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  • Ancienne maraude..........

     

     

     

     

    IMPRESSIONS DE MARAUDE...

     

     

     

    Par Gérard Dominé,

    membre historique de l'A.S.P

     

     

    Cinq ans déjà, que l’UMPS et blabla... Non, je voulais vous parler d’une maraude avec le Pasteur Blanchard, de la maraude du 9 mars 2012. Je suis allé retrouver ce dernier et sa femme Catherine au lieu de rendez-vous convenu.

     

     

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    Mais cela tombe mal car ce soir j’ai le “blues”... Bon sang, c’est bien sûr ! Les séquelles de la retransmission du débat à la télé entre genre de figure et figure de genrede l’UMPS : à ma droite Rachido, pas encore larguée par Sarko, tant qu’elle peut toujours servir, (cela ne vous rappelle rien ? Duracel et Bernard Tapie...) ; à ma gauche, Hidalga et sa comparse Buffet, pour meubler confortablement l’émission. Quelques-unes qui sont bien à leurs places dans le décorum du plateau mais complètement décalées comme immigrées de service. Suivez mon regard, cela n'a rien à voir avec les pauvres qui avaient peut-être faim et froid ce soir du 9 mars ? Tiens, j’avais le blues il y a quelques minutes, lorsque la voix de Maître Collard se fait entendre à la télé... et me redonne du baume au coeur.

     

    Je me remets à l’ouvrage. Vite, il faut que je termine ce petit papier pour notre cher Pasteur. Non je n’ai pas oublié Jean et Béatrice. Après cinq ans, ils n’ont -presque- pas changé. Nos “amis visités” se souviennent encore de Jean qu’ils prennaient pour l’Abbé Pierre. Sans vouloir blesser le Pasteur, sans eux, cela n’aurait été que du passé la maraude de ce soir. De moi, certains se souviennent encore, ils m’appellent “Joe le Taxi”.

     

     

     

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    En effet, avant mon infactus, j’étais un “Nuiteux”dans le jargon de la profession et dans celui des noctambules... A présent, je vais plagier Raffarin : “Ceux d’en Bas” et “Ceux d’en Haut” se voient sans se voir. "Ceux d’encore plus Bas” dorment d’un sommeil fiévreux car avinés et “Ceux d’en Haut se grisent à “coût” de whisky. Le jour venu, “Ceux d’en Haut” sortent des bouches du métro et “Ceux d’en Bas” s'y cachent le mieux qu’ils peuvent ; l'enfer déjà à moitié consommé et consummé.

     

     

    Je me souviens quand je travaillais, je repassais par le même chemin pour rentrer chez moi au petit matin. Combien de fois j’ai pleuré en voyant Isabelle ! Pardonnez-moi d’être trivial, Isabelle qui dormait sur un matelas, “cul nu”, je dis bien “cul nu”.

     

     

     

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    Cette nuit du 8 mars, Isabelle n’était plus là. J’ai posé la question à mes compagnons... Le silence s'est fait lourd ! J’avais compris...

     

     

     

    Le “blues” me revient, j’ai les lunettes embuées. Je me plonge sur “le Meilleur des Mondes”, d’Aldous huxley. Et blablabla....ZZZZ... Demain sera un autre jour.

     

     

     

    Gérard

     

     

  • LES MARAUDES DU PASTEUR BLANCHARD:

     

     

     

                     

        LA LIGUE

                                 FRANCILIENNE

     

     

     

     

      Le Réseau Identités en Ile-de-France

     

     

     

     

     

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    Le 08 octobre dernier, une nouvelle maraude du pasteur Blanchard, à la rencontre de tous ceux que l’on oublie, que l’on ne voit pas. Tous ceux qui ne seront jamais invités au Petit Journal de Canal+ car pas assez photogéniques.

     

     

    Une maraude organisée par le pasteur à la rencontre de ceux qui sont transparents pour notre société, nos intouchables. Une nouvelle traversée de Paris, celle de la misère, femme seule avec enfants dormant par terre, couples dormant par terre, SDF résignés à leur existence et dans l’incapacité de changer leur vie.

