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29/01/2021

LES SDF ET LEURS CHIENS (2).

 

 

 

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Que va-t-il se passer ?

 

 

Les journées sont longues quand on n'a pas de toit sur la tête. Il faut trouver un abri au chaud, faire de longues marches pour rejoindre les centres qui offrent un repas ou la possibilité de se laver...

 

 

 

Un chien ou un chat peuvent tenir compagnie et réchauffer, un chien peut éviter  les agressions. Et pour beaucoup de SDF,  ils sont la  seule source d’affection. Une confiance totale, chose rarissime dans la rue, règne entre les hommes et leurs bêtes. Aussi, combien de sans-abri dorment-ils dehors à cause de l’interdiction des animaux domestiques dans les lieux d’hébergements traditionnels ? 

 

 

 

 

 

 

Inversement, quelques malins possèdent un chien pour ne pas être embarqués par la police. En effet, les commissariats ne permettant pas l’accueil des animaux, en cas de mise en garde à vue,  les agents qui laisseraient des chiens sur le trottoir peuvent s'exposer à une plainte de la SPA. Enfin, tout le monde a entendu parler du trafic dont sont victimes de pauvres bêtes, utilisées pour attirer la pitié des passants.

 

 

 

Mais il faut  savoir que pour de nombreux sans-logis , un chien ou un chat reste une porte ouverte sur le monde. Un animal de compagnie leur donne l’affection qu’ils n’ont pas pu ou su trouver auprès des autres hommes. Un animal de compagnie leur procure l'occasion d'un ultime reste du sens du devoir envers l'autre. Certes, il ne  remplace pas la sociabilité mais il permet au moins de créer un lien affectif. Si l'on retire à ces hommes ou à ces femmes ce seul rapport affectif qu’ils entretiennent encore ici-bas, la seule responsabilité contraignante qu’ils possèdent  : Que va-t-il se passer ? 

 

 

Pasteur Blanchard

 

 

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22/01/2021

LES SDF ET LEURS CHIENS (1).

 

 

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Il n'est pas rare de rencontrer des SDF accompagnés d'un ou plusieurs chiens. Cette situation est à l'origine d'un débat où deux points de vues s’affrontent.

 

 

 

Certains pensent que ces animaux seraient mieux lotis auprès d'une famille, dans une maison traditionnelle. D'autres suggèrent, qu’à partir du moment où l'animal a une personne pour s'occuper de lui, l’amour prévaut sur le confort d’un foyer stable.

 

 

 

 

Par-delà ces discussions, une raison poignante mène ces personnes sans-abri à s'accrocher à leurs compagnons : ces derniers ne les jugent pas et leur restent fidèles malgré une existence difficile. L'animal devient leur seule source de compagnie et d'amour inconditionnel. 

 

 

  

A suivre...

 

 

 

Pasteur Blanchard

 

 

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01/01/2021

Ancienne maraude.......

 

 

Impressions de maraude par Gérard D'Orsetti, membre de l'ASP.

 

 

Impressions de maraude 1.jpg

 

 

 

 

Sous l'égide du Pasteur Blanchard et de sa fidèle épouse Catherine est organisée par cette nuit  une maraude dans les rues de Paris.Quatre bénévoles de l'ASP ont accepté d'être de la partie.Le Pasteur Jean-Pierre Blanchard, pour ceux qui ne le connaîtraient pas est une figure de la droite nationale prolétarienne française. Chapelain de Madame Jany Le Pen, il est à l'origine des mémorables "soupes de Saint-Lazare".

 

Pour revenir à ce soir, la température moyenne frôle les moins cinq degrès et la tournée bat son plein. Renée offre des soupes chaudes, du café ou du thé tandis que je m'attèle à distribuer les vêtements confortables, bienvenus contre ce froid qui perdure.

 

Un coup de poing : le nombre de SDF qui dorment à même le sol et doivent braver l'hiver. En majorité, ils sont français de souche ou polonais et connaissent bien le Pasteur Blanchard qui leur apporte ce soir-là un peu de chaleur inespérée...

