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21/12/2016

Maraude de Noël : 20 / 12 / 2016..............

 

 

 

20/12/2016

La bureaucratie gangrène la croissance, par Pieter KERSTENS:

 

 

 

TRIBUNE LIBRE

 

 

La bureaucratie s’est métamorphosée. Du petit chef de bureau tatillon, disposant d’un pouvoir discrétionnaire, nous sommes passés dans les rouages et le virtuel des systèmes d’information.

 

LA BUREAUCRATIE À DOMICILE

 

 

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La bureaucratie n’est plus seulement concentrée dans de grosses administrations ou organisations, elle est dans notre poche. La tablette, l’I.Phone, l’I.Pad et les smartphones ont permis à la bureaucratie d’entrer dans les domiciles de chacun, avec de nouvelles formes de contrôles permanents et multiples, échappant à votre sagacité.

 

 

 

En 2016, une majorité d’Administrations qu’elles soient locales ou nationales étaient informatisées et connectées à Internet. Les fonctionnaires à 95% n’étaient plus occupés à des tâches manuelles comme en 1980 et à rechercher des documents classés et répertoriés dans des fichiers manuscrits.

 

 

 

On peut donc croire que, à l’exemple de l’industrie privée, la gestion « en bon père de famille » aurait pu faire diminuer le nombre de fonctionnaires et les coûts correspondants (salaires, primes, caisses maladie et surtout financement des retraites). Il n’en a rien été et une grande part des déficits budgétaires et la hausse de la dette publique n’est que la conséquence de l’embauche, année après année, de dizaines de milliers de nouveaux fonctionnaires.

 

 

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La bureaucratie à domicile

 

 

UNE DÉPENSE PUBLIQUE EN AUGMENTATION CONSTANTE

 

 

 

En 2012, les personnes payées par l’argent public, employées dans la fonction d’État et la fonction publique territoriale, s’élevaient à 4.383.526 ; en 2015, malgré la modernisation de tous les services publics, ils étaient 4.457.863. Pourquoi ?

 

 

 

Alors même que 57% du PIB français sont absorbés par la dépense publique, la pression fiscale globale en France est la 2ème des pays de l’OCDE avec 45,7% du PIB  (derrière le Danemark et devant la Belgique), en 2014 ; et ce n’est pas près de diminuer avec les nouvelles augmentations des taxes concernant le tabac, les carburants, les timbres, les alcools, etc...

 

 

Si encore avec une telle dépense pour la fonction publique nous ayons en contrepartie des administrations efficaces, compétentes et à l’écoute des populations (car à leur service) nous, contribuables, ne pourrions-nous plaindre.

 

 

L’ÉDUCATION NATIONALE, UN MAMMOUTH À DÉGRAISSER

 

 

C’est tout l’inverse et le plus bel exemple de gabegie, d’incompétence, de bureaucratie stalinienne et d’immobilisme est fourni par l’Éducation Nationale, bastion des droits acquis et forteresse des syndicats gauchistes. En augmentant leur temps de travail de 5%, en diminuant tous les ans pendant 5 ans leurs effectifs de 2% et en augmentant le nombre moyen d’élèves par classe (de la maternelle au bac) de 20% sur 5 ans , les économies de ce seul ministère s’élèvent à plus de 8 milliards d’euros TOUS LES ANS !

 

 

 

Et les possibilités d’économies dans tous les ministères et les collectivités territoriales sont innombrables. Il suffit d’en avoir la volonté politique et de ne plus se réfugier derrière des tabous érigés par des minorités et issus d’un autre âge. Il en va de même pour des privilèges catégoriels et des sinécures accordées par des coquins à leurs copains.

 

 

 

On ne peut pas demander à nos industriels de se développer d’une part et de concurrencer les importations étrangères d’autre part, alors même qu’ils sont handicapés, depuis des décennies, par des normes et des règlements plus restrictifs et pénalisants les uns que les autres. À quand le retour du bon sens ?

 

 

 

 

10:05 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

16/12/2016

Impressions de maraude par Alexandre Simonnot membre du CA de l'ASP:

 

 

 

Maraude Alexandre 1.jpg

 

Le pasteur Blanchard nous avait donné rendez-vous à 21 heures. L’heure à laquelle la nuit tombe. L’heure à laquelle Paris, la capitale de notre pays, qui est notre fierté au grand jour, devient durant la nuit le Paris de la honte et de l’abandon. Le théâtre de la misère la plus scandaleuse, la plus inacceptable : celle des Français sans logements, sans aides, sans ressources, sans rien.

 

Nous étions, le pasteur et son épouse, et nous, Jany,Céline,Pierre-Claude Renée et moi même, venus simplement aider, assister et quelque peu soulager cette misère effroyable. Paris, ce sont des centaines de centaines d’inconnus, d’anonymes, qui dorment dehors, seuls. Cette nuit-là, ils sont pour quelques heures nos seigneurs et nous allons les servir. Un peu de café, un peu de soupe chaude, quelques vêtements, mais surtout beaucoup de réconfort, d’écoute, de solidarité. Beaucoup d’humanité et de fraternité.

