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15/09/2020

La fraude aux allocs explose. À qui la faute ?

 

 

 

 

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La fraude entretient un climat malsain et répand un sentiment d’injustice qui deviendra explosif.Dans son rapport annuel publié jeudi dernier, la Caisse nationale d’allocations familiales (CNAF) nous informe que, pour 2019, ce sont près de 40.000 fraudes (+22 % par rapport à 2018) qui ont été détectées, pour un total de près de 250 millions d’euros (+18 % par rapport à 2018), soit une moyenne de 6.250 euros par fraude. Près de 75 % des fraudes sont dues à des omissions ou de fausses déclarations, notamment sur les ressources réelles perçues. C’est le RSA qui constitue le « poids lourd » de la fraude aux allocations, soit 68,5 % des fraudes avérées.

 

 

Depuis quelques années, les contrôles sont mieux ciblés, notamment grâce au « data mining », qui permet d’extraire automatiquement des informations grâce à des méthodes statistiques et mathématiques, révélant donc des incohérences. De plus, les contrôles au domicile se sont vus renforcés et continueront de l’être.

 

 

On pourrait me rétorquer, et à raison, que comparée aux 2,6 milliards d’euros récupérés en 2019 via des évadés fiscaux « repentis », la fraude aux prestations sociales est insignifiante. Cependant, et au-delà des chiffres, le problème n’est pas de savoir qui, entre celui qui trompe la CAF et celui qui cache son argent à l’étranger, est le pire des salauds. Ce n’est pas parce qu’il existe pire que soit que l’on gagne forcément en vertu. Au final, le fraudeur de prestations sociales et le fraudeur fiscal sont jumeaux en idées, seuls leurs moyens pour abuser de la communauté nationale pour faire du profit divergent. En somme, leur philosophie est la même que Hollande, « ça ne coûte rien, c’est l’État qui paye ».

 

 

Pour La Dépêche du Midi, la fraude aux allocations ne serait qu’une « fraude de survie ». Soit un joli qualificatif en forme d’excuse trouvé afin de ne pas vexer les fraudeurs en question, mais également pour ne pas affoler les contributeurs, puisque au lieu d’assister des vies, ils les sauvent ! Une « fraude de survie » ne servirait donc pas à s’enrichir mais juste à améliorer les fins de mois. Donc, si l’on vole son voisin sans chercher à s’enrichir, s’agit-il d’un « vol de survie » ?

 

 

La fraude est comme un mensonge ayant une valeur monétaire : il entretient un climat malsain et répand un sentiment d’injustice qui deviendra explosif. Quant au système de protection sociale lui-même, force est de constater qu’avec plus de 70 milliards d’euros dépensés en prestations diverses à 11,8 millions d’allocataires, la fraude ne concernerait donc que 0,33 % de la population des bénéficiaires. Cependant, cette colossale somme d’argent, correspondant à huit fois le budget de la justice, démontre un constat encore plus alarmant que la fraude.

 

 

Notre système de protection sociale devait, à son origine, juste « aider les plus nécessiteux à court terme ». Aujourd’hui, il est devenu pour beaucoup un « complément de revenu », créant donc une dépendance dangereuse vis-à-vis de l’État. Ce dernier, pour pérenniser le système, n’a d’autre choix que d’emprunter. Comme le disait Reagan : « L’État ne règle pas les problèmes, il les subventionne. »

 

 

 

 

09:21 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

11/09/2020

DOMICILIATION ET SERVICES D'AIDE AU JOUR LE JOUR:

 

 

 

 

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LIEUX D'ACCUEIL DIVERS

POUR HOMMES ET FEMMES MAJEURS.

 

 

L’Agora
Association Emmaüs
32 rue des bourbonnais 75001 Paris
Métro : Châtelet
Tél : 01.55.34.74.87.
Fax : 01.55.34.74.97.
Mail : agora@emmaus.asso.fr

 

 


Espace Saint-Martin
Armée du Salut

Face au 31 boulevard Saint-Martin 75003 Paris
Métro : République
Tel : 01.40.27.80.07.


Boutique solidarité
La Maison dans la rue
Association Emmaüs
35 rue Bichat 75010 Paris
Métro : République
Tel/Fax : 01.40.18.04.41.
Espace réservé
aux femmes le mercredi.

 

 


(La) Halte Paris-Lyon
Le cœur des Haltes
Place Henri-Fresnay 75012 Paris
Métro : Gare de Lyon sortie 9
Tel : 01.43.44.33.99.
Hommes en détresse.

