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19/02/2021

Ancienne maraude.......

 

 

 

Par le pasteur Blanchard.

 

 

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Tous les amis qui viennent marauder sont surpris de notre familiarité avec les SDF. Il faut dire que nous sommes dans notre douzième campagne de maraudes. Le temps à fait que nous avons fini par nous connaître, d'un certain point de vu on peut parler d'amitié : nous finissons par avoir des informations sur leur vie, leurs épreuves, ce dont ils ont réellement besoin au-delà des problèmes matériels qu'ils traversent.

 

 

C’est de véritable empathie dont ils ont besoin. Celle-ci, ils ne la trouvent pas dans les grandes associations. Il faut croire qu'elles finissent par le perdre de vue, elles qui ont à gérer la misère à l'échelle nationale, elles ont du mal à répondre aux véritables questions que génèrent le train train quotidien.

 

 

 

Il y a un autre problème qui prend de l'ampleur : les rondes de la police pour déloger les sans domicile du pavé parisien. La loi interdisant de les déloger "manu militari", on fait tout pour les dégoûter en raflant leur bardas, les laissant sans rien sur le trottoir, avec le secret espoir que par lassitude ils quitteront Paris.

 

 

A l'origine de la démarche, il y a la gauche caviar du maire, pour qui la misère est une lèpre dans la Capitale, un abcès pullulant qu'il faut éradiquer. Il peut sembler paradoxal que des hommes classés à gauche se définissant comme humanistes au service de l'humanité soient ceux qui organisent la chasse à la misère dans les rues de la cité ; force est de constater que les bobos sont parmi ceux dont les valeurs sont totalement antagonistes avec le peuple véritable, les petits, les sans grade et cela au nom de principes désincarnés.

 

 

 

Quant à nous, continuons notre travail, pour la défense des Nôtres, pour la véritable cause du peuple.


 
 

Pasteur  Blanchard

 

 

 

 

 

 

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13/02/2021

En attendant la reprise des maraudes ...........

 

 

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Bruno GOLLNISCH : Le 18 / 12 / 2012

12/02/2021

Ancienne maraude.......

 

 

 

 

 

 

 

Par Philippe Gauthier,

auteur et essayiste

 

 

 

 

En ce 25 avril 2017, j'ai eu l'honneur d'être invité en tant qu'écrivain, notamment autour de "La Toussaint Blanche", célèbre livre  prévoyant les conséquences absolument catastrophiques de l'immigration en France de populations déracinées inassimilables, par le Pasteur Jean-Pierre Blanchard à participer à sa traditionnelle maraude de nuit auprès des pauvres gens qui vivent habituellement dehors sur nos trottoirs.

 

 

 

Cette grande maraude, démarrant de la Porte d'Italie, nous donne l'occasion unique de découvrir, à travers tous les grands axes parisiens, un autre monde que nous tous, y compris en cette soirée très proche des élections présidentielles, les ceux qui collent encore des affiches pour Mélanchon, embourgoisés dans notre confort habituel, avons du mal à comprendre.

 

 

 

Avec l'expérience du Pasteur Blanchard qui sait où se trouve son monde, car cette population n'est pas spécialement nomade, contrairement à ce qu'on pourrait croire. Elle habite son coin de trottoir ou son abri sous le métro aérien  ou encore sa bouche d'aération à ciel ouvert.

 

 

 

 

 

 

 

 

On découvre aussi parmi ces personnes sinistrées beaucoup d'européens, des polonais, des russes et même un allemand, sans doute échappé de sa patrie au miracle économique permanent.

 

 

 

Vers 1h30 du matin, nos provisions de vêtements sont déjà épuisées et notre clientèle commence à dormir à poings fermés sur les trottoirs. Il est temps de regagner notre confort.

 

 

Philippe

 

 

05/02/2021

Ancienne maraude.......In memoriam:

 

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      UN MOMENT INOUBLIABLE ! 

