QUOI

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Société - Page 7

  • « DÉRADICALISATION » : Panique et Pitreries:

     

     

     

     

    a787c5ba7566e821265edcff9b693514-1365245080.jpg

     

     

     

    Au soir où s’écrivent ces lignes, des policiers sont encore dans la rue. Ils enragent des effets d’annonce : 250 millions naguère promis pour renforcer leurs outilde travail -millionsdont (surprise !) ils n’ont pas vu la couleur. Dans la colère, ces policiers découvrent la pratique réelle d’un gouvernement qui, depuis janvier 2015, Charlie-Hebdo et l’Hyper-Casher, simule, promet et ment.

     

     

     

    Rayon mensonge bienséant, la secrétaire d’Etat à la ville, Mme  et son fameux « Ceux qui se radicalisent viennent de partout ». Ah bon ? Lisons Le Monde du 22 avril 2016, sur la « Galaxie Molenbeek ». Voici -présomption d’innocence oblige -les « noms de baptême » des intéressés : Abdelilah -Abid -Ahmed -Ali -Ayoub -Bilal -Brahim -Hamza -Ibrahim -Khalid -Lazez -Mohamed (X 3) -Najim -Salah -Sofiane. Valeur chérie de Mme Geoffroy & co., la ‘diversité’ manque un peu dans la liste…

     

     

     

    5ee025ab740db_maxnewsworldtwo149967.jpg

     

     

     

     

    Passons à la poudre aux yeux. Là où il fallait refondre, de haut en bas, notre outil antiterroriste; passer d’un branlant échafaudage de 22 ou 23 services et entités divers (l’UCLAT) à un service resserré, agile et proactif -ce qui n’a même pas été entamé -l’Intérieur s’est lancé dans le mirage de la « déradicalisation », simulacre déjà dénoncé dans Atlantico, en septembre 2016.

     

     

    Or voici peu, la ruineuse imposture de la « déradicalisation » éclate au grand jour. Mustafa (le sort s’acharne…) est arrêté en Alsace alors qu’il rejoint en Syrie ses copains moudjahidine. Mustafa était affecté à une « structure de déradicalisation » pompeusement nommée « Centre de prévention, d’insertion et de citoyenneté » (CPIC). Avant la fuite de Mustafa, trainaient au CPIC trois paumés se demandant ce qu’ils y faisaient. Les voici deux désormais, suivis par… 25 encadrants, dans un châteaud’Indre et Loire avec chapelle (!) et budget de 1,5 million d’euros par an.

     

     

     

    Encore, disent de hauts fonctionnaires indignés du gâchis, n’est-ce rien à côté de la gabegie qui règne au « Comité interministériel de Prévention de la Délinquance et de la Radicalisation » (CIPDR).

     

     

     

    Or le projet initial même de la « déradicalisation » est inepte. Car ce ne sont pas des gens normaux, fanatisés par une doctrine mortifère, qu’il faut ramener à la raison; mais d’usage, des psychotiques sévèrement perturbés, habillant de « religion » leur pulsion de mort. Depuis Mohamed Merah en 2012, la plupart des assassins du « jihad » entrent dans cette catégorie. Ne prenons ici que le tueur au camion de Nice : Mohamed Lahouaiej Bouhlel « montre des signes de psychose dès 16 ans ». Conduit chez un psychiatre à 19 ans, il est trouvé « extrêmement violent et alcoolique ». Et le déterminisme social cher à la « culture de l’excuse » ? Bouhlel est-il un damné de la terre, errant de ghetto en bidonville ? Encore raté : ses parents sont des « fermiers aisés possédant plusieurs propriétés ».

     

     

    Plus largement : la plupart des tueurs du djihad sont des hybrides entre terreur et crime, délinquants voire criminels. Conseillons donc aux myopes du CIPDR, CPIC etc., de lire un excellent rapport britannique [analysé dans The Independent-11/07/2013 « Most young men in gangs suffer psychatric illnesses »] montrantque sur 108 membres de gangs choisis parmi 4664 sujets, 85 présentent de graves troubles psychiques (27, de lourds signes de psychose !)  la moitié des 108 étant sujets à des crises d’anxiété; un tiers ayant déjà tenté de se suicider.

     

     

    Résultat de la contagion salafiste sur de tels demi-fous, des individus sortant dans la rue, seuls ou parfois à deux, pour tuer: depuis 2014, une sanglante litanie : Nice… Würtzbourg…Münich…Ansbach…Reutlingen…Saint-Etienne du Rouvray… Londres… Un village des Hautes-Alpes…Dijon… etc. Croit-on vraiment pouvoir réinsérer de tels enragés en leur vantant, par CIPDR et CPIC interposés, les beautés du vivre-ensemble et de la diversité ?

