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14/11/2017

UN CAS SOCIAL EPINEUX.

 

 

 

 


  

 

Il m'arrive souvent, et de plus en plus, suite à des articles dans la presse amie, ou à des passages sur les ondes de radio Courtoisie, de recevoir des appels téléphoniques qui sont de véritables SOS. Comme celui de cette famille de province, obligée d'accueillir un oncle marginal revenant d'Amérique, cet extravagant leur rendait la vie impossible, je pus, grâce au bon soin d’Oscar, lui trouver un hébergement en région parisienne.

 

 

 

 

 

 

 


Quelque mois plus tard, je reçois un appel d'une des filles de la famille qui vit dans la capitale. Elle me téléphone pour me dire qu'il avait quitté le centre de réinsertion où il ne se plaisait pas, pour venir squatter chez elle. Elle lui avait trouvé une chambre chez un particulier, mais il refusait d'y aller, sous prétexte que la propriétaire ne voulait pas que l'on fume à l'intérieur. Elle était désemparée. Ne sachant que faire, je lui dis qu'il ne fallait pas céder au chantage, c'était la chambre ou le retour en foyer. N'ayant pas d'autre choix, il accepta. Elle me téléphona pour me remercier. Il fallait entendre les mots de gratitude et de soulagement de cette femme, pour être conforter dans la conviction que nos modestes actions et conseils ont leur utilité.

 

 


  
Pasteur Blanchard   

 

                                                

10/11/2017

Maraude du 9/11/2017..........

 

 

07/11/2017

4 livres importants parus aux éditions Dualpha:

 

 

Randa 1.png

 

 

 

Chers lecteurs,

Les éditions Dualpha, toujours à la pointe du combat culturel, continuent leurs politiques éditoriales audacieuses qui bousculent plus que jamais le « prêt-à-penser » du conformisme intellectuel.

Ainsi, sont parus récemment plusieurs livres importants de Jean-Pierre Blanchard… Des réflexions et des témoignages exceptionnels pour comprendre notre époque terriblement anxiogène (crise économique, « dégagisme » politique, attentats islamistes, dérèglement climatique, etc.)…

Je vous souhaite de très bonnes lectures à tous !

 

Bien cordialement,

Évelyne Cotinet, directrice de Francephi diffusion

 

 

L’Alternative holiste ou la grande révolte antimoderne - Jean-Pierre Blanchard (éditions Dualpha, 160 p. – 21 euros)

Les multiples affrontements qui ont ensanglanté l’histoire de la planète depuis la Ire Guerre mondiale s’ordonnent presque tous autour du conflit central qui oppose partisans et adversaires de la modernité. Les adversaires de la modernité ne s’affichent pas comme tels. La grande révolte antioccidentale est donc d’abord une révolte antimoderne. Elle s’achève aujourd’hui avec l’islamisme, dernier mouvement de retour au passé, montrant que la forme holiste de refus de la modernité est un enjeu mondial du IIIe millénaire.

 

Martin Heidegger philosophe incorrect - Jean-Pierre Blanchard (éditions Dualpha, 222 p. – 25 euros)

Martin Heidegger ou l’introduction d’un socialisme national (de mode barrésien) dans la philosophie : nul ne songe à contester l’apport fondamental de Martin Heidegger dans le champ de la philosophe, s’inscrivant dans la lignée de la révolution conservatrice. En participant à la révolution conservatrice, en se posant comme guide spirituel, il n’a fait qu’enrichir la philosophie, la libérer des contraintes du monde moderne. Faire connaitre cette démarche, est donc une tâche urgente de libération.

 

Aux sources du national-populisme : Maurice Barrès et Georges Sorel - Jean-Pierre Blanchard (éditions Dualpha, 200 p. – 25 euros)

Au tournant du XXe siècle, Maurice Barrès et Georges Sorel ont travaillé à édifier une autre modernité ; s’opposant au monde moderne, ils ont constitué une argumentation novatrice qui trouve sa force dans la cohérence interne de leurs principes.