 

Si quelqu’un veut vraiment parler de la misère en France, il doit venir en maraude avec le pasteur Blanchard. Si quelqu’un veut connaître l’état de notre société, non au grand jour, mais en pleine nuit, il doit venir en maraude avec le pasteur Blanchard.

 

Notre première impression en voyant ces malheureux à tous les coins de rue, c’est cette promesse de Nicolas Sarkozy en 2007 : « Moi président, dans cinq ans, plus personne ne dormira dans la rue ». Inutile de préciser à ceux qui nous lisent que cette promesse n’engageait que ceux à qui elle était faite !

 

 

Boulevard Haussmann

 

À l’ASP, nous ne faisons jamais de promesses, nous agissons concrètement tout simplement. Non au grand jour sous l’œil des caméras, mais la nuit dans l’anonymat. Voilà quelle a été notre nuit dans les rues de Paris, notre nuit.

 

Nous avons agi. Nous avons revu le mythique Francis, véritable vedette de nos maraudes. Nous avons visité jeunes et vieux, nous avons rencontré des solitaires mais pas complètement seuls car ils ont comme compagnie leurs chiens. Nous avons rencontré de nombreuses personnes, d’horizons très divers, aux histoires très différentes. Mais ils ont tous un point commun : ils sont à la rue. La France les a abandonnés tout simplement.

 

 

C’est là que l’on constate l’immense décalage entre un gouvernement socialiste et le « social ». Les socialistes n’ont de social que leur dénomination. En réalité, ils n’y connaissent rien. En réalité, leur principale préoccupation, c’est d’aider par tous les moyens les étrangers et clandestins, avant d’aider les leurs, les nôtres, les Français !

 

Cette maraude a duré cinq heures. Cinq heures durant lesquelles nous aurions aimé aider tous ces pauvres. Mais ils sont si nombreux, partout. Il n’y a plus un seul grand boulevard dans Paris, il n’y a plus un seul quartier dans Paris où l’on ne rencontre pas des gens qui dorment seuls, dans la misère la plus totale.

 

Voilà le fruit de nos politiciens, voilà le fruit de nos gouvernants successifs. Toujours de l’aide pour le monde entier, mais jamais pour les nôtres, jamais pour nos pauvres !

 

C’est à la fois écœurés et heureux que nous achevons cette maraude avec le pasteur Blanchard et son épouse. Écœurés par le désastre que nous avons pu constater de nos propres yeux, mais tellement heureux d’avoir pu pendant quelques heures être au service de ces miséreux, de ces parias de notre société, qui durant quelques heures d’une nuit froide, étaient nos maîtres et seigneurs.

 

 

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14/12/2016

Maraude du 13 / 12 / 2016..............

 

 

 

13/12/2016

Chronique de la France asservie et résistante:

 

 

Par Robert SPIELER 

 

 

 

J’AI PLUS que souvent abordé le sujet de la tyrannie qui règne en Allemagne. Voici les dernières informations : le site Altermedia Deutschland vient d’être interdit le 26 janvier 2016 par le ministre de l’Intérieur Thomas de Maizière et ses deux responsables ont été interpellés et vraisemblablement placés en détention. Il leur est reproché d’avoir « appelé à la violence contre les étrangers vivant en Allemagne », proféré des paroles « de mépris » envers certaines religions et… « nié l’Holocauste », a précisé le Parquet. Des perquisitions ont eu lieu dans plusieurs régions d’Allemagne. Selon Wikipédia, le site recueillait 5 millions de vues par an… On se souvient que celui qui, en 2010, était responsable du site Altermedia Deutschland, Axel Möller, avait lui aussi été poursuivi pour son supposé révisionnisme : il avait été incarcéré le 7 décembre 2011 pour n’en sortir que le 29 mai 2015. Cinq millions de supposés nazis, c’est sans doute six millions de trop… En attendant, allez consulter le très bon site Altermédia francophone qui n’a rigoureusement, comme vous le constaterez, rien de nazi.

