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27/09/2019

ENTRETIEN AVEC LE PASTEUR BLANCHARD (2).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Question 5 : Existe-t-il dans notre pays une véritable solidarité nationale ou cela reste-t-il à réinventer?

 

 

 


   
 
Réponse : Malheureusement la réponse est négative, les habitudes ont la peau dure et on a du mal à sortir d'un certain fonctionnement. Dans bien des milieux, on conçoit le social comme une vitrine, cela fait bien de s'occuper des pauvres. Or, comme l’a dit Laurent Poultier du Mesnil dans son  émission sur Courtoisie où je passais, si le Hamas, au Liban fait du social, son objectif est avant tout politique. Dans l'âge de fer où nous allons entrer, ce sera une des clef de l'avenir.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Question 6 : Pensez-vous qu'un mouvement politique comme le nôtre a un rôle social à jouer auprès de nos compatriotes?

 


 
 
Réponse : Depuis plus d'un siècle l'Action Française est une formidable école de pensée, à qui tous, peu ou prou, nous devons quelque chose. Depuis trois décennies que le FN a pompé les forces vives de notre famille politique, vous êtes une des rares branches à avoir conservé votre autonomie et votre dynamisme.

 

 

 


Dans une France comptant plus de sept millions de musulmans, savoir si le régime doit être royaliste comme vous le souhaitez ou républicain social et plébiscitaire comme je le désire ne me semble pas de saison. L'important pour nous est la défense de notre terre et de nos morts, je crois qu'il est souhaitable de mettre nos efforts en commun.

 


 

Question 7 : Pouvez-vous nous dire un mot sur votre projet de fondation?

 

 


  
Réponse : Initialement ce projet était pour Marine Le Pen qui n'a pas été intéressé. L'idée en est simple, comme Brigitte Bardot pour les animaux, il s'agit quant à nous de venir en aide aux patriotes défavorisés, par des actes concrets comme l'achat et le don de réfrigérateurs, machines à laver, gazinières entre autres et pour commencer... Mon nom et mes réseaux au sein du FN m'amènent à côtoyer des personnes que nous pourrions aider dans toute la France.

 

 

 


 
Il faut savoir que le statut de fondation permet de collecter des fonds, la mise initiale est mince. Peut- être que dans vos milieux, une personne aussi prestigieuse que Le Pen, héritière de ceux qui ont fait l'histoire de notre pays serait heureuse de donner son nom à cette œuvre de salubrité publique ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

19/07/2019

NOS AMIS...

 

 

 

 

 

 

Jacques et Anne-Marie:



 
 
Chaque été, depuis bientôt cinq ans, mon épouse et moi-même allons passer une journée chez Jacques et Anne-Marie à Bécon-les-Bruyères  et cela fait deux années qu'ils nous font l'honneur et la gentillesse de venir à l'assemblée générale de l'ASP prévue cette année le 29 septembre.

 

En attendant et comme de coutume, la splendide journée passée chez eux le week-end dernier fut un bouquet de rires et de chants, un panaché, bien frais, de discussions savantes et de bons mots. Et, n'oublions pas, bien sûr, le délicieux repas qu'ils avaient préparé. 

 

Dieu fasse que cette joie demeure. 

 

 

Ce n'est pas d'hier, c'est à l'époque du "Paquebot", du temps de "l'Entraide nationale" et des "Soupes de Nuit à Saint-Lazare" que j'ai rencontré Jacques et Anne-Marie Parizel. Ils venaient trier des vêtements et du linge pour les donner à nos compatriotes dans le besoin. Et réceptionner, trier, ranger vos dons, ce n'est pas une mince affaire, c'est même beaucoup de travail : merci aux amateurs*. Car les maraudes, cela ne s'improvise pas, c'est toute une chaîne.

 

Malgré ma traversée du désert, Jacques et Anne-Marie sont restés de fidèles soutiens. Nous nous sommes pas perdus de vue. 

 

Dieu fasse que cette amitié demeure.


 

Pasteur   Blanchard

28/06/2019

Il y a 1 an,j’étais à la soirée d’anniversaire du « Diable de Montretout » !

 

 

 

 

 

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On doit s’arracher les cheveux et la barbe (pour ceux qui compensent !) dans les milieux gauchos, bobos, macronistes, mondialistes et européistes de tous poils à la figure !

 

 

Figurez-vous que le Diable, Le Pen Jean-Marie lui-même, avait tenu, en cette soirée du 30 juin, à convier dans « l’enfer de Montretout » (comme l’avait qualifié un journaliste « mainstream » en mal d’hyperbole) nombre de ses amis, à l’occasion de son quatre-vingt-dixième anniversaire.

