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11:19 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (0)
Entretien réalisé par Gabrielle Cluzel.
Sophie Lutz, vous êtes mère d’une petite Philippine, 14 ans, polyhandicapée, diagnostiquée in utero. Vous avez publié deux livres-témoignages dans lesquels vous évoquez Philippine.
Vous avez écrit sur Twitter que la loi sur l’euthanasie des enfants, telle qu’elle s’apprête à être promulguée en Belgique, est « une claque affreuse pour tous les parents qui accompagnent leurs enfants souffrants : elle les enfonce dans le désespoir ». Pouvez-vous nous expliquer ?
Parce que je sais par ma propre expérience que, même si l’on est convaincu de la dignité de la personne et de l’existence de son enfant, il y a en même temps, au fond de soi, cette petite question terrible qui revient régulièrement : « Est-ce qu’il ne vaudrait pas mieux qu’il ou elle meure ? » On est déjà bien désespéré, mais on peut garder la tête hors de l’eau, rester debout, si tout le monde vous soutient et dit avec vous : « On ne sait pas si ce serait mieux, et personne ne sait. » Cette loi, elle, prétend « savoir » ; elle franchit le pas d’après, le pas dans le vide. Et sous prétexte de tout résoudre, elle plonge dans une détresse sans nom.
La loi en question prévoit que l’initiative doit venir de l’enfant, mais que la décision appartient aux parents qui doivent donner leur consentement…
La première partie montre déjà qu’en soi, et même pour ceux qui y seraient favorables, la loi est absurde. Quid, dans ce cas, des enfants qui ne peuvent pas parler ? Quant au reste… Qu’est-ce que cela signifiera ? Que les parents qui ne voudront pas faire mourir leur enfant seront des parents tortionnaires, indifférents aux souffrances de celui-ci ? Quelle sorte de lien filial va ressortir de tout cela ? À vrai dire, ce sont des choses que j’ai déjà ressenties quand j’attendais Philippine. Nous savions qu’elle allait être handicapée mais nous voulions la garder… Pour certains, nous étions coupables. Sur Twitter, on me dit que la loi ne contraint pas, donc que je ne devrais pas m’inquiéter. Mais la loi me dira : c’est possible et d’autres le font, pourquoi pas toi ? Si je ne veux pas euthanasier ma fille, suis-je une mère abusive, égoïste, qui ne pense qu’à elle ? Cette loi s’introduit dans la conscience pour ébranler l’interdit de tuer, qui est une sécurité pour ceux qui souffrent.
Il n’y a pas qu’en Belgique que l’euthanasie est au cœur de l’actualité. Vincent Lambert, en France, fait les gros titres. Cette affaire vous touche ?
Bien sûr. Car, comme le disent les médecins, Vincent Lambert n’est pas mourant mais handicapé. Il est finalement comme ma petite fille. Les « parents intégristes » qui veulent que leur enfant vive, ce sera nous dans quelques années, quand la loi sur l’euthanasie sera passée en France. Car être contre l’euthanasie, c’est être « intégriste ». Un qualificatif que la presse a mis trois semaines à trouver… C’était presque long, je commençais à m’étonner.
C’était bon d’entendre la voix de Philippe Pozzo di Borgo 1 sur RTL aujourd’hui. Il a une voix tellement paisible pour dire qu’il est heureux de ne pas avoir été débranché, que sa vie immobile, très contemplative, lui convient, qu’elle est riche sur le plan relationnel et qu’il progresse personnellement. J’ai été touchée qu’il dise l’importance de sa famille, des soignants autour de lui. Je me dis que ma fille peut ressentir ces bienfaits-là aussi et aimer sa vie.
10:03 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
Hadrien Blandin,
fidèle de l'Action Sociale et Populaire
Depuis les débuts héroïques de notre association, votre générosité ne s’est jamais démentie. Alors que notre structure était encore embryonnaire, nous avons pu constater, grâce à la magie de radio Courtoisie que les bonnes volontés ne manquaient pas. C'était le commencement d'un élan fantastique de solidarité agissante.
Hadrien Blandin fut un des premiers à répondre présent. Ce jeune étudiant, fort sympathique, est le voltigeur du tri et du don de linge. Chaque année, quand se prépare la saison d'hiver, solidaire pour nos compatriotes les plus démunis, il nous apporte sa cargaison de vêtements. Cette habitude a fini par tisser des liens d'amitié. Lors de nos retrouvailles, nous évoquons le temps passé, les caps franchis. Il est bon de constater le chemin parcouru et de pouvoir dresser un bilan positif, malgré les difficultés.