 

 

 

Mais ce n’est pas fini. La dirigeante courageuse de l’AfD (Alternative für Deutschland), Frauke Petry, créditée de près de 13 % dans les sondages, a déclaré qu’il était légitime de pouvoir utiliser en dernier recours des armes à feu, pour empêcher des migrants de pénétrer dans le pays. Les traîtres ont évidemment affiché leur désapprobation bruyante. Wolfgang Bosbach de la CDU (supposée de “droite”) déclare qu’il n’existe pas de cas dans l’histoire de la République allemande d’utilisation d’armes à feu pour empêcher quelqu’un de pénétrer dans le pays. Sa mère, probablement violée comme deux millions d’Allemandes par les hordes soviétiques et les tabors de Leclerc lui expliquera peut-être l’héroïque résistance des forces européennes face à l’invasion, avec, curieusement, des armes à feu. En attendant, le dirigeant du Parti social-démocrate (SPD) Sigmar Gabriel exige que l’AfD soit placée sous observation de l’Office de protection de la Constitution (le Verfassungsschutz, (l’organe de protection de la Constitution, que j’ai évoqué dans le récent RIVAROL), la Gestapo politiquement correcte allemande. Un des députés écologistes parle tout simplement, à propos des déclarations de Frauke Petry, de « terrorisme de droite ». J’avais conclu mon discours, il y a dix jours, lors d’une réunion à Cologne, que j’évoquais dans cette chronique, par ces mots : « Vive l’Allemagne libérée ! Vive l’Europe libérée ! »

 

 

ALLEMAGNE DÉGÉNÉRÉE (SUITE)

 

 

Lors d’une réunion à la mairie de Bad Schlema, les citoyens se plaignaient : « dans notre propre pays, on ne peut plus se promener en ville ! » Comme les protestations s’intensifiaient, le maire CDU a menacé d’appeler la police pour faire taire les protestataires. La ville, qui comprend 5500 résidents, a accueilli environ 85 réfugiés. Le débat a dégénéré quand un grand-père a posé la question suivante au maire, Jens Müller, du parti chrétien démocrate de la traîtresse Angela Merkel : « Ma petite-fille qui a moins de 10 ans — et cela s’est produit aussi dans une ville voisine : les filles ont été harcelées par des “enfants” de réfugiés, “demandeurs d’asile”. Elles ont été harcelées depuis les fenêtres des refuges. Comment cela va-t-il se passer l’été prochain ? Quand les lycéennes seront plus légèrement vêtues ? ». « C’est facile, il suffit de ne pas aller les provoquer dans ces endroits », a répondu le maire, suggérant de ne pas en faire tout un plat, car « les hommes allemands ne sont pas des anges en la matière ». Est-il possible d’aller plus loin dans le registre de la soumission imbécile, du déshonneur et de la trahison ?

 

« Un pays où quelqu’un qui pêche sans permis reçoit une amende et où les gens peuvent passer les frontières sans passeport ne peut être que dirigé par des idiots ! »

 

 

UN SPORTIF COURAGEUX

 

 

Voici le message qu’a fait paraître sur les réseaux le grand sportif Felix Baumgartner, Autrichien, vivant en Suisse, qui a osé sauter en parachute depuis la stratosphère en 2012. Baumgartner vante les mérites de la démocratie directe helvétique. Accusé par certains media d’être un « nazi d’extrême droite ». (considération amusante, comme s’il pouvait exister des nazis d’extrême gauche), il insiste sur le fait que les gouvernements ont le devoir de protéger leurs citoyens et d’assurer la sécurité sur leur territoire. Pour lui, le fait que des centaines de milliers de migrants « infiltrent notre pays (l’Autriche), même sans armes » est un réel danger. Il critique dans la foulée la politique d’accueil de la traîtresse Merkel et soutient les gens qui se révoltent contre cet état de fait en Europe, glorifiant au passage le premier ministre hongrois Viktor Orban qui mériterait selon lui le prix Nobel de la paix pour avoir su protéger son pays et son peuple. Et pendant ce temps, le misérable préfet des Côtes d’Armor, Pierre Lambert, a interdit la manifestation de Pegida contre l’islamisation et l’immigration, prévue le 6 février devant la préfecture de Saint-Brieuc. La loi interdisant de désigner nommément les imbéciles et les traîtres, je me contenterai de citer Pierre Lambert qui motivait ainsi son interdiction : « L’Europe n’est pas menacée par une islamisation rampante. Je ne suis pas en phase avec ces thèses racistes, provocatrices et xénophobes. » Pauvre type…

 

 

PRESSE MENTEUSE EN ALLEMAGNE

 

 

Comme le raconte le site Boulevard Voltaire, la presse écrite est en chute libre depuis 2014 en Allemagne. Le phénomène est désigné comme « l’effet Ulfkotte ». Udo Ulfkotte était rédacteur en chef du FAZ (Frankfurter Allgemeine Zeitung), qu’il a quitté. Pris de remords, il révéla dans un best-seller comment la CIA corrompt la presse allemande dans le but de manipuler l’opinion. La baisse d’audience de ces media fut déclenchée, entre autres, par le titre en une du Spiegel en juillet 2014 : « Stoppt Putin jetzt ! » (Arrêtez Poutine maintenant). Suivi d’un autre numéro du même magazine, qui apposait sur le portrait d’un Vladimir Poutine au regard inquiétant le titre : « Le voisin dangereux, Vladimir Poutine, et l’impuissance de l’Occident. » Du coup, les Allemands qui ne sont pas tous forcément des idiots à la botte de la CIA ont répliqué par un pastiche, largement diffusé : « Stoppt Spiegel jetzt ! » (Arrêtez le Spiegel maintenant, le Spiegel étant un grand hebdo de gauche). Pas de quoi émouvoir les media traîtres. Ils ont dissimulé pendant plusieurs jours les événements de la Saint-Sylvestre à Cologne. Deutschland, erwache ! (Allemagne, réveille-toi !)

