28/11/2017
Alain de Benoist : La démondialisation, avenir des nations ?
Depuis quelques années, certains auteurs n’hésitent pas à parler de « démondialisation ». Est-ce une observation objective ou un simple vœu pieux ?
Depuis le début des années 2010, suite à la publication du célèbre ouvrage du Philippin Walden Bello (Deglobalization, 2002), nombre d’auteurs (Jacques Sapir, Emmanuel Todd, Frédéric Lordon, Edgar Morin, etc.) ont en effet commencé à parler de démondialisation. Marine Le Pen, Nicolas Dupont-Aignan, Jean-Pierre Chevènement, Arnaud Montebourg et Jean-Luc Mélenchon se sont également emparés de ce thème. Le débat a même encore rebondi récemment : Donald Trump s’est fait élire en dénonçant les effets de la mondialisation et le Brexit l’a emporté grâce au vote des régions dévastées par la désindustrialisation. C’est cependant moins un constat qu’un mot d’ordre. L’idée générale est qu’il est possible d’en finir avec la mondialisation ou, du moins, qu’il est possible de lui donner un autre contenu, idée à laquelle, d’après les sondages, 65 % des Français sont aujourd’hui favorables.
La mondialisation telle que nous la connaissons a été rendue possible, à la fin du siècle dernier, par l’effondrement du système soviétique. Elle s’est rapidement traduite par les délocalisations, la désindustrialisation, la précarisation et le chômage, puis par un endettement qui a débouché, aux États-Unis, sur le cataclysme des « subprimes » et le déclenchement d’une crise financière mondiale dont nous ne sommes toujours pas sortis, mais qui en a clairement démontré les limites.
La mondialisation représente avant toute chose le déploiement planétaire de la logique du capital, qui espère contrecarrer la baisse tendancielle du taux de profit par le désarmement douanier, l’expansion indéfinie des échanges, la marchandisation générale de l’existence (par la transformation en marchandises de ce qui n’avait pas été produit pour être vendu) et la transformation de la planète en un immense marché. Le moteur de cette démarche, faisant de la démesure une ligne de conduite, réside dans une idéologie libre-échangiste fondée sur le mythe de l’autosuffisance des « marchés efficients », qui plaide pour la disparition des frontières empêchant la libre circulation des hommes, des marchandises et des capitaux (ce qui explique la similarité, sur ce point du discours, du MEDEF et de celui de l’ultra-gauche adepte de la rédemption par l’étranger, qui veut, elle aussi, abolir les frontières et unifier le monde par universalisme politique et philosophique).
Il est donc assez naturel que les préconisations visant à démondialiser se proposent d’agir d’abord sur le plan économique et financier : réorientation des économies de la priorité à la production pour l’exportation vers la production destinée aux marchés locaux, remise à l’honneur des « circuits courts », interdiction des délocalisations qui mettent en concurrence les salariés autochtones avec ceux des pays où la main-d’œuvre est moins chère et les normes de production moins contraignantes, relocalisation par rapprochement des lieux de production et des lieux de consommation, protectionnisme et réglementation des échanges, relèvement des taxes douanières à destination des pays à bas salaires, taxation des transactions financières et des bénéfices des multinationales, contrôle des capitaux et assèchement progressif de la sphère spéculative, réinstauration d’une frontière entre banques d’affaires et banques de dépôts, lutte contre les fraudes sur les prix de transfert, abandon du dollar comme monnaie de réserve mondiale, etc.
Il s’agit, en d’autres termes, d’enrayer la tendance à l’illimitation d’un système qui a besoin de supprimer tous les obstacles (politiques, culturels et sociaux) qui entravent l’expansion et la reproduction concentrée du capital.
Et, pour cela, de faire en sorte que le politique affirme à nouveau sa tutelle sur l’économique.
Après le monde bipolaire et le monde unipolaire, nous sommes apparemment entrés dans un monde multipolaire. Cela veut-il dire que, au moins sur le plan géopolitique, nous sommes déjà sortis de la mondialisation ?