J'espère que nous continuerons de la même manière. Cela sera le signe que notre combat pour plus de justice sociale, envers les Nôtres, avance et se construit pas à pas.
Pasteur Blanchard
09:51 Publié dans Les copains | Lien permanent | Commentaires (0)
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09:33 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
Le mardi 25 Février, le pasteur Blanchard, président de l’Action sociale et populaire m’a fait l’honneur de me convier à une maraude à Paris en compagnie de Oscar et Gilles
bénévoles de l'ASP.
C’est la deuxiéme fois que je participais à une telle expérience avec ce serviteur de Dieu qui a mis le social au bout de ses idées et qui avec une poignée de bénévoles avec le parrainage bienveillant de Jany Le Pen, sillonne Paris pour aider les plus démunis.
Jadis l’on appelait clochards ceux qui dormaient dans la rue et aujourd »hui parce que ce mot a une connotation péjorative, l’on parle pudiquement de sans domicile fixe. Derrière la sémantique il y a une augmentation d’exclus sans toit, 10.000 dans la capitale dont 3000 dans le 3ème arrondissement de Paris.
Partant de la porte d’Italie à 21h00 nous avons sillonné les différents arrondissements de la capitale, une bonne partie de la nuit. J’ai avec le pasteur et Catherine son épouse dévouée apporté des vêtements, des chaussures, de la soupe, du café, des boîtes de sardine à des sans-abris et surtout un peu de réconfort à ceux qui en marge d’une société d’opulence, à proximité des immeubles cossus vivent dans la précarité sous une tente, un carton ou parfois à même le sol.
Tous avaient à notre égard, une immense reconnaissance car nous passions un peu de temps à discuter avec eux. Ce qui m’a frappé c’est la mauvaise santé, le manque d’hygiène pour certains ou pour d’autres au contraire comme Yves essayant une paire de chaussures, des chaussettes immaculées. Surtout la solitude, l’isolement de ces personnes abandonnées cherchant refuge dans l’alcool ou dans la drogue et puis surtout l’immense pudeur de ces écorchés de la vie, fatalistes face à leur situation
.
Honte à notre société, au gouvernement UMP, à la mairie socialiste de Delanoë. Comment accepter qu’une immigration planétaire ait droit (à un logement aidé, à des soins gratuits) alors que beaucoup de français sont dans la rue.
C’est ainsi qu’au hasard de notre pérégrination nocturne, nous avons rencontré Francis, un Lorrain, originaire de Nancy, orphelin de naissance qui après avoir servi la France dans l’armée, a aujourd’hui pour unique demeure un carton et comme compagnon d’infortune le « pinard ». Il a tenu, après nous avoir narré sa vie de galère, et notamment les pressions quotidiennes de la police municipale pour lui faire quitter son territoire.
Le Front National est à la croisée des chemins et son avenir va se jouer autant au plan politique que social. En attendant qu’il arrive au pouvoir et prenne des mesures efficaces il faut aider le travail métapolitique de cette association caritative soit en donnant du temps, de l’argent ou en fournissant des vêtements. J’ai ainsi pu remettre une couverture tricotée par une grand-mère
Comme le disait Victor Hugo dans Quatre-vingt-treize : « vous voulez les misérables secourus, moi je veux la misère supprimée ».
Le Front National lorsqu’il sera au pouvoir, pourra combattre les causes économiques mais aussi sociales de la précarité en soutenant des associations bien ciblées, qui viendront apporter au soutien moral et financier à nos compatriotes en réduisant les subventions des associations dédiées à l’immigration et en appliquant la préférence nationale.
Pierre-Claude
10:46 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (0)
10:14 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (0)
« Je n’ai guère envie de me joindre à la grande ronde des intellectuels qui passent leur temps à débattre de l’immigration… Le peuple sait déjà toutes ces choses, intuitivement : que la France, telle que nos ancêtres l’ont façonnée depuis des siècles, est en train de disparaître.»
Et qu’on amuse la galerie en parlant sans cesse de l’immigration sans jamais dire la vérité finale. Une vérité d’ailleurs indicible car celui qui la proclame est immédiatement poursuivi, condamné puis rejeté. Richard Millet s’en est approché, voyez ce qui lui est arrivé.
On dissimule aux Français la gravité du problème. À commencer par les dirigeants politiques. Publiquement, tout va très bien, mais, la porte fermée, ils reconnaissent que “oui, vous avez raison : il y a un vrai problème”.