 

 

UN JUIF ÉLU À L’ACADÉMIE FRANÇAISE. MAIS À QUAND UN MUSULMAN ?

 

 

 

 

 

Excellent article de notre confrère Minute quant à l’élection d’Alain Finkielkraut à l’Académie française. Lisons quelques lignes d’une rare impertinence : « Jean d’Ormesson, qui est aux lettres françaises ce qu’une tasse de camomille éventée est aux alcools forts, s’est réjoui très fort, bravo bravo bravo, de l’élection d’Alain Finkielkraut à l’Académie française, sur les bancs de laquelle lui-même radote de la méduse. » D’Ormesson en pleure de joie : « Ce qu’il y a de beau chez lui (Finkielkraut), c’est que c’est un juif polonais », dit-il. « Sa mère ne parlait pas le français. C’est magnifique. C’est l’intégration française. Et je suis très heureux de ça. » Mais Jean d’Ormesson ne s’arrête pas en si bonne yeshiva. Il poursuit : « Eh bien, je dirais que je souhaite aussi… » (le suspense, commente le sournois et talentueux rédacteur de Minute, est insoutenable) « … que nous fassions la même chose dans les années qui viennent — l’Académie, c’est très lent — avec les musulmans. Je vais me faire incendier… » (mais peut-on incendier la camomille ?) « L’islam n’est pas représenté à l’Académie. Il serait normal qu’elle (sic !) soit représentée. Je pense que ça se fera. ». Commentaire de notre excellente amie Fabienne Pichard du Page (Pardès) qui m’envoie l’information : « Heureusement, cette fripouille libérale a un cousin germain, Jacques Anisson du Perron, notre cher ami et auteur qui relève l’honneur de cette famille ! »

 

 

 

“RIEN DE CE QUE J’AI FAIT, JE NE L’AURAIS FAIT SI JE N’AVAIS PAS ÉTÉ JUIF”

 

 

 

 

Le pseudo-philosophe, Bernard-Henri Lévy, défenseur ardent d’Israël, vient de livrer son livre, dit la critique dithyrambique, « le plus personnel à ce jour ». Son titre : L’esprit du judaïsme. Il y explique pourquoi il a souhaité libérer, à lui tout seul, la Libye et pourquoi il a
voulu virer Poutine d’Ukraine et de Crimée. « Je suis allé à Ninive », raconte BHL, 67 ans, fin lecteur de l’Ancien Testament. Dans le Livre sacré, l’antique ville de Ninive (sur la place actuelle de Mossoul) est une ville corrompue. Le prophète Jonas est chargé d’annoncer à ses habitants sa destruction. Mais les habitants se repentent. Leur ville est sauvée. Le Dieu d’Israël est le Dieu de tous les hommes commente BHL. Il explique avoir agi « en tant que Français » parce que « j’étais fier de contribuer à ce que mon pays soit à la pointe » du combat contre la tyrannie. Il évoque aussi son « indéfectible croyance en l’universalité des droits de l’Homme » et à son « inflexible fidélité à son nom juif ». On est fier pour lui… En attendant BHL rapporte aussi cette belle phrase, si émouvante, de Romain Gary, au moment de la sortie du Testament de Dieu : « Il y en a qui te reprocheront de voir des antisémites partout. Si j’avais un reproche à te faire, ce serait de ne pas en voir assez ».

 

 

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07/12/2016

Maraude du 06 / 12 / 2016..............

 

 

06/12/2016

Il y a 95 ans : La mort de notre maître Maurice Barrés.

 

 

 

 

 

Le grand écrivain patriote Maurice Barrès s’est éteint le 3 décembre 1923 à son domicile de Neuilly.


Il fut l’un des principaux fondateurs du nationalisme français moderne.


«A ma mort, il faudra me conduire dans l’ombre du clocher de Sion (...) J’ai soif d’éternité». «C’est une colonne qui s’écroulait» selon le mot de Maurras.


Régionaliste lorrain et nationaliste français, il laisse une œuvre littéraire conséquente et un riche héritage politique.
Nous recommandons la lecture Des déracinés, pour le bagage de tout Français cultivé.
Yves Chiron a écrit une solide biographie, disponible ici.

