22/12/2011
UNE ACTION POUR LES PATRIOTES DEFAVORISES.
Par Laura Léonard
Le samedi 10 décembre 2011,
le Pasteur Blanchard en compagnie de sa femme,
de Thierry, de Rémi et de Jany Lepen
sont venus là où je vis pour passer un petit moment avec moi
et me remettre un sèche-linge ainsi qu'une télévision.
J'étais toute émue et touchée de ce grand geste d'entraide patriotique !
Ce fut un agréable après-midi
autour de discussions très intéressantes et enrichissantes
avec des personnes formidables
et vraiment je tenais à les remercier pour leur générosité
et pour nos conversations aussi détendues et bon enfant
(on a bien rigolé !).
Cet agréable moment restera dans mon cœur et dans mes pensées !
Un grand merci à Jany Lepen, une femme adorable et très humaine
qui parle avec son coeur et qui apporte beaucoup d'apaisement
dans ce qu'elle dit, que j'ai super bien adorée.
(D'ailleurs j'ai vraiment bien aimé tout ce petit monde présent ce jour).
C'est rassurant de savoir qu'il reste dans cette France
des personnes aussi génialissimes.
Merci
au pasteur blanchard et à sa femme, qui a organisé cet événement,
ils sont adorables.
Merci
à Rémy Carillon qui comme à notre première rencontre
a su comprendre et qui a été touché par ma situation.
Merci
à Thierry que je voyais pour la première fois
et qui lui aussi a pris à cœur ma situation.
Encore un grand merci
à vous cinq qui êtes venus passer un moment avec moi,
en espérant que vous aussi avez passé
un très bon moment en ma compagnie...
J'espère sincèrement à très bientôt !
Laura.
07:45 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (0)
UNE ACTION POUR LES PATRIOTES DEFAVORISES.
Par Rémi Carillon
Secrétaire départemental FN du 92
L’histoire scandaleuse de Laura, enfermée dans une prison dorée. Kafka n’aurait pas fait mieux, dans le domaine de l’absurde que Kaltenbach, maire de Clamart.
Au mois de mars 2011, je me suis rendu chez Laura, nouvelle adhérente du Front National des Hauts-de-Seine pour lui remettre en mains propres sa carte d'adhésion, comme font tous les secrétaires du Front Nationalet pour faire sa connaissance.
Agée de vingt-sept ans, Laura est atteinte d'un handicap qui l'oblige à se déplacer exclusivement en chaise roulante. Quelle ne fut pas ma triste surprise de constater qu'elle habitaitavec ses parents, au troisième étage d'une résidence… sans ascenseur et, cerise sur le gâteau si l'on peut dire, dans un… duplex ! que Laura elle-même, qualifie de "prison dorée".
Elle m'expliqua que ces escaliers étaient son enfer, qu'elle n'avait, bien sûr, pas choisi cet appartement et que, depuis des années déjà, ses parents et elle-même remuaient ciel et terre pour obtenir un appartement adapté, situé soit au rez-de-chaussée, soit dans un immeuble équipé d'un ascenseur.
Aussitôt après avoir quitté Laura, j'ai fait part à Marie-Christine Arnautu, notre vice-présidentechargée des affaires sociales de ma consternation face à une situation aussi absurde.Marie-Christine m'a alors orientée vers le Pasteur Blanchard, Président de l'ASP (Action Sociale Populaire), bien connu des auditeurs de Radio Courtoisie et des militants du Front National qui l'accompagnent dans ses maraudes pour aider les SDF de Paris.
Mais, face à une municipalité récalcitrante et à un conseil général défaillant dans ses promesses,le Pasteur Blanchard ne pouvait pas grand-chose ;d'autant qu'une issue positive semblait à nouveau possibleet que par conséquent, il ne fallait froisser aucune susceptibilité.
Nous voici au mois de décembre 2011 et Laura vit toujours prisonnière de son troisième étage sans ascenseur. A proximité, un immeuble est en voie d'achèvement.Elle est susceptible d'y trouver un logement plus accessible. Mais, rien n'est sûr.
A l'occasion des fêtes de Noël, le Pasteur Blanchard tenait à faire un geste pour Laura, en lui offrant un appareil électroménager qui lui simplifierait la vie. Laura avait besoin d’un sèche-linge, elle en est maintenant équipée. Bien sûr, ce qu'attend par-dessus tout Laura, ce n'est pas un appareil électrique de plus ou de moins mais un appartement adapté.
Mais cela, l'ASP n'est pas en mesure de le lui apporter. Ce cadeau était donc plus un symbole de l’attention que le Pasteur et Jany Le Pen, marraine de l'ASP, accompagnés de Catherine et de Thierry, membres très actifs de l'ASP, voulaient témoigner à Laura, meurtris qu’ils étaient ne pas pouvoir faire plus.
