QUOI

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • DANIEL HAMICHE...

     

     

    Daniel Hamiche.jpg

     

     

    Le drapeau noir

    et les copains.

     

     

     

    J'ai fait la connaissance de Daniel Hamiche  alors qu'il était le secrétaire particulier du Duc d'Anjou, prétendant au trône de France. Tous, même ceux qui comme moi ne sont pas monarchistes,  reconnaissent en Daniel un être d'exception. A cette époque, il ressemblait à une gravure de mode. Il y avait en lui un côté vieille France mais, déjà, il possédait cet art de plaisanter de façon décalée, ce trait si profond de sa personnalité.

     



    Le temps n'a fait que bonifier son côté anarchiste de droite. Cette marque de fabrique de la bande à Serge a pris chez lui de la bouteille. La qualité maîtresse de ce groupe  n'est-elle pas une fidélité sans failles "aux copains d'abord"... et "au drapeau noir" ?

     

     

    Dès les débuts de l'aventure de l'Action Sociale et Populaire, son soutien a été total. Il nous avait ouvert régulièrement les antennes de son émission sur Radio Courtoisie. Ce fut pour nous une aide très précieuse.

     

     

     

     

    Pasteur Blanchard

     

  • Réédition 2017, avec nouvelle préface……….

     

     

     

     

    Mythes et races.jpg

     

     

     

    Mythes et races

    Jean-Pierre Blanchard

    25,00

     

    Précis de sociologie identitaire

     

    Préface de Philippe Gautier.

     

    Ce livre est le diagnostique d’une épidémie qui continue de s’étendre, de s’aggraver avec le flot de migrants majoritairement musulmans. Cette étude psychologique montre qu’aucune société n’est égalitaire : des différences fondamentales existent entre individus, sexes, coutumes, races.

     

     

  • Réédition 2017, avec nouvelle préface……….

     

     

    Aux sources du national populisme Maurice Barrés Georges Sorel.jpg

     

     

    Aux sources du national-populisme - Maurice Barrés, Georges Sorel (Broché)

     

     

     

     

     

    Le discrédit de nos société et organisations politiques issue de la philosophie des lumières ne procède pas d'une génération spontanée. Au tournant du xxe siècle, Maurice Barrès et Georges Sorel ont travaillé à édifier une autre modernité contre le cursus des lumières " franco-kantiennes " ; s'opposant au monde moderne, ils ont constitué une argumentation novatrice qui trouve sa force dans la cohérence interne de leurs principes.

     


    Ils ont bien perçu la faille du système dominant. Leurs oeuvres constituent un champ de premier ordre ; ils sont historiens des idées, critiques de la culture, philosophes de la politique, mais aussi publicistes de renom. Leur pensée se situe dans ce courant alternatif de rejet des valeurs dominantes, nos auteurs se situent dans la lignée de Taine qui avait suivi Burke et Carlyle. Nous en trouvons l'histoire dans le remarquable livre de Isaïah Berlin A contre courant. 

     


    C'est avec Barrès et Sorel que se fait la synthèse du socialisme national : l'objectif de ce livre est de faire connaître la source de cette famille politique afin que l'homme du xxie siècle puisse se libérer de l'univers glacé de notre décadente société dans l'espoir que s'ouvre un Nouvel Age, nous permettant de redevenir maître de notre destin, sinon de notre avenir... En cela, Barrès et Sorel sont irremplaçables.

     


    Prenant conscience de sa vocation de travailleur social, le futur pasteur des pauvres découvre l'étendue de la misère, en tant qu'éducateur à l'Armée du Salut à Paris. Croyant, de culture protestante, il devient pasteur, après un stage pastoral et une ordination au Saint Ministère. En 2005, le Pasteur Blanchard portera sur les fonts baptismaux l'Action sociale populaire (ASP).