 

 

Francis, Isabelle, Yves, François, Raymond… Des héros anonymes en bas de chez nous ! Le blessé, le pauvre, la victime, le malade, sont au cœur de nos villes ; la société les nomme sans domicile fixe. Accidentés ou simplement mal partis, poussés par le malheur sur le bord du chemin, ils sont réellement là ; ce sont des enfants du Bon dieu. Avec des amis du Front national, j’ai passé une soirée de grande fraternité avec ces gens plein d’honneur, de dignité et de gentillesse dans le cadre de la maraude de l’Action Sociale Populaire. Tous les 10 jours, le Pasteur Blanchard, son épouse Catherine et une équipe de maraude bénévole partent dans les premiers arrondissements de Paris, à la rencontre de ces hommes et femmes qui dorment dehors.

 

 

Mais plus qu’une distribution de soupe, de café chaud ou de linge, le Pasteur Blanchard est à l’écoute de ces Français ou étrangers qu’il embrasse et réconforte chaudement par des paroles magnifiques. Affublé de son col romain notre homme de Foi procède à la reconnaissance de l'autre au-delà de sa situation de vulnérabilité. Bravo à toi Pasteur ; tu fais honneur à ta foi et à ces gens. Merci aussi à Marie-Christine Arnautu cheville ouvrière des opérations et à Jany Le Pen qui me succèdera pour la maraude de Noël en apportant des cadeaux à ces hommes et femmes merveilleux. Merci Pasteur pour ce grand moment de bonheur ; sois remercié au nom du Front national.

 

 

 

Edouard Ferrand

Membre du Bureau politique

Président du Groupe FN Bourgogne

 

30/01/2021

En attendant la reprise des maraudes ...........

 

 

 

 

 

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Maraude du 16 / 05/ 2013:

Marie-Christine ARNAUTU

29/01/2021

LES SDF ET LEURS CHIENS (2).

 

 

 

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Que va-t-il se passer ?

 

 

Les journées sont longues quand on n'a pas de toit sur la tête. Il faut trouver un abri au chaud, faire de longues marches pour rejoindre les centres qui offrent un repas ou la possibilité de se laver...

 

 

 

Un chien ou un chat peuvent tenir compagnie et réchauffer, un chien peut éviter  les agressions. Et pour beaucoup de SDF,  ils sont la  seule source d’affection. Une confiance totale, chose rarissime dans la rue, règne entre les hommes et leurs bêtes. Aussi, combien de sans-abri dorment-ils dehors à cause de l’interdiction des animaux domestiques dans les lieux d’hébergements traditionnels ? 

 

 

 

 

 

 

Inversement, quelques malins possèdent un chien pour ne pas être embarqués par la police. En effet, les commissariats ne permettant pas l’accueil des animaux, en cas de mise en garde à vue,  les agents qui laisseraient des chiens sur le trottoir peuvent s'exposer à une plainte de la SPA. Enfin, tout le monde a entendu parler du trafic dont sont victimes de pauvres bêtes, utilisées pour attirer la pitié des passants.

 

 

 

Mais il faut  savoir que pour de nombreux sans-logis , un chien ou un chat reste une porte ouverte sur le monde. Un animal de compagnie leur donne l’affection qu’ils n’ont pas pu ou su trouver auprès des autres hommes. Un animal de compagnie leur procure l'occasion d'un ultime reste du sens du devoir envers l'autre. Certes, il ne  remplace pas la sociabilité mais il permet au moins de créer un lien affectif. Si l'on retire à ces hommes ou à ces femmes ce seul rapport affectif qu’ils entretiennent encore ici-bas, la seule responsabilité contraignante qu’ils possèdent  : Que va-t-il se passer ? 

 

 

Pasteur Blanchard

 

 

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22/01/2021

LES SDF ET LEURS CHIENS (1).

