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16/06/2020

Les médias veulent imposer aux Français le Grand Remplacement:

 

 

par Gérard Brazon

 

 
 
 

 

 

 

 

L’immigration est et restera pendant de longues années la plaie béante de nos Nations européennes et particulièrement de la France qui subit un abandon de ses élites si ce n’est une complicité active que d’aucuns appellent une trahison.

 

 

 

On peut le voir dans les médias télévisés où est dénoncé la « blanchitude » des animateurs, des présentateurs, des artistes, des chanteurs. Bientôt il sera recommandé de s’habiller à l’africaine, de se faire des tresses, de gommer ces traits trop occidentaux. Viendra le jour, où la « blanchitude » sera demandée afin de ne pas être dénoncé comme étant raciste par la minorité blanche du Cantal ou de Corse. On mettra un blanc par ci, un autre par là pour présenter la météo, ou Euro millions.

 

 

 

Aujourd’hui, dans nos séries télés, il n’y a que du blancos parmi les truands, les petits et grands voleurs à la tire, les violeurs et autres clients dans les commissariats politiquement corrects. Vous y verrez des commissaires noirs, des procureurs d’origine maghrébine, et des blancos aux ordres, et se faisant engueuler. Ils sont tellement cons les blancos n’est-ce pas ! C’est la mode, c’est la norme.  Il parait qu’il faut enfoncer ça dans le crâne des franchouillards. L’idée est de les habituer, eux, les blancs encore majoritaires chez eux en France, qu’ils ne sont plus les patrons de leur destinée civique, professionnelle, voire affective. Qu’il n’y a pas besoin d’être blanc pour être dans la hiérarchie. Cela dit, si le commissaire, le procureur, le juge, l’avocat, le chef d’entreprise mérite par son travail le poste qu’il occupe, je n’y vois pas d’inconvénient. C’est seulement cette surreprésentation qui m’agace.

 

 

 

Où sont passés les délinquants des cités dans les films et téléfilms ? Ils s’appellent tous Kévin, Édouard, Martin ? Pas de Mohamed, ni de Mamadou ? Les cités sont donc des havres de paix où la blanche colombe côtoie le gentil renard ? Où les chats noirs font la bise aux caniches blancs ? Pourtant, tout nous indique que les caniches se sont fait la malle depuis longtemps. Les médias ont  beau  refuser de mettre les prénoms, de signaler les aspects vestimentaires, de faire l’impasse sur les origines, sauf si c’est un Français de souche, un Breton, un Percheron, un Bordelais, rien n’y fait, on sait d’où vient l’acteur. Je ne sais même pas comment un journaliste peut vivre en se regardant dans la glace en escamotant une partie de l’info ? Sur ordre ?

 

 

 

Les Rebeus (Beur) et le Renois (Noir) dans le camp des gentils ? Les Babtous (Blanc) dans celui des méchants ? Elle n’est pas belle la vie chez les scénaristes, les réalisateurs de films, les idéologues de la bien-pensance ?

 

 

 

Amusez-vous à regarder ces petits téléfilms qui sévissent sur toutes les chaînes, (Profilage, Deux flics sur les docks, Un juge et un flic, Alice Nevers, Plus belle la vie, etc.) Les méchants sont toujours les mêmes. À se demander si les commissariats de banlieues existent, si les tribunaux de Bobigny, Nanterre, Lyon, Marseille, Bordeaux existent. Il suffit pourtant d’aller regarder la liste des jugements en cours, devant chaque salle, pour réaliser la vérité cachée par les réalisateurs. La délinquance n’est pas exclusivement « babtou« . Vous le savez, je le sais, mais cette oligarchie socialisante qui règne sur les médias et le monde des artistes tente de nous faire avaler des couleuvres de toutes les couleurs.

 

 

 

C’est à nous de faire le tri. C’est à nous de regarder ces films avec la distance requise pour éviter de tomber dans le premier degré de la béatitude bien-pensante.

 

 

 

C’est à nous de protester, de signaler ces dérives, de dire qu’ils cessent de nous prendre pour des nigauds.

 

 

Ils ne cesseront pas bien sûr, ni ne s’excuseront, mais j’ai la certitude que demain, comme aujourd’hui sur certaines radios on entendra la complainte des médias se plaignant de la baisse de leur audimat, sur le manque de confiance envers des journaux d’informations cadrés.

 

 

Le pouvoir médiatique change de main. Aujourd’hui, les journaux qui ont la confiance des lecteurs ne sont plus les journaux de la presse écrite, pas plus que les journaux des 20h. Ils sont sur Internet avec Riposte Laïque, et d’autres. Les Français regardent de plus en plus les infos officielles, d’un derrière distrait comme le dirait Gilbert Collard. Ils ont bien raison. Ils ont appris et continueront à apprendre à se méfier de ces diffuseurs officiels de l’information prémâchée de l’agence d’état bien-pensant qu’est l’AFP.

 

 

 

Voici un exemple de ces dérives signalées. Une image symbolique et un désir de nier les appartenances à la culture du pays qui accueille l’immigré.