J’ai sur ce sujet des lettres édifiantes de hauts responsables de gauche, de droite aussi : “Mais vous comprenez : on ne peut pas le dire…” Ces gens-là ont un double langage, une double conscience.
Le peuple sait qu’on lui cache les choses. Aujourd’hui, des dizaines de millions de gens ne partagent pas le discours officiel sur l’immigration. Ils ne croient aucunement que ce soit une chance pour la France. Parce que le réel s’impose à eux, quotidiennement.
Le modèle d’intégration ne fonctionne plus. Même en admettant qu’on reconduise un peu plus de clandestins à la frontière et qu’on réussisse à intégrer un peu plus d’étrangers qu’aujourd’hui, leur nombre ne cessera pas de croître et cela ne changera rien au problème fondamental : l’envahissement progressif de la France et de l’Europe par un tiers-monde innombrable.
Ces gens-là ne se retournent pas vers leurs gouvernements pour protester, ils n’en attendent rien. Ils se tournent vers nous et arrivent en Europe par bateaux, toujours plus nombreux, aujourd’hui à Lampedusa, ailleurs demain. Rien ne les en décourage.
Par le jeu de la démographie, dans les années 2050, il y aura autant de jeunes Français de souche que de jeunes étrangers en France. Beaucoup seront naturalisés. Ce qui ne signifie pas qu’ils seront devenus français.
Les “naturalisations de papier” ne sont pas des naturalisations de cœur. Je ne peux pas les considérer comme mes compatriotes.
Il n’y a que deux solutions. Soit on essaie de s’en accommoder et la France s’effacera sans même qu’on lui fasse des funérailles. Soit on ne s’en accommode pas du tout — c’est-à-dire que l’on cesse de sacraliser l’Autre et que l’on redécouvre que le prochain, c’est d’abord celui qui est à côté de soi.
Ce qui suppose que l’on s’assoit quelque temps sur ces « idées chrétiennes devenues folles », comme disait Chesterton, sur ces droits de l’homme dévoyés, et que l’on prenne les mesures d’éloignement collectif et sans appel indispensables pour éviter la dissolution du pays dans un métissage général.
Je ne vois pas d’autre solution. J’ai beaucoup voyagé dans ma jeunesse. Tous les peuples sont passionnants mais, quand on les mélange trop, c’est bien davantage l’animosité qui se développe que la sympathie. Le métissage n’est jamais pacifique, c’est une utopie dangereuse. Voyez l’Afrique du Sud !
Je ne crois pas un instant que les partisans de l’immigration soient plus charitables que moi : il n’y en a probablement pas un seul qui ait l’intention de recevoir chez lui l’un de ces malheureux…
Tout cela, c’est de la frime émotionnelle, un maelström irresponsable qui nous engloutira.
09:53 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
Ce jeudi 6 février, c’était la première fois que Jérome Clara et Bruno faisaient une maraude. Comme bien d’autres, ils avaient en mémoire l’image traditionnelle des « clochards » : des alcoolos, qui font la manche pour aller de bouteille en bouteille. Des « S.D.F. », nous en voyons régulièrement dans les rue de la Capitale, et ils inspirent à la fois pitié et méfiance :
* pitié, car comment des Français qui sont chez eux en France peuvent-ils être abandonnés à ce point par la communauté nationale ?
* et méfiance, en raison de leur attirance supposée pour l’alcool et l’oisiveté.
Mais cette nuit-là ils n’auraient jamais imaginé que cette maraude allait changer leur regard sur ces « S.D.F. », qui vivent (ou survivent) en marge de leur communauté nationale (pour les SDF français), ou carrément en dehors (pour les Européens rencontrés, et qui sont loin de leur patrie : polonais, russes).
Dorénavant, et grâce a l'ASP, ils ne me se feront plus la même idée de ceux qu’on appelle les « S.D.F. », un terme impersonnel, inhumain, certainement inventé par un technocrate de service, pour cacher la personnalité éminemment humaine de ces « clochards » des temps modernes.