C’est avec Barrès et Sorel que se fait la synthèse du socialisme national : l’objectif de ce livre est de faire connaître la source de cette famille politique afin que l’homme du XXIe siècle puisse se libérer de l’univers glacé de notre décadente société dans l’espoir que s’ouvre un Nouvel Âge, nous permettant de redevenir maître de notre destin, sinon de notre avenir…

 

Mythes et races. Précis de sociologie identitaire - Jean-Pierre Blanchard, préface de Philippe Gautier (éditions Dualpha, 190 p. – 25 euros)

Ce livre est le diagnostique d’une épidémie qui continue de s’étendre, de s’aggraver avec le flot de migrants majoritairement musulmans. Cette étude psychologique montre qu’aucune société n’est égalitaire : des différences fondamentales existent entre individus, sexes, coutumes, races.

 

BON DE COMMANDE

 

 

à renvoyer à : Francephi diffusion - Boite 37 - 16 bis rue d’Odessa - 75014 Paris - Tél. 09 52 95 13 34 - Fax. 09 57 95 13 34 – Mél. diffusion@francephi.com

Commande par internet (paiement 100 % sécurisé par paypal ou carte bancaire) sur notre site www.francephi.com.

 

 

Je souhaite commander :

 

 

… ex de L’Alternative holiste ou la grande révolte antimoderne (21 euros)

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… ex de Mythes et races. Précis de sociologie identitaire(25 euros)

 

 

 

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09:08 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (2)

03/11/2017

Mon maitre d’élection Vilfredo Pareto (1848-1923):

 

 

 

Vilfrédo Paréto (1).jpg

 

 

« Le Traité de sociologie générale de Vilfredo Pareto est, a nous semble, un de ses monuments qui fait honneur à l’esprit humain » G.H Bousquet

 

 

 

Pour le sociologue italien Vilfredo Pareto l'histoire nous apprend : 

 


- que dans la vie sociale le sentiment l'emporte sur la raison, 

 


- et que l'élite dirigeante est mortelle, qui règne par la force et la ruse tout en se renouvelant pour subsister.

C'est ce que l'on va voir en traitant de la sociologie de Pareto dans le § 2, après avoir donné quelques informations sur sa vie et son oeuvre dans le §1.

 

 

§ 1. La vie et l'oeuvre:

 

 

Vilfredo Frederico Samaso marquis de Pareto est né le 15 juillet 1848 à Paris où son père, le marquis Raffaële Pareto, est exilé pour avoir participé à un complot républicain à Gênes. 

 


Il fait ses études primaires à Paris, et son père ayant été politiquement réhabilité en 1858 ses études secondaires à Gênes et supérieures de sciences mathématiques et physiques à Turin.

 

 

En 1870 il soutient une thèse de physique et obtient un diplôme d'ingénieur. Il entre à la société des chemins de fer romains et cinq ans plus tard il est le directeur technique de la Ferriere Italiana puis d'une importante société métallurgique.

 

 

Pareto s'engage alors dans la vie politique italienne.

 

 
Libéral et pacifiste, membre fondateur de la Société Adam Smith (1723-1790), il milite activement contre la politique économique protectionniste du gouvernement italien et sa politique militariste. 

 


Il se présente en 1880 et 1882 aux élections législatives, sans succès. Déçu par la politique politicienne il renonce en 1888 à son poste de directeur technique pour devenir consultant, ce qui lui permet de consacrer davantage de temps à l'étude de la théorie économique (théorie pure). 

 


Il redécouvre les travaux de l'économiste Léon Walras (1834-1910) avec lequel il se lie en 1891, et qui lui propose de le remplacer à la chaire d'économie politique de l'Université de Lausanne, ce qui est fait en 1893.

 

 

Il publie son premier ouvrage en 1896 et 1897, son Cours d'économie politique.