Nous nous sommes donc tous retrouvés chez Laura, ce samedi 10 décembre 2011 après-midi. L'ambiance était chaleureuse et gaie. Nous avions envisagé de faire intervenir les médias. Mais l'optimisme étant de mise dans l'espoird'obtenir un autre appartement, l'idée fut remise. En revanche, si ce projet n'aboutit pas, Laura et sa famille ont la ferme intention d’alerter les journalistes.
Au cours de la discussion, le Pasteur Blanchard nous a fait part d'une de ses réflexions. Constatant qu'en Égypte les frères musulmans gagnent les élections, non pas seulement sur le terrain des idées, mais surtout sur celui de l'assistance aux personnes défavorisées, il pense que le Front National gagnerait plus de voix, lui aussi, sur le terrain de l'action sociale que sur celui du combat politique. Dire c’est bien, faire c’est mieux.
Jany Le Pen, pour sa part, émettait l'idée que la solidarité entre compatriotes devrait se traduire non pas seulement par des dons à des oeuvres de charité mais, aussi par des contacts personnels entre personnes aidantes et personnes aidées qui permettraient en plus, d'établir un lien social entre elles.
En ce qui me concerne, quand je vois la politique menée par les hommes au pouvoir, je me dis que, vraiment, ce ne sera pas difficile de faire mieux qu’eux.
Rémi Carillon
SD FN 92
Membre du Comité Central
06.60.97.44.80
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21/12/2011
MARAUDE DE NOËL : 20 DECEMBRE 2011.
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20/12/2011
ENTRETIEN AVEC LE PASTEUR BLANCHARD (1).
Par Olivier Perceval pour le journal de
l'Action Française.
Question 1 : Monsieur le Pasteur, pourriez-vous dévoiler pour nos lecteurs votre itinéraire spirituel et politique ?
Réponse : Mon éducation s’est faite à Mazamet, ville qui se trouve dans le prolongement des Cévennes où le protestantisme a été longtemps majoritaire. Mon éducation a été d'une extrême rigueur. J'ai eu le parcours classique d'un fils du peuple. Après mon certificat d'étude, j'ai travaillé en usine. A cette époque, ma cité était la capitale mondiale du délainage. Mai 68 va me sortir de la condition ouvrière. Je découvre le social à travers les MJC et je passe une équivalence au bac qui me permet d'entrer à l'école d'éducateur (l'Institut Parmentier à Paris). A partir de 1978, j'entreprends une carrière de travailleur social (Cité de Refuge de l'Armée du Salut Paris).
Les "événements" ont eu une autre conséquence, ma révolte contre mon père et ma famille. J'ai connu toute les errances de ma génération, de la vie en communauté aux festivals rock, en passant par la politique, de la ligue communiste à la gauche prolétarienne maoïste (tendance spontanéiste, situationniste). Mon retour à la foi, mes études de théologie, mon ordination, mon engagement avec Madame Jany Le Pen, c’est une autre histoire.
Question 2 : Parlez-nous de votre association caritative.
Réponse: Notre association l'Action Sociale Populaire est régie par la loi 1901. Nous sommes une équipe de bénévoles et n'avons pour aide financière que la générosité des auditeurs de Courtoisie et des lecteurs de la presse amie. En plus de nos activités de maraudes où pendant plus de sept mois nous venons en aide aux SDF dans les rues de Paris, nous visitons des personnes âgées isolées et essayons de répondre aux attentes de personnes en difficulté que nos amis nous signalent. Nous débutons cet hiver une nouvelle action pour les familles de patriotes défavorisés par une aide concrète (achat de machines à laver, gazinières etc).
Question 3 : Pensez-vous qu'il y a un vrai problème de répartition des richesses dans notre pays ?
Réponse : Je pense que dans notre pays, il se trouve une profonde injustice à faire porter le principal effort du plan de rigueur sur le petit peuple et les classes moyennes. Mais il est une autre injustice choquante, le syndrome rousseauiste qui fait que, beaucoup d'hommes politiques et de travailleurs sociaux ont tendance à considérer les populations originaires de l'autre côté de la Méditerranée comme ne pouvant être que des victimes du système ; ce qui bien souvent leur profitent en termes de prestations sociales.
Alors que la majorité d'origine Française et Européenne, qui a du mal à quémander , qui ne connait pas bien les réseaux pour faire valoir ses droits, se retrouve de plus en plus marginalisée et précarisée? C’est pour cela, même, si le mot ne fait pas très Maurrassien, que nous souhaitons la justice sociale.... pour les nôtres.
