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17/01/2017

La pauvreté s’accroît dangereusement en Île-de-France : à qui la faute ?

 

       

                        

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15 % des 12 millions d’habitants disposeraient de mois de 990 € par mois.

 

 

Avocat
 
 
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Selon une étude du Secours catholique, la pauvreté s’accroît dangereusement en Île-de-France depuis 2004. 15 % des 12 millions d’habitants disposeraient de mois de 990 € par mois et par « unité de consommation », dont la moitié à moins de 750 € par mois. Et, toujours selon ce document, les enfants seraient particulièrement touchés, avec 24,3 % d’entre eux sous le seuil de pauvreté.

 

 

L’organisation caritative indique également que, hors Paris et les Hauts-de-Seine, « les revenus fiscaux des 10 % des ménages les plus modestes ont moins progressé au cours des dix dernières années que le revenu médian ». Selon elle, la politique des logements sociaux est inadaptée au profil des demandeurs, souvent très modestes et incapables d’accéder aux logements sociaux qui leur sont proposés. Elle souhaite un changement radical de la politique d’aménagement avec « un plan de construction de logements réellement accessibles aux personnes les plus pauvres ».

En ligne de mire, la nouvelle majorité régionale qui a supprimé les aides au logement « très sociaux », au motif qu’il convient de ne pas empiler la pauvreté sur la pauvreté, alors que 90 communes sur 1.300 concentrent 66 % du parc social.

 

 

Derrière les chiffres se profile le résultat d’une politique au goût amer. Une politique qui a tout misé sur l’accompagnement social à coups d’allocations, au lieu de lutter efficacement contre les causes de cette progression impressionnante.

 

 

Il a été dit et redit que le système d’allocations familiales, dont de plus en plus de familles « aisées » sont progressivement exclues, était passé d’un principe de distribution d’aides aux familles qui ont des enfants – pour compenser la charge qui pèse sur les familles au bénéfice de la société tout entière – vers un système de redistribution sociale : au lieu d’aider indifféremment les familles nombreuses, on aide les familles pauvres. Résultat, les classes moyennes et supérieures ont moins d’enfants, et les autres tombent dans une « trappe à pauvreté » : quand les allocations permettent de toucher un revenu plus important qu’un petit salaire, qui sera amputé de frais de garde, travailler perd tout intérêt.

 

 

Mais ce système est également une machine à acheter la paix sociale, et, pour nos gouvernants, cela n’a pas de prix. Sauf celui de la révolte qui éclatera le jour où, à bout de ressources, l’État ne pourra plus le financer. Parce que ce généreux édifice d’allocations a l’âge de ses artères : 70 ans ! Conçu après-guerre, dans une période où la reconstruction matérielle et morale du pays nécessitait la mise en place d’une politique ambitieuse de développement économique et de natalité, il a cessé depuis longtemps de remplir cette fonction. Désormais, il profite essentiellement aux familles immigrées, dont la natalité galopante soutient artificiellement le taux de fécondité officiel des femmes françaises. Or, et ce n’est pas une coïncidence, ces populations sont aussi celles dont les revenus fiscaux sont les plus faibles.

 

 

Cette aggravation de la pauvreté est donc partiellement liée à la politique migratoire qui concentre les flux dans les cités de grandes agglomérations. Un petit tour à la Caisse d’allocations familiales en convainc rapidement… Le drame, c’est que les populations françaises « de souche » sont également touchées. La caissière de Carrefour, à mi-temps, mère isolée avec deux enfants, en sait quelque chose. Et cela ne semble pas préoccuper nos gouvernants, parce que la caissière n’a pas l’habitude de casser pour manifester son mécontentement.

 

 

 

Cette politique sociale doit donc être repensée en profondeur. Avec une question centrale : à qui veut-on qu’elle profite, et avec quel objectif ? On attend les propositions des candidats à la candidature.

 

10:12 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

13/01/2017

IMPRESSIONS DE MARAUDE...

