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26/09/2014

IMPRESSION DE PRE-MARAUDE...

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par Jimmy MINGOT

conseiller municipal FN à Athis-Mons

La première chose qui m’a frappé c’est la mauvaise santé et le manque d’hygiène  bien sûr, mais surtout  le dénuement affectif de ces personnes abandonnées. C’est leur isolement vis-à-vis de toute famille et de tout proche qui émeut plus que leur misère apparente. On comprend des brèves discussions que l’on peut avoir avec eux que la raison de leur présence sur le trottoir est à chercher dans les malheurs de la vie courante :

Abandon d’une femme ou d’un mari

Décès de l’un ou l’autre

Dégout vis à- vis du comportement inacceptable de leurs proches.

Licenciement abusif…

Cela en fait des êtres particulièrement à fleur de peau parce qu’écorchés vifs dans leur cœur. A l’origine ils étaient sans doute des personnes déjà trop sensibles pour supporter les saloperies de la vie. C’est cette image qu’ils ont gardée de l’autre vie qui fait que l’envie d’y repartir n’existe pas.

Un autre sentiment qui envahit, c’est justement notre impuissance à les convaincre de remonter la pente. Ils ne souhaitent plus retrouver une vie normale ; dégoût ou fatalisme ? Ils ont retrouvé là, au-delà de la violence qui règne sans cesse, une espèce de fraternité avec ceux qui partagent leur sort. J’en ai vu un qui avait décider  de rester là, bien qu’en pleine forme physique, propre, habillé correctement et instruit, uniquement parce qu’il ne pouvait pas imaginer d’abandonner les autres : belle leçon d’humilité et de don de soi.

Honte à notre société, honte à nos gouvernants quels qu’ils soient  de ne pas porter secours à ces malheureux. Pourquoi ne laisser qu’à des associations le devoir de s’occuper d’eux ? Quel renoncement aux valeurs essentielles de la vie en société.

 

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Il faudrait bien peu de moyens financiers pour leur prodiguer un toit individuel et de quoi se laver et s’habiller dignement. Au lieu de cela on se contente de leur offrir des centres d’hébergement où ils ne veulent pas aller car il y règne la pire des violences. Pourtant, même si leur parcours personnel est pour quelque chose dans leur situation, la responsabilité de l’Etat est largement engagée : avec plus de 5 millions de chômeurs, une immigration invasion, des salaires de misère  quelle solution pérenne pouvons nous leur proposer ?

La gauche bien pensante qui a voté les traités qui ont détruit notre outil de production porte une énorme responsabilité dans cette affaire. Alors, pour ne pas voir en face les résultats de leur politique mortifère,  la seule action qu’ils savent mettre en œuvre est de cacher et de repousser cette misère loin de leurs yeux, en témoigne ce que notre, désormais, ami Francis subit jour après jour de la police du 14ème arrondissement, Boulevard Saint Jacques : destruction systématique et répétée de ses maigres avoirs, et incitation à partir.

Honte aux socialistes de la Mairie de Paris !

Mais respect au Pasteur Blanchard et à son association qui régulièrement apporte quelques biens, nourriture, et boisson chaude, mais surtout du réconfort à ces hommes et ces femmes qui mériteraient mieux de notre société de consommation

 

Jimmy

24/09/2014

PRE-MARAUDE DU 23/09/2014

Cliquer ICI

19/09/2014

ASP : L'ETERNEL RETOUR...

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Notre combat

¶ contre la misère sociale

¶ et pour la préférence nationale

n’a jamais été aussi juste !

 

Mardi 7 octobre

s'ouvre la campagne 2014/2015 des maraudes du pasteur Blanchard.


Les Maraudes, ces tournées nocturnes à la rencontre des sans-abris parisiens, sont pour chacun de ceux qui les vivent une expérience sans commune mesure, de celles de nature à vous transformer, en tout cas qui ne vous laissent pas indifférents.


La majorité de nos accompagnants reviennent de ces maraudes « touchés » par la dignité des personnages rencontrés, « émus » par les situations de grande détresse, « surpris » par la grande culture de certains et dans tous les cas « révoltés » par l’injustice grandissante d’une société dans l’incapacité d’offrir à ses propres compatriotes les voies de la réussite sociale.

Durant cette nouvelle saison, un grand nombre de nos amis de droite nationale, provenant de toute la France, se succéderons aux côtés du Pasteur Blanchard  pour, l’espace d’une nuit,  venir en en aide à nos compatriotes délaissés.

Qu’ils en soient  tous remerciés !

