25/02/2013
PATRIOTE, PLUS QUE JAMAIS !
Souvenez-vous d’une chanson que nos grands-parents et nos parents chantaient : “Si je suis tombé le nez à terre, c’est la faute à Voltaire, le nez dans le ruisseau, c’est la faute à Rousseau..."
Je l’ai bien apprise. Elle est pour moi inoubliable et indélébile. Alors, pour passer le certificat d'études, il fallait connaitre la Marseillaise, notre Hymne national. Aujourd’hui s’il fallait réapprendre à mes enfants cette chanson populaire, je mettrais de nouvelles paroles à la mémoire des policiers morts en service commandé... Je dirais plutôt :” Morts pour que vive la France". N’en déplaise à cette gauche caviardée de scandales.
Nos chères têtes blondes, ces enfants orphelins de leur père sauront réécrire de nouvelles paroles. Le Rap est à proscrire. Gardez la mélodie mais changez de rimes. Hollande, Walls, Taubira... ? Une souffrance sourde monte en moi et me met en colère.
Par tempérament, je suis de ceux qui refusent la fatalité et ne peuvent rester prostrés devant cet acte évidemment terroriste. Le terrorisme de banlieue, celui des 4x4 en goguette, celui des halls d'immeubles squattés, celui des pompiers caillassés, celui du drapeau français qui brûle, celui de la charia qui cherche à s'imposer... Contre lui, La Marseillaise me vient en tête : "Allons enfants de la patrie, le jour de gloire est arrivé... Contre nous la tyrannie..."
17:03 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
23/02/2013
RETROUVEZ LUTHER...
00:16 Publié dans Religion | Lien permanent | Commentaires (0)
22/02/2013
MARAUDE DU 21/02 /2013.
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07:00 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (0)
21/02/2013
IMPRESSIONS DE MARAUDE...
membre fondateur de l'ASP
Jeudi 7 février, je participe pour la deuxième fois à une maraude.
Mon ami le Pasteur Blanchard, président de l'Action Sociale et Populaire, m'a fait l'honneur de m'inviter à collaborer à cette sortie, pour venir en aide à nos compatriotes sans-abri, avec notre ami commun Oscar Wesley.
Pendant toute l'année, le Pasteur et ses fidéles bénévoles, parfois accompagnés d'élus et de cadres du Front National, mais aussi d'autres personnes de tous les milieux de notre famille politique.
Bien plus que d'apporter de la soupe, du café, des couvertures, des vêtements ou des chaussures aux nôtres sans-abri, ces maraudes ont aussi pour but d'ébaucher des liens d'amitié, de tisser un suivi fait de chaleur humaine.
Jeudi, toute la soirée et une bonne partie de la nuit, c'est ce que nous avons fait ensemble. Et je garde un souvenir ému de toutes ces rencontres , ces discussions avec Stéphane, Yves, Igor, Romain, Adrien et les autres…. Ils ne possèdent rien. Ils vivent dans la rue, à quelques pas des immeubles cossus et de la jeunesse dorée de Paris. Ils ont pourtant beaucoup, un peu de grandeur d'âme et un peu de chaleur humaine. Et, c'est une joie d'avoir pu se rendre utile en leur donnant un peu de nourriture, quelques couvertures et d'avoir échangé quelques paroles ce soir-là.
A force, si l'on peut dire, certains ne quitteraient pour rien au monde la rue, d'autres la détestent, quelques-uns pourront en sortir. Tous nous ont accueillis avec le sourire ; des regards qui en disaient long, faits de la détresse de gens perdus pour les uns, emprunts de dignité, pétillants, souriants et chaleureux pour les autres.
De Sèvres à la Porte d’Orléans, de Denfert-Rochereau à Austerlitz en passant par la Place d’Italie, du Jardin des Plantes à Saint-Michel ou encore rue de Rivoli, cette soirée nous a dévoilé, une fois de plus, qu'un monde parallèle existe dans nos rues. Ils sont dix mille à Paris, trois mille dans le XIIIe arrondissement, qui n'ont rien et qui parfois ne demandent rien. Leur seule richesse : peut-être un certain détachement par rapport de notre société de consommation ? tellement égoïste et trop individualiste. Mais une indépendance qu'ils paient au prix fort.
Une autre constatation choquante durant cette soirée est l'évident manque de moyens accordé par l'Etat à l'aide des sans-abri. L'Etat semble plus compter sur la générosité privée que sur lui-même : "cachez cette misère dont je suis responsable et que je ne saurais voir".
