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L'Europe du Traité de Verdun en 843 |
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Chers Electeurs et Electrices de Paray vieille poste,
Cela fait plus de dix ans que je connais Thierry Auriat, cet authentique fils du peuple, est un militant exemplaire de la cause nationale. Homme de parole il a été un des tout pionniers à m'aider lors de sa création, notre association pour venir en aide aux plus défavorisés.
Il a mon total soutien pour les élections municipales, ces la personne qu'il vous faut pour le renouveau de votre commune, il est au fait des réalités quotidiennes du terrain, et du vécu des administrés, il n’appartiens aucunement des réseaux de la clique des politiciens de métier, la proximité avec le peuple est sa plus grande qualité.
Faite le choix d’un maire à la fibre populaire, contre la clique UMPS un seul recours : Thierry Auriat
Pasteur Blanchard Président de l'Action Sociale populaire
Aumônier d'Identité Luthérienne
Chapelain de Madame Jany Le Pen
10:32 Publié dans Les copains | Lien permanent | Commentaires (1)
10:05 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (0)
Par Emmanuel H,
menbre de l'ASP
Ce soir nous avons approché quelques membres d’une grande tribu humaine pour laquelle les mots « famille », « politique », religion », « projets », n’ont plus de sens. Ces mots qui, en général, composent une « vie sociale », un curriculum vitae, un parcours de vie, ces mots n’appartiennent plus à leur patrimoine. Ils sont devenus des « hors patrimoine ». Exclus ! Ces citoyens de la nuit de Paris et d’ailleurs n’appartiennent à aucune chapelle. Ils sont libres et esclaves de leur liberté. Ils échappent à tout débat, ils n’ont aucune tribune, pas de pub, pas de com. Et ils sont libres. Libres de ne pas gémir. Libres de refuser un café ou une soupe. Libres d’accepter l’accolade chaleureuse du Pasteur. Ils sont dépouillés des scories de l’orgueil et de toute possession superflue. Leur programme est rationnel : 2 000 calories par jour, une couverture l’hiver. Ces enfants de Dieu accueillent avec un calme joyeux les visites du Pasteur et de la douce Catherine. Ces visites illuminent leur regard. C’est du rab ! Je n’imagine pas que nous, les passagers de la nuit, puissions être, dans cette intimité profonde, indispensables, importants, utiles. Bla bla bla … Bien au contraire ! Nous les passagers savont très vite que ce sont eux les héros et nous les voyeurs. C’est eux qui me manquent déjà, c’est dire leur pouvoir ! Exemplaires, moqueurs, paisibles, lucides, fatigués, amicaux, sincères.
Ces hommes dépouillés de tout le bazar matériel sont forcément sincères, vrais. J’insiste la – dessus : je n’ai pas vu ou cru voir, des hommes désespérés, des victimes sociales. J’ai cru percevoir des hommes d’un au-delà pudique, des hommes nus et de bon goût. Il en faut du bon goût pour choisir la plus belle ville du monde pour y faire, seul, son nid. Ces oiseaux rares de la nuit parisienne se sont sacrifiés pour nous signifier, sur leur chemin de croix, notre immense médiocrité. Les enfants de Dieu ne seront jamais les clients des marchands du temple. Hier soir ils étaient mes héros. Merci Pasteur Blanchard, chauffeur de l’Amour.
Emmanuel
09:04 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (0)
11:19 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (0)
Entretien réalisé par Gabrielle Cluzel.
Sophie Lutz, vous êtes mère d’une petite Philippine, 14 ans, polyhandicapée, diagnostiquée in utero. Vous avez publié deux livres-témoignages dans lesquels vous évoquez Philippine.
Vous avez écrit sur Twitter que la loi sur l’euthanasie des enfants, telle qu’elle s’apprête à être promulguée en Belgique, est « une claque affreuse pour tous les parents qui accompagnent leurs enfants souffrants : elle les enfonce dans le désespoir ». Pouvez-vous nous expliquer ?
Parce que je sais par ma propre expérience que, même si l’on est convaincu de la dignité de la personne et de l’existence de son enfant, il y a en même temps, au fond de soi, cette petite question terrible qui revient régulièrement : « Est-ce qu’il ne vaudrait pas mieux qu’il ou elle meure ? » On est déjà bien désespéré, mais on peut garder la tête hors de l’eau, rester debout, si tout le monde vous soutient et dit avec vous : « On ne sait pas si ce serait mieux, et personne ne sait. » Cette loi, elle, prétend « savoir » ; elle franchit le pas d’après, le pas dans le vide. Et sous prétexte de tout résoudre, elle plonge dans une détresse sans nom.