La mondialisation a commencé par un moment unipolaire, qui est celui où les États-Unis ont pensé jeter les bases d’un « nouveau siècle américain », au moment même où Francis Fukuyama se risquait à annoncer « la fin de l’histoire ». Ce moment n’a pas duré. La montée en puissance de la Chine et de la Russie, celle qui s’annonce dans d’autres pays émergents, montrent que nous sommes clairement passés d’un universum à un pluriversum, c’est-à-dire à un monde multipolaire. L’ironie de l’histoire est qu’alors que la fin de l’URSS avait rendu possible la mondialisation, c’est plutôt le retour en force de la Russie qui en marque le ralentissement ! C’est, évidemment, une bonne nouvelle – ou, plutôt, c’en serait une si l’Europe était elle-même une puissance, alors qu’elle n’est aujourd’hui qu’une addition de faiblesses.
Dans cette perspective, y a-t-il encore un avenir pour les vieilles nations ou faut-il aspirer à la création de nouveaux blocs européens, américains, africains, orientaux ou asiatiques ?
Il est d’autant plus difficile de s’opposer à la mondialisation qu’on le fait à partir d’un socle plus restreint. Des pays isolés, par exemple, peuvent difficilement s’opposer à eux seuls à la toute-puissance des marchés financiers. C’est aussi la raison pour laquelle, compte tenu des risques de rétorsion (ou de « guerre commerciale »), un protectionnisme à l’échelle continentale européenne serait plus efficace qu’un simple protectionnisme national – qui vaut néanmoins mieux que pas de protectionnisme du tout.
L’idéal serait d’aboutir à de « grands espaces » autocentrés, relativement homogènes, qui constitueraient autant de pôles politiques, économiques et civilisationnels par rapport à la mondialisation actuelle. Le réalisme oblige à dire qu’on en est encore assez loin. C’est sans doute le chemin qu’on finira par emprunter, mais cela prendra du temps.
Entretien réalisé par Nicolas Gauthier
10:58 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (1)
24/11/2017
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Jean-Pierre Blanchard
Naissance |
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Nationalité |
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Profession |
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Activité principale |
Dirigeant associatif |
Autres activités |
Proche du Front national |
Jean-Pierre Blanchard est un pasteur protestant, essayiste et militant
nationaliste français né le 10 juillet 1950.
Sommaire
[masquer]
Biographie:
Jean-Pierre Blanchard naît en 1950, à Canet, entre Corbières et Minervois.
Après avoir travaillé à la chaîne dans une usine de Mazamet en 1964,
i l est successivement bénévole dans une MJC puis, en 1978,
animateur salarié à la Cité du refuge, Paris XIII, sous la tutelle de l'Armée du salut.
En 1986, il devient éducateur spécialisé.
Ordonné Vicaire de la paroisse protestante Saint Sauveur, à Paris XV, en 1990,
il devient en 1992 Pasteur de l'Église Évangélique Luthérienne.
En 1995, il fonde l'association Entraide nationale.
En 1996, il participe au lancement des opérations Soupes de Nuit à Saint-Lazare,
qui dureront jusqu'en 1999, connues sous le nom de « soupe au cochon »,
visant à exclure les personnes de confession musulmane[1],
dont le caractère discriminatoire est établi [2].
En 2004, il devient aumônier d'Identité Protestante, puis missionnaire
de l'Église Luthérienne Confessionnelle pour la France.
Le pasteur Blanchard fonde en 2005 l'Action sociale populaire (ASP),
association caritative, proche du front national [3],
dont il devient le président. Depuis septembre 2007,
le pasteur Blanchard organise en Île-de-France des maraudes
et distribue de la nourriture et des vêtements aux sans-abris.
Mise en place en 2010 d'équipes de visiteurs pour les personnes âgés.
Le samedi 19 janvier 2013 s'est déroulée, à Athis-Mons, l'Assemblée générale
constitutive de l'association Identité Luthérienne, quʼil préside.
En 2015 il fête les 20 ans de sa nomination, comme responsable du social au FN,
en présence de Jean-Marie et Jany Le Pen, et Bruno Gollnisch.
Il se revendique du nationalisme[4].
