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18/11/2011

G.O + G.S.O = A.S.Plus.

Lumière.jpg

 

Le conseil d'administration de l'ASP s’est réuni

pour étudier deux candidatures,

afin d'ouvrir deux nouvelles délégations.

 

Les candidatures ont été acceptées.

Monsieur Thierry PELOUIN nous représentera pour le Grand Ouest,

et Monsieur Christophe GILLET pour le Sud-Ouest.

 


 
Pour le Bureau                        Pour le Conseil d'administration
 

Pasteur  BLANCHARD               Jean  CHABERNAUD
 

Président                                    Oscar  WESLEY

14/11/2011

DEXIA : LA RUINE DES CONTRIBUABLES.

Mister Who.JPG

 

Il n'est pas possible actuellement

d'ouvrir un journal sans lire de gros titres sur Dexia.

C'est l'heure des mensonges.

Un grand quotidien énonce :

"Dexia, la première banque victime de la crise".

Ce n'est pas vrai

car cette banque est victime de l'incompétence de ses dirigeants

et sans doute de beaucoup de compromissions.

Malheureusement, de nombreuses banques

souffrent du fait de la médiocrité de leurs dirigeants :

voir tous ces établissements qui, avec une légèreté coupable

ont prêté à l'État grec et, ceci, depuis longtemps

alors que les dangers étaient connus des bons analystes.

 

Un peu d'historique sur Dexia est nécessaire.

En 1987, c'était une obscure petite division

de la Caisse des Dépôts et Consignations,

finançant les collectivités locales.

Elle s'en émancipa pour devenir le crédit local de France,

coté en Bourse et privatisé.

En 1996, eût lieu un mariage avec un voisin belge à vocation similaire,

l'union recevant un nouveau nom :

 

Dexia.jpg

 

L'objectif était de devenir un des leaders mondiaux

dans le financement des collectivités locales.

L'inconvénient de ce métier est la faiblesse des marges.

Au lieu de chercher à améliorer le coeur de la profession,

les dirigeants partirent à l'aventure.

 

Ce fut, tout d'abord, la "transformation".

Ils empruntèrent à court terme pour pas très cher

et prêtèrent à long terme pour plus cher ;

une mécanique infernale était lancée.

Comme cela faisait de l'argent,

les mêmes mauvais banquiers

se lancèrent dans une boulimie d'acquisition d'entreprises,

d'activités ou même de portefeuilles :

Espagne, Italie, Japon, États-Unis étaient leurs terrains de chasse.

Tout baignait, mais ce n'était qu'une apparence.

En 2008, brusquement Dexia eût besoin

de deux cents soixante milliards d'euros,

la banque n'ayant que quatre jours de liquidités devant elle.

Les États belges, français et luxembourgeois furent appelés au secours.

Chemin faisant, l'action a perdu 94 % de sa valeur...

 

Mister LBP.jpg

UN SAUVETAGE

EN URGENCE

Nous en arrivons à la situation actuelle

où le sauvetage est organisé en urgence.

Sous réserve d'autres évolutions, car cela bouge tous les jours,

il semble que l'on s'oriente vers la seule solution logique :

vendre tout ce qui est vendable

et cantonner le reste dans une "bad bank" ou banque pourrie,

que le contribuable sera appelé à supporter,

bien sûr sans que son avis lui soit demandé.

Cela rappelle de tristes souvenirs des années 1990 :

le Crédit Lyonnais, le Crédit Foncier, la compagnie d'assurances GAN,

autres responsables de scandales d'Etat.

 

Les enseignements à tirer de cette triste histoire sont nombreux.

Il y eût certainement des multiples compromissions.

Dans ce monde, où les uns et les autres se tiennent par la barbichette,

les dirigeants principaux n'étaient certainement pas les seuls à fauter.

Avant la découverte soudaine du scandale,

il est évident que des signaux devaient exister :

pourquoi le silence ?

Les Etats sont directement responsables.

Parmi les actionnaires se trouvent non seulement les Etats français et belge,

mais aussi de faux nez comme la Caisse des Dépôts et Consignations,

instrument tout puissant de l'économie dirigée en France.

