30/05/2025
Ancienne maraude.......
Par le pasteur Blanchard.
Tous les amis qui viennent marauder sont surpris de notre familiarité avec les SDF. Il faut dire que nous sommes dans notre douziéme campagne de maraudes. Le temps à fait que nous avons fini par nous connaître, d'un certain point de vu on peut parler d'amitié : nous finissons par avoir des informations sur leur vie, leurs épreuves, ce dont ils ont réellement besoin au-delà des problèmes matériels qu'ils traversent.
C’est de véritable empathie dont ils ont besoin. Celle-ci, ils ne la trouvent pas dans les grandes associations. Il faut croire qu'elles finissent par le perdre de vue, elles qui ont à gérer la misère à l'échelle nationale, elles ont du mal à répondre aux véritables questions que génèrent le train train quotidien.
Il y a un autre problème qui prend de l'ampleur : les rondes de la police pour déloger les sans domicile du pavé parisien. La loi interdisant de les déloger "manu militari", on fait tout pour les dégoûter en raflant leur bardas, les laissant sans rien sur le trottoir, avec le secret espoir que par lassitude ils quitteront Paris.
A l'origine de la démarche, il y a la gauche caviar du maire, pour qui la misère est une lèpre dans la Capitale, un abcès pullulant qu'il faut éradiquer. Il peut sembler paradoxal que des hommes classés à gauche se définissant comme humanistes au service de l'humanité soient ceux qui organisent la chasse à la misère dans les rues de la cité ; force est de constater que les bobos sont parmi ceux dont les valeurs sont totalement antagonistes avec le peuple véritable, les petits, les sans grade et cela au nom de principes désincarnés.
♥
Quant à nous, continuons notre travail, pour la défense des Nôtres, pour la véritable cause du peuple.
Pasteur Blanchard
09:08 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (2)
27/05/2025
Ancienne maraude.......
SUITE A UNE PRE-MARAUDE...
Réflexions de Bruno Raju,
Membre du CA de l'ASP
Le mardi 21 Août 2018, le Pasteur Blanchard et son épouse, infatigables dans leur volonté de venir en aide aux plus pauvres d'entre nous, nous embarquent dans leur arche de Noé de la pauvreté. Tout est prêt, nous voilà sur le pont pour notre maraude nocturne. Le Seigneur nous accompagne sans que nous nous en apercevions. Les premiers sans domicile fixe sont dans votre visée, c'est l'arrêt et les premières distributions, vêtements, chaussures, café, soupe et thé. Les pauvres hères sont contents de voir celui qui depuis 2005 leur vient en aide, sans aucune subvention, puisant dans ses propres deniers pour faire face. Des visages connus se réjouissent de voir leur ami, le pasteur Blanchard, et les nouveaux se pressent pour recevoir ces quelques dons qui sont pour eux comme un cadeau de Noël .
Nous terminons notre virée dans le monde de la grande pauvreté à l'Opéra. Nous avons rencontré des hommes, des femmes, des jeunes, des vieux, des enfants qui vivent dans la rue sur des matelas ou dans des cartons. Mais qui les regarde? la pauvreté est devenue tellement commune dans notre pays. Levez-vous âmes de bonne volonté et rejoignez l'arche de Noé que le Pasteur Blanchard a mise sur pied et qui ne vit que grâce à l'amour pour ses frères.
Bruno |
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23/05/2025
Ancienne maraude.......
ASP : L'ETERNEL RETOUR...
contre la misère sociale
et pour la préférence nationale
n’a jamais été aussi juste !
Nous avons participé à la dixiéme maraude de Noël avec Catherine et le Pasteur Blanchard.
Les Maraudes, ces tournées nocturnes à la rencontre des sans-abris parisiens, sont pour chacun de ceux qui les vivent une expérience sans commune mesure, de celles de nature à vous transformer, en tout cas qui ne vous laissent pas indifférents.