 

La distribution est une chose mais ce que nos yeux voient et ce que nos oreilles entendent en est une autre. Cela dépasse l'imagination. D'abord, tous ces hommes, ces femmes, ces enfants qui dorment sur le trottoir devant les vitrines des boutiques chics du quartier de l'Opéra. Ensuite, un peu plus loin, comme pour préserver une  certaine intimité, ces hommes jeunes ou moins jeunes qui, le visage livide et cachés sous de misérables couvertures nous interpellent..."Soupe !" "Soupe SVP !" "Café ?"...

 

Des images poignantes se gravent à vie dans nos mémoires... Celles de ces bagnards du dehors, prisonniers de la manche et figés dans le froid de cette nuit du mois d'avril. Une énigme ? 

 

 

 

"....L'argent, les femmes..., j'ai tout eu soupire, Gérard, mais tout a foutu le camp ! J'ai tout perdu et je suis devenu une loque ! Sans famille, c'est dur !"  Xavier, quarante-cinq ans nous fait savoir qu'il a les moyens de travailler et qu'il peut s'en sortir seul mais le problème : "avoir un logement, c'est très difficile. Pouvez-vous m'aider ? Je ne suis pas du tout raciste mais il faut d'abord donner la priorité aux francais... car il y a de plus en plus de profiteurs venus de l'étranger !" Il est 1h00 du matin, sur le conseil du Pasteur, j'appelle le 115. Au bout d'une quarantaine de minutes, toujours le même refrain : "Bonjour, toutes les lignes de votre correspondant sont occupées. Veuillez rappeler ultérieurement."

 

1h30 du matin sous le pont de Grenelle, Patrick est heureux de nous voir et nous demande d'emblée un café et un pantalon.  Nous lui rajoutons un pull bien épais. Sur un ton agressif, il s'emporte contre le système d'hébergement d'urgence qui privilégie les étrangers "qui ne parlent même pas le français.". Il  rajoute que la visite de Madame Jany Le Pen, un soir d'hiver l'avait ému aux larmes.

 

2h00 du matin, sur un trottoir qui longe le ministère des finances (tout un symbole), un homme dort sur des ordures. Son visage est tuméfié, rongé par la tristesse. Lui aussi nous appelle "Soupe !" "Soupe !"  Philippe, bouleversé par son état de délabrement s'empresse de le servir deux fois.  Tout aussi ému, je pose la question : "combien de SDF comme celui-ci dans toute la France ?" . 

 

Comment des femmes et des hommes peuvent-ils tomber si bas ? La rupture du lien familial est-elle la caractéristique des sans-logis ? En France, nous avons tendance à sacrifier la solidarité familiale naturelle au profit d'une solidarité d'Etat, souvent artificielle et parfois inaccessible. Cette maraude pour laquelle Farid Smahi et moi remercions le Pasteur a été riche d'évènements et d'enseignements. Nous sommes d'accord pour dire que renforcer la cellule familiale française est un remède primordial.

 

 

Gérard

 

 

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18/12/2020

SOLIDARITÉ EN IDF : LES MARAUDES DU PASTEUR BLANCHARD:

 

 

 

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Et si vous donniez de l’amour aux autres ? Pourquoi ne pas accompagner le Pasteur Blanchard dans ses maraudes auprès des SDF.

 

 

 

Soeur Emmanuelle disait à propos de l’amour :

 

 

« L’amour vrai, l’amour don, l’amour qui cherche la joie de l’autre. Mais combien de fois ne baptise-t-on pas amour ce qui n’est que recherche de soi-même ! Il est difficile de sortir du cercle de l’ego. Sortir de son ego, c’est jour après jour, heure par heure, minute par minute. On en est tous là. On ne sort de son ego que si on brise le cercle, le carcan dans lequel il nous enferme en nous laissant happer par quelqu’un qui nous dit que nous pouvons lui être utile, et qu’on choisit de marcher avec lui. J’ai toujours vu des hommes et des femmes refuser certains plaisirs pour lutter de toutes leurs forces vives, pour faire ressusciter ce qu’il y a d’étincelles de vie dans les autres, pour faire naître du vivant et traverser les forces de mort. C’est fantastique ! Je remercie chaque jour Dieu d’avoir donné à chaque être humain cette capacité extraordinaire d’être à sa ressemblance. »

