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28/02/2020

Maraude du 27 / 02 / 2020..........

 

 

 

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25/02/2020

QU'EST-CE QU'UNE MARAUDE ?

 

 

 

 

 

Lors d'une rencontre avec Jean-Marie Le Pen, le fin linguiste qu'il est m'interrogea sur la définition du mot maraude. Il en gardait un souvenir péjoratif, lié au maraudeur : ce personnage toujours prêt à commettre des mauvais coups. Il convint qu'avec le temps les mots changent de sens.

 

 

 

 

      
Je lui fis part que ce fut lors de la création du SAMU social que son fondateur Xavier Emmanuelli lança l'idée de maraude. Le principe en était simple : sillonner les rues de Paris, à la rencontre des SDF, pour leur amener soupe, café, nourriture sèche, couvertures, duvets, vêtements, sous-vêtements, chaussettes, chaussures etc.    

 

 

      

                                      

 

C’est ce que nous faisons aussi à l'ASP : nous tournons du sud au nord de la Capitale jusqu’à 2h du matinmais le plus important pour nous, au-delà de l'aide matérielle, c’est l'écoute et le soutien moral de ceux que la vie a laissé sur le bord de la route.


 
 
Pasteur   Blanchard

 

21/02/2020

IMPRESSIONS DE MARAUDE...

 

 

Par le Pasteur

Blanchard.

 

 

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Force est de constater que la présence de nombreux sans-logis dans les rues de Paris gêne le maire et ses adjoints. Les témoignages de certains SDF sont accablants. Un exemple, chaque semaine, le vendredi, ici ou là, la police arrive  et signifie à ces malheureux qu'ils ont cinq minutes pour déguerpir. Aussitôt, les éboueurs suivent et jettent leur barda. En un instant, nos amis se retrouvent encore plus bas. Bien sûr, cette démarche est faite avec le secret espoir que de guerre lasse, ils décamperont à jamais.

 

 

 

Cette méthode hypocrite mais ponctuellement efficace de déplacer la misère, ne tient pas compte du fait que, comme tout un chacun, les SDF s'accrochent aux repères qui sont devenus leur espace vital. Et, c'est un puits sans fond que les autorités creusent.

 

 

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Une autre remarque, aussi éloquente, m'a été faite par un ami venu de province pour déposer des vêtements. Il me dit sa surprise de voir la capitale de plus en plus submergée par les SDF. En particulier, les avenues "chics". 

 

 

Oui ! Sur le prestigieux boulevard des Capucines, on croise après  l'Olympia et jusqu'à l'Opéra des familles entières dormant devant les entrées des grands magasins. Et, durant nos maraudes, la nuit, ces abcès de fixation de la misère sont encore plus éclatants. Chaque fois, nous découvrons un mélange indécent de beauté et de misère.

 

 

Nos gouvernants, si occupés par le mariage homosexuel  baissent les bras devant un problème aussi terrible et massif. Leurs seules réponses sont le silence et le déni. Ils éludent un problème qui ne fait que s'amplifier comme ils chassent les SDF, le vendredi, d'un trottoir à l'autre.  

 

 

Nous avons l'écoeurante conviction  que moins les choses se résolvent, plus la communication règne en maître. Mais, l'Action Sociale et Populaire reste un témoin lucide. C’est à ce prix que nous continuerons à apporter notre contribution au combat contre la véritable exclusion.

 

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Pasteur  Blanchard

 

 

19/02/2020

Maraude du 18 / 02 / 2020..........

 

 

 

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18/02/2020

La crise économique du capitalisme s’approfondit:

 

 

 

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Le cantique de M. Stiglitz, l’économiste toxique

 

 

Les chimères que la bourgeoisie et les médias construisent dans la tête des salariés sont tenaces et les ouvriers qui ont ingurgité ces préjugés ne les répudient pas facilement. Chaque jour, il faut reprendre le travail d’information face à la désinformation venue des cités universitaires nobélisées et que propage la gauche aliénée.