     

     

    Ouvrons une seconde piste. En février 2006, Le Monde présentait une étude des Renseignements généraux intitulée « Origine des meneurs de bandes organisées opérant en ZUS/quartiers « sensibles ». Sur 100 caïds (le profil des troupes ne devant pas différer beaucoup…) 67% étaient d’origine maghrébine », 17% provenaient d’Afrique subsaharienne ». (et 9% de Français de souche).

     

     

    Au croisement de ces deux séries de données, voici sans doute le riche vivier où repérer, dans les milliers de « radicalisés » diversement dangereux, les quelques bombes humaines pouvant brutalement basculer dans le massacre. Une voie que le gouvernement s’est par avance bouchée par bienséance et obsession du politiquement correct.

     

     

     

    Xavier Raufer pour atlantico

     

  • La fraude aux allocs explose. À qui la faute ?

     

     

     

     

    les-prets-caf-default-29107-0.jpg

     

     

     

     

    La fraude entretient un climat malsain et répand un sentiment d’injustice qui deviendra explosif.Dans son rapport annuel publié jeudi dernier, la Caisse nationale d’allocations familiales (CNAF) nous informe que, pour 2019, ce sont près de 40.000 fraudes (+22 % par rapport à 2018) qui ont été détectées, pour un total de près de 250 millions d’euros (+18 % par rapport à 2018), soit une moyenne de 6.250 euros par fraude. Près de 75 % des fraudes sont dues à des omissions ou de fausses déclarations, notamment sur les ressources réelles perçues. C’est le RSA qui constitue le « poids lourd » de la fraude aux allocations, soit 68,5 % des fraudes avérées.

     

     

    Depuis quelques années, les contrôles sont mieux ciblés, notamment grâce au « data mining », qui permet d’extraire automatiquement des informations grâce à des méthodes statistiques et mathématiques, révélant donc des incohérences. De plus, les contrôles au domicile se sont vus renforcés et continueront de l’être.

     

     

    On pourrait me rétorquer, et à raison, que comparée aux 2,6 milliards d’euros récupérés en 2019 via des évadés fiscaux « repentis », la fraude aux prestations sociales est insignifiante. Cependant, et au-delà des chiffres, le problème n’est pas de savoir qui, entre celui qui trompe la CAF et celui qui cache son argent à l’étranger, est le pire des salauds. Ce n’est pas parce qu’il existe pire que soit que l’on gagne forcément en vertu. Au final, le fraudeur de prestations sociales et le fraudeur fiscal sont jumeaux en idées, seuls leurs moyens pour abuser de la communauté nationale pour faire du profit divergent. En somme, leur philosophie est la même que Hollande, « ça ne coûte rien, c’est l’État qui paye ».

     

     

    Pour La Dépêche du Midi, la fraude aux allocations ne serait qu’une « fraude de survie ». Soit un joli qualificatif en forme d’excuse trouvé afin de ne pas vexer les fraudeurs en question, mais également pour ne pas affoler les contributeurs, puisque au lieu d’assister des vies, ils les sauvent ! Une « fraude de survie » ne servirait donc pas à s’enrichir mais juste à améliorer les fins de mois. Donc, si l’on vole son voisin sans chercher à s’enrichir, s’agit-il d’un « vol de survie » ?

     

     

    La fraude est comme un mensonge ayant une valeur monétaire : il entretient un climat malsain et répand un sentiment d’injustice qui deviendra explosif. Quant au système de protection sociale lui-même, force est de constater qu’avec plus de 70 milliards d’euros dépensés en prestations diverses à 11,8 millions d’allocataires, la fraude ne concernerait donc que 0,33 % de la population des bénéficiaires. Cependant, cette colossale somme d’argent, correspondant à huit fois le budget de la justice, démontre un constat encore plus alarmant que la fraude.

     

     

    Notre système de protection sociale devait, à son origine, juste « aider les plus nécessiteux à court terme ». Aujourd’hui, il est devenu pour beaucoup un « complément de revenu », créant donc une dépendance dangereuse vis-à-vis de l’État. Ce dernier, pour pérenniser le système, n’a d’autre choix que d’emprunter. Comme le disait Reagan : « L’État ne règle pas les problèmes, il les subventionne. »

     

     

     

     

  • La pauvreté s’accroît dangereusement en Île-de-France : à qui la faute ?

     

     

    1950473710.jpg

     

     

     

    15 % des 12 millions d’habitants disposeraient de mois de 990 € par mois.

     

     

     
     
    Avocat
     
     
    76
    SHARES
     
     

    Selon une étude du Secours catholique, la pauvreté s’accroît dangereusement en Île-de-France depuis 2004. 15 % des 12 millions d’habitants disposeraient de mois de 990 € par mois et par « unité de consommation », dont la moitié à moins de 750 € par mois. Et, toujours selon ce document, les enfants seraient particulièrement touchés, avec 24,3 % d’entre eux sous le seuil de pauvreté.