Œuvres
" L'homme espoir" suivi"viure" ( poèmes)"éditions occitane en exil" 1975
- Martin Heidegger philosophe incorrect, L'Æncre, 1997
- Aux sources du national-populisme, L'Æncre, 1998
- Heidegger, Pardès, 2000
- La faim justifie les moyens, Déterna, 2000
- Mythes et Races, Déterna, 2000
- Jalons du protestantisme, Malpertuis, 2001
- Le FN et le Social : le pasteur Blanchard
- en maraude avec ceux du Front, Déterna, 2012
- L’Alternative holiste Dualpha 2017
- Martin Heidegger philosophe incorrect ( réédition) Dualpha 2017
- Aux sources du national populisme ( réédition) Dualpha 2017
- Mythes et races (réédition) Dualpha 2017
Préfaces
- Philippe Gautier, La Germanophobie, Paris, Déterna, coll.
- « Politiquement incorrect », 1999 (réimpr. 2006), 283 p.
- (ISBN 2-913044-20-4, notice BnF no FRBNF37193303)
Bibliographie
- Sophie Coignard, Marie-Thérèse Guichard, Les Bonnes Fréquentations
- - Histoire secrète des réseaux, Grasset, Paris, 1997.
- Michaël Darmon, Romain Rosso, L'après Le Pen :
- enquête dans les coulisses du Front national, Seuil, 1998, 270 p.
- (ISBN 978-2020307390) p. 66 et suiv.
- Fiammetta Venner, Extrême France, Grasset, 2006, 526 p.
- (ISBN 978-2246666097) [EPUB] emplacement 2933
- et note 11 emplacement 3505 sur 11217.
Notes et références
- Aller ↑ « Dictionnaire de la mouvance droitiste et nationale, de 1945 à nos jours »,
- Jacques Leclercq, L'Harmattan, 2008, page 69.
- Aller ↑ http://www.legifrance.gouv.fr/affichJuriAdmin.do?oldActio...
- Aller ↑ http://www.lhebdoduvendredi.com/article/14259/le_pasteur_...
- Aller ↑ Jean-Pierre Blanchard, Aux sources du national-populisme,
- L'Æncre, 1998, p. 8.
Liens externe
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09:17 | Lien permanent | Commentaires (0)
Maraude du 21/11/2017..........
09:13 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (0)
21/11/2017
Un ami maraudeur nous a envoyé :
Objet: Simple constat.
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09:17 Publié dans Les copains | Lien permanent | Commentaires (0)
17/11/2017
IMPRESSIONS DE MARAUDE, PAR MARIE-BALLE MEMBRE DE L'ASP:
9 novembre 2017 : maraude de l’infatigable Pasteur Blanchard et de sa femme, Catherine. Ils m’ont fait l’honneur de m’y convier en compagnie de Jacques Plaine et de Françoise Pitault. Aucun d’entre nous ne pouvait imaginer un seul instant que ce serait la la misère sociale…
Me revint alors la dernière phrase du poème de Charles Péguy « Rien ne vaut le Français » : « Quant à l’espérance, il vaut mieux ne pas en parler, il n’y en a que pour eux… »
Sommes-nous donc bien Français, seuls à espérer que, oui, un jour les choses pourront changer, que l’on sortira de ce carcan dans lequel les gouvernements ont enfermé notre peuple depuis tant d’années !
Nous avons rencontré les mêmes que lors de notre première maraude en octobre 2015, un peu plus malades, un peu plus affaiblis, un peu plus désespérés, un peu plus invisibles encore. Nous avons croisé une maraude de la Croix Rouge, à pied, car ce soir là, ils n’avaient pas de voiture…. Un thermos de café à la main, ces bénévoles tentaient, comme nous, d’apporter un peu de chaleur humaine aux victimes de la Haute Solitude.
Victimes attentives à défendre leur bout de trottoir ou de bouches d’aération pour capter un tant soi peu d’air chaud : la concurrence devient rude, violente. Il est toujours étonnant d’entendre nos compatriotes jetés à la rue discuter de politique ou de sujets d’actualité avec un bon sens certain. Comment font ils donc pour se tenir informés, pour être capables de réfléchir au destin de notre pays malgré leur détresse ? Nul doute qu’ils devraient être invités dans les débats télévisés afin de remettre les idées en place de bien des dirigeants anesthésiés dans leur bulle.
Et puis il y a les Polonais, les Roumains qui ont cru à l’Eldorado et qui ont vite perdu leurs illusions : exploités dans des travaux bien sur non déclarés, ils semblent incapables de prendre une décision : rentrer chez eux, rester ici mais dans quel but ?
Aucun ne demande de l’argent, non, juste des couvertures, des cigarettes, et surtout des rasoirs et du savon afin de ne pas perdre le peu de dignité qui leur reste, il faut à tout prix demeurer présentable…
Gageons qu’à l’approche des élections municipales à Paris, il faudra faire semblant et cacher cette misère galopante : « on » voudra la cacher, « on » promettra de l’éradiquer.
Mais comment, Mesdames et Messieurs les Grands donneurs de leçons de générosité, comment, puisque c’est vous qui avez engrangé une concurrence honteusement déloyale dans le monde du travail, c’est vous qui chaque jour accélérez un peu plus le chômage, c’est vous qui avez ouvert nos frontières à tous vents, c’est vous qui avez instauré une foultitude de prestations sociales accessibles au monde entier mais de moins en moins aux Français !
Stop ! Ouvrez vos yeux grand-fermés sur ce qu’est devenu notre pays, non, ce n’est pas une terre d’asile, c’est une terre de pauvreté grandissante, c’est une terre où chacun, jeune ou moins jeune, vit dans l’angoisse de rejoindre un jour ces miséreux.
Avec le Pasteur et avec l’espoir d’un avènement, combattez avec nous cette situation qui n’est pas irréversible. Il n’y a pas de fatalité, « Rien ne vaut le Français dans la bataille » disait Péguy. Livrez avec nous, la plus belle d’entre elles, celle de l’espérance et celle de la reconquête !
Marie
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09:05 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (0)
14/11/2017
UN CAS SOCIAL EPINEUX.
Il m'arrive souvent, et de plus en plus, suite à des articles dans la presse amie, ou à des passages sur les ondes de radio Courtoisie, de recevoir des appels téléphoniques qui sont de véritables SOS. Comme celui de cette famille de province, obligée d'accueillir un oncle marginal revenant d'Amérique, cet extravagant leur rendait la vie impossible, je pus, grâce au bon soin d’Oscar, lui trouver un hébergement en région parisienne.
Quelque mois plus tard, je reçois un appel d'une des filles de la famille qui vit dans la capitale. Elle me téléphone pour me dire qu'il avait quitté le centre de réinsertion où il ne se plaisait pas, pour venir squatter chez elle. Elle lui avait trouvé une chambre chez un particulier, mais il refusait d'y aller, sous prétexte que la propriétaire ne voulait pas que l'on fume à l'intérieur. Elle était désemparée. Ne sachant que faire, je lui dis qu'il ne fallait pas céder au chantage, c'était la chambre ou le retour en foyer. N'ayant pas d'autre choix, il accepta. Elle me téléphona pour me remercier. Il fallait entendre les mots de gratitude et de soulagement de cette femme, pour être conforter dans la conviction que nos modestes actions et conseils ont leur utilité.
Pasteur Blanchard
10:41 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (2)
10/11/2017
Maraude du 9/11/2017..........
11:04 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (0)
07/11/2017
4 livres importants parus aux éditions Dualpha:
Chers lecteurs, Les éditions Dualpha, toujours à la pointe du combat culturel, continuent leurs politiques éditoriales audacieuses qui bousculent plus que jamais le « prêt-à-penser » du conformisme intellectuel. Ainsi, sont parus récemment plusieurs livres importants de Jean-Pierre Blanchard… Des réflexions et des témoignages exceptionnels pour comprendre notre époque terriblement anxiogène (crise économique, « dégagisme » politique, attentats islamistes, dérèglement climatique, etc.)… Je vous souhaite de très bonnes lectures à tous !