 

Ainsi, un mythe que les économistes éclectiques, ce qui comprend Joseph Stiglitz prix Nobel d’économie et Thomas Piketty l’économiste «marxiste», répandent largement concerne l’asservissement de l’économie par le politique. Ainsi va un de leurs oukases : «les gouvernements de par le monde appliquent des politiques d’austérité budgétaire et financière  ce qui est la source de la présente crise économique et sociale». Ce dont s’émeut l’économiste Stiglitz qui déclare :

 

«Le monde est aujourd’hui aux prises avec une terrible maladie qui ravage notamment l’Europe et les États-Unis : l’austérité» (…) «Nous savons pourtant, depuis la Grande Dépression, que l’austérité ne fonctionne pas. Le Fonds monétaire international [FMI] en a refait la démonstration plus récemment [lors des dernières crises monétaires] en Amérique latine et en Asie, et c’est à nouveau le cas actuellement en Europe. Ce qui est stupéfiant, c’est qu’autant de dirigeants politiques continuent malgré tout d’appuyer ces politiques discréditées, même si des voix aussi conservatrices que le FMI leur disent aujourd’hui que leur austérité est dangereuse et qu’il faut s’occuper de toute urgence de stimuler l’économie. C’est comme si les gouvernements avaient cessé d’écouter» (1).

 

 

La politique est le majordome de l’économie!

 

 

Un pecnot pourrait-il rappeler à l’éminent économiste que la maladie qui ravage l’Europe, et l’Amérique du Nord, ainsi que tous les pays du monde capitaliste, ce n’est pas la politique d’austérité, c’est la récession économique pour cause de surproduction de marchandises faute de marchés où les écoulées. Ce sont les politiques expansionnistes du crédit gratuit en surabondance qui ont mené à la présente crise financière. Bref, ce sont les politiques de la gauche syndicaliste et réformiste et des économistes «progressistes» qui ont mené le monde capitaliste dans l’impasse où il se trouve.  Cette maladie fondamentale du monstre économique capitaliste a forcé les Banques centrales, et les États à leur service, à ouvrir grandes les vannes du crédit, de la dette publique, de la dette des entreprises, des ménages et des étudiants si bien que la dette mondiale équivaut à 3 fois le PIB mondial (1,800,000 milliards USD). (2)

 

Cet endettement généralisé a permis à tout un chacun de consommer – d’acheter à crédit – ce dont ils avaient besoin (y compris quantité d’armes de destruction massive valant 1,800 milliards USD pour la seule année 2019). Aujourd’hui, la facture de ces bombances nous est présentée et les banquiers invitent les salariés à l’acquitter en réduisant leurs salaires, leurs prestations de pension, et les services sociaux, d’où les soulèvements sociaux et les guerres commerciales et militaires qui secouent la planète toute entière. (3)

 

« Une crise pire que 2008 et 1929 se rapproche. La Banque mondiale redoute une crise financière, car le monde croule sous les dettes. L’endettement public et privé (entreprises et particuliers) représente 230 % du PIB mondial, soit 265 % du PIB pour les pays avancés et 170 % du PIB, en progression accélérée pour les pays émergents, avec un investissement public en diminution, des emprunts non déclarés auprès de la Chine et des dettes le plus souvent en devises étrangères. La catastrophe viendra de la croyance que l’on peut générer de la croissance économique en créant de l’argent à partir de rien… » (4)

 

Accroitre l’endettement par des politiques monétaires expansionnistes et par l’émission laxiste d’argent de pacotille serait-il une solution à la récession? Bref, les États du capital et leurs banques centrales doivent-ils, comme le préconisent les économistes alchimistes, faire davantage de ce qui a mené les pays aux portes de la catastrophe? La question est biaisée j’en conviens. La question laisse entendre que le mode de production capitaliste, et ses lois impératives de fonctionnement sont malléables – amendables – gouvernables et que les résultats économiques dépendraient des choix de politique économique que l’État fera ou ne fera pas. Tout ceci est fallacieux. L’histoire nous enseigne que l’alternative à la crise économique systémique c’est la révolution politique systématique. La guerre mondiale étant habituellement le dernier sursaut du système économique avant de relancer un nouveau cycle d’accumulation ou avant de provoquer l’émergence d’un nouveau mode de production.