 

 
Dès cette époque il se passionne pour les sciences sociales et enseigne la sociologie à l'Université. En 1900, après avoir hérité de son oncle une importance fortune il s'installe dans le canton de Genève, où il consacre l'essentiel de son temps à la recherche.

 

 

En 1902 et 1903 il publie Les Systèmes socialistes, ouvrage dans lequel il étudie les faiblesses du libéralisme et la force de persuasion des idées socialistes, logiquement inconsistantes, selon lui, mais passionnément convaincantes.

 

 

Son ouvrage sociologique fondamental est le monumental, 1818 pages,  Traité de sociologie générale, publié en italien en 1916 et en français en 1917.

 

 

Pareto est profondément déprimé par la guerre civile européenne de 1914-1918 et par le comportement des démocraties, notamment en Italie où la situation après la guerre est désastreuse. C’est pourquoi il décide de soutenir le socialiste national Benito Mussolini, et le 23 mars 1923, en récompense, il est nommé sénateur du royaume d'Italie, mais il ne peut accepter cette nomination car il a renoncé, entre temps, à la nationalité italienne pour devenir citoyen du micro-Etat libre de Fiume (actuellement Rijeka en Croatie).

 

 

§ 2. La sociologie de Pareto : l'universel et tragique éphémère de l'élite

 

 

Selon Pareto la sociologie n'a pas pour objet de donner des leçons de morale, mais de constater ce qui est : à savoir que les humains se disputent les avantages de l'existence en essayant de légitimer leur soif pour affaiblir les rivaux. 

 


La sociologie est selon lui la science logico-expérimentale qui constate que les actions humaines ne sont pas que logiques (A), dans des sociétés hiérarchisées qui sont mortelles (B).

 

 

A/ Les actions humaines ne sont pas que logiques

 

 

C'est la sociologie, une science logico-expérimentale (I), qui, nous dit Pareto, permet de distinguer le logique du non logique (II), non logique qui est constituée par ce qu'il appelle les dérivations des résidus (III).

 

 

 

I. La sociologie est une science logico-expérimentale:

 

 

 

La science logico-expérimentale, selon Pareto, a pour but de connaître la vérité et non pas d'être utile à la société, ou à telle ou telle composante de la société.

 

 
En conséquence la sociologie logico-expérimentale a pour devoir d'écarter toutes notions extra ou méta-empiriques, se situant à l'extérieur ou au-dessus de ce qui est observable empiriquement, et ne peut pas, elle-même, donner naissance à une nouvelle morale.

 

 

 

II. Du logique et du non-logique:

 

 

 

Selon Pareto les actions humaines sont soit des actions logiques soit des actions non-logiques.

 

 

 

Il y aurait selon lui quatre genres d'actions non-logiques, les plus importantes étant les actions qui concernent la plupart des conduites rituelles ou symboliques, les actions de type religieux de nature sacrée, et les actions qui concernent les erreurs des scientifiques, les illusions des intellectuels et des politiques.

 

 

 
Le non logique est constitué, selon lui, par ce qu'il appelle les dérivations des résidus.

 

 

 

III. Les dérivations des résidus:

 

 

 

Pour Pareto si les actions logiques sont motivées par le raisonnement, les actions non-logiques sont motivées par le sentiment.

 

 

Pour Pareto la plupart des actions humaines de nature sociale sont motivées par le sentiment, ont des motivations non-rationnelles. 

 


La cause principale en serait la puissance des idéologies et des croyances sociales, notamment pendant l'enfance.

 

 
Ces actes non-logiques seraient donc motivés davantage par la passion que par la raison. 

 


Ces actes seraient très fréquents en politique, avec les conséquences, notamment juridiques, qui peuvent en découler.

 

 

S'il en est ainsi c'est à cause de l'existence de ce que Pareto appelle les dérivations.

 

 
Les dérivations, répertoriées en quatre classes, sont les divers moyens verbaux, les discours, utilisés par les individus et les groupes pour justifier leurs actions en leur donnant une logique, logique qu'elles n'ont pas nécessairement, ou logique qui est différente. C'est du camouflage psychologique.