 


La Maison dans le jardin
(Samu social de Paris)
35 avenue Courteline 75012 Paris
Métro : Saint-Mandé-Tourelle
Tel : 01.41.74.88.10.

 


La Maison dans la rue
CASP
Hall B – 18 rue de Picpus 75012 Paris
Métro : Nation
Tel : 01.40.02.09.88.


La Maison du XIIIe
Association Emmaüs
47 boulevard de l’Hôpital 75013 Paris
Métro : Gare d’Austerlitz
Tel : 01.77.37.12.30

 

 


L’Arche d’Avenirs
Association des Œuvres
de la Mie de Pain
107-109 rue Régnault 75013 Paris
Métro : Porte d’Ivry
Tel : 01.44.06.96.88.

 

 


Centre René-Coty
Centre d’action sociale de la Ville de Paris

6 avenue René-Coty 75014 Paris
Métro : Denfert-Rochereau
Tel : 01.43.27.54.15.
Parisiens exclusivement.


(La) Halle Saint-Didier
Centre d’action sociale
de la Ville de Paris
23 rue Mesnil 75016 Paris
Métro : Victor-Hugo
Tel : 01.53.70.48.88.
Pour personnes sans enfants.


Maison du Partage
Fondation de l’Armée du Salut
32 rue Bouret 75019 Paris
Métro : Jaurès
Tel : 01.53.38.41.30.

 

 

 

 
POUR LES FEMMES.

La Halte Femmes

 


Centre d’accueil de jour
16-18 passage Raguinot 75012 Paris
Métro : Gare de Lyon
Tel : 01.43.44.55.00.
Toutes femmes en difficulté,
en situation d’errance
sans enfants.


Espace Solidarité

 


Association HAFB
17 rue Mendelssohn 75020 Paris
à l’angle de la rue
Métro : Porte de Montreuil
Tel : 01.43.48.18.66.
Les prestations sont gratuites.
Il est préférable,
pour un premier contact,
de téléphoner
et de prendre rendez-vous
pour les femmes majeures,
en difficulté,
avec ou sans enfants,
notamment les femmes confrontées à la violence conjugale.

 

 

 

DOMICILIATION POUR TOUS LES COURRIERS.

Comité des sans-logis
130 rue de Castagnary
75015 Paris
Métro : Porte de Vanves
Tel/Fax : 01.40.19.98.83.

 

 
STRUCTURES SPECIALISEES.

 

 

♣ Pour les personnes handicapées :

 

 

Advocacy Paris-île-de-France
ECC (Espace Convivial et Citoyen)
5 place des fêtes 75019 Paris
Métro : Place des Fêtes
Tel/Fax : 01.46.07.18.18.
Ouvert toute l’année.

 

♣ Aide juridique et administrative gratuite :

 

 

Point d’accès au droit (PAD) du 13e

4 place de Vénétie/8 avenue de Choisy 75013 Paris
Métro : Porte de Choisy – Tramway T3 : Porte de Choisy
Tel : 01.55.78.20.56. Fax : 01.44.68.08.17.
Accueil sur rendez-vous pour les permanences.
Services confidentiels.

Point d’accès au droit (PAD) du 15e
22 rue de la Sada 75015 Paris
Métro : Porte de Versailles ou Convention ou Porte de Vanves
Tramway : Georges Brassens
Bus : 89
Tel : 01.45.30.68.60. Fax : 01.45.32.13.92.
Mail : pad15.courriel@orange.fr
Accueil sur rendez-vous pour les permanences.
Services confidentiels.

Barreau de Paris Solidarité


SOINS ET HYGIENE :

 

 

♣ Quelques hôpitaux :

 

 

Hôpital Bichat – Claude-Bernard

 


46 rue Henri-Huchard
75018 Paris
Métro : Porte de Saint-Ouen
Tel : 01.40.25.80.80.


Hôpital Cochin

 


Polyclinique – Pavillon Achard
27 rue du Faubourg-Saint-Jacques 75014 Paris
Métro : Saint-Jacques
Tel : 01.58.41.41.41. (standard hôpital)
Tel : 01.58.41.23.00. (polyclinique)


♣ Se laver :

 

 

Les bains-douches

8 rue des Deux-Ponts 75004 Paris
Métro : Pont-Marie
Tel : 01.43.54.47.40.
Lundi, mardi, mercredi, de 7h à 18h30
Jeudi de 7h à 11h30

 

Saint-Merri
18 rue du Renard 75004 Paris
Métro : Rambuteau
Tel : 01.42.72.29.45.
Mercredi de 12h à 18h30
Jeudi, vendredi,
samedi de 8h à 18h30
Dimanche de 8h à 11h30

 

 

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08/09/2020

Jacques le maraudeur nous a envoyé :

 

 

 

 

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17 DEPUTES MUSULMANS à l'Assemblée Nationale... 
 