La loi en question prévoit que l’initiative doit venir de l’enfant, mais que la décision appartient aux parents qui doivent donner leur consentement…
La première partie montre déjà qu’en soi, et même pour ceux qui y seraient favorables, la loi est absurde. Quid, dans ce cas, des enfants qui ne peuvent pas parler ? Quant au reste… Qu’est-ce que cela signifiera ? Que les parents qui ne voudront pas faire mourir leur enfant seront des parents tortionnaires, indifférents aux souffrances de celui-ci ? Quelle sorte de lien filial va ressortir de tout cela ? À vrai dire, ce sont des choses que j’ai déjà ressenties quand j’attendais Philippine. Nous savions qu’elle allait être handicapée mais nous voulions la garder… Pour certains, nous étions coupables. Sur Twitter, on me dit que la loi ne contraint pas, donc que je ne devrais pas m’inquiéter. Mais la loi me dira : c’est possible et d’autres le font, pourquoi pas toi ? Si je ne veux pas euthanasier ma fille, suis-je une mère abusive, égoïste, qui ne pense qu’à elle ? Cette loi s’introduit dans la conscience pour ébranler l’interdit de tuer, qui est une sécurité pour ceux qui souffrent.
Il n’y a pas qu’en Belgique que l’euthanasie est au cœur de l’actualité. Vincent Lambert, en France, fait les gros titres. Cette affaire vous touche ?
Bien sûr. Car, comme le disent les médecins, Vincent Lambert n’est pas mourant mais handicapé. Il est finalement comme ma petite fille. Les « parents intégristes » qui veulent que leur enfant vive, ce sera nous dans quelques années, quand la loi sur l’euthanasie sera passée en France. Car être contre l’euthanasie, c’est être « intégriste ». Un qualificatif que la presse a mis trois semaines à trouver… C’était presque long, je commençais à m’étonner.
C’était bon d’entendre la voix de Philippe Pozzo di Borgo 1 sur RTL aujourd’hui. Il a une voix tellement paisible pour dire qu’il est heureux de ne pas avoir été débranché, que sa vie immobile, très contemplative, lui convient, qu’elle est riche sur le plan relationnel et qu’il progresse personnellement. J’ai été touchée qu’il dise l’importance de sa famille, des soignants autour de lui. Je me dis que ma fille peut ressentir ces bienfaits-là aussi et aimer sa vie.
10:03 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
Hadrien Blandin,
fidèle de l'Action Sociale et Populaire
Depuis les débuts héroïques de notre association, votre générosité ne s’est jamais démentie. Alors que notre structure était encore embryonnaire, nous avons pu constater, grâce à la magie de radio Courtoisie que les bonnes volontés ne manquaient pas. C'était le commencement d'un élan fantastique de solidarité agissante.
Hadrien Blandin fut un des premiers à répondre présent. Ce jeune étudiant, fort sympathique, est le voltigeur du tri et du don de linge. Chaque année, quand se prépare la saison d'hiver, solidaire pour nos compatriotes les plus démunis, il nous apporte sa cargaison de vêtements. Cette habitude a fini par tisser des liens d'amitié. Lors de nos retrouvailles, nous évoquons le temps passé, les caps franchis. Il est bon de constater le chemin parcouru et de pouvoir dresser un bilan positif, malgré les difficultés.
J'espère que nous continuerons de la même manière. Cela sera le signe que notre combat pour plus de justice sociale, envers les Nôtres, avance et se construit pas à pas.
Pasteur Blanchard
09:51 Publié dans Les copains | Lien permanent | Commentaires (0)
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L'Europe du Traité de Verdun en 843 |
09:33 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
Le mardi 25 Février, le pasteur Blanchard, président de l’Action sociale et populaire m’a fait l’honneur de me convier à une maraude à Paris en compagnie de Oscar et Gilles
bénévoles de l'ASP.
C’est la deuxiéme fois que je participais à une telle expérience avec ce serviteur de Dieu qui a mis le social au bout de ses idées et qui avec une poignée de bénévoles avec le parrainage bienveillant de Jany Le Pen, sillonne Paris pour aider les plus démunis.
Jadis l’on appelait clochards ceux qui dormaient dans la rue et aujourd »hui parce que ce mot a une connotation péjorative, l’on parle pudiquement de sans domicile fixe. Derrière la sémantique il y a une augmentation d’exclus sans toit, 10.000 dans la capitale dont 3000 dans le 3ème arrondissement de Paris.
Partant de la porte d’Italie à 21h00 nous avons sillonné les différents arrondissements de la capitale, une bonne partie de la nuit. J’ai avec le pasteur et Catherine son épouse dévouée apporté des vêtements, des chaussures, de la soupe, du café, des boîtes de sardine à des sans-abris et surtout un peu de réconfort à ceux qui en marge d’une société d’opulence, à proximité des immeubles cossus vivent dans la précarité sous une tente, un carton ou parfois à même le sol.
Tous avaient à notre égard, une immense reconnaissance car nous passions un peu de temps à discuter avec eux. Ce qui m’a frappé c’est la mauvaise santé, le manque d’hygiène pour certains ou pour d’autres au contraire comme Yves essayant une paire de chaussures, des chaussettes immaculées. Surtout la solitude, l’isolement de ces personnes abandonnées cherchant refuge dans l’alcool ou dans la drogue et puis surtout l’immense pudeur de ces écorchés de la vie, fatalistes face à leur situation
.
