QUOI

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

22/09/2015

La France est en guerre contre le terrorisme islamiste:

 

 

 

 

islam1-1456x648.jpg

 

 

Nous n’avons goûté qu’aux prémices d’un conflit qui s’annonce durable et cruellement meurtrier.

 

 

 

 

 

Juriste

 

SG du Collectif Culture, Libertés et Création du RBM

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Najat Vallaud-Belkacem assassine l’école publique françaiseQui connaît Christophe Rambour, torturé et séquestré durant des semaines ?Va-t-on devoir subir des débordements à chaque match de l’Algérie ?

 

 

 

 

 

 
 
      

La France est en guerre contre le terrorisme islamiste. En guerre. Oui, il faut le répéter, et prendre conscience de l’extrême gravité de la situation. Le danger est mortel. Nous n’avons goûté qu’aux prémices d’un conflit qui s’annonce durable et cruellement meurtrier. Grâce à la chance, et peut-être une protection supérieure pour les croyants, la France a échappé de peu à plusieurs massacres atroces. Pas à tous, cependant. L’armée des ombres, l’armée « islamo-racaille » internationaliste fourbit ses armes.

 

 

Bien entendu, il n’est nul besoin d’une longue démonstration pour prouver que la réponse du gouvernement est inadaptée à la situation, faible, et probablement animée d’une grande couardise. On ne fait pas la guerre avec des Numéros Verts, des célébrations festives ou les poèmes mal écrits de Christiane Taubira (jamais adressés aux gendarmes morts en mission ou aux victimes du terrorisme, soit dit en passant).

 

 

Non, on fait la guerre avec une stratégie globale, et des réponses tactiques adaptées au terrain. La stratégie globale consiste à étouffer le cœur idéologique de l’ennemi, notamment ces mosquées salafistes, ou crypto-salafistes, présentes partout en France. Elles doivent être fermées, de la même façon qu’en Égypte. On sait de source sûre que certaines mosquées, tenues par des imams ouvertement (ou discrètement) radicaux, servent aussi de plaque tournante au trafic de drogue et au trafic d’armes. La boucle est bouclée ! Autre volet stratégique, nécessaire pour lutter contre l’islamisme radical en Europe : prendre des mesures d’une fermeté absolue contre l’invasion migratoire car, parmi les bateaux chargés de migrants, il y a des terroristes formés, et certains qui le deviendront en vivant ici. En outre, le juteux chiffre d’affaires généré par les passeurs profite, pour partie, à des groupes terroristes basés au Moyen-Orient.

 

 

La réponse tactique tient en deux points : d’abord l’expulsion du territoire des étrangers fichés comme sympathisants islamistes, ainsi que la déchéance de la nationalité française des binationaux fichés ; et, last but not least, le désarmement total des « banlieues », lesquelles sont parfois malheureusement de véritables nids de sympathisants de la cause de l’islamisme guerrier. Cela aura aussi le mérite de permettre de lutter contre la criminalité de droit commun, endémique dans ces zones. En outre, les forces de l’ordre, et l’armée, devraient désormais contrôler drastiquement leurs nouvelles recrues. Il serait en effet très problématique que des islamistes s’infiltrent pour se former à l’art de la guerre ou pour mener des attaques internes.

Le journal anglais The Telegraph publiait, le 26 août, un article sur la menace terroriste qui pèse aujourd’hui sur la France, faisant état de fuites des renseignements français. Les scénarios envisagés font froid dans le dos : attaques coordonnées entre plusieurs terroristes, tirs de missiles sur des avions… L’idée de ces fanatiques est que la France subisse un attentat équivalent au 11 septembre 2001. Pour l’auteur de l’article, il est impossible que les dernières attaques soient celles de loups solitaires. Il estime que l’État Islamique aide ces meurtriers. Pourtant, François Hollande n’a qu’une obsession : abattre l’un des seuls remparts à cet État criminel, le président syrien Bachar el-Assad. Preuve d’une absence totale de vision stratégique. À ce stade, il s’agit d’inconscience, ou de rouerie, car le gouvernement met en danger la vie des Français.

 

 

La menace est plus que réelle. Par un curieux revers de fortune, des armes légères envoyées aux « rebelles » libyens se retrouvent désormais en France, prêtes à l’emploi. Les services de renseignement sont dépassés, et nul ne sait quand la prochaine attaque aura lieu. Une chose est sûre : la tentative du Thalys ne sera pas la dernière. Cette sourde menace est inacceptable, les Français n’ont pas à vivre dans la peur sur leur propre sol. Il est temps de contre-attaquer !