     

     

    L’organisation caritative indique également que, hors Paris et les Hauts-de-Seine, « les revenus fiscaux des 10 % des ménages les plus modestes ont moins progressé au cours des dix dernières années que le revenu médian ». Selon elle, la politique des logements sociaux est inadaptée au profil des demandeurs, souvent très modestes et incapables d’accéder aux logements sociaux qui leur sont proposés. Elle souhaite un changement radical de la politique d’aménagement avec « un plan de construction de logements réellement accessibles aux personnes les plus pauvres ».

     

     

    En ligne de mire, la nouvelle majorité régionale qui a supprimé les aides au logement « très sociaux », au motif qu’il convient de ne pas empiler la pauvreté sur la pauvreté, alors que 90 communes sur 1.300 concentrent 66 % du parc social.

     

     

    Derrière les chiffres se profile le résultat d’une politique au goût amer. Une politique qui a tout misé sur l’accompagnement social à coups d’allocations, au lieu de lutter efficacement contre les causes de cette progression impressionnante.

     

     

    Il a été dit et redit que le système d’allocations familiales, dont de plus en plus de familles « aisées » sont progressivement exclues, était passé d’un principe de distribution d’aides aux familles qui ont des enfants – pour compenser la charge qui pèse sur les familles au bénéfice de la société tout entière – vers un système de redistribution sociale : au lieu d’aider indifféremment les familles nombreuses, on aide les familles pauvres. Résultat, les classes moyennes et supérieures ont moins d’enfants, et les autres tombent dans une « trappe à pauvreté » : quand les allocations permettent de toucher un revenu plus important qu’un petit salaire, qui sera amputé de frais de garde, travailler perd tout intérêt.

     

     

    Mais ce système est également une machine à acheter la paix sociale, et, pour nos gouvernants, cela n’a pas de prix. Sauf celui de la révolte qui éclatera le jour où, à bout de ressources, l’État ne pourra plus le financer. Parce que ce généreux édifice d’allocations a l’âge de ses artères : 70 ans ! Conçu après-guerre, dans une période où la reconstruction matérielle et morale du pays nécessitait la mise en place d’une politique ambitieuse de développement économique et de natalité, il a cessé depuis longtemps de remplir cette fonction. Désormais, il profite essentiellement aux familles immigrées, dont la natalité galopante soutient artificiellement le taux de fécondité officiel des femmes françaises. Or, et ce n’est pas une coïncidence, ces populations sont aussi celles dont les revenus fiscaux sont les plus faibles.

     

     

    Cette aggravation de la pauvreté est donc partiellement liée à la politique migratoire qui concentre les flux dans les cités de grandes agglomérations. Un petit tour à la Caisse d’allocations familiales en convainc rapidement… Le drame, c’est que les populations françaises « de souche » sont également touchées. La caissière de Carrefour, à mi-temps, mère isolée avec deux enfants, en sait quelque chose. Et cela ne semble pas préoccuper nos gouvernants, parce que la caissière n’a pas l’habitude de casser pour manifester son mécontentement.

     

     

     

    Cette politique sociale doit donc être repensée en profondeur. Avec une question centrale : à qui veut-on qu’elle profite, et avec quel objectif ? 

     

     

  • Plus notre société est moribonde, plus elle refuse la mort:

     

     

     

    b28c7517283f9e57d25d7ceaa99cbd66.jpeg

     

     

     

     

    Ecrivain, musicienne, plasticienne
     
     
     
     

    J’ai évoqué, ici, il y a quelques semaines, un sujet particulièrement brûlant dans la mesure où il est propre à déchaîner des passions (un rapide coup d’œil aux réactions de certains lecteurs m’en a d’ailleurs encore apporté la preuve). Je parle de la fin de vie. De la mort. Pas de celle qu’on voudrait pouvoir donner, cette euthanasie dont Arnaud  Montebourg regrettait à l'époque qu’elle figurât parmi les promesses non tenues de François Hollande. Non, tout simplement la mort qui vient et que toute notre société refuse – le corps médical en tête.

     

     

    Notre monde est agité de toute part par de pseudo-guerres de religion qui sont, avant tout, des guerres de civilisation ; on brandit cette phrase de Malraux, sortie de son contexte et de son sens, qui annonçait un XXIe siècle religieux pour échapper au néant qui faillit nous emporter au XXe. On s’assassine au nom de rituels et de prescriptions qui ne sont que matériels et la religion n’est parfois – et de plus en plus – qu’un sujet d’affrontements et un prétexte à la conquête par la violence et la contrainte. Mais la foi, la vraie ? La spiritualité ? L’acceptation apaisée de ce qui nous échoit ? L’amour du prochain, de « l’autre comme soi-même », où est-il ?

     

     

    Évidemment pas chez les plus fanatiques quand ils brandissent le glaive et lâchent leurs bombes, mais pas non plus à l’hôpital. Ni chez ceux qui refusent l’évidence pour maintenir un proche à l’état de mort vivant, le condamnant – au nom de leur foi ! – à la prison dans un corps inerte quand ils devraient le laisser aller vers ce que les anciens nommaient les champs Élysées et les chrétiens appellent le paradis.