 

 

Pour Pareto c'est l'exemple classique des révolutionnaires qui luttent pour renverser un système social qu'ils déclarent oppressif, dans le but d'instaurer un nouveau système social qui, selon eux, sera un système de liberté. 

 


Ces révolutionnaires, ayant pris le pouvoir, peuvent être entraînés par la logique des faits à instaurer un système social réellement oppressif. Ils se justifient alors de diverses manières, toutes présentées comme étant parfaitement logiques : c'est la faute des ennemis politiques, des étrangers, des minorités, de circonstances totalement imprévisibles ...

 

 

Les résidus c'est ce qui reste lorsque l'on écarte le camouflage psychologique, qui est la rationalisation du non-logique.

 

 
Les résidus sont les facteurs stables du comportement. Pareto les répertorie en six classes, mais l'on peut dire, très schématiquement, qu'ils correspondent à deux comportements sociaux fondamentaux : le comportement de conservation, l'esprit d'ordre et de stabilité, la conformité, d'une part ; et le comportement d'innovation, l'esprit de création, de développement ou de renouvellement, d'autre part.

 

 

Le jeu social des résidus et des dérivations forme les élites, dont on constate partout l'existence. Des élites qui connaissent la mobilité, et qui disparaissent, dans des sociétés hiérarchisées qui sont mortelles.

 

 

 

B/ Dans des sociétés hiérarchisées qui sont mortelles:

 

 

 

Toute société est hiérarchisée, y compris démocratique, avec des dominants et des dominés.

 

 

Les dominants comprennent les élites (I) qui sont en constante mobilité, en circulation (II) montante et descendante, circulation descendante qui se termine au cimetière des aristocraties (III).

I. Les élites

 

 

Pareto nous dit qu'avec les dérivations et les résidus, les intérêts et la circulation des élites sont les facteurs qui font que la forme générale de toute société se caractérise par une mutuelle dépendance des éléments qui la composent, éléments qui sont situés dans un environnement variable, écologique, international et historique.

 

 

Tous ses facteurs font que chaque société est différente, et composée d'éléments différents ayant des intérêts différents.

 

 

Les intérêts sont l'ensemble des tendances, instinctives et rationnelles, qui poussent "les individus et les collectivités ... à s'approprier les biens matériels utiles, ou seulement agréables à la vie, ainsi qu'à rechercher de la considération et des honneurs"(Traité § 2009).

 

 

Or toute population sociale est composée de deux couches, une couche inférieure qui comprend tous ceux qui ne réussissent que médiocrement dans la vie et une couche supérieure, l'élite, qui comprend tous ceux qui réussissent, dans quelque domaine que ce soit, et qui se divise en deux : l'élite non-gouvernementale et l'élite gouvernementale.

 

 

L'élite au sens large est définie par Pareto, en dehors de toute considération morale, en attribuant aux membres de l'élite de très bonnes notes, sur dix, de la manière suivante, par exemple : "A l'habile escroc qui trompe les gens et sait échapper aux peines du code pénal, nous attribuerons 8, 9 ou 10, suivant le nombre de dupes qu'il aura su prendre dans ses filets, et l'argent qu'il aura su leur soutirer. Au petit escroc qui dérobe un service de table à son traiteur et se fait prendre par les gendarmes, nous donnerons 1" ; ou encore " A la femme politique, ..., qui a su capter les bonnes grâces d'un homme puissant, et qui joue un rôle dans le gouvernement qu'il exerce de la chose publique, nous donnerons une note telle que 8 ou 9. A la gourgandine qui ne fait que satisfaire les sens de ces hommes, et n'a aucune action sur la chose publique, nous donnerons 0."

 

 

 

II. La circulation des élites:

 

 

 

La circulation des élites est la mobilité sociale qui affecte dans toute société les membres du groupe social dirigeant.