     

     

    Le pasteur Blanchard dira : « On ne sort pas ou difficilement de la rue. La rue est un monde parallèle, avec ses propres codes, avec ses propres dimensions de temps et d’espace ».

     

     

    Nous ferons des rencontres étranges, de celles qui ne peuvent se faire que dans ses moments là. Des travailleurs sans-papiers rencontrés Rue de la Huchette, attristés par le sort des plus pauvres qui nous amèneront nous les damnés jusque dans des recoins de rue pour y apporter un peu de réconfort à ceux qui n’ont rien et qui nous remercierons ensuite de faire ce que nous faisons.

     

     

     

     

     

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  • Maraude du 13 / 01 / 2022.............

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • ENTRETIEN AVEC LE PASTEUR BLANCHARD (1).

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Par Olivier Perceval pour le journal de

    l'Action Française.


     
     
     
    Question 1 : Monsieur le Pasteur, pourriez-vous dévoiler pour nos lecteurs votre itinéraire spirituel et politique ?

     


     
     
    Réponse : Mon éducation s’est faite à Mazamet, ville qui se trouve dans le prolongement des Cévennes où le protestantisme a été longtemps majoritaire. Mon éducation a été d'une extrême rigueur. J'ai eu le parcours classique d'un fils du peuple. Après mon certificat d'étude, j'ai travaillé en usine. A cette époque, ma cité était la capitale mondiale du délainage. Mai 68 va me sortir de la condition ouvrière. Je découvre le social à travers les MJC et je passe une équivalence au bac qui me permet d'entrer à l'école d'éducateur (l'Institut Parmentier à Paris). A partir de 1978, j'entreprends une carrière de travailleur social (Cité de Refuge de l'Armée du Salut Paris).

     

     


     
    Les "événements" ont eu une autre conséquence, ma révolte contre mon père et ma famille. J'ai connu toute les errances de ma génération, de la vie en communauté aux festivals rock, en passant par la politique, de la ligue communiste à la gauche prolétarienne maoïste (tendance spontanéiste, situationniste). Mon retour à la foi, mes études de théologie, mon ordination, mon engagement avec Madame Jany Le Pen, c’est une autre histoire.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Question 2 : Parlez-nous de votre association caritative.


     
     
    Réponse: Notre association l'Action Sociale Populaire est régie par la loi 1901. Nous sommes une équipe de bénévoles et n'avons pour aide financière que la générosité des auditeurs de Courtoisie et des lecteurs de la presse amie. En plus de nos activités de maraudes où pendant plus de sept mois nous venons en aide aux SDF dans les rues de Paris, nous visitons des personnes âgées isolées et essayons de répondre aux attentes de personnes en difficulté que nos amis nous signalent. Nous débutons cet hiver une nouvelle action pour les familles de patriotes défavorisés par une aide concrète (achat de machines à laver, gazinières etc).

     

     

     



    Question 3 : Pensez-vous qu'il y a un vrai problème de répartition des richesses dans notre pays ?

     


     

    Réponse : Je pense que dans notre pays, il se trouve une profonde injustice à faire porter le principal effort du plan de rigueur sur le petit peuple et les classes moyennes. Mais il est une autre injustice choquante, le syndrome rousseauiste qui fait que,  beaucoup d'hommes politiques et de travailleurs sociaux ont tendance à considérer les populations originaires de l'autre côté de la Méditerranée comme ne pouvant être que des victimes du système ; ce qui bien souvent leur profitent en termes de prestations sociales.

     

     


    Alors que la majorité d'origine Française et Européenne, qui a du mal à quémander , qui ne connait pas bien les réseaux pour faire valoir ses droits, se retrouve de plus en plus marginalisée et précarisée? C’est pour cela, même, si le mot ne fait pas très Maurrassien, que nous souhaitons la justice sociale.... pour les nôtres.