 

 

 

Nous pensons qu’il faut arriver à décrypter le sens de la vie. C’est ardu. Pourquoi sommes-nous là ? Quel sens donner à notre vie ? La vie file très vite, comme une étoile filante. On cligne des yeux et on a déjà 20 ans, puis 30 ans, puis 40 ans … On se retourne et on regarde. Et si vivre n’avait finalement de sens que dans une participation active au grand schéma de Dieu et pas simplement vivre pour soi ? L’intuition qui est la nôtre consiste à se dire : « Il n’est pas possible que depuis la création de l’univers et après plusieurs milliards d’années d’évolution, l’étape finale de tout ce processus soit celle qui a permis la naissance de la télé-réalité et de la junk food » . L’homme doit prendre sa part dans la construction de la cité de Dieu. Participer à l’harmonie du tout. Devenir un jardinier de Dieu. Et si notre bien-être et notre bonheur ne se construisaient pas contre les autres ou en dépit des autres (vision capitaliste), mais avec les autres ? Et si le bonheur passait pas l’amour que l’on apporte à autrui, à ses enfants, à ses amis, à ses concitoyens, à notre nation, aux nations étrangères ? Vivre pleinement, sagement, respectueusement d’autrui ? Prendre sa part sans en exiger plus ? Laisser la Terre plus belle que lorsqu’on l’a soi-même trouvée ? La question est ouverte.

 

 

 

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11/12/2020

En attendant la reprise des maraudes ...........

 

 

 

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Maraude du 26/05/2016:Paul-Marie COUTEAUX  Thierry  GOURLOT

 

27/11/2020

Ancienne maraude le 25 Octobre 2013:

 

 

 

Impressions de maraude par Julien Sanchez:

 

 

                      

 

 

 

Mardi dernier, j'ai fait quelque chose que j'avais envie de refaire depuis ma première sortie en 2010.

 

 

Le Pasteur Blanchard, Président de l'Action Sociale Populaire (l'ASP), m'a fait le plaisir de m'inviter, avec mon ami, Gilles Clavel (secrétaire départemental du FN de Seine Saint Denis), à participer à la campagne  de maraudes pour nos sans abris.

 

 

 

Pendant toute l'année, le Pasteur et ses quelques bénévoles, parfois entourés d'élus et cadres du Front National ou de la généreuse et très humaine Jany Le Pen, vont tourner dans Paris.

 

 

Le but de ces maraudes : Bien plus que d'apporter de la soupe, du café, des couvertures, des vêtements ou des chaussures à nos sans abris (qui vont dans quelques semaines affronter des températures indécentes) : leur apporter avant tout de la chaleur humaine, de l'amitié, mais aussi un suivi.

 

 

 

Mardi, toute la soirée et une bonne partie de la nuit, c'est ce que nous avons fait ensemble.

 

 

Et j'en garde un souvenir ému et positif.

 

 

Le souvenir de rencontres.

 

 

Rencontres avec ces gens (Stéphane, Yves, Igor, Romain, Adrien et les autres…), ces gens qui ne possèdent rien, qui vivent dehors, à quelques pas des immeubles cossus et de la jeunesse dorée parisienne, et qui ont pourtant l'essentiel : une grandeur d'âme et la chaleur humaine.

 

 

Pour chacun d'eux ce soir-là, nous avons pu nous rendre utiles. En leur donnant des aliments ou en leur faisant choisir des vêtements, mais nous avons aussi parlé, discuté.

 

 

Certains ne quitteraient pour rien au monde la rue. D'autres vont ou aimeraient changer.

 

 

Tous nous ont accueillis avec le sourire et des regards qui en disaient long.