En Marche !!


 


Dans 2 ans ils seront 130 et dans 10 ans ils seront majoritaires.
>
> Il faut se préparer et apprendre quelques versets du coran, sauf si les français réagissent.

 


Record de députés musulmans à l' Assemblée  Nationale...

 


 

17 députés musulmans à l'Assemblée Nationale.
> - Said Ahamada LREM 7e circonscription du 13 

- Mohamed Laqhila MDM 11e circonscription du 13
> - Fadila Khattabi LREM 3e circonscription du 21
> - Mostafa Laabid LREM 1ère circonscription du 35
> - Sarah El Haïry MDM 5e circonscription du 4
> - Sonia Krimi DIV 4e circonscription du 50
> - Belkhir Belhaddad LREM 1ere circonscription du 57
> - Brahim Hamouche MDM 8e circonscription du 57
> - Anissa Khedher LREM 7e circonscription du 69
> - Mounir Mahjoubi LREM 16e circonscription du 75
> - Sira Sylla LREM 4e circonscription du 76
> - Nadia Haï LREM 11e circonscription du 78
> - Naima Moutchou LREM 4e circonscription du 95
> - Elad Chakrina LR 1ere circonscription du 976
> - Mansour Kamardine LR 2e circonscription du 976
> - M'Jid El Guerrab DIV 9e circonscription 99
> - Amal Amelia Lakrafi LREM 10e circonscription du 99

 


 

Houllebecq a raison, la soumission est "En > Marche"!.....................


 

Droit dans le mur ......
> OUI ! C’est un record.


 

Tous ces élus (ou élues), sont des bi-nationaux d’origine marocaine, algérienne, tunisienne, togolaise, sénégalaise . . .


 

Ils ont la double nationalité. Il serait trop long de rapporter ici les articles de presse dithyrambiques parus dans les pays d’origine.
 

La conquête de la France s’accélère.. 
 

Elle se manifeste maintenant dans  un lieu de Pouvoir.
 

Nous sommes hélas bien peu nombreux à être conscients et nous préoccuper de cette situation qui voit notre pays être submergé par des populations qui n’ont rien à y faire......


> Bientôt la burka à l'Assemblée Nationale française !


 

Par contre dans les autres pays européens : AUCUN ! 
 

 

Bravo la France...

 

 

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04/09/2020

Ancienne maraude.......

 

 

 

 

 

 

 

 

Gilles Clavel, Vice-président de L'ASP. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sous l'égide du Pasteur Blanchard et de sa fidèle épouse Catherine est organisée par cette nuit glaciale une maraude dans les rues de Paris. Trois volontaires ont accepté d'être de la partie. Yann et Laurent militants, et votre serviteur Gilles Clavel, ancien secrétaire départemental Front National de la Seine-St Denis. Le Pasteur Jean-Pierre Blanchard, pour ceux qui ne le connaîtraient pas est une figure de la droite nationale prolétarienne française. Chapelain de Madame Jany Le Pen, il est à l'origine des mémorables "soupes de Saint-Lazare".

 

 

 

 

 

Pour revenir à ce soir, la température moyenne frôle les moins cinq degrés et la tournée bat son plein. Yann offre des soupes chaudes, du café ou du thé tandis que je m'attèle à distribuer les vêtements confortables, bienvenus contre ce froid qui perdure.

 

 

 

 

Un coup de poing : le nombre de SDF qui dorment à même le sol et doivent braver l'hiver. En majorité, ils sont français de souche ou polonais et connaissent bien le Pasteur Blanchard qui leur apporte ce soir-là un peu de chaleur inespérée...

 

 

 

 

 

La distribution est une chose mais ce que nos yeux voient et ce que nos oreilles entendent en est une autre. Cela dépasse l'imagination. D'abord, tous ces hommes, ces femmes, ces enfants qui dorment sur le trottoir devant les vitrines des boutiques chics du quartier de l'Opéra. Ensuite, un peu plus loin, comme pour préserver une  certaine intimité, ces hommes jeunes ou moins jeunes qui, le visage livide et cachés sous de misérables couvertures nous interpellent..."Soupe !" "Soupe SVP !" "Café ?"...

 

 

 

 

 

Des images poignantes se gravent à vie dans nos mémoires... Celles de ces bagnards du dehors, prisonniers de la manche et figés dans le froid de cette nuit du mois de novembre. Une énigme ? 