 

Mister C.jpg

LES MILLIARDS

DES CONTRIBUABLES

L'appui des Etats pour sauver les meubles a pris de multiples formes :

garanties accordées aux déposants et aux créanciers,

perspective d'accroissement des pourcentages dans le capital,

garanties des futurs emprunts éventuels lors de la remise en ordre.

Personne ne peut à ce jour, mesurer le nombre de milliards

que les contribuables devront supporter en définitive

et tout chiffre avancé peut être dépassé le lendemain.

 

Les mauvais banquiers qui siègeaient avec d'autres

dans les conseils d'administration de Dexia

ont été parfaitement enclins à pousser aux secours étatiques,

dans l'espoir que ces Etats seraient prêts

de même à venir au chevet de leur banque le cas échéant.

Simultanément, ils ont été encouragés dans leurs mauvaises pratiques.

 

Dans l'historique, nous constatons une boulimie d'acquisitions.

Rien de plus dangereux que de se lancer dans une telle course folle :

c'est se heurter inévitablement au manque de temps et de talents

pour analyser les cibles et mener à bien leur bonne gestion ultérieure,

ainsi que la cohérence de l'ensemble.

 

Pire encore, cette voracité s'est développée

dans un grand nombre de pays ;

il est périlleux de se présenter avec un grand appétit dans un pays étranger

que l'on ne connaît pas.

Les nationaux ne manquent pas de vous "refiler" des patates chaudes

ou même des traquenards juridiques

car eux seuls connaissent à fond la loi et les us et coutumes locaux.

 

Mister B.jpg

LA

RUINE

PAR LES

COLLECTIVITES LOCALES

Le métier d'origine, à savoir le financement des collectivités locales,

était considéré comme ne comportant pas de risque :

à voir !

En effet, hier, ces collectivités locales n'étaient pas tellement endettées

et ce sont les lois de décentralisations

qui les ont conduites à s'endetter davantage.

Erreur funeste, ces collectivités s'engagèrent

dans des dépenses tout à fait insensées,

pour des besoins artificiels,

parfois contractant des emprunts toxiques ;

des palais ont été bâtis sur endettement public !

La richesse nationale a gravement souffert de cet emballement.

 

La conclusion de cet ènième scandale d'Etat

est que si les dépôts ou les créances ont pu, éventuellement, être garantis,

il n'y a nul espoir pour les actionnaires.

La conséquence malheureuse

est de décourager une nouvelle fois les gens de placer leur argent

à la bourse en achetant des actions.

Ce qui est grave car, dans la déroute actuelle des marchés,

c'est justement le bon moment pour acheter,

avec évidemment la plus grande prudence,

les plus belles affaires qui sont littéralement sous évaluées.

Cette dernière conséquence est particulièrement tragique

car le développement de l'actionnariat

est une vraie nécessité pour l'accroissement de la richesse nationale.

 

Michel de Poncins

 

A suivre...

06:45 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

LA TETE A TOTO REVELEE AU GRAND PUBLIC DEFAVORISE.

Salaire.jpg

 

 

Dexia.jpg

Pierre Mariani
 
Président du comité de direction de DEXIA
 
 
Rémunération fixe
   1.200.000 euros 
Rémunération variable
      600.000 euros
Jetons de présence
               0 euros
Avantages en nature et autres
        9. 411 euros
 
  1.809. 411 euros

 

La Banque Postale.jpg

Patrick Werner
 
Président de la Banque Postale
 
Rémunération fixe
430.000 euros
Rémunération variable
275.000 euros
Jetons de présence
          0 euros
Avantages en nature et autres
    5.712 euros
 
710.712 euros

 

Crédit Agricole.jpg

Jean-Paul Chifflet
 
Directeur général du Crédit Agricole
 
Rémunération fixe
  750.000 euros
Rémunération variable
  916.000 euros
Jetons de présence
    51.000 euros
Avantages en nature et autres
    88.731 euros
 
1.805.731 euros

 

BNP.jpg

Baudouin Prot
 
Directeur général de BNP Paribas 
 
Rémunération fixe
   950.000 euros
Rémunération variable
1.674.053 euros
Jetons de présence
    84.907 euros
Avantages en nature et autres
      4.055 euros
 
2.713.015 euros

 

Pour fermer la boucle...                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                 

06:22 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

11/11/2011

LE PASTEUR PRESQUE EN DIRECT.