 

 

 

Jack Lang milite depuis longtemps pour une attention plus grande portée à l’enseignement de la langue arabe. C’est la quatrième langue la plus parlée au monde, dit-il, la sixième officielle des Nations Unies, la cinquième en France. Nous sommes dans un pays où la langue arabe devrait être reine. (Sans commentaire)

 

 

 

 

 

 

Gérard Brazon

 

 

 

08:46 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

12/06/2020

Ancienne maraude.......In Memoriam

 

 

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par Daniel  BOUSSELAIRE

 

Ami de l'ASP 

 

La première chose qui m’a frappé c’est la mauvaise santé et le manque d’hygiène  bien sûr, mais surtout  le dénuement affectif de ces personnes abandonnées. C’est leur isolement vis-à-vis de toute famille et de tout proche qui émeut plus que leur misère apparente. On comprend des brèves discussions que l’on peut avoir avec eux que la raison de leur présence sur le trottoir est à chercher dans les malheurs de la vie courante :

 

 

Abandon d’une femme ou d’un mari

 

 

Décès de l’un ou l’autre

 

 

Dégout vis à- vis du comportement inacceptable de leurs proches.

 

 

Licenciement abusif…

 

 

Cela en fait des êtres particulièrement à fleur de peau parce qu’écorchés vifs dans leur cœur. A l’origine ils étaient sans doute des personnes déjà trop sensibles pour supporter les saloperies de la vie. C’est cette image qu’ils ont gardée de l’autre vie qui fait que l’envie d’y repartir n’existe pas.

 

 

Un autre sentiment qui envahit, c’est justement notre impuissance à les convaincre de remonter la pente. Ils ne souhaitent plus retrouver une vie normale ; dégoût ou fatalisme ? Ils ont retrouvé là, au-delà de la violence qui règne sans cesse, une espèce de fraternité avec ceux qui partagent leur sort. J’en ai vu un qui avait décider  de rester là, bien qu’en pleine forme physique, propre, habillé correctement et instruit, uniquement parce qu’il ne pouvait pas imaginer d’abandonner les autres : belle leçon d’humilité et de don de soi.

 

 

Honte à notre société, honte à nos gouvernants quels qu’ils soient  de ne pas porter secours à ces malheureux. Pourquoi ne laisser qu’à des associations le devoir de s’occuper d’eux ? Quel renoncement aux valeurs essentielles de la vie en société.

 

 

 

Il faudrait bien peu de moyens financiers pour leur prodiguer un toit individuel et de quoi se laver et s’habiller dignement. Au lieu de cela on se contente de leur offrir des centres d’hébergement où ils ne veulent pas aller car il y règne la pire des violences. Pourtant, même si leur parcours personnel est pour quelque chose dans leur situation, la responsabilité de l’Etat est largement engagée : avec plus de 5 millions de chômeurs, une immigration invasion, des salaires de misère  quelle solution pérenne pouvons nous leur proposer ?

 

 

La gauche bien pensante qui a voté les traités qui ont détruit notre outil de production porte une énorme responsabilité dans cette affaire. Alors, pour ne pas voir en face les résultats de leur politique mortifère,  la seule action qu’ils savent mettre en œuvre est de cacher et de repousser cette misère loin de leurs yeux, en témoigne ce que notre, désormais, ami Francis subit jour après jour de la police du 14ème arrondissement, Boulevard Saint Jacques : destruction systématique et répétée de ses maigres avoirs, et incitation à partir.

 

 

Honte aux socialistes de la Mairie de Paris !

 

 

Mais respect au Pasteur Blanchard et à son association qui régulièrement apporte quelques biens, nourriture, et boisson chaude, mais surtout du réconfort à ces hommes et ces femmes qui mériteraient mieux de notre société de consommation

 

 

 

Daniel

 
 
 

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09/06/2020

Article dans Libération le 25 Octobre 1996.

 

 

 

 

 

Article Libération 25 Octobre 1996.jpg

 

 

 

 

Le pasteur qui voue sa charité au FN. Jean-Pierre Blanchard lance une soupe populaire lepéniste à la gare Saint-Lazare.

 

Par David DUFRESNE 25 octobre 1996 à 00:01
 

 

  • Loquace et souriant, le pasteur Blanchard. C'est que ce proche de Le Pen

 est fier de son idée, qu'il présente aisément comme un «scoop». Qu'on appelle l'idée «restau du coeur FN», «soupe populaire FN», il s'en moque un peu. Ce qu'il veut, c'est les mener à terme, ses «repas chauds». Qu'importe le nom, «après tout, on n'est pas dans un meeting... Même si on ne cachera pas nos couleurs». Alors, le sourire satisfait de celui fraîchement installé dans le QG même du Front national à Saint-Cloud, il détaille, intarissable, précis en tout, ou presque. Sa camionnette se garera tous les lundis et jeudis soir, de novembre à mars, au pied de la gare Saint-Lazare (IXe arrondissement), préférée, dit-il, à celle du Nord, «trop chaude, avec tous ses toxicos»... Le véhicule devrait être blanc, marqué d'un sceau discret: l'Icaf-social (pour Institut consultant d'aide et de formation). Discret mais transparent: derrière le sigle, il y a le Front national qui salarie pour l'occasion le responsable de l'«institut». C'est que Jean-Pierre Blanchard a pour lui l'amitié de Jany Le Pen, épouse de, et celle de Samuel Maréchal, gendre du même, avec lesquels il dirige un Cercle des amitiés protestantes (1).