     

     

    Entre l’égoïsme aveugle de ceux qui demeurent et la toute-puissance scientiste des usines à malades, on ne peut plus mourir en paix, au sens profond du terme.

     

     

  • L’État détourne un legs pour en faire un « centre de déradicalisation »

     

     

     

     

     


    ob_d84c10_dera.jpg

     

     

     

    Texte de François Teutsch 

     

     

     

    à propos du « centre de déradicalisation » [sic] de Beaumont-en-Véron, qui a déjà donné lieu à de nombreux articles dans la presse :

     

     

    « L’implantation scandaleuse de ce nid d’islamisme en plein cœur de la Touraine, quand il existe tant de lieux en Île-de-France – certes plus près des lieux de vie de nos dirigeants -, se double désormais d’une question juridique qui, en d’autres circonstances, aurait semblé secondaire.

     

     

    C’est, en effet, au domaine de Pontourny que cette estimable institution doit s’installer. Dans un château bâti au XVIIIe siècle appartenant à l’Assistance publique, jusque-là occupé par un centre de formation professionnelle pour jeunes filles en difficulté. Un domaine appartenant autrefois à la famille Gréban de Pontourny, que son dernier représentant, Alphonse Marie, décédé en 1896, a légué à Jean-Baptiste Turquet, en précisant que « le domaine doit avoir pour mission une œuvre charitable chrétienne avec obligation du culte catholique, un office par semaine ». En 1902, Jean-Baptiste Turquet en fait don, à son tour, à l’Assistance publique, aux mêmes conditions. Des conditions peu respectées en ce qui concerne le caractère chrétien de l’œuvre. Mais le dernier donateur pouvait-il prévoir ce qu’il adviendrait de son domaine au début du XXIe siècle ?

     

     

     

     

    Le bénéficiaire d’un legs à titre particulier doit en respecter les conditions posées par le testateur. Quel que soit le temps écoulé, il appartient à l’actuel propriétaire de se conformer aux volontés de Marie-Alphonse Gréban de Pontourny. Qui n’a sans aucun doute pas donné son accord pour que, d’institution charitable chrétienne, son domaine devienne un centre d’hébergement d’islamistes en djellaba.

     

     

    Une association de contribuables de Touraine et Bretagne, qui revendique 1.500 adhérents, a saisi un avocat pour faire respecter les volontés du dernier maître de Pontourny.

     

     

    Mais seuls les descendants de Jean-Baptiste Turquet pourraient agir judiciairement pour faire respecter la volonté de leur aïeul. Et aucun d’entre eux ne s’est manifesté à ce jour. À défaut, l’action judiciaire est irrecevable.

     

     

    Il existe de multiples manières de lutter contre l’islamisation de la France. À défaut de convertir les musulmans à l’amour des paysages ligériens – moyen certainement efficace pour en faire d’authentiques Français de désir et de futurs chrétiens –, s’opposer à l’installation de tels nids de frelons en est un. Pour cela, il est indispensable qu’un descendant de Jean-Baptiste Turquet se manifeste et décide d’agir. Votre serviteur n’est malheureusement pas de ceux-là… Mais qui sait, parmi les lecteurs de Boulevard Voltaire, si l’un se trouvait, soudain, concerné par la question… Quant au financement du procès, l’association a mis en place un compte en ligne. Et là, nul besoin d’être un héritier Turquet.

     

     

    Une fois encore, le régime en place montre qu’il ne respecte rien. Qui s’en soucie ? Aimer la France, manifester son patriotisme, c’est aussi faire respecter son Histoire, son passé, son patrimoine, ses paysages. C’est considérer qu’un lieu, échu à l’État par nécessité et volonté charitable, doit conserver à la fois son âme et la destination qu’en a décidée son donateur. Mais lorsqu’on ose transformer les jardins de Versailles en écrin pour le « Vagin de la Reine », à quoi bon s’ennuyer avec les dernières volontés d’un aristocrate catholique –sans doute royaliste- de la fin du XIXe siècle ? »

     

  • LA PROCHAINE CRISE FINANCIÈRE SE RÉGLERA SUR VOTRE DOS, VOICI COMMENT:

     

     

     

    dix-ans-apres-quelles-sont-les-consequences-principales-de-la-crise-financiere-de-20081.jpg

     

    On ne connaît pas la date de la prochaine crise financière internationale, bien sûr, mais on sait exactement comment elle va se régler : par la ponction des comptes bancaires. Désormais les choses sont claires. Nous avons parlé à plusieurs reprises de la directive européenne BRRD (Bank Recovery and Resolution Directive) qui permet aux banques en situation de faillite de se renflouer en puisant directement dans les comptes de leurs clients. C’est légal en Europe depuis le 1er janvier 2016. Plus récemment nous apprenions que les Etats-Unis s’engageaient sur la même voie au moment où la Fed abandonnait un de ses mandats originaux de 1913, celui de « prêteur de dernier ressort », des banques en difficulté, justement. Dernièrement, c’est le Canada qui a adopté ce même type de procédure en instaurant un régime de recapitalisation interne des banques.