Le Pasteur J.P B.jpg

 

Le Pasteur Jean-Pierre Blanchard vous parle.

Ecoutez-le avec vos oreilles, tout votre coeur et votre raison.

Mais, d'abord cliquer ICI avec l'index droit

pour mieux entendre.

UNE MARAUDE AVEC LE PASTEUR BLANCHARD...

Maraude du 8 novembre 2011.jpg

 

Par Olivier Perceval

Secrétaire Général de l'Action Française.

 

Mardi 8 novembre,

sortant d’une réunion plus tôt que prévu,

je m’excusais auprès des personnes présentes un peu perplexes,  

leur expliquant que je me rendais à une maraude sur Paris.

 

Porte d’Italie, il est 21h.

Je tourne et retourne dans le quartier

avec des sens interdits toujours mal placés,

tel un maraudeur,

pour trouver enfin, avec un peu de retard,

le point de rendez-vous avec le Pasteur Blanchard,

sa femme Catherine (ben quoi, c’est pas un prêtre catholique)

et Thibault de la Tocnaye,

le fils de celui qui tenait la carabine à l’attentat du petit Clamart.

 

Le Pasteur, jovial et volubile,

nous prend en charge dans sa vieille Opel break remplie de vêtements

et nous voilà parti à la rencontre de la misère nocturne parisienne.

 

Ainsi de la porte d’Italie à Saint-Lazare,

nous distribuerons  vêtements, soupe, café

et bonnes paroles à de pauvres hères couchés dehors sous la pluie

ou un peu à l’abri sous un porche.

 

Ce qui est frappant, c’est l’accueil qui nous est fait à chaque fois :

sourires et paroles de reconnaissance nous comblent

pour un pull ou une paire de chaussettes.

Certains sont déjà endormis

lorsque nous arrivons à minuit et demi ou une heure du matin,

mais le plus souvent c’est avec bonne humeur

et même une véritable joie dans le regard

que nos Seigneurs les pauvres reçoivent

en se réveillant péniblement, notre visite.

 

Le regard.jpg

 

Je garde une forte impression de cette expérience 

en direction de ceux qui "habitent" la rue.

Qu’ils soient français ou étrangers,

leur dénuement nous amène à les regarder tous de la même façon,

solidaires dans la précarité,

ils ont besoin de l’aide

de ceux qui ont un toit qui les attend chaque soir.

 

L’Action Française doit être capable

de prendre en compte sans arrière-pensée cette réalité

qui va en s’accroissant en cette période de crise

car c’est en France que cela se passe.

 

J’ai été heureux de mieux connaître ce Pasteur atypique

aux couleurs stendhaliennes, "rouge et noir"

plébéien Sorélien et Barrésien tendance Coluche,

qui a commencé son ministère

comme éducateur spécialisé à l’Armée du Salut.

 

Dans un flot de paroles, quasi-ininterrompu,

lorsque nous cherchions les SDF à bord de sa voiture poussive

mais désormais célèbre,

l’homme qui se raconte facilement nous expliqua son itinéraire

qui le conduisit de la Gauche Prolétarienne en 68

au Front-National aujourd’hui,

ce qui ne l’empêche pas de garder fort heureusement un réel esprit critique.

Personnage fort sympathique au demeurant dont l’épouse,

très présente auprès de lui et très discrète quant à elle,

semble constituer la source et le secret de son énergie.

 

Je crois que notre compagnon d’un soir Thibault de La Tocnaye,

qui était comme moi un maraudeur occasionnel

est arrivé à la même conclusion :

ces gens là font partie de ceux qu’il faut absolument connaître,

car au delà de l’affichage "idéologique",

il y a du cœur, de la spontanéité

et une profonde et salutaire générosité.

 

Olivier Perceval

09/11/2011

MARAUDE DU 8 NOVEMBRE 2011.

Cliquer ICI

LE TROU DE LA SECU OU LA RUINE PROGRAMMEE.

 

 

Comme un rituel, le fameux trou de la sécu

revient chaque année à la fin de l'été.

Ces jours-ci, il apparaît que le fameux déficit devrait être ramené

à 13,9 milliards d'euros en 2012,

contre 18,2 milliards en 2011

et 23,9 milliards en 2010.