La rue parisienne, c’est une caisse de résonance implacable des maux de la société française,  dont nous ne cessons de dénoncer les dérives, seuls  depuis des années :

Démantèlement du système de soins et de protection sociale

Paupérisation des travailleurs

Impossibilité d'accéder à un logement décent

Préférence étrangère dans les centres d’hébergement

Perte du sens de la solidarité entre les générations

Insécurité grandissante

Ouverture incontrôlée des frontières 

Un dernier exemple, alors que le gouvernement tente de nous endormir sur le pseudo contrôle des frontières aux portes de Schengen, nous pouvons témoigner du tsunami migratoire qui est en cours et qui voit affluer à Paris des centaines de migrants irréguliers.

 

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Cette nuit du 7 octobre nous retrouverons des sans-abris  provenaient de  tout horizon…. Autant d’individus déboussolés à qui l’idéologie mondialiste a promis un eldorado, qu’ils ne trouveront finalement pas chez nous car notre pays n’en a plus les moyens.

Cette nuit du 7 octobre nous nous répétons que nos moyens sont dérisoires, que la tâche est immense pour sortir nos compatriotes de la misère.

Mais cette nuit du 7 octobre, nous partons en fin de nuit, convaincus que notre combat est juste et que nous parviendrons demain à changer la société

 

Benoit  VAILLANT
Secrétaire Général de l’ASP

05/09/2014

MAIS QUE FONT-ILS ? (2)

 

Mise à Jour du 02/06/2018

Nouvelle Plaquette !

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page 1/4

 

 

 

 

 

Ancienne Plaquette

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ILs "boîtent" des plaquette de présentation de l'Action Sociale et Populaire qu'ils ont acquises pour la modique somme de 0.10 euros pièce, port compris, en envoyant un chèque à :

 

 

Action Sociale et Populaire

BP 7

91201 Athis-Mons Cedex

 

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UN CAS SOCIAL EPINEUX.

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Il m'arrive souvent, et de plus en plus, suite à des articles dans la presse amie, ou à des passages sur les ondes de radio Courtoisie, de recevoir des appels téléphoniques qui sont de véritables SOS. Comme celui de cette famille de province, obligée d'accueillir un oncle marginal revenant d'Amérique, cet extravagant leur rendait la vie impossible, je pus, grâce au bon soin d’Oscar, lui trouver un hébergement en région parisienne.

 

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Quelque mois plus tard, je reçois un appel d'une des filles de la famille qui vit dans la capitale. Elle me téléphone pour me dire qu'il avait quitté le centre de réinsertion où il ne se plaisait pas, pour venir squatter chez elle. Elle lui avait trouvé une chambre chez un particulier, mais il refusait d'y aller, sous prétexte que la propriétaire ne voulait pas que l'on fume à l'intérieur. Elle était désemparée. Ne sachant que faire, je lui dis qu'il ne fallait pas céder au chantage, c'était la chambre ou le retour en foyer. N'ayant pas d'autre choix, il accepta. Elle me téléphona pour me remercier. Il fallait entendre les mots de gratitude et de soulagement de cette femme, pour être conforter dans la conviction que nos modestes actions et conseils ont leur utilité.


  
Pasteur Blanchard   

29/08/2014

SUITE A UNE PRE-MARAUDE...

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Réflexions de Bruno Raju,

Membre de l'ASP 

Le mardi 19 Août 2014, le Pasteur Blanchard et son épouse, infatigables dans leur volonté de venir en aide aux plus pauvres d'entre nous, nous embarquent dans leur arche de Noé de la pauvreté. Tout est prêt, nous voilà sur le pont pour notre maraude nocturne. Le Seigneur nous accompagne sans que nous nous en apercevions. Les premiers sans domicile fixe sont dans votre visée, c'est l'arrêt et les premières distributions, vêtements, chaussures, café, soupe et thé. Les pauvres hères sont contents de voir celui qui depuis 2005 leur vient en aide, sans aucune subvention, puisant dans ses propres deniers pour faire face. Des visages connus se réjouissent de voir leur ami, le pasteur Blanchard, et les nouveaux se pressent pour recevoir ces quelques dons qui sont pour eux comme un cadeau de Noël .

 

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Nous terminons notre virée dans le monde de la grande pauvreté à l'Opéra. Nous avons rencontré des hommes, des femmes, des jeunes, des vieux, des enfants qui vivent dans la rue sur des matelas ou dans des cartons. Mais qui les regarde? la pauvreté est devenue tellement commune dans notre pays. Levez-vous âmes de bonne volonté et rejoignez l'arche de Noé que le Pasteur Blanchard a mise sur pied et qui ne vit que grâce à l'amour pour ses frères. 

 

Bruno   

22/08/2014

IMPRESSIONS DE PRE-MARAUDE PAR...