 

 

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Par le Pasteur

Blanchard.

 

 

Force est de constater que la présence de nombreux sans-logis dans les rues de Paris gêne le maire et ses adjoints. Les témoignages de certains SDF sont accablants. Un exemple, chaque semaine, le vendredi, ici ou là, la police arrive  et signifie à ces malheureux qu'ils ont cinq minutes pour déguerpir. Aussitôt, les éboueurs suivent et jettent leur barda. En un instant, nos amis se retrouvent encore plus bas. Bien sûr, cette démarche est faite avec le secret espoir que de guerre lasse, ils décamperont à jamais.

 

 

 

Cette méthode hypocrite mais ponctuellement efficace de déplacer la misère, ne tient pas compte du fait que, comme tout un chacun, les SDF s'accrochent aux repères qui sont devenus leur espace vital. Et, c'est un puits sans fond que les autorités creusent.

 

 

    Une autre remarque, aussi éloquante, m'a été faite par un ami venu de province pour déposer des vêtements. Il me dit sa surprise de voir la capitale de plus en plus submergée par les SDF. En particulier, les avenues "chics". 

 

 

Oui ! Sur le prestigieux boulevard des Capucines, on croise après  l'Olympia et jusqu'à l'Opéra des familles entières dormant devant les entrées des grands magasins. Et, durant nos maraudes, la nuit, ces abcès de fixation de la misère sont encore plus éclatants. Chaque fois, nous découvrons un mélange indécent de beauté et de misère.

 

 

Nos gouvernants, si complaisant à l'époque pour le mariage homosexuel  baissent les bras devant un problème aussi terrible et massif. Leurs seules réponses sont le silence et le déni. Ils éludent un problème qui ne fait que s'amplifier comme ils chassent les SDF, le vendredi, d'un trottoir à l'autre.

 

   

Nous avons l'écoeurante conviction  que moins les choses se résolvent, plus la communication règne en maître. Mais, l'Action Sociale et Populaire reste un témoin lucide. C’est à ce prix que nous continuerons à apporter notre contribution au combat contre la véritable exclusion.

 

 

    Pasteur  Blanchard

 

 

 

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11/01/2017

Maraude du 10 / 01 / 2017..............

 

 

 

 

 

10/01/2017

Selon l’ancien gouverneur de la banque d’Angleterre:

 

 « la zone euro est vouée à l’échec » 

 

 

Du rarement vu dans la haute finance !

 

 

 

« L’économiste britannique Mervyn Allister King fut le gouverneur de la très puissante Banque d’Angleterre du 1er juillet 2003 au 1er juillet 2013, soit pendant une décennie entière.

 

 

Cet homme, qui a donc été l’un des banquiers centraux les plus chevronnés du monde, et de l’une des plus grandes banques centrales de la planète, aujourd’hui à la retraite (il a 67 ans), vient de sortir un livre, au titre évocateur : « La fin de l’alchimie ».

 

 

Le journal britannique The Telegraph vient de publier, le 28 décembre 2016, quelques-unes [des pages dans lesquelles] Lord Mervyn King déclare tout bonnement que l’euro est condamné.

 

 

Il n’y va pas par quatre chemins : « La zone euro est vouée à l’échec et va aller de crise en crise jusqu’à sa destruction. »

 

 

 

Selon lui, la plus grande économie de l’Europe (l’Allemagne) fait face à un « terrible choix » : doit-elle soutenir les partenaires les plus faibles de la zone euro au prix d’un coût important et sans fin pour ses contribuables, ou doit-elle mettre un terme au projet d’union monétaire dans l’ensemble de l’Europe ?

 

 

Pour le banquier central, le « seul moyen » dont disposent les pays faisant face à l’abîme d’arrêter « l’austérité écrasante et le chômage de masse perpétuel », avec « aucune fin en vue de la charge de la dette » des pays débiteurs, est qu’ils abandonnent l’euro.