 

Les invités absents pourront le regretter amèrement.

 

 

Non seulement parce qu’ils auraient pu voir, écouter et parler à un « Menhir » affaibli mais toujours pugnace, et totalement dépourvu d’attributs diaboliques.

 

 

Non seulement parce que, pour la première fois, depuis des temps reculés, avant la réunion, il a pu étreindre ses trois filles réunies dans sa maison d’habitation et, toutes querelles et haches de guerre enterrées, les embrasser et leur tenir la main, la sérénité d’un pur bonheur familial inscrite sur les traits du patriarche.

 

 

Non seulement parce qu’ensuite, plus de 350 invités se pressèrent à Montretout pour dire les mots de l’amitié, vous savez, celle qui n’existe pas ailleurs que chez ceux qui font de la politique pour faire gagner leurs idées, et non pour s’arracher des places bien juteuses.

 

 

Non seulement parce qu’outre la présence du patriarche, de sa famille et des ses amis de toujours, nous eûmes la chance de pouvoir entendre et voir se produire Les Brigandes pour un concert alliant la qualité musicale et les chants d’amour pour notre nation, nos paysages, notre civilisation et notre inaliénable liberté de penser, déclenchant dans l’assistance un enthousiasme profond.

 

 

Non seulement parce que, si vous vous y étiez trouvé, vous auriez pu entendre parler aussi italien, russe, serbe et espagnol, certains participants n’ayant pas hésité à accourir de très loin pour venir dire leur affection à leur vieil ami.

 

Mais aussi parce qu’ils auraient pu assister à des prodiges !

 

Certes, dans « l’enfer de Montretout », Jean-Marie n’a pas réalisé de multiplication des petits fours ou des bouteilles de champagne.

 

Mais il a pu réunir des amis qui furent aussi, tout au long de son immense et longue carrière, des acteurs de la vie politique française au sein de sa création : le FN. Cela conduisit à des retrouvailles émues entre « anciens » que les circonstances de l’existence avaient amenés à se perdre de vue.

 

 

 

Seule cette invitation à l’anniversaire du Breton indomptable pouvait permettre de telles rencontres, de telles conjugaisons générationnelles entre les « vieux grognards » et les « jeunes pousses » qui viennent à peine de se lancer dans le combat d’une vie pour la survie et la grandeur de la France.

 

 

 

Le second prodige fut climatique. En cette soirée où pas le moindre souffle d’air ne venait desserrer l’étreinte de la touffeur d’une canicule propice à rappeler leur pays d’origine à certains touristes sans visas chouchoutés par l’Union européenne, personne n’a eu trop chaud !

 

Est-ce à dire que la droite nationale, c’est le frigo ?

 

Ou serait-ce plutôt que l’amour et l’amitié partagés sont si chauds qu’ils nous font oublier la canicule extérieure ?

 

Mais dans tout combat, fût-ce d’amitié, il est des victimes collatérales !

 

Bouteilles de champagne tombées au champ d’honneur, vous avez témoigné de l’âpreté de l’engagement !

 

Pour ta présence, pour ton tempérament indomptable, pour ton indéfectible amitié, merci à toi à jamais, « Diable de Montretout » !

 

 

 

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26/12/2018

FROID !!!

 

 

 

 

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07/12/2018

MON AMI LOUIS.

 

 

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Depuis tout ce temps que nous nous connaissons,

 

nos racines de sudistes ont fini par créer des liens.

 

En effet, nous partageons la même origine :

 

celle de "Montagne Pyrénées",

 

cet amour sans borne pour notre région,

 

et pour le rugby.


Il a gardé l'accent que j'ai perdu dans les brumes du nord.

 

 

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J'avais trois ans quand mon père, devenu Gendarme,

 

fut muté à Saint-Quentin.

 

Dix ans plus tard, suite à une autre mutation,

 

nous voilà de retour à Mazamet.

 

Le temps de passer mon certificat d'étude à l'école du Gravas,

 

et de m'entendre dire par mon paternel

 

que j'étais bon pour devenir ouvrier délaineur.

 

L'accent ne change rien,

 

nous nous reconnaissons entre peuplades du sud,

 

par une certaine manière de parler,

 

par des tics, des expressions qui nous sont propres,

 

que nous sommes seuls capables de décrypter.

