29/06/2011
DONS AUX OEUVRES : LA GROSSE FARCE
En ces temps de déclaration fiscale, nous voici de nouveau devant une farce à la française, telle que le dirigisme on invente sans arrêt. Ce sont les dons à « certains organismes d'intérêt général ». Au départ, il semble d'un intérêt minime de s'en occuper. En fait, à observer le système, il étend ses tentacules fort loin.
La paupérisation du peuple français réalisée, au fil des années, par les pouvoirs de toutes obédiences, en est la base ; nos lecteurs savent fort bien d'où provient cette paupérisation, à savoir principalement des impôts et réglementations, ceci sur fond de cupidité des manipulateurs du sommet. Certes, la plupart d'entre eux peuvent imaginer échapper à cette paupérisation, n'étant pas à ranger dans la catégorie des pauvres. Bien que supportant l'écroulement permanent de la richesse nationale, ils s'y habituent en la gérant plus ou moins ; ils ne s'aperçoivent pas, par exemple, qu'eux-mêmes abandonnent telle ou telle action généreuse à laquelle ils se livraient auparavant : nous voici donc en plein dans le problème.
ASSISTANAT
Aux impôts et réglementations, s'ajoute pour nous ruiner l'assistanat, qui se traduit par des sommes phénoménales souvent citées par nous. Cet assistanat a une conséquence particulière ; les gens enregistrent que l'État prend en charge les démunis et précisément avec les impôts qui les ruinent : les voici débarrassés de l'idée charitable de secourir ces démunis !
Aux USA, immense continent sensiblement plus libre que la France et donc plus riche, la générosité publique est bien plus développée que chez nous : 5 % du PIB américain est consacré à des actions charitables !
Voulant corriger les effets pervers de ses propres actions, le pouvoir a donc imaginé la possibilité de déduire des impôts les dons en faveur « de certains organismes d'intérêt général ». Le résultat inévitable est une obscure usine à gaz.
LES DETAILS
En mars 2009, un palier nouveau fut franchi dans le nuage de l'usine à gaz.
Il y avait jusqu'alors 12 catégories d'associations bénéficiaires, chaque catégorie ayant son régime particulier extraordinairement complexe ; le reçu à envoyer comportait une demi page ; depuis lors, il comporte une grande page 21x24. A lire attentivement la raison, elle est toute simple : les 12 catégories d'associations sont devenues 24.
Elles portent souvent des noms absolument obscurs : « entreprises adaptées », « entreprises d'insertion » ou « entreprises de travail temporaire d'insertion ». Une catégorie est assortie d’un nom qui est bien trop long à citer : il y est question de la fondation du patrimoine et d'un lien avec les propriétaires des immeubles.
Le chef-d'oeuvre de la « bourreaucratie » se lit dans une petite notice d’une demi page. « Cette disposition fiscale concerne uniquement les organismes qui satisfont aux critères définis par les articles 200, 238 bis et 885, etc. du code général des impôts. Pour que les victimes comprennent bien, ils leur est conseillé de s'assurer qu’ils répondent aux critères visés ; ceux-ci se référent à un nombre d'articles considérables du livre des procédures fiscales. Et même, s'ils ont des insomnies, ils peuvent s'en rapporter au bulletin officiel des impôts dont la lecture doit être particulièrement attrayante.
Nous gardons pour la fin le coup de fouet que nous citons en entier : « si les organismes bénéficiaires de dons délivrent à tort des reçus fiscaux, ils s'exposent au paiement d'une amende fiscale égale à 25 % des sommes indûment mentionnées sur ces documents (article 1740 à du C.G.I.).
LES EFFETS DESTRUCTEURS
Les effets destructeurs de cette farce bien française peuvent être détaillés.
