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28/03/2013

IMPRESSIONS DE MARAUDE...

 Marcel Stephan 11.JPG

 

Par Marcel Stéphan,

SD/FN de la Nièvre(58),

conseiller régional de Bourgogne.

 

Sous l'égide du Pasteur Blanchard et de sa fidèle épouse Catherine est organisée par cette nuit glaciale une maraude dans les rues de Paris. Deux volontaires ont accepté d'être de la partie. Farid Smahi très connu de nos militants de longue date et votre serviteur Marcel Stéphan, conseiller régional de Bourgogne et secrétaire départemental Front National de la Nièvre. Le Pasteur Jean-Pierre Blanchard, pour ceux qui ne le connaîtraient pas est une figure de la droite nationale prolétarienne française. Chapelain de Madame Jany Le Pen, il est à l'origine des mémorables "soupes de Saint-Lazare".

Pour revenir à ce soir, la température moyenne frôle les moins zéro degrès et la tournée bat son plein. Farid Smahi offre des soupes chaudes, du café ou du thé tandis que je m'attèle à distribuer les vêtements confortables, bienvenus contre ce froid qui perdure.

Un coup de poing : le nombre de SDF qui dorment à même le sol et doivent braver l'hiver. En majorité, ils sont français de souche ou polonais et connaissent bien le Pasteur Blanchard qui leur apporte ce soir-là un peu de chaleur inespérée...

La distribution est une chose mais ce que nos yeux voient et ce que nos oreilles entendent en est une autre. Cela dépasse l'imagination. D'abord, tous ces hommes, ces femmes, ces enfants qui dorment sur le trottoir devant les vitrines des boutiques chics du quartier de l'Opéra. Ensuite, un peu plus loin, comme pour préserver une  certaine intimité, ces hommes jeunes ou moins jeunes qui, le visage livide et cachés sous de misérables couvertures nous interpellent..."Soupe !" "Soupe SVP !" "Café ?"...

Des images poignantes se gravent à vie dans nos mémoires... Celles de ces bagnards du dehors, prisonniers de la manche et figés dans le froid de cette nuit du mois de mars. Une énigme ? 

 

Marcel Stephan 22.JPG

 

"....L'argent, les femmes..., j'ai tout eu soupire, Gérard, mais tout a foutu le camp ! J'ai tout perdu et je suis devenu une loque ! Sans famille, c'est dur !"  Xavier, quarante-cinq ans nous fait savoir qu'il a les moyens de travailler et qu'il peut s'en sortir seul mais le problème : "avoir un logement, c'est très difficile. Pouvez-vous m'aider ? Je ne suis pas du tout raciste mais il faut d'abord donner la priorité aux francais... car il y a de plus en plus de profiteurs venus de l'étranger !" Il est 1h00 du matin, sur le conseil du Pasteur, j'appelle le 115. Au bout d'une quarantaine de minutes, toujours le même refrain : "Bonjour, toutes les lignes de votre correspondant sont occupées. Veuillez rappeler ultérieurement."

1h30 du matin sous le pont de Grenelle, Patrick est heureux de nous voir et nous demande d'emblée un café et un pantalon.  Nous lui rajoutons un pull bien épais. Sur un ton agressif, il s'emporte contre le système d'hébergement d'urgence qui privilégie les étrangers "qui ne parlent même pas le français.". Il  rajoute que la visite de Madame Jany Le Pen, un soir d'hiver l'avait ému aux larmes.

2h00 du matin, sur un trottoir qui longe le ministère des finances (tout un symbole), un homme dort sur des ordures. Son visage est tuméfié, rongé par la tristesse. Lui aussi nous appelle "Soupe !" "Soupe !"  Farid Smahi, bouleversé par son état de délabrement s'empresse de le servir deux fois.  Tout aussi ému, je pose la question : "combien de SDF comme celui-ci dans toute la France ?" .  

Comment des femmes et des hommes peuvent-ils tomber si bas ? La rupture du lien familial est-elle la caractéristique des sans-logis ? En France, nous avons tendance à sacrifier la solidarité familiale naturelle au profit d'une solidarité d'Etat, souvent artificielle et parfois inaccessible. Cette maraude pour laquelle Farid Smahi et moi remercions le Pasteur a été riche d'évènements et d'enseignements. Nous sommes d'accord pour dire que renforcer la cellule familiale française est un remède primordial. 

 

Marcel Stéphan

22/03/2013

MARAUDE DU 21/03/2013.

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08/03/2013

MARAUDE DU 07/03/2013.

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01/03/2013

IMPRESSIONS DE MARAUDE...