     

     

  • PROCES-VERBAL DE LA REUNION DU CONSEIL D’ADMINISTRATION:

     

     

    AG 2017 (1).JPG

     

     

     

     DE L’ASSOCIATION

    « ACTION SOCIALE & POPULAIRE »

    LE 16 SEPTEMBRE 2017 A PARIS

     

     

     

     

     

    Nous commençons la réunion en formant nos vœux les plus sincères de bon rétablissement à notre ami le Président Jean-Marie LE PEN qui vient de subir une importante intervention chirurgicale.

     

     

    ORDRE DU JOUR :

     

     

    1. Un regard sur les maraudes par Alexandre SIMONNOT

     

     

    Alexandre rappelle qu’il a effectué sa première maraude en 2010 avec Marion MARECHAL-LE PEN et que depuis il a dû en faire 20 à 25 autres en compagnie du Pasteur et de Catherine son épouse.

    Il rappelle l’importance de ces maraudes dans les rues de Paris à la rencontre de celles et ceux qui n’ont plus rien.

    Il rappelle également que gâtés comme nous sommes, donner un peu de temps à nos pauvres ça n’est pas grand-chose mais pour ceux qui n’ont plus rien c’est énorme.

     

     

     

    1. L’image de l’ASP par Annette VENTENAT, amie de l’ASP

     

     

    Notre image est bien sûr excellente.

    Au fil des années l’ASP a acquis une très solide notoriété dans le domaine du social.

    Beaucoup de grands organismes caritatifs, bien plus connus que nous, n’ont pas réussi à monter des circuits de maraudes comme les nôtres avec notre régularité et notre implication.

     

     

     

    1. Bilan de la dernière campagne et devenir de l’Association par le Pasteur BLANCHARD, président de l’ASP

     

     

    Nous préparons la prochaine campagne de maraudes.

    Le Pasteur rappelle la grande importance du soutien de nos amis médias (Présent, Radio Courtoisie, TV Libertés) sans qui personne ne pourrait entendre parler de nous et de nos actions.

    Le Pasteur nous encourage à poursuivre l’action.

     

     

    1. Intervention de madame Jany LE PEN, marraine de l’ASP

     

     

    Restée au chevet de son mari hospitalisé, Jany est bien sûr excusée de son absence parmi nous aujourd’hui.

     

     

    1. Bilan financier par Gaël FOUILLEUL, trésorier de l’ASP

     

     

    Gaël excusé pour son absence, c’est Gilles CLAVEL qui nous donne lecture du bilan financier

     

    Le voici :

     

    Après plusieurs années de hausse et notamment une collecte record de plus de 10 000 euros l’année dernière, le montant des donations en 2016 s’élève à 7 391 euros.

     

    C’est en-dessous de sa moyenne annuelle qui s’établit désormais à 8 528 euros !

     

    La différence s’explique, d’une part, par l’absence, pour la première fois depuis longtemps, de dons d’au moins 1 000 euros et, d’autre part, par le nombre de donateurs qui diminue légèrement : 72 en 2013, 68 en 2014, 60 en 2015 et 58 en 2016.

     

    Le solde du compte courant était de 12 669 euros au 31 décembre 2016 et celui du Livret A, de 10 900 euros.

     

    Du côté des dépenses : nous avons dû « casser la tirelire » et acheter un véhicule « propre » qui a coûté 12 000 euros. Hormis cette dépense exceptionnelle, les frais de fonctionnement de l’ASP s’élèvent à 4 037 euros

     

     

    6 – Election du Bureau et du Conseil d’administration de l’ASP

     

     

    Le Bureau et le CA sont reconduits à l’unanimité des votants

    Alexandre SIMONNOT est élu Secrétaire Général à l’unanimité

     

     

     

    L’Assemblée générale se conclue par un air des Noces de Figaro de Mozart, magnifiquement interprété par Annette VENTENAT

     

    AG 2017(2).JPG

     

  • Réédition 2017, avec nouvelle préface……….

     

     

    Martin Heidegger philosophe incorrect.jpg

     

     

     

     

    Martin Heidegger philosophe incorrect

     

     

    Jean-Pierre Blanchard

     

     

    25,00

     

    Martin Heidegger ou l’introduction d’un socialisme national (de mode barrésien) dans la philosophie : nul ne songe à contester l’apport fondