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13/11/2020

ENTRETIEN AVEC LE PASTEUR BLANCHARD (2).

 

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Question 5 : Existe-t-il dans notre pays une véritable solidarité nationale ou cela reste-t-il à réinventer?

 

 


   
 
Réponse : Malheureusement la réponse est négative, les habitudes ont la peau dure et on a du mal à sortir d'un certain fonctionnement. Dans bien des milieux, on conçoit le social comme une vitrine, cela fait bien de s'occuper des pauvres. Or, comme l’a dit Laurent Poultier du Mesnil dans son  émission sur Courtoisie où je passais, si le Hamas, au Liban fait du social, son objectif est avant tout politique. Dans l'âge de fer où nous allons entrer, ce sera une des clef de l'avenir.

 

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Question 6 : Pensez-vous qu'un mouvement politique comme le nôtre a un rôle social à jouer auprès de nos compatriotes?

 


 
 
Réponse : Depuis plus d'un siècle l'Action Française est une formidable école de pensée, à qui tous, peu ou prou, nous devons quelque chose. Depuis trois décennies que le FN/RN a pompé les forces vives de notre famille politique, vous êtes une des rares branches à avoir conservé votre autonomie et votre dynamisme.

 

 


Dans une France comptant plus de sept millions de musulmans, savoir si le régime doit être royaliste comme vous le souhaitez ou républicain social et plébiscitaire comme je le désire ne me semble pas de saison. L'important pour nous est la défense de notre terre et de nos morts, je crois qu'il est souhaitable de mettre nos efforts en commun.
 

Question 7 : Pouvez-vous nous dire un mot sur votre projet de fondation?

 


  
Réponse : Initialement ce projet était pour Jean-Marie Le Pen qui n'a pas été intéressé. L'idée en est simple, comme Brigitte Bardot pour les animaux, il s'agit quant à nous de venir en aide aux patriotes défavorisés, par des actes concrets comme l'achat et le don de réfrigérateurs, machines à laver, gazinières entre autres et pour commencer... Mon nom et mes réseaux au sein du FN/RN m'amènent à côtoyer des personnes que nous pourrions aider dans toute la France.

 

 

 


 
Il faut savoir que le statut de fondation permet de collecter des fonds, la mise initiale est mince. Peut- être que dans vos milieux, une personne aussi prestigieuse que Le Pen qui a marqué l'histoire de notre pays serait heureux de donner son nom à cette œuvre de salubrité publique ?

 

 

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10/11/2020

ENTRETIEN AVEC LE PASTEUR BLANCHARD (1).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par Olivier Perceval pour le journal de

l'Action Française.


 
 
 
Question 1 : Monsieur le Pasteur, pourriez-vous dévoiler pour nos lecteurs votre itinéraire spirituel et politique ?

 


 
 
Réponse : Mon éducation s’est faite à Mazamet, ville qui se trouve dans le prolongement des Cévennes où le protestantisme a été longtemps majoritaire. Mon éducation a été d'une extrême rigueur. J'ai eu le parcours classique d'un fils du peuple. Après mon certificat d'étude, j'ai travaillé en usine. A cette époque, ma cité était la capitale mondiale du délainage. Mai 68 va me sortir de la condition ouvrière. Je découvre le social à travers les MJC et je passe une équivalence au bac qui me permet d'entrer à l'école d'éducateur (l'Institut Parmentier à Paris). A partir de 1978, j'entreprends une carrière de travailleur social (Cité de Refuge de l'Armée du Salut Paris).

 

 


 
Les "événements" ont eu une autre conséquence, ma révolte contre mon père et ma famille. J'ai connu toute les errances de ma génération, de la vie en communauté aux festivals rock, en passant par la politique, de la ligue communiste à la gauche prolétarienne maoïste (tendance spontanéiste, situationniste). Mon retour à la foi, mes études de théologie, mon ordination, mon engagement avec Madame Jany Le Pen, c’est une autre histoire.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Question 2 : Parlez-nous de votre association caritative.