 

 

 

De généreux «amis». Une bible en évidence sur son bureau, le pasteur poursuit. Autour du véhicule Icaf-social, une équipe d'une demi-douzaine de personnes servira un repas type fait de soupe, sardines, chocolat, pain et madeleines. Selon ses prévisions, les cent litres de potage auront été préparés par une restauratrice «amie» du parti lepéniste mais qui désire conserver l'anonymat. Les madeleines proviendront d'une entreprise, elle aussi «amie» et tout autant anonyme. Quant au chocolat et aux sardines, un retraité les aura mis en sachet individuel. Anonyme et ami, encore. Et pour le service d'ordre, le Front national de la jeunesse ­ coiffé par Samuel Maréchal ­ a promis de prêter des bras. Tout comme la secrétaire de la fédération FN de Paris, Martine Lehideux.

 

 

 

C'est en septembre que l'«action de solidarité» de Jean-Pierre Blanchard s'est affichée au grand jour pour la première fois. Dans l'allée centrale de la fête des Bleu, Blanc, Rouge du FN. Là, le pasteur Blanchard, habitué ordinairement à vendre des ouvrages pieux, tendait des tracts. Dix-mille au total, qui en appelaient à la volonté des militants pour la «distribution gratuite de repas chauds» sur Paris. Avec cette précision: «En faveur de nos compatriotes les plus démunis.»

 

 

 

Un mois plus loin, le pasteur Blanchard assure pourtant qu'il n'y aura pas de discrimination. Que, non, on ne demandera pas leur carte d'identité aux «malheureux», comme cela s'était vu, en 1988, dans une opération similaire organisée par Fraternité française, cercle satellite du FN. Que, oui, «si un Maghrébin vient, ou un Africain, on le servira». Que, non, «il ne s'agit pas de sélectionner» les pauvres. Des choses comme ça. Avant de souffler qu'«à titre personnel», il est «pour la préférence nationale» jusque dans la débine et la faim, et qu'il s'«adresse d'abord à [ses] compatriotes». Une question, selon lui, de «justice sociale» et de «nécessaire rééquilibrage». Quant à savoir comment cela se traduira dans la pratique, mystère. Tout juste répète-t-il qu'«on fera tout pour avoir des SDF de "chez nous», tenus informés «dans le métro et ailleurs». Par qui? «Nos réseaux.» Les précisions s'arrêtent là.

 

 

De Mao à Le Pen. Et elles se font tout aussi courtes sur les arrière-pensées politiques d'une telle soupe populaire à la sauce nationale. Lui, l'instigateur, promet n'en voir aucune, avance que «ces gens, souvent, ne votent pas», et que ces repas chauds franco-français ne seraient que charité chrétienne. Pourtant, Jean-Pierre Blanchard concède qu'il y a là matière à offrir au FN un visage inédit, qui «suscite de bons échos» chez ses partisans. Et, plus important encore, que son action participe au virage du FN vers «un travail d'enracinement et de terrain, qu'il ne faut pas laisser à la gauche». Un nationalisme social, apte à faire du FN un parti «porteur d'espérance». C'est que le pasteur Blanchard, mao à 20 ans au début des années 70, de «toutes les marches dans le Larzac», un temps éducateur devenu tardivement frontiste, en connaît un bout sur le «terrain». C'est même la raison pour laquelle Le Pen l'a engagé, affirme-t-il. Pour son «savoir» (2).

 

 

 

Des réserves sur le personnage. Toutefois, à quelques jours de ses premières distributions de repas, le pasteur Blanchard est loin d'avoir la certitude de réussir son coup. Question finances, en attendant mieux via des dons d'entreprises, l'Icaf-social n'a récolté auprès des militants FN que 15 000 F. Une somme dérisoire, reconnaît-il, loin des 70 000 F budgétés pour «tenir cinq mois» et distribuer les 10 000 repas espérés. Et son association ­ dont est membre Winfried Wermeling, auteur au début des années 90 d'une campagne de «trois millions de signatures contre l'avortement et pour la vie» avec son Union nationale pour l'Europe chrétienne ­ n'a pas obtenu du parti le local qu'elle souhaitait.

 

 

 

Souriant toujours, envers et contre tout, le pasteur Blanchard met cette réserve des siens sur le compte de son «passé atypique». De Mao à Le Pen, via le protestantisme, encore que celui-ci passe ici par une église ultra-conservatrice luthérienne d'origine américaine, non rattachée à la Fédération protestante de France. Comme si les idées de ce pasteur sans charge paroissiale, qui se range volontiers parmi les «modérés» du FN, n'étaient pas au goût de toutes les instances de son parti. Un Front national qui a pourtant fait du social une de ses priorités. Notamment en mars 1996, avec la création d'un département des affaires sociales dirigé, entre autres, par Carl Lang (vice-président du parti), François-Xavier Sidos (membre du cabinet de Le Pen et ex-mercenaire chez Bob Denard) ou Pierre Vial (conseiller régional FN et ancien dirigeant du Grece). Des typiques, ceux-là.

 

 

 

(1) Voir le Front national, histoire et analyse, de Jean-Yves Camus (éditions Olivier Laurens).