 

 

 

[Maurice Barrès occupe aujourd’hui, dans le panthéon des pères du nationalisme français, une place de premier plan que nul n’ignore ni ne conteste, et le peuple de ses admirateurs s’étend bien au delà des confins de notre famille de pensée (on peut citer André Gide ou Louis Aragon, par exemple). Mais sa vie et son oeuvre, toutes deux imposantes, restent souvent peu connues. Pourtant, Barrès, cas exceptionnel dans l’histoire contemporaine, assuma les multiples destinées de fondateur de doctrine, d’homme politique actif et élu, d’écrivain, de journaliste et de voyageur. Quelques lignes ne seront donc pas de trop pour esquisser le portrait de cette monumentale figure. 

 

Né le dix-neuf août 1862 à Charmes, petite ville du département des Vosges, Maurice Barrès assiste, en août 1870, âgé de huit ans, au reflux des troupes françaises et à l’invasion par les Prussiens de sa région natale . Ses parents, des notables, devront héberger pendant plusieurs années un militaire ennemi ; ces événements marquèrent vivement le jeune Barrès, alimentant un sentiment hostile à la nouvelle nation allemande et fournissant la trame d’un de ses futurs romans. Après des études de droit et de lettres à Nancy, il s’installe à vingt-et-un ans à Paris, où il commence à publier dans diverses revues littéraires. En 1888, il fait la connaissance du général Boulanger et de Charles Maurras. Il se lance alors en politique, et obtient rapidement son premier succès, en étant élu, à vingt-sept ans, député boulangiste de Nancy. L’épopée boulangiste, qui se termina tragiquement, prête aujourd’hui à sourire quand elle ne révèle pas les abyssales lacunes de nos contemporains en matière historique ; c’est cependant à cette occasion que Barrès développe et structure sa doctrine nationaliste, doctrine radicalement innovante à l’époque, rompant avec les courants légitimistes ou contre-révolutionnaires dominant alors la pensée de droite. Le nationalisme de Barrès est une synthèse originale, alliant un socialisme sincère et réaliste à un certain autoritarisme (républicain toutefois), à un certain sentimentalisme aussi, qui inclut un attachement viscéral au terroir lorrain, et d’où l’antigermanisme et l’antisémitisme sont loin d’être absents. Rappelons, pour replacer ces deux opinions dans la perspective de l’époque, qu’elles étaient couramment répandues, dans la population comme dans la classe politique, toutes tendances confondues, et que Barrès peut faire en la matière figure de modéré, au regard de la virulence verbale de ce temps.

 

Rescapé du feu de paille boulangiste, Barrès poursuit sa carrière en indépendant, se présentant infructueusement à une élection législative à Neuilly, où il réside désormais (les actuels habitants ont-ils conscience de l’insigne honneur qui leur a été fait par le grand homme?). Sa pièce «Une journée parlementaire», dénonçant le scandale de Panama, est interdite par le pouvoir. Il publie en 1897 «Les Déracinés», une de ses plus fameuses oeuvres, éloge de l’âme lorraine, et critique acerbe de la vie politique, mondaine et intellectuelle de son temps.

 

 

 

 

En 1898, Emile Zola, avec le fameux «j’accuse», parvient à une fracassante réouverture du débat sur l’affaire Dreyfus. Au grand dépit de la gauche (dont certaines de ses idées, et surtout des amitiés littéraires et intellectuelles le rapprochaient), qui espérait son ralliement, Barrès s’engage activement aux côtés des antidreyfusards, avant de prendre part à une nouvelle et rocambolesque aventure : la tentative de putsch de Paul Déroulède. Cette aventure, qui elle aussi peut paraître peu réaliste (alors que nombre de mouvements actuels la surpassent de loin dans le grotesque), fait partie des prémisses de l’action nationaliste. Mélange de poujadisme avant la lettre, d’antiparlementarisme, s’appuyant sur un réel sentiment populaire, favorable au plébiscite, le mouvement insufflé par Paul Déroulède a mobilisé de considérables énergies et fait trembler plus d’un ponte du régime(1). Ce mouvement, après quelques agitations, sera réprimé sans violence inutile, répression qui épargnera Barrès, probablement en raison de sa notoriété littéraire.

 

 

En 1906, Barrès est élu député du premier arrondissement parisien, ainsi qu’à l’Académie française (deux sièges qu’il conservera jusqu’à son dernier soupir). Quelques-unes de ses interventions à la Chambre méritent d’être relevées, qu’elles illustrent bien la pensée de Barrès ou qu’elles le montrent sous un jour inhabituel : l’année de son élection, il fustige violemment la loi de séparation de l’Eglise et de l’Etat, et défend le catholicisme «au nom de l’intérêt national» (il avait toujours, jusqu’à présent, manifesté une certaine indifférence aux questions religieuses). En 1908, il s’exprime en faveur de la peine de mort, et contre le transfert des cendres d’Emile Zola au Panthéon. Bien plus tard, en 1922, Barrès, que l’on taxe souvent de sentimentalisme et d’irrationalisme, intervient avec vigueur pour réclamer une augmentation des crédits à la recherche scientifique, sujet sur lequel il est plusieurs fois revenu. Comme on le voit, Barrès, bien qu’ayant participé activement à certaines actions antiparlementaires, fut un député assidu autant qu’éclectique.

