28/11/2011
LE 31 OCTOBRE 2010...
Les pirates passaient à l'abordage,
s'étant jurés de couler ce blog.
Mais, cela n'a pas marché !
Leur coup a manqué !
De nombreux témoignages demeurent
et tout n'est pas parti en fumée ;
notamment les souvenirs de la maraude
de Noël 2009
avec notre ami le docteur Merlin.
Est-ce la magie
de Merlin l'enchanteur ?
Ou la voix de Merlin le chanteur ?
Ou la parole de Merlin l'homme de coeur ?
07:20 Publié dans C'était hier | Lien permanent | Commentaires (0)
ON VEUT NOUS FAIRE TAIRE : POURQUOI ?
C’est dans la nuit du 31 octobre à 23h29mn,heure de Paris, que les pirates gauchistes ont boucané de leurs fumées, sinon sataniques, du moins virales. Notre blog a été vandalisé par un groupe de vauriens, alias "Noël Vaincra!".
Les données qu'ils ont détruites sont irrémédiablement perdues : une partie de cinq années de travail est partie en fumée ! Heureusement, nous avons récupéré sur internet une partie des archives, notamment tous les reportages sur les maraudes qui sont passées sur NPI. Ce fut un travail de bénédictin. Mais beaucoup de textes et quelques photos sont irrémédiablement détruits.
Qui a voulu nous faire ballonner ? Des concurrents de notre famille politique jaloux de nos succès ? Des gauchistes qui ne supportent pas de voir une association proche de la droite nationale occuper le terrain du social qu'ils considèrent comme leur chasse gardée ? Des officines gouvernementales pour qui la montée du FN est un cauchemar ?
En tout cas, nous avons portés plainte contre X pour :
♦ accès et maintien frauduleux dans un système de traitement automatisé de données.
♦ ajout et suppressions de données.
♦ entrave à un système de données informatisé
(code pénal: 323-1-2-3).
Le dossier est entre les mains de notre avocat Monsieur Wallerand de Saint-Just. Amis adhérents et sympathisants du Front National, la seule réponse à cet acte de piratage odieux consiste à visiter massivement notre blog ! Disons non au terrorisme intellectuel ! Montrons à nos ennemis que nous ne nous laissons pas intimider.
Pasteur Blanchard
Président de l'ASP
07:10 Publié dans Editorial | Lien permanent | Commentaires (5)
25/11/2011
IMPRESSIONS DE MARAUDES...
Par le pasteur Blanchard.
Tous les amis qui viennent marauder sont surpris de notrefamiliarité avec les SDF. Il faut dire que nous sommes dans notre cinquième campagne de maraudes. Le temps à fait que nous avons fini par nous connaître, d'un certain point de vu on peut parler d'amitié : nous finissons par avoir des informations sur leur vie, leurs épreuves, ce dont ils ont réellement besoin au-delà des problèmes matériels qu'ils traversent.
C’est de véritable empathie dont ils ont besoin. Celle-ci, ils ne la trouvent pas dans les grandes associations. Il faut croire qu'elles finissent par le perdre de vue, elles qui ont à gérer la misère à l'échelle nationale, elles ont du mal à répondre aux véritables questions que génèrent le train train quotidien.
Il y a un autre problème qui prend de l'ampleur : Les rondes de la police pour déloger les sans domicile du pavé parisien. La loi interdisant de les déloger "manu militari", on fait tout pour les dégoûter en raflant leur bardas, les laissant sans rien sur le trottoir, avec le secret espoir que par lassitude ils quitteront Paris. A l'origine de la démarche, il y a la gauche caviar du maire, pour qui la misère est une lèpre dans la Capitale, un abcès pullulant qu'il faut éradiquer. Il peut sembler paradoxal que des hommes classés à gauche se définissant comme humanistes au service de l'humanité soient ceux qui organisent la chasse à la misère dans les rues de la cité ; force est de constater que les bobos sont parmi ceux dont les valeurs sont totalement antagonistes avec le peuple véritable, les petits, les sans grade et cela au nom de principes désincarnés.
CLIC
Quant à nous, continuons notre travail, pour la défense des Nôtres, pour la véritable cause du peuple.
Pasteur Blanchard
07:43 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (0)
MARAUDE DU 22 NOVEMBRE 2011.
Cliquer ICI
07:00 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (0)
24/11/2011
LES TGV ROULENT SUR LE PAIN DES PAUVRES (1).
Personne ne discute les immenses agréments qu'offrent ces TGV,
aux riches voyageurs qui voient défiler
à toute allure la campagne à bord des magnifiques jouets.
Et pourtant, comme nous allons le montrer,
nous roulons, alors, sur le pain des pauvres.
Comment se manifeste cette ruine ?
Un rapport de la Cour des Comptes sur "La réforme ferroviaire de 1997"
a démontré que les TGV sont largement à la source de la ruine de la SNCF.
Le rapport dénonce "Le lourd endettement de la SNCF induit principalement
par les investissements considérables effectués
pour construire et équiper les lignes nouvelles à grande vitesse".
Étant donné les chiffres, l'importance de ces dettes contribue largement
à l'endettement abyssal de la nation tout entière.
En effet, pour les analystes honnêtes, il n'y a pas de distinction à faire
entre les dettes de la SNCF et les dettes globales de la nation.
Et en visant la SNCF, nous incluons Réseau Ferré de France
ou RFF, les deux étant complètement imbriqués.
L'effet de ruine est patent, compte tenu de la charge massive des intérêts
et de la multiplication abusive sur trente ans de la construction des TGV.
La paupérisation du pays en est la conséquence et,
comme il est de règle, cette paupérisation
frappe particulièrement les plus faibles.
A suivre le 22/11/2011 à 10 heures 55...
17:20 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
LES TGV ROULENT SUR LE PAIN DES PAUVRES (2).
17:15 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
LES TGV ROULENT SUR LE PAIN DES PAUVRES (3).
L'IDEOLOGIE
DU "TOUT TGV"
D'où vient cette idéologie du "tout TGV" ?
Plusieurs phénomènes dus à l’économie dirigée se rencontrent :
la volonté ardente des multiples élus joue un rôle majeur.
Chaque maire de grande ville ou chaque président de région veut "son" TGV.
De faux motifs interviennent :
par exemple, le nombre d'emplois créés
alors que l'on cache le nombre d'emplois détruits.
Et puis, l'on proclamera comme de vrais gamins
qu'un quart d'heure ou une demi-heure de gagnés
sont source de prospérité pour la région !
Les calculs de rentabilité peuvent être biaisés.
Banques et travaux publics, la main dans la main
minorent les coûts prévisibles et majorent les retombées éventuelles :
dix ans après plus personne ne vérifie.
Certes, la ruine de la SNCF a aussi bien d'autres causes.
Il y a le statut incomparable du personnel :
un agent de la SNCF coûte 30 % plus cher
à compétences égales qu'un salarié du privé.
A ce statut s'ajoute la pléthore de personnel
et une grande rigidité dans la gestion
avec du laxisme dans les heures de travail.
Le maintien abusif de liaisons secondaires sous-employées
sous la pression des élus est aussi un facteur ;
ces liaisons auraient pu facilement être supprimées
et remplacées par des autocars qui fonctionnent très bien dans d'autres pays.
A signaler particulièrement les grèves à répétition, évoquées ci-dessus.
Nous venons ces jours-ci d'en connaître deux exemples.
Il y eut d'abord cette forme particulière de grève qu'est le droit au retrait.
Un contrôleur avait été tué ce qui est certes inadmissible :
les cheminots en ont profité pour punir cruellement les voyageurs
en paralysant le pays pendant plusieurs jours.
Et rebelote quelques jours après pour d'autres motifs.
En fait, nous nous trouvons devant une sorte de guerre ouverte
par les cheminots contre le reste de la population.
Depuis des décennies, la vie quotidienne de millions de Français
et en particulier de dix millions de banlieusards
est empoisonnée par des grèves à répétitions
qui ont pour résultat que les usagers sont brusquement cloués sur le quai.
Il est évident que si le droit de grève est inscrit dans la constitution,
le droit de circuler librement est inscrit dans le droit des gens
et devrait être très supérieur au droit de grève.
Dans ces circonstances,
il est exact de dire que depuis des décennies les cheminots
à la remorque de certains syndicats
ont déclaré une véritable guerre au peuple français.
Ces dysfonctionnements techniques nombreux
sont directement liés à l'idéologie du "tout TGV".
Parmi eux, se trouvent les passages à niveau.
Le tout récent et terrible accident de passage à niveau
est loin d'être le premier :
il existe 15 100 carrefours
où quotidiennement le trafic routier rencontre le trafic ferroviaire
et en 2007, ils ont été l'occasion de 115 collisions
au cours desquelles trente-huit personnes ont perdu la vie.
Les programmes de sécurisation sont terriblement lents
puisqu’il n’y a plus d’argent nulle part.
Au même moment en Allemagne,
il n’existe pratiquement plus de passages à niveau dangereux.
Il est encore un aspect majeur à signaler dans cette triste histoire.
La SNCF est soumise au bon plaisir des pouvoirs publics
ainsi que des syndicats et échappe donc au contrôle du marché.
Or, lorsque les pouvoirs publics interviennent
ils mettent du temps à s'apercevoir de leurs erreurs
alors que lorsque le marché règne
les erreurs sont corrigées au plus vite sous la pression des clients.
C'est pour cela que le 30e anniversaire de la création des TGV est à signaler.
En effet, les élus qui nous ont apporté cette catastrophe
ont pris largement leurs retraites fastueuses et imméritées,
alors que c'est maintenant seulement que les pouvoirs publics
commencent à s'apercevoir de l'erreur qui remonte à trente ans !