 

 

 

(2) Le rôle premier de l'Icaf-social est, d'ailleurs, de dispenser des formations en ce sens aux villes gérées par le FN. Y compris Marignane (Bouches-du-Rhône), qui avait retiré en 1995 l'aide municipale accordée aux Restaus du coeur fondés par Coluche...

 

 

 

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05/06/2020

ENTRETIEN AVEC...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Bernard Maçou,

bénévole de l'Action Sociale et Populaire

 

 

 

 

Question 1 : Comment avez-vous connu les actions sociales du Pasteur Blanchard ?

 

 

Réponse : Depuis des années, je suis un fidèle auditeur de radio Courtoisie. J'ai eu plusieurs fois l'occasion d'entendre sur les ondes le Pasteur Blanchard. Dès les débuts de l'ASP, j'ai été intéressé par la démarche, que j'ai suivie à chaque étape. 

 

 

 

Question 2 : Aviez-vous précédemment entendu parler de lui ?

 

 

Réponse : La première fois, c'était à l'époque des soupes à St Lazare dans les années 90, celles-ci avaient suscité un profond écho dans la presse. A cette époque, on parlait souvent de son travail avec Madame Jany Le Pen. C’est chez son ami Serge De Beketch, où il passait régulièrement, qu'il s’est fait connaitre.

 

 

 

Question 3 : Quelles sont les motivations qui vous ont fait devenir bénévole de l'ASP ?

 

 

Réponse : Cela fait longtemps que je cherchais à mettre la solidarité en acte au sein d'une association caritative, j'ai trouvé que la dimension humaine de l'ASP me convenait parfaitement. Ma foi pratiquante au sein d'une Eglise protestante Evangélique me poussait dans ce sens. Depuis, j'ai le sentiment que les Chrétiens ayant des sentiments patriotiques devraient s'engager plus nombreux dans ce type d'association, nous devons être le sel de la terre, et témoigner de notre foi dans la vie de la Cité.

 

 

 

Question 4 : Comment sont vos relations avec les autres membres de l'ASP ?

 

 

Réponse : Excellentes. Comme j'ai pu le dire plus haut, l'ASP est une petite association, nous nous connaissons tous. Avec le temps nous sommes devenus des amis, c’est l'avantage des petites structures, où chacun se connaît par son prénom, et où tous sommes logés à la même enseigne.

 

 

 

Question 5 : Pensez-vous que le social soit un élément pour notre famille politique ? 

 

 

Réponse : Sans le moindre doute ! Le social et la notion de solidarité envers nos compatriotes démunis est fondamentale, il nous faut aider les plus fragiles, les laissés pour compte, c’est cela qui donne sens à notre combat national et patriotique, c’est là que se trouve la véritable dignité de notre engagement.

 

 

 

Question 6 : Une Conclusion.

 

 

 

Réponse : Que le Seigneur bénisse notre action, cette Sainte Cause dont nous ne sommes que les humbles serviteurs, et qu'il donne à chaque membre de l'équipe la foi qui soulève des montagnes, dans l'espérance qui nous ouvre sur l'avenir.

 

 

 

 
 

02/06/2020

701 SDF morts dans la rue en 2019:

 

 

 Mais on achète des hôtels pour les migrants…

 

 

 

 

 

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Le mobilier urbain de Madame Hidalgo a été conçu pour éviter que les SDF ne viennent y trouver refuge…

 

 

 

 

 

 
 
 
Journaliste
 
 
 
 
 

Ancien directeur des rédactions de l’Agence Gamma

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Ce quinquennat misérable s’achève sur un bilan peu glorieux qui n’est pas celui, pourtant désastreux, du chômage. Celui des 501 SDF, ces laissés-pour-compte de notre société, qui sont morts dans la rue, comme 701 bougies qui se seraient éteintes dans l’indifférence de la nation. 701 cadavres relevés dans nos rues pendant les 365 jours de 2019. Pour cette année 2020, déjà, ce sont 184 corps qui ont été retrouvés sur le macadam, dont Christina, âgée de 45 jours, et Christian, un pauvre hère abandonné de 72 ans.

 

 

 

 

 

Un terrible bilan, en effet, peu glorieux mais hélas endémique, pour ceux qui ont la charge de la survie de leurs concitoyens. Et lorsque les statistiques vous annoncent froidement que la moyenne d’âge de ces victimes de l’indifférence est de 49 ans, on ne peut que s’offusquer du peu de réalisme de notre devise républicaine : liberté (oui, celle de crever dans la rue), égalité (non), quant à la fraternité, qu’en dire ?

 

 

 

 

 

Chacun d’entre nous est responsable, bien sûr, quand nous tournons la tête devant ce pauvre homme qui nous tend une main crevassée.

 

 
 
 
 
 
Chacun d’entre nous devrait remettre une piécette à cette main qui appelle au secours afin de pouvoir dormir ce soir, dans un foyer ou un petit hôtel. Mais que penser de cet État dit républicain qui abandonne ainsi les plus faibles ? Que penser, par exemple, de Mme Hidalgo, que les bobos parisiens ont placée pour six ans à la tête du destin de la capitale, lorsque l’on apprend que le nouveau mobilier urbain a été conçu pour éviter que les SDF ne viennent y trouver refuge ? Que penser lorsqu’une dépêche très peu diffusée par nos médias nous informe que la République vient de racheter à Accor 62 hôtels Formule 1 pour y  loger, non pas des Français, mais une dizaine de milliers de migrants ?
 