 
 
Réponse: Notre association l'Action Sociale Populaire est régie par la loi 1901. Nous sommes une équipe de bénévoles et n'avons pour aide financière que la générosité des auditeurs de Courtoisie et des lecteurs de la presse amie. En plus de nos activités de maraudes où pendant plus de sept mois nous venons en aide aux SDF dans les rues de Paris, nous visitons des personnes âgées isolées et essayons de répondre aux attentes de personnes en difficulté que nos amis nous signalent. Nous débutons cet hiver une nouvelle action pour les familles de patriotes défavorisés par une aide concrète (achat de machines à laver, gazinières etc).

 

 

 



Question 3 : Pensez-vous qu'il y a un vrai problème de répartition des richesses dans notre pays ?

 


 

Réponse : Je pense que dans notre pays, il se trouve une profonde injustice à faire porter le principal effort du plan de rigueur sur le petit peuple et les classes moyennes. Mais il est une autre injustice choquante, le syndrome rousseauiste qui fait que,  beaucoup d'hommes politiques et de travailleurs sociaux ont tendance à considérer les populations originaires de l'autre côté de la Méditerranée comme ne pouvant être que des victimes du système ; ce qui bien souvent leur profitent en termes de prestations sociales.

 

 


Alors que la majorité d'origine Française et Européenne, qui a du mal à quémander , qui ne connait pas bien les réseaux pour faire valoir ses droits, se retrouve de plus en plus marginalisée et précarisée? C’est pour cela, même, si le mot ne fait pas très Maurrassien, que nous souhaitons la justice sociale.... pour les nôtres.


 

 

Question 4 : A l'approche des maraudes, pensez-vous que la crise jette de nouveaux pauvres dans la rue ?

 


 
 
Réponse : Vous avez pu constater dans les rues de Paris, et cela contrairement au discours officiel, combien les restrictions budgétaires sont lourdes de conséquences. D'une année sur l'autre, nous voyons la situation s’effilocher. La lèpre de la misère gagne du terrain. Une nation qui n'est plus capable de gérer le problème de la pauvreté risque d'en subir de graves perturbations.

 

 

 

 

 

A suivre...

 

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09:48 Publié dans Biographie | Lien permanent | Commentaires (0)

07/11/2020

En attendant la reprise des maraudes ...........

 

 

 

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Louis ALIOT: Maraude du 13 / 05/ 2008

06/11/2020

DANS LE COCHON, TOUT EST BON !

 

 

 

 

 

 

 

 
 
 
 
 
Médecin
 
 
 
 

Greffer des organes d’animaux à la place de ceux d’hommes malades, la science en rêve depuis plus d’un siècle. C’est probablement Alexis Carrel, pionnier et magicien des sutures vasculaires, puis auteur de travaux sur la conservation d’organes vivants à des fins éventuelles de greffe, qui en entrevit le premier les fantastiques possibilités. Ce qui lui valut le prix Nobel de médecine en 1912, à moins de quarante ans. Certes, il gâcha ensuite sa renommée par des théories eugénistes que la presse de gauche actuelle qualifierait de nauséabondes (un mot qu’elle adore), sans voir bien sûr qu’elles étaient assez proches de ceux qui promeuvent aujourd’hui les diagnostics anténatals et les sélections d’embryons !

 

 

 

Par sa taille et sa proximité tissulaire avec l’homme (au cœur duquel, comme chacun sait, il sommeille…), le meilleur candidat aux xénogreffes (pour les appeler par leur nom) a toujours été le cochon, par ailleurs animal commun, peu cher et facile à élever. Mais déjà difficile à maîtriser en cas de greffe entre humains, on se heurte évidemment à l’éternel problème du rejet. Pour un matériau inerte comme les valves cardiaques, on sait depuis la fin des années soixante éliminer leur caractère antigénique. Mais c’est loin de permettre la greffe d’un organe fonctionnel. En effet, le génome des porcs contient des rétrovirus spécifiques qui peuvent se transmettre à l’humain, et leurs cellules sont couvertes d’une protéine attaquée par nos anticorps, d’où des rejets systématiques.