     

     

    Il s’agit d’un véritable mouvement de fond. D’autres pays ont peut être déjà adopté ces procédures d’urgence sans que les médias s’en soient fait l’écho. Nombre de pays émergents en difficulté, comme la Chine ou le Brésil, vont certainement étudier de près ces législations pour s’en inspirer. Pour le Japon, endetté à hauteur de 250% de son PIB, il s’agit désormais du seul moyen d’apurer sa dette tout en évitant l’effondrement économique.

     

     

    Car l’avantage déterminant de ce nouveau procédé est bien celui-ci : éliminer les créances pourries et un endettement insoutenable, sans provoquer d’effondrement du système financier, et donc de toute l’économie. Précédemment, c’est-à-dire pendant l’entre-deux-guerres ou immédiatement après la Deuxième Guerre mondiale, c’est par une vague d’inflation ou même d’hyperinflation que les Etats se débarrassaient de leurs dettes, en ruinant au passage les épargnants, et en provoquant également des faillites bancaires.

     

     

     

     

    crise-2008.jpg

     

     

     

     

    Aujourd’hui, compte tenu de la place prise par le système financier et du poids des banques systémiques, un tel scénario déboucherait sur un effondrement économique comparable à la crise de 1929. Voici à quoi servent les lois instituant les ponctions des comptes bancaires : organiser la faillite et la remise sur pied des banques en difficulté, en l’espace de quelques jours et dans un cadre légal, sans que l’économie réelle ne soit trop durement affectée. Au passage, l’épargnant y aura perdu tout ou partie de ses économies, mais le gouvernement et les médias lui expliqueront que « pour éviter un krach économique majeur, et que vous perdiez ainsi toute votre épargne, on va vous en ponctionner 50% », sous-entendu « estimez-vous heureux, ça pourrait être pire ». Le plancher de 100.000 euros – présenté aujourd’hui comme une protection – aura été allègrement enfoncé, tout le monde aura été touché étant donné que le « Fonds européen de garantie des dépôts » peine à se mettre en place, et qu’il sera de toute façon sous-dimensionné (43 milliards d’euros, pour toute l’Europe, une blague).

     

     

    Outre la ruine des épargnants, le problème est que cette procédure consistant à se servir dans l’épargne des particuliers et des PME ne règlera rien sur le fond : les déficits publics et la course à la dette reprendront de plus belle, les banques systémiques (« too big to fail« ) seront toujours aussi instables, et une fois passé le répit apporté par cet apurement géant, quelques années plus tard, il faudra recommencer. Mais de cette façon, le système « Etats surendettés-banques systémiques » se sauve lui-même et peut continuer sa vie, tel un éléphant dans un magasin de porcelaine.

     

     
    Philippe Herlin 

     

     

    une-nouvelle-crise-financiere-quelle-probabilite-1116166.jpg

     

  • La pauvreté s’accroît dangereusement en Île-de-France : à qui la faute ?

    pauvrete-infantile-3.jpg

     

     

     

    15 % des 12 millions d’habitants disposeraient de mois de 990 € par mois.

     

     

     
     
    Avocat
     
     
    76
    SHARES
     
     

    Selon une étude du Secours catholique, la pauvreté s’accroît dangereusement en Île-de-France depuis 2004. 15 % des 12 millions d’habitants disposeraient de mois de 990 € par mois et par « unité de consommation », dont la moitié à moins de 750 € par mois. Et, toujours selon ce document, les enfants seraient particulièrement touchés, avec 24,3 % d’entre eux sous le seuil de pauvreté.

     

     

    L’organisation caritative indique également que, hors Paris et les Hauts-de-Seine, « les revenus fiscaux des 10 % des ménages les plus modestes ont moins progressé au cours des dix dernières années que le revenu médian ». Selon elle, la politique des logements sociaux est inadaptée au profil des demandeurs, souvent très modestes et incapables d’accéder aux logements sociaux qui leur sont proposés. Elle souhaite un changement radical de la politique d’aménagement avec « un plan de construction de logements réellement accessibles aux personnes les plus pauvres ».

     

    En ligne de mire, la nouvelle majorité régionale qui a supprimé les aides au logement « très sociaux », au motif qu’il convient de ne pas empiler la pauvreté sur la pauvreté, alors que 90 communes sur 1.300 concentrent 66 % du parc social.

     

     

    Derrière les chiffres se profile le résultat d’une politique au goût amer. Une politique qui a tout misé sur l’accompagnement social à coups d’allocations, au lieu de lutter efficacement contre les causes de cette progression impressionnante.