 
 

 

 

 

En effet, la SNI, filiale de la Caisse des dépôts qui vient de remporter l’appel d’offres du gouvernement afin de créer des logements d’urgence, a donc acquis, dans un premier temps (ce qui veut dire que les achats d’hôtels vont se poursuivre), 62 hôtels économiques dont les chambres vont être réhabilitées et leur gestion confiée à Adoma.

 

 

 
 
 

Allez-vous continuer à dormir tranquilles lorsque cette injustice est institutionnalisée ? Allez-vous continuer à voter pour des hommes et des femmes aussi peu soucieux du sort de leurs concitoyens et qui leur préfèrent une population allogène venue d’ailleurs et en toute illégalité ? Car, nous le savons bien, en dehors de quelques milliers de migrants venus chercher la paix chez nous, et que nous devons accueillir, l’immense majorité sont des clandestins économiques qui viennent tenter d’occuper nos villes et nos campagnes, et souvent dans un but de nous inculquer, insidieusement, leur religion.

 

 

 

 

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Le quotidien La Croix a eu le courage de publier le nom de ces 701 morts anonymes pour qui le collectif Les Morts de la rue avait organisé, le 23 mars dernier, un hommage solennel sur la place du Palais-Royal à Paris. Face au Louvre, posées sur de petits tapis verts figurant le gazon d’un cimetière, 701 feuilles portant le nom des 701 victimes de notre société avaient été disposées au pied d’un petit pot de primevères. Chaque feuille, bordée d’un liseré noir, mentionnait le nom du défunt, son âge, la date et l’endroit où son corps avait été trouvé.

 

 

 

 

 

46 de ces personnes étaient des femmes, 11 des mineurs. 5 étaient réputées mortes de froid, les autres avaient succombé à une maladie, un accident, une agression ou à leur suicide. De fait, ils étaient surtout morts de notre insensibilité. De la lâcheté endémique de notre société et de ses gouvernants.

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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29/05/2020

Ancienne maraude.......

 

 

 

Maraudes de l’ASP : accroissement de la misère à Paris:

 

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Posté par Jérôme Moreno le21 août 2010

 

 

Ignorés et méprisés par les bobos socialo-écolo-gauchistes de l'équipe municipale de Delanoë, les SDF et autres exclus sont les premières victimes d'une société inégalitaire, matérialiste et ultralibérale.

 

Par le Pasteur Jean-Pierre Blanchard (ASP),

 

Nous revoilà dans les rues de la capitale1, en repérage de nouveaux secteurs pour notre prochaine campagne : force est de constater que le besoin de nos compatriotes ne fait que croitre.

 

Cette tournée, la dernière de l’ami Nicolas avant qu’il ne retrouve sa natale ville rose, est sous le signe de l’émotion et de l’amitié. Pour autant, nous ne pouvons qu’être frappés par la misère qui grandit, laissant en premier les nôtres sur le carreau, comme une lèpre s’étalant dans les rues. Nous conduisons jusqu’au métro « Nationale », où un homme âgé, sur le coup d’une heure du matin, fait la manche, quémandant quelques pièces pour pouvoir se nourrir. Nous constatons qu’autour de la station, ils sont nombreux à dormir à même le sol.

 

 À quelques encablures de là, sur les quais de Seine, nous ne pouvons nous garer pour cause de travaux. Je vais demander à la police fluviale l’autorisation de circuler en voiture jusqu’au camp de SDF : chose qu’elle accepte avec gentillesse. Quelle n’est pas notre stupeur de constater que, depuis notre dernière visite, les tentes se sont multipliées. Nos vêtements, nourriture, café sont pris d’assaut. Nous les quittons le cœur et les sacs de distribution légers : avec le sentiment du devoir accompli. C’est dans cet état d’âme que chaque étape de notre parcours nous trouvera, nous pouvons dire que l’équipe est fin prête pour relever les défis de cette nouvelle saison.  

 

 

Commentaires:

Commentaire par Wouam le 21 août 2010 @ 13:40

Une des nombreuses promesses non tenues du nabot :

http://www.youtube.com/watch?v=7c0uV9nNaJE

Commentaire par franck le 21 août 2010 @ 13:40

Oui les sdf sans toit mais de beaux appartements et maisons pour chaque femme de polygames et de beaux appartement pour les sans papiers mais rien pour les blancs mais jusqu’à quand allons nous subir ces vexations ? la colère gronde en france !

 

Commentaire par franck le 21 août 2010 @ 13:41

sdf = français de souche

 

Commentaire par Stanley K. le 21 août 2010 @ 15:08

Je rêve d’un monde ou il n’y aura plus de SDF.
Un monde que l’on pourra rendre possible par le vote. Moi je vote FN pour 2012.

Commentaire par Jean-Luc G. le 21 août 2010 @ 15:36

Je suis d’accord avec Stanley !
Tous aux en 2012, mes chers concitoyens.

 

Commentaire par locktat131 le 21 août 2010 @ 16:01

« Je veux, si je suis élu de la République, que d’ici à deux ans, plus personne ne soit obligé de dormir sur le trotoire et d’y mourrir de froid parce que le droit à l’hebergement, c’est une obligation humaine  » !!!!!