D'abord, l'incroyable surcharge administrative disséminée dans un grand nombre de bureaux et dont personne ne peut connaître le coût total. Ensuite, se trouve l'assèchement de la générosité privée déjà signalée plus haut. A citer également l'expropriation du temps privé qui est un véritable esclavage et n’est jamais mise en lumière. Chacun, selon les principes du droit naturel, est propriétaire de son temps : le dirigisme vole aux gens leur temps en imposant des démarches et formalités insupportables. Les dirigeants des associations sont obligés de remplir ces formalités pour obtenir la maigre consolation de permettre à leurs cotisants de déduire les cotisations de leurs impôts : remplissage des reçus, envoi et classement. Le nombre d'heures ainsi volées est absolument immense et compte à son tour dans la paupérisation de la France.
La dégradation morale s'ajoute. Nous recevons tous des documents d'associations réclamant à juste titre notre aide ; très souvent, dans ces documents, il nous est dit que pour donner 100 euros nous ne dépenserons que 34 euros ; dans la plupart des cas, c'est pur mensonge ; contraindre les victimes à mentir est l'effet de cette usine à gaz.
Enfin, voici le degré suprême de la dégradation morale : les victimes, à savoir les donateurs et les dirigeants d'associations, se réjouissent souvent du système, ignorant que c'est une véritable farce remplie de mensonges et de pièges. Convaincre les victimes de bénir leurs chaînes est le rêve de tous les totalitarismes.
Bien sûr, personne n’en veut aux honnêtes fonctionnaires qui, a la base, se livrent à ce travail destructeur. La responsabilité totale repose sur les élus et leurs compagnons de route qui depuis des décennies, s'activent pour consolider cette arnaque et bien d'autres du même type.
Michel de Poncins
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27/06/2011
ON NE NOUS DIT PAS TOUT. Yves
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24/06/2011
La Hutte de Todtnauberg
Lors de mes deux années passées en Alsace, j'ai eu l'occasion de traverser le Rhin pour me rendre dans cette partie de l'Allemagne que j'aime tant : le pays de Bade. C’est la patrie de celui qui reste le plus grand philosophe du siècle dernier: Martin Heidegger.
Avant de quitter cette belle région de nos marches vers l'est, j'ai souhaité visiter le célèbre chalet construit de ses mains au cœur de la forêt noire, la fameuse hutte de Todtnauberg. C’est là qu’ont été écrites les plus belles pages de son œuvre, c'est là que s’est développé sa réflexion sur le problème de l'être, de la relation de l'homme à l'être, et de l'être à l'homme. C’est dans ce cadre champêtre que sa philosophie a acquis son amplitude, le conduisant à définir le postulat de l'être capable d'interrogation authentique, comme enracinement, comme ouverture à l'être. C’est là que le Dasein devient "être de l'existant humain en tant qu’existence singulière et concrète". C’est au creux des chemins qu'il découvre la vérité cachée. L'homme est berger de la parole, la vérité se trouve cachée dans les mots, loin du "on" de la vie inauthentique du monde moderne.
Pasteur Blanchard
20:41 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0)
19/06/2011
ASSEMBLEE GENERALE DU 18 JUIN 2011.
Cliquer ICI
07:29 Publié dans L'équipe de L'ASP | Lien permanent | Commentaires (1)
17/06/2011
COURRIEL DU PASTEUR VOLFF
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13/06/2011
Monsieur le ministre de l’intérieur n’a pas tort…loin de là !
Il faut une fois pour toutes mettre les points sur les « i » sans langue de bois. L’immigration en France a posé quelques problèmes dans le passé sans jamais porter atteinte à l’unité nationale. Successivement les Italiens, Polonais, Portugais, Espagnols, etc. et même Maghrébins, sont arrivés, se sont installés et ont intégré notre civilisation car la France avait besoin de cette main-d’œuvre et cela jusqu’en 1962 date après laquelle, à la fin des protectorats marocains et Tunisiens, on a offert l’indépendance à l’Algérie.