 

Ne nous y trompons pas, les politiques d’austérité n’apporteront pas de solution à la crise économique suite aux politiques monétaristes laxistes et soi-disant expansionnistes. Austérité et restrictions sont les revers de la médaille des politiques laxistes et monétaristes soi-disant « expansionnistes ». Chacune de ces politiques (droite gauche), mises au service des riches, se pose en alternative dans le contexte d’une crise inévitable du mode de production capitaliste décadent. Les présents soulèvements sociaux contestent directement, même si inconsciemment, cette logique décadente du système capitaliste. C’est de la répétition de ces soulèvements en résistance aux politiques étatiques d’austérité et/ou d’expansion bidon que surgira peu à peu la conscience que les réformes du système capitaliste inefficient ne suffiront pas à nous sortir de l’impasse et que seule l’édification d’un nouveau mode de production sera la solution. C’est ce que l’on appellera : une révolution sociale systémique. 

 

Le processus de valorisation du capital est bloqué

 

 

La source fondamentale de la crise économique systémique du mode de production capitaliste se trouve dans le procès de production et non dans le processus de distribution. Des tonnes de marchandises dorment dans les entrepôts, sur les quais, dans les magasins, dans les réservoirs de carburant, alors que nombre d’usines fonctionnent à la moitié de leur capacité et que la misère s’épand comme du chiendent.  Les politiques d’austérité sont des conséquences de cette crise de surproduction qui empêche de valoriser le capital – de réaliser la plus-value – objet du développement économique capitaliste.

 

L’austérité ce sont des mesures administratives et législatives que les politiciens aux ordres du grand capital sont contraints de mettre en œuvre afin de prolonger l’agonie du système économique et politique paralytique. Le politicien qui ne s’y soumet pas est aussitôt chassé du pouvoir. Que les manifestants des parades dominicales se le tiennent pour dit, il faudra davantage que des marches festives pour faire reculer les gouvernements, leur police et leur justice au service des riches.

 

Quelqu’un pourrait-il expliquer au Nobel d’économie que les gouvernements et les gouvernants bourgeois n’ont pas spécifiquement vocation d’imposer ou d’empêcher les mesures d’austérité, non plus que de réguler l’économie, ni d’atténuer la pauvreté, non plus que d’assurer une plus juste distribution du capital entre les capitalistes et les ouvriers comme le susurre l’économiste de «gauche», ex-conseiller du Président Bill Clinton du temps où justement l’industrie américaine délocalisait ses usines vers l’Asie sous les yeux ébaubis de l’illustre économiste Stiglitz.

 

 

Les causes de la crise et de l’austérité, son compagnon d’infortune

 

 

L’économiste Thomas Piketty a publié un gros pavé à propos de l’injustice distributive qui sévit sous l’économie capitaliste sans que cela ne change le moindrement les politiques des gouvernements (5). Faut-il rappeler que sous le mode de production capitaliste l’argent, la richesse, le capital en somme, a tendance à se concentrer – à s’accumuler – à s’agglutiner – à un pôle du spectre social et à s’amenuiser – s’anémier – à l’autre extrémité, là où les gens sont paupérisés, ce que la petite-bourgeoisie frustrée est la première à observer.

 

 

Contrairement à ce que prétend le petit-bourgeois, le problème de l’économie impérialiste n’est pas que le capital se concentre entre les mains du 1% les plus riches de la planète. Ce capital, qu’accumule les rentiers – tondeurs de coupons et milliardaires – est du capital fictif – bidon – une création évanescente issue de la spéculation boursière éphémère. Tout ce fatras de monnaie sans valeur réelle (parce que non adossé à du capital marchand vivant) s’envolera aux premiers vents de la récession. La source de la crise économique qui appelle les mesures d’austérité tant décriées c’est que le capital industriel réel (productif) ne parvient plus à se valoriser et à se reproduire en faisant suinter la plus-value des bras des ouvriers, d’où les mesures d’austérité de l’État des financiers courant au secours du 1% désespéré.

 

Le professeur Stiglitz constate : «L’accroissement des inégalités de revenus va de pair avec un accroissement des inégalités politiques. Notre démocratie s’en retrouve déformée» (6). Professeur Stiglitz, auriez-vous noté que cet accroissement des «inégalités politiques» (sic) s’est accentué sous le Président Reagan et s’est poursuivi sous les Bush père et fils, sous Bill Clinton, votre patron et sous Obama et Trump – indistinctement de la couleur politique du polichinelle tenant pavillon à la Maison-Blanche? Auriez-vous remarqué que ces «inégalités économiques et politiques» (sic) se répandent sur tous les continents comme si une force imprescriptible imposait sa loi d’airain à tous ces larbins?

 

Depuis la naissance du capitalisme, il n’y a jamais eu d’égalité économique entre les capitalistes et les travailleurs et il n’y a jamais eu d’égalité politique entre ceux qui monopolisent le capital, les moyens de production, de commercialisation, les moyens de communication, le pouvoir politique et financier et ceux qui ne possèdent que leur force de travail – leurs bras salariés à vendre à vil prix – pour survivre.

 

Il y a cent ans, lors de la Grande dépression de 1929 la démocratie des riches se résumait à poser une croix sur un bulletin de vote tous les quatre ans afin de trancher qui de l’équipe des riches conservateurs ou des riches Libéraux; des riches républicains ou des riches démocrates allaient gouverner le pays dans l’intérêt de sa classe et de sa clique. En 2020, rien n’a changé, monsieur, Stiglitz. Pourquoi donc votre émoi à propos de la démocratie pervertie que nous avons exposé dans notre livre « La démocratie aux États-Unis » (7) ?

 

 

Le Professeur Stiglitz mystifie la réalité économique

 

 

Voici que le philosophe Stiglitz observe que : «Si on peut vendre des produits toxiques, comme la cigarette, qui tuent des gens, on peut aussi vendre des idées toxiques, comme l’austérité». (4)  L’austérité est une série de mesures politiques et économiques non pas de droite, ni de gauche, puisque tous les gouvernements, de gauche comme de droite, imposent des mesures d’austérité. Les bobos, les rentiers, les bureaucrates syndicaux, les employés de la fonction publique ont beau voter à gauche, au centre, ou à droite, rien n’y fait, les mêmes mesures d’austérité sont imposées par tous les gouvernements. Pourquoi ?

 

Le Nobel d’économie, ex-conseiller politique de Bill Clinton au début de la crise systémique du capitalisme prétend que tout cela serait la conséquence des penseurs de droite qui essaimeraient leurs solutions bidon aux gouvernants et aux gouvernés. Cette aporie n’est que fumisterie. Les populations «votantes» (ce qui exclut de plus en plus d’ouvriers et de jeunes qui n’ont plus confiance dans ces mascarades électorales) ont beau protester, changer de Président ou d’attelage au gouvernement, rien n’y fait, les politiques d’austérité sont imposées année après année.

 

L’économiste a beau constater la dégradation des conditions de vie du peuple il ne parvient pas à comprendre les causes de ces souffrances. Il déclare : «L’Italie ne s’est jamais portée aussi mal depuis les années 30. Les économies grecque et espagnole sont objectivement en dépression. Les millions de chômeurs européens sont un spectaculaire gaspillage de capital humain dont le continent ne se remettra pas avant 10 ans (…) puis il ajoute la richesse médiane des familles américaines a reculé de 40 % depuis la crise et est revenu à ce qu’elle était il y a deux décennies.» (8) Tout cela est vrai, mais pourquoi en est-il ainsi professeur?

 

Toujours aussi inconscient, l’expert ajoute : «La faillite de Léman Brothers et la Grande Récession (2008) ont provoqué un déchainement de promesses de changements dans le fonctionnement du secteur financier, comme de l’économie en général. Les progrès ont été décevants. Certaines règles ont été resserrées, mais le monde bancaire en est ressorti encore plus concentré qu’il ne l’était. La récente découverte de la manipulation du Libor – un indice au cœur de l’immense marché des produits dérivés – et la restructuration chaotique de la dette grecque ont montré comment le fonctionnement de la finance échappe encore à presque tout le monde.» (9)

 

 

L’économiste Stiglitz aurait-il une prémonition ?

 

 

Voilà que notre économiste indolent s’approche inconsciemment de la vérité. Mais comme son constat est inconscient et que sa mission idéologique et politique est de raviver l’espoir de «réformer le capitalisme»,  à contrario de ceux qui veulent le renverser et l’abolir, le professeur de l’Université Columbia ne tire pas les conséquences de sa condescendance qu’il tente aussitôt de dissimuler comme une tare imprudemment exposée.

 

C’est que l’économie politique capitaliste est régie par des lois immuables auxquelles les économistes, les experts et les conseillers, les larbins politiciens et les capitalistes financiers doivent se plier.  Nul n’a la possibilité d’y échapper, quelle que soit leur volonté réelle ou affectée.

 

Maître Stiglitz, l’économiste bourgeois dévoile sa totale ignorance de ces lois économicopolitiques quand il déclare : «Si la crise de l’euro a forcé les gouvernements européens à reconnaître certaines lacunes de leur ambitieux projet, il leur manque toujours une union bancaire, une union budgétaire, une stratégie de croissance commune ou encore une politique industrielle commune». (10)

 

Qui dira à Joseph Stiglitz que l’Union européenne s’est dotée d’une politique économique, financière, bancaire, budgétaire et industrielle commune. Même que les politiques de l’UE sont communes, non pas seulement aux pays européens, mais à tous les pays du glacis impérialiste mondial. Les multiples accords de libre-échange et les traités de commerce international, que tous les pays impérialistes signent entre eux vise justement à harmoniser ces différentes politiques économiques et industrielles afin que tous les pays capitalistes enfermés dans une seule et unique économie globalisée, mondialisée, internationalisée assurent la reprise – non pas de la prospérité – non pas de la croissance – non pas de la justice distributive – non pas de la fin de la misère, du chômage, et de la pauvreté – mais bien la reprise de la valorisation et de l’accumulation de la plus-value et du Capital (C) pour la classe des grands prédateurs capitalistes internationaux.

 

Le reste des élucubrations de la sommité nobélisée n’est que péroraisons et incantations d’un économiste fumiste grassement payé pour endoctriner les salariés. Il y a un siècle cette mission relevait du sacerdoce, aujourd’hui, ce sont les clercs plumitifs qui assurent l’homélie pour le salut de la patrie nationaliste chauvine (sic).

 

Le mieux que peut faire la classe ouvrière est de se taire et de laisser braire les parlementaires et de poursuivre sa résistance gréviste aux assauts du capital et de se préparer consciemment, idéologiquement et politiquement à sa mission révolutionnaire.

 

 

NOTES

 

 

  1. http://m.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/375...

 

 

 

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14/02/2020

Maraude du 11 / 02 / 2020.........

 

 

 

 

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11/02/2020

Les éducateurs et enseignants ont un rôle majeur pour armer mentalement les générations à venir

 

 

 

 

 

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Marion Maréchal alerte sur la nocivité des écrans :

 

[…] Plusieurs symptômes se sont multipliés avec l’omniprésence des écrans comme la baisse des capacités cognitives (les générations nées après 2000 sont les premières dont le QI sera inférieur aux précédentes), l’augmentation de l’anxiété, les troubles relationnels, les troubles du sommeil, la myopie jusqu’à développer l’apparition de véritables pathologies addictives. Certains hôpitaux ont dû ouvrir des services spécialisés pour accueillir de très jeunes enfants accrocs aux écrans ayant développé des symptômes proches de l’autisme et nécessitant une véritable désintoxication.

 

Quelle irresponsabilité, dans ces conditions, de voir ainsi fleurir les écrans dans les salles de classe alors que l’école devrait précisément être un sanctuaire pour le cerveau des enfants déjà largement éprouvé par cette surexposition numérique. Rappelons que les enfants qui passent deux heures par jour devant la télévision à l’école primaire ont deux fois plus de risques de sortir du système scolaire sans diplôme. Certains concepteurs des GAFAM l’ont bien compris et, particulièrement au fait du danger potentiel de ces technologies, inscrivent leurs enfants dans des no-tech schools (écoles sans écrans) pour les protéger.

 

Le cerveau est un organe souple dont les connections neuronales se façonnent en fonction de notre mode de vie. Avec l’évolution de l’intelligence artificielle, le cerveau humain va être de plus en plus secondé voire remplacé par des outils souvent plus performants que lui. Combien de personnes continuent de calculer de tête alors que la calculette est à disposition sur le téléphone ? Pourquoi mémoriser des informations alors que tout est si rapidement disponible sur le net ? Le cerveau est fainéant, une étude menée aux Etats-Unis a conclu que vous mémorisez moins efficacement une image si vous la prenez également en photo. Quand le cerveau a la possibilité de se reposer sur la technologie, il est moins enclin à faire un effort.

 

Aujourd’hui mais encore davantage demain, utiliser certaines de nos capacités cognitives ne relèvera plus du besoin mais deviendra un véritable choix.

 

Les éducateurs et enseignants ont un rôle majeur pour armer mentalement les générations à venir et ainsi préserver leur intelligence. Les élèves et étudiants doivent apprendre à trier et à comprendre les informations, à lire des textes longs et exigeants, à exercer leur mémoire, y compris par cœur, à pratiquer l’écriture manuscrite, à réguler la place du numérique. Et enfin à s’ouvrir l’esprit à tous les points de vue quand les réseaux sociaux les enferment dans un couloir idéologique par des publications sélectionnées en fonction de leurs « likes » et de leurs centres d’intérêt.

 

Telle sera la condition pour former des hommes et femmes qui ne soient pas des consommateurs frénétiques, les esclaves des campagnes marketing ou des citoyens manipulés. C’est aussi notre ambition à l’ISSEP.

 

 

09:44 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

07/02/2020

Avec mes amities.claude Belot.d'Autriche (donateur et ami de l’ASP):

 

 

 

 

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Emmaüs est une pompe aspirante migratoire

 

 

 © Rapport annuel d'activité - Emmaüs

 

 

 

 

 

 

 

 

La notoriété du mouvement Emmaüs dépasse largement les frontières de la France. Fondée en 1954 par l’abbé Pierre, longtemps le Français « préféré » des Français, Emmaüs lutte contre la pauvreté et l’exclusion au sein de diverses communautés présentes en Europe ou en Afrique. Très populaire, l’association reçoit de nombreux dons privés et d’importantes subventions, jouant parfois même un rôle de lobbying dans le champ politique. Mais, au juste, sait-on exactement ce que fait concrètement le mouvement en France ?

 

 

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« Pour des communes accueillantes ! Les organisations engagées dans les Etats Généraux des Migrations lancent une campagne d’interpellation des candidat.e.s aux municipales. Un kit complet est dispo sur le site des #EGMigrations. À diffuser largement ! », communiquait sur Twitter Emmaüs France le 29 janvier. Une manière d’exercer une pression sur les candidats engagés dans les élections municipales de mars. Emmaüs n’a jamais fait mystère de ses orientations. Elles ne sont d’ailleurs pas anormales ni illogiques de la part d’une organisation caritative chrétienne, dont la solidarité n’est pas exclusive mais universelle.

 

 

 

 

Toutefois, les chiffres donnés dans le rapport d’activité de l’année 2017 par Emmaüs Solidarité donnent une photographie assez claire et inquiétante de l’état présent de notre pays. Ainsi, parmi les 22.355 personnes suivies en 2017 par Emmaüs dans le cadre de l’accompagnement social des 60 structures d’hébergement et de logements adaptés, seules 3 % d’entre elles étaient de nationalité française et 2 % ressortissantes d’Etats-membres de l’Union européenne. Ce qui signifie donc que 95 % des personnes accompagnées venaient de pays non membres de l’Union européenne ! On compte d’ailleurs 95 % de célibataires et une très large majorité d’hommes (19.397, soit 86,76 % des effectifs).