 Maraude du 21 02 2013 (10).JPG
  

Par Julien Rochedy,      

directeur national du FNJ                    

 

Depuis sept ans, le pasteur Blanchard et sa femme arpentent la capitale pour venir en aide aux démunis. Sept ans sans bruit, humblement, du social, du vrai, loin de mots et des postures, seulement la volonté d’être utile, véritablement, concrètement, et de tenir, d’être constant, tous les dix jours, des pluies d’octobre au soleil naissant de mai, chaque année, inlassablement. Ma première impression de maraude, c’est une leçon de persévérance et d’humilité, celle que donnent le pasteur et son épouse au premier coup d’œil, nous rappelant que, loin des vaines expressions médiatiques et vaniteuses, le vrai, le réel, le palpable, c’est une action continue, courageuse et au service des autres. 

Ma deuxième impression, c’est évidemment le rappel qu’une misère dramatique existe dans notre beau pays. Oh, on le sait bien, on en a tous entendu parler, mais ça reste du concept, la voir en vrai est une toute autre chose… Combien de ces hommes et femmes dehors, la peau burinée et durcie par le froid, les yeux vides et pâles, nous disent plus sur l’état de notre pays que des statistiques abstraites sur la pauvreté en France ! Il est complètement inadmissible qu’on laisse des gens dormir dehors par ce froid d’hiver, cela prouve qu’il n’y a aucune volonté politique en France, pour quoi que ce soit, que nos dirigeants laissent faire, ne s’occupent de rien, et, avec un cynisme et une désinvolture révoltante, évoquent nos sans domicile fixe dans leur discours sans jamais ni les voir ni s’occuper d’eux. Cette caste politique est à vomir.

 

Maraude du 21 02 2013 (12).JPG

 

Gaëtan Dussausaye, responsable FNJ de Paris et moi-même, avons bien volontiers accompagnés, comme régulièrement des cadres du Front National, le pasteur Blanchard dans ses maraudes. Nous avons distribué café chaud, thé, soupe, vêtements et couvertures. Et puis nous avons discuté, appris beaucoup de choses de la souffrance quotidienne de pauvres êtres sans aucune perspective sinon celle de la rue, jusqu’à ce qu’ils crèvent dans l’indifférence totale au coin d’un boulevard. Nous avons entendu les plaintes de beaucoup d’entre eux qui se font voler au petit matin les affaires qui leur permettent de survivre par les agents de la mairie de Paris, qui expédient couvertures, livres, nourritures et autres expédients dans des beines à ordures, afin les chasser et de les désespérer. On ne peut pas ne pas penser que la mairie de Paris est une mairie « de gauche », et ressentir dès lors un immense mépris pour tous ces socialistes bobos parisiens qui s’attachent beaucoup plus au bon déroulement de la gay pride ou au financement de je ne sais quelle association culturelle de merde, plutôt que de s’occuper des pauvres parisiens qui se multiplient chaque jour.

J’appelle tous les militants du Front National de la Jeunesse à prendre contact avec le pasteur Blanchard, pour l’aider un soir de maraude, pour lui fournir du matériel et des moyens s’ils le peuvent, et de faire partager ce double sentiment, d’abord celui de l’admiration pour une cause et un homme qui sait véritablement ce que le social veut dire, et puis celui du rejet des politiques menées par nos dirigeants tant de la droite que de la gauche, qui jettent un peu plus chaque jour des hommes et des femmes dans la rue.

 

Julien

22/02/2013

MARAUDE DU 21/02 /2013.

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21/02/2013

IMPRESSIONS DE MARAUDE...

 Thierry et Michel.jpg

 

Par Thierry Auriat,

membre fondateur de l'ASP

 

Jeudi 7 février, je participe pour la deuxième fois à une maraude.

Mon ami le Pasteur Blanchard, président de l'Action Sociale et Populaire, m'a fait l'honneur de m'inviter à collaborer à cette sortie, pour venir en aide à nos compatriotes sans-abri, avec notre ami commun Oscar Wesley.

Pendant toute l'année, le Pasteur et ses fidéles bénévoles, parfois accompagnés d'élus et de cadres du Front National, mais aussi d'autres personnes de tous  les milieux de notre famille politique.

Bien plus que d'apporter de la soupe, du café, des couvertures, des vêtements ou des chaussures aux nôtres sans-abri, ces maraudes ont aussi pour but d'ébaucher des liens d'amitié, de tisser un suivi fait de chaleur humaine.  

Jeudi, toute la soirée et une bonne partie de la nuit, c'est ce que nous avons fait ensemble. Et je garde un souvenir ému de toutes ces rencontres , ces discussions avec Stéphane, Yves, Igor, Romain, Adrien et les autres…. Ils ne possèdent rien. Ils vivent dans la rue, à quelques pas des immeubles cossus et de la jeunesse dorée de Paris. Ils ont pourtant beaucoup, un peu de grandeur d'âme et un peu de chaleur humaine. Et, c'est une joie d'avoir pu se rendre utile en leur donnant un peu de nourriture, quelques couvertures et d'avoir échangé quelques paroles ce soir-là.