Dès lors l’immigration algérienne s’est multipliée et l’on peut se poser la question : pourquoi ? Alors qu’un million « d’affreux colons » ont traversé la Méditerranée et que les Algériens se sont battus, sont morts, pour obtenir l’indépendance de leur pays, des centaines de milliers d’Algériens ont quitté « leur paradis retrouvé » pour se réfugier en France ? La réponse est simpliste : l’assistanat et les aides que nous leur offrons leur permet de vivre bien mieux que dans leur libre patrie.
Cette immigration massive est devenue un problème national, pour ne pas dire international, car s’il est vrai que le million de maghrébins de la précédente génération s’est parfaitement intégré une large minorité des 5 millions de nouveaux arrivants, qu’ils soient nés en France ou à l’étranger, refusent cette intégration et prétendent imposer leurs us et coutumes et leur religion en provoquant volontairement notre identité nationale. Ils n’acceptent ni les droits ni les devoirs de notre république laïque qu’ils insultent, diffament, détruisent, incendient, vilipendent, à tel point que nous refusons d’ouvrir les yeux sur le constat qu’environ 70% de la population carcérale appartient à leur communauté. Nous préférons nous attarder sur des problèmes mineurs tels que le port du voile, les repas halal, le refus des femmes d’être soignée par un homme, les horaires particuliers pour celles-ci dans certains lieux publics, les prières dans les rues de nos villes, etc.
Effectivement ces différents problèmes sont ennuyeux mais leur origine est ailleurs, elle est dans l’importance d’une présence sur notre sol de six millions d’individus de religion musulmane et c’est là que se situe le danger présent et surtout futur.
Nous nous glorifions d’une natalité supérieure à celle des autres pays européens, comme s’il s’agissait là d’une épreuve sportive mais la réalité est tout autre car cette natalité n’est pas le fait de nos femmes occidentales mais de femmes françaises d’origine nord africaine (voir la liste des mères de plus de 5 enfants des cinq dernières années en France) et c’est sur ce problème qu’il nous faut intervenir d’urgence car il est certain que les évènements actuels et futurs qui se déroulent dans les pays du Maghreb, nous le constatons chaque jour, produisent une très importante augmentation de cette immigration.
Dès lors il s’agit d’un problème de mathématique élémentaire, celui que fort justement redoutait le général de Gaulle : « Dans moins de 50 ans la France sera à majorité musulmane et ne pourra plus être une république laïque puisque la religion musulmane rejette les autres religions partout où elle est souveraine »
Cela devient pour nous Français plus urgent que le réchauffement de la planète, que le trou dans la couche d’ozone, etc. : Si cette immigration progresse et si la natalité issue de cette immigration n’est pas stoppée il est inéluctable que la France sera musulmane dans un demi-siècle.
Si c’est ce que nous voulons alors laissons faire les choses, si c’est ce que nous ne voulons pas il devient alors très urgent de stopper totalement l’immigration et même de la réduire…si possible !
Le ministre de l’intérieur paraît l’avoir parfaitement compris.
Des premières mesures doivent être prises :
- Arrêt immédiat de toute immigration.
- Expulsion de tous les « sans papiers »
- Arrêt des primes après le troisième enfant.
- Rétablissement de la nationalité par le droit du sang.
- Application stricte de l’article 23-7 du code civil
Ce sont des mesures drastiques mais nécessaires pour la survie de notre identité occidentale et ce n’est pas le Parti Socialiste qui les appliquera.
Manuel GOMEZ
16:59 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
11/06/2011
Maraude de clôture avec Jany Le Pen:Une marraine de coeur
Jeudi 6 mai au soir se clôturait la saison 2010 2011 des maraudes de l’Action Sociale Populaire (ASP). Pour cette occasion, nous avions l’immense plaisir de recevoir la marraine de notre Association, Madame Jany Le Pen.
La charge de marraine n’est pas un vain mot chez cette Dame de Coeur qui nous a prouvé jusqu’à très tard dans la nuit ce qu’entraide, fraternité et don de soi voulaient dire.
Il y a 15 ans déjà le Pasteur Blanchard et Madame Le Pen animaient ensemble la distribution de soupe populaire à Saint Lazare. Le Pasteur c’est près de 40 ans d’expérience dans le social, au service d’hommes et de femmes en souffrance. Autant de preuves concrètes que notre famille de pensée, la Droite des valeurs, est la seule réellement et concrètement attaché à la solidarité nationale.
21h nous rejoignons notre point de ralliement Porte d’Italie, notre équipe se forme, nous partons à deux voitures nous enfoncer dans les avenues de Paris.
La première halte, métro Sèvres-Lecourbe, ne devait durer qu’une quinzaine de minutes et c’est près d’une heure que nous y resterons ! Nous y retrouvons une petite communauté de 5 à 6 SDF, français et polonais, fraternellement regroupés, qui se sont organisés avec méthode un lieu de vie, de survie devrais-je dire. Nous sommes tout de suite frappés par la farouche dignité dans le regard bleu de ces européens.
L’un d’entre eux me montre ses papiers, parfaitement en règle, mais tout cela ne lui est d’aucune utilité. L’état français ne le reconnaît pas et lui refuse même l’aide médicale ! Mais diable sur quels critères cette injustice est elle fondée ? Je n’ose imaginer.
Jany Le Pen a eu la touchante attention de préparer des petits cadeaux pour nos amis visités cette nuit. Ce sont de très pratiques petites lampes de poche qui remportent immédiatement un incroyable succès et illuminent les tentes dans ce coin sombre au pied du métro aérien.
L’un des SDF nous demande assez vite qui est cette Dame qui très spontanément s’est assise au milieu du groupe, à côté de la seule femme et lui témoigne une affection non feinte (lui remettant notamment des produits de soin qu’elle avait précieusement préparé). Cette scène touchante n’échappe pas à notre camarade SDF, à qui le Pasteur indique discrètement l’identité de notre hôte. Après un instant d’hésitation et d’étonnement, c’est tout le groupe qui réalise que l’épouse du Président du Front National leur consacre sa nuit.
Le groupe s’agite soudainement et s’empresse alors de congratuler Jany, on ressent dans leurs yeux une émotion intense, un profond respect. En somme un hommage fraternel rendu au peuple français !
Nous quittons nos amis sous les vivas et les « Le Pen Président » lancés à la cantonade par nos amis avec leur accent de l’Est… Surréaliste.
Quelques heures plus tard, sur les quais de Seine, Austerlitz, le thermomètre est passé sous la barre des 10°, ce qui en soi n’est pas le plus dur pour ceux qui sont dans la rue mais ce soir le vent souffle continument. C’est pourquoi nous redoublons d’efforts dans la distribution de duvets et couvertures, très souvent recouvrant dans leur sommeil nos compatriotes. Nous en profitons pour leur déposer sardines, biscuits ou barres de céréales et imaginons les voir se réveiller dans quelques heures surpris par ce don du ciel.
Notre sang se glaça un instant face à un homme, allongé à quelques centimètres des voies sur berge, terriblement seul et sans signe de vie.
Quelques longues secondes où nous nous cherchons tous du regard, l’angoisse tenaillée au coeur. Il finira, Dieu merci, par bouger. Notre ami et dévoué Christian, bondissant alors dans la voiture pour lui servir un bon café fumant d’arômes qu’il accepta avec reconnaissance.
Plus loin sur les quais, nous rencontrons une équipe de la police fluviale. Ils sont apparemment en patrouille à la recherche de quelqu’un ou de quelque chose, armés eux aussi de leurs lampes puissantes. « Nous recherchons des terroristes. Que faites vous ici ? » Nous lancent-ils.
A cette question certes un peu provocatrice, nous engageons la discussion pour mieux faire savoir la raison de notre action. Il faut dire que notre bon pasteur Blanchard, arborant son col romain et sa gapette n’a fondamentalement pas l’air d’un chef terroriste !
La discussion prenant assez vite une tournure plus légère, les policiers réalisent petit à petit qu’ils ont affaire à une équipe dans laquelle ils identifient Mme Le Pen, les bras chargés de sacs, le pas pressé d’aller à la rencontre des SDF, sans caméras ni journalistes, dans une véritable démarche personnelle de solidarité.
Une fois de plus dans cette soirée, je verrais le regard de nos interlocuteurs changer et tous nous quitter avec un profond respect pour notre Marraine de coeur et ainsi pour les idées que nous tenons tant à défendre.
Après encore beaucoup de rencontres, de paroles échangées, de poignées de main ou d’embrassades chaleureuses, des litres de cafés et de soupe offerts bien chauds, des kilos de vêtements et chaussures distribués, la maraude se terminera tard à 2H00, devant la gare St Lazarre.
Cette gare qui a bien changée mais où le Pasteur et Jany se remémoreront avec joie l’épopée des soupes populaires d’Entraide Nationale. Devant cette gare, avant de repartir, nous rencontrons un SDF, niçois d’origine qui engage aussitôt une discussion enflammée et sans fin autour de la politique, ses amis, ses rencontres et surtout les dates de naissance. Un autre, nous sommes tous unanimes pour dire qu’il s’agit du sosie de Daniel Guichard, avec qui nous terminons la soirée par quelques exemples du meilleur répertoire de la chanson française, entonnés simplement et chaleureusement par notre petite équipe. Une fois encore, magie de l’instant, surréalisme des rencontres
Surtout la fierté d’avoir contribué modestement à la solidarité de notre peuple
Merci Madame Le Pen
Patrice Hubert Secrétaire général de l’ASP du Pasteur Blanchard
03:00 | Lien permanent | Commentaires (3)
08/06/2011
LE PANIER DE CRABES MARSEILLAIS DU PARTI SOCIALISTE
Jean-Noël GUERINI a été réélu président du conseil régional des Bouches du Rhône et cela malgré le rapport explosif confié à Martine AUBRY par l’un des prétendants socialistes à la présidence de la république M. Montebourg. Celui-ci dénonçait la collusion de ce triste personnage avec son frère l’entrepreneur Alexandre Guérini mis en examen pour détournements de fonds et de biens publics, recel, blanchiment, abus de biens sociaux, corruption active et trafic d’influence (excusez du peu…)
Voici un extrait de ce rapport : « Ce sont des pratiques effrayantes qui reposent sur un système de pouvoir et de captation d’argent, d’utilisation de l’argent public, de pressions sur les élus et sur les fonctionnaires. L’intimidation et la peur étant l’arme quotidienne des deux frères. Les liens avec le grand banditisme sont dans le dossier judiciaire ».
Ce rapport est accablant et pourtant Martine Aubry ne veut pas en entendre parler, elle refuse de prendre en considération les preuves, elle le rejette. Après avoir prétendu l’avoir perdu elle a ajouté « qu’il n’y avait rien dedans » !!. Elle a préféré que le parti socialiste conserve la présidence du conseil régional même au prix d’un système mafieux dénoncé par un haut responsable de son propre parti.
Ne peut-on pas supposer qu’elle-même en ait peur et que les frères Guérini détiennent quelques fichiers brûlants concernant des procédés identiques dans la région Nord ?
M. Montebourg n’a pas avalé la pilule et il est certain que ce sujet reviendra très bientôt sur le tapis au cours des « primaires » du PS.
Que les électeurs socialistes marseillais se fassent rouler dans la farine par les deux frères c’est leur problème mais que le Parti Socialiste et Martine AUBRY ferment les yeux sur de telles accusations et nous proposent cette image de la « Nouvelle France », celle de demain, nous n’en voulons pas.
Manuel GOMEZ
01:55 | Lien permanent | Commentaires (0)
06/06/2011
LE FMI ET SES FRASQUES
Nous allons évoquer les frasques du FMI, mais ce n'est pas forcément celles de DSK dont les médias nous abreuvent à longueur de journée. Il reste cependant qu'un observateur attentif et subtil peut probablement trouver des liens entre tous les phénomènes.