OUAI C’EST ça, menteur !!!!!!!!!!!!!!!!!

 

Commentaire par Jean-Pierre le 21 août 2010 @ 16:10

Mes compliments au pasteur et à son équipe, il y en a aussi une équipe dans le grand Est, tout spécialement en Alsace.

 

Commentaire par Dubail le 21 août 2010 @ 17:29

Arrêtez de critiquer Paris, c’est une ville de gauche.

 

Commentaire par Patek Philippe le 21 août 2010 @ 19:20

l’Ultralibéralisme et le mondialisme vont de pair.
l’Ultralibéralisme a besoin de ce monde sans frontières, pour pouvoir se payer (pas cher) une main d’oeuvre corvéable à merci dans l’espace et dans le temps.
Si le SMIC est trop cher ici, on délocalise en Chine.
Pour ce qui est de la main d’oeuvre non délocalisable (BTP, restauration etc…), qu’a cela ne tienne, on fait venir des « sans-papiers ».
la prochaine étape sera de faire venir des techniciens et des ingénieurs, pour des secteurs comme l’informatique, l’Inde en regorge. il feront pour 800 Euros par mois, ce qu’un ingénieur français ne ferait pas pour 5000 Euros.
Alors oui, Ultralibéralisme = Mondialisme.

 

Commentaire par F.F. Coppola le 21 août 2010 @ 19:50

Jean-Luc, tu as du oublier le mot « urnes » dans ton post.

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Commentaire par H.G. Clouzot le 22 août 2010 @ 2:01

Oui, si le nabot-Sarko passait ne serait-ce qu’une nuit dans la rue, il aurait vite les idées changée.
Mais en entendant, il se prélasse sur les yachts de ses copains milliardaires.

 

Commentaire par marina le 22 août 2010 @ 3:49

bah voyons….comme dit si dessus SDF sont les initiales de francais de souche a l’envers…ces gens auraient un travail et un logement si on ne se serait pas laisser envahir…de « chances pour la france »

FN 2012 viiiiiiite

 

Commentaire par barabas le 22 août 2010 @ 11:06

Bonjour Un SDF m’a donné ce poème qui j’en suis sur va vous plaire .Homme que je ne connaissais pas, nous avons sympathisés je vais le voir de temps a autres,je lui apporte des vêtements qu’ils partagent avec d’autres déshérités,aussi quelques Euros, je lui demande pourquoi avec votre intelligence votre grande culture vous vous retrouvez dans ce milieu,il me répond que dans la rue il trouve plus de compassions plus de générosités plus de grandeurs d’âmes, et moi je lui réponds plus toujours plus de pauvres. A vous tous qui écrivez des commentaires,je vous dédie ce beau poème

lA Neige
La neige le matin,tombe
Légèrement sous les toits
Etbles près…
Les enfants y sortent bien
emmitouflés l’hiver pour s’y
amuser,pendant la récréation.

Un jour ou le soleil eut trop
Brillé, fit fondre la neige,
Glissa dans le ruisseaux,
Rejoignit les rivières
Gonflant les fleuves
pour s’endormir dans la mer.

M. CAMUS

 

Commentaire par Attention aux idées reçues le 22 août 2010 @ 12:05

Attention ! Au moins 30 % des SDF sont des malades psychiques, des études ont été effectuées en Suède à ce sujet. Leur place n’est pas dans la rue, mais en HP.

En revanche, les idiots qui veulent les orienter de force vers des foyers de SDF, font une très grave erreur : ils font fuir la population réinsérable qui refuse (par simple bon sens) de vivre avec des malades non contrôlés.

Le bon coeur, c’est bien – Mais le bon coeur sans les compétences terrain, c’est parfois beaucoup plus dangereux que l’indifférence !!!

 

 

26/05/2020

Pardès - nouveautés et nouvelles coordonnées:

 

 

 

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Nouveautés avril/mai 2020:
 
 
- "Qui suis-je?" DRIEU LA ROCHELLE
Auteur : Thierry Bouclier. Prix: 12 euros; 128 pages; illustrations. 
 
 
- LEON DEGRELLE ET L'AVENIR DE "REX"
Auteur: Robert Brasillach. Reportage; Prix: 15 euros;168 pages.
Préface de Francis Bergeron et postface de Lionel Baland.
Annexes: articles de "Je suis partout" et première version du texte paru dans La Revue universelle. 
 
 
. TRADUCTIONS DE SHAKESPEARE: Hamlet, Macbeth, Le Marchand de Venise (Robert Brasillach; 26 euros; 474 pages)
 
 
Dernières parutions:
 
 
. "Qui suis-je?" BUCARD  (Yves Morel; biographie;12 euros; 128 pages illustrées)
. ANIMATEURS DE THEATRE (Robert Brasillach; essai; préface de Michel Mourlet; 16 euros; 172 pages; illustrations)
. THEATRE COMPLET (Robert Brasillach; préface de Michel Mourlet; 24 euros; 392 pages)
. LES CAPTIFS (Robert Brasillach; roman inachevé; préface de Cécile Dugas; 20 euros; 262 pages)
. JOURNAL D' UN HOMME OCCUPE (Robert Brasillach; mémoires; préface de Cécile Dugas; 24 euros; 334 pages)
. L'HOMME A CHEVAL (Pierre Drieu la Rochelle; roman; préface de Jean-Claude Rolinat; 18 euros; 220 pages)
 