 

 

Et Lord Mervyn King de poursuivre :

 

 

« Le contre-argument – que la sortie de la zone euro pourrait conduire au chaos, à la chute du niveau de vie et à l’incertitude quant à la survie de l’union monétaire – a un poids réel. Mais quitter la zone euro peut être le seul moyen de tracer l’itinéraire de retour à la croissance économique et au plein emploi. Les avantages à long terme l’emportent sur les coûts à court terme. »

 

 
 

 

 

09:27 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

06/01/2017

UNE ACTION POUR LES PATRIOTES DEFAVORISES.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par  Laura  Léonard

 
 

Le samedi 10 décembre 2016,

le Pasteur Blanchard en compagnie de sa femme,

de Thierry, de Gaël et de Jany Le Pen

sont venus là où je vis pour passer un petit moment avec moi

et  me remettre un sèche-linge ainsi qu'une télévision.

 

J'étais toute émue et touchée de ce grand geste d'entraide patriotique !

Ce fut un agréable après-midi

 

autour de discussions très intéressantes et enrichissantes

avec des personnes formidables

 

et vraiment je tenais à les remercier pour leur générosité

et pour nos conversations aussi détendues et bon enfant

(on a bien rigolé !).

 



Cet agréable moment restera dans mon cœur et dans mes pensées !

 

Un grand merci à Jany Lepen, une femme adorable et très humaine

qui parle avec son coeur et qui apporte beaucoup d'apaisement

dans ce qu'elle dit, que j'ai super bien adorée.

 

(D'ailleurs j'ai vraiment bien aimé tout ce petit monde présent ce jour).

C'est rassurant de savoir qu'il reste dans cette France

 

des personnes aussi génialissimes.

 

 



Merci

 

au pasteur blanchard et à sa femme, qui a organisé cet événement,

ils sont adorables.



Merci

à Gaël trésorier de l'ASP qui comme à notre première rencontre 

a su comprendre et qui a été touché par ma situation.

 

Merci

à Thierry que je voyais pour la première fois

et qui lui aussi a pris à cœur ma situation.

 


Encore un grand merci

à vous cinq qui êtes venus passer un moment avec moi,

en espérant que vous aussi avez passé

un très bon moment en ma compagnie...

 

 

J'espère sincèrement à très bientôt !

 

 

Laura.

 

 

03/01/2017

C’était un 23 janvier : révolte gauloise menée par Vercingétorix:

 

 

 

 

 

 

 

en 52 avant notre ère, à la suite de rumeurs de troubles à Rome, le signal général de la révolte gauloise est donné, vraisemblablement à l’occasion de la fête druidique du 6e jour de la lune du solstice d’hiver, dans la fameuse forêt des Carnutes.

 

Les commerçants romains de Cenabum (Orléans) sont massacrés.

 

 

 

L'âme de ce sursaut s’appelle Vercingétorix. Il est le fils de Celtillos, qui avait tenté de faire l’unité des Gaulois, et en était mort.

 

Vercingétorix prend le pouvoir chez les Arvernes, sa tribu, et s’impose notamment grâce à l’art du discours prisé chez les Gaulois comme chez les Romains qu’il a côtoyés.

 

 

 


 

 

 fin de -53 et au début de -52, les alliés traditionnels des Romains avaient peu à peu fait défection et s’étaient rangés sous sa bannière.

 


En janvier -52, il avait lancé de multiples ambassades auprès de peuples gaulois pour tenter de les rallier.

 

 

Rappelons qu’il y a peu est sorti un livre remarquable et original sur Vercingétorix, signé de Danielle Porte, qui réhabilite le chef gaulois.

