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21/04/2017

Encyclopédie Wikimonde:

 

 

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Jean-Pierre Blanchard
 
 
Encyclopédie Wikimonde.jpg
 

 

 

 

 

 

 

 

 

Naissance 10 juillet 1950(67 ans)
Canet, Aude, France
Nationalité Française
Profession
Activité principale
Dirigeant associatif
Autres activités
Proche du Front national

Jean-Pierre Blanchard est un pasteur protestant, essayiste et militant nationaliste français né le 10 juillet 1950.

Biographie

 

 

Jean-Pierre Blanchard naît en 1950, à Canet, entre Corbières et Minervois. Après avoir travaillé à la chaîne dans une usine de Mazamet en 1964, il est successivement bénévole dans une MJC puis, en 1978, animateur salarié à la Cité du refuge, Paris XIII, sous la tutelle de l'Armée du salut. En 1986, il devient éducateur spécialisé.

 

 

 

Ordonné Vicaire de la paroisse protestante Saint Sauveur, à Paris XV, en 1990, il devient en 1992 Pasteur de l'Église Évangélique Luthérienne.

 

 

En 1995, il fonde l'association Entraide nationale.

 

 

 

En 1996, il participe au lancement des opérations Soupes de Nuit à Saint-Lazare, qui dureront jusqu'en 1999, connues sous le nom de « soupe au cochon », visant à exclure les personnes de confession musulmane[1], dont le caractère discriminatoire est établi [2].

 

 

 

En 2004, il devient aumônier d'Identité Protestante, puis missionnaire de l'Église Luthérienne Confessionnelle pour la France.

 

 

Le pasteur Blanchard fonde en 2005 l'Action sociale populaire (ASP), association caritative, proche du front national [3], dont il devient le président. Depuis septembre 2007, le pasteur Blanchard organise en Île-de-France des maraudes et distribue de la nourriture et des vêtements aux sans-abris.

 

 

 

Mise en place en 2010 d'équipes de visiteurs pour les personnes âgés.

 

 

 

Le samedi 19 janvier 2013 s'est déroulée, à Athis-Mons, l'Assemblée générale constitutive de l'association Identité Luthérienne, quʼil préside.

 

 

 

 

En 2015 il fête les 20 ans de sa nomination, comme responsable du social au FN, en présence de Jean-Marie et Jany Le Pen, et Bruno Gollnisch.

 

 

 

Il se revendique du nationalisme[4].

 

Œuvres

 

       " L'homme espoir" suivi"viure" ( poèmes)"éditions occitane en exil" 1975

  • Martin Heidegger philosophe incorrect, L'Æncre, 1997
  • Aux sources du national-populisme, L'Æncre, 1998
  • Heidegger, Pardès, 2000
  • La faim justifie les moyens, Déterna, 2000
  • Mythes et Races, Déterna, 2000
  • Jalons du protestantisme, Malpertuis, 2001
  • Le FN et le Social : le pasteur Blanchard en maraude avec ceux du Front, Déterna, 2012

 

Préfaces

 

 

  • Philippe Gautier, La Germanophobie, Paris, Déterna, coll. « Politiquement incorrect », 1999 (réimpr. 2006), 283 p. (ISBN 2-913044-20-4, notice BnF no FRBNF37193303)

 

Bibliographie

 

 

  • Sophie Coignard, Marie-Thérèse Guichard, Les Bonnes Fréquentations - Histoire secrète des réseaux, Grasset, Paris, 1997.
  • Michaël Darmon, Romain Rosso, L'après Le Pen : enquête dans les coulisses du Front national, Seuil, 1998, 270 p. (ISBN 978-2020307390) p. 66 et suiv.
  • Fiammetta Venner, Extrême France, Grasset, 2006, 526 p. (ISBN 978-2246666097) [EPUB] emplacement 2933 et note 11 emplacement 3505 sur 11217.

Notes et références

 

 

  1. Aller « Dictionnaire de la mouvance droitiste et nationale, de 1945 à nos jours », Jacques Leclercq, L'Harmattan, 2008, page 69.
  2. Aller http://www.legifrance.gouv.fr/affichJuriAdmin.do?oldActio...
  3. Aller http://www.lhebdoduvendredi.com/article/14259/le_pasteur_...
  4. Aller Jean-Pierre Blanchard, Aux sources du national-populisme, L'Æncre, 1998, p. 8.

Liens externe

 

 

 

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08:29 Publié dans Biographie | Lien permanent | Commentaires (0)

20/04/2017

Éditions Pardès:

 

 

 

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Adresse : 44 Rue Wilson, 77880 Grez-sur-Loing

 

Téléphone :01 64 28 53 38

 

 

 

 

 

18/04/2017

« Au bord de la guerre civile » : les flippés du ministère de l’Intérieur:

 

 

                                    

 

 

 

Si la France est toujours en paix, c’est parce que les Français le veulent bien.