 

 

 

 

10:31 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

18/09/2015

Pré-maraude du 17 / 09 / 2015..........

CHERS COMPATRIOTES INANIMES ( 1)

 

 

Chers compatriotes 1.jpg

 

 

 

 

Avez-vous donc

une AME ?

 

 

 

Des professionnels de la santé s'expriment dans Le Figaro

 

 

 

"Cette fois-ci encore, les médecins ne lui ont rien trouvé. Depuis un an et demi, Abukaria (prénom fictif), jeune comorienne de 33 ans, entrée en France en touriste, séjourne illégalement sur le territoire français. « C’est pour me faire soigner, confie-t-elle. L’hiver dernier, j’ai eu des fourmis dans les mains. Parfois, ça me reprend. J’ai vu des généralistes, des spécialistes, fait des radios, des scanners, mais personne n’y comprend rien… » Grâce à l’Aide Médicale d’État (AME), Abukaria, tout comme deux cents vingt mille clandestins en 2011, n’a payé cette année qu’un droit de timbre de 30 euros.

 

 



Au Centre médical Europe, près de la gare Saint-Lazare, des « AME », on en croise à tous les étages. Et chez les médecins débordés, on sent poindre une certaine exaspération. « Beaucoup sont charmants, mais d’autres sont très exigeants !, soupire une généraliste. Il est normal que la France soigne les plus misérables, sauf que certains abusent vraiment ». Il y a cette femme qui vient faire un bilan complet tous les deux mois. Cette autre qui a exigé la sclérose de ses varicosités, ainsi que six paires de bas de contention, « pour sa sœur en Algérie ». Ces Africaines qui savent mieux que la dermatologue quelle crème guérira leur eczéma : le Diprosone, un dermocorticoïde qui a la particularité d’éclaircir la peau… Il y a aussi cette patiente victime d’un malaise, dont on prévient le mari, qui constate, ahuri… que ce n’est pas sa femme. « Ah oui, explique la patiente, j’ai perdu ma carte, alors j’ai pris celle d’une amie… »"

 

 

 

 

A suivre...

 

 

 

Chers compatriotes 2.jpg

 

 

 

11:01 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

15/09/2015

Entretien avec Alain de Benoist:

 

 

 

 

Faire la différence entre « la » politique et « le » politique…

 

                     

Alain de Benoit.png

 

 

 

Entretien réalisé par Nicolas Gauthier.

 

 

« Faire de la politique », vaste histoire. Au fait, quelle définition donneriez-vous de la « politique » ? Action historique, entretien du « grand roman national » cher à Michelet, vision nationale et continentale à plus ou moins long terme ?

 

 

L’immense majorité des gens qui s’intéressent à la politique n’ont pas la moindre idée de ce qu’est la politique. Il en va de même, malheureusement, de la plupart des hommes politiques. À l’ENA, on ne leur a pas appris la différence entre la politique et le politique. On leur a seulement parlé de régimes politiques, de pratique gouvernementale et de météorologie électorale. La plupart d’entre eux s’imaginent que la politique se réduit à une gestion administrative inspirée du management des grandes entreprises. C’est, là, confondre le gouvernement des hommes avec l’administration des choses, et croire qu’il faut s’en remettre à l’avis des techniciens et des experts. Dans une telle optique, il n’y aurait pour chaque problème politique qu’une seule solution optimale : « Il n’y a pas d’alternative » est un mot d’ordre typiquement impolitique. En politique, il y a toujours des alternatives parce qu’un même fait peut toujours être jugé différemment selon le contexte et les critères d’appréciation retenus.

 

Une autre forme classique d’impolitique consiste à croire que les fins du politique peuvent être déterminées par des catégories qui lui sont étrangères – économiques, esthétiques ou morales par exemple. En réalité, chaque activité humaine a sa propre finalité, sa propre morale et ses propres moyens. Dire qu’il y a une essence du politique, c’est dire que la politique est une activité consubstantielle à l’existence humaine au seul motif que l’homme est, par nature, un animal politique et social, et que la société ne dérive pas, contrairement à ce qu’affirment les théoriciens du contrat, d’un « état de nature » prépolitique ou présocial.