 

 

 

Source T. de Chassey

 

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30/12/2016

Communiqué de l’Action Sociale Populaire:

 

 

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La marraine de l’ASP, Madame Jany Le Pen, soutient le Pasteur Blanchard, depuis de nombreuses années, dans ses différentes entreprises ; que ce soit, dans le cadre de son ministère pastoral auprès de nos compatriotes souffrant dans leur corps et dans leur âme, ou dans son travail social d’éducateur effectué auprès des français les plus défavorisés.

 

 

Aussi, tout naturellement  sa fidélité sans faille depuis des années sur le terrain ; souhaitant lui témoigner reconnaissance et amitié nous l'avons invité pour la maraude de Noël de notre onzième campagne de maraudes.

 

 

Pour l'accompagner dans ce temps fort des bénévoles de notre association, étaient présents à ces côté, des fidèle parmi les fidèles de l'ASP, Céline, Pierre-Claude, Renée, et moi même.

 

 

 

Alexandre Simonnot pour le conseil d'administration de l’ASP.

 

 

 

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28/12/2016

Fête des 20 ans de l'ASP le 26 / 09 / 2015..............

 

 

 

 

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Jean-Marie   LE PEN

27/12/2016

La France n’avance pas, elle s’enfonce. Son histoire bégaye:

 

                                   

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Le blocage et le pourrissement sont les aspects les plus marquants de la situation.

 

Homme politique
 

Ancien député UMP, Président du Rassemblement pour la France, Président de La Droite Libre

 
 
  
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Le tableau qu’offre la politique française additionne le malaise social, l’incohérence gouvernementale et ce mélange de conformisme fadasse et de manipulation insidieuse qui caractérise la plupart de nos médias. Le blocage et le pourrissement sont les aspects les plus marquants de la situation. Le pays n’avance pas, il s’enfonce. Son histoire bégaye. Incapable d’imposer l’évidence qu’un traître doit perdre sa nationalité française s’il en possède une autre et ses droits civiques sinon, le gouvernement se trouve coincé entre sa gauche antinationale et son opposition qui, au Sénat, le rappelle à l’équilibre.

 

 

 

Lui qui avait méprisé les puissantes manifestations contre l’inutile mariage unisexe, le voilà qui recule devant quelques manifestations d’étudiants et de lycéens politisés, et des grèves scandaleuses dans les transports publics. Au lieu de réformer, il ouvre à nouveau les vannes de la dépense publique et de l’assistanat pour tenter de regagner des électeurs. Une telle politique atteint des profondeurs inexplorées de la médiocrité, de la lâcheté et de la nocivité pour le pays. Nous devions favoriser la compétitivité, libérer l’embauche et diminuer nos déficits. Le pouvoir aux abois multiplie les cache-misère avec la généralisation de la garantie jeunes en 2017. Les bénéficiaires du dispositif passeront de 60.000 cette année à 150.000 et plus dans un an, pour un coût de plus d’un milliard d’euros contre 450 millions aujourd’hui.

 

 

Les fonctionnaires ne sont pas oubliés. On annonce le dégel du point d’indice. 1 % de plus, c’est 1,75 milliard de plus ! Le démagogue incompétent qui sévit à l’Élysée avait déjà lancé un plan de formation pour 500.000 chômeurs et une extension du service civique. L’imprévision de sa politique agricole et son impuissance à Bruxelles l’avaient aussi obligé à un plan d’aide à l’agriculture.

 

 

Comme toujours, loin des sordides questions économiques, les médias de la gauche mondaine se concentrent sur les questions sociétales. Le cardinal Barbarin est leur cible privilégiée. À peine suspecté, il est déjà jugé, y compris par le Premier ministre jamais avare d’une sentence. Dans cet exercice de tir, il est important de bien viser la cible, en l’occurrence un prélat qui a combattu la loi Taubira sur le mariage unisexe, et qui aurait laissé en fonction un prêtre accusé de pédophilie pour des faits antérieurs à la nomination de Mgr Barbarin à Lyon. Il est utile, aussi, de cerner les motifs du tireur. L’insistance du mouvement LGBT pour distinguer l’homosexualité – le bien – de la pédophilie – le mal -, alors que la frontière peut être mince au-delà ou en deçà de 15 ans, se retrouve dans l’acharnement à attaquer l’Église catholique qui, après avoir condamné le « bien », se trouve susceptible de complicité avec le mal.