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Par Alexis

Perrin Montlouis

 

Le mardi 19 Août, j'ai fait quelque chose que j'avais envie de faire depuis longtemps.Le Pasteur Blanchard, Président de l'Action Sociale Populaire (l'ASP), m'a fait le plaisir de m'inviter,, à participer à une pré-maraude en préparation de la prochaine campagne annuelle  pour nos sans abris.

 

Pendant toute l'année, le Pasteur et de nombreux bénévoles des droites nationale, vont tourner dans Paris. Le but de ces maraudes : Bien plus que d'apporter de la soupe, du café, des couvertures, des vêtements ou des chaussures à nos sans abris (qui vont dans quelques semaines affronter des températures indécentes) : leur apporter avant tout de la chaleur humaine, de l'amitié, mais aussi un suivi.

Mardi, toute la soirée et une bonne partie de la nuit, c'est ce que nous avons fait ensemble. Et j'en garde un souvenir ému et positif. Le souvenir de rencontres.

Rencontres avec ces gens (Stéphane, Yves, Igor, Romain, Adrien et les autres…), ces gens qui ne possèdent rien, qui vivent dehors, à quelques pas des immeubles cossus et de la jeunesse dorée parisienne, et qui ont pourtant l'essentiel : une grandeur d'âme et la chaleur humaine. Pour chacun d'eux ce soir-là, nous avons pu nous rendre utiles. En leur donnant des aliments ou en leur faisant choisir des vêtements, mais nous avons aussi parlé, discuté. Certains ne quitteraient pour rien au monde la rue. D'autres vont ou aimeraient changer. Tous nous ont accueillis avec le sourire et des regards qui en disaient long. Regards de détresse, de gens perdus pour les uns. Regards dignes, pétillants, souriants, généreux et chaleureux malgré leur situation précaire pour les autres.

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De Sèvres à la Porte d’Orléans, de Denfert-Rochereau à Austerlitz en passant par Place d’Italie, le Jardin des Plantes, Saint-Michel ou encore rue de Rivoli, cette soirée a permis de constater à nouveau qu'une autre société, parallèle, existe dans nos rues. Celle de ces gens (« 10 000 à Paris, dont 3 000 dans le XIIIe arrondissement » selon les bénévoles) qui n'ont rien, qui ne demandent rien mais qui ont une richesse : l'indépendance par rapport à notre société de consommation devenue égoïste et individualiste (indépendance qu'ils paient le prix fort).

L'autre élément marquant de cette soirée est le manque de moyens accordé par l'Etat au suivi des sans abris.Comme pour le Téléthon, comme pour le Sidaction, force est de constater que l'Etat compte sur la générosité des gens, sur les bénévoles, sur les dons.

Mais à vrai dire, si tout cela n'existait pas, que seraient nos sans abris aujourd'hui ? Quels dispositifs aidés sont réellement efficaces pour ces sans abris qui, selon les bénévoles, sont de plus en plus chassés et humiliés par la Préfecture de Police car l'Etat veut cacher la misère sans la résoudre - cachez cette misère dont je suis responsable et que je ne saurais voir -).

Il serait temps aujourd'hui en France de revoir complètement notre politique sociale. Comment accepter en effet qu'une immigration qui vient d'arriver ait droit à tout (logements aidés, soins gratuits, etc.) alors que nombre de Français et d'européens sont dans le froid dans nos rues, sans soutien et que quelques uns en arrivent par exemple à la solution extrême de devoir soigner leurs problèmes de dents en se les arrachant à vif, comme nous l'a raconté en détails ce soir-là une bénévole de « La Croix Rouge » (croisée pendant notre tournée), ce qui a eu le don de nous glacer le sang.

Si un soutien leur était apporté dès le départ, presqu’aucun ne nous dirait faire le choix volontaire de rester dans la rue. Car bien souvent, l'élément déclencheur est une dépression, une rupture, un mal être : autant de causes sociales et/ou économiques qui pourraient être traitées et solutionnées si on en prenait la peine, si on s'intéressait aux gens, au lieu de se détourner de l'humain.

Parce qu'ils prennent justement la peine (et le plaisir) de leur venir en aide avec leurs petits moyens, je voudrais en conclusion apporter un grand coup de chapeau au Pasteur Blanchard et à ses bénévoles de l'ASP, tous authentiques et humains, connaissant un nombre impressionnant de sans abris parisiens par leurs prénoms, connaissant leurs vies, leurs parcours, parce qu'eux font l'effort malgré le fait qu'ils soient bénévoles, de s'intéresser à ceux à côté de qui beaucoup passent sans s'arrêter, sans répondre à un "bonjour" par un "bonjour", ni même sans se retourner pour savoir s'ils sont simplement en vie. vous le pouvez, aidez cette association à se développer. Si vous ne pouvez le faire financièrement, faîtes-le un soir humainement en donnant de votre temps, ou donnez simplement des couvertures, des grandes chaussures ou des vêtements chauds. Dans la rue, un vêtement ne dure pas bien longtemps et les besoins sont importants.