     

     

    Il a été dit et redit que le système d’allocations familiales, dont de plus en plus de familles « aisées » sont progressivement exclues, était passé d’un principe de distribution d’aides aux familles qui ont des enfants – pour compenser la charge qui pèse sur les familles au bénéfice de la société tout entière – vers un système de redistribution sociale : au lieu d’aider indifféremment les familles nombreuses, on aide les familles pauvres. Résultat, les classes moyennes et supérieures ont moins d’enfants, et les autres tombent dans une « trappe à pauvreté » : quand les allocations permettent de toucher un revenu plus important qu’un petit salaire, qui sera amputé de frais de garde, travailler perd tout intérêt.

     

     

    Mais ce système est également une machine à acheter la paix sociale, et, pour nos gouvernants, cela n’a pas de prix. Sauf celui de la révolte qui éclatera le jour où, à bout de ressources, l’État ne pourra plus le financer. Parce que ce généreux édifice d’allocations a l’âge de ses artères : 70 ans ! Conçu après-guerre, dans une période où la reconstruction matérielle et morale du pays nécessitait la mise en place d’une politique ambitieuse de développement économique et de natalité, il a cessé depuis longtemps de remplir cette fonction. Désormais, il profite essentiellement aux familles immigrées, dont la natalité galopante soutient artificiellement le taux de fécondité officiel des femmes françaises. Or, et ce n’est pas une coïncidence, ces populations sont aussi celles dont les revenus fiscaux sont les plus faibles.

     

     

    Cette aggravation de la pauvreté est donc partiellement liée à la politique migratoire qui concentre les flux dans les cités de grandes agglomérations. Un petit tour à la Caisse d’allocations familiales en convainc rapidement… Le drame, c’est que les populations françaises « de souche » sont également touchées. La caissière de Carrefour, à mi-temps, mère isolée avec deux enfants, en sait quelque chose. Et cela ne semble pas préoccuper nos gouvernants, parce que la caissière n’a pas l’habitude de casser pour manifester son mécontentement.

     

     

     

    Cette politique sociale doit donc être repensée en profondeur. Avec une question centrale : à qui veut-on qu’elle profite, et avec quel objectif ? On attend les propositions des candidats à la candidature.

     
  • DANS LE COCHON, TOUT EST BON !

     

     

     

     
     
     
     
     
    Médecin
     
     
     
     

    Greffer des organes d’animaux à la place de ceux d’hommes malades, la science en rêve depuis plus d’un siècle. C’est probablement Alexis Carrel, pionnier et magicien des sutures vasculaires, puis auteur de travaux sur la conservation d’organes vivants à des fins éventuelles de greffe, qui en entrevit le premier les fantastiques possibilités. Ce qui lui valut le prix Nobel de médecine en 1912, à moins de quarante ans. Certes, il gâcha ensuite sa renommée par des théories eugénistes que la presse de gauche actuelle qualifierait de nauséabondes (un mot qu’elle adore), sans voir bien sûr qu’elles étaient assez proches de ceux qui promeuvent aujourd’hui les diagnostics anténatals et les sélections d’embryons !

     

     

    Par sa taille et sa proximité tissulaire avec l’homme (au cœur duquel, comme chacun sait, il sommeille…), le meilleur candidat aux xénogreffes (pour les appeler par leur nom) a toujours été le cochon, par ailleurs animal commun, peu cher et facile à élever. Mais déjà difficile à maîtriser en cas de greffe entre humains, on se heurte évidemment à l’éternel problème du rejet. Pour un matériau inerte comme les valves cardiaques, on sait depuis la fin des années soixante éliminer leur caractère antigénique. Mais c’est loin de permettre la greffe d’un organe fonctionnel. En effet, le génome des porcs contient des rétrovirus spécifiques qui peuvent se transmettre à l’humain, et leurs cellules sont couvertes d’une protéine attaquée par nos anticorps, d’où des rejets systématiques.

     

     

    Aujourd’hui, la revue américaine Science, connue pour son sérieux, vient de révéler que des scientifiques avaient élevé des porcelets génétiquement modifiés pour que leurs organes soient compatibles avec les nôtres, et qu’en conséquence, des greffes de porcs à humains seront possibles « dans les deux ans ».

     

     

    S’il s’avère que, bientôt, cœur, foie, poumon… pourraient être transplantés sans passage par la longue et douloureuse attente d’un donneur humain compatible, ce serait évidemment une avancée éblouissante dans le progrès thérapeutique. Et une mauvaise nouvelle pour ceux qui misent sur le cœur artificiel… Certains, à commencer par les défenseurs de la cause animale, ne manqueront pas d’agiter des problèmes éthiques. Quant aux imams et aux rabbins, nul doute qu’ils auront là un sujet passionnant à débattre ! Mais, très immodestement, je leur suggère de répondre à une question préalable qui pourrait hâter leurs conclusions : un cochon génétiquement modifié est-il toujours un cochon ?

     

     

     

    cochon2-956x658.jpg

     

     

     

     

     

     

     

     
  • Musulmans de France… et d’ailleurs : et si l’on parlait vrai ?