17:10 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
LES TGV ROULENT SUR LE PAIN DES PAUVRES (4).
initialement prévu à 9 heures 25
est annoncé avec un retard d'environ quelques heures.
17:05 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
LES TGV ROULENT SUR LE PAIN DES PAUVRES (5).
Les dirigeants reconnaissent maintenant
que le prétendu succès
s'est fait au détriment
de toutes les autres lignes secondaires et régionales.
Des spécialistes remarquent même qu'il faudrait fermer
un certain nombre de lignes à grande vitesse
ou les transformer en ligne à moindre vitesse.
Le président de la SNCF lui-même, Guillaume Pepy
a déclaré que la SNCF transporte cinq millions de voyageurs par jour
et que les TGV n'en transportent que 300 000.
Il a lancé un cri d'alarme en septembre 2010 :
"Trop de TGV risquent de tuer la SNCF et le système ferroviaire français".
Une question peut se poser :
que se serait-il passé si, au lieu de l'arbitraire, le marché avait régné ?
Il y aurait peut-être eu un seul TGV
par exemple sur la ligne Paris-Lyon-Marseille.
De riches clients auraient payé à son prix le confort incroyable
et les chemins de fer auraient eu beaucoup d'argent
pour s'occuper des lignes secondaires.
La conclusion ne peut être que mélancolique.
L'information des politiques est désormais totale
sauf aveuglement volontaire.
La SNCF est un mammouth parmi plusieurs autres
qui font souffrir le peuple français.
Un changement ne pourrait intervenir
que si le personnel politique lui-même changeait
et ce n'est pas en vue actuellement !
Michel de PONCINS
17:00 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
18/11/2011
IMPRESSIONS SUR MA PREMIERE MARAUDE...
Par le Professeur SULZER
membre du bureau politique du FN.
Porte d'Italie, le 25 octobre à 21 heures :
je retrouve le Pasteur, son épouse,
ainsi que Stéphane, un jeune militant dévoué.
Nous voilà partis
et mon rôle est de servir la soupe et le café :
les thermos seront vite épuisés.
Stéphane vous a déjà narré ses impressions sur le site
et je partage entièrement ses constats.
Cliquer ICI
Permettez-moi donc de ne vous décrire que les faits frappants.
D'abord et surtout,
nous n'avons rencontré que des européens de souche,
à l'exception d'un maghrébin émèché .
En clair, les minorités visibles protègent les leurs.
Il est probable que leurs familles s'entassent
dans des logements à la salubrité douteuse
mais aucun des leurs n'est obligé de dormir à la belle étoile.
Seul, l'Européen blanc est obligé de coucher dans la froidure.
Au vu de cela, il ne faudra pas nous étonner
de la montée en flèche des communautarismes.
J'ai découvert ce soir là une vraie question.
D'ailleurs, les SDF eux mêmes vivent en groupes
afin sans doute d'éviter les agressions.
Les SDF que nous avons rencontrés
sont d'abord des compatriotes françaises et français.
Le dialogue avec ces concitoyens, affectueux, sans agressivité
et parfois assez cultivés
montre les ravages de la désindustrialisation dans notre économie.
Leur galère est jalonnée de fermetures d'usine :
il est temps de protéger nos frontières .
Nombreux sont également les femmes
et les hommes venus des pays de l'Est.
Ils ne pensaient pas trouver un eldorado français.
La raison de leur présence est toute autre :
pour un miséreux, la France est un pays de cocagne
où le froid nocturne ne tue pas.
Ce qui donne une idée de la détresse sociale
qui règne à l'Est de l'Europe.
Et pourtant Bruxelles a versé des milliards d'euros
aux anciens pays communistes.
Où est donc passé l'argent du Fonds Social Européen ?
Et pourtant, la France s'est lourdement endettée
pour engraisser sans doute des oligarques corrompus.
Et quid du principe de libre circulation
des personnes dans l'espace Schengen ?
L'UMPS a eu tout faux.
Reste enfin l'accueil chaleureux qui nous a été réservé.
La centaine de personnes
que nous avons secourues ce soir-là
étaient heureuses de pouvoir retisser un lien humain :
la joie se lisait dans leurs yeux.
Mais, en même temps, nous n'avons pas pu rencontrer
les dizaines de milliers de leurs compagnons d'infortune ;
lesquels peuplent les boulevards des Maréchaux
ainsi que les départements de petite ceinture.
Aucune structure caritative ou publique ne peut plus traiter
le cas de ces milliers de malheureux.
Ressaisissons nous les Amis !
Car cette effroyable montée des dérives individuelles
pourrait bien être le signe avant coureur d'un naufrage collectif .
Professeur Jean Richard SULZER
CREFIGE
Université Paris Dauphine
07:23 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (0)