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07/11/2023

Ancienne maraude.......In Memoriam

 

 

 

 

Impressions de maraude 1.jpg

 

 

par Daniel  BOUSSELAIRE

 

Ami de l'ASP 

 

La première chose qui m’a frappé c’est la mauvaise santé et le manque d’hygiène  bien sûr, mais surtout  le dénuement affectif de ces personnes abandonnées. C’est leur isolement vis-à-vis de toute famille et de tout proche qui émeut plus que leur misère apparente. On comprend des brèves discussions que l’on peut avoir avec eux que la raison de leur présence sur le trottoir est à chercher dans les malheurs de la vie courante :

 

 

Abandon d’une femme ou d’un mari

 

 

Décès de l’un ou l’autre

 

 

Dégout vis à- vis du comportement inacceptable de leurs proches.

 

 

Licenciement abusif…

 

 

Cela en fait des êtres particulièrement à fleur de peau parce qu’écorchés vifs dans leur cœur. A l’origine ils étaient sans doute des personnes déjà trop sensibles pour supporter les saloperies de la vie. C’est cette image qu’ils ont gardée de l’autre vie qui fait que l’envie d’y repartir n’existe pas.

 

 

Un autre sentiment qui envahit, c’est justement notre impuissance à les convaincre de remonter la pente. Ils ne souhaitent plus retrouver une vie normale ; dégoût ou fatalisme ? Ils ont retrouvé là, au-delà de la violence qui règne sans cesse, une espèce de fraternité avec ceux qui partagent leur sort. J’en ai vu un qui avait décider  de rester là, bien qu’en pleine forme physique, propre, habillé correctement et instruit, uniquement parce qu’il ne pouvait pas imaginer d’abandonner les autres : belle leçon d’humilité et de don de soi.

 

 

Honte à notre société, honte à nos gouvernants quels qu’ils soient  de ne pas porter secours à ces malheureux. Pourquoi ne laisser qu’à des associations le devoir de s’occuper d’eux ? Quel renoncement aux valeurs essentielles de la vie en société.

 

 

 

Il faudrait bien peu de moyens financiers pour leur prodiguer un toit individuel et de quoi se laver et s’habiller dignement. Au lieu de cela on se contente de leur offrir des centres d’hébergement où ils ne veulent pas aller car il y règne la pire des violences. Pourtant, même si leur parcours personnel est pour quelque chose dans leur situation, la responsabilité de l’Etat est largement engagée : avec plus de 5 millions de chômeurs, une immigration invasion, des salaires de misère  quelle solution pérenne pouvons nous leur proposer ?

 

 

La gauche bien pensante qui a voté les traités qui ont détruit notre outil de production porte une énorme responsabilité dans cette affaire. Alors, pour ne pas voir en face les résultats de leur politique mortifère,  la seule action qu’ils savent mettre en œuvre est de cacher et de repousser cette misère loin de leurs yeux, en témoigne ce que notre, désormais, ami Francis subit jour après jour de la police du 14ème arrondissement, Boulevard Saint Jacques : destruction systématique et répétée de ses maigres avoirs, et incitation à partir.

 

 

Honte aux socialistes de la Mairie de Paris !

 

 

Mais respect au Pasteur Blanchard et à son association qui régulièrement apporte quelques biens, nourriture, et boisson chaude, mais surtout du réconfort à ces hommes et ces femmes qui mériteraient mieux de notre société de consommation

 

 

 

Daniel

 
 
 

Impressions de maraude 2.jpg

 

16/05/2023

NOS AMIS...

 

 

 

 

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Jacques et Anne-Marie:

 

 



 
 

Chaque été, depuis bientôt vingt ans, mon épouse et moi-même allons passer une journée chez Jacques et Anne-Marie à Bécon-les-Bruyères  et cela fait deux années qu'ils nous font l'honneur et la gentillesse de venir à l'assemblée générale de l'ASP.

 

 

 

 

 

En attendant et comme de coutume, la splendide journée passée chez eux le week-end dernier fut un bouquet de rires et de chants, un panaché, bien frais, de discussions savantes et de bons mots. Et, n'oublions pas, bien sûr, le délicieux repas qu'ils avaient préparé. 

 

 

 

 

Dieu fasse que cette joie demeure. 

 

 

 

 

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Ce n'est pas d'hier, c'est à l'époque du "Paquebot", du temps de "l'Entraide nationale" et des "Soupes de Nuit à Saint-Lazare" que j'ai rencontré Jacques et Anne-Marie Parizel. Ils venaient trier des vêtements et du linge pour les donner à nos compatriotes dans le besoin. Et réceptionner, trier, ranger vos dons, ce n'est pas une mince affaire, c'est même beaucoup de travail : merci aux amateurs*. Car les maraudes, cela ne s'improvise pas, c'est toute une chaîne.