A force, si l'on peut dire, certains ne quitteraient pour rien au monde la rue, d'autres la détestent, quelques-uns pourront en sortir. Tous nous ont accueillis avec le sourire ; des regards qui en disaient long, faits de la détresse de gens perdus pour les uns, emprunts de dignité, pétillants, souriants et chaleureux pour les autres.

De Sèvres à la Porte d’Orléans, de Denfert-Rochereau à Austerlitz en passant par la Place d’Italie, du Jardin des Plantes à Saint-Michel ou encore rue de Rivoli, cette soirée nous a dévoilé, une fois de plus, qu'un monde parallèle existe dans nos rues. Ils sont dix mille à Paris, trois mille dans le XIIIe arrondissement, qui n'ont rien et qui parfois ne demandent rien. Leur seule richesse : peut-être un certain détachement par rapport de  notre société de consommation ? tellement égoïste et trop individualiste. Mais une indépendance qu'ils paient au prix fort.

Une autre constatation choquante durant cette soirée est l'évident manque de moyens accordé par l'Etat à l'aide des sans-abri. L'Etat semble plus compter sur la générosité privée que sur lui-même : "cachez cette misère dont je suis responsable et que je ne saurais voir".

 

Le pasteur et Thierry.jpg

 

Il serait temps aujourd'hui en France de revoir complètement notre politique sociale. Comment accepter en effet qu'une immigration qui vient d'arriver ait droit à tout (logements aidés, soins gratuits, etc.) alors que nombre de Français et d'européens sont dans le froid dans nos rues, sans soutien et que quelques-uns en arrivent par exemple à la solution extrême de devoir soigner leurs problèmes de dents en se les arrachant à vif.

Si un soutien leur était apporté avant la chute presque irréversible, combien nous déclarait faire le choix volontaire de rester dans la rue ? Car bien souvent, l'élément déclencheur est une dépression, une rupture, un mal être, autant de causes sociales et/ou économiques qui pourrait être traité et endigué si on en prenait la peine ; si on s'intéressait aux gens, au lieu de se détourner de l'humain.

Je voudrais, en conclusion, parce qu'ils prennent justement la peine (et le plaisir) de venir en aide à ces personnes avec de petits moyens, donner un grand coup de chapeau au Pasteur Blanchard et aux militants de l'ASP. Sincères et humains, ils connaissent un nombre impressionnant de sans-abri parisiens par leur prénom, savent un peu de leur vie, de leur parcours parce qu'ils font gratuitement l'effort de s'intéresser en vérité à ceux qu'ils croisent durant leurs maraudes.

Si vous souhaitez cette association à se développer, si vous ne pouvez le faire financièrement, faites-le un soir en donnant de votre temps. Et puis, vous pouvez aussi nous procurer des couvertures, des chaussures de grande pointure et des vêtements chauds. Les besoins sont importants car ou dans la rue, un vêtement ne dure pas bien longtemps.

 

Thierry Auriat

14/02/2013

IMPRESSIONS DE MARAUDE...

 Oscar 11.JPG 

Par Oscar Wesley,

membre fondateur de l'ASP.

 

Francis, Isabelle, Yves, François, Raymond… : des héros anonymes en bas de chez nous ! Le blessé, le pauvre, la victime, le malade sont au cœur de nos villes. La société les nomme sans domicile fixe. Accidentés de la vie ou simplement mal partis, poussés par le malheur sur le bord du chemin, ils sont réellement là. Ce sont des enfants du Bon Dieu.

Avec Thierry, autre membre historique de l'association, j’ai passé une soirée de grande fraternité avec ces gens plein d’honneur, de dignité et de gentillesse dans le cadre de la maraude de l’Action Sociale et Populaire. Tous les dix jours, le Pasteur Blanchard, son épouse Catherine et une équipe de maraudeurs bénévoles partent dans les premiers arrondissements de Paris, à la rencontre de ces hommes et de ces femmes qui dorment dehors.

 

Oscar 22.JPG

 

Mais ces maraudes sont plus qu’une distribution de soupe, de café chaud ou de vêtements ; le Pasteur Blanchard écoute ces français ou ces étrangers qu’il embrasse et réconforte chaleureusement par des paroles magnifiques. Affublé de son col romain, notre homme de Foi part à la reconnaissance de l'autre au-delà de sa situation de vulnérabilité.

Bravo à toi Pasteur : tu fais honneur à ta foi et à ces gens. Merci à toute cette généreuse équipe, cheville ouvrière des opérations et à Louis Aliot qui me succèdera pour la maraude de clôture en apportant un peu de joie à tous ces "anonymes" de la rue. Merci à toi cher Pasteur pour ce grand moment de charité. Sois remercié au nom de tous les nôtres.