 

Dans son grand livre sur L’Essence du politique, Julien Freund a donné de la politique cette définition canonique : « Elle est l’activité sociale qui se propose d’assurer par la force, généralement fondée sur le droit, la sécurité extérieure et la concorde intérieure d’une unité politique particulière en garantissant l’ordre au milieu de luttes qui naissent de la diversité et de la divergence des opinions et des intérêts. » Freund ajoute que, comme toute activité humaine, la politique possède des présupposés, c’est-à-dire des conditions constitutives qui font qu’elle est ce qu’elle est, et non pas autre chose. Freund en retient trois : la relation du commandement et de l’obéissance, la relation du public et du privé, enfin la relation de l’ami et de l’ennemi. Cette dernière relation est déterminante, car il n’y a de politique que là où il y a possibilité d’un ennemi. Si, comme le dit Clausewitz, la guerre est la poursuite de la politique par d’autres moyens, c’est que le politique est intrinsèquement conflictuel. Il en résulte qu’un monde sans frontières serait un monde d’où le politique aurait disparu. C’est en ce sens qu’un État mondial est une absurdité.

Il faut dire encore que la politique n’est pas un domaine, mais une dimension de la vie sociale. Qu’elle n’est pas une science gouvernée par la raison, mais un art gouverné par la prudence (phronèsis). Qu’elle s’appuie sur le droit mais ne s’y réduit pas, car le droit n’est pas porteur de contrainte. La politique, enfin, ne se fait pas avec de bonnes intentions, mais en sachant ne pas faire de choix politiquement malheureux. Agir moralement n’est pas la même chose qu’agir politiquement (vertu morale et vertu civique ne sont pas la même chose).

 

 

Et la notion de bien commun ?

 

 

Le bien commun n’est pas synonyme de l’intérêt général, c’est-à-dire de l’addition des intérêts particuliers. Dans l’expression, le mot qui compte est « commun ». Le bien commun, que Tocqueville appelait « bien de pays » (on trouve aussi chez Hobbes l’expression « bien du peuple »), est un bien dont chacun est appelé à bénéficier, mais qui ne peut faire l’objet d’un partage : on n’en jouit que parce qu’il est la chose de tous. La politique est le royaume du commun. C’est la raison pour laquelle le libéralisme est intrinsèquement négateur de l’essence du politique, puisqu’il ne connaît que des intérêts particuliers et assigne pour seule mission à l’État de garantir des droits individuels (la très libérale Margaret Thatcher prétendait que « la société n’existe pas »).

 

 

Qu’on apprécie ou non sa vision politique, la dernière figure nationale à faire de la politique, depuis l’éviction de Montebourg et le départ annoncé de Jean-Luc Mélenchon, ne serait-elle pas Marine Le Pen ? Que vous inspire sa trajectoire ?

 

 

Marine Le Pen est, à mon avis, une vraie femme politique. Sa volonté affirmée de se dégager du vieux clivage droite-gauche, ainsi que l’avait fait avant elle le général de Gaulle, me semble en être une preuve. Cela dit, on peut évidemment discuter de ses orientations et de ses choix. Pour l’heure, j’espère qu’elle a bien compris qu’en 2017, il est vital pour elle, non seulement d’accéder au second tour, mais de s’y retrouver face à un représentant de la majorité actuelle. Dans cette optique, son adversaire principal est évidemment l’UMP.

09:20 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

11/09/2015

IMPRESSIONS DE PRE-MARAUDE...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par   Alexandre Simonnot,

Membre du C A de l'ASP

 

Le Pasteur Blanchard nous avait donné rendez-vous à 21h. L'heure à laquelle la nuit tombe. L'heure à laquelle Paris, la capitale de notre pays, qui est notre fierté au grand jour, devient durant la nuit le Paris de la honte et de l'abandon. Le théâtre de la misère la plus scandaleuse, la plus inacceptable : celle des français sans logements, sans aides, sans ressources, sans rien.

 

 

Nous étions donc quatre, le Pasteur et son épouse, et nous, deux ,Jimmy conseiller municipal à Athis-Mons et moi membre du CA de l'ASP, venus simplement aider, assister et quelque peu soulager cette misère effroyable. Paris, ce sont des centaines de centaines d'inconnus, d'anonymes, qui dorment dehors, seuls. Cette nuit-là, ils sont pour quelques heures nos seigneurs et nous allons les servir. Un peu de café, un peu de soupe chaude, quelques vêtements, mais surtout beaucoup de réconfort, d'écoute, de solidarité. Beaucoup d'humanité et de fraternité.