 

 

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Il n'est pas rare de rencontrer des SDF accompagnés d'un ou plusieurs chiens. Cette situation est à l'origine d'un débat où deux points de vues s’affrontent.

 

 

 

Certains pensent que ces animaux seraient mieux lotis auprès d'une famille, dans une maison traditionnelle. D'autres suggèrent, qu’à partir du moment où l'animal a une personne pour s'occuper de lui, l’amour prévaut sur le confort d’un foyer stable.

 

 

 

 

Par-delà ces discussions, une raison poignante mène ces personnes sans-abri à s'accrocher à leurs compagnons : ces derniers ne les jugent pas et leur restent fidèles malgré une existence difficile. L'animal devient leur seule source de compagnie et d'amour inconditionnel. 

 

 

  

A suivre...

 

 

 

Pasteur Blanchard

 

 

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01/01/2021

Ancienne maraude.......

 

 

Impressions de maraude par Gérard D'Orsetti, membre de l'ASP.

 

 

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Sous l'égide du Pasteur Blanchard et de sa fidèle épouse Catherine est organisée par cette nuit  une maraude dans les rues de Paris.Quatre bénévoles de l'ASP ont accepté d'être de la partie.Le Pasteur Jean-Pierre Blanchard, pour ceux qui ne le connaîtraient pas est une figure de la droite nationale prolétarienne française. Chapelain de Madame Jany Le Pen, il est à l'origine des mémorables "soupes de Saint-Lazare".

 

Pour revenir à ce soir, la température moyenne frôle les moins cinq degrès et la tournée bat son plein. Renée offre des soupes chaudes, du café ou du thé tandis que je m'attèle à distribuer les vêtements confortables, bienvenus contre ce froid qui perdure.

 

Un coup de poing : le nombre de SDF qui dorment à même le sol et doivent braver l'hiver. En majorité, ils sont français de souche ou polonais et connaissent bien le Pasteur Blanchard qui leur apporte ce soir-là un peu de chaleur inespérée...

 

La distribution est une chose mais ce que nos yeux voient et ce que nos oreilles entendent en est une autre. Cela dépasse l'imagination. D'abord, tous ces hommes, ces femmes, ces enfants qui dorment sur le trottoir devant les vitrines des boutiques chics du quartier de l'Opéra. Ensuite, un peu plus loin, comme pour préserver une  certaine intimité, ces hommes jeunes ou moins jeunes qui, le visage livide et cachés sous de misérables couvertures nous interpellent..."Soupe !" "Soupe SVP !" "Café ?"...

 

Des images poignantes se gravent à vie dans nos mémoires... Celles de ces bagnards du dehors, prisonniers de la manche et figés dans le froid de cette nuit du mois d'avril. Une énigme ? 

 

 

 

"....L'argent, les femmes..., j'ai tout eu soupire, Gérard, mais tout a foutu le camp ! J'ai tout perdu et je suis devenu une loque ! Sans famille, c'est dur !"  Xavier, quarante-cinq ans nous fait savoir qu'il a les moyens de travailler et qu'il peut s'en sortir seul mais le problème : "avoir un logement, c'est très difficile. Pouvez-vous m'aider ? Je ne suis pas du tout raciste mais il faut d'abord donner la priorité aux francais... car il y a de plus en plus de profiteurs venus de l'étranger !" Il est 1h00 du matin, sur le conseil du Pasteur, j'appelle le 115. Au bout d'une quarantaine de minutes, toujours le même refrain : "Bonjour, toutes les lignes de votre correspondant sont occupées. Veuillez rappeler ultérieurement."

 

1h30 du matin sous le pont de Grenelle, Patrick est heureux de nous voir et nous demande d'emblée un café et un pantalon.  Nous lui rajoutons un pull bien épais. Sur un ton agressif, il s'emporte contre le système d'hébergement d'urgence qui privilégie les étrangers "qui ne parlent même pas le français.". Il  rajoute que la visite de Madame Jany Le Pen, un soir d'hiver l'avait ému aux larmes.