 

 

 

 

Malgré ma traversée du désert, Jacques et Anne-Marie sont restés de fidèles soutiens. Nous nous sommes pas perdus de vue. 

 

 

 

Dieu fasse que cette amitié demeure.


 

Pasteur   Blanchard

02/05/2023

ENTRETIEN AVEC JACQUES VASSIEUX LE 23/07/2008.

 

 

 

 

 

 

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Rencontre avec…

 

le Pasteur

 

Jean-Pierre Blanchard

 

Posté par  Jacques le 23 juillet 2008.

 

Pasteur Blanchard, pouvez-vous vous présenter ?

 

Languedocien né dans le Minervois, j’ai grandi à Mazamet au pied de la montagne noire. Je peux revendiquer avec fierté, comme le Pasteur Napoléon Payrat : « Je suis Cathare par le sang de mes ancêtres, et Camisart par la foi de mes aïeuls ». Sans le bouleversement de mai 68, je serais resté dans ma vie provinciale. Ouvrier délaineur en Haut-Languedoc, je partis à la capitale pour faire carrière dans le social, avant de faire des études de théologie.

 

 

Vous êtes tombé tout petit dans « la marmite du social », racontez-nous…

 

Les fracas de 68 me firent sortir de ma condition ouvrière : je devins animateur bénévole dans les MJC, où je pris goût aux choses de l’esprit, et plus particulièrement à la philosophie qui reste encore ma première passion. Ayant retrouvé la foi, après une équivalence au bac je devins travailleur social professionnel. Ceci grâce à une annonce dans un journal protestant intitulé « Le Christianisme au Xxe siècle », ce journal a aujourd’hui disparu. Il y a de cela 30 ans (le 2 mai 1978) je débutais à « la Cité de Refuge » de L’ Armée du Salut (Paris 13e).

 

 

Et aujourd’hui, où en êtes-vous ?

 

Je continue mon ministère pastoral : principalement de la formation théologique via internet. Sur le plan social, mon épouse et moi-même avons créé en 2005 l’association Action Sociale Populaire (ASP).

 

 

 

Pouvez-vous faire un rapide bilan des actions de L’ASP dont vous êtes le Président ?

 

Lors de la création de l’association, notre première orientation a été de venir en aide aux patriotes défavorisés des communes de mon secteur géographique. Puis, j’ai eu le sentiment que si nous voulions nous enraciner, il nous fallait privilégier d’autres types d’actions : j’ai lancé l’idée des maraudes d’hiver et nous sommes partis sans savoir où nous allions. A l’usage, les circuits se sont précisés. Notre dernière maraude bénéficiait de la présence de Louis Aliot. Depuis, nous avons entamé notre campagne d’été : rendre visite à des personnes âgées et isolées. Nous faisons également des repérages pour notre prochaine campagne de maraudes qui devrait commencer peu avant le début de l’hiver.

 

Avez-vous reçu de l’aide de la part de la classe politique ?

 

 

Avec le temps j’ai fini par obtenir une équipe efficace et c’est une bonne chose. Par contre la période n’est pas propice pour la collecte de fonds, même en lançant des appels sur les ondes de Radio Courtoisie. Je suis revenu au FN en 2007, après le premier tour des élections présidentielles, par fidélité à mes convictions, sans recevoir aucune aide de ce côté là. Depuis ma nomination par le secrétaire général du FN, il m’a été promis de l’aide, je suis persuadé qu’ils tiendront parole, et que, à l’avenir, je pourrai compter sur eux.

 

 

Nous avons appris que l’humoriste Jean-Marie BIGARD vous avait contacté. Est-ce exact ?

 

 

Oui c’est exact.

Je suis passé dans une émission « assez neutre » diffusée par les ondes de « Radio Courtoisie », dirigée par Benjamin GUILLEMAIND et principalement consacrée aux artisans. Je suis passé après deux maître-tailleurs, juste avant une dame qui possède un magasin d’anges sur la butte Montmartre. Benjamin GUILLEMAIND, l’animateur, m’y demanda des explications en tant que « spécialiste » du sujet. Je parlai de mes maraudes, et comme d’ habitude, j’ai indiqué mes coordonnées téléphoniques pour les gens qui souhaitent donner des vêtements. En rentrant à mon domicile j’ai éteint le portable, et qu’elle ne fut pas ma surprise de trouver le lendemain matin un message de Jean-Marie BIGARD !

 

 

Que vous a-t-il dit ?

 

 

Il venait de m’entendre à la rediffusion du matin, il était emballé par le travail de mon association, notamment par sa dimension artisanale : à échelle humaine.

 

 

Vous a t-il proposé son aide ?