 

 

Si quelqu'un veut vraiment parler de la misère en France, il doit venir en maraude avec le Pasteur Blanchard. Si quelqu'un veut connaître l'état de notre société, non au grand jour, mais en pleine nuit, il doit venir en maraude avec le Pasteur Blanchard.

 

 

Notre première impression en voyant ces malheureux à tous les coins de rue, c'est cette promesse de Nicolas Sarkozy en 2007 : "Moi Président, dans 5 ans, plus personne ne dormira dans la rue". Inutile de préciser à ceux qui nous lisent que cette promesse n'engageait que ceux à qui elle était faite!...

 

 

 

 

 

 

 

 Al'ASP, nous ne faisons jamais de promesses, nous agissons concrètement tout simplement. Non au grand jour sous l'oeil des caméras, mais la nuit dans l'anonymat. Voilà quelle a été notre nuit dans les rues de Paris, notre nuit à tous les quatre. 

 

 

Nous avons agi. Nous avons revu le mythique Francis, véritable vedette de nos maraudes. Nous avons visité jeunes et vieux, nous avons rencontré des solitaires mais pas complètement seuls car ils ont comme compagnie leurs chiens... Nous avons rencontré de nombreuses personnes, d'horizons très divers, aux histoires très différentes. Mais ils ont tous  un point commun : ils sont à la rue. La France les a abandonnés tout simplement 

 

 

C'est là que l'on constate l'immense décalage entre un gouvernement socialiste et le "Social". Les socialistes n'ont de social que leur dénomination. En réalité, ils n'y connaissent rien. En réalité, leur principale préoccupation, c'est d'aider par tous les moyens les étrangers et clandestins, avant d'aider les leurs, les nôtres, les Français ! 

 

 

Cette pré-maraude a duré cinq heures. Cinq heures durant lesquelles nous aurions aimé aider tous ces pauvres. Mais ils sont si nombreux, partout. Il n'y a plus un seul grand boulevard dans Paris, il n'y a plus un seul quartier dans Paris où l'on ne rencontre pas des gens qui dorment seuls, dans la misère la plus totale.

 



Voilà le fruit de nos politiciens, voilà le fruit de nos gouvernants successifs. Toujours de l'aide pour le monde entier, mais jamais pour les nôtres, jamais pour nos pauvres!

 

 

C'est à la fois écoeurés et heureux que nous achevons cette pré-maraude avec le Pasteur Blanchard et son épouse. Ecoeurés par le désastre que nous avons pu constater de nos propres yeux, mais tellement heureux d'avoir pu pendant quelques heures être au service de ces miséreux, de ces parias de notre société, qui durant quelques heures d'une nuit froide, étaient nos maîtres et seigneurs.. 

 

 
 

 

09/09/2015

Pré-maraude du 08 / 09 / 2015..........

08/09/2015

Ignoble : les mondialistes jouent avec les cadavres d’enfants pour arriver à leurs fins:

 

 

Par Thibaut de Chassey :

 

 

Utilisant cyniquement la photo d’un enfant syrien mort noyé alors que sa famille tentait de se rendre en Europe, les médias et leurs compères politiciens lancent une offensive de grande ampleur, fondée sur la tyrannie de l’émotion.

 

 

Par le choc des photos, la tragédie que connaissent certains « migrants » est utilisée pour abolir la raison et – dans un émoi rendu plus puissant car collectif – pour culpabiliser les Européens afin de les amener à ouvrir totalement les frontières à des millions d’immigrés supplémentaires, pour le bonheur des mondialistes.

 

 

Ces derniers peuvent compter sur la complicité perverse ou idiote du clergé moderne qui, globalement, confond comme d’habitude morale individuelle et morale politique (c’est-à-dire relative à la Société) et exige avec une inconscience consommée des mesures politiques qui entraîneraient rapidement le chaos chez les peuples européens et accélérerait leur disparition par changement de population.

 

 

Il convient de rappeler les responsabilités dans la situation qui prévaut au Proche-Orient :

 

 

La photo de cet enfant de Gaza tué par l'armée israélienne a-t-elle fait réagir BHL ? Non, bien sûr.

La photo de cet enfant de Gaza tué par l’armée israélienne a-t-elle fait réagir BHL ? Non, bien sûr.