 
Réimpressions: 
 
B.A.-BA des INDO-EUROPEENS (Bernard Marillier; 12 euros; 128 pages illustrées)
B.A.-BA des VIKINGS (Bernard Marillier; 12 euros; 128 pages illustrées)
. B.A.-BA des SAMURAÏ (Bernard Marillier; 12 euros; 128 pages illustrées)
. B.A.-BA de la CHEVALERIE (Bernard Marillier; 12 euros; 128 pages illustrées)
. B.A.-BA des RUNES (A.-L. et A. d'Apremont; 12 euros; 128 pages illustrées)
 
 
 
Prochaines parutions (juin 2020):
 
 
. "Qui suis-je?" SARTRE  (Sébastien Robert; 12 euros; 128 pages illustrées)
. PORTRAITS (Robert Brasillach; chroniques littéraires; 18 euros; 232 pages)
. NOTRE AVANT-GUERRE (Robert Brasillach; mémoires; 26 euros; 462 pages; 150 illustrations)
 
 
FRAIS D'EXPEDITION:
 
1 livre = 5 euros; par livre supplémentaire: + 1 euro.
Recommandé, DOM-TOM: prix sur demande.
Pas de contre-remboursement.
 
 
PAIEMENT: 
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22/05/2020

Communiqué de Phillipe RANDA:

 

 

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Jean-Pierre Blanchard : 45 ans de combat contre la précarité:

 

 

 

Qui est le Pasteur Blanchard ?

 

 

 

Depuis des années, le Pasteur Blanchard se dévoue corps et âmes pour soulager la misère en Île-de-France. De la Cité de refuge de l’Armée du Salut dans les années 70, à l’actuelle présidence de l’Action Sociale Populaire (ASP), en passant par les médiatiques « soupes de la Gare Saint-Lazare » dans les années 90, il aura été de tous les combats contre la précarité.

 

 

 

Le combat continue depuis 2006 par le biais de maraudes organisées par l’ASP dans les rues de Paris. Une équipe soudée qui ont foi en l’engagement caritatif du Pasteur et de son épouse Catherine qui anime les activités de l’association. Depuis 2008, les actions ont été élargie à la visite de personnes âgées et en 2011 à l’aide de familles de patriotes défavorisés.

 

 

 

Comment peut-on les aider ?

 

 

 

Par vos dons en argent CCP : 601 0275 Y 033 (délivrance de reçus fiscaux) ou matériels, duvets, couvertures, vêtements.

 

 

 Contact :

 

 

Adresse postale : ASP BP7 91201 Athis-Mons Cedex

 

 

Téléphone : 06 74 03 18 15

 

 

Messagerie : simonnot.fn@gmail.com 

 

 

 

FAITE UN ACTE MILITANT EN VISITANT LE BLOG DE L’ACTION SOCIALE ET POPULAIRE:

 

 

 

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19/05/2020

L’État détourne un legs pour en faire un « centre de déradicalisation »

 

 

 

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à propos du « centre de déradicalisation » [sic] de Beaumont-en-Véron, qui a déjà donné lieu à de nombreux articles dans la presse :

 

 

« L’implantation scandaleuse de ce nid d’islamisme en plein cœur de la Touraine, quand il existe tant de lieux en Île-de-France – certes plus près des lieux de vie de nos dirigeants -, se double désormais d’une question juridique qui, en d’autres circonstances, aurait semblé secondaire.

 

 

C’est, en effet, au domaine de Pontourny que cette estimable institution doit s’installer. Dans un château bâti au XVIIIe siècle appartenant à l’Assistance publique, jusque-là occupé par un centre de formation professionnelle pour jeunes filles en difficulté. Un domaine appartenant autrefois à la famille Gréban de Pontourny, que son dernier représentant, Alphonse Marie, décédé en 1896, a légué à Jean-Baptiste Turquet, en précisant que « le domaine doit avoir pour mission une œuvre charitable chrétienne avec obligation du culte catholique, un office par semaine ». En 1902, Jean-Baptiste Turquet en fait don, à son tour, à l’Assistance publique, aux mêmes conditions. Des conditions peu respectées en ce qui concerne le caractère chrétien de l’œuvre. Mais le dernier donateur pouvait-il prévoir ce qu’il adviendrait de son domaine au début du XXIe siècle ?

 

 

 

 

Le bénéficiaire d’un legs à titre particulier doit en respecter les conditions posées par le testateur. Quel que soit le temps écoulé, il appartient à l’actuel propriétaire de se conformer aux volontés de Marie-Alphonse Gréban de Pontourny. Qui n’a sans aucun doute pas donné son accord pour que, d’institution charitable chrétienne, son domaine devienne un centre d’hébergement d’islamistes en djellaba.

 

 

Une association de contribuables de Touraine et Bretagne, qui revendique 1.500 adhérents, a saisi un avocat pour faire respecter les volontés du dernier maître de Pontourny.

 

 

Mais seuls les descendants de Jean-Baptiste Turquet pourraient agir judiciairement pour faire respecter la volonté de leur aïeul. Et aucun d’entre eux ne s’est manifesté à ce jour. À défaut, l’action judiciaire est irrecevable.