 

 

Regards de détresse, de gens perdus pour les uns.

 

 

Regards dignes, pétillants, souriants, généreux et chaleureux malgré leur situation précaire pour les autres.

 

 

De Sèvres à la Porte d’Orléans, de Denfert-Rochereau à Austerlitz en passant par Place d’Italie, le Jardin des Plantes, Saint-Michel ou encore rue de Rivoli, cette soirée a permis de constater à nouveau qu'une autre société, parallèle, existe dans nos rues. Celle de ces gens (« 10 000 à Paris, dont 3 000 dans le XIIIe arrondissement » selon les bénévoles) qui n'ont rien, qui ne demandent rien mais qui ont une richesse : l'indépendance par rapport à notre société de consommation devenue égoïste et individualiste (indépendance qu'ils paient le prix fort).

 

 

 

L'autre élément marquant de cette soirée est le manque de moyens accordé par l'Etat au suivi des sans abris.

 

 

Comme pour le Téléthon, comme pour le Sidaction, force est de constater que l'Etat compte sur la générosité des gens, sur les bénévoles, sur les dons.

 

 

Mais à vrai dire, si tout cela n'existait pas, que seraient nos sans abris aujourd'hui ? Quels dispositifs aidés sont réellement efficaces pour ces sans abris qui, selon les bénévoles, sont de plus en plus chassés et humiliés par la Préfecture de Police car l'Etat veut cacher la misère sans la résoudre (Souvenez vous des déclarations du Député UMP Patrick Balkany qui, croyant répondre à une télévision américaine, indiquait il y a quelques années qu'il n'y avait plus aucun sans abri à Paris - cachez cette misère dont je suis responsable et que je ne saurais voir -).

 

 

Il serait temps aujourd'hui en France de revoir complètement notre politique sociale.

 

 

Comment accepter en effet qu'une immigration qui vient d'arriver ait droit à tout (logements aidés, soins gratuits, etc.) alors que nombre de Français et d'européens sont dans le froid dans nos rues, sans soutien et que quelques uns en arrivent par exemple à la solution extrême de devoir soigner leurs problèmes de dents en se les arrachant à vif, comme nous l'a raconté en détails ce soir-là une bénévole de « La Croix Rouge » (croisée pendant notre tournée), ce qui a eu le don de nous glacer le sang.

 

 

Si un soutien leur était apporté dès le départ, presqu’aucun ne nous dirait faire le choix volontaire de rester dans la rue.

 

 

Car bien souvent, l'élément déclencheur est une dépression, une rupture, un mal être : autant de causes sociales et/ou économiques qui pourraient être traitées et solutionnées si on en prenait la peine, si on s'intéressait aux gens, au lieu de se détourner de l'humain.

 

 

 

Parce qu'ils prennent justement la peine (et le plaisir) de leur venir en aide avec leurs petits moyens, je voudrais en conclusion apporter un grand coup de chapeau au Pasteur Blanchard et à ses bénévoles de l'ASP, tous authentiques et humains, connaissant un nombre impressionnant de sans abris parisiens par leurs prénoms, connaissant leurs vies, leurs parcours, parce qu'eux font l'effort malgré le fait qu'ils soient bénévoles, de s'intéresser à ceux à côté de qui beaucoup passent sans s'arrêter, sans répondre à un "bonjour" par un "bonjour", ni même sans se retourner pour savoir s'ils sont simplement en vie.

 

 

En attendant que le Front arrive au pouvoir et prenne des mesures efficaces, si vous le pouvez, aidez cette association à se développer. Si vous ne pouvez le faire financièrement, faîtes-le un soir humainement en donnant de votre temps, ou donnez simplement des couvertures, des grandes chaussures ou des vêtements chauds. Dans la rue, un vêtement ne dure pas bien longtemps et les besoins sont importants. Avec l'équipe du Pasteur, c’est sûr, ils trouveront preneurs !

 

 

 

Julien SANCHEZ.