Il serait temps aujourd'hui en France de revoir complètement notre politique sociale. Comment accepter en effet qu'une immigration qui vient d'arriver ait droit à tout (logements aidés, soins gratuits, etc.) alors que nombre de Français et d'européens sont dans le froid dans nos rues, sans soutien et que quelques-uns en arrivent par exemple à la solution extrême de devoir soigner leurs problèmes de dents en se les arrachant à vif.
Si un soutien leur était apporté avant la chute presque irréversible, combien nous déclarait faire le choix volontaire de rester dans la rue ? Car bien souvent, l'élément déclencheur est une dépression, une rupture, un mal être, autant de causes sociales et/ou économiques qui pourrait être traité et endigué si on en prenait la peine ; si on s'intéressait aux gens, au lieu de se détourner de l'humain.
Je voudrais, en conclusion, parce qu'ils prennent justement la peine (et le plaisir) de venir en aide à ces personnes avec de petits moyens, donner un grand coup de chapeau au Pasteur Blanchard et aux militants de l'ASP. Sincères et humains, ils connaissent un nombre impressionnant de sans-abri parisiens par leur prénom, savent un peu de leur vie, de leur parcours parce qu'ils font gratuitement l'effort de s'intéresser en vérité à ceux qu'ils croisent durant leurs maraudes.
Si vous souhaitez cette association à se développer, si vous ne pouvez le faire financièrement, faites-le un soir en donnant de votre temps. Et puis, vous pouvez aussi nous procurer des couvertures, des chaussures de grande pointure et des vêtements chauds. Les besoins sont importants car ou dans la rue, un vêtement ne dure pas bien longtemps.
15:49 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (1)
20/02/2013
LA PAUVRETE S'INSTALLE...
Par YDEL.
07:30 Publié dans Les copains | Lien permanent | Commentaires (1)
19/02/2013
RETROUVEZ LUTHER...
11:20 Publié dans Religion | Lien permanent | Commentaires (0)
EN FRANCE, C'EST MIEUX...
D'occuper
une cathédrale qu'une mosquée.
Après le dernier scandale provoqué par les extrémistes du mouvement Femen à Notre-Dame de Paris, le monde politique a réagi pour condamner cette provocation. Et l’on reste sur sa faim…
La condamnation de Manuel Valls, ministre des cultes, s’est faite longuement attendre, moins enthousiaste, semble-t-il, à condamner une provocation menée contre l’Église que contre l’islam. Quant au ministre du Droit des femmes, Najat Vallaud-Belkacem, elle a constaté « une provocation qui peut paraître assez inutile« , soulignant que la France n’est pas un pays où les libertés publiques sont en danger, au point que de telles actions seraient nécessaires. Hallucinant ! Le ministre suggère par là que cette provocation aurait pu être utile : même s’il s’avère qu’elle peut paraître inutile ! Aucune condamnation de principe donc.
Pour information, lorsque une mosquée, seulement en construction et donc déserte en l’état, est symboliquement et ponctuellement occupée par un mouvement dans le but de faire passer un message politique, la condamnation de principe ne se fait pas attendre et l’on déclare sur tous les tons la République en danger, réclamant la dissolution du mouvement à l’initiative de l’action.
Ainsi, Le PCF déclarait à l’époque : « Ce groupuscule doit être dissous et ses responsables poursuivis pour provocation à la haine raciale ». On ne savait pas que l’islam était une race : on la croyait être une religion, à l’instar de la religion catholique…
Quant au secrétaire général du Parti Socialiste, Harlem Désir, il déclarait que les provocateurs « agressent non seulement les musulmans de France mais aussi la République qui garantit la liberté de culte et le principe de laïcité »
Et Jean-Luc Mélenchon de renchérir : « Indigne occupation du chantier de la mosquée de Poitiers et les incitations à la haine religieuse qui l’ont accompagnée marquent un franchissement de seuil dans la violence politique de l’extrême droite en France ».
Hé bien toutes ces belles âmes n’ont pas eu un mot contre l’agression des Femen à Notre-Dame de Paris ! Agression d’autant plus grave dans la mesure où les agresseurs était irrespectueusement dénudés et que la cathédrale était remplie de fidèles qui ont été attaqués !
Vous avez dit deux poids, deux mesures ?
10:18 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
14/02/2013
IMPRESSIONS DE MARAUDE...
membre fondateur de l'ASP.