 

2h00 du matin, sur un trottoir qui longe le ministère des finances (tout un symbole), un homme dort sur des ordures. Son visage est tuméfié, rongé par la tristesse. Lui aussi nous appelle "Soupe !" "Soupe !"  Philippe, bouleversé par son état de délabrement s'empresse de le servir deux fois.  Tout aussi ému, je pose la question : "combien de SDF comme celui-ci dans toute la France ?" . 

 

Comment des femmes et des hommes peuvent-ils tomber si bas ? La rupture du lien familial est-elle la caractéristique des sans-logis ? En France, nous avons tendance à sacrifier la solidarité familiale naturelle au profit d'une solidarité d'Etat, souvent artificielle et parfois inaccessible. Cette maraude pour laquelle Farid Smahi et moi remercions le Pasteur a été riche d'évènements et d'enseignements. Nous sommes d'accord pour dire que renforcer la cellule familiale française est un remède primordial.

 

 

Gérard

 

 

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18/12/2020

SOLIDARITÉ EN IDF : LES MARAUDES DU PASTEUR BLANCHARD:

 

 

 

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Et si vous donniez de l’amour aux autres ? Pourquoi ne pas accompagner le Pasteur Blanchard dans ses maraudes auprès des SDF.

 

 

 

Soeur Emmanuelle disait à propos de l’amour :

 

 

« L’amour vrai, l’amour don, l’amour qui cherche la joie de l’autre. Mais combien de fois ne baptise-t-on pas amour ce qui n’est que recherche de soi-même ! Il est difficile de sortir du cercle de l’ego. Sortir de son ego, c’est jour après jour, heure par heure, minute par minute. On en est tous là. On ne sort de son ego que si on brise le cercle, le carcan dans lequel il nous enferme en nous laissant happer par quelqu’un qui nous dit que nous pouvons lui être utile, et qu’on choisit de marcher avec lui. J’ai toujours vu des hommes et des femmes refuser certains plaisirs pour lutter de toutes leurs forces vives, pour faire ressusciter ce qu’il y a d’étincelles de vie dans les autres, pour faire naître du vivant et traverser les forces de mort. C’est fantastique ! Je remercie chaque jour Dieu d’avoir donné à chaque être humain cette capacité extraordinaire d’être à sa ressemblance. »

 

 

 

Nous pensons qu’il faut arriver à décrypter le sens de la vie. C’est ardu. Pourquoi sommes-nous là ? Quel sens donner à notre vie ? La vie file très vite, comme une étoile filante. On cligne des yeux et on a déjà 20 ans, puis 30 ans, puis 40 ans … On se retourne et on regarde. Et si vivre n’avait finalement de sens que dans une participation active au grand schéma de Dieu et pas simplement vivre pour soi ? L’intuition qui est la nôtre consiste à se dire : « Il n’est pas possible que depuis la création de l’univers et après plusieurs milliards d’années d’évolution, l’étape finale de tout ce processus soit celle qui a permis la naissance de la télé-réalité et de la junk food » . L’homme doit prendre sa part dans la construction de la cité de Dieu. Participer à l’harmonie du tout. Devenir un jardinier de Dieu. Et si notre bien-être et notre bonheur ne se construisaient pas contre les autres ou en dépit des autres (vision capitaliste), mais avec les autres ? Et si le bonheur passait pas l’amour que l’on apporte à autrui, à ses enfants, à ses amis, à ses concitoyens, à notre nation, aux nations étrangères ? Vivre pleinement, sagement, respectueusement d’autrui ? Prendre sa part sans en exiger plus ? Laisser la Terre plus belle que lorsqu’on l’a soi-même trouvée ? La question est ouverte.

 

 

 

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11/12/2020

En attendant la reprise des maraudes ...........

 

 

 

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Maraude du 26/05/2016:Paul-Marie COUTEAUX  Thierry  GOURLOT