 

 

 

Aujourd’hui, la revue américaine Science, connue pour son sérieux, vient de révéler que des scientifiques avaient élevé des porcelets génétiquement modifiés pour que leurs organes soient compatibles avec les nôtres, et qu’en conséquence, des greffes de porcs à humains seront possibles « dans les deux ans ».

 

 

 

S’il s’avère que, bientôt, cœur, foie, poumon… pourraient être transplantés sans passage par la longue et douloureuse attente d’un donneur humain compatible, ce serait évidemment une avancée éblouissante dans le progrès thérapeutique. Et une mauvaise nouvelle pour ceux qui misent sur le cœur artificiel… Certains, à commencer par les défenseurs de la cause animale, ne manqueront pas d’agiter des problèmes éthiques. Quant aux imams et aux rabbins, nul doute qu’ils auront là un sujet passionnant à débattre ! Mais, très immodestement, je leur suggère de répondre à une question préalable qui pourrait hâter leurs conclusions : un cochon génétiquement modifié est-il toujours un cochon ?

 

 

 

 

 

 

 

 
 

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03/11/2020

Alain de Benoist : La démondialisation, avenir des nations ?

 

 

 

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Intellectuel, philosophe et politologue
 
 
 
 
 

Depuis quelques années, certains auteurs n’hésitent pas à parler de « démondialisation ». Est-ce une observation objective ou un simple vœu pieux ?

 

 

Depuis le début des années 2010, suite à la publication du célèbre ouvrage du Philippin Walden Bello (Deglobalization, 2002), nombre d’auteurs (Jacques Sapir, Emmanuel Todd, Frédéric Lordon, Edgar Morin, etc.) ont en effet commencé à parler de démondialisation. Marine Le PenNicolas Dupont-Aignan, Jean-Pierre Chevènement, Arnaud Montebourg et Jean-Luc Mélenchon se sont également emparés de ce thème. Le débat a même encore rebondi récemment : Donald Trump s’est fait élire en dénonçant les effets de la mondialisation et le Brexit l’a emporté grâce au vote des régions dévastées par la désindustrialisation. C’est cependant moins un constat qu’un mot d’ordre. L’idée générale est qu’il est possible d’en finir avec la mondialisation ou, du moins, qu’il est possible de lui donner un autre contenu, idée à laquelle, d’après les sondages, 65 % des Français sont aujourd’hui favorables.

 

 

La mondialisation telle que nous la connaissons a été rendue possible, à la fin du siècle dernier, par l’effondrement du système soviétique. Elle s’est rapidement traduite par les délocalisations, la désindustrialisation, la précarisation et le chômage, puis par un endettement qui a débouché, aux États-Unis, sur le cataclysme des « subprimes » et le déclenchement d’une crise financière mondiale dont nous ne sommes toujours pas sortis, mais qui en a clairement démontré les limites.

 

 

La mondialisation représente avant toute chose le déploiement planétaire de la logique du capital, qui espère contrecarrer la baisse tendancielle du taux de profit par le désarmement douanier, l’expansion indéfinie des échanges, la marchandisation générale de l’existence (par la transformation en marchandises de ce qui n’avait pas été produit pour être vendu) et la transformation de la planète en un immense marché. Le moteur de cette démarche, faisant de la démesure une ligne de conduite, réside dans une idéologie libre-échangiste fondée sur le mythe de l’autosuffisance des « marchés efficients », qui plaide pour la disparition des frontières empêchant la libre circulation des hommes, des marchandises et des capitaux (ce qui explique la similarité, sur ce point du discours, du MEDEF et de celui de l’ultra-gauche adepte de la rédemption par l’étranger, qui veut, elle aussi, abolir les frontières et unifier le monde par universalisme politique et philosophique).

 

 

Il est donc assez naturel que les préconisations visant à démondialiser se proposent d’agir d’abord sur le plan économique et financier : réorientation des économies de la priorité à la production pour l’exportation vers la production destinée aux marchés locaux, remise à l’honneur des « circuits courts », interdiction des délocalisations qui mettent en concurrence les salariés autochtones avec ceux des pays où la main-d’œuvre est moins chère et les normes de production moins contraignantes, relocalisation par rapprochement des lieux de production et des lieux de consommation, protectionnisme et réglementation des échanges, relèvement des taxes douanières à destination des pays à bas salaires, taxation des transactions financières et des bénéfices des multinationales, contrôle des capitaux et assèchement progressif de la sphère spéculative, réinstauration d’une frontière entre banques d’affaires et banques de dépôts, lutte contre les fraudes sur les prix de transfert, abandon du dollar comme monnaie de réserve mondiale, etc.

 

 

 

Il s’agit, en d’autres termes, d’enrayer la tendance à l’illimitation d’un système qui a besoin de supprimer tous les obstacles (politiques, culturels et sociaux) qui entravent l’expansion et la reproduction concentrée du capital.

 

Et, pour cela, de faire en sorte que le politique affirme à nouveau sa tutelle sur l’économique.

 

 

Après le monde bipolaire et le monde unipolaire, nous sommes apparemment entrés dans un monde multipolaire. Cela veut-il dire que, au moins sur le plan géopolitique, nous sommes déjà sortis de la mondialisation ?

 

 

La mondialisation a commencé par un moment unipolaire, qui est celui où les États-Unis ont pensé jeter les bases d’un « nouveau siècle américain », au moment même où Francis Fukuyama se risquait à annoncer « la fin de l’histoire ». Ce moment n’a pas duré. La montée en puissance de la Chine et de la Russie, celle qui s’annonce dans d’autres pays émergents, montrent que nous sommes clairement passés d’un universum à un pluriversum, c’est-à-dire à un monde multipolaire. L’ironie de l’histoire est qu’alors que la fin de l’URSS avait rendu possible la mondialisation, c’est plutôt le retour en force de la Russie qui en marque le ralentissement ! C’est, évidemment, une bonne nouvelle – ou, plutôt, c’en serait une si l’Europe était elle-même une puissance, alors qu’elle n’est aujourd’hui qu’une addition de faiblesses.

 

 

Dans cette perspective, y a-t-il encore un avenir pour les vieilles nations ou faut-il aspirer à la création de nouveaux blocs européens, américains, africains, orientaux ou asiatiques ?

 

 

Il est d’autant plus difficile de s’opposer à la mondialisation qu’on le fait à partir d’un socle plus restreint. Des pays isolés, par exemple, peuvent difficilement s’opposer à eux seuls à la toute-puissance des marchés financiers. C’est aussi la raison pour laquelle, compte tenu des risques de rétorsion (ou de « guerre commerciale »), un protectionnisme à l’échelle continentale européenne serait plus efficace qu’un simple protectionnisme national – qui vaut néanmoins mieux que pas de protectionnisme du tout.

 

 

L’idéal serait d’aboutir à de « grands espaces » autocentrés, relativement homogènes, qui constitueraient autant de pôles politiques, économiques et civilisationnels par rapport à la mondialisation actuelle. Le réalisme oblige à dire qu’on en est encore assez loin. C’est sans doute le chemin qu’on finira par emprunter, mais cela prendra du temps.

 

 

Entretien réalisé par Nicolas Gauthier

 

 

 

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30/10/2020

Communiqué :

 

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Bien qu’acceptée, notre association n’a pas le label officiel de la mairie de Paris, marauder en période de couvre- feu était prendre le risque de se voir verbaliser, et en cas de récidive encourir une peine de prison, le confinement ne fait que confirmer notre incapacité temporaire de répondre à la demande des SDF. Dès que les contraintes seront levées, nous reprendrons le cours normal de notre campagne.

 

 

                                             Pour le Bureau : 

 

 

 

 

                        Pasteur Blanchard président de l’ASP

 

 

 

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27/10/2020

Bientôt en France ? Des scientifiques affirment pouvoir changer les opinions religieuses et politiques en magnétisant le cerveau

 

 

 

 

 

A noter : il le font déjà avec avec la télévision et la presse aux ordres.

 

 

Des scientifiques Britanniques et Américains l’ont fait. Des chercheurs de l’Université de York se sont penchés sur la manière dont le cerveau résout les problèmes idéologiques abstraits… dans le but de modifier ses réponses. Les exemples qu’ils ont pris ont déjà de quoi frapper l’opinion : ils affirment pouvoir changer l’idée que les gens se font de Dieu ou des migrants, riens de moins. Il suffit pour cela de magnétiser les cerveaux, assurent-ils.

 

 

 

Le docteur Keise Izuma, l’un des auteurs de l’étude, explique la démarche : « Les gens se tournent souvent vers l’idéologie quand ils sont confrontés à des problèmes. Nous voulions savoir si la région du cerveau qui est liée à la résolution des problèmes concrets, là où se prend par exemple la décision de déplacer son corps pour enjamber un obstacle, était également impliquée dans la résolution des problèmes abstraits abordés par le biais de l’idéologie. »

 

 


Magnétiser les cerveaux pour changer l’opinion sur Dieu

 

 


En utilisant la technique de la stimulation magnétique transcrânienne (TMS), les scientifiques sont parvenus à désactiver des groupes de neurones dans le cerveau des volontaires : un processus qui permet en réalité de changer la manière dont pensent les personnes. Les chercheurs ont découvert que la technique changeait radicalement les perceptions religieuses ainsi que les « préjugés » des personnes testées. La croyance en Dieu a été réduite d’un tiers, tandis que la préoccupation des participants à propos du nombre de migrants a chuté de 28,5 % !

 

 

Après s’être assurés que les volontaires avaient des convictions religieuses, les chercheurs leur ont demandé d’évaluer leur croyance en Dieu, leur idée du paradis, du diable ou de l’enfer.

 

 

Keize Izuma poursuit : « Nous avons décidé de faire penser ces personnes à la mort parce qu’une recherche précédente avait montré que les gens se tournent vers la religion pour se réconforter face à la mort. Comme prévu, nous avons constaté que les gens sont moins enclins à s’attacher à des idées religieuses lorsque nous désactivons le cortex préfrontal, malgré le fait que nous leur rappelons la mort. »

 

 


L’expérience des scientifiques, explique Keize Izuma, permet de changer l’opinion sur les migrants

 

 


Les « cobayes » ont également été soumis à une autre expérience. Deux textes leur ont été présentés sur l’arrivée récente des migrants : l’un fortement élogieux, l’autre extrêmement critique. Le docteur Izuma commente : « Lorsque nous avons désactivé la région du cerveau qui permet généralement de détecter et de résoudre les problèmes, nous avons observé une réaction moins négative, moins idéologiquement motivée. »

 

 

L’auteur principal du rapport de l’étude, le docteur Colin Holbrook, a affirmé : « ces découvertes sont vraiment saisissantes. Elles concordent avec l’idée que les mécanismes cérébraux qui se sont développés pour des fonctions relativement simples de problèmes-réponses jouent également sur les réactions idéologiques. »

 

 

 

Il y a quelques semaines, les savants faisaient comprendre qu’il espère pouvoir utiliser les sciences comportementales pour changer la vision du monde qu’ont certains Américains, et la faire ainsi correspondre à l’idéologie qu’il sert. Voilà un outil qui pourrait l’intéresser.

 

 

On notera le matérialisme fondamental de l’étude des chercheurs anglo-saxons : toute croyance, toute foi, toute pensée politique y sont réduites à l’« idéologie » (des idées détachées de la réalité) et présentées comme résultant de l’activité cérébrale.

 

 

Leurs résultats sont pourtant liés à une diminution des capacités cérébrales puisqu’ils reposent sur la désactivation d’une partie du cerveau.Source :

 

Béatrice Romée pour Reinformation

 

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23/10/2020

Ancienne maraude.......

 

 

 

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Par le Pasteur

Blanchard.

 

 

Force est de constater que la présence de nombreux sans-logis dans les rues de Paris gêne le maire et ses adjoints. Les témoignages de certains SDF sont accablants. Un exemple, chaque semaine, le vendredi, ici ou là, la police arrive  et signifie à ces malheureux qu'ils ont cinq minutes pour déguerpir. Aussitôt, les éboueurs suivent et jettent leur barda. En un instant, nos amis se retrouvent encore plus bas. Bien sûr, cette démarche est faite avec le secret espoir que de guerre lasse, ils décamperont à jamais.

 

 

 

Cette méthode hypocrite mais ponctuellement efficace de déplacer la misère, ne tient pas compte du fait que, comme tout un chacun, les SDF s'accrochent aux repères qui sont devenus leur espace vital. Et, c'est un puits sans fond que les autorités creusent.

 

 

    Une autre remarque, aussi éloquante, m'a été faite par un ami venu de province pour déposer des vêtements. Il me dit sa surprise de voir la capitale de plus en plus submergée par les SDF. En particulier, les avenues "chics". 

 

 

Oui ! Sur le prestigieux boulevard des Capucines, on croise après  l'Olympia et jusqu'à l'Opéra des familles entières dormant devant les entrées des grands magasins. Et, durant nos maraudes, la nuit, ces abcès de fixation de la misère sont encore plus éclatants. Chaque fois, nous découvrons un mélange indécent de beauté et de misère.

 

 

Nos gouvernants, si occupés pour savoir qui sera le nouveau président,  baissent les bras devant un problème aussi terrible et massif. Leurs seules réponses sont le silence et le déni. Ils éludent un problème qui ne fait que s'amplifier comme ils chassent les SDF, le vendredi, d'un trottoir à l'autre. 

 

  

Nous avons l'écoeurante conviction  que moins les choses se résolvent, plus la communication règne en maître. Mais, l'Action Sociale et Populaire reste un témoin lucide. C’est à ce prix que nous continuerons à apporter notre contribution au combat contre la véritable exclusion.

 

 

    Pasteur  Blanchard

 

 

 

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20/10/2020

L’éditorial de la Ligue du Midi par François Jay:

 
 
 

 

www.liguedumidi.com

 

 

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Décapitation de Samuel Paty : amalgame anti-islamique obligatoire !

 

Après le massacre de la rédaction de l'hebdomadaire Charlie Hebdo un grand mouvement de solidarité nationale avait conduit des millions de nos compatriotes à manifester dans la rue. Les français avaient exprimé leur compassion pour les victimes et leurs familles, en même temps que leur volonté que le pays ne sombre pas dans la guerre civile. Nous ne voulions pas céder à l'esprit de vengeance, ou de haine. Nous avions refusé de stigmatiser les musulmans, refusé « l'amalgame ». C'était un mouvement très « beau », très « noble ». Assombri par l'absence de musulmans dans les manifestants. C'était l'esprit Charlie. 

Charlie c’est fini

 

Depuis ce massacre, les assassinats terroristes musulmans ont continué. Le djihad au couteau s'est étendu. Et comme l'explique Éric Zemmour, il n'y pas de différence de nature entre la petite délinquance musulmane et le terrorisme revendiqué. Il y a une question d'échelle, de moyens. C'est une continuité. Les agressions, les crachats, les vols, les viols, les égorgements, tout cela c'est du djihad. L'esprit Charlie, on l'a maintenant compris, c'est bon pour les roumis, les sous-chiens. Les colons musulmans rigolent de cette propagande gauchiste, de « l'anti-amagalmisme » qui endort le peuple. Cet anti-douleur que nous administrent les politiques, les enseignants, les journalistes ne fait plus l'effet qu'il faisait. L'accumulation des crimes et délits du djihad ont ouvert les yeux des plus conciliants, des plus aimables et accueillants de nos concitoyens. Les sondages qui ont été faits avant la décapitation du professeur Samuel Paty montraient déjà un rejet massif de l'islam par les français.

 

Le manque de réactivité des pouvoirs publics qui, délibérément, ont laissé l’assassin déambuler autour de l’établissement scolaire en début d’après-midi, allant jusqu’à « solliciter des élèves afin de lui désigner la future victime » (dixit le procureur national antiterroriste) est un symbole frappant du délitement de la France. Nous exigerons que toutes les complicités actives ou passives fassent l’objet d’enquêtes approfondies.

 

Charles martel revient

 

Il est possible de tromper les honnêtes gens, une fois, deux fois, mais vient un moment où les manipulations ne fonctionnent plus. C'est la grande crainte de ceux qui nous gouvernent. C'est dans ce contexte qu'il faut comprendre la répression que subissent les Cassen, Tasin, Zemmour, Camus et bien d'autres. C'est dans ce contexte qu'il faut voir la censure sur les réseaux sociaux, la propagande dès le plus jeune âge pour le métissage, c'est aussi le même objectif qui sous-tend l'application de force de la théorie du genre. L'émasculation des français. Il ne faudrait pas que les hommes de ce pays se souviennent qu'ils descendent de Charles Martel et de ses soldats. Pourtant les Français sont en train de changer. Les sondages montrent que nos concitoyens sont de moins en moins dupes, de moins en moins « Charlie ». La jeunesse qui vit « ensemble » avec la racaille islamique est de moins en moins sensible au discours antiraciste et culpabilisant que nous imposent les gauchistes et le gouvernement. Les yeux se dessillent. Le mouvement des gilets jaunes qui a été sciemment récupéré et manipulé par les extrémistes de gauche, pourrait bien n'avoir été que la première vague d'un mouvement plus fort et plus profond.

 

Ne ratons pas le deuxième vague !

 

Les Français vivent aujourd'hui bâillonnés dans la crainte d'une hypothétique deuxième vague virale. Il ne faut pas sous-estimer la peur qu'entretient la propagande dans la population. Mais comme toute manipulation, c'est la fin, la sortie, qui est le moment difficile pour le manipulateur. Qu'est-ce qui peut déclencher une prise de conscience qui transforme des individus soumis, en une foule en colère ? Nul ne le sait. Mais ce que nous savons c'est que nous vivons une accumulation de raisons de colères et de révoltes. Attention à ne pas nous laisser voler notre révolution par la gauche, si experte en tromperies. L'assassinat de ce professeur, certainement de gauche, va toucher au cœur la propagande pro-islamique des Mélenchon, Hamon et autres Macron. Le corps enseignant est déjà confronté à l'islam et souffre déjà. Les policiers, les gardiens de prisons sont depuis des années de terribles victimes du djihad quotidien. Même les « éducateurs », les « assistantes sociales » sont à bout. Quant aux politiques, ils voient petit à petit le vote ethnique et communautaire s'avancer qui leur ravira leurs places et prébendes. Nous approchons de la rupture, c'est évident.

 

L’appel à la grève

 

Cette nouvelle mort ne doit pas être oubliée ni effacée par le politiquement correct. Comme l'ont été le père Hamel, Yvan Cornora, Ilan Halimi, les jeunes filles de Marseille ou les enfants juifs de Toulouse. Non, Samuel Paty doit être vengé. Son assassinat par une ordure islamique doit sonner non pas le glas de notre civilisation, mais sonner comme un appel à la résistance et à la reconquête.

 

Les manipulations étatiques pour calmer les français ont déjà commencé. Mais la situation d'hier n'est plus celle d'aujourd'hui. L'opinion n'est plus la même. Parce que de plus en plus de personnes ont été victimes d'agressions. Parce que les jeunes subissent de plus en plus l'islam, parce que les ex-soixante-huitards nous quittent peu à peu... Et la situation internationale a changé. Nous ne sommes plus seuls et isolés. N'oublions pas la victoire de Trump, n'oublions pas la résistance qui s'est organisée à l'est. N'oublions pas Salvini, n'oublions pas le Brexit... Le contexte n'est plus le même. Soyons à la fois offensifs et habiles. Nous ne sommes pas encore capables de mobiliser des foules, mais c'est évident que c'est pour bientôt. Notre premier objectif doit être de préparer cette mobilisation en formant des militants. Et c'est certainement dans la jeunesse, celle qui subit le plus l'islam, que nous les trouverons.

 

Dès la fin des vacances scolaires nous devons nous adresser à la jeunesse lycéenne et étudiante pour dire stop à l'islam !

 

 

La vidéo de Batdaf-Galvaire : « lettre à un gauchiste au sujet de la décapitation de Samuel Paty »

 

https://www.youtube.com/watch?v=8CZF-AaFOKA&feature=youtu.be&ab_channel=Batdaf1

 

 

Flyer appelant les étudiants et les lycéens à la grève pour la liberté d'expression et la liberté du blasphème !

 

 

Collèges, lycées, facs, écoles

Grève illimitée

Un professeur d'histoire décapité par un musulman pour faire taire

la liberté d'expression !

 

 

 

Samuel Paty, professeur d'histoire à Conflans Sainte Honorine, a été décapité dans la rue le 16 octobre, par un assassin musulman de 18 ans, Abdoulakh Anzorov, soi-disant réfugié. Ce musulman lui reprochait d'avoir fait un cours sur la liberté d'expression et parlé de l'affaire des caricatures de Mahomet publiées par le journal Charlie Hebdo. A la suite à la protestation des parents d'une des élèves musulmanes, des imans sont intervenus auprès la direction du collège pour que ce professeur soit licencié ! De véritables appels au meurtre ont été diffusés sur les réseaux sociaux qui ont été suivis d'effet. Ce professeur exemplaire, aimé par ses élèves, a été assassiné, pour son travail, parce qu'enseignant la liberté de penser, la liberté d'expression.

 

Par ce nouveau meurtre, les terroristes musulmans essaient de faire taire les esprits libres en France, enseignants, journalistes, intellectuels et simples citoyens.

 

Refusons de nous laisser terroriser

 

Nous exigeons que la justice fasse son travail en condamnant les activistes musulmans qui, conformément aux préceptes de leur prophète, appellent au meurtre contre les juifs, les chrétiens et les athées.

 

Nous demandons au gouvernement de dissoudre en Conseil des Ministres les organisations terroristes musulmanes comme les Frères Musulmans, les associations salafistes, les associations cultuelles musulmanes qui appellent à l'application de la charia en France. Nous demandons l'expulsion immédiates des imans qui prêchent la haine, des fichés S, des criminels islamiques de retour de Syrie, des terroristes en fin de peine.

 

Nous demandons que la liberté d'expression soit effectivement défendue par la justice et que la critique de l'islam et de son prophète soient libres. Nous demandons l'abolition des lois liberticides : Pleven, Gayssot, Taubira, Avia.

 

Comité pour la liberté d'expression : Ligue de Gascogne, Ligne du Midi

(Liste à parfaire)

 

 

Sur le blog de la Ligue cette semaine

 

Éric de verdelhan : « Maudit soit qui Mali pense »

 

https://liguedumidi.com/maudit-soit-qui-mali-pense/

 

 

Gérard-Michel Thermeau : « Covid 19, Knock gouverne la France »

 

https://liguedumidi.com/covid-19-knock-gouverne-la-france/

 

 

Olivier Demeulenaere : « le prince Charles appelle

à une réponse militaire  face au changement climatique »

 

https://liguedumidi.com/le-prince-charles-appelle-a-une-reponse-militaire-pour-faire-face-au-changement-climatique-et-reorganiser-leconomie-mondiale/

 

 

 

10:14 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

16/10/2020

Maraude du 15 / 10 / 2020.............

 

 

       Reprise des maraudes, à la fin du couvre feu.

 

 

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