 

Éditorialiste

Saint-Cyrien, diplômé en droit et science politique

 
 

Comme dans un film policier dépressif, à Beauvau, on nous déplie du mauvais polar, un cocktail de Prozac et gros rouge, sur zinc, au bar PMU face la gare, vue sur grisaille : France, 2017. On est au bord de la guerre civile. Des comités citoyens se sont constitués. Les fusils d’assaut sont sortis des caches d’armes. De l’étranger sont financés toutes sortes de groupuscules qui se préparent et l’anarchie gagne. Des mercenaires russophones ont été dépêchés. On tire sur la foule dans les manifestations. Des maisons brûlent. Des familles entières ont fui leur domicile et vivent dans les bois. On règle des comptes dans les fossés. On pend des gens. On en juge d’autres que l’on promène dans des cages. C’est le désordre. Des groupes armés coupent les routes. Des bandes s’affrontent à l’arme automatique. On lynche sur les avenues. On pille dans les beaux quartiers. Les commissariats ont fermé boutique, les fonctionnaires de police ont foutu le camp. L’armée française, comme le pays, est découpée en factions.

 

 

En France, sous vos yeux, se répète en ce moment le scénario de la Yougoslavie et de la Libye. À Beauvau, on analyse les renseignements qui remontent du terrain. L’Occitanie organise sa sécession, encouragée par les services secrets espagnols. La Bretagne lève des fonds anglo-saxons pour creuser un canal de Nantes au Mont-Saint-Michel qui l’isolera enfin. La Provence est devenue un monde à part. De riches anonymes rachètent les forteresses des Alpes et préparent le ralliement à la Confédération suisse. Les Corses sont déjà indépendants et battent monnaie. Lille prépare son mariage avec Bruxelles. L’Alsace-Lorraine, par référendum, va choisir de rejoindre l’Allemagne. Quant à Paris, c’est la ville la plus criminelle au monde. Le ministère de l’Intérieur s’adressera dans les jours qui viennent, une requête inédite au conseil de sécurité de l’ONU pour se voir accorder un mandat de maintien de la paix, avec déploiement d’une force de casques bleus déployée dès 2018, pour assurer le bon déroulement des élections présidentielles.

 

 

 

Messieurs les analystes qui ont inspiré cette déclaration oiseuse, allez faire un stage découverte dans un pays au bord de la guerre civile : l’Ukraine ou la République centrafricaine.

 

 

La vrai constat que l’on devrait faire place Beauvau, c’est celui du civisme des Français qui ne se sont pas encore révoltés contre un État confiscatoire et inefficace, qui abandonne ses pouvoirs régaliens, étouffe leur économie, tue le débat pour imposer ses éléments de langage et de pensée comme une idéologie obsessionnelle, à coups de clientélisme, de subventions et autres prébendes généreusement pompées sur leurs salaires, leurs revenus, leur patrimoine.

 

Si la France est en paix, ce n’est pas parce qu’il y a trois fois plus de policiers armés qu’il y a un siècle. Si la France est toujours en paix, c’est parce que les Français le veulent bien.

 

 

On n’oserait écrire, dans ces colonnes, qu’un grand directeur de service fasse ce genre de déclarations pour se conformer à l’agenda d’un cabinet noir, qui nous préparerait le démantèlement d’un bon gros complot dans une habile mise en scène avec logo, façon grosse prise de drogue, avec rafles, organigramme, photos à l’appui, tout cela dans la dernière ligne droite avant mai 2017 ?

 

 

Personne ne se permettrait de penser que, en France, la relation entre le pouvoir et la police serait si consanguine qu’elle en deviendrait incestueuse, manipulatrice. Que la police ne protégerait plus que le pouvoir, et rien d’autre. Que si guerre civile il y avait, elle aurait été voulue, comme un écran de fumée pour protéger les profiteurs.

 

 

Car le vrai risque, pour certains, ce n’est pas une guerre civile, mais une révolution.

14/04/2017

LES MEMBRES FONDATEURS DE l'ASP...

 

 

 

 

 

 

 

 

Oscar  Wesley

Membre du conseil d'administration

 

 

 

Il fût un temps, ceux de nos débuts à la Cité du Refuge de l'Armée du Salut, au bon vieux temps de notre jeunesse, époque inoubliable, où être un travailleur social professionnel était une vocation et une véritable aventure humaine. Depuis, la machine administrative a éteint cette flamme en fonctionnarisant le secteur.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

C'est par l'intermédiaire du blog, qu'après des décennies, nous nous sommes retrouvés. Ce qu'il y a de paradoxal dans ces retrouvailles, c’est que ce fut par l'intermédiaire d'un de nos ancien collègue, aux idées d'extrême gauche, qui, voulant dénoncer mon parcours, a permis notre rencontre. Il ignorait en effet que Oscar partageait mes valeurs, le même amour pour la France. Depuis, Oscar est de toutes nos actions, mais surtout là où il s'avère le plus utile : pour trouver de solutions à tous ceux qui font appel à nos services, afin de régler des problèmes d'hébergement ou d'orientation. Le fait qu'il soit un professionnel en activité est pour nous une aide précieuse. 