 

 

Il a cinquante-cinq ans lorsqu’éclate la Grande Guerre. Après s’être incliné devant la dépouille de Jean Jaurès, qu’il avait toujours sincèrement estimé, au lendemain de son assassinat, il décide de rester à Paris et de publier un article quotidien sur la guerre. Il visite à plusieurs reprises les tranchées, y compris les troupes britanniques, et les terres reconquises. Son fils Philippe est blessé lors de l’assaut du Mont Morel. En juillet 1917, Barrès interrompt le ministre Malvy à la tribune de la Chambre, et l’interpelle sur ses liens, par la suite avérés, avec le rédacteur d’une feuille défaitiste, le « bonnet rouge ». C’est le début du plus grand scandale politique de la guerre. Des membres du gouvernement sont reconnus coupables d’avoir sciemment pris le parti de l’ennemi en pleine bataille, au nom d’un internationalisme socialiste illusoire et délétère.

 

 

 

  

Après la guerre, Barrès s’éloigne un peu du combat politique. Multipliant les séjours en Lorraine et en Rhénanie, il effectue semble-t-il un retour à la Foi, et avec certitude sur ses racines régionales et familiales. Il décède le 4 décembre 1923, au retour d’un déjeuner de la Ligue des Patriotes, dont il fut membre fondateur. Il est inhumé à Charmes, et le deuil national est conduit par le président Millerand et Raymond Poincaré.

 

 

De l’oeuvre prolifique de Maurice Barrès, il serait vain de chercher à faire une anthologie ou même une recension. Quelques titres, accessibles et aisés à se procurer pourront aider à une première approche : «le roman de l’énergie nationale», trilogie à laquelle appartient «Les déracinés», qui décrit le destin de sept jeunes Lorrains venus à Paris; «Colette Baudoche», roman nuancé sur l’occupation allemande en Moselle ; «Scènes et doctrines du nationalisme», qui recueille articles et chroniques sur la vie politique de l’époque ; «La colline inspirée», roman historique sur la colline de Sion, haut lieu de la spiritualité catholique en Lorraine.

La pensée nationaliste de Barrès, les principes qu’il a édictés sont quant à eux bien vivants aujourd’hui et figurent, sans qu’il soit toujours nommé, parmi les fondements de l’idée nationaliste actuelle. De l’homme, méditons l’exemple sur ces points : une personnalité talentueuse, pour cela respectée de tous, engagée concrètement et efficacement dans son temps, sur les plans culturel et politique. Son héritage, qui a tant contribué à faire de certains de nous ce que nous sommes, peut être fièrement revendiqué, au service de la France.]

 

 

 

  

1 : curieusement, une place du quinzième arrondissement de Paris porte le nom de ce si peu consensuel personnage, non loin de l’ex-rue Alexis Carrel.

 

Livre : Jean-Pierre Blanchard : Aux sources du national populisme : Maurice Barrès, Georges Sorel  L'aencre  1998

09:03 Publié dans Histoire | Lien permanent | Commentaires (0)

02/12/2016

Impresions de maraude par Jean-Michel CAUFMENT:

 

 

 

 

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Le mardi 22 Novembre, le pasteur Blanchard, président de l’Action sociale et populaire m’a fait l’honneur de me convier à une maraude à Paris en compagnie de Françoise et Jimmy bénévole de l'ASP.

 

 

 

 

C’est la premiére fois que je participais à une telle expérience avec ce serviteur de Dieu qui a mis le social au bout de ses idées et qui avec une poignée de bénévoles avec le parrainage bienveillant de Jany Le Pen, sillonne Paris pour aider les plus démunis.

 

 

 

Jadis l’on appelait clochards ceux qui dormaient dans la rue et aujourd »hui parce que ce mot a une connotation péjorative, l’on parle pudiquement de sans domicile fixe. Derrière la sémantique il y a une augmentation d’exclus sans toit, 10.000 dans la capitale dont 3000 dans le 3ème arrondissement de Paris

 

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Partant de la porte d’Italie à 21h00 nous avons sillonné les différents arrondissements de la capitale, une bonne partie de la nuit. J’ai avec  le pasteur et Catherine son épouse dévouée apporté des vêtements, des chaussures, de la soupe, du café, des boîtes de sardine à des sans-abris et surtout un peu de réconfort à ceux qui en marge d’une société d’opulence, à proximité des immeubles cossus vivent dans la précarité sous une tente, un carton ou parfois à même le sol.