 

 

-d’une part les États-Unis, l’État israélien et certains pays européens (au premier rang desquels le nôtre, hélas) se sont acharnés à déstabiliser l’Irak et la Syrie et à soutenir des groupes islamistes, le tout pour servir des intérêts qui n’étaient ni ceux des Français, ni ceux des populations locales. A ce titre, voir un Bernard-Henry Lévy invité dans les studios et sur les plateaux pour verser des larmes de crocodile et donner hypocritement des leçons (mauvaises) est insupportable.

 

 

– d’autre part, ces mêmes États européens appliquent une politique d’immigration délirante qui crée un appel d’air pour de très nombreux étrangers convoitant notre pays et ce qui leur est promis, quitte à prendre de grands risques au lieu de se réfugier – pour ceux qui en ont vraiment besoin – dans des zones plus proches.

 

 

La responsabilité du Système politico-médiatique est écrasante et les Français ne doivent se sentir coupables que de tolérer un tel régime.

 

 

Cette vague d’émotion savamment orchestrée est l’occasion de pointer du doigt les méthodes répugnantes et inhumaines de ces médias et des « bonnes consciences » qui s’y expriment (mais qui n’accueilleront jamais un immigré sous leur toit), et qui jouent avec les cadavres d’enfants.

 

 

Pourquoi ne diffusent-ils pas d’ailleurs avec la même indignation les photos des milliers de Français parfois très jeunes, tués, violés, estropiés du fait de l’immigration ?

 

 

Enfin, pourquoi ne pas rappeler le cas de l’Australie, qui est convoitée par de nombreux immigrés clandestins potentiels ?

 


Ce pays immense ne connaît pas ces drames et ces polémiques : en effet tout le monde sait désormais dans cette région du monde que le gouvernement australien ne tolère – dans les discours et dans les faits – aucune entrée en force.

 


Résultat : aucun mort en 2014 ni en 2015.

_______________________________________


« Pas question, vous ne serez pas chez vous en Australie
»

 
 
   
 
 

 

09:54 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

04/09/2015

LES MEMBRES FONDATEURS DE L'ASP...

 

 

 

 

 

 

 

 

NICOLAS PONS

Vice-président de l'ASP

 

 

Ce fut lors d'une de nos premières réunions, dans un local prêté par un ami à Vanves, que nous avons fait la connaissance de Nicolas. Il demeurait à l'époque à deux pas du lieu de réunion. C’est sur internet qu'il découvrit l'annonce de notre association, qui lui était totalement inconnue. C’est un peu par hasard qu'il fut présent à nos tout débuts.

 

 

 

 

 

 

 

 

Il a été aussi pour la toute première maraude, et lors des premières saisons il fut un pilier de nos sorties. Avec le temps sa présence s'estompa un peu, mais pas son engagement au sein de l'association, dont il fut le trésorier. C’est aussi lui qui m'installa internet et m'initia à l'informatique. Comme beaucoup de gens du sud-ouest, il avait la nostalgie du pays, où il retourna suite à une mutation dans sa ville natale de Toulouse. Pour autant il reste un actif vice président de l'ASP. Le temps passant, bien des éléments de notre association disparurent, mais il est toujours bon de retrouver ceux qui sont restés fidèles, et qui depuis les temps héroïques de nos débuts, nous ont fait confiance. Nicolas est de ceux-là, et même plus : un ami véritable.

 

 

 

Pasteur   Blanchard

 

 

 

 

02/09/2015

Venez avec nous faire la fête………..

 

 

 

 

Fête des 10ans de l'ASP.jpg

01/09/2015

Révoltez-vous !

 

 

 

 

Qu’est-ce qui a déclenché le mouvement de révolte, en leur temps, dans les autres empires coloniaux ? Pourquoi n’en survient-il pas chez nous ? Est-ce parce qu’en France et en Europe la colonisation actuelle s’est faite progressivement, presque insensiblement ?

 

 

Parce qu’il n’y a pas eu de guerre de conquête à proprement parler, pas d’épisode militaire violent et traumatisant, comme la conquête de l’Algérie au temps de la monarchie de Juillet, à partir duquel le peuple soumis puisse se dire « Voilà, c’est fait, c’est officiel, à partir de maintenant nous sommes une colonie » ?