 

 

 

Pasteur  Blanchard   

 

                                                                     

12/04/2017

Qui suis-je ? - Éditions Pardès:

 

 

 

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Adresse : 44 Rue Wilson, 77880 Grez-sur-Loing

 

Téléphone :01 64 28 53 38

 

11/04/2017

Après le Brexit, comprendre que l’Europe politique est perdue:

 

 

 

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Les partis et les responsables politiques qui ont souci du bien commun doivent à tout prix sortir de deux dénis symétriques.

 

 

 

Écrivain et philosophe
 
 
 
 
 

Après le Brexit, l’avenir est bien sombre pour l’Union européenne. Ce qui a été fait sans mandat clair des peuples ne tiendra pas devant la révolte citoyenne qui s’annonce. Car c’est une utopie que de prétendre construire l’Europe contre sa tradition de liberté. Et la liberté des peuples n’est pas simplement la liberté d’élites qui déclarent froidement incarner, par définition, la démocratie, au besoin contre le peuple. Or, c’est là, clairement, ce qui est en train d’advenir.

 

 

L’Europe politique, c’est la construction d’un super-État européen qui annule progressivement les souverainetés nationales, avec une bureaucratie, un Parlement, des cours de justice, un pouvoir réglementaire allant bien au-delà de la nécessaire réglementation de la monnaie commune. La révolte des peuples contre cette Europe politique doit devenir un des scenarii majeurs de tout parti politique.

 

 

 

On doit envisager, maintenant, un possible désastre de la construction européenne. « Extrémisme » n’est pas, pour nous, un slogan, mais un concept. Nous concevons, en effet, sans difficulté des réactions à l’universalisme abstrait de l’Europe amnésique et sans identité, sous forme de particularismes arbitraires et fermés, réactivant les logiques d’avant 1914.

 

 

 

Les partis et les responsables politiques qui ont souci du bien commun doivent à tout prix sortir de deux dénis symétriques : le déni conservateur de l’Union européenne, aussi bien que le déni des risques de l’extrémisme révolutionnaire. Il faut absolument entrer dans une logique réaliste. Les anciens partisans de l’Union politique doivent prendre acte de sa dissolution de fait, car dès qu’on sort des beaux quartiers et des plateaux télé, elle n’existe plus que contre la démocratie et toute la tradition européenne de liberté. Des catastrophes internationales redeviennent possibles si seuls les partis extrémistes sont pour la démocratie, la souveraineté nationale et la consultation populaire, alors que les partis modérés seraient perçus comme voulant dissoudre les nations dans une construction bureaucratique, inefficace et injuste.

 

 

 

Il faut souhaiter que les pouvoirs comprennent que l’Europe politique est perdue, et qu’ils sauront la sacrifier au profit de l’Europe économique, idée initiale. L’Europe se recentrerait alors sur les domaines où elle est pleinement légitime : 1) l’union douanière pour les échanges intra-européens ; 2) une politique d’investissement dans l’industrie et les infrastructures européennes ; 3) la coopération des nations sur certains points clés pour bénéficier de la taille des marchés européens.

 

 

 

Un tel recentrage serait, bien entendu, un changement considérable, mais cela permettrait à des dirigeants modérés de préempter un mouvement probablement inévitable, ainsi que de démontrer aux peuples qu’ils ont compris les raisons du rejet de l’Europe et qu’ils recentrent le projet européen sur le service des peuples et le développement économique. Sans un tel repli stratégique, c’est toute l’idée de construction européenne qui est condamnée, sauf fuite en avant (heureusement improbable) dans le despotisme dur. Et ceux qui bénéficieront du déni seront des extrémistes.

 
 



                                                    

 

 

09:03 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

07/04/2017

Maraude du 6/ 04 / 2017.............

05/04/2017

Maraude.........20/12/2016

M Bruno 20 12 16.JPG

 

 

 

Bruno GOLLNISCH..

04/04/2017

Salah Abdeslam a sa salle de sport privée… Pourquoi se gêner ?

 

 

 

 

Pas moins de quatre cellules mises à disposition pour le prisonnier le plus dangereux de France !

 

Ancien chef d'entreprise
 
 
 
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Estomaqué, le député LR Thierry Solère raconte sa visite, accompagné de deux journalistes du Journal du dimanche, à la prison de Fleury-Mérogis.