 

 

 

 

Tous avaient à notre égard, une immense reconnaissance car nous passions un peu de temps à discuter avec eux. Ce qui m’a frappé c’est la mauvaise santé, le manque d’hygiène pour certains ou pour d’autres au contraire comme Yves essayant une paire de chaussures, des chaussettes immaculées. Surtout la solitude, l’isolement de ces personnes abandonnées cherchant refuge dans l’alcool ou dans la drogue et puis surtout l’immense pudeur de ces écorchés de la vie, fatalistes face à leur situation

 

 

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Honte à notre société, au gouvernement , à la mairie socialiste de Hidalgo. Comment accepter qu’une immigration planétaire ait droit (à un logement aidé, à des soins gratuits) alors que beaucoup de français sont dans la rue.

 

 

 

C’est ainsi qu’au hasard de notre pérégrination nocturne, nous avons rencontré Francis, un Lorrain, originaire de Nancy, orphelin de naissance qui après avoir servi la France dans l’armée, a aujourd’hui pour unique demeure un carton et comme compagnon d’infortune le « pinard ». Il a tenu, après nous avoir narré sa vie de galère, et notamment les pressions quotidiennes de la police municipale pour lui faire quitter son territoire.

 

 

 

La Droite Nationale est à la croisée des chemins et son avenir va se jouer autant au plan politique que social. Il faut aider le travail métapolitique de cette association caritative soit en donnant du temps, de l’argent ou en fournissant des vêtements. J’ai ainsi pu remettre une couverture tricotée par une grand-mère.

 

 

Comme le disait Victor Hugo dans Quatre-vingt-treize : « vous voulez les misérables secourus, moi je veux la misère supprimée ».

 

 

 

Si la Droite Nationale arrive au pouvoir,elle pourra combattre les causes économiques mais aussi sociales de la précarité en soutenant des associations bien ciblées, qui viendront apporter au soutien moral et financier à nos compatriotes en réduisant les subventions des associations dédiées à l’immigration et en appliquant la préférence nationale.

 

 

 

 

Jean-Michel

 

 

 

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29/11/2016

Alain de BENOIST : « La mixité ethnique détruit le lien social. »

 

 

 

 

TRIBUNE LIBRE

 

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Le gouvernement a récemment déclaré vouloir mettre en œuvre un ambitieux programme de « mixité sociale ». Il s’agit, notamment, d’imposer un quota de « logements sociaux » dans toutes les agglomérations. Mais ne s’agit-il pas, surtout, de rendre « invisibles » des populations qui attirent un peu trop les regards ?

La « mixité sociale » dont on nous rebat les oreilles depuis qu’elle est devenue le maître mot des politiques urbaines n’est évidemment qu’un euphémisme pour parler de mixité ethnique.

 

Il s’agit de répartir la population d’origine immigrée pour éviter qu’elle ne se concentre dans certains quartiers (assimilés à des « ghettos »), et de tenter de faire cohabiter un peu partout des gens d’origine différente. En visant à une répartition « plus équilibrée » des populations, la mixité favoriserait la « cohésion sociale ».

 

Ce discours incantatoire, d’autant plus fort qu’il se place dans une perspective universaliste et égalitariste, se heurte en réalité à deux obstacles principaux

 

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Alain de BENOIST

La « concentration », tout d’abord, est-elle mauvaise en soi ? Elle répond, en fait, à un désir d’entre-soi commun à toutes les populations humaines : qui se ressemble s’assemble. Autrefois, il n’y avait aucune mixité sociale : les riches vivaient dans les quartiers riches, les ouvriers dans les quartiers ouvriers, et personne ne s’en plaignait. C’est même le démantèlement des quartiers ouvriers qui a entraîné l’effondrement de la culture ouvrière. Aujourd’hui, les Maliens qui se sont regroupés à Montreuil l’ont fait pour se retrouver entre eux, et n’ont nulle envie d’aller ailleurs. Les catégories supérieures, même sans avoir à s’enfermer dans des « gated communities » (ensembles résidentiels sécurisés), ont déjà les moyens de pratiquer l’évitement résidentiel et scolaire. Les classes populaires, quant à elles, sont avant tout désireuses de ne pas devenir minoritaires dans leurs quartiers. La demande du « droit à la ville » n’est pas une demande de vivre dans un quartier hétérogène, mais la demande de pouvoir choisir librement son lieu de vie. La solidarité redistributive ne passe pas nécessairement par un mélange social imposé.

 

 

Toutes les études empiriques dont on dispose montrent, par ailleurs, que dans les quartiers où règne la « mixité sociale » règnent aussi des formes de cloisonnement et de mise à distance, voire de séparatisme, qui reflètent une contradiction profonde entre la valorisation de la mixité et la réalité des modes de vie.