Pour sauver en quelque sorte DSK, la presse, les médias et tous ses anciens amis chantent les louanges de son action à la tête du Fonds Monétaire International (FMI) ; nous ne les suivrons pas sur ce chemin et à entendre dans la rue les peuples irlandais, portugais et grecs entre autres, nous ne sommes pas seuls.
UN STATUT EXTRAVAGANT
D'abord, il est absolument nécessaire en citant des chiffres que la presse a publié de rappeler le formidable prélèvement que cette institution internationale opère, pour ses frais de fonctionnement, par la force fiscale sur le monde entier. Citons quelques chiffres concernant le président déchu. Il touchait 500 000 $ par an. Son indemnité de séparation se monte à 250 000 $. Sa retraite de patron de l'institution lui garantit environ 80 000 $ par an jusqu'à la fin de sa vie. Ces sommes, pour être comparées à d'autres, doivent être affectées d'un coefficient multiplicateur pour tenir compte d'une exonération totale ou partielle d'impôt et du fait que c'est pour l'argent de poche, puisque que l'essentiel de la vie courante et bien au-delà fut assurée par l'institution. Comme il est de règle dans les dinosaures internationaux le statut abusif du sommet se répand en ondes bienfaisantes sur tous les échelons inférieurs. La bureaucratie du FMI compte 2700 employés ! Nous ne connaissons pas le coût total des frais de fonctionnement et probablement la moitié de ce chiffre doit est considéré comme un enrichissement sans cause pour les bénéficiaires.
Il est une règle absolue au sein de la dictature mondialiste, dont ce FMI n'est qu'un des multiples visages : plus les organismes sont importants, moins il y a de vrais contrôles et plus les fuites d'argent s'aggravent ; les titulaires vivent à l'abri dans une sorte de bulle financière et juridique dont ils ne cherchent surtout pas à sortir. En témoigne la bataille homérique pour se partager entre les nations les grandes fonctions internationales, bataille déjà engagée pour le FMI où les politiques de chacun des pays trouvent le moyen de s'échapper en quelque sorte par le haut.
Les analyses ci-dessus s'appliquent peut-être à mille « bourreaucraties » internationales exerçant à un titre ou à l'autre la dictature mondialiste. Quelles sont les personnes qui souffrent le plus de cette situation scandaleuse ? Ce sont les pauvres de toute la planète, car par répercussions successives la force fiscale sur laquelle repose ces édifices fait souffrir principalement les pauvres. La participation du démissionnaire à cette entreprise ne peut pas du tout être, pour ce seul premier motif, considérée comme positive contrairement aux déclarations de la presse et des médias et même si bien d'autres dans le monde se partagent ainsi injustement le butin international public
LES ACTIONS ENGAGEES
Encore, faut-il examiner cependant si les actions engagées sous son égide ont été positives.
Le FMI a apporté son concours en corrélation avec les États à des politiques de relance dans un grand nombre de pays. Or ces politiques sont véritablement catastrophiques et ne font que propager et prolonger la crise économique. En effet, elles reposent toutes sur l'intervention des États dans l'économie ce qui est tout à fait contraire à la liberté économique absolument nécessaire à la création de richesses. Cette intervention implique des impôts et des endettements croissants. L'objectif annoncé découle de l'idée qu'après le détour d'un certain nombre d'années les PIB augmenteront et pourront ainsi résoudre les diverses calamités que les mêmes États ont créées par leurs propres activités multiples et destructrices. C'est évidemment un faux raisonnement. L'observation quotidienne montre que les pays européens et en particulier la France, championne des politiques de relance, voient leurs économies traînasser dans une médiocrité qui ne s'arrête pas.