 

 

Oui, il voulait me faire rencontrer des personnes susceptibles de m’aider financièrement. Il m’a même laissé son numéro de téléphone pour qu’on prenne RDV, afin de définir notre collaboration. Par honnêteté, je lui ai demandé d’aller voir mon blog avant de nous rencontrer. Depuis je lui ai téléphoné de nombreuses fois, en vain.

 

 

Quel est votre plus triste souvenir ?

 

 

Le climat de haine au moment de la scission du FN. Certes je penchais pour Mégret, mais je n’ai jamais été compromis dans aucun complot. Je n’ai jamais été membre du MNR. Depuis mon licenciement du « Paquebot », je m’en tiens à une stricte neutralité. En 2002, j’ai envoyé la même lettre de soutien aux deux candidats. Cela a  été terrible pour moi de voir des amis de longue date ne plus me parler, pire, me traiter de félon, alors que j’ai failli sombrer. J’ai été à deux doigts de devenir SDF. J’en ai été profondément marqué.

 

 

Et votre plus beau souvenir ?

 

 

Le sermon de mon collègue, le jour de mon ordination. Voici ce qu’il a dit dans « Le Luthérien » : « Comme je devais assurer la prédication, je repris la parole que Dieu avait adressée à Ezechiel « je t’établis comme sentinelle sur le pays… » (EZ : 3 :17) parce que c’est la guerre de Dieu, contre le péché et la mort » … prémonitoire … non ?

 

 

 

Vous vous êtes rapproché du Front National, et son secrétaire général, Louis ALIOT, vous a même confié une responsabilité dans le nouvel organigramme, pouvez-vous nous en parler ?

 

 

A mon heure de gloire j’ai été membre du Comité Central et du pré-gouvernement. Je suis revenu par fidélité à mes convictions. Mon équipe et moi-même travaillons à un projet d’envergure nationale, nous avons fait une note qui sera présentée au Président. Le Secrétaire Général le présentera aux Secrétaires Départementaux dans une lettre circulaire.

 

 

Une conclusion ?

 

 

Le Front National est à la croisée des chemins, en plus du long et difficile travail de reconstruction, il doit faire une révolution copernicienne, comprendre que son avenir se joue au moins autant dans le champ du social que dans celui du politique. Je crois que les circonstances nous sont, et nous resteront, de plus en plus favorables ; à condition que, contrairement au passé, le social soit compris comme un élément clef de notre devenir. Il faut, dans ce domaine, se donner les moyens d’une politique ambitieuse. Il faut savoir prendre les virages au bon moment, c’est le moment des choix décisifs.

 

 

 

Si vous avez apprécié cet article,

s'il vous plait, prenez le temps de laisser un commentaire

 

Commentaires :

 

Commentaire par Jérôme le 23 juillet 2008 @ 11:33

Un bel entretien avec un homme de foi et de coeur qui se dévoue avec des moyens limités pour nos compatriotes les plus démunis. On apprécie la franchise du pasteur pour ses propos relatifs à la droite nationale ainsi que sa clairvoyance pour l’action sociale. Actuellement avec la conjoncture économique très défavorable le nombre d’exclus et de sans domiciles fixes se multiplient tant dans les agglomérations gigantesques que dans des villes moyennes (La Rochelle ville populaire de 80 000 habitants en est un triste exemple tout au long de l’année). Si la vie des SDF est très dure l’hiver, elle est carrément intenable l’été car aux privations physiques s’ajoute une grande exclusion morale avec une profonde solitude.

Un homme de foi et un juste combat social à soutenir !.

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  • Commentaire par Marc le 23 juillet 2008 @ 12:24

Je partage sa conclusion : investir le champ social tout en tenant le cap de la politique actuelle du FN

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  • Commentaire par Olivier de Granvil le 12 août 2008 @ 15:29

Merci à Promenade sur la toile | e-deo

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  • Commentaire par ulrich le 12 mars 2010 @ 13:54

Je suis serviteur du SEIGNEUR,précisement de vocation ministérielle : EVANGELISTE.Je désire correspondre avec le pasteur Jean-Pièrre Blanchard pour échange et surtout encore de grandes choses avec lui par sa grande expérience du ministère dans le SEIGNEUR.Pasteur,que la paix et la grace de JESUS soit et demeure avec vous.Et qu’il vous donne encore la force et le zèle malgré l’âge d’avancer,de toujours continuer la bonne oeuvre du CREATEUR.Car la jeunesse dont je fait partir vous voyant ainsi,s’inspire et tire profit de tous ces bonnes actions des pères que vous êtes afin aussi de réussir la mission du CHRIST.

 

 

 

17/02/2023

Impressions de Maraude ..........In memorian

 

 

 

  Par le Pasteur BLANCHARD

  Président de l'Action Sociale et Populaire

 

 

 

 

 

 

Dans une société qui change à chaque instant, depuis plus de six ans que nous suivons l’évolution de la misère dans les rues de Paris, nos impressions ne peuvent être que paradoxales. Pourtant, certains repères restent stables : parmi eux, le légendaire Francis.

 

 

 

Nous l'avons rencontré en 2008. A l'époque, il dormait dans le renforcement d'un bâtiment à la sortie d'un garage. Il y avait amoncelé des tas d’objets sur une hauteur de deux mètres et vivait au milieu de ce fatras. Le temps passant, il devint une destination incontournable de nos sorties. , à tel point qu’il était devenu un point nodal. A sa rencontre, chaque maraudeur recevait comme une onction de légitimité.

 

 

 

Un jour, plus de Francis. Cela faisait un certain temps qu'il était malade. Il sombrait à vue d'oeil de rencontres en rencontres ; ce qui l'amena à faire plusieurs séjours à l'hôpital. Avant de disparaître tout à fait dans la nature. Qu'était-il devenu ?  A chacun de nos passages dans son secteur, nous ne pouvions nous empêcher de nous interroger sur ce qu’il était devenu.

 

 

 

Enfin, un soir, nous l'avons retrouvé installé à quelques mètres de son ancien quartier général soigné après une longue hospitalisation. Il était bien là, encore, lors de cette maraude  en compagnie d' Emmanuel et sa belle mére. Depuis son retour, c'est chaque fois le même rituel. Dès qu’il me m'aperçoit, il s’écrit "tiens, voilà le Pasteur !", ajoutant, tout de go, en parlant de Catherine "et la photographe !" Dans un monde instable, il reste égal à lui-même tel que l’éternité le change.

 

 

 

Pasteur Blanchard

 

 

 

 

 

03/01/2023

J’aurais vraiment voulu vous souhaiter une BONNE ANNÉE !

 

 

 

La Mite dans la Caverne

 

 

 

Un peu de gauloiserie ne nuit pas à la santé mentale.

 

 

 

Analyse et récapitulatif humoristique des infos de la semaine en 8 minutes

 

 

 

 

20/12/2022

ENTRETIEN AVEC JACQUES VASSIEUX LE 23/07/2010.

 

 

 

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Rencontre avec…

 

le Pasteur

 

Jean-Pierre Blanchard

 

Posté par  Jacques le 23 juillet 2008.

 

Pasteur Blanchard, pouvez-vous vous présenter ?

 

Languedocien né dans le Minervois, j’ai grandi à Mazamet au pied de la montagne noire. Je peux revendiquer avec fierté, comme le Pasteur Napoléon Payrat : « Je suis Cathare par le sang de mes ancêtres, et Camisart par la foi de mes aïeuls ». Sans le bouleversement de mai 68, je serais resté dans ma vie provinciale. Ouvrier délaineur en Haut-Languedoc, je partis à la capitale pour faire carrière dans le social, avant de faire des études de théologie.

 

 

Vous êtes tombé tout petit dans « la marmite du social », racontez-nous…

 

Les fracas de 68 me firent sortir de ma condition ouvrière : je devins animateur bénévole dans les MJC, où je pris goût aux choses de l’esprit, et plus particulièrement à la philosophie qui reste encore ma première passion. Ayant retrouvé la foi, après une équivalence au bac je devins travailleur social professionnel. Ceci grâce à une annonce dans un journal protestant intitulé « Le Christianisme au Xxe siècle », ce journal a aujourd’hui disparu. Il y a de cela 30 ans (le 2 mai 1978) je débutais à « la Cité de Refuge » de L’ Armée du Salut (Paris 13e).

 

 

Et aujourd’hui, où en êtes-vous ?

 

Je continue mon ministère pastoral : principalement de la formation théologique via internet. Sur le plan social, mon épouse et moi-même avons créé en 2005 l’association Action Sociale Populaire (ASP).

 

 

 

Pouvez-vous faire un rapide bilan des actions de L’ASP dont vous êtes le Président ?

 

Lors de la création de l’association, notre première orientation a été de venir en aide aux patriotes défavorisés des communes de mon secteur géographique. Puis, j’ai eu le sentiment que si nous voulions nous enraciner, il nous fallait privilégier d’autres types d’actions : j’ai lancé l’idée des maraudes d’hiver et nous sommes partis sans savoir où nous allions. A l’usage, les circuits se sont précisés. Notre dernière maraude bénéficiait de la présence de Louis Aliot. Depuis, nous avons entamé notre campagne d’été : rendre visite à des personnes âgées et isolées. Nous faisons également des repérages pour notre prochaine campagne de maraudes qui devrait commencer peu avant le début de l’hiver.

 

Avez-vous reçu de l’aide de la part de la classe politique ?

 

 

Avec le temps j’ai fini par obtenir une équipe efficace et c’est une bonne chose. Par contre la période n’est pas propice pour la collecte de fonds, même en lançant des appels sur les ondes de Radio Courtoisie. Je suis revenu au FN en 2007, après le premier tour des élections présidentielles, par fidélité à mes convictions, sans recevoir aucune aide de ce côté là. Depuis ma nomination par le secrétaire général du FN, il m’a été promis de l’aide, je suis persuadé qu’ils tiendront parole, et que, à l’avenir, je pourrai compter sur eux.

 

 

Nous avons appris que l’humoriste Jean-Marie BIGARD vous avait contacté. Est-ce exact ?

 

 

Oui c’est exact.

Je suis passé dans une émission « assez neutre » diffusée par les ondes de « Radio Courtoisie », dirigée par Benjamin GUILLEMAIND et principalement consacrée aux artisans. Je suis passé après deux maître-tailleurs, juste avant une dame qui possède un magasin d’anges sur la butte Montmartre. Benjamin GUILLEMAIND, l’animateur, m’y demanda des explications en tant que « spécialiste » du sujet. Je parlai de mes maraudes, et comme d’ habitude, j’ai indiqué mes coordonnées téléphoniques pour les gens qui souhaitent donner des vêtements. En rentrant à mon domicile j’ai éteint le portable, et qu’elle ne fut pas ma surprise de trouver le lendemain matin un message de Jean-Marie BIGARD !

 

 

Que vous a-t-il dit ?

 

 

Il venait de m’entendre à la rediffusion du matin, il était emballé par le travail de mon association, notamment par sa dimension artisanale : à échelle humaine.

 

 

Vous a t-il proposé son aide ?

 

 

Oui, il voulait me faire rencontrer des personnes susceptibles de m’aider financièrement. Il m’a même laissé son numéro de téléphone pour qu’on prenne RDV, afin de définir notre collaboration. Par honnêteté, je lui ai demandé d’aller voir mon blog avant de nous rencontrer. Depuis je lui ai téléphoné de nombreuses fois, en vain.

 

 

Quel est votre plus triste souvenir ?

 

 

Le climat de haine au moment de la scission du FN. Certes je penchais pour Mégret, mais je n’ai jamais été compromis dans aucun complot. Je n’ai jamais été membre du MNR. Depuis mon licenciement du « Paquebot », je m’en tiens à une stricte neutralité. En 2002, j’ai envoyé la même lettre de soutien aux deux candidats. Cela a  été terrible pour moi de voir des amis de longue date ne plus me parler, pire, me traiter de félon, alors que j’ai failli sombrer. J’ai été à deux doigts de devenir SDF. J’en ai été profondément marqué.

 

 

Et votre plus beau souvenir ?

 

 

Le sermon de mon collègue, le jour de mon ordination. Voici ce qu’il a dit dans « Le Luthérien » : « Comme je devais assurer la prédication, je repris la parole que Dieu avait adressée à Ezechiel « je t’établis comme sentinelle sur le pays… » (EZ : 3 :17) parce que c’est la guerre de Dieu, contre le péché et la mort » … prémonitoire … non ?

 

 

 

Vous vous êtes rapproché du Front National, et son secrétaire général, Louis ALIOT, vous a même confié une responsabilité dans le nouvel organigramme, pouvez-vous nous en parler ?

 

 

A mon heure de gloire j’ai été membre du Comité Central et du pré-gouvernement. Je suis revenu par fidélité à mes convictions. Mon équipe et moi-même travaillons à un projet d’envergure nationale, nous avons fait une note qui sera présentée au Président. Le Secrétaire Général le présentera aux Secrétaires Départementaux dans une lettre circulaire.

 

 

Une conclusion ?

 

 

Le Front National est à la croisée des chemins, en plus du long et difficile travail de reconstruction, il doit faire une révolution copernicienne, comprendre que son avenir se joue au moins autant dans le champ du social que dans celui du politique. Je crois que les circonstances nous sont, et nous resteront, de plus en plus favorables ; à condition que, contrairement au passé, le social soit compris comme un élément clef de notre devenir. Il faut, dans ce domaine, se donner les moyens d’une politique ambitieuse. Il faut savoir prendre les virages au bon moment, c’est le moment des choix décisifs.

 

 

 

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Commentaires :

 

Commentaire par Jérôme le 23 juillet 2008 @ 11:33

Un bel entretien avec un homme de foi et de coeur qui se dévoue avec des moyens limités pour nos compatriotes les plus démunis. On apprécie la franchise du pasteur pour ses propos relatifs à la droite nationale ainsi que sa clairvoyance pour l’action sociale. Actuellement avec la conjoncture économique très défavorable le nombre d’exclus et de sans domiciles fixes se multiplient tant dans les agglomérations gigantesques que dans des villes moyennes (La Rochelle ville populaire de 80 000 habitants en est un triste exemple tout au long de l’année). Si la vie des SDF est très dure l’hiver, elle est carrément intenable l’été car aux privations physiques s’ajoute une grande exclusion morale avec une profonde solitude.

Un homme de foi et un juste combat social à soutenir !.

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  • Commentaire par Marc le 23 juillet 2008 @ 12:24

Je partage sa conclusion : investir le champ social tout en tenant le cap de la politique actuelle du FN

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  • Commentaire par Olivier de Granvil le 12 août 2008 @ 15:29

Merci à Promenade sur la toile | e-deo

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  • Commentaire par ulrich le 12 mars 2010 @ 13:54

Je suis serviteur du SEIGNEUR,précisement de vocation ministérielle : EVANGELISTE.Je désire correspondre avec le pasteur Jean-Pièrre Blanchard pour échange et surtout encore de grandes choses avec lui par sa grande expérience du ministère dans le SEIGNEUR.Pasteur,que la paix et la grace de JESUS soit et demeure avec vous.Et qu’il vous donne encore la force et le zèle malgré l’âge d’avancer,de toujours continuer la bonne oeuvre du CREATEUR.Car la jeunesse dont je fait partir vous voyant ainsi,s’inspire et tire profit de tous ces bonnes actions des pères que vous êtes afin aussi de réussir la mission du CHRIST.

 

04/11/2022

MON AMI LOUIS.

 

 

Mon ami Louis.jpg

 

 


 
Depuis tout ce temps que nous nous connaissons,
 
nos racines de sudistes ont fini par créer des liens.
 
En effet, nous partageons la même origine :
 
celle de "Montagne Pyrénées",
 
cet amour sans borne pour notre région,
 
et pour le rugby.

Il a gardé l'accent que j'ai perdu dans les brumes du nord.
 
 
 
 
 
J'avais trois ans quand mon père, devenu Gendarme,
 
fut muté à Saint-Quentin.
 
Dix ans plus tard, suite à une autre mutation,
 
nous voilà de retour à Mazamet.
 
Le temps de passer mon certificat d'étude à l'école du Gravas,
 
et de m'entendre dire par mon paternel
 
que j'étais bon pour devenir ouvrier délaineur.
 
L'accent ne change rien,
 
nous nous reconnaissons entre peuplades du sud,
 
par une certaine manière de parler,
 
par des tics, des expressions qui nous sont propres,
 
que nous sommes seuls capables de décrypter.
 
Ce fut le cas entre Louis et moi,
 
ce qui, de suite, a généré de la sympathie,
 
presque une forme d'amitié,
 
cette inexpugnable fidélité à nos valeurs et notre terre.
 
C’est pour cette raison que je me réjouis de savoir 
 
qu'il a depuis toujours soutenu nos campagnes de soupes à St lazare puis de maraudes. 
 

 
 
                                              
Pasteur  Blanchard

 

 

 

11/10/2022

JANY ET LE SOCIAL.

 

 

 

 

Jany et le social (1).JPG

 

 

 

C’est suite à une émission de France inter où était interviewé Samuel Maréchal que je fis la connaissance de Jany et Jean-Marie Le Pen. Quelque temps plus tard, la décision fut prise de créer le Cercle des Amitiés Protestantes qui allait si profondément bouleverser le court de ma vie.

 

 

 

Quand le Président du Front National me confia la responsabilité du social au sein de son mouvement, à l’époque de la création des soupes Gare St Lazare, Jany m'apporta un soutien total qui n’a jamais été démenti. Elle, dont le milieu social est totalement différent de celui où règne la grande précarité, a su avec sa naturelle gentillesse, sa disponibilité, son énorme cœur et son total désintéressement se faire aimer de ces gens, d'une approche parfois difficile.

 

 

 

La clef de cette compréhension véritable est la réelle empathie dont elle fait preuve. Elle ne triche pas, elle est totalement sincère et c’est là certainement sa plus grande qualité ; ce qui fait d'elle le parfait complément de son grand homme de mari.

 

 

 

 

 

Pasteur  Blanchard

 

 

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26/07/2022

DOMINIQUE DELEPINE...

 

 

 

Dominique Delépine.JPG

 

 

 

 

En passant

par la Lorraine

 


 
 
Les ondes de Radio Courtoisie sont toujours aussi précieuses pour notre association. Il y a en Lorraine, à deux pas de l'Alsace, un couple de retraités qui écoutent assidûment les émissions. Un jour, suite à l'un de mes appels, profondément touchés par la détresse de nos compatriotes,  ils ont vivement souhaité  leur venir en aide.

 


 
Dominique Delépine, frère de l’auditrice habite dans l'Essonne à deux pas de chez moi. Chaque fois qu'il va  rendre visite à sa soeur et à son beau-frère, il revient avec un important chargement de vêtements et de nourriture. Il est touchant de voir ces lorrains se préoccuper de la misère de leurs compatriotes de la capitale.

 

 

 

La solidarité nationale n'est pas un vain mot. Nous ne pouvons que constater que si les français sont les véritables laissés pour compte de notre système social, il y a au sein du peuple de France un esprit de réelle solidarité. La notion de justice sociale envers ceux qui souffrent n'est pas un vain mot.

 

 

 

 

Pasteur  Blanchard

 

 

05/07/2022

ENTRETIEN AVEC JACQUES VASSIEUX LE 23/07/2010.

 

 

 

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Rencontre avec…

 

le Pasteur

 

Jean-Pierre Blanchard

 

Posté par  Jacques le 23 juillet 2008.

 

Pasteur Blanchard, pouvez-vous vous présenter ?

 

Languedocien né dans le Minervois, j’ai grandi à Mazamet au pied de la montagne noire. Je peux revendiquer avec fierté, comme le Pasteur Napoléon Payrat : « Je suis Cathare par le sang de mes ancêtres, et Camisart par la foi de mes aïeuls ». Sans le bouleversement de mai 68, je serais resté dans ma vie provinciale. Ouvrier délaineur en Haut-Languedoc, je partis à la capitale pour faire carrière dans le social, avant de faire des études de théologie.

 

 

Vous êtes tombé tout petit dans « la marmite du social », racontez-nous…

 

Les fracas de 68 me firent sortir de ma condition ouvrière : je devins animateur bénévole dans les MJC, où je pris goût aux choses de l’esprit, et plus particulièrement à la philosophie qui reste encore ma première passion. Ayant retrouvé la foi, après une équivalence au bac je devins travailleur social professionnel. Ceci grâce à une annonce dans un journal protestant intitulé « Le Christianisme au Xxe siècle », ce journal a aujourd’hui disparu. Il y a de cela 30 ans (le 2 mai 1978) je débutais à « la Cité de Refuge » de L’ Armée du Salut (Paris 13e).

 

 

Et aujourd’hui, où en êtes-vous ?

 

Je continue mon ministère pastoral : principalement de la formation théologique via internet. Sur le plan social, mon épouse et moi-même avons créé en 2005 l’association Action Sociale Populaire (ASP).

 

 

 

Pouvez-vous faire un rapide bilan des actions de L’ASP dont vous êtes le Président ?

 

Lors de la création de l’association, notre première orientation a été de venir en aide aux patriotes défavorisés des communes de mon secteur géographique. Puis, j’ai eu le sentiment que si nous voulions nous enraciner, il nous fallait privilégier d’autres types d’actions : j’ai lancé l’idée des maraudes d’hiver et nous sommes partis sans savoir où nous allions. A l’usage, les circuits se sont précisés. Notre dernière maraude bénéficiait de la présence de Louis Aliot. Depuis, nous avons entamé notre campagne d’été : rendre visite à des personnes âgées et isolées. Nous faisons également des repérages pour notre prochaine campagne de maraudes qui devrait commencer peu avant le début de l’hiver.

 

Avez-vous reçu de l’aide de la part de la classe politique ?

 

 

Avec le temps j’ai fini par obtenir une équipe efficace et c’est une bonne chose. Par contre la période n’est pas propice pour la collecte de fonds, même en lançant des appels sur les ondes de Radio Courtoisie. Je suis revenu au FN en 2007, après le premier tour des élections présidentielles, par fidélité à mes convictions, sans recevoir aucune aide de ce côté là. Depuis ma nomination par le secrétaire général du FN, il m’a été promis de l’aide, je suis persuadé qu’ils tiendront parole, et que, à l’avenir, je pourrai compter sur eux.

 

 

Nous avons appris que l’humoriste Jean-Marie BIGARD vous avait contacté. Est-ce exact ?

 

 

Oui c’est exact.

Je suis passé dans une émission « assez neutre » diffusée par les ondes de « Radio Courtoisie », dirigée par Benjamin GUILLEMAIND et principalement consacrée aux artisans. Je suis passé après deux maître-tailleurs, juste avant une dame qui possède un magasin d’anges sur la butte Montmartre. Benjamin GUILLEMAIND, l’animateur, m’y demanda des explications en tant que « spécialiste » du sujet. Je parlai de mes maraudes, et comme d’ habitude, j’ai indiqué mes coordonnées téléphoniques pour les gens qui souhaitent donner des vêtements. En rentrant à mon domicile j’ai éteint le portable, et qu’elle ne fut pas ma surprise de trouver le lendemain matin un message de Jean-Marie BIGARD !