 

Ce fut le cas entre Louis et moi,

 

ce qui, de suite, a généré de la sympathie,

 

presque une forme d'amitié, 

 

cette inexpugnable fidélité à nos valeurs et notre terre.

 

C’est pour cette raison que je me réjouis de savoir 

 

qu'il a depuis toujours soutenu nos campagnes de soupes à St Lazare puis de maraudes. 

 


 
 
                                              

Pasteur  Blanchard

 

 

 

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30/11/2018

MONTRONS L’EXEMPLE RESPECTONS-LES TOUS:

 

 

 

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Madame la députée, Monsieur le député

 

 

 

Depuis votre élection le 18 juin 2017, un nombre croissant de représentants des forces de l’ordre (policiers, policiers municipaux, gendarmes, pompiers, surveillants pénitentiaires, Agents de Surveillance de la Voie Publique, soldats) ont été insultés, agressés, blessés dans leur chair, ou pour une minorité d’entre eux, tués dans l’exercice de leur métier car ils symbolisaient l’autorité de l’Etat.

 

 

 

D’autres, au nombre de 77 à ce jour depuis janvier 2018 ont choisi de nous quitter, par désespoir de ne pas trouver les conditions de travail nécessaires à un exercice serein de leur mission. Au total, nous devrons regretter la disparition de collègues. Nous voulions vous le rappeler de façon solennelle.

 

 

 

Il ne se passe pas de semaines aujourd’hui sans que nous comptabilisions ces suicides ou ces atteintes à l’intégrité de ceux qui sont nos proches, de nos amis, de nos collègues. En 2017, plus de 10.000 agents actifs (policiers et gendarmes) ont été blessés, dont la moitié par suite d’agressions. Les incivilités et les agressions à l’encontre des forces de l’ordre se multiplient, jusqu’à bloquer nos interventions, en particulier celles des pompiers ou des ambulanciers qui ne cherchent qu’à sauver des vies.

 

 

 

 

La violence à l’encontre des forces de l’ordre s’est progressivement banalisée. L’on nous jette des pierres, des parpaings, des briques, des bouteilles, de l’acide, et autres objets dangereux, l’on nous attaque au couteau de boucher, l’on essaye de nous renverser, de nous écraser lors de délits de fuite, et même de nous brûler vifs, volontairement, comme ce fut le cas à Viry -Chatillon. Tout cela dans une certaine forme d’indifférence des médias…

 

 

 

 

Pire, lorsqu’il nous faut faire face à ces menaces sur notre vie, nous sommes paralysés par un cadre juridique qui nous place souvent - si nous devions user par malheur de nos armes - comme des « accusés par principe » et non des victimes. Le droit à notre légitime défense nous est ainsi restreint, au risque de nous faire tuer ou lyncher par des bandes qui ont d’autant moins de scrupules qu’elles ont le sentiment d’une grande impunité. Ce mal sévit dans la rue mais gagne maintenant les prisons.

 

 

 

 

Enfin, nos familles, nos conjoints, nos enfants sont eux-mêmes et de plus en plus suivis, insultés, menacés, à l’école, ou sur le chemin du domicile. Doit-on accepter cela sans rien dire, sans réagir ? Vous avez une famille et des enfants : accepteriez-vous ces agissements envers ceux que vous aimez, tout simplement parce que vous êtes élus de la Nation et que vous portez l’écharpe tricolore ? Que reste-t-il de l’ordre Républicain si nous ne réagissons pas ?

 

 

 

 

Bien sûr, nos difficultés sont connues du gouvernement et de vous-mêmes, parlementaires, à l’image du rapport du Sénat de juillet dernier. Mais rien ne se passe de concret pour remédier, au quotidien, à une situation qui ne fait qu’empirer. Nous avons l’impression que le fait de révéler notre malaise n’a été qu’une forme de thérapie de groupe nationale : devons-nous considérer que rendre public ce mal-être dans la presse suffit à le traiter ?

 

 

 

 

Notre hiérarchie reste silencieuse et passive devant cet état de fait. Or, dans une entreprise ou dans une organisation de droit privé, la vague de suicides qui s’amplifie dans nos professions aurait provoqué, non seulement émotion et indignation, mais surtout recours à la justice. Les exemples de grandes sociétés ou de plus petites mises en cause ne manquent pas. Vous les connaissez ; la jurisprudence en témoigne. Mais parce que nous sommes fonctionnaires ou contractuels, soucieux de respecter notre droit de réserve, notre employeur, l’Etat, semble ignorer les règles de droit que vous même, en tant que législateur, avez fixées en matière de conditions de travail, d’hygiène et de sécurité, ainsi que de harcèlement moral. Deux poids, deux mesures ! Que reste-t-il de l’exemplarité sans laquelle les mots perdent de leur sens, y compris lorsqu’ils sont porteurs des lois ?