 

Alexis

20/08/2014

PRE-MARAUDE DU 19 AOUT 2014.

Cliquer ICI

30/05/2014

MARAUDE DE CLÔTURE...

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Vue par Catherine Blanchard

Vice-présidente  de l’ASP

Le mardi 13 mai se clôturait la saison 2014 des maraudes de l’Action Sociale et Populaire.

Une dernière fois, le groupe s'est réuni autour du Pasteur Blanchard pour secourir, l’espace d’une veillée nos compatriotes en souffrance. 

Un moment de fête et de réjouissance, entremélé de solitude, de souffrance, de froid et de faim, tel pourrait être une des définitions de la maraude.

Du temps consacré, des paroles échangées, des poignées de main ou des embrassades chaleureuses, voilà le bien le plus précieux que nous avons apportés à nos amis, victimes de cette société égoïste, ouverte aux quatre vents du mondialisme, qui ne parvient pas à assurer la subsistance de ses propres compatriotes.

  

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La rue est une implacable caisse de résonnance des maux traversés par notre société (dissolution de la famille, préférence étrangère, insécurité, …) et nous confirme chaque soir la justesse des solutions préconisées par la droite nationale.

Avec nos modestes moyens, animés des meilleures intentions et portés par l’amour de notre peuple nous roulons à la rencontre de nos compatriotes sans-abri.

Preuve que dans notre famille politique la solidarité et le don de soi ne sont pas de vains mots, Jacques Bompard député maire d'Orange, était des  nôtres ce dernier soir de la campagne 2014. Malgré un emploi du temps surchargé. il avait tenu à découvrir le pavé de Paris et ses détresses en notre compagnie. Un beau geste, apprécié à sa juste valeur par toute notre équipe.

Bravo et un grand merci à toi Jacques !

 

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Cette maraude se termina pour nous à deux heures du matin, du côté de l'Opéra. Le temps était relativement doux. Fatigués mais non sans une pointe de fierté, nous rentrons chez nous, tout en pensant à ceux qui, pendant huit mois ont contribué modestement à cette ronde de la solidarité.

Avec l'Action Sociale et Populaire, nous recommencerons dans quelques mois. Justice et Solidarité pour les nôtres ! 

 

Catherine Blanchard

23/05/2014

REFLEXIONS SUR LES MARAUDES...

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Par Jacques Bompard

député maire d’Orange.

 

On peut se perdre aisément dans les réalités feutrées du palais Bourbon. C’est un piège qu’il m’importe d’éviter tant je déplore les excès du parlementarisme. En ce mardi soir j’ai donc délaissé les plateaux et les couloirs, les entretiens et les travaux parlementaires pour répondre à l’invitation du Pasteur Blanchard.  

Je le connais depuis longtemps et apprécie son travail de longue haleine auprès des habitants de la rue. Le "social" comme il aime à le répéter marque sa vie et lui donne un œil perçant sur les réalités humaines. Je savais dès lors qu’à ses côtés, il me serait loisible de rencontrer des noctambules éméchés, des patriotes français blessés par la vie ou encore des  "figures" de la vie précaire parisienne. Cette réalité de la vie de la rue rencontre celles de notre temps : déracinement, repli sur soi, rupture des communautés charnelles.

  

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J’ai vu le Pasteur et son épouse panser ces plaies : humblement, avec générosité et attention, avec un rire tout français aussi, puisque le courage gaulois consiste bien à en revenir à l’amitié. Nous avons traversé Paris dans un plan bien connu afin d’apporter soupe, thé, café, couvertures et vêtements. Nous discutons, certains évoquent leurs régions natales, d’autres se souviennent d’amours passés, certains encore font part de la difficile « loi de la rue ». En un mot, ils nous parlent comme des hommes, quand la modernité nous entraine parfois à ne les regarder que comme les débris de notre société. 

Cette maraude a été une joie dans ma journée parisienne, elle me rapprochait des principes fondamentaux de la Politique : la charité, l’attention aux fragiles, le contact avec la réalité. Bernanos raconte dans Les Grands cimetières sous la lune comment son père le força pendant des années à accueillir les mendiants de la ville, en habit du dimanche, comme œuvre formatrice pour la jeunesse. Peut-être ai-je ressenti ce moment comme une maraude vers davantage de sagesse personnelle et politique. Que le pasteur et son épouse, ainsi que toute l’association, en soient remerciés. 

 

Jacques