 

 

 

 

 

 

La tendance est encore plus marquée pour ce qui concerne les personnes hébergées dans les 18 centres d’urgence présents en France, puisque ces dernières se recrutent à 98 % dans des pays non membres de l’Union européenne ! Même les centres d’hébergement et de réinsertion sociale sont concernés par le phénomène, alors que leur mission diffère très largement, accueillent 66 % de personnes issues de pays hors de l’Union européenne. C’est proprement colossal. À savoir qu’un Centre d’hébergement et de Réinsertion Sociale est un établissement accueillant des personnes stabilisées pendant une durée de deux ans en moyenne où elles seront prises en charge par des équipes sociales correspondant en moyenne à un travailleur social pour 12 hébergés contre 25 en Urgence.

 

 

 

Ils sont tous les jours plus nombreux à venir, attirés par les aides substantielles et l’accueil reçus en France. Serions-nous victimes d’une arnaque à la compassion ?

 

 

Pour résumer, Emmaüs France s’occupe principalement des étrangers. Les associations ont pourtant protesté contre Emmanuel Macron, jugeant qu’elles n’avaient plus les moyens d’aider les « migrants » correctement et qu’il s’agissait d’une politique inhumaine. Pourtant, la situation s’aggrave. Ils sont tous les jours plus nombreux à venir, attirés par les aides substantielles et l’accueil reçus en France. Une tendance qui se confirme dans le temps puisque depuis novembre 2019 dernier, le passeur Cédric Herrou est à la tête d’une communauté Emmaüs dans son exploitation agricole de la vallée de la Roya. Un homme à l’origine d’un nouveau « principe constitutionnel » dont nous vous avions parlé dans un article : le principe de « solidarité ». Une solidarité qui s’exerce principalement à l’endroit de l’Autre, magnifié et nouveau Dieu d’un monde dont l’incarnation de la Terre mère serait Greta Thunberg. 

 

 

Serions-nous victimes d’une arnaque à la compassion ? Les publicités d’Emmaüs, notons-le, mettent souvent en scène des SDF idéalisés, tels que vus dans les films : bien Français, barbus, le regard bleu foncé par les épreuves de l’existence. Un euro versé à Emmaüs serait-il un euro versé à l’immigration de peuplement ? À vous de juger.

 

 

Gabriel Robin

 

 

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06/02/2020

Maraude du 5 / 02 / 2020.........

 

 

 

 

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04/02/2020

IN MEMORIAM:

 

 

 

 

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HOMMAGE À L’INFATIGABLE MILITANT ET COMBATTANT ANTICOMMUNISTE : ROGER HOLEINDRE – PROJETKO – UN BON DESSIN…

 

 

 

 

 

 

 

 

Roger Holeindre nous a quitté , son panache nous manque déjà… Les hommes font-ils l’Histoire ? Certainement.

 

 

 

Roger Holeindre était un infatigable militant et surtout combattant contre le communisme qu’il avait affronté les armes à la main au cours de plusieurs engagements. Ouvrier métallurgiste en 1948, il est volontaire pour la guerre d’Indochine. Il est ensuite volontaire pour la guerre d’Algérie. Engagé dans l’OAS contre les gaullistes et contre le FLN, il purge une peine de prison avant d’être amnistié. Dans la période précédant Mai 68, il dirige le Front uni de soutien au Sud-Vietnam, et dispose d’un « quartier général » au Cercle du Panthéon, rue Quincampoix à Paris. Il y est blessé par un commando de maoïstes des Comités Vietnam de Base (CVB) venus détruire une exposition sur les crimes des Vietcongs, le 28 avril 1968. Il fonde en 1985, puis préside, le Cercle National des Combattants.