Francis, Isabelle, Yves, François, Raymond… : des héros anonymes en bas de chez nous ! Le blessé, le pauvre, la victime, le malade sont au cœur de nos villes. La société les nomme sans domicile fixe. Accidentés de la vie ou simplement mal partis, poussés par le malheur sur le bord du chemin, ils sont réellement là. Ce sont des enfants du Bon Dieu.
Avec Thierry, autre membre historique de l'association, j’ai passé une soirée de grande fraternité avec ces gens plein d’honneur, de dignité et de gentillesse dans le cadre de la maraude de l’Action Sociale et Populaire. Tous les dix jours, le Pasteur Blanchard, son épouse Catherine et une équipe de maraudeurs bénévoles partent dans les premiers arrondissements de Paris, à la rencontre de ces hommes et de ces femmes qui dorment dehors.
Mais ces maraudes sont plus qu’une distribution de soupe, de café chaud ou de vêtements ; le Pasteur Blanchard écoute ces français ou ces étrangers qu’il embrasse et réconforte chaleureusement par des paroles magnifiques. Affublé de son col romain, notre homme de Foi part à la reconnaissance de l'autre au-delà de sa situation de vulnérabilité.
Bravo à toi Pasteur : tu fais honneur à ta foi et à ces gens. Merci à toute cette généreuse équipe, cheville ouvrière des opérations et à Louis Aliot qui me succèdera pour la maraude de clôture en apportant un peu de joie à tous ces "anonymes" de la rue. Merci à toi cher Pasteur pour ce grand moment de charité. Sois remercié au nom de tous les nôtres.
15:46 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (0)
12/02/2013
JACQUES ATTALI...ATHALIE EN PIRE.
Jacques Attali, ancien conseiller du président Mittérand, qui avait également l’oreille de Nicolas Sarkozy, a récemment déclaré sa haine de la civilisation chrétienne. En bon révolutionnaire, il veut faire table rase du passé français, et traduire cette émancipation par la mise en place d’un nouveau calendrier où les grandes fêtes chrétiennes qui structurent actuellement notre temps social, et au rythme desquelles vit la France depuis plus d’un millénaire, auraient disparu.
"Il convient désormais d’enlever de notre société laïque les derniers restes de ses désignations d’origine religieuse. Par exemple, les jours fériés ne devraient être que laïcs, tels le 1er janvier, le 1er Mai, le 14 juillet et le 11 novembre. Les autres, dont les noms conservent encore une connotation religieuse (la Toussaint, Noel, Pâques, l’Ascension, la Pentecôte, l’Assomption) devraient se voir attribuer des noms laïcs (" fête des enfants" pour Noel et "fête de la liberté" pour Pâques) ou être considérés comme des fêtes religieuses, que les citoyens pourraient choisir comme jours fériés, parmi d’autres jours fériés pour d’autres fêtes religieuses (Kippour, l’Aïd, l’anniversaire du Dalai Lama) , exprime Attali sur son blog.
"Cette proposition n’est pas un caprice de laïc, soucieux d’affirmer une illusoire victoire sur le religieux. C’est une une mesure de salut public, qui rendrait à César ce qui est à César (…) La religion est une affaire privée" , poursuit-il.
La Révolution n’est pas seulement une négation du passé, elle est aussi une négation du réel : car il y a en l’homme une dimension spirituelle qu’elle veut occulter. Et au regard de l’histoire, pas une civilisation, dans le rapport à laquelle l’humanité cherche son achèvement, n’est pas pas marquée du sceau de la spiritualité. En France ainsi, le tissu social a été pénétré par le christianisme, ainsi qu’en témoigne le calendrier ou les clochers qui montent vers le Ciel.
L’articulation entre le domaine temporel et le domaine spirituel, qu’évoque Attali, est subtil. En accord avec les différentes dimensions qui habitent l’homme, ces deux domaines ne doivent ni être confondus, ni être séparés : ils doivent être distingués et ordonnés. Ainsi la religion ne saurait être un code civil ni une juridiction qui se substituerait au législateur : mais de ce qu’il existe des principes propres à la sphère politique, dont il faut en effet garantir l’autonomie, il ne s’ensuit pas qu’il n’existe pas des principes plus élevés auxquels elle doit demeurer subordonnée. C’est toute la leçon d’Antigone de Sophocle.
En bref, s’il faut certes rendre à César ce qui est à César, tout pouvoir venant d’en haut, il ne faut pas omettre que César lui-même est à Dieu…
10:07 | Lien permanent | Commentaires (0)
08/02/2013
MARAUDE DU 07/02/2013.
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10:16 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (0)