » par la grande culture de certains et dans tous les cas « révoltés » par l’injustice grandissante d’une société dans l’incapacité d’offrir à ses propres compatriotes les voies de la réussite sociale.

 

 



Durant cette nouvelle saison, un grand nombre de nos amis de droite nationale, provenant de toute la France, se succéderons aux côtés du Pasteur Blanchard  pour, l’espace d’une nuit,  venir en en aide à nos compatriotes délaissés.

 

 



Qu’ils en soient  tous remerciés !

 

 



La rue parisienne, c’est une caisse de résonance implacable des maux de la société française,  dont nous ne cessons de dénoncer les dérives, seuls  depuis des années :

 

 

 

 

• Démantèlement du système de soins et de protection sociale

• Paupérisation des travailleurs

• Impossibilité d'accéder à un logement décent

• Préférence étrangère dans les centres d’hébergement

• Perte du sens de la solidarité entre les générations

• Insécurité grandissante

• Ouverture incontrôlée des frontières 

 

 

 



Un dernier exemple, alors que le gouvernement tente de nous endormir sur le pseudo contrôle des frontières aux portes de Schengen, nous pouvons témoigner du tsunami migratoire qui est en cours et qui voit affluer à Paris des centaines de migrants irréguliers.

 

 



Cette nuit du 22 Décembre nous retrouverons des sans-abris  provenaient de  tout horizon…. Autant d’individus déboussolés à qui l’idéologie mondialiste a promis un eldorado, qu’ils ne trouveront finalement pas chez nous car notre pays n’en a plus les moyens.

 

 



Cette nuit du 22 Décembre nous nous répétons que nos moyens sont dérisoires, que la tâche est immense pour sortir nos compatriotes de la misère.

 



Mais cette nuit du 22 Décembre, nous partons en fin de nuit, convaincus que notre combat est juste et que nous parviendrons demain à changer la société.

 

 

 

 

 

Gilles CLAVEL
Vice-président de l’ASP

 

 

 

 

 

 

 

 

 

15/05/2019

Maraude de clôture: 14 / 05 / 2019.......

 

 

 

14/05/2019

Si les Français sont déficients, à qui la faute ?

 

 

 

 
 

 

 

Ainsi serions-nous inintelligents, dénués de subtilité et peu enclins à la réactivité intellectuelle pour comprendre, intégrer et accepter la « politique macronienne » ?

 


Diantre ! Ils nous en diraient tant !

 

 

Gilles Le Gendre, « caporal-chef » du bataillon de godillots de la majorité au palais Bourbon, aurait dû profiter du changement des moquettes du « Château » pour y dénicher, bien dissimulés dessous par les locataires successifs, des rapports soustraits aux regards profanes et oreilles chastes.

 

 

Que nous « apprendraient » ces documents, pourtant publics, que l’on ne saurait analyser au grand jour dignement, à défaut de les accepter avec humilité, afin d’en tirer les enseignements aussi inéluctables qu’impérieux : que notre société est déficiente en littératie et en numératie !

 

 

Notions ainsi définies par l’OCDE (Organisation de coordination et de développement économiques) :

 

 


– La littératie est « l’aptitude à comprendre et à utiliser l’information écrite dans la vie courante, à la maison, au travail et dans la collectivité en vue d’atteindre des buts personnels et d’étendre ses connaissances et ses capacités ».

 

 


– La numératie correspond à « la capacité d’une personne de comprendre et d’utiliser des données mathématiques à l’école, au travail et dans la vie de tous les jours ; par exemple, pour utiliser de la monnaie et établir des budgets, pour utiliser des mesures en cuisine ou pour lire une carte ».

 

 

Qu’il s’agisse des différents rapports de l’OCDE, des résultats PISA (programme international pour le suivi des acquis des élèves) ou même des statistiques relevées par nos armées en partenariat avec les missions locales lors de la JDC (Journée défense et citoyenneté), tous ces documents aboutissent au même constat affligeant : nous avons, dans notre pays, une réelle déficience d’acquisition de compétences dès le plus jeune âge !

 

 

Alors, de deux choses l’une, soit :

 


– nos dirigeants politiques feignent de ne pas être conscients de cet état de fait et ce serait là la preuve de leur incurie ou, pire, de leur mépris à l’égard de la population de notre pays ;

 

 


– c’est à funeste dessein qu’ils laissent une telle situation se dégrader d’année en année, comme le montrent tous ces rapports, afin d’asseoir leur soif de domination et de contrôle d’une part toujours plus significative de la population.

 

 

Si Emmanuel Macron, Gilles Le Gendre et consorts peuvent consacrer dix petites minutes à relire la Déclaration universelle des droits de l’Homme édictée par l’Organisation des nations unies en 1948, et plus précisément son article 26 (« Toute personne a droit à l’éducation »), peut-être prendront-ils conscience d’un fait accablant : la France n’est plus la Terre universelle des droits de l’Homme !

 

 

C’est cela que la population de notre pays vient de clamer ces dernières semaines et toujours à l’heure où sont écrites ces lignes : que la France redevienne une nation qui protège et respecte sa population !

 

 

Notre jeunesse, si belle et si pétrie de potentialités, est en situation d’extrême danger !

 

 

Monsieur Le Gendre, cela est pourtant simple à comprendre, bon sang de bonsoir !

 

09:09 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

10/05/2019

Maraude du 09 /05 /2019..........

 

 

 

07/05/2019

« Réconcilier les deux France ? » Le problème, c’est qu’il y en a trois, et peut-être plus…

 

 

 

 

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C’est le titre d’une série de grands entretiens du Figaro, qui est allé interviewer sociologues, géographes et philosophes pour comprendre le mouvement des gilets jaunes et esquisser des issues positives. Ce mouvement inattendu a fait surgir sur la scène nationale cette France périphérique de Christophe Guilluy et, ce faisant, semble valider sa thèse : plus de la moitié de la population française appartiendrait à cette catégorie.

 

 

Mais pour qui vit dans cette France-là, les choses sont bien plus complexes et le mouvement a aussi montré que, si la distinction géographique a sa pertinence, elle ne peut rendre compte complètement des ruptures qui traversent la société française. L’opposition France périphérique-France aisée et mondialisée est trop simpliste.

 

 

D’abord, parce qu’à la faveur de la recomposition politique macronienne, on a un peu vite passé par pertes et profits les oppositions politiques et sociologiques traditionnelles : gauche/droite ; fonctionnaires/salariés du privé ; indépendants/salariés ; actifs/retraités ; actifs/assistés, etc. Mises en sourdine pour le moment, rien ne dit qu’elles ne reprendront pas du service à un moment ou à un autre.

 

 

Ensuite, parce que cette opposition binaire comporte un grand non-dit, toujours le même : celui de l’immigration. La France immigrée ou d’origine immigrée, où est-elle, dans ce match ? Elle n’était ni sur les ronds-points des gilets jaunes, ni dans les grands défilés parisiens « Je suis Charlie » d’il y a trois ans. Et, bien sûr, dans cette vaste 3e France, il conviendrait d’apporter des nuances : entre immigrés parfaitement intégrés, aisés et mondialisés, travailleurs pauvres et sincèrement attachés à la France et racailles sécessionnistes de banlieue, pour s’en tenir à une tripartition rapide.

 

 

Jusqu’à maintenant, le calcul des leaders et des mouvements politiques souhaitant se maintenir au pouvoir – le PS, Terra Nova, et maintenant le macronisme –, c’était qu’en rassemblant la France aisée et la France issue de l’immigration, on était majoritaire. Et si, en plus, l’adversaire était Marine Le Pen, ce n’était que mieux, on drainait 66 % des voix. Banco !

 

 

Cela peut fonctionner encore longtemps : après le PS, il y a eu En marche !, après on aura En route ! ou autre chose. Mais la stratégie a un inconvénient, c’est qu’elle montre du doigt, elle « radicalise » le peuple des « petits Blancs », les onze millions de Français de 2017, sans compter les abstentionnistes, les blancs et les nuls qui voient bien que ce scénario idéologique et financier se construit contre eux. Résultat : les gilets jaunes.

 

 

Curieusement, 80 % des Français ont reconnu que leur colère était juste, forçant le Président et son gouvernement à rendre quinze milliards à cette France-là. Il va donc falloir aller demander des efforts aux deux autres France, jusqu’à maintenant intouchables : la France mondialisée des classes supérieures et la France d’origine immigrée.

 

 

Pas sûr que ces deux France, dès qu’on va les toucher un peu au portefeuille et à leurs « droits », aient la même patience que la France périphérique qui a attendu trente ans avant d’exploser pour une taxe et une réduction de la vitesse de trop. Ces bobos et ces immigrés choyés par les médias, qui nous sont présentés comme des modèles de civilité, risquent de se radicaliser bien plus vite que les gilets jaunes. L’une parce qu’elle a toujours eu le pouvoir et la richesse, l’autre parce que la première l’a toujours présentée comme une victime à qui l’on devait tout. Il n’est qu’à voir leurs insultes contre les gilets jaunes ou leur effroi dès qu’on aborde la question du référendum. La réconciliation n’est pas pour demain.

 

09:21 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

03/05/2019

Maraude du 02 /05 /2019..........

 

 

 

 

30/04/2019

Pour la Justice, vouloir « niquer la France » relève du « débat d’intérêt général » !

 

 

 

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La nouvelle est parue . Discrètement. Juste une petite dépêche reprise çà et là. On la comprend, la presse française : à l’heure où 700 policiers traquent un Chérif Chekatt, elle s’en voudrait d’appuyer là où ça fait mal. Surtout pasdamalgame. Faudrait voir à ne pas confondre, on aurait tort de s’énerver, etc. Refrain ad libitum.

 

 

La nouvelle en question concerne un certain Saïdou, à la ville Saïd Zouggagh, rappeur de son état. Un poète qui, en 2010, s’offrait l’appui d’un sociologue nommé Saïd Bouamama pour mettre sur le marché un livre et un CD propres à révolutionner la littérature et la chanson. Le titre de l’ouvrage : Nique la France.

 

 

Je le confesse, je n’ai pas lu ni écouté messieurs Zouggagh et Bouamama. Jusqu’à ce matin, j’ignorais même leur existence et m’en portais mieux qu’à l’instant où je vous écris.

 

 

Ce chef-d’œuvre, dit la dépêche de ce jour, relevait d’une « initiative née de leur mécontentement face au climat (sic) de l’époque, symbolisé par l’existence entre 2007 et 2010 du ministère de l’Identité nationale ». Et, donc, mécontents qu’il pût y avoir une identité nationale et que d’aucuns songeassent à la défendre, ce grand poète chantait : « Ce que j’en pense, de leur identité nationale, de leur Marianne, de leur drapeau et de leur hymne à deux balles – Je vais pas te faire un dessin, ça risque d’être indécent, de voir comment je me torche avec leur symbole écœurant. »

 

 

En français vernaculaire et gaullien, ça s’appelle conchier la République.

 

 

Messieurs Zouggagh et Bouamama sont sans doute français de papiers. « Papier Q », si on les écoute. Leurs délires scatologico-haineux ont déplu à l’AGRIF (Alliance générale contre le racisme et pour le respect de l’identité française et chrétienne), qui a porté plainte pour « injure à caractère racial et provocation à la discrimination envers les Français de souche ».

 

 

Difficile de le nier… Pourtant, les poursuites contre Saïdou sont d’abord restées sans suite, le tribunal correctionnel de Paris puis la cour d’appel estimant que les « Français de souche » ne constituent pas un groupe de personnes au sens de la loi. Saisie par l’AGRIF, la Cour de cassation en a jugé différemment puisqu’en 2017, elle admettait qu’étaient clairement visées, « à travers les références aux symboles de la République », les « personnes appartenant à la nation française ».

 

 

Le procès se tient devant la cour d’appel de Lyon qui, en janvier dernier, condamne le rappeur à un euro de dommages et intérêts et au remboursement des frais engagés par l’AGRIF. Mais rebelote. Re-pourvoi en cassation qui, cette fois, profite à l’accusé.

 

La Cour de cassation a, en effet, annulé la condamnation, pourtant très symbolique, de janvier dernier. Pour les motifs (je cite la dépêche) : les magistrats ont notamment estimé que les propos poursuivis, « pour outranciers, injustes ou vulgaires qu’ils puissent être regardés, entendent dénoncer le racisme prêté à la société française, qu’elle aurait hérité de son passé colonialiste, et s’inscrivent à ce titre dans le contexte d’un débat d’intérêt général » et, de ce fait, « n’excèdent pas les limites de la liberté d’expression ».

 

Magnifique, non ?

 

 

Il paraît que Chérif Chekatt, visant ses victimes à la tête, a déclaré vouloir « venger ses frères morts en Syrie ». Geste à inscrire sans doute, aussi, « dans le contexte d’un débat d’intérêt général » ?

 

 

Il faudra bien, un jour, convoquer nos magistrats devant le tribunal de l’Histoire.

 

09:20 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

26/04/2019

Maraude du 25/04/2019.............merci Radio Courtoisie, merci Dominique:

 

 

 

 

 

 

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Maraude du 25 /04 / 2019..........