Ensuite, il est permis de constater qu'avec l'aide des diverses banques centrales, le FMI a maintenu le taux de l'argent à un niveau extrêmement modeste ce qui a conduit à créer de la fausse monnaie et à engendrer en particulier dans beaucoup de pays des bulles immobilières. Or, il est un principe sur le plan économique : le capital doit être payé à un taux normal permettant une allocation adaptée des ressources, ce qui ne fut pas le cas. Il en est résulté un grand nombre de calamités ayant frappé entre autres plusieurs pays comme l'Irlande, le Portugal et la Grèce.
Ayant été le pyromane, le FMI a-t-il été un bon pompier ? Pas du tout. En effet, les recettes appliquées l'ont été sur la base d'aides financières et les milliards ont valsé : un jour la Grèce a besoin de 60 milliards et le lendemain cela n'est déjà plus suffisant. Les pyromanes ont continué à attiser le feu. Puisqu'il s'agit de la Grèce, il paraît que la nouvelle aide pourrait se faire en échange d'une hypothèque sur de nombreux biens comme les sites olympiques construits en 2004. A quand la vente de l'Acropole qui, au demeurant, n'est qu'un temple dédié à une idole !
L'arrosage avec de la fausse monnaie s'accompagne généralement de l'exigence d'une diminution du déficit public d'une façon drastique et c'est là qu'apparait un autre défaut. Cette diminution est imposée avec des mesures très dures pour les populations comme par exemple le gel des salaires, le gel des retraites, voire des diminutions, le rabotage des avantages sociaux, du chômage en accroissement et des aggravations de la fiscalité. Dans la plupart des pays visés, ces programmes sont propres à détruire la richesse et pas du tout à la développer dans l'intérêt des populations. Ainsi s'explique que dans les divers pays, ces populations à juste raison protestent violemment dans la rue contre des mesures qu'elles ne comprennent pas.
LES PREDATEURS PUBLICS
Enfin, aucun sacrifice personnel important n'est demandé aux prédateurs publics qui dans ces pays comme ailleurs, sont uniquement attachés au maintien de leurs propres privilèges si extravagants soient-ils, le reste n'étant vraiment pas leur souci.
Une des caractéristiques de la dictature mondialiste en construction très avancée est la solidarité sans faille entre les manipulateurs du sommet. Ce tour de piste dans le prétendu génie du FMI et de son président déchu le montre abondamment. S'il semble abandonné par ses pairs, il fut encensé par eux dans diverses fonctions et pendant très longtemps.
Au début de cette analyse, nous évoquions des liens subtils entre les diverses catastrophes au sein du FMI. Ce n'est pas si subtil : la planète entière était au courant de tout !
Ces manipulateurs du sommet vivent dans une sorte de bulle psychologique et leur devise semble se formuler ainsi : « prédateurs de tous les pays, unissez-vous ».
Michel de Poncins
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03/06/2011
Lettre ouverte du Pasteur Blanchard aux instances du Protestantisme Français
Il y a de cela quelques années, alors que j’étais en grande précarité, mon ancien synode m’a hébergé. Il me fut demandé de me repentir de mes convictions politiques,et mon engagement auprès du FN. Mon refus me valut de ne pas être réintégré, de ne pouvoir desservir une paroisse. Depuis, la Fédération Protestante pratique envers moi la loi du silence, du cordon sanitaire.
Actuellement, comme mes actions caritatives font de plus en plus parler de mon association, je reçois de nombreuses lettres et appels téléphoniques… Visiblement, mes activités ne laissant pas certaines personnes indifférentes, je souhaite préciser aux instances du Protestantisme Français que mon seul désir est de préserver la paix ; de ne pas retomber dans de stériles querelles, comme à l’époque de la création avec Madame Jany Le Pen du Cercle des Amitiés Protestantes, en 1995.
Comme Abraham et Lot, assumons sans hostilité nos chemins différents. Sachez qu'à titre personnel je persiste et signe. Sans mandat d'aucune sorte, sans subvention pour mon travail social, comme citoyen libre je voterai pour Marine Le Pen lors des élections présidentielles : elle est à mes yeux le seul espoir pour la régénération de notre pays.
Pasteur Jean-Pierrre Blanchard Président de l'ASP
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