Le pouvoir a l'audace de crier victoire pour 2012

alors que ce sont de simples promesses et que,

même en cas de réalisation, il s'agira toujours de déficit.

La dérive financière est permanente et croissante :

en 2002 le déficit était de 3,50 milliards d'euros.

La Cour des Comptes, théoriquement chargée de surveiller,

a écrit publiquement naguère qu'elle ne pouvait rien contrôler

car il n'y avait pas de gestion.

 

Les remèdes imaginés dans le nouveau plan

sont de même nature que dans les plans précédents.

On tape au hasard sur les laboratoires,

sur les patients avec de moindres remboursements,

sur les indemnités d'arrêts de travail ;

les complémentaires santés sont appelées au secours.

La course éperdue se reproduit chaque année

vers un équilibre qui, par nature, n'existera jamais.

Cela ressemble au travail du sapeur Camembert

qui comblait un trou avec de la terre enlevée ailleurs !

 

Pour ceux qui ont la mémoire courte,

il faut rappeler qu'en 1996,

la dette était telle que le pouvoir de l'époque imagina

de la cacher sous le tapis

en créant à cette fin une bureaucratie nouvelle la CADES.

Elle devait amortir cent trente quatre milliards jusqu'en 2025

et deux impôts furent inventés dans ce but :

la CSG et la CRDS.

Comme ces impôts ne suffisent pas,

cette CADES emprunte sur le marché international

pour combler davantage.

 

Némo 1.jpg

 

L'ORIGINE

HISTORIQUE

Un rappel historique est nécessaire

si l'on veut bien comprendre

les raisons profondes de cette situation.

C'est un gouvernement quasi communiste

qui en 1946 créa la sécurité sociale,

alors que personne n'en avait besoin :

les risques qu'elle prétendait couvrir étaient,

en effet, avant la dernière guerre

très bien assurés par des circuits privés.

Le projet de nationaliser ces risques rentrait, en fait,

dans l'objectif fondamental de communiser la France.

 

En 1960 et pour mieux ramasser les sous, les URSSAF furent créés.

Indépendamment du sigle, en lui-même significatif (!),

ces organisations n'avaient pas d'existence légale

et n'en n'ont toujours pas à notre connaissance,

ceci à l'image du parti communiste lui-même.

 

Dans les gènes de l'organisation et dès le début,

le déficit probable était inscrit.

En effet, c'était et c'est toujours comme un gigantesque baquet

où l'argent arrive de toutes parts et sans beaucoup d'efforts ;

il en sort au hasard de l'humeur

des politiciens et syndicalistes momentanément aux affaires,

c'est-à-dire sans une véritable gestion.

C'est pour cela qu'il est tout à fait faux d'utiliser des expressions comme :

"assurance-maladie".

Une véritable assurance implique une série de contrats :

choix des clients, mesure du risque,

primes, indemnité en cas de sinistre, etc.

Rien de tel avec la sécu.

La preuve chiffrée de la ruine apparaît

dans les tarifs des assurances maladie sur le marché international ;

les Français qui peuvent en bénéficier

pour des raisons diverses paient moins d'un tiers

de ce qu'ils devraient verser à la sécu

pour la prétendue assurance maladie dont ils sont arrivés à s'affranchir.

Il est vrai que la sécu, pour sa défense,

pourrait faire valoir les charges d'assistance

qu'elle supporte d'une façon tout à fait abusive

en faveur d'un grand nombre d'étrangers (CMU et AME) :

même avec cette correction, la différence reste flagrante.

La télévision France 3, pourtant soumise comme d’autres à la P.U.T.

ou Pensée Unique Totalitaire, a dit un jour :

"La Sécu avait dès son départ le déficit inscrit dans ses gênes".

 

Némo 2.jpg

 

LA PAUPERISATION

INEVITABLE

Ainsi décrite cette administration imposée au peuple français

joue un rôle majeur dans la paupérisation de ce même peuple français.

Par ses dimensions titanesques après des extensions successives,

elle absorbe une large part de l'activité nationale ;

le monstre, quels que soient les changements de statut depuis sa création,

reste étroitement soumis à la dictature de syndicats

dont la légitimité est plus que douteuse et qui en tirent profit.