     

     

     

     

    Quand la population générale compte 11,7 % d’inactifs, ils sont 29,5 % chez les musulmans…

     

     

     

     
     
     
    Ecrivain, musicienne, plasticienne
     
     
     
     

    Christian de Moliner analysait hier, pour Boulevard Voltaire, l’enquête de l’Institut Montaigne (publiée dimanche par le JDD) sur les pratiques et attentes des musulmans de France : « Un islam français est possible ».

     

     

    Libération – ça n’étonnera personne – voit dans ce rapport « de quoi […] risquer de stigmatiser une population, à contresens des ambitions affichées par l’étude », à savoir une meilleure connaissance de nos compatriotes musulmans. Et le quotidien des belles personnes qui ont de belles âmes de dénoncer : « Aussitôt rendue publique, l’enquête a été instrumentalisée par des personnalités de droite et d’extrême droite pour affûter leurs attaques contre “l’islam politique”. »

     

     

    Beaucoup plus intéressante est l’analyse d’Éric Verhaeghe sur le site atlantico.fr et interviewé sur Boulevard Voltaire ce jour… Relevant que l’Institut Montaigne « a ouvert la question avec une naïveté confondante », il explique que ce rapport « constitue en effet un très beau monument de cécité et de déni », ajoutant « par amitié pour son signataire, j’éviterai l’expression de mauvaise foi ».

     

     

    L’étude comporte ainsi des données que Libération a manifestement choisi d’ignorer : c’est, pour commencer, « la composition socio-professionnelle moyenne de la population musulmane de France ». Plus simplement « le terrifiant pourcentage d’inactifs musulmans ».

     

     

    En effet, quand la population générale compte 11,7 % d’inactifs, ils sont 29,5 % chez les musulmans. Un tiers ! Plus grave : « Le rapport montre, au passage, que les opinions les plus dures en matière religieuse sont souvent exprimées par les inactifs. » D’où cette question : est-il acceptable que « les “inactifs” revendiquent des changements de règles dans un jeu auquel ils participent de façon marginale » ? Car il apparaît bien que « les inactifs sont, aux deux tiers, mal à l’aise avec la laïcité ou lui sont hostiles, proportion inversée chez les cadres et les artisans ».

     

     

    Mais « l’auteur du rapport, écrit Verhaeghe, s’est évidemment rassuré lui-même en recourant à un artifice statistique pour faire glisser dans le “non-religieux” et le camp laïc ceux des musulmans qui réclament une reconnaissance des pratiques religieuses à l’école ». Ainsi, « l’Institut Montaigne a beau jeu d’expliquer que le respect du halal n’est pas religieux, l’évidence raisonnable soutient le contraire. Avec trois quarts des musulmans de France qui réclament du halal à l’école, on est en tout cas très, très loin d’un islam de France respectueux de la laïcité et des règles républicaines. »

     

     

    Hasard du calendrier, l’émission « Vox Pop » (Arte) de ce dimanche soir se penchait sur « le multiculturalisme britannique ».

     

    Un modèle à l’opposé des rêves d’intégration/assimilation à la française, et qui a lui aussi viré au fiasco. « Au nom du multiculturalisme, les autorités britanniques ont parfois toléré des traditions inacceptables comme les mariages forcés et les crimes d’honneur », nous dit-on. De fait, il y aurait eu au Royaume-Uni, en 2017, au moins 1.200 cas de mariages forcés. Cette même année, cinq crimes d’honneur ont été commis en Grande-Bretagne. Au Nord, à Bradford – surnommé Bradistan –, où 30 % de la population sont issus de l’immigration, une centaine de lycéennes disparaissent subitement chaque année du système scolaire pour être mariées. Qu’ont fait les autorités ? Rien jusqu’ici, par peur d’être accusées de racisme : il a fallu attendre 2014 pour que le gouvernement criminalise les mariages forcés. Et « malgré cela, le gouvernement refuse d’imposer aux élèves un cours de sensibilisation contre les mariages forcés » pour « ne pas stigmatiser les minorités ».

     
     

     

    Enfin, nos voisins s’inquiètent désormais d’une « justice parallèle qu’ils tolèrent depuis trente ans : les Islamic Sharia Councils », les tribunaux islamiques. 85 ont pignon sur rue. En mai dernier, le gouvernement a lancé une enquête indépendante sur leurs « pratiques ». Résultats en 2019…

     

     

    unnamed.jpg

     

     

     
  • Les médias veulent imposer aux Français le Grand Remplacement:

     

     

    par Gérard Brazon

     

     
     
     

     

     

     

     

    L’immigration est et restera pendant de longues années la plaie béante de nos Nations européennes et particulièrement de la France qui subit un abandon de ses élites si ce n’est une complicité active que d’aucuns appellent une trahison.