 

 

 

  

"....L'argent, les femmes..., j'ai tout eu soupire, Gérard, mais tout a foutu le camp ! J'ai tout perdu et je suis devenu une loque ! Sans famille, c'est dur !"  Xavier, quarante-cinq ans nous fait savoir qu'il a les moyens de travailler et qu'il peut s'en sortir seul mais le problème : "avoir un logement, c'est très difficile. Pouvez-vous m'aider ? Je ne suis pas du tout raciste mais il faut d'abord donner la priorité aux francais... car il y a de plus en plus de profiteurs venus de l'étranger !" Il est 1h00 du matin, sur le conseil du Pasteur, j'appelle le 115. Au bout d'une quarantaine de minutes, toujours le même refrain : "Bonjour, toutes les lignes de votre correspondant sont occupées. Veuillez rappeler ultérieurement."

 

 

 

 

 

1h30 du matin sous le pont de Grenelle, Patrick est heureux de nous voir et nous demande d'emblée un café et un pantalon.  Nous lui rajoutons un pull bien épais. Sur un ton agressif, il s'emporte contre le système d'hébergement d'urgence qui privilégie les étrangers "qui ne parlent même pas le français.". Il  rajoute que la visite de Madame Jany Le Pen, un soir d'hiver l'avait ému aux larmes.

 

 

 

 

 

2h00 du matin, sur un trottoir qui longe le ministère des finances (tout un symbole), un homme dort sur des ordures. Son visage est tuméfié, rongé par la tristesse. Lui aussi nous appelle "Soupe !" "Soupe !"  Laurent, bouleversé par son état de délabrement s'empresse de le servir deux fois.  Tout aussi ému, je pose la question : "combien de SDF comme celui-ci dans toute la France ?" .

 

 

 

 

 

Comment des femmes et des hommes peuvent-ils tomber si bas ? La rupture du lien familial est-elle la caractéristique des sans-logis ? En France, nous avons tendance à sacrifier la solidarité familiale naturelle au profit d'une solidarité d'Etat, souvent artificielle et parfois inaccessible. Cette maraude pour laquelle Yann Laurent  et moi remercions le Pasteur a été riche d'évènements et d'enseignements. Nous sommes d'accord pour dire que renforcer la cellule familiale française est un remède primordial. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

01/09/2020

La pauvreté s’accroît dangereusement en Île-de-France : à qui la faute ?

 

 

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15 % des 12 millions d’habitants disposeraient de mois de 990 € par mois.

 

 

 
 
Avocat
 
 
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Selon une étude du Secours catholique, la pauvreté s’accroît dangereusement en Île-de-France depuis 2004. 15 % des 12 millions d’habitants disposeraient de mois de 990 € par mois et par « unité de consommation », dont la moitié à moins de 750 € par mois. Et, toujours selon ce document, les enfants seraient particulièrement touchés, avec 24,3 % d’entre eux sous le seuil de pauvreté.

 

 

L’organisation caritative indique également que, hors Paris et les Hauts-de-Seine, « les revenus fiscaux des 10 % des ménages les plus modestes ont moins progressé au cours des dix dernières années que le revenu médian ». Selon elle, la politique des logements sociaux est inadaptée au profil des demandeurs, souvent très modestes et incapables d’accéder aux logements sociaux qui leur sont proposés. Elle souhaite un changement radical de la politique d’aménagement avec « un plan de construction de logements réellement accessibles aux personnes les plus pauvres ».

 

 

En ligne de mire, la nouvelle majorité régionale qui a supprimé les aides au logement « très sociaux », au motif qu’il convient de ne pas empiler la pauvreté sur la pauvreté, alors que 90 communes sur 1.300 concentrent 66 % du parc social.

 

 

Derrière les chiffres se profile le résultat d’une politique au goût amer. Une politique qui a tout misé sur l’accompagnement social à coups d’allocations, au lieu de lutter efficacement contre les causes de cette progression impressionnante.

 

 

Il a été dit et redit que le système d’allocations familiales, dont de plus en plus de familles « aisées » sont progressivement exclues, était passé d’un principe de distribution d’aides aux familles qui ont des enfants – pour compenser la charge qui pèse sur les familles au bénéfice de la société tout entière – vers un système de redistribution sociale : au lieu d’aider indifféremment les familles nombreuses, on aide les familles pauvres. Résultat, les classes moyennes et supérieures ont moins d’enfants, et les autres tombent dans une « trappe à pauvreté » : quand les allocations permettent de toucher un revenu plus important qu’un petit salaire, qui sera amputé de frais de garde, travailler perd tout intérêt.