 

 

Mais en Tunisie et au Maroc non plus, il n’y a rien eu, de la part de la France, qui puisse vraiment s’appeler une guerre de conquête. La guerre du Rif s’apparente plus à la répression (difficile) d’une révolte qu’à l’instauration militaire d’une colonie. D’ailleurs, le Maroc et la Tunisie n’étaient pas officiellement des colonies. Ces pays étaient bien considérés pourtant comme faisant partie de l’empire colonial français, et ils étaient représentés par des pavillons, comme ses autres régions, à l’exposition coloniale de 1931, de même que les territoires sous-mandat, qui eux non plus n’avaient pas été conquis militairement.

 

 

 

 

 

 

 

La conquête militaire n’est donc absolument pas un élément constitutif indispensable à la colonisation, au caractère de colonie d’un pays. Son absence n’entraîne pas l’absence de révolte, de combat pour l’indépendance et la liberté, de soulèvement anticolonialiste. Tout juste paraît-elle impliquer, si l’on se réfère encore au Maroc et à la Tunisie, que cette révolte s’opère sans violence majeure. Mais justement, nous ne souhaitons pas du tout la violence : tout juste la révolte, le refus clairement signifié et traduit dans les faits, la décolonisation de la France et de l’Europe – laquelle suppose nécessairement la remigration, ou démigration, puisque la migration, l’immigration a été la forme particulière, inédite à cette échelle, de cette colonisation-ci, celle de nos propres contrées.

 

 

Toutes les définitions sont approximatives par définition. Il y a autant de colonisations que d’expériences historiques de la conquête et de l’asservissement des peuples par d’autres peuples. Y a-t-il autant de décolonisations ? Et qu’est-ce qui fait que chez nous, malgré les efforts de quelques-uns, le mouvement de soulèvement ne précipite pas, jusqu’à présent ?

 


Une donnée inquiétante à prendre en compte est que, de tous les empires coloniaux, l’empire colonial arabe est, avec le chinois, le seul à n’avoir jamais décolonisé, à l’époque moderne. Il a certes évacué l’Espagne, mais c’était il y a six siècles, et il y avait fallu six siècles (et il est depuis lors revenu). Même les conquêtes françaises et anglaises, a fortiori italiennes, au XIXe et au XXe siècle, se sont superposées aux siennes sans les remettre en cause. On oublie trop que les croisades étaient des guerres de libération. Les chrétiens d’Orient vivent depuis un millénaire et plus dans le deuil d’une indépendance et d’une liberté perdues, qui paraît évoluer de plus en plus vite vers l’éradication pure et simple. Est-ce là le sort qui nous attend ?

 

 

Un trait spécifique de la colonisation en cours est l’incroyable passivité des populations en voie d’asservissement, et la non moins stupéfiante coopération, complicité, bien proche de la trahison, que témoignent ceux qui les gouvernent. Il n’est plus temps de disserter ici sur les raisons de cette apathie létale, qui bien entendu sont complexes. Mettons en avant pour cette fois celle qui suscite le plus d’indulgence, ou le moins de mépris : l’incapacité à reconnaître ce qui survient pour ce que c’est vraiment, à savoir une colonisation ; l’absurde confusion de cette conquête coloniale avec une demande d’aide, de secours et d’asile, de la part d’individus si nombreux – des peuples entiers – qu’ils devraient être cent fois assez pour mettre fin dans leur propre pays, comme les peuples l’ont toujours fait, aux tyrannies et aux injustices dont ils se disent les victimes.

 

 

Nous serions encore cent fois assez, nous, les indigènes de ce continent, pour mettre fin avant qu’elle affermisse son emprise à la domination coloniale qui s’instaure, et qui déjà prétend réguler nos tenues, nos mœurs, notre régime alimentaire, notre calendrier, notre horizon intellectuel et celui de nos fenêtres, la silhouette de nos villes, notre politique étrangère et notre politique tout court. Il suffirait de se regrouper, de se nommer, de se compter, de se cotiser, de se serrer les coudes, d’abdiquer la peur et la fausse honte qui nous font tout accepter de conquérants innombrables, certes, mais de papier comme ils sont français, anglais ou italiens quand ils le sont. Les collaborateurs à leur solde, les remplacistes de ces remplaçants, sont si veules et de convictions si fluctuantes, si opportunistes, si bien fabriquées pour être retournées avec le vent, qu’à la première alerte un peu sérieuse ceux-là se précipiteraient vers quelque Sigmaringen de l’Atlas ou riad enchanté de Marrakech, où déjà ils ont leurs habitudes.

 

 

Pour ma part je ne sais pas comment il faut vous le dire. Révoltez-vous ! Révoltez-vous ! Révoltez-vous !

 

 

 

09:17 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)