     

     

    Question 4 : A l'approche des maraudes, pensez-vous que la crise jette de nouveaux pauvres dans la rue ?

     


     
     
    Réponse : Vous avez pu constater dans les rues de Paris, et cela contrairement au discours officiel, combien les restrictions budgétaires sont lourdes de conséquences. D'une année sur l'autre, nous voyons la situation s’effilocher. La lèpre de la misère gagne du terrain. Une nation qui n'est plus capable de gérer le problème de la pauvreté risque d'en subir de graves perturbations.

     

     

     

     

     

    A suivre...

     

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  • AUTISME:

     

     

     

     

    L’AUTISME, UN TROUBLE ENVAHISSANT DU DÉVELOPPEMENT POUVANT ÊTRE AUSSI UN AVANTAGE

     

     

     

     
     
     
    Médecin

    Médecin urgentiste et généraliste

     
     
     

     

     

     

     

    Cette semaine, le gouvernement s’intéresse à l’autisme. Emmanuel Macron a annoncé vouloir changer la donne pour les enfants et les adultes autistes, qui manquent souvent d’une prise en charge adaptée.

     

     

    Ces nouvelles mesures, qui représentent 344 millions d’euros sur cinq ans, doivent permettre de mieux dépister et prendre en charge les autistes, car repérés assez tôt et avec un accompagnement adapté, les écarts de développement entre les autistes et les sujets dits normaux peuvent être réduits. Le gouvernement veut mettre en place, dès 2019, des mesures pour améliorer le dépistage chez les enfants mais également chez les adultes afin de faciliter leur insertion professionnelle.

     

     

    On estime à environ 700.000 le nombre de sujets concernées par cette pathologie qui est un trouble neurologique de développement qui apparaît précocement lors de l’enfance et persiste à l’âge adulte. Ce trouble se manifeste par des altérations dans la capacité à établir des interactions sociales, des troubles du comportement et une difficulté à communiquer. Les personnes souffrant d’autisme semblent souvent isolées dans une sorte de monde intérieur et l’autisme est classé comme étant un trouble envahissant du développement (TED) par les spécialistes. Ces troubles peuvent s’accompagner, parfois, d’une déficience intellectuelle.

     

     

    Une variété d’autisme, appelée syndrome d’Asperger, concerne des sujets qui présentent une forme d’autisme sans retard mental, et avec des possibilités intellectuelles accrues, particulièrement sur le plan de la mémoire, ainsi qu’avec une capacité de concentration sur des détails souvent supérieure à la moyenne. Mais ces personnes peuvent aussi présenter des difficultés de communication, rendant parfois la vie professionnelle difficile avec les collègues de travail.

     

     

    C’est précisément en raison des possibilités cognitives atypiques de ces personnes qu’une jeune société franco-canadienne créée en 2015, Aspertise, recherche des autistes Asperger pour travailler sur des projets en matière de cybersécurité, d’intelligence artificielle et de développement. Pour le président de la société Aspertise, le cerveau de ces personnes est câblé de telle manière qu’elles ont une perception différente et qu’elles voient facilement ce qu’il appelle « des angles morts cognitifs » ou des failles et vulnérabilités dans les systèmes créés par des équipes classiques et proposent souvent des solutions auxquelles les personnes ayant un cerveau « normal » n’auraient pas pensé.

     

     

    En matière d’autisme, on observe, en schématisant, deux situations totalement opposées : d’un côté, des personnes qui nécessitent une prise en charge précoce et adaptée afin de permettre une insertion dans le monde qui les entoure et, de l’autre, des personnes chez qui ce trouble du fonctionnement cognitif a permis de dépasser les capacités habituelles, leur apportant ainsi un « plus » dans l’approche de certaines technologies.

     

     

    Dans un cas comme dans l’autre, les scientifiques n’ont pas résolu l’origine du trouble. Ils semblent s’orienter maintenant vers une origine génétique qui entraînerait des modifications dans la synthèse de certains neuromédiateurs ou de certaines hormones.