 

 

Mais ce système est également une machine à acheter la paix sociale, et, pour nos gouvernants, cela n’a pas de prix. Sauf celui de la révolte qui éclatera le jour où, à bout de ressources, l’État ne pourra plus le financer. Parce que ce généreux édifice d’allocations a l’âge de ses artères : 70 ans ! Conçu après-guerre, dans une période où la reconstruction matérielle et morale du pays nécessitait la mise en place d’une politique ambitieuse de développement économique et de natalité, il a cessé depuis longtemps de remplir cette fonction. Désormais, il profite essentiellement aux familles immigrées, dont la natalité galopante soutient artificiellement le taux de fécondité officiel des femmes françaises. Or, et ce n’est pas une coïncidence, ces populations sont aussi celles dont les revenus fiscaux sont les plus faibles.

 

 

Cette aggravation de la pauvreté est donc partiellement liée à la politique migratoire qui concentre les flux dans les cités de grandes agglomérations. Un petit tour à la Caisse d’allocations familiales en convainc rapidement… Le drame, c’est que les populations françaises « de souche » sont également touchées. La caissière de Carrefour, à mi-temps, mère isolée avec deux enfants, en sait quelque chose. Et cela ne semble pas préoccuper nos gouvernants, parce que la caissière n’a pas l’habitude de casser pour manifester son mécontentement.

 

 

 

Cette politique sociale doit donc être repensée en profondeur. Avec une question centrale : à qui veut-on qu’elle profite, et avec quel objectif ? 

 

 

09:04 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

28/08/2020

Souvenirs de l 'île de Wight: il y a 50 ans.

 

 

 

(Les 2829 et 30 août 1970, le festival de l'île de Wight rassemble près de 600 000 spectateurs. Il atteint son sommet historique avec les prestations de Jimi HendrixMiles DavisEmerson, Lake and Palmer ou encore The Who et The Doors. Il voit, cette même année, une des dernières prestations des Doors. Un double album est paru sous le titre The Isle of Wight Festival 1970.)

 

 

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Le travail d'ouvrier délaineur n'était pas chose plaisante, c’est pour cette raison que je fis le choix de devenir apprenti garçon-de-restaurant au « Grand balcon », l'hôtel le plus prestigieux de Mazamet. Malheureusement je ne pu décrocher mon CAP à l'école hôtelière de Toulouse, mais je continuais à travailler dans cette branche où les débouchés étaient nombreux.

 

 

 

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 Au début de l'année 1970, j'étais employé au « Durand » sur la route de Carcassonne, château aménagé en hôtel de luxe. Ce fut un soir comme les autres, que se produisit un tournant dans ma vie. Il était tard, les clients n'arrivaient pas avant 22h, et pour passer le temps, j'écoutais "pop star" de José Arthur. Celui-ci annonça  qu'un libraire de la montagne St Geneviève à Paris, organisait un week-end tout frais compris pour le festival de l'île de Wight. Je m'inscrivis et eus le privilège d'assister à ce qui après Woodstock a été le festival référence de la scène rock. J'ai eu la chance de voir les dernières prestations de Jimmy Hendrix et Jim Morrison, ainsi que une galaxie impressionnante d'étoiles, avec en point d'orgue Bob Dylan en pleine période country : un vrai régal ! De plus, j’ai profité, chose que je serais bien plus tard, de la présence des  Beatles à la veille de leur séparation. La légende était en marche, il m'en reste de lumineux souvenirs.

 

 

 

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                            Pasteur  Blanchard

09:14 Publié dans Biographie | Lien permanent | Commentaires (0)

26/08/2020

Pré-maraude du 25 / 09 / 2020..............

 

 

 

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25/08/2020

ENTRETIEN AVEC JACQUES VASSIEUX LE 23/07/2010.

 

 

 

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Rencontre avec…

 

le Pasteur

 

Jean-Pierre Blanchard

 

Posté par  Jacques le 23 juillet 2008.

 

Pasteur Blanchard, pouvez-vous vous présenter ?

 

Languedocien né dans le Minervois, j’ai grandi à Mazamet au pied de la montagne noire. Je peux revendiquer avec fierté, comme le Pasteur Napoléon Payrat : « Je suis Cathare par le sang de mes ancêtres, et Camisart par la foi de mes aïeuls ». Sans le bouleversement de mai 68, je serais resté dans ma vie provinciale. Ouvrier délaineur en Haut-Languedoc, je partis à la capitale pour faire carrière dans le social, avant de faire des études de théologie.