Bien cordialement, Évelyne Cotinet, directrice de Francephi diffusion
L’Alternative holiste ou la grande révolte antimoderne - Jean-Pierre Blanchard (éditions Dualpha, 160 p. – 21 euros) Les multiples affrontements qui ont ensanglanté l’histoire de la planète depuis la Ire Guerre mondiale s’ordonnent presque tous autour du conflit central qui oppose partisans et adversaires de la modernité. Les adversaires de la modernité ne s’affichent pas comme tels. La grande révolte antioccidentale est donc d’abord une révolte antimoderne. Elle s’achève aujourd’hui avec l’islamisme, dernier mouvement de retour au passé, montrant que la forme holiste de refus de la modernité est un enjeu mondial du IIIe millénaire.
Martin Heidegger philosophe incorrect - Jean-Pierre Blanchard (éditions Dualpha, 222 p. – 25 euros) Martin Heidegger ou l’introduction d’un socialisme national (de mode barrésien) dans la philosophie : nul ne songe à contester l’apport fondamental de Martin Heidegger dans le champ de la philosophe, s’inscrivant dans la lignée de la révolution conservatrice. En participant à la révolution conservatrice, en se posant comme guide spirituel, il n’a fait qu’enrichir la philosophie, la libérer des contraintes du monde moderne. Faire connaitre cette démarche, est donc une tâche urgente de libération.
Aux sources du national-populisme : Maurice Barrès et Georges Sorel - Jean-Pierre Blanchard (éditions Dualpha, 200 p. – 25 euros) Au tournant du XXe siècle, Maurice Barrès et Georges Sorel ont travaillé à édifier une autre modernité ; s’opposant au monde moderne, ils ont constitué une argumentation novatrice qui trouve sa force dans la cohérence interne de leurs principes. C’est avec Barrès et Sorel que se fait la synthèse du socialisme national : l’objectif de ce livre est de faire connaître la source de cette famille politique afin que l’homme du XXIe siècle puisse se libérer de l’univers glacé de notre décadente société dans l’espoir que s’ouvre un Nouvel Âge, nous permettant de redevenir maître de notre destin, sinon de notre avenir…
Mythes et races. Précis de sociologie identitaire - Jean-Pierre Blanchard, préface de Philippe Gautier (éditions Dualpha, 190 p. – 25 euros) Ce livre est le diagnostique d’une épidémie qui continue de s’étendre, de s’aggraver avec le flot de migrants majoritairement musulmans. Cette étude psychologique montre qu’aucune société n’est égalitaire : des différences fondamentales existent entre individus, sexes, coutumes, races.
BON DE COMMANDE
à renvoyer à : Francephi diffusion - Boite 37 - 16 bis rue d’Odessa - 75014 Paris - Tél. 09 52 95 13 34 - Fax. 09 57 95 13 34 – Mél. diffusion@francephi.com Commande par internet (paiement 100 % sécurisé par paypal ou carte bancaire) sur notre site www.francephi.com.
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Frais postaux France et Union européenne : 5 euros (1 livre)/6 euros (2 livres)/9 euros (3 livres ou plus) Autres destinations : 10 euros (1 livre)/15 euros (2 livres)/20 euros (3 livres ou plus) Règlement à l’ordre de Francephi par chèque, carte bancaire, virement bancaire ou par paypal.
Nom : ..............………................ Prénom : ..............…................ Adresse : ..............…...................................................….......................................................... ..............…..............................….......................................…..............................…......................... Code Postal : .............………........Ville : .............………........ Téléphone : .............….…………….…… Adresse internet : .............………......... …
Règlement par carte bancaire téléphone (obligatoire pour règlement par carte bancaire) : ............………........ CB… Visa… MasterCard… (autres)… : ............………........ numéro /__/__/__/__/ /__/__/__/__/ /__/__/__/__/ /__/__/__/__/ Expire le : /__/__/__/__/ 3 Nos code sécurité : /__/__/__/
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09:08 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (2)
03/11/2017
Mon maitre d’élection Vilfredo Pareto (1848-1923):
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08:45 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0)