 

 

Il se lève vers 11 heures tous les matins, dévoile un gardien, il cuisine beaucoup, « fait surprenant pour un homme de cette dangerosité » (remarque non moins étonnante de la part du figaro.fr, quand on sait qu’un petit moustachu qui se qualifiait lui-même comme « un ami des bêtes » était 100 % végétarien ET nazi !) et il regarde inlassablement les émissions de télé-réalité ; il prie et lit le Coran ainsi que des livres donnés par sa famille transmis par la prison, il se montre aussi d’une maniaquerie obsessionnelle… De qui s’agit-il ? De Salah Abdeslam. L’État ne peut rien refuser, selon ledit site, au « seul survivant des commandos terroristes du 13 novembre 2015 ».

 

 

Si ce n’était que cela ! Thierry Solère n’en est pas revenu : pas moins de quatre cellules mises à disposition pour le prisonnier le plus dangereux de France ! La première est évidemment occupée par Salah Abdeslam lui-même ; une seconde est dédiée au service de surveillance 24 h sur 24, la hantise de l’administration étant le suicide du détenu ; une autre est censée pallier une éventuelle dégradation de celle occupée par le terroriste — là, on croit rêver !

 

 

Mais ce n’est pas tout : alors que l’établissement enregistre un taux d’occupation de 190 %, le député a failli s’étrangler en constatant la présence d’un rameur dans la dernière cellule ! Mieux que des séances de pompes, n’est-ce-pas, pour à la fois secouer et canaliser un détenu perçu comme « fatigué et nerveux » par le député lui-même. Vous trouvez que les privilèges pour un tueur d’innocents, ça suffit ? D’autres appareils de musculation vont pourtant bientôt arriver. Et, logique pour un terroriste islamique placé à l’isolement, une aire de promenade a été spécialement aménagée sur le toit. Le tout financé par devinez qui ?

 

 

 

Quand on pense que l’État n’aurait jamais exonéré les familles des victimes des impôts dus par ces dernières si l’une d’entre elles ne s’était pas insurgée à la réception de sa feuille de déclaration, tant de sollicitudes à l’égard d’un Salah Abdeslam laissent pantois. Thierry Solère veut des explications. Nous aussi ! Dans une lettre adressée au garde des Sceaux Jean-Jacques Urvoas, il demande la raison de ce traitement de faveur. C’est le rameur qui lui reste en travers de la gorge, en plus d’avoir appris « que son usage était exclusivement réservé à cet individu »

 

Abdeslam nous coûte un pognon fou. Cela fait rager. Cependant, le plus amoral de cette histoire, c’est que ces privilèges sont réservés à un individu de cet acabit. Popote à demeure à volonté, télé par-ci, appareils de muscu par-là : plus tu es dangereux, plus tes conditions de détention s’améliorent… Et dire que, pendant ce temps-là, à l’extérieur, les Français rament…

 

 

 

08:38 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (1)

31/03/2017

Impressions de Maraude ..........

 

 

          

 

                     Par le Pasteur BLANCHARD

              Président de l'Action Sociale et Populaire

 

 

 

Maraude Françis 1.JPG

 

 

 

Dans une société qui change à chaque instant, depuis plus de six ans que nous suivons l’évolution de la misère dans les rues de Paris, nos impressions ne peuvent être que paradoxales. Pourtant, certains repères restent stables : parmi eux, le légendaire Francis.

 

 

 

Nous l'avons rencontré en 2008. A l'époque, il dormait dans le renforcement d'un bâtiment à la sortie d'un garage. Il y avait amoncelé des tas d’objets sur une hauteur de deux mètres et vivait au milieu de ce fatras. Le temps passant, il devint une destination incontournable de nos sorties. , à tel point qu’il était devenu un point nodal. A sa rencontre, chaque maraudeur recevait comme une onction de légitimité.

 

 

 

Un jour, plus de Francis. Cela faisait un certain temps qu'il était malade. Il sombrait à vue d'oeil de rencontres en rencontres ; ce qui l'amena à faire plusieurs séjours à l'hôpital. Avant de disparaître tout à fait dans la nature. Qu'était-il devenu ?  A chacun de nos passages dans son secteur, nous ne pouvions nous empêcher de nous interroger sur ce qu’il était devenu.

 

 

 

Enfin, un soir, nous l'avons retrouvé installé à quelques mètres de son ancien quartier général soigné après une longue hospitalisation. Il était bien là, encore, lors de cette maraude  en compagnie d' Emmanuel et sa belle mére. Depuis son retour, c'est chaque fois le même rituel. Dès qu’il me m'aperçoit, il s’écrit "tiens, voilà le Pasteur !", ajoutant, tout de go, en parlant de Catherine "et la photographe !" Dans un monde instable, il reste égal à lui-même tel que l’éternité le change.

 

 

 

Pasteur Blanchard

 

 

 

Maraude Françis 2.JPG