 

Oscar 

08/02/2013

MARAUDE DU 07/02/2013.

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IMPRESSIONS DE MARAUDE...

Maraude du 18 12 2012 (5).JPG 

Par Christophe Boudot,

secrétaire départemental FN du Rhône,

membre du bureau politique

  

La Maraude du Pasteur Blanchard..., rendez-vous est pris Porte d'Italie où le Pasteur m'attend en compagnie de son épouse, Catherine et de mon homologue responsable départemental du FN 93, Gilles Clavel.

Il est déjà 21h et une nuit de maraude, de partages avec ceux qui n'ont plus rien m'attend. C'est Noël, une nuit de gala est devant nous !

Qui se trouvent sous les piles de cartons ?  A bien y regarder, ce sont des dizaines et dizaines de pauvres gars dont la forme recroquevillée se détache soudain des trottoirs parisiens. Privilégiant les grilles d'aération du métro ou les portes cochères, nos amis semblent soudain sugir de partout. Ils cherchent le sommeil malgré le froid et le vacarme incessant des véhicules qui, parfois, les frôlent.

Les rôles sont bien répartis. Bruno Gollnisch qui arrive du Portugal nous ayant rejoint est préposé à la distribution des chocolats de NoëlS Ses connaissances linguistiques vont nous être bien utiles, il peut parler six ou sept langues. Gilles distribuera les boites de sardines et le café pendant que je fouillerai dans les sacs à la recherche des vêtements et chaussures à la bonne taille.

 

Maraude du 18 12 2012 (10).JPG

 

Nous abordons un petit groupe : des polonais. Ils connaissent bien le Pasteur qui les aide régulièrement. Celui-ci sait les détendre et lance un bon mot pour chacun. Patrick qui vit sous ce pont près des Invalides depuis dix-sept ans, un autre plus loin , Michel qui a arrêté de boire s'étant mal remis du décès d'un camarade.  Et puis, il y a  Yves. Celui-ci lit un pavé de huit cents pages, "l'homme convenable"  à la maigre lueur d'un panneau publicitaire.

Maintenant, nous abordons un autre quartier et voilà Francis, une célèbrité locale. Il sort de l'hôpital mais a de nouveau rassemblé ses cartons, ses couvertures. Il demande des tee-shirts, des rasoirs. Catherine qui a l'habitude rassemble tout cela. Gilles lui trouve même une paire de chaussures à sa taille. Francis est heureux et son sourire est notre récompense. Parfois, la police de la ville vient le chasser ou pire l'oblige à dormir dans les centres d'accueil de Montrouge ou Nanterre. "Ils sont trop loin et nous accueillent dans la saleté et l'insécurité. De toute façon, ils nous remettent dehors à 5H30 du matin. Même pas le temps de se réchauffer..." déclare-t-il avec une certaine résignation.

Puis la voiture roule sur les quais de la Seine, tout à coup, près de Bercy se dresse un campement assez hétéroclite.  Des jeunes roumains échoués là nous font signe. Ils cherchent des chaussures, certains sont pieds-nus, nous leur donnons aussi des pulls et des manteaux. Une jeune fille sort de sa tanière de cartons et de bâches multicolores. Elle n'a pas plus de seize ans. Nous lui trouvons un joli blouson bien chaud, elle le prend sans mot dire avec une paire de bottes. Quelques minutes après, je repasse près d'eux et remarque que le blouson n'est plus sur ses épaules mais sur celui de son compagnon.

Il est 1h30, nous approchons de la fin. Les énormes sacs de couvertures, pulls, chaussures... préparés par le Pasteur et son épouse sont presque vides. Nous repérons un groupe de gens couchés à l'entrée d'un magasin de chaussures de marque,  boulevard des Capucines. Une femme âgée se réveille à notre bonsoir. Les autres dorment, elle me demande des chaussures. Miracle ! La paire de bottes fourrées qui reste est à sa taille. L'éclair de joie qui brille dans ses yeux me comble. Puis, très vite, elle se rendort après avoir remercié le Pasteur et toute l'équipe pour leur gentillesse.

Il est 2h30, Bruno Gollnisch nous invite à terminer la soirée dans une brasserie ,rue de la paix près de l'Opéra. Un café et la conversation devient philosophique. Au bout d'une heure de discussion intense sur la pauvreté en France et sur l'aide sociale que, nous patriotes pouvons apporter à ces malheureux, chacun se quitte en se promettant de se revoir bien vite pour recommencer.

Merci au Pasteur à son épouse, à Bruno et à Gilles. Cette nuit-là, nous avons simplement aidé et réchauffé un peu les coeurs de ces naufragés de la vie qui vivent par milliers sous nos fenêtres et que nous ne voyons plus... 

 

Christophe Boudot

25/01/2013

MARAUDE DU 24/01/2013.

 

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