Oui, ces gens que nous avons rencontrés sont avant tout des êtres humains, vivant en marge de notre « société » (ou « dis-société » ?), et qui désormais ne me sont plus inconnus : ils ont un prénom, en tout cas un visage. Pour beaucoup d’entre eux, je connais maintenant leur prénom et j’ai échangé avec eux quelques mots, des sourires ou des gestes. Nous leur avons apporté un pantalon, un pull ou du café, et à chaque fois c’était toujours un merci, un regard, un sourire. A chaque fois, c’était le regard d’une personne rendue heureuse par un petit geste pour nous si banal : le simple fait de proposer un gobelet de soupe ou de café, et voilà un homme ou une femme qui vous regarde et se met à vous sourire. Un petit geste, certes, mais un grand moment de joie ou de bonheur dans les yeux de ceux que vous rencontrez. Un moment intense, qui vous prend aux tripes.
Cette nuit-là, ces petits gestes ont rendu des gens heureux, et c’est l’essentiel. Pendant quelques instants, ils n’étaient plus des « S.D.F. » mais des Hommes. Nous ressentions une impression nouvelle : d’offrir une tasse de café ou un pull, mais c’était le « S.D.F. » qui m’apportait quelque chose ! Lui qui ne possédait rien, ou si peu, m’apportait beaucoup plus que ce que moi je pouvais lui apporter : il m’irradiait de ce moment de bonheur que lui procurait notre rencontre. Un véritable échange, même quand on ne parlait pas la même langue. Un échange bref, mais intense, grâce à de petits gestes si banals.
Alors comment ne pourrais-je pas penser à vous, vous que je n’ai rencontré que le temps d’une maraude, et dont je me souviens par le prénom :
Frédéric, si fier de nous parler de sa rencontre avec Jany LE PEN.
Igor, son voisin, lui aussi fervent supporter du FN, et qui disait n’avoir besoin de rien.
George, qui se tient régulièrement au courant de l’actualité, et qui fréquente tous les jours une bibliothèque publique. Ouvrier textile pendant 38 ans, il n’a plus qu’un seul espoir : que Marine LE PEN et le FN arrivent enfin au pouvoir, et qu’un désir : créer une entreprise en participation, pour aider ceux qui veulent s’en sortir. Il est écoeuré par les attaques contre Marine LE PEN : « Oui, nous disait-il, Marine a un programme économique, et c’est elle qui a raison : on peut rétablir les frontières et produire en France tout ce dont on a besoin »
.
Ahmed, le vieux « chaoui », si digne dans sa veste de costume, et qui fait la manche devant une supérette ouverte tard le soir, qui semble être un haut lieu de la discrimination positive…
Francis de Nancy (tu avais longuement discuté avec notre ami Jean-Luc Manoury, secrétaire départemental de Meurthe-et-Moselle), l’ancien militaire toléré par les habitants d’une belle résidence, et pourtant persécuté par les services de M. Delanoë, qui aimerait bien débarrasser son Paris « bobo » des « S.D.F. ».
Nicolas, l’ancien combattant russe d’Afghanistan, qui est tombé amoureux de Paris, et qui a simplement demandé au Pasteur une carte téléphonique pour appeler en Russie.
Josef, le vieil artiste polonais, hélas méconnu, qui a offert à chacun d’entre nous un de ses magnifiques dessins, que je garderai précieusement.
Michel, du quartier latin, lui aussi très heureux de rencontrer les « maraudeurs » de l’A.S.P. (Action sociale et populaire).
Et il y a tous ceux dont je ne connais pas le prénom, mais dont je me souviens, parce qu’eux aussi m’ont touché :
A Palais-Royal, devant les magasins de luxe et des « bobos » faisant la fête, ce couple polonais, dont la femme s’est précipitée vers nous : elle avait reconnu la voiture du Pasteur ! Nous avons échangé par regards et gestes interposés. Je lui ai proposé un châle, je le lui ai mis sur ses épaules : elle rayonnait de bonheur; du coup, je lui en ai donné un autre. Son compagnon me faisait signe : il était fier de sa femme.
Toujours à Palais-Royal, et toujours allongés contre des magasins de luxe, devant de jeunes fêtards argentés : deux vieilles femmes russes, avec un foulard autour de la tête. De vraies « mamouchkas » ! Elles ne parlaient pas français, et je ne parlais pas russe, et pourtant, on s’est compris. Je leur ai proposé du café (« café », un mot international, que tout le monde comprend !) : elles l’ont bu, et pour me remercier, elles m’ont fait des baisers avec leurs mains.
Plus loin, aux Capucines, en face d’un établissement de luxe : deux femmes russes également, deux couples polonais, et un homme seul, tous heureux de recevoir des habits et du café.
Et non loin du Printemps, deux hommes allongés contre un mur. L’un d’eux a 78 ans : il n’avait rien sur le torse. Nous leur avons donné des pulls. C’étaient des Français…que la France a oubliés.