 

 

Toute société est caractérisée par la nature de son élite gouvernementale, qui s'impose comme dirigeante à la couche inférieure, soit par la force soit par la ruse, car toute élite politique est soit lionne soit renarde, et lutte pour sa vie (1°), la révolution Juste étant une illusion (2°).

 

 

 

1° La lutte pour la vie:

 

 

 

Pour Pareto, qui n'est pas marxiste, la lutte des classes est bien une donnée fondamentale de l'histoire, mais ce n'est qu'une forme de la lutte pour la vie, de même que le conflit entre le travail et le capital n'est qu'une forme de la lutte des classes.

 

 

Supposons, dit Pareto, que le capitalisme soit remplacé par le collectivisme, le capital ne peut plus être en conflit avec le travail, donc une forme de la lutte des classes disparaît, mais d'autres formes apparaissent alors : des conflits surgissent entre les diverses catégories de travailleurs de l'Etat socialiste, entre intellectuels et non-intellectuels, entre citadins et paysans, au sein de l'élite gouvernementale entre les innovateurs et les conservateurs, entre les membres de l'élite gouvernementale et les membres de la couche inférieure, etc ...

 

2° L'illusion révolutionnaire

 

 

Depuis toujours, nous dit Pareto, les révolutionnaires affirment que leur révolution sera différente des autres - celles du passé qui n'ont abouti qu'à duper le peuple. 

 


Leur révolution sera, elle, enfin, la vraie révolution, celle qui, définitivement, apportera la Justice, et le peuple peut y croire. 

 


Malheureusement, nous dit-il, cette "vraie" révolution, qui doit apporter aux hommes un bonheur sans mélange, n'est qu'un décevant mirage, qui jamais ne devient réalité, et les révolutions conduisent, elles-aussi, leurs aristocraties au cimetière.

 

 

 

III. Le cimetière des aristocraties :

 

 

 

Pour Pareto l'histoire est fondamentalement l'histoire de la vie et de la mort des élites gouvernementales, les aristocraties, pour lui :"L'histoire est un cimetière d'aristocraties"(Traité § 2053).

 

L'histoire des sociétés, nous dit-il, est celle de la succession de minorités privilégiées qui se forment, qui luttent, qui arrivent au pouvoir, en profitent, et tombent en décadence, pour être remplacées par d'autres minorités.

 

 

S'il en est ainsi, nous dit-il, c'est que les élites se détruisent elles-mêmes par la guerre, ou s'amollissent dans la paix, les renards, les rusés, succèdent alors aux lions, les forts, puis finissent par succomber eux-mêmes à l'assaut des lions ennemis.

 

 

Pareto est convaincu que la décadence menace toute société qui ne pratique pas la mobilité sociale, la circulation des élites.

 

 

Pour Pareto dans toute société l'élite comprend des individus qui ne méritent pas d'en faire partie. Et la couche inférieure comprend des individus qui mériteraient de faire partie de l'élite. 
Donc nous dit-il, si l'élite gouvernementale est, déjà, contrôlée par les vieux renards, ceux-ci, par crainte des jeunes lions de la couche inférieure, feront tout pour les éliminer, jusqu'au moment où, ne pouvant plus résister à la pression, c'est eux qui seront alors éliminés. 

 


Donc nous dit-il, si l'élite gouvernementale est encore assez forte, son intérêt sera d'intégrer, par la mobilité sociale, les lions de la couche inférieure : c'est, selon Pareto, ce que fait intelligemment, depuis des siècles, l'Establishment britannique...

 

 

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08:45 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0)

27/10/2017

DANIEL HAMICHE...

 

 

Daniel Hamiche.jpg

 

 

Le drapeau noir

et les copains.

 

 

 

J'ai fait la connaissance de Daniel Hamiche  alors qu'il était le secrétaire particulier du Duc d'Anjou, prétendant au trône de France. Tous, même ceux qui comme moi ne sont pas monarchistes,  reconnaissent en Daniel un être d'exception. A cette époque, il ressemblait à une gravure de mode. Il y avait en lui un côté vieille France mais, déjà, il possédait cet art de plaisanter de façon décalée, ce trait si profond de sa personnalité.