Membre du Comité Central du FN

Elu au Conseil Régional du Languedoc-Roussillon

Candidat aux élections municipales de mars 2014

 

 

 

 

 

21/11/2020

En attendant la reprise des maraudes ...........

 

 

 

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Maraude du 11 / 10 /2011: Wallerand de Saint-Just

20/11/2020

Ancienne maraude.......

 

 

IMPRESSION DE MARAUDE...

 

 

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par Daniel  BOUSSELAIRE

 

Ami de l'ASP 

 

La première chose qui m’a frappé c’est la mauvaise santé et le manque d’hygiène  bien sûr, mais surtout  le dénuement affectif de ces personnes abandonnées. C’est leur isolement vis-à-vis de toute famille et de tout proche qui émeut plus que leur misère apparente. On comprend des brèves discussions que l’on peut avoir avec eux que la raison de leur présence sur le trottoir est à chercher dans les malheurs de la vie courante :

 

 

Abandon d’une femme ou d’un mari

 

 

Décès de l’un ou l’autre

 

 

Dégout vis à- vis du comportement inacceptable de leurs proches.

 

 

Licenciement abusif…

 

 

Cela en fait des êtres particulièrement à fleur de peau parce qu’écorchés vifs dans leur cœur. A l’origine ils étaient sans doute des personnes déjà trop sensibles pour supporter les saloperies de la vie. C’est cette image qu’ils ont gardée de l’autre vie qui fait que l’envie d’y repartir n’existe pas.

 

 

Un autre sentiment qui envahit, c’est justement notre impuissance à les convaincre de remonter la pente. Ils ne souhaitent plus retrouver une vie normale ; dégoût ou fatalisme ? Ils ont retrouvé là, au-delà de la violence qui règne sans cesse, une espèce de fraternité avec ceux qui partagent leur sort. J’en ai vu un qui avait décider  de rester là, bien qu’en pleine forme physique, propre, habillé correctement et instruit, uniquement parce qu’il ne pouvait pas imaginer d’abandonner les autres : belle leçon d’humilité et de don de soi.

 

 

Honte à notre société, honte à nos gouvernants quels qu’ils soient  de ne pas porter secours à ces malheureux. Pourquoi ne laisser qu’à des associations le devoir de s’occuper d’eux ? Quel renoncement aux valeurs essentielles de la vie en société.

 

 

 

Il faudrait bien peu de moyens financiers pour leur prodiguer un toit individuel et de quoi se laver et s’habiller dignement. Au lieu de cela on se contente de leur offrir des centres d’hébergement où ils ne veulent pas aller car il y règne la pire des violences. Pourtant, même si leur parcours personnel est pour quelque chose dans leur situation, la responsabilité de l’Etat est largement engagée : avec plus de 5 millions de chômeurs, une immigration invasion, des salaires de misère  quelle solution pérenne pouvons nous leur proposer ?

 

 

La gauche bien pensante qui a voté les traités qui ont détruit notre outil de production porte une énorme responsabilité dans cette affaire. Alors, pour ne pas voir en face les résultats de leur politique mortifère,  la seule action qu’ils savent mettre en œuvre est de cacher et de repousser cette misère loin de leurs yeux, en témoigne ce que notre, désormais, ami Francis subit jour après jour de la police du 14ème arrondissement, Boulevard Saint Jacques : destruction systématique et répétée de ses maigres avoirs, et incitation à partir.

 

 

Honte aux socialistes de la Mairie de Paris !

 

 

Mais respect au Pasteur Blanchard et à son association qui régulièrement apporte quelques biens, nourriture, et boisson chaude, mais surtout du réconfort à ces hommes et ces femmes qui mériteraient mieux de notre société de consommation

 

 

 

Daniel

 
 
 

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14/11/2020

En attendant la reprise des maraudes ...........

 

 

 

 

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Marie-Christine ARNAUTU Julien SANCHEZ: Maraude du 10 / 10 / 2010

07/11/2020

En attendant la reprise des maraudes ...........

 

 

 

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Louis ALIOT: Maraude du 13 / 05/ 2008