 

 

Que vous a-t-il dit ?

 

 

Il venait de m’entendre à la rediffusion du matin, il était emballé par le travail de mon association, notamment par sa dimension artisanale : à échelle humaine.

 

 

Vous a t-il proposé son aide ?

 

 

Oui, il voulait me faire rencontrer des personnes susceptibles de m’aider financièrement. Il m’a même laissé son numéro de téléphone pour qu’on prenne RDV, afin de définir notre collaboration. Par honnêteté, je lui ai demandé d’aller voir mon blog avant de nous rencontrer. Depuis je lui ai téléphoné de nombreuses fois, en vain.

 

 

Quel est votre plus triste souvenir ?

 

 

Le climat de haine au moment de la scission du FN. Certes je penchais pour Mégret, mais je n’ai jamais été compromis dans aucun complot. Je n’ai jamais été membre du MNR. Depuis mon licenciement du « Paquebot », je m’en tiens à une stricte neutralité. En 2002, j’ai envoyé la même lettre de soutien aux deux candidats. Cela a  été terrible pour moi de voir des amis de longue date ne plus me parler, pire, me traiter de félon, alors que j’ai failli sombrer. J’ai été à deux doigts de devenir SDF. J’en ai été profondément marqué.

 

 

Et votre plus beau souvenir ?

 

 

Le sermon de mon collègue, le jour de mon ordination. Voici ce qu’il a dit dans « Le Luthérien » : « Comme je devais assurer la prédication, je repris la parole que Dieu avait adressée à Ezechiel « je t’établis comme sentinelle sur le pays… » (EZ : 3 :17) parce que c’est la guerre de Dieu, contre le péché et la mort » … prémonitoire … non ?

 

 

 

Vous vous êtes rapproché du Front National, et son secrétaire général, Louis ALIOT, vous a même confié une responsabilité dans le nouvel organigramme, pouvez-vous nous en parler ?

 

 

A mon heure de gloire j’ai été membre du Comité Central et du pré-gouvernement. Je suis revenu par fidélité à mes convictions. Mon équipe et moi-même travaillons à un projet d’envergure nationale, nous avons fait une note qui sera présentée au Président. Le Secrétaire Général le présentera aux Secrétaires Départementaux dans une lettre circulaire.

 

 

Une conclusion ?

 

 

Le Front National est à la croisée des chemins, en plus du long et difficile travail de reconstruction, il doit faire une révolution copernicienne, comprendre que son avenir se joue au moins autant dans le champ du social que dans celui du politique. Je crois que les circonstances nous sont, et nous resteront, de plus en plus favorables ; à condition que, contrairement au passé, le social soit compris comme un élément clef de notre devenir. Il faut, dans ce domaine, se donner les moyens d’une politique ambitieuse. Il faut savoir prendre les virages au bon moment, c’est le moment des choix décisifs.

 

 

 

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Commentaires :

 

Commentaire par Jérôme le 23 juillet 2008 @ 11:33

Un bel entretien avec un homme de foi et de coeur qui se dévoue avec des moyens limités pour nos compatriotes les plus démunis. On apprécie la franchise du pasteur pour ses propos relatifs à la droite nationale ainsi que sa clairvoyance pour l’action sociale. Actuellement avec la conjoncture économique très défavorable le nombre d’exclus et de sans domiciles fixes se multiplient tant dans les agglomérations gigantesques que dans des villes moyennes (La Rochelle ville populaire de 80 000 habitants en est un triste exemple tout au long de l’année). Si la vie des SDF est très dure l’hiver, elle est carrément intenable l’été car aux privations physiques s’ajoute une grande exclusion morale avec une profonde solitude.

Un homme de foi et un juste combat social à soutenir !.

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  • Commentaire par Marc le 23 juillet 2008 @ 12:24

Je partage sa conclusion : investir le champ social tout en tenant le cap de la politique actuelle du FN

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  • Commentaire par Olivier de Granvil le 12 août 2008 @ 15:29

Merci à Promenade sur la toile | e-deo

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  • Commentaire par ulrich le 12 mars 2010 @ 13:54

Je suis serviteur du SEIGNEUR,précisement de vocation ministérielle : EVANGELISTE.Je désire correspondre avec le pasteur Jean-Pièrre Blanchard pour échange et surtout encore de grandes choses avec lui par sa grande expérience du ministère dans le SEIGNEUR.Pasteur,que la paix et la grace de JESUS soit et demeure avec vous.Et qu’il vous donne encore la force et le zèle malgré l’âge d’avancer,de toujours continuer la bonne oeuvre du CREATEUR.Car la jeunesse dont je fait partir vous voyant ainsi,s’inspire et tire profit de tous ces bonnes actions des pères que vous êtes afin aussi de réussir la mission du CHRIST.