 



Le temps n'a fait que bonifier son côté anarchiste de droite. Cette marque de fabrique de la bande à Serge a pris chez lui de la bouteille. La qualité maîtresse de ce groupe  n'est-elle pas une fidélité sans failles "aux copains d'abord"... et "au drapeau noir" ?

 

 

Dès les débuts de l'aventure de l'Action Sociale et Populaire, son soutien a été total. Il nous avait ouvert régulièrement les antennes de son émission sur Radio Courtoisie. Ce fut pour nous une aide très précieuse.

 

 

 

 

Pasteur Blanchard

 

25/10/2017

Maraude du 24/10/2017..........

 

 

16/10/2017

Réédition 2017, avec nouvelle préface……….

 

 

 

 

Mythes et races.jpg

 

 

 

Mythes et races

Jean-Pierre Blanchard

25,00

 

Précis de sociologie identitaire

 

Préface de Philippe Gautier.

 

Ce livre est le diagnostique d’une épidémie qui continue de s’étendre, de s’aggraver avec le flot de migrants majoritairement musulmans. Cette étude psychologique montre qu’aucune société n’est égalitaire : des différences fondamentales existent entre individus, sexes, coutumes, races.

 

 

09:38 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (1)

14/10/2017

Réédition 2017, avec nouvelle préface……….

 

 

Aux sources du national populisme Maurice Barrés Georges Sorel.jpg

 

 

Aux sources du national-populisme - Maurice Barrés, Georges Sorel (Broché)

 

 

 

 

 

Le discrédit de nos société et organisations politiques issue de la philosophie des lumières ne procède pas d'une génération spontanée. Au tournant du xxe siècle, Maurice Barrès et Georges Sorel ont travaillé à édifier une autre modernité contre le cursus des lumières " franco-kantiennes " ; s'opposant au monde moderne, ils ont constitué une argumentation novatrice qui trouve sa force dans la cohérence interne de leurs principes.

 


Ils ont bien perçu la faille du système dominant. Leurs oeuvres constituent un champ de premier ordre ; ils sont historiens des idées, critiques de la culture, philosophes de la politique, mais aussi publicistes de renom. Leur pensée se situe dans ce courant alternatif de rejet des valeurs dominantes, nos auteurs se situent dans la lignée de Taine qui avait suivi Burke et Carlyle. Nous en trouvons l'histoire dans le remarquable livre de Isaïah Berlin A contre courant. 

 


C'est avec Barrès et Sorel que se fait la synthèse du socialisme national : l'objectif de ce livre est de faire connaître la source de cette famille politique afin que l'homme du xxie siècle puisse se libérer de l'univers glacé de notre décadente société dans l'espoir que s'ouvre un Nouvel Age, nous permettant de redevenir maître de notre destin, sinon de notre avenir... En cela, Barrès et Sorel sont irremplaçables.

 


Prenant conscience de sa vocation de travailleur social, le futur pasteur des pauvres découvre l'étendue de la misère, en tant qu'éducateur à l'Armée du Salut à Paris. Croyant, de culture protestante, il devient pasteur, après un stage pastoral et une ordination au Saint Ministère. En 2005, le Pasteur Blanchard portera sur les fonts baptismaux l'Action sociale populaire (ASP).

 

 

16:10 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0)

13/10/2017

PROCES-VERBAL DE LA REUNION DU CONSEIL D’ADMINISTRATION:

 

 

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 DE L’ASSOCIATION

« ACTION SOCIALE & POPULAIRE »

LE 16 SEPTEMBRE 2017 A PARIS

 

 

 

 

 

Nous commençons la réunion en formant nos vœux les plus sincères de bon rétablissement à notre ami le Président Jean-Marie LE PEN qui vient de subir une importante intervention chirurgicale.