 

 

Vous êtes tombé tout petit dans « la marmite du social », racontez-nous…

 

Les fracas de 68 me firent sortir de ma condition ouvrière : je devins animateur bénévole dans les MJC, où je pris goût aux choses de l’esprit, et plus particulièrement à la philosophie qui reste encore ma première passion. Ayant retrouvé la foi, après une équivalence au bac je devins travailleur social professionnel. Ceci grâce à une annonce dans un journal protestant intitulé « Le Christianisme au Xxe siècle », ce journal a aujourd’hui disparu. Il y a de cela 30 ans (le 2 mai 1978) je débutais à « la Cité de Refuge » de L’ Armée du Salut (Paris 13e).

 

 

Et aujourd’hui, où en êtes-vous ?

 

Je continue mon ministère pastoral : principalement de la formation théologique via internet. Sur le plan social, mon épouse et moi-même avons créé en 2005 l’association Action Sociale Populaire (ASP).

 

 

 

Pouvez-vous faire un rapide bilan des actions de L’ASP dont vous êtes le Président ?

 

Lors de la création de l’association, notre première orientation a été de venir en aide aux patriotes défavorisés des communes de mon secteur géographique. Puis, j’ai eu le sentiment que si nous voulions nous enraciner, il nous fallait privilégier d’autres types d’actions : j’ai lancé l’idée des maraudes d’hiver et nous sommes partis sans savoir où nous allions. A l’usage, les circuits se sont précisés. Notre dernière maraude bénéficiait de la présence de Louis Aliot. Depuis, nous avons entamé notre campagne d’été : rendre visite à des personnes âgées et isolées. Nous faisons également des repérages pour notre prochaine campagne de maraudes qui devrait commencer peu avant le début de l’hiver.

 

Avez-vous reçu de l’aide de la part de la classe politique ?

 

 

Avec le temps j’ai fini par obtenir une équipe efficace et c’est une bonne chose. Par contre la période n’est pas propice pour la collecte de fonds, même en lançant des appels sur les ondes de Radio Courtoisie. Je suis revenu au FN en 2007, après le premier tour des élections présidentielles, par fidélité à mes convictions, sans recevoir aucune aide de ce côté là. Depuis ma nomination par le secrétaire général du FN, il m’a été promis de l’aide, je suis persuadé qu’ils tiendront parole, et que, à l’avenir, je pourrai compter sur eux.

 

 

Nous avons appris que l’humoriste Jean-Marie BIGARD vous avait contacté. Est-ce exact ?

 

 

Oui c’est exact.

Je suis passé dans une émission « assez neutre » diffusée par les ondes de « Radio Courtoisie », dirigée par Benjamin GUILLEMAIND et principalement consacrée aux artisans. Je suis passé après deux maître-tailleurs, juste avant une dame qui possède un magasin d’anges sur la butte Montmartre. Benjamin GUILLEMAIND, l’animateur, m’y demanda des explications en tant que « spécialiste » du sujet. Je parlai de mes maraudes, et comme d’ habitude, j’ai indiqué mes coordonnées téléphoniques pour les gens qui souhaitent donner des vêtements. En rentrant à mon domicile j’ai éteint le portable, et qu’elle ne fut pas ma surprise de trouver le lendemain matin un message de Jean-Marie BIGARD !

 

 

Que vous a-t-il dit ?

 

 

Il venait de m’entendre à la rediffusion du matin, il était emballé par le travail de mon association, notamment par sa dimension artisanale : à échelle humaine.

 

 

Vous a t-il proposé son aide ?

 

 

Oui, il voulait me faire rencontrer des personnes susceptibles de m’aider financièrement. Il m’a même laissé son numéro de téléphone pour qu’on prenne RDV, afin de définir notre collaboration. Par honnêteté, je lui ai demandé d’aller voir mon blog avant de nous rencontrer. Depuis je lui ai téléphoné de nombreuses fois, en vain.

 

 

Quel est votre plus triste souvenir ?

 

 

Le climat de haine au moment de la scission du FN. Certes je penchais pour Mégret, mais je n’ai jamais été compromis dans aucun complot. Je n’ai jamais été membre du MNR. Depuis mon licenciement du « Paquebot », je m’en tiens à une stricte neutralité. En 2002, j’ai envoyé la même lettre de soutien aux deux candidats. Cela a  été terrible pour moi de voir des amis de longue date ne plus me parler, pire, me traiter de félon, alors que j’ai failli sombrer. J’ai été à deux doigts de devenir SDF. J’en ai été profondément marqué.

 

 

Et votre plus beau souvenir ?