L'effet de ruine survient inévitablement par plusieurs canaux.

 

D'abord, les charges sociales sont meurtrières ;

ajoutées aux impôts, elles expliquent largement

la destruction permanente du tissu industriel

avec le chômage en conséquence.

Ensuite vient le caractère obligatoire du système

avec la tornade permanente des lois et règlements :

des contrats libres sont toujours créateurs de richesse,

car ils mettent en jeu la responsabilité personnelle.

 

A signaler l’asservissement progressif

de la médecine au monstre étatique ;

le système comporte direction des prix,

suppression des choix individuels,

mise au pas des médecins et de l’industrie pharmaceutique,

dictature des syndicats.

 

Il faut ajouter la stérilisation d’immenses capitaux.

De tous temps les hommes épargnaient pour le jour

où la maladie interviendrait et ces épargnes

contribuaient à la richesse générale.

Quand la sécu fut rendue obligatoire,

elle obligea tout le monde à cotiser dans son immense gouffre,

ce qui fit disparaître l’épargne correspondante

et la richesse future qu’elle devait générer,

avec notamment le jeu fabuleux des intérêts composés.

Quelle est aujourd’hui la richesse manquante

et quels sont les gigantesques capitaux qui ne sont pas nés ?

Difficile à calculer.

La quasi interdiction de la retraite par capitalisation a, aussi,

privé l'économie de montants appréciable de capitaux

que la capitalisation aurait mis en œuvre.

 

Némo 3.jpg

 

POUR LA LIBERATION

La feuille de route qu'emprunterait

un pouvoir "Libérateur" pour sortir du piège peut être définie.

 

Il y aurait la libération de l'assurance-maladie

avec la possibilité de s'assurer sur le marché international :

cela devrait être relativement facile

puisque des directives européennes sont claires à ce sujet.

Un éditorial de la revue d’information

de la mutuelle du ministère de l’Intérieur a écrit  :

"L’application des directives européennes

qui tend à faire jouer la libre concurrence va nous obliger,

un jour ou l’autre, à briser le monopole de notre sécurité sociale".

Sur le plan de la retraite

il ouvrirait une large place à la retraite par capitalisation.

Le problème des hôpitaux publics

qui sont une source de perte est connu et devrait être géré.

Également, il faudrait porter remède à l'assistance médicale

très générale sous diverses formes en faveur d'étrangers

qui seraient mieux soignés en restant chez eux.

Mais il faudrait encore que ce pouvoir libérateur

ait l'intelligence et la volonté de s'attaquer

à certaines vaches sacrées et ce n'est pas gagné d'avance.

 

Michel de Poncins

07:47 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

07/11/2011

LE DEVENIR DE LA FRANCE.

11ème cuirassiers.jpg

 

C’est de l’étranger que parviennent les quelques vérités

qui sont dissimulées aux Français par un consensus

entre gouvernants, politiciens de tous les partis et médias.

Ainsi l’une des principales chaînes de télévision américaine nous informe

que la France a été reconnue cette année aux USA comme :

«Le pays où il fait le meilleur vivre grâce à ses avantages sociaux».

 

Exagèrent-ils quand ils prédisent que notre pays connaîtra d’ici 2025

une implosion sociale sans précédent à cause de sa générosité ?

 

Générosité pour qui ?

La France a accueilli et naturalisé sans projection

une immigration maghrébine et africaine

qu’elle a du mal à intégrer

culturellement

(beaucoup de ses membres ne se sentent pas français)

et économiquement

(déficits publics et sociaux exponentiels).

 

Le problème est si grave

qu’il est politiquement tabou ;

toute allusion entraînant la suspicion de racisme.

Plus grave, aucun recensement officiel clair n’est disponible.

Seuls les statistiques indirects

permettent de dénombrer une population d'origine étrangère

d’environ douze millions de personnes ;

la plupart venant du Maghreb et d'Afrique subsaharienne.

 

A cause de cette même générosité,

de nombreux avantages sociaux

et de leurs traditions culturelles

ces "minorités" naturalisées mais souvent non intégrées

sont extrêmement dynamiques démographiquement

(regroupement familial et familles nombreuses).