 

 

ORDRE DU JOUR :

 

 

  1. Un regard sur les maraudes par Alexandre SIMONNOT

 

 

Alexandre rappelle qu’il a effectué sa première maraude en 2010 avec Marion MARECHAL-LE PEN et que depuis il a dû en faire 20 à 25 autres en compagnie du Pasteur et de Catherine son épouse.

Il rappelle l’importance de ces maraudes dans les rues de Paris à la rencontre de celles et ceux qui n’ont plus rien.

Il rappelle également que gâtés comme nous sommes, donner un peu de temps à nos pauvres ça n’est pas grand-chose mais pour ceux qui n’ont plus rien c’est énorme.

 

 

 

  1. L’image de l’ASP par Annette VENTENAT, amie de l’ASP

 

 

Notre image est bien sûr excellente.

Au fil des années l’ASP a acquis une très solide notoriété dans le domaine du social.

Beaucoup de grands organismes caritatifs, bien plus connus que nous, n’ont pas réussi à monter des circuits de maraudes comme les nôtres avec notre régularité et notre implication.

 

 

 

  1. Bilan de la dernière campagne et devenir de l’Association par le Pasteur BLANCHARD, président de l’ASP

 

 

Nous préparons la prochaine campagne de maraudes.

Le Pasteur rappelle la grande importance du soutien de nos amis médias (Présent, Radio Courtoisie, TV Libertés) sans qui personne ne pourrait entendre parler de nous et de nos actions.

Le Pasteur nous encourage à poursuivre l’action.

 

 

  1. Intervention de madame Jany LE PEN, marraine de l’ASP

 

 

Restée au chevet de son mari hospitalisé, Jany est bien sûr excusée de son absence parmi nous aujourd’hui.

 

 

  1. Bilan financier par Gaël FOUILLEUL, trésorier de l’ASP

 

 

Gaël excusé pour son absence, c’est Gilles CLAVEL qui nous donne lecture du bilan financier

 

Le voici :

 

Après plusieurs années de hausse et notamment une collecte record de plus de 10 000 euros l’année dernière, le montant des donations en 2016 s’élève à 7 391 euros.

 

C’est en-dessous de sa moyenne annuelle qui s’établit désormais à 8 528 euros !

 

La différence s’explique, d’une part, par l’absence, pour la première fois depuis longtemps, de dons d’au moins 1 000 euros et, d’autre part, par le nombre de donateurs qui diminue légèrement : 72 en 2013, 68 en 2014, 60 en 2015 et 58 en 2016.

 

Le solde du compte courant était de 12 669 euros au 31 décembre 2016 et celui du Livret A, de 10 900 euros.

 

Du côté des dépenses : nous avons dû « casser la tirelire » et acheter un véhicule « propre » qui a coûté 12 000 euros. Hormis cette dépense exceptionnelle, les frais de fonctionnement de l’ASP s’élèvent à 4 037 euros

 

 

6 – Election du Bureau et du Conseil d’administration de l’ASP

 

 

Le Bureau et le CA sont reconduits à l’unanimité des votants

Alexandre SIMONNOT est élu Secrétaire Général à l’unanimité

 

 

 

L’Assemblée générale se conclue par un air des Noces de Figaro de Mozart, magnifiquement interprété par Annette VENTENAT

 

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10/10/2017

Réédition 2017, avec nouvelle préface……….

 

 

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Martin Heidegger philosophe incorrect

 

 

Jean-Pierre Blanchard

 

 

25,00

 

Martin Heidegger ou l’introduction d’un socialisme national (de mode barrésien) dans la philosophie : nul ne songe à contester l’apport fondamental de Martin Heidegger dans le champ de la philosophe, s’inscrivant dans la lignée de la révolution conservatrice. En participant à la révolution conservatrice, en se posant comme guide spirituel, il n’a fait qu’enrichir la philosophie, la libérer des contraintes du monde moderne. Faire connaitre cette démarche, est donc une tâche urgente de libération.