La majorité de nos accompagnants reviennent de ces maraudes « touchés » par la dignité des personnages rencontrés, « émus » par les situations de grande détresse, « surpris » par la grande culture de certains et dans tous les cas « révoltés » par l’injustice grandissante d’une société dans l’incapacité d’offrir à ses propres compatriotes les voies de la réussite sociale.
Durant cette nouvelle saison, un grand nombre de nos amis de droite nationale, provenant de toute la France, se succéderons aux côtés du Pasteur Blanchard pour, l’espace d’une nuit, venir en en aide à nos compatriotes délaissés.
Qu’ils en soient tous remerciés !
La rue parisienne, c’est une caisse de résonance implacable des maux de la société française, dont nous ne cessons de dénoncer les dérives, seuls depuis des années :
• Démantèlement du système de soins et de protection sociale
• Paupérisation des travailleurs
• Impossibilité d'accéder à un logement décent
• Préférence étrangère dans les centres d’hébergement
• Perte du sens de la solidarité entre les générations
• Insécurité grandissante
• Ouverture incontrôlée des frontières
Un dernier exemple, alors que le gouvernement tente de nous endormir sur le pseudo contrôle des frontières aux portes de Schengen, nous pouvons témoigner du tsunami migratoire qui est en cours et qui voit affluer à Paris des centaines de migrants irréguliers.
Cette nuit du 22 Décembre nous retrouverons des sans-abris provenaient de tout horizon…. Autant d’individus déboussolés à qui l’idéologie mondialiste a promis un eldorado, qu’ils ne trouveront finalement pas chez nous car notre pays n’en a plus les moyens.
Cette nuit du 22 Décembre nous nous répétons que nos moyens sont dérisoires, que la tâche est immense pour sortir nos compatriotes de la misère.
Mais cette nuit du 22 Décembre, nous partons en fin de nuit, convaincus que notre combat est juste et que nous parviendrons demain à changer la société.
Gilles CLAVEL
Vice-président de l’ASP
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20/05/2025
IMPRESSIONS DE MARAUDE...
Force est de constater que la présence de nombreux sans-logis dans les rues de Paris gêne le maire et ses adjoints. Les témoignages de certains SDF sont accablants. Un exemple, chaque semaine, le vendredi, ici ou là, la police arrive et signifie à ces malheureux qu'ils ont cinq minutes pour déguerpir. Aussitôt, les éboueurs suivent et jettent leur barda. En un instant, nos amis se retrouvent encore plus bas. Bien sûr, cette démarche est faite avec le secret espoir que de guerre lasse, ils décamperont à jamais.
Cette méthode hypocrite mais ponctuellement efficace de déplacer la misère, ne tient pas compte du fait que, comme tout un chacun, les SDF s'accrochent aux repères qui sont devenus leur espace vital. Et, c'est un puits sans fond que les autorités creusent.
Une autre remarque, aussi éloquante, m'a été faite par un ami venu de province pour déposer des vêtements. Il me dit sa surprise de voir la capitale de plus en plus submergée par les SDF. En particulier, les avenues "chics".
Oui ! Sur le prestigieux boulevard des Capucines, on croise après l'Olympia et jusqu'à l'Opéra des familles entières dormant devant les entrées des grands magasins. Et, durant nos maraudes, la nuit, ces abcès de fixation de la misère sont encore plus éclatants. Chaque fois, nous découvrons un mélange indécent de beauté et de misère.
Nos gouvernants, si occupés pour savoir qui sera le nouveau président, baissent les bras devant un problème aussi terrible et massif. Leurs seules réponses sont le silence et le déni. Ils éludent un problème qui ne fait que s'amplifier comme ils chassent les SDF, le vendredi, d'un trottoir à l'autre.
Nous avons l'écoeurante conviction que moins les choses se résolvent, plus la communication règne en maître. Mais, l'Action Sociale et Populaire reste un témoin lucide. C’est à ce prix que nous continuerons à apporter notre contribution au combat contre la véritable exclusion.
Pasteur Blanchard
09:03 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (0)
13/05/2025
Ancienne maraude.......
SUITE A UNE PRE-MARAUDE...
Réflexions de Bruno Raju,
Membre du CA de l'ASP
Le mardi 21 Août 2018, le Pasteur Blanchard et son épouse, infatigables dans leur volonté de venir en aide aux plus pauvres d'entre nous, nous embarquent dans leur arche de Noé de la pauvreté. Tout est prêt, nous voilà sur le pont pour notre maraude nocturne. Le Seigneur nous accompagne sans que nous nous en apercevions. Les premiers sans domicile fixe sont dans votre visée, c'est l'arrêt et les premières distributions, vêtements, chaussures, café, soupe et thé. Les pauvres hères sont contents de voir celui qui depuis 2005 leur vient en aide, sans aucune subvention, puisant dans ses propres deniers pour faire face. Des visages connus se réjouissent de voir leur ami, le pasteur Blanchard, et les nouveaux se pressent pour recevoir ces quelques dons qui sont pour eux comme un cadeau de Noël .
Nous terminons notre virée dans le monde de la grande pauvreté à l'Opéra. Nous avons rencontré des hommes, des femmes, des jeunes, des vieux, des enfants qui vivent dans la rue sur des matelas ou dans des cartons. Mais qui les regarde? la pauvreté est devenue tellement commune dans notre pays. Levez-vous âmes de bonne volonté et rejoignez l'arche de Noé que le Pasteur Blanchard a mise sur pied et qui ne vit que grâce à l'amour pour ses frères.
Bruno |
09:03 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (0)
09/05/2025
IMPRESSIONS DE MARAUDE...
Par le Pasteur BLANCHARD Président de l'Action Sociale et Populaire
Dans une société qui change à chaque instant, depuis plus de douze ans que nous suivons l’évolution de la misère dans les rues de Paris, nos impressions ne peuvent être que paradoxales. Pourtant, certains repères étaient resté stables : parmi eux, il y avait le légendaire Francis.
Nous l'avons rencontré en 2006. A l'époque, il dormait dans le renforcement d'un bâtiment à la sortie d'un garage. Il y avait amoncelé des tas d’objets sur une hauteur de deux mètres et vivait au milieu de ce fatras. Le temps passant, il devint une destination incontournable de nos sorties. , à tel point qu’il était devenu un point nodal. A sa rencontre, chaque maraudeur recevait comme une onction de légitimité.
Un jour, plus de Francis. Cela faisait un certain temps qu'il était malade. Il sombrait à vue d'oeil de rencontres en rencontres ; ce qui l'amena à faire plusieurs séjours à l'hôpital. Avant de disparaître tout à fait dans la nature. Nous nous demandions qu'était-il devenu ? A chacun de nos passages dans son secteur, nous ne pouvions nous empêcher de nous interroger sur ce qu’il était devenu.
Enfin, un soir, nous l'avons retrouvé installé à quelques mètres de son ancien quartier général soigné après une longue hospitalisation. Il était bien là, encore, lors de cette maraude en compagnie du Docteur Coulomb Louis-Marie Stéphane et Pierre-Claude. Depuis son retour, c'est chaque fois le même rituel. Dès qu’il me m'aperçoit, il s’écrit "tiens, voilà le Pasteur !", ajoutant, tout de go, en parlant de Catherine "et la photographe !" Dans un monde instable, il était resté égal à lui-même tel que l’éternité le change, malheureusement ce fut une de nos dernière rencontre, suite à un reportage sur youtube, le curé de la paroisse catholique, avenue Blanqui ma téléphoné pour me dire qu’il était parti pour un monde meilleur ; à la fin de sa vie, il fréquentait régulièrement sa paroisse. Il nous restera l’image d’un personnage légendaire qui a éclairé nos vies, pendant plus qu’une décade.
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08:52 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (2)
06/05/2025
IMPRESSIONS DE MARAUDE...
Par Philippe Gauthier,
auteur et essayiste:
En ce 25 avril 2017, j'ai eu l'honneur d'être invité en tant qu'écrivain, notamment autour de "La Toussaint Blanche", célèbre livre prévoyant les conséquences absolument catastrophiques de l'immigration en France de populations déracinées inassimilables, par le Pasteur Jean-Pierre Blanchard à participer à sa traditionnelle maraude de nuit auprès des pauvres gens qui vivent habituellement dehors sur nos trottoirs.
Cette grande maraude, démarrant de la Porte d'Italie, nous donne l'occasion unique de découvrir, à travers tous les grands axes parisiens, un autre monde que nous tous, y compris en cette soirée très proche des élections présidentielles, les ceux qui collent encore des affiches pour Mélanchon, embourgoisés dans notre confort habituel, avons du mal à comprendre.
Avec l'expérience du Pasteur Blanchard qui sait où se trouve son monde, car cette population n'est pas spécialement nomade, contrairement à ce qu'on pourrait croire. Elle habite son coin de trottoir ou son abri sous le métro aérien ou encore sa bouche d'aération à ciel ouvert.
On découvre aussi parmi ces personnes sinistrées beaucoup d'européens, des polonais, des russes et même un allemand, sans doute échappé de sa patrie au miracle économique permanent.
Vers 1h30 du matin, nos provisions de vêtements sont déjà épuisées et notre clientèle commence à dormir à poings fermés sur les trottoirs. Il est temps de regagner notre confort.
Philippe
09:03 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (0)
29/04/2025
IMPRESSIONS DE MARAUDE...
*
Il y a déjà 20 années que nous tournons dans les rues de la capitale,
à la rencontre de ceux qui n'ont plus rien,
pour leur apporter un peu d'aide et de chaleur humaine.
Or depuis tout ce temps, nous constatons
que les grandes associations caritatives,
celles qui ont pignon sur rue,
ont envers nous une attitude équivoque.
Comme si notre petite association non subventionnée,
qui n'a jamais souhaité être médiatisée,
qui n'est pas "people",
qui, bien que ne cachant pas ses opinions,
ne les met jamais en avant,
se faisant tout à tous,
même si d'un point de vue politique nous sommes
pour la préférence nationale,
venait déranger les associations caritatives grassement subventionnées,
comme si elles voyaient en nous un concurrent gênant.
Jamais sur le terrain on a osé me le dire.
Par contre, un jour qu'un de mes bénévoles a eu l'idée
de refaire une partie du parcours avec les jeunes du FNJ,
il se fit agresser verbalement par un salarié d’une de ces associations,
nous reprochant de ne pas avoir d'habilitation officielle,
comme si nous étions les seuls dans ce cas à mener ce type d'actions.
L'abbé Pierre aurait bien rigolé durant l'hiver 54
si on lui avait dit qu'il lui fallait une autorisation
pour venir en aide aux sinistrés.
Tout cela démontre l'efficacité de notre entreprise,
qui dérange l'ordre établi,
comme le dit si bien un de nos SDF :
le ciel est le même pour tous,
chacun a sa place pour une solidarité militante.
Pasteur Blanchard
08:58 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (0)
22/04/2025
IMPRESSIONS DE MARAUDE...
Par le Pasteur BLANCHARD Président de l'Action Sociale et Populaire
Dans une société qui change à chaque instant, depuis plus de douze ans que nous suivons l’évolution de la misère dans les rues de Paris, nos impressions ne peuvent être que paradoxales. Pourtant, certains repères étaient resté stables : parmi eux, il y avait le légendaire Francis.
Nous l'avons rencontré en 2006. A l'époque, il dormait dans le renforcement d'un bâtiment à la sortie d'un garage. Il y avait amoncelé des tas d’objets sur une hauteur de deux mètres et vivait au milieu de ce fatras. Le temps passant, il devint une destination incontournable de nos sorties. , à tel point qu’il était devenu un point nodal. A sa rencontre, chaque maraudeur recevait comme une onction de légitimité.
Un jour, plus de Francis. Cela faisait un certain temps qu'il était malade. Il sombrait à vue d'oeil de rencontres en rencontres ; ce qui l'amena à faire plusieurs séjours à l'hôpital. Avant de disparaître tout à fait dans la nature. Nous nous demandions qu'était-il devenu ? A chacun de nos passages dans son secteur, nous ne pouvions nous empêcher de nous interroger sur ce qu’il était devenu.
Enfin, un soir, nous l'avons retrouvé installé à quelques mètres de son ancien quartier général soigné après une longue hospitalisation. Il était bien là, encore, lors de cette maraude en compagnie du Docteur Coulomb Louis-Marie Stéphane et Pierre-Claude. Depuis son retour, c'est chaque fois le même rituel. Dès qu’il me m'aperçoit, il s’écrit "tiens, voilà le Pasteur !", ajoutant, tout de go, en parlant de Catherine "et la photographe !" Dans un monde instable, il était resté égal à lui-même tel que l’éternité le change, malheureusement ce fut une de nos dernière rencontre, suite à un reportage sur youtube, le curé de la paroisse catholique, avenue Blanqui ma téléphoné pour me dire qu’il était parti pour un monde meilleur ; à la fin de sa vie, il fréquentait régulièrement sa paroisse. Il nous restera l’image d’un personnage légendaire qui a éclairé nos vies, pendant plus qu’une décade.
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09:01 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (1)
18/04/2025
Ancienne Maraude:
Maraudes de l’ASP : accroissement de la misère à Paris:
Posté par Jérôme Moreno le21 août 2010
Ignorés et méprisés par les bobos socialo-écolo-gauchistes de l'équipe municipale de Delanoë, les SDF et autres exclus sont les premières victimes d'une société inégalitaire, matérialiste et ultralibérale.
Par le Pasteur Jean-Pierre Blanchard (ASP),
Nous revoilà dans les rues de la capitale1, en repérage de nouveaux secteurs pour notre prochaine campagne : force est de constater que le besoin de nos compatriotes ne fait que croitre.
Cette tournée, la dernière de l’ami Nicolas avant qu’il ne retrouve sa natale ville rose, est sous le signe de l’émotion et de l’amitié. Pour autant, nous ne pouvons qu’être frappés par la misère qui grandit, laissant en premier les nôtres sur le carreau, comme une lèpre s’étalant dans les rues. Nous conduisons jusqu’au métro « Nationale », où un homme âgé, sur le coup d’une heure du matin, fait la manche, quémandant quelques pièces pour pouvoir se nourrir. Nous constatons qu’autour de la station, ils sont nombreux à dormir à même le sol.
À quelques encablures de là, sur les quais de Seine, nous ne pouvons nous garer pour cause de travaux. Je vais demander à la police fluviale l’autorisation de circuler en voiture jusqu’au camp de SDF : chose qu’elle accepte avec gentillesse. Quelle n’est pas notre stupeur de constater que, depuis notre dernière visite, les tentes se sont multipliées. Nos vêtements, nourriture, café sont pris d’assaut. Nous les quittons le cœur et les sacs de distribution légers : avec le sentiment du devoir accompli. C’est dans cet état d’âme que chaque étape de notre parcours nous trouvera, nous pouvons dire que l’équipe est fin prête pour relever les défis de cette nouvelle saison.
Commentaires:
Commentaire par Wouam le 21 août 2010 @ 13:40
Une des nombreuses promesses non tenues du nabot :
http://www.youtube.com/watch?v=7c0uV9nNaJE
Commentaire par franck le 21 août 2010 @ 13:40
Oui les sdf sans toit mais de beaux appartements et maisons pour chaque femme de polygames et de beaux appartement pour les sans papiers mais rien pour les blancs mais jusqu’à quand allons nous subir ces vexations ? la colère gronde en france !
Commentaire par franck le 21 août 2010 @ 13:41
sdf = français de souche
Commentaire par Stanley K. le 21 août 2010 @ 15:08
Je rêve d’un monde ou il n’y aura plus de SDF. Un monde que l’on pourra rendre possible par le vote. Moi je vote FN pour 2012.
Commentaire par Jean-Luc G. le 21 août 2010 @ 15:36
Je suis d’accord avec Stanley ! Tous aux en 2012, mes chers concitoyens.
Commentaire par locktat131 le 21 août 2010 @ 16:01
« Je veux, si je suis élu de la République, que d’ici à deux ans, plus personne ne soit obligé de dormir sur le trotoire et d’y mourrir de froid parce que le droit à l’hebergement, c’est une obligation humaine » !!!!!
OUAI C’EST ça, menteur !!!!!!!!!!!!!!!!!
Commentaire par Jean-Pierre le 21 août 2010 @ 16:10
Mes compliments au pasteur et à son équipe, il y en a aussi une équipe dans le grand Est, tout spécialement en Alsace.
Commentaire par Dubail le 21 août 2010 @ 17:29
Arrêtez de critiquer Paris, c’est une ville de gauche.
Commentaire par Patek Philippe le 21 août 2010 @ 19:20
l’Ultralibéralisme et le mondialisme vont de pair. l’Ultralibéralisme a besoin de ce monde sans frontières, pour pouvoir se payer (pas cher) une main d’oeuvre corvéable à merci dans l’espace et dans le temps. Si le SMIC est trop cher ici, on délocalise en Chine. Pour ce qui est de la main d’oeuvre non délocalisable (BTP, restauration etc…), qu’a cela ne tienne, on fait venir des « sans-papiers ». la prochaine étape sera de faire venir des techniciens et des ingénieurs, pour des secteurs comme l’informatique, l’Inde en regorge. il feront pour 800 Euros par mois, ce qu’un ingénieur français ne ferait pas pour 5000 Euros. Alors oui, Ultralibéralisme = Mondialisme.
Commentaire par F.F. Coppola le 21 août 2010 @ 19:50
Jean-Luc, tu as du oublier le mot « urnes » dans ton post.
Commentaire par H.G. Clouzot le 22 août 2010 @ 2:01
Oui, si le nabot-Sarko passait ne serait-ce qu’une nuit dans la rue, il aurait vite les idées changée. Mais en entendant, il se prélasse sur les yachts de ses copains milliardaires.
Commentaire par marina le 22 août 2010 @ 3:49
bah voyons….comme dit si dessus SDF sont les initiales de francais de souche a l’envers…ces gens auraient un travail et un logement si on ne se serait pas laisser envahir…de « chances pour la france »
FN 2012 viiiiiiite
Commentaire par barabas le 22 août 2010 @ 11:06
Bonjour Un SDF m’a donné ce poème qui j’en suis sur va vous plaire .Homme que je ne connaissais pas, nous avons sympathisés je vais le voir de temps a autres,je lui apporte des vêtements qu’ils partagent avec d’autres déshérités,aussi quelques Euros, je lui demande pourquoi avec votre intelligence votre grande culture vous vous retrouvez dans ce milieu,il me répond que dans la rue il trouve plus de compassions plus de générosités plus de grandeurs d’âmes, et moi je lui réponds plus toujours plus de pauvres. A vous tous qui écrivez des commentaires,je vous dédie ce beau poème
lA Neige La neige le matin,tombe Légèrement sous les toits Etbles près… Les enfants y sortent bien emmitouflés l’hiver pour s’y amuser,pendant la récréation.
Un jour ou le soleil eut trop Brillé, fit fondre la neige, Glissa dans le ruisseaux, Rejoignit les rivières Gonflant les fleuves pour s’endormir dans la mer.
- CAMUS
Commentaire par Attention aux idées reçues le 22 août 2010 @ 12:05
Attention ! Au moins 30 % des SDF sont des malades psychiques, des études ont été effectuées en Suède à ce sujet. Leur place n’est pas dans la rue, mais en HP.
En revanche, les idiots qui veulent les orienter de force vers des foyers de SDF, font une très grave erreur : ils font fuir la population réinsérable qui refuse (par simple bon sens) de vivre avec des malades non contrôlés.
Le bon coeur, c’est bien – Mais le bon coeur sans les compétences terrain, c’est parfois beaucoup plus dangereux que l’indifférence !!!
09:15 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (0)