Honte à notre société, au gouvernement UMP, à la mairie socialiste de Delanoë. Comment accepter qu’une immigration planétaire ait droit (à un logement aidé, à des soins gratuits) alors que beaucoup de français sont dans la rue.
C’est ainsi qu’au hasard de notre pérégrination nocturne, nous avons rencontré Francis, un Lorrain, originaire de Nancy, orphelin de naissance qui après avoir servi la France dans l’armée, a aujourd’hui pour unique demeure un carton et comme compagnon d’infortune le « pinard ». Il a tenu, après nous avoir narré sa vie de galère, et notamment les pressions quotidiennes de la police municipale pour lui faire quitter son territoire.
Le Front National est à la croisée des chemins et son avenir va se jouer autant au plan politique que social. En attendant qu’il arrive au pouvoir et prenne des mesures efficaces il faut aider le travail métapolitique de cette association caritative soit en donnant du temps, de l’argent ou en fournissant des vêtements. J’ai ainsi pu remettre une couverture tricotée par une grand-mère
Comme le disait Victor Hugo dans Quatre-vingt-treize : « vous voulez les misérables secourus, moi je veux la misère supprimée ».
Le Front National lorsqu’il sera au pouvoir, pourra combattre les causes économiques mais aussi sociales de la précarité en soutenant des associations bien ciblées, qui viendront apporter au soutien moral et financier à nos compatriotes en réduisant les subventions des associations dédiées à l’immigration et en appliquant la préférence nationale.
Pierre-Claude
10:46 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (0)
10:14 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (0)
« Je n’ai guère envie de me joindre à la grande ronde des intellectuels qui passent leur temps à débattre de l’immigration… Le peuple sait déjà toutes ces choses, intuitivement : que la France, telle que nos ancêtres l’ont façonnée depuis des siècles, est en train de disparaître.»
Et qu’on amuse la galerie en parlant sans cesse de l’immigration sans jamais dire la vérité finale. Une vérité d’ailleurs indicible car celui qui la proclame est immédiatement poursuivi, condamné puis rejeté. Richard Millet s’en est approché, voyez ce qui lui est arrivé.
On dissimule aux Français la gravité du problème. À commencer par les dirigeants politiques. Publiquement, tout va très bien, mais, la porte fermée, ils reconnaissent que “oui, vous avez raison : il y a un vrai problème”.
J’ai sur ce sujet des lettres édifiantes de hauts responsables de gauche, de droite aussi : “Mais vous comprenez : on ne peut pas le dire…” Ces gens-là ont un double langage, une double conscience.
Le peuple sait qu’on lui cache les choses. Aujourd’hui, des dizaines de millions de gens ne partagent pas le discours officiel sur l’immigration. Ils ne croient aucunement que ce soit une chance pour la France. Parce que le réel s’impose à eux, quotidiennement.
Le modèle d’intégration ne fonctionne plus. Même en admettant qu’on reconduise un peu plus de clandestins à la frontière et qu’on réussisse à intégrer un peu plus d’étrangers qu’aujourd’hui, leur nombre ne cessera pas de croître et cela ne changera rien au problème fondamental : l’envahissement progressif de la France et de l’Europe par un tiers-monde innombrable.
Ces gens-là ne se retournent pas vers leurs gouvernements pour protester, ils n’en attendent rien. Ils se tournent vers nous et arrivent en Europe par bateaux, toujours plus nombreux, aujourd’hui à Lampedusa, ailleurs demain. Rien ne les en décourage.
Par le jeu de la démographie, dans les années 2050, il y aura autant de jeunes Français de souche que de jeunes étrangers en France. Beaucoup seront naturalisés. Ce qui ne signifie pas qu’ils seront devenus français.
Les “naturalisations de papier” ne sont pas des naturalisations de cœur. Je ne peux pas les considérer comme mes compatriotes.
Il n’y a que deux solutions. Soit on essaie de s’en accommoder et la France s’effacera sans même qu’on lui fasse des funérailles. Soit on ne s’en accommode pas du tout — c’est-à-dire que l’on cesse de sacraliser l’Autre et que l’on redécouvre que le prochain, c’est d’abord celui qui est à côté de soi.
Ce qui suppose que l’on s’assoit quelque temps sur ces « idées chrétiennes devenues folles », comme disait Chesterton, sur ces droits de l’homme dévoyés, et que l’on prenne les mesures d’éloignement collectif et sans appel indispensables pour éviter la dissolution du pays dans un métissage général.
Je ne vois pas d’autre solution. J’ai beaucoup voyagé dans ma jeunesse. Tous les peuples sont passionnants mais, quand on les mélange trop, c’est bien davantage l’animosité qui se développe que la sympathie. Le métissage n’est jamais pacifique, c’est une utopie dangereuse. Voyez l’Afrique du Sud !
Je ne crois pas un instant que les partisans de l’immigration soient plus charitables que moi : il n’y en a probablement pas un seul qui ait l’intention de recevoir chez lui l’un de ces malheureux…
Tout cela, c’est de la frime émotionnelle, un maelström irresponsable qui nous engloutira.
09:53 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)