Tous ces « S.D.F. » que nous avons rencontrés sont bien loin des caricatures habituelles (tous ne boivent pas de l’alcool !), et tous ne parlent pas français, mais tous sont heureux qu’une association charitable vienne les visiter toutes les semaines, prendre de leurs nouvelles et leur donner ces petits riens qui les rendent heureux pendant un moment (habits, café, soupe, sardines, rasoirs…). Chacun appartient à une communauté nationale qui les a laissés sur le bord de la route, et c’est l’honneur de l’A.S.P. que de nouer des liens réguliers avec eux : tous ont leur dignité de Français ou d’Européen, qu’ils retrouvent spontanément quand on leur prête un peu d’attention. Voilà qui est riche d’enseignement politique pour un militant du FN : « il faut renouer les liens sociaux au lieu de les briser» (Joseph de Maistre), car « Les pauvres n’ont que la patrie » (Jean Jaurès).
C’est une des grandes leçons que nous tirons de cette maraude ; c’est donc bien volontiers que nous ferons d’autres maraudes, ,si le Pasteur et son équipe veulent bien nous y convier.
10:24 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (0)
La crise s’aggrave de jour en jour tout en assistant à l’enrichissement des plus riches. D’un côté de plus en plus de chômeurs, de moins en moins de pouvoir d’achat, et de l’autre côté, des compagnies annonçant toujours plus de milliards de profits, plus de licenciements, des primes de plusieurs millions de dollars pour avoir parié sur la banqueroute de pays ou d’entreprises! Bref! Le monde va mal! Le monde est fou!
Après avoir analysé et réfléchi sur le sujet, il n'y a qu'une seule solution pour sortir les Français de cette crise: La technique que toutes ces compagnies et que tous les riches utilisent pour défendent leurs intérêts: Le lobbying!
Ils sont forts, mais nous somme plus nombreux!
Les lobbies des grands conglomérats réussissent à avoir une influence manifeste sur les décisions politiques et commerciales. Cela influence à son tour les prix, les choix et le pourvoir d'achat des consommateurs.
Les lobbies sont trop forts! Alors pourquoi le peuple ne ferait pas pareil?
Pourquoi on ne se réunirait pas tous ensemble pour tout négocier: Vous imaginez? 40 millions de personnes qui se réunissent pour négocier leurs contrats d’assurance, l'essence à la station, ou leurs courses au supermarché!
Cette idée n’a rien d’extraordinaire! Le problème est que les gens n’ont pas le temps de contacter d’autres acheteurs potentiels, de rechercher les meilleures offres du marché ni de négocier les meilleurs prix.
Negotiative.com est donc né: simple, rapide et efficace. En quelques secondes, le visiteur choisit sa ville et les catégories de produits/services qu’il veut négocier, et il nous laisse son email. Negotiative s’occupe du reste.
Negotiative.com n'a pas l’ambition de devenir une startup multimillionnaire de plus, Negotiative veut tout simplement changer le monde! Et pour cela chaque membre de negotiative.com deviendra actionnaire de l’entreprise : acheteurs, vendeurs, partenaires, clients, employés seraient tous propriétaires de l’entreprise ! Nous grandissons ensemble, nous profitons ensemble ! Negotiative.com deviendra alors la première place de marché du monde gérée et détenue par ses utilisateurs.
10:32 Publié dans Les copains | Lien permanent | Commentaires (0)
Une expérience qu'il faut accomplir au moins une fois dans sa vie, accompagner dans leur maraude nocturne le Pasteur Blanchard et son épouse.
A travers Paris s'étale la pauvreté, le pasteur Blanchard et son épouse ont empli leur voiture de vêtements et ont préparé des boissons chaudes à distribuer aux plus pauvres , à ceux que le commun des mortels ne regardent même plus. Mais c'est plus qu'ils apportent à ces laissés pour compte de notre société, c'est une chaleur humaine, un réconfort toujours simple mais sincère.
Ce 6 février 2014, ils étaient accompagnés dans leur maraude de l'espoir d'un jeune et brillant avocat parisien et de sa jeune fille.
N'hésitez pas à les contacter pour offrir une de vos nuits à ceux que l'on nomme pudiquement des SDF , pour ceux qui ne le peuvent pas à leur donner vêtement, couverture etc. ou à faire un don à leur association qui depuis de nombreuses années réconforte nos frères dans la misère.
salutations amicales
bruno
10:21 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (0)