 

 

Le sermon de mon collègue, le jour de mon ordination. Voici ce qu’il a dit dans « Le Luthérien » : « Comme je devais assurer la prédication, je repris la parole que Dieu avait adressée à Ezechiel « je t’établis comme sentinelle sur le pays… » (EZ : 3 :17) parce que c’est la guerre de Dieu, contre le péché et la mort » … prémonitoire … non ?

 

 

 

Vous vous êtes rapproché du Front National, et son secrétaire général, Louis ALIOT, vous a même confié une responsabilité dans le nouvel organigramme, pouvez-vous nous en parler ?

 

 

A mon heure de gloire j’ai été membre du Comité Central et du pré-gouvernement. Je suis revenu par fidélité à mes convictions. Mon équipe et moi-même travaillons à un projet d’envergure nationale, nous avons fait une note qui sera présentée au Président. Le Secrétaire Général le présentera aux Secrétaires Départementaux dans une lettre circulaire.

 

 

Une conclusion ?

 

 

Le Front National est à la croisée des chemins, en plus du long et difficile travail de reconstruction, il doit faire une révolution copernicienne, comprendre que son avenir se joue au moins autant dans le champ du social que dans celui du politique. Je crois que les circonstances nous sont, et nous resteront, de plus en plus favorables ; à condition que, contrairement au passé, le social soit compris comme un élément clef de notre devenir. Il faut, dans ce domaine, se donner les moyens d’une politique ambitieuse. Il faut savoir prendre les virages au bon moment, c’est le moment des choix décisifs.

 

 

 

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Commentaires :

 

Commentaire par Jérôme le 23 juillet 2008 @ 11:33

Un bel entretien avec un homme de foi et de coeur qui se dévoue avec des moyens limités pour nos compatriotes les plus démunis. On apprécie la franchise du pasteur pour ses propos relatifs à la droite nationale ainsi que sa clairvoyance pour l’action sociale. Actuellement avec la conjoncture économique très défavorable le nombre d’exclus et de sans domiciles fixes se multiplient tant dans les agglomérations gigantesques que dans des villes moyennes (La Rochelle ville populaire de 80 000 habitants en est un triste exemple tout au long de l’année). Si la vie des SDF est très dure l’hiver, elle est carrément intenable l’été car aux privations physiques s’ajoute une grande exclusion morale avec une profonde solitude.

Un homme de foi et un juste combat social à soutenir !.

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  • Commentaire par Marc le 23 juillet 2008 @ 12:24

Je partage sa conclusion : investir le champ social tout en tenant le cap de la politique actuelle du FN

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  • Commentaire par Olivier de Granvil le 12 août 2008 @ 15:29

Merci à Promenade sur la toile | e-deo

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  • Commentaire par ulrich le 12 mars 2010 @ 13:54

Je suis serviteur du SEIGNEUR,précisement de vocation ministérielle : EVANGELISTE.Je désire correspondre avec le pasteur Jean-Pièrre Blanchard pour échange et surtout encore de grandes choses avec lui par sa grande expérience du ministère dans le SEIGNEUR.Pasteur,que la paix et la grace de JESUS soit et demeure avec vous.Et qu’il vous donne encore la force et le zèle malgré l’âge d’avancer,de toujours continuer la bonne oeuvre du CREATEUR.Car la jeunesse dont je fait partir vous voyant ainsi,s’inspire et tire profit de tous ces bonnes actions des pères que vous êtes afin aussi de réussir la mission du CHRIST.

 

 

21/08/2020

Plus notre société est moribonde, plus elle refuse la mort:

 

 

 

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Ecrivain, musicienne, plasticienne
 
 
 
 

J’ai évoqué, ici, il y a quelques semaines, un sujet particulièrement brûlant dans la mesure où il est propre à déchaîner des passions (un rapide coup d’œil aux réactions de certains lecteurs m’en a d’ailleurs encore apporté la preuve). Je parle de la fin de vie. De la mort. Pas de celle qu’on voudrait pouvoir donner, cette euthanasie dont Arnaud  Montebourg regrettait à l'époque qu’elle figurât parmi les promesses non tenues de François Hollande. Non, tout simplement la mort qui vient et que toute notre société refuse – le corps médical en tête.

 

 

Notre monde est agité de toute part par de pseudo-guerres de religion qui sont, avant tout, des guerres de civilisation ; on brandit cette phrase de Malraux, sortie de son contexte et de son sens, qui annonçait un XXIe siècle religieux pour échapper au néant qui faillit nous emporter au XXe. On s’assassine au nom de rituels et de prescriptions qui ne sont que matériels et la religion n’est parfois – et de plus en plus – qu’un sujet d’affrontements et un prétexte à la conquête par la violence et la contrainte. Mais la foi, la vraie ? La spiritualité ? L’acceptation apaisée de ce qui nous échoit ? L’amour du prochain, de « l’autre comme soi-même », où est-il ?