Leur nombre devrait doubler en quinze années,

même, selon les études démographiques opaques 

de l’Institut National de la Statistique "de France",

soit vingt-cinq millions d'individus en 2025,

1/3 de la population française.

 

Aucune politique d’aide au retour n’étant envisageable,

 l’on peut se poser la question :

que deviendra la France ?

La réponse est évidente n’est-ce pas ?

 

Une chose est certaine,

Martine Aubry qui s’ennuie tellement

entre «français d’une seule origine»

va pouvoir se distraire pendant des années

dans la "Nouvelle France" qui se prépare !!

 

Manuel  GOMEZ

06:41 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (4)

05/11/2011

QU'EST-CE QU'UNE MARAUDE ?

Le Pasteur Blanchard et le Président Le Pen.jpg

 

Lors d'une rencontre avec Jean-Marie Le Pen, le fin linguiste qu'il est m'interrogea sur la définition du mot maraude. Il en gardait un souvenir péjoratif, lié au maraudeur : ce personnage toujours prêt à commettre des mauvais coups. Il convint qu'avec le temps les mots changent de sens.

 

Sillonner Paris.jpg

      
Je lui fis part que ce fut lors de la création du SAMU social que son fondateur Xavier Emmanuelli lança l'idée de maraude. Le principe en était simple : sillonner les rues de Paris, à la rencontre des SDF, pour leur amener soupe, café, nourriture sèche, couvertures, duvets, vêtements, sous-vêtements, chaussettes, chaussures etc.          

                                      

A la rencontre.jpg

 

C’est ce que nous faisons aussi à l'ASP : nous tournons du sud au nord de la Capitale jusqu’à 2h du matinmais le plus important pour nous, au-delà de l'aide matérielle, c’est l'écoute et le soutien moral de ceux que la vie a laissé sur le bord de la route.
 
 
Pasteur   Blanchard

04/11/2011

IMPRESSION DE PREMIERE MARAUDE...

Maraude du 25 10 2011.JPG

 

Par Stéphane

militant de l'ASP et du FN.

 

Mardi 25 octobre : après avoir fait quelques courses pour l'ASP,

je vais enfin voir de près à quoi ressemble une maraude.

Embarqués dans le vieux break chargé à ras bord de sacs,

nous avons rendez-vous vers 21h avec le professeur Sulzer porte d'Italie.

Un professeur de faculté et un employé de ménage, l'équipe est diversifiée.

Notre circuit se feras surtout rive gauche :

Alésia, Denfert, Italie, Austerlitz...

Le temps restera clément toute la nuit.

 

Jusqu'à 23h30, les sans-abri sont encore éveillés ;

beaucoup connaissent déjà le Pasteur Blanchard

et se doutaient que l'on allait passer par là ce soir.

Pendant que le pasteur leur remonte le moral,

je cherche des vêtements à leur taille.

le professeur offre soupe et café, ainsi que des boîte de sardines,

même s'ils en sont un peu lassés.

Devant l'église St Pierre de Montrouge, nous retrouvons Ulysse,

qui fait la manche toute la journée et une partie de la nuit.

Il s'y connaît un peu en économie et a de quoi causer avec le professeur.

Plus loin un groupe de cinq-six personnes, dont une femme,

occupent le terre-plein d'un carrefour ; ils nous attendaient, je pense.

Là, il y a Yves qui me parle de l'étoile du berger, Vénus, qui le protège.

Je suppose qu'il faut croire en son étoile pour tenir le coup.

 

Je remarque beaucoup d'immigrés de l'Est

et finalement on n'aura rencontré que deux Maghrébins,

dont un plutôt imbibé qui nous a baragouiné quelques vindictes...

Mais on n'est pas là pour que ça dégénère.

Il y a aussi pas mal de Français, et qui ne nous connaissent pas forcément,

ce qui rappelle que de plus en plus de monde est exposé,

et pas seulement les gens de l'est venus ici

espérant l'Eldorado avec un travail au noir.

 

Vers minuit, rue de Rivoli,

les sans-abri dorment cachés sous des couvertures

dans l'encoignure des portes des magasins de luxe.

Il s'agit alors de leur déposer des vêtements sans chercher à les réveiller.

 

Vers 1h, le coffre du break est vide :

retour à Athis-Mons.

 

Stéphane