Question 4 : A l'approche de l'hiver, pensez-vous que la crise jette de nouveaux pauvres dans la rue ?
Réponse : Vous avez pu constater dans les rues de Paris, et cela contrairement au discours officiel, combien les restrictions budgétaires sont lourdes de conséquences. D'une année sur l'autre, nous voyons la situation s’effilocher. La lèpre de la misère gagne du terrain. Une nation qui n'est plus capable de gérer le problème de la pauvreté risque d'en subir de graves perturbations.
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ENTRETIEN AVEC LE PASTEUR BLANCHARD (2).
Question 5 : Existe-t-il dans notre pays une véritable solidarité nationale ou cela reste-t-il à réinventer?
Réponse : Malheureusement la réponse est négative, les habitudes ont la peau dure et on a du mal à sortir d'un certain fonctionnement. Dans bien des milieux, on conçoit le social comme une vitrine, cela fait bien de s'occuper des pauvres. Or, comme l’a dit Thibaut de La Tocnaye dans son émission sur Courtoisie où je passais, si le Hamas, au Liban fait du social, son objectif est avant tout politique. Dans l'âge de fer où nous allons entrer, ce sera une des clef de l'avenir.
Question 6 : Pensez-vous qu'un mouvement politique comme le nôtre a un rôle social à jouer auprès de nos compatriotes?
Réponse : Depuis plus d'un siècle l'Action Française est une formidable école de pensée, à qui tous, peu ou prou, nous devons quelque chose. Depuis trois décennies que le FN a pompé les forces vives de notre famille politique, vous êtes une des rares branches à avoir conservé votre autonomie et votre dynamisme.
Dans une France comptant plus de sept millions de musulmans, savoir si le régime doit être royaliste comme vous le souhaitez ou républicain social et plébiscitaire comme je le désire ne me semble pas de saison. L'important pour nous est la défense de notre terre et de nos morts. Au-delà de mon partenariat avec le FN, je crois qu'il est souhaitable de mettre nos efforts en commun.
Question 7 : Pouvez-vous nous dire un mot sur votre projet de fondation?
Réponse : Initialement ce projet était pour Jean-Marie qui n'a pas été intéressé. L'idée en est simple, comme Brigitte Bardot pour les animaux, il s'agit quant à nous de venir en aide aux patriotes défavorisés, par des actes concrets comme l'achat et le don de réfrigérateurs, machines à laver, gazinières entre autres et pour commencer... Mon nom et mes réseaux au sein du FN m'amènent à côtoyer des personnes que nous pourrions aider dans toute la France.
Il faut savoir que le statut de fondation permet de collecter des fonds, la mise initiale est mince. Peut- être que dans vos milieux, une personne aussi prestigieuse que Le Pen, héritière de ceux qui ont fait l'histoire de notre pays serait heureuse de donner son nom à cette œuvre de salubrité publique ?
PS : les graphiques ont été établis par B. et J. C.
d'après les chiffres publiés par le "Collectif Les Morts de la Rue."
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16/12/2011
IMPRESSIONS DE MARAUDE...
Par Oscar Wesley
Membre du Conseil d'administration de l'ASP
Marauder, c'est aller à la rencontre de personnes
en situation de détresse physique et morale.
Celles-ci en général, fuient et repoussent les prises en charge
qui leur sont proposées.
Comme de temps en temps,
j'accompagne le pasteur Blanchard et l'équipe de l'ASP,
je m'aperçois que la misère dans la rue est toujours au rendez-vous.
Les rues de la capitale sont toujours habitées par des sans-domicile.
Ce 6 décembre, la première personne abordée rue de Tolbiac
est un homme qui dort dans la rue depuis 23 ans, selon lui.
Il vit au jour le jour et avoue être souvent sous-alimenté.
Quelle aubaine pour lui que l'équipe du pasteur Blanchard soit passée par là !
Allongé sur son matelas de fortune, abrité de la pluie par un auvent,
il m'exprime sa reconnaissance pour ce que l'ASP lui prodigue,
à savoir les vêtements, le café et la soupe.
Un autre SDF nous voyant rembarquer
les sacs de vêtements dans la voiture, traverse la route
et nous dit qu'il est hébergé à la "Mie de pain"
mais souffrir du froid.
Ce monsieur n'ayant qu'un pull sur lui ce soir là,
le Pasteur lui déniche un blouson sur mesure.
Au fur et à mesure que nous roulons,
nous découvrons des groupes ou des individus
habitués à renconter le Pasteur Blanchard et son équipe.
Celle-ci équipe est très impliquée dans cette noble tâche.
Ce soir-là, j'ai aussi été marqué par cette personne
qui dormait sous la pluie et le froid à même le sol,
sans rien, sans chaussettes, ni de chaussures
et qui refusait tout ce qu'on lui proposait.
Selon une étude de l’INSEE,
huit cents mille personnes ont vécu dans la rue
à un moment de leur existence en France.
La population des SDF est hétérogène,
essentiellement jeune et masculine,
mais on trouve aussi
dans la rue des jeunes femmes avec enfants,
des étrangers, des personnes âgées, des personnes malades…
Oscar
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10/12/2011
UNE ACTION POUR LES PATRIOTES DEFAVORISES...
23:02 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (0)
07/12/2011
MARAUDE DU 6 DECEMBRE 2011.
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10:38 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (0)
02/12/2011
IMPRESSIONS DE MARAUDE...
Par Gilles Clavel
Secrétaire départemental FN de Seine - Saint Denis
La Maraude de l’A.S.P.
Il est venu le temps des rires et des chants
Mais il ne s’agit pas de l’île aux enfants
Aussi, de mon lit bien chaud, il me faut sortir
Et oublier un temps notre ami Casimir
Si je dois mon retour à la réalité
C’est pour vous dire la dure nécessité
Hier soir, j’ai rejoint le bon Pasteur Blanchard
C’est donc pour cela que je me suis couché tard
Avec mon collègue Dominique Joly
Nous avons cheminé dans les rues de Paris
Ecrivant l’histoire au travers d’une ode
Que certains décriront comme une maraude
Distribuer une soupe, un vêtement
Et, d’un geste, sans voler leur intimité
Les laisser comprendre, sourire, s’exprimer
Ainsi, leur donner la chaleur qu’ils aiment tant
Que cette rencontre avec les sans-abris
Puisse-t-elle nous amener à réfléchir
Car la sinistre réalité de la vie
C’est que des Gens puissent crever, sans réagir
La langue n’a pas besoin de politesse
Quant pour nos pauvres, du cœur, elle s’adresse
Je cache mes mots, j’exprime ma tristesse
Parler de ces Gens impose la sagesse
Pourtant au fond de moi la colère parle
Je maudis et je crie ; j’hurle et je râle
Nul n’est besoin d’en dire ou d’en ajouter
Mais simplement de voir qu’il est grand temps d’aider
Comment laisser ces pauvres sans un seul espoir
Italie, Saint-Michel et les grands boulevards
Les quais, Alésia, la gare Saint-Lazare
Ils dorment sous nos yeux dans le froid et le soir
Chaleureux accueils, instants de retrouvailles
Ces Êtres humains ne sont pas des canailles
Il faut juste qu’ils vivent leur adversité
Contraints et forcés de vivre et d'exister
Il est venu le temps des rires et des chants
Mais il ne s’agit pas de l’île aux enfants
Il faut répondre à un besoin très urgent
En aidant l’A.S.P. et tous ces pauvres Gens !
Gilles Clavel
Secrétaire départemental
Fédération de la Seine-Saint-Denis
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25/11/2011
IMPRESSIONS DE MARAUDES...
Par le pasteur Blanchard.
Tous les amis qui viennent marauder sont surpris de notrefamiliarité avec les SDF. Il faut dire que nous sommes dans notre cinquième campagne de maraudes. Le temps à fait que nous avons fini par nous connaître, d'un certain point de vu on peut parler d'amitié : nous finissons par avoir des informations sur leur vie, leurs épreuves, ce dont ils ont réellement besoin au-delà des problèmes matériels qu'ils traversent.
C’est de véritable empathie dont ils ont besoin. Celle-ci, ils ne la trouvent pas dans les grandes associations. Il faut croire qu'elles finissent par le perdre de vue, elles qui ont à gérer la misère à l'échelle nationale, elles ont du mal à répondre aux véritables questions que génèrent le train train quotidien.
Il y a un autre problème qui prend de l'ampleur : Les rondes de la police pour déloger les sans domicile du pavé parisien. La loi interdisant de les déloger "manu militari", on fait tout pour les dégoûter en raflant leur bardas, les laissant sans rien sur le trottoir, avec le secret espoir que par lassitude ils quitteront Paris. A l'origine de la démarche, il y a la gauche caviar du maire, pour qui la misère est une lèpre dans la Capitale, un abcès pullulant qu'il faut éradiquer. Il peut sembler paradoxal que des hommes classés à gauche se définissant comme humanistes au service de l'humanité soient ceux qui organisent la chasse à la misère dans les rues de la cité ; force est de constater que les bobos sont parmi ceux dont les valeurs sont totalement antagonistes avec le peuple véritable, les petits, les sans grade et cela au nom de principes désincarnés.
CLIC
Quant à nous, continuons notre travail, pour la défense des Nôtres, pour la véritable cause du peuple.
Pasteur Blanchard
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