 

 

 

 

Il y a encore quelques mois, au mieux la tristesse et le chagrin nous envahissaient. Mais c’est maintenant le désespoir et la lassitude qui nous gagnent. Malgré tout, nous sommes encore nombreux à être fidèles au poste, à respecter notre engagement pour maintenir, le plus possible, un socle d’autorité sans lequel notre démocratie s’effondrerait. La raison ? Comme vous, nous aimons tout simplement mais ardemment notre pays.

 

 

 

A l’occasion du départ de notre ancien ministre et de la prise de fonction de son remplaçant, nous avons eu droit, enfin… à un diagnostic partagé sur l’état préoccupant de certains territoires et des comportements inacceptables qui menacent l’intégrité de nos concitoyens et leur portent préjudice, aux plans social ou économique. Ce constat, nous l’avions déjà dénoncé à de multiples reprises, mais mieux vaut tard que jamais. Alors, que fait-on ? Qu’allez-vous faire ?

 

 

 

Demain, le gouvernement et vous, parlementaires de la majorité, déciderez peut-être de reconquérir ces zones de non droit, afin de faire respecter les valeurs républicaines de liberté, d’égalité et de fraternité. Nous serons alors vos bras séculiers, en premières lignes pour appliquer vos décisions, celle du peuple français. Ce sera difficile, et sans doute devrons-nous faire face à une très grande violence.

 

 

 

Alors aidez-nous à être prêts à servir ce jour-là l’Etat et la République, de façon efficace. Aidez-nous à améliorer nos conditions matérielles et morales. Aidez-nous à sensibiliser une hiérarchie qui veut ignorer nos contraintes et nous placent en permanence dans des tensions qui fragilisent certains de nos collègues, jusqu’à les pousser au désespoir. Aidez-nous à faire évoluer l’exercice de la justice pour rétablir le respect des règles républicaines, appliquer des sanctions dissuasives, et restaurer ainsi l’état de droit. Enfin, aidez-nous à faire admettre aux magistrats que la priorité désormais est de défendre les victimes et non d’excuser en permanence les délinquants et les criminels.

 

 

Notre démarche est apolitique.

 

 

Mais dans cette lettre, nous avons voulu exprimer notre totale indépendance d’esprit. Nous ne sommes pas un syndicat, ni un « faux nez politique » : il serait tellement confortable de nous cataloguer comme tels et ainsi de nous disqualifier. Nous sommes de simples représentants des forces de l’ordre et des citoyens qui nous appuient dans notre démarche. Tous ensemble, nous sommes soucieux de notre avenir et ce celui du pays, de la poursuite de nos missions de respect de l’ordre, et donc de la cohésion nationale.

 

 

 

Veuillez agréer, Madame la députée, Monsieur le député, l’expression de notre haute considération.

 

 

 

Christelle TEIXEIRA

 

 

Présidente Uniformes En Danger



 

ASSOCIATION UNIFORMES EN DANGER BP 40738 MELUN MAIL :uniformes.en.danger@gmail.com FACEBOOK : association uniformes en danger Association sous la loi 1901 N° RNAW 781005392

 

 

 

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14/09/2018

Communiqué de Phillipe RANDA:

 

 

 

 

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Jean-Pierre Blanchard : 45 ans de combat contre la précarité:

 

 

 

Qui est le Pasteur Blanchard ?

 

 

 

Depuis des années, le Pasteur Blanchard se dévoue corps et âmes pour soulager la misère en Île-de-France. De la Cité de refuge de l’Armée du Salut dans les années 70, à l’actuelle présidence de l’Action Sociale Populaire (ASP), en passant par les médiatiques « soupes de la Gare Saint-Lazare » dans les années 90, il aura été de tous les combats contre la précarité.

 

 

 

Le combat continue depuis 2006 par le biais de maraudes organisées par l’ASP dans les rues de Paris. Une équipe soudée qui ont foi en l’engagement caritatif du Pasteur et de son épouse Catherine qui anime les activités de l’association. Depuis 2008, les actions ont été élargie à la visite de personnes âgées et en 2011 à l’aide de familles de patriotes défavorisés.

 

 

 

Comment peut-on les aider ?