 

 

Évidemment pas chez les plus fanatiques quand ils brandissent le glaive et lâchent leurs bombes, mais pas non plus à l’hôpital. Ni chez ceux qui refusent l’évidence pour maintenir un proche à l’état de mort vivant, le condamnant – au nom de leur foi ! – à la prison dans un corps inerte quand ils devraient le laisser aller vers ce que les anciens nommaient les champs Élysées et les chrétiens appellent le paradis.

 

 

Entre l’égoïsme aveugle de ceux qui demeurent et la toute-puissance scientiste des usines à malades, on ne peut plus mourir en paix, au sens profond du terme.

 

 

08:51 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

18/08/2020

L’État détourne un legs pour en faire un « centre de déradicalisation »

 

 

 

 

 


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Texte de François Teutsch 

 

 

 

à propos du « centre de déradicalisation » [sic] de Beaumont-en-Véron, qui a déjà donné lieu à de nombreux articles dans la presse :

 

 

« L’implantation scandaleuse de ce nid d’islamisme en plein cœur de la Touraine, quand il existe tant de lieux en Île-de-France – certes plus près des lieux de vie de nos dirigeants -, se double désormais d’une question juridique qui, en d’autres circonstances, aurait semblé secondaire.

 

 

C’est, en effet, au domaine de Pontourny que cette estimable institution doit s’installer. Dans un château bâti au XVIIIe siècle appartenant à l’Assistance publique, jusque-là occupé par un centre de formation professionnelle pour jeunes filles en difficulté. Un domaine appartenant autrefois à la famille Gréban de Pontourny, que son dernier représentant, Alphonse Marie, décédé en 1896, a légué à Jean-Baptiste Turquet, en précisant que « le domaine doit avoir pour mission une œuvre charitable chrétienne avec obligation du culte catholique, un office par semaine ». En 1902, Jean-Baptiste Turquet en fait don, à son tour, à l’Assistance publique, aux mêmes conditions. Des conditions peu respectées en ce qui concerne le caractère chrétien de l’œuvre. Mais le dernier donateur pouvait-il prévoir ce qu’il adviendrait de son domaine au début du XXIe siècle ?

 

 

 

 

Le bénéficiaire d’un legs à titre particulier doit en respecter les conditions posées par le testateur. Quel que soit le temps écoulé, il appartient à l’actuel propriétaire de se conformer aux volontés de Marie-Alphonse Gréban de Pontourny. Qui n’a sans aucun doute pas donné son accord pour que, d’institution charitable chrétienne, son domaine devienne un centre d’hébergement d’islamistes en djellaba.

 

 

Une association de contribuables de Touraine et Bretagne, qui revendique 1.500 adhérents, a saisi un avocat pour faire respecter les volontés du dernier maître de Pontourny.

 

 

Mais seuls les descendants de Jean-Baptiste Turquet pourraient agir judiciairement pour faire respecter la volonté de leur aïeul. Et aucun d’entre eux ne s’est manifesté à ce jour. À défaut, l’action judiciaire est irrecevable.

 

 

Il existe de multiples manières de lutter contre l’islamisation de la France. À défaut de convertir les musulmans à l’amour des paysages ligériens – moyen certainement efficace pour en faire d’authentiques Français de désir et de futurs chrétiens –, s’opposer à l’installation de tels nids de frelons en est un. Pour cela, il est indispensable qu’un descendant de Jean-Baptiste Turquet se manifeste et décide d’agir. Votre serviteur n’est malheureusement pas de ceux-là… Mais qui sait, parmi les lecteurs de Boulevard Voltaire, si l’un se trouvait, soudain, concerné par la question… Quant au financement du procès, l’association a mis en place un compte en ligne. Et là, nul besoin d’être un héritier Turquet.

 

 

Une fois encore, le régime en place montre qu’il ne respecte rien. Qui s’en soucie ? Aimer la France, manifester son patriotisme, c’est aussi faire respecter son Histoire, son passé, son patrimoine, ses paysages. C’est considérer qu’un lieu, échu à l’État par nécessité et volonté charitable, doit conserver à la fois son âme et la destination qu’en a décidée son donateur. Mais lorsqu’on ose transformer les jardins de Versailles en écrin pour le « Vagin de la Reine », à quoi bon s’ennuyer avec les dernières volontés d’un aristocrate catholique –sans doute royaliste- de la fin du XIXe siècle ? »

 

09:14 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)