     

     

     

    On peut le voir dans les médias télévisés où est dénoncé la « blanchitude » des animateurs, des présentateurs, des artistes, des chanteurs. Bientôt il sera recommandé de s’habiller à l’africaine, de se faire des tresses, de gommer ces traits trop occidentaux. Viendra le jour, où la « blanchitude » sera demandée afin de ne pas être dénoncé comme étant raciste par la minorité blanche du Cantal ou de Corse. On mettra un blanc par ci, un autre par là pour présenter la météo, ou Euro millions.

     

     

     

    Aujourd’hui, dans nos séries télés, il n’y a que du blancos parmi les truands, les petits et grands voleurs à la tire, les violeurs et autres clients dans les commissariats politiquement corrects. Vous y verrez des commissaires noirs, des procureurs d’origine maghrébine, et des blancos aux ordres, et se faisant engueuler. Ils sont tellement cons les blancos n’est-ce pas ! C’est la mode, c’est la norme.  Il parait qu’il faut enfoncer ça dans le crâne des franchouillards. L’idée est de les habituer, eux, les blancs encore majoritaires chez eux en France, qu’ils ne sont plus les patrons de leur destinée civique, professionnelle, voire affective. Qu’il n’y a pas besoin d’être blanc pour être dans la hiérarchie. Cela dit, si le commissaire, le procureur, le juge, l’avocat, le chef d’entreprise mérite par son travail le poste qu’il occupe, je n’y vois pas d’inconvénient. C’est seulement cette surreprésentation qui m’agace.

     

     

     

    Où sont passés les délinquants des cités dans les films et téléfilms ? Ils s’appellent tous Kévin, Édouard, Martin ? Pas de Mohamed, ni de Mamadou ? Les cités sont donc des havres de paix où la blanche colombe côtoie le gentil renard ? Où les chats noirs font la bise aux caniches blancs ? Pourtant, tout nous indique que les caniches se sont fait la malle depuis longtemps. Les médias ont  beau  refuser de mettre les prénoms, de signaler les aspects vestimentaires, de faire l’impasse sur les origines, sauf si c’est un Français de souche, un Breton, un Percheron, un Bordelais, rien n’y fait, on sait d’où vient l’acteur. Je ne sais même pas comment un journaliste peut vivre en se regardant dans la glace en escamotant une partie de l’info ? Sur ordre ?

     

     

     

    Les Rebeus (Beur) et le Renois (Noir) dans le camp des gentils ? Les Babtous (Blanc) dans celui des méchants ? Elle n’est pas belle la vie chez les scénaristes, les réalisateurs de films, les idéologues de la bien-pensance ?

     

     

     

    Amusez-vous à regarder ces petits téléfilms qui sévissent sur toutes les chaînes, (Profilage, Deux flics sur les docks, Un juge et un flic, Alice Nevers, Plus belle la vie, etc.) Les méchants sont toujours les mêmes. À se demander si les commissariats de banlieues existent, si les tribunaux de Bobigny, Nanterre, Lyon, Marseille, Bordeaux existent. Il suffit pourtant d’aller regarder la liste des jugements en cours, devant chaque salle, pour réaliser la vérité cachée par les réalisateurs. La délinquance n’est pas exclusivement « babtou« . Vous le savez, je le sais, mais cette oligarchie socialisante qui règne sur les médias et le monde des artistes tente de nous faire avaler des couleuvres de toutes les couleurs.

     

     

     

    C’est à nous de faire le tri. C’est à nous de regarder ces films avec la distance requise pour éviter de tomber dans le premier degré de la béatitude bien-pensante.

     

     

     

    C’est à nous de protester, de signaler ces dérives, de dire qu’ils cessent de nous prendre pour des nigauds.

     

     

    Ils ne cesseront pas bien sûr, ni ne s’excuseront, mais j’ai la certitude que demain, comme aujourd’hui sur certaines radios on entendra la complainte des médias se plaignant de la baisse de leur audimat, sur le manque de confiance envers des journaux d’informations cadrés.

     

     

    Le pouvoir médiatique change de main. Aujourd’hui, les journaux qui ont la confiance des lecteurs ne sont plus les journaux de la presse écrite, pas plus que les journaux des 20h. Ils sont sur Internet avec Riposte Laïque, et d’autres. Les Français regardent de plus en plus les infos officielles, d’un derrière distrait comme le dirait Gilbert Collard. Ils ont bien raison. Ils ont appris et continueront à apprendre à se méfier de ces diffuseurs officiels de l’information prémâchée de l’agence d’état bien-pensant qu’est l’AFP.

     

     

     

    Voici un exemple de ces dérives signalées. Une image symbolique et un désir de nier les appartenances à la culture du pays qui accueille l’immigré.

     

     

     

    Jack Lang milite depuis longtemps pour une attention plus grande portée à l’enseignement de la langue arabe. C’est la quatrième langue la plus parlée au monde, dit-il, la sixième officielle des Nations Unies, la cinquième en France. Nous sommes dans un pays où la langue arabe devrait être reine. (Sans commentaire)

     

     

     

     

     

     

    Gérard Brazon