 

 

 

Par vos dons en argent CCP : 601 0275 Y 033 (délivrance de reçus fiscaux) ou matériels, duvets, couvertures, vêtements.

 

 

 Contact :

 

 

Adresse postale : ASP BP7 91201 Athis-Mons Cedex

 

 

Téléphone : 06 74 03 18 15

 

 

Messagerie : simonnot.fn@gmail.com 

 

 

 

FAITE UN ACTE MILITANT EN VISITANT LE BLOG DE L’ACTION SOCIALE ET POPULAIRE:

 

 

 

http://actionsocialeetpopulaire.hautetfort.com/

 

 

 

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20/07/2018

NOS AMIS...

 

 

 

 

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Jacques et Anne-Marie:

 

 



 
 

Chaque été, depuis bientôt vingt ans, mon épouse et moi-même allons passer une journée chez Jacques et Anne-Marie à Bécon-les-Bruyères  et cela fait deux années qu'ils nous font l'honneur et la gentillesse de venir à l'assemblée générale de l'ASP.

 

 

 

 

 

En attendant et comme de coutume, la splendide journée passée chez eux le week-end dernier fut un bouquet de rires et de chants, un panaché, bien frais, de discussions savantes et de bons mots. Et, n'oublions pas, bien sûr, le délicieux repas qu'ils avaient préparé. 

 

 

 

 

Dieu fasse que cette joie demeure. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Ce n'est pas d'hier, c'est à l'époque du "Paquebot", du temps de "l'Entraide nationale" et des "Soupes de Nuit à Saint-Lazare" que j'ai rencontré Jacques et Anne-Marie Parizel. Ils venaient trier des vêtements et du linge pour les donner à nos compatriotes dans le besoin. Et réceptionner, trier, ranger vos dons, ce n'est pas une mince affaire, c'est même beaucoup de travail : merci aux amateurs*. Car les maraudes, cela ne s'improvise pas, c'est toute une chaîne.

 

 

 

 

Malgré ma traversée du désert, Jacques et Anne-Marie sont restés de fidèles soutiens. Nous nous sommes pas perdus de vue. 

 

 

 

Dieu fasse que cette amitié demeure.


 

Pasteur   Blanchard

15/06/2018

HIER, AUJOURD'HUI ET DEMAIN...

 

 

 

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Hadrien Blandin,

fidèle de l'Action Sociale et Populaire

 


 
 
Depuis les débuts héroïques de notre association, votre générosité ne s’est jamais démentie. Alors que notre structure était encore embryonnaire, nous avons pu constater, grâce à la magie de radio Courtoisie que les bonnes volontés ne manquaient pas. C'était le commencement d'un élan fantastique de solidarité agissante.

 

 

Hadrien Blandin fut un des premiers à répondre présent. Ce jeune étudiant, fort sympathique, est le voltigeur du tri et du don de linge. Chaque année, quand se prépare la saison d'hiver, solidaire pour nos compatriotes les plus démunis, il nous apporte sa cargaison de vêtements. Cette habitude a fini par tisser des liens d'amitié. Lors de nos retrouvailles, nous évoquons le temps passé, les caps franchis. Il est bon de constater le chemin parcouru et de pouvoir dresser un bilan positif, malgré les difficultés. 

 

 

 

J'espère que nous continuerons de la même manière. Cela sera le signe que notre combat  pour plus de justice sociale, envers les Nôtres, avance et se construit pas à pas.

 

 

 

Pasteur Blanchard

 

 

 

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25/05/2018

JANY ET LE SOCIAL.

 

 

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C’est suite à une émission de France inter où était interviewé Samuel Maréchal que je fis la connaissance de Jany et Jean-Marie Le Pen. Quelque temps plus tard, la décision fut prise de créer le Cercle des Amitiés Protestantes qui allait si profondément bouleverser le court de ma vie.

 

 

Quand le Président du Front National me confia la responsabilité du social au sein de son mouvement, à l’époque de la création des soupes Gare St Lazare, Jany m'apporta un soutien total qui n’a jamais été démenti. Elle, dont le milieu social est totalement différent de celui où règne la grande précarité, a su avec sa naturelle gentillesse, sa disponibilité, son énorme cœur et son total désintéressement se faire aimer de ces gens, d'une approche parfois difficile.

 

 

 

La clef de cette compréhension véritable est la réelle empathie dont elle fait preuve. Elle ne triche pas, elle est totalement sincère et c’est là certainement sa plus grande qualité ; ce qui fait d'elle le parfait complément de son grand homme de mari.

 

 

 

Pasteur  Blanchard