 

 

La puissance de feu médiatique des groupes de pression les plus éloignés du bien commun est une spécificité française. Dans Libération, j’ai pu lire un article intitulé : « Pour un ministère de l’abolition de la famille. » La famille y est qualifiée d’« institution mortifère ». On peut difficilement aller plus loin dans l’aveuglement idéologique et dans ce que Benoît XVI appelait « la culture de mort ». Le suicide français a de beaux jours devant lui. Il en a les moyens.

 

 

Pour achever le désastre, François Hollande sera le premier Président à commémorer le 19 mars 1962, ce cessez-le-feu qui permit aux assassins du FLN de massacrer des dizaines de milliers de harkis, des milliers de pieds-noirs. Des centaines de soldats français trouvèrent la mort après cette date. L’armée française ne protégea ni ses supplétifs, ni les Français d’Algérie. On peut s’interroger sur le sens de l’honneur et sur l’esprit national d’un président de la République qui, après avoir décoré le ministre de l’Intérieur saoudien, entend célébrer un événement qui est une tache sur notre histoire afin de gagner quelques voix… étrangères.

 

 

 

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23/12/2016

REFLEXIONS SUR LA MARAUDE DE NOËL...

 

 

 

 

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La dernière maraude de l’année civile est aussi l’une des plus touchantes. La période des fêtes accentue en effet le fossé séparant M. et Mme Tout-le-monde des sans-abri soumis au froid, à l’humidité et à la solitude. Plus que jamais, l’ASP doit donc jouer son rôle de réconfort matériel mais surtout moral, tant la vue des badauds vaquant à leurs achats de Noël semble décalée par-rapport au quotidien des centaines de SDF qui survivent dans les rues de Paris. Eux ne sont jamais à la "fête", quelle que soit la date fixée sur le calendrier.

 

 

 

L’esprit de Noël reste heureusement présent dans le cœur des responsables et bénévoles de l’ASP, qui savent qu’en cette période un supplément d’âme doit être offert à ceux qui souffrent de la faim et d’une absence de toit. Cette année, c’est un fidéle parmis les fidéles que le Pasteur Blanchard a invité une personnalité désireuse de se mettre, pour une nuit, au service des sans-abri de la capitale : membre  du Front national et universitaire reconnu, Bruno Gollnisch a en effet tenu – malgré des obligations professionnelles tardives – à participer à cette maraude représentative du travail effectué par l’association.

 

 

 

 

 

 

Ce 20 décembre, c’est donc aux côtés du pasteur et de son épouse Catherine, avec Emmanuel sa belle mére et moi même que Bruno Gollnisch a participé à sa cinquiéme maraude. Comme ses camarades d’équipée, le député européen a évidemment été frappé au cœur par une misère humaine insoupçonnable et inacceptable dans une ville à l’étranger symbole de rêve et de richesse. Cadre frontiste ou pas, intellectuel ou non, Bruno Gollnisch a rempli son rôle avec application, bonhommie et bienveillance, distribuant sans souci de différences sociales soupe, café, boîtes de conserve, vêtements, couvertures et menus cadeaux aux SDF.

 

 

 

Entre deux points de localisation de sans-abri, les participants ont évidemment refait le monde, à commencer par la France et son étrange gestion des drames sociaux… Le dernier SDF réconforté, c’est en grand seigneur que Bruno Gollnisch a terminé la maraude, en conviant les membres de l’équipe à partager un casse-croûte avec lui : même en l’absence de "bouchons" gourmands, la convivialité reste une priorité. 

 

 

Françoise Pitault,

 

 

membre du  de l'ASP. 

 

 

 

 

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