 

 

Il existe de multiples manières de lutter contre l’islamisation de la France. À défaut de convertir les musulmans à l’amour des paysages ligériens – moyen certainement efficace pour en faire d’authentiques Français de désir et de futurs chrétiens –, s’opposer à l’installation de tels nids de frelons en est un. Pour cela, il est indispensable qu’un descendant de Jean-Baptiste Turquet se manifeste et décide d’agir. Votre serviteur n’est malheureusement pas de ceux-là… Mais qui sait, parmi les lecteurs de Boulevard Voltaire, si l’un se trouvait, soudain, concerné par la question… Quant au financement du procès, l’association a mis en place un compte en ligne. Et là, nul besoin d’être un héritier Turquet.

 

 

Une fois encore, le régime en place montre qu’il ne respecte rien. Qui s’en soucie ? Aimer la France, manifester son patriotisme, c’est aussi faire respecter son Histoire, son passé, son patrimoine, ses paysages. C’est considérer qu’un lieu, échu à l’État par nécessité et volonté charitable, doit conserver à la fois son âme et la destination qu’en a décidée son donateur. Mais lorsqu’on ose transformer les jardins de Versailles en écrin pour le « Vagin de la Reine », à quoi bon s’ennuyer avec les dernières volontés d’un aristocrate catholique –sans doute royaliste- de la fin du XIXe siècle ? »

 

08:59 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

15/05/2020

Ancienne maraude.......

 

 

 

 

 

 

Par   Alexandre Simonnot,

Secrétaire général  de l'ASP

 

Le Pasteur Blanchard nous avait donné rendez-vous à 21h. L'heure à laquelle la nuit tombe. L'heure à laquelle Paris, la capitale de notre pays, qui est notre fierté au grand jour, devient durant la nuit le Paris de la honte et de l'abandon. Le théâtre de la misère la plus scandaleuse, la plus inacceptable : celle des français sans logements, sans aides, sans ressources, sans rien.

 

 

Nous étions donc quatre, le Pasteur et son épouse, et nous, deux ,Jimmy conseiller municipal à Athis-Mons et moi membre du CA de l'ASP, venus simplement aider, assister et quelque peu soulager cette misère effroyable. Paris, ce sont des centaines de centaines d'inconnus, d'anonymes, qui dorment dehors, seuls. Cette nuit-là, ils sont pour quelques heures nos seigneurs et nous allons les servir. Un peu de café, un peu de soupe chaude, quelques vêtements, mais surtout beaucoup de réconfort, d'écoute, de solidarité. Beaucoup d'humanité et de fraternité.

 

 

Si quelqu'un veut vraiment parler de la misère en France, il doit venir en maraude avec le Pasteur Blanchard. Si quelqu'un veut connaître l'état de notre société, non au grand jour, mais en pleine nuit, il doit venir en maraude avec le Pasteur Blanchard.

 

 

Notre première impression en voyant ces malheureux à tous les coins de rue, c'est cette promesse de Nicolas Sarkozy en 2007 : "Moi Président, dans 5 ans, plus personne ne dormira dans la rue". Inutile de préciser à ceux qui nous lisent que cette promesse n'engageait que ceux à qui elle était faite!...

 

 

 

 

 

 

 

 Al'ASP, nous ne faisons jamais de promesses, nous agissons concrètement tout simplement. Non au grand jour sous l'oeil des caméras, mais la nuit dans l'anonymat. Voilà quelle a été notre nuit dans les rues de Paris, notre nuit à tous les quatre. 

 

 

Nous avons agi. Nous avons revu le mythique Francis, véritable vedette de nos maraudes. Nous avons visité jeunes et vieux, nous avons rencontré des solitaires mais pas complètement seuls car ils ont comme compagnie leurs chiens... Nous avons rencontré de nombreuses personnes, d'horizons très divers, aux histoires très différentes. Mais ils ont tous  un point commun : ils sont à la rue. La France les a abandonnés tout simplement 

 

 

C'est là que l'on constate l'immense décalage entre un gouvernement socialiste et le "Social". Les socialistes n'ont de social que leur dénomination. En réalité, ils n'y connaissent rien. En réalité, leur principale préoccupation, c'est d'aider par tous les moyens les étrangers et clandestins, avant d'aider les leurs, les nôtres, les Français ! 

 

 

Cette pré-maraude a duré cinq heures. Cinq heures durant lesquelles nous aurions aimé aider tous ces pauvres. Mais ils sont si nombreux, partout. Il n'y a plus un seul grand boulevard dans Paris, il n'y a plus un seul quartier dans Paris où l'on ne rencontre pas des gens qui dorment seuls, dans la misère la plus totale.

 



Voilà le fruit de nos politiciens, voilà le fruit de nos gouvernants successifs. Toujours de l'aide pour le monde entier, mais jamais pour les nôtres, jamais pour nos pauvres!

 

 

C'est à la fois écoeurés et heureux que nous achevons cette pré-maraude avec le Pasteur Blanchard et son épouse. Ecoeurés par le désastre que nous avons pu constater de nos propres yeux, mais tellement heureux d'avoir pu pendant quelques heures être au service de ces miséreux, de ces parias de notre société, qui durant quelques heures d'une nuit froide, étaient nos maîtres et seigneurs..