 

 

Il en résulte, non pas une cohabitation harmonieuse et une résorption des inégalités ou des tensions, mais au contraire un regain de la compétition que se livrent les groupes sociaux pour l’accès aux ressources urbaines. L’erreur est, ici, de croire que la proximité spatiale entraîne automatiquement la proximité sociale. Au lieu de favoriser la production d’un espace commun, la dispersion des populations gênantes peut aussi détruire le lien social, exacerber les marquages et déstabiliser les sociabilités existantes.

 

 

On peut aussi se demander si le débat sur la « mixité sociale » ne détourne pas l’attention d’autres formes de paupérisation ou d’exclusion résultant de l’éviction des populations les plus fragiles de leurs zones d’habitation traditionnelles…

 

 

Les classes populaires ont, en effet, été doublement expulsées de leur habitat traditionnel, qu’il s’agisse des centres-villes du fait d’une « gentrification » qui a rapidement transformé les paysages urbains au bénéfice des classes aisées et des « bobos », ou des banlieues, que l’arrivée massive des populations immigrées les a poussées à quitter pour s’installer dans les « périphéries », ce qui les condamne le plus souvent à une exclusion culturelle de fait (dont le vote en faveur du FN est l’une des conséquences). Depuis les années 1980, les quartiers de logements sociaux des grandes villes se sont de facto spécialisés dans l’accueil des populations immigrées, avec comme résultat que les non-immigrés tendent désormais à s’exclure de la demande de logements sociaux.

 

 

À une époque où près de 90 % des Français vivent dans des villes, cela pose le problème plus général de ce qu’elles doivent devenir ?

 

 

Depuis la fin du XIXe siècle, l’évolution de l’urbanisme a étroitement suivi celle du capitalisme (le capital a besoin de s’urbaniser pour mieux se reproduire, rappelait Henri Lefebvre

 

 

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Hypertrophie de la région parisienne

On est passé successivement du modèle de la « ville-atelier », caractéristique de l’ère industrielle, qui existe avant tout comme concentration d’ateliers de production, à la « ville keynésienne » orientée vers la demande, c’est-à-dire fondamentalement dédiée à la consommation et qui va de pair avec l’exode rural (les centres-villes se tertiarisent, l’État investit massivement dans le transport et les logements, le dynamisme urbain se traduit par l’extension des banlieues et l’accession à la propriété privée immobilière), enfin à la « ville néolibérale » actuelle, orientée vers l’offre, qui s’étend à la proche périphérie (« péri-urbanisation »), favorise la circulation et la mobilité, cherche à attirer des entreprises, met l’accent sur les infrastructures favorisant l’innovation, privilégie l’industrie du divertissement, la création de « styles de vie », etc.

 

 

La France est marquée depuis des siècles par l’hypertrophie de la région parisienne. La tendance, aujourd’hui, consiste à miser sur le développement d’un nombre très limité de grandes métropoles régionales.

 

 

Or, comme le fait observer l’urbaniste Pierre Le Vigan, ce n’est pas de mégapoles que la France a besoin, et moins encore d’un nouveau « Grand Paris », mais d’un réseau de villes moyennes (de 50.000 à 100.000 habitants) dont il faudrait renforcer la densité grâce à un urbanisme de proximité pour mettre fin à cette séparation grandissante des lieux de résidence, de loisir et de production qui a abouti à une « mise en morceaux de l’homme moderne ».

 

 

 

Entretien réalisé par Nicolas Gauthier

 

25/11/2016

Reçu par courriel : proposition de logement gratuit.

 

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Bien cher  Révérant,
 
 
 
Je fais suite à notre entretien téléphonique et je vous confirme que je cherche quelqu’un à loger dans ma maison qui s trouve à Pré Saint-MARTIN en Eure & loir. Ma maison est situé à six kilomètres de BONNEVAL et à environ 35 kilomètres de CHARTRES.
 
 
Je propose un logement entièrement équipé et meublé ( machine à laver, plaque de cuisson, lave vaisselle etc…) en contre-partie de:
 
- s’occuper de mes animaux deux chiens et deux chats.
 
- l’entretien du jardin ( arbres, rosiers et fleurs) et m’aider au potager.
 
- possibilité si la personne est sérieuse de remettre en place un poulailler .
 
-m’aider dans les travaux de reconstruction car une partie à été détruite par un incendie mais ceci n’est pas une obligation. ( si la personne est bricoleur c’est un plus)
 
 
le logement est composé d’un salon et cuisine ouverte.
 
d’une chambre, d’une salle de bain plus de 70 mètres carrés à disposition.
 
Comme je vous l’ai expliqué j’ai fait une erreur de « casting » en prenant un sans domicile fixe qui n’a pas su saisir l’opportunité que je lui avais proposé.
Dommage mais c’est ainsi.
 
 
Je reste à votre disposition pour tout renseignement complémentaire.
 
Merci pour votre aide.
 
Bien à vous
 
 
Frank MARTIN
 
 
 
06.16.09.70.04
 
 
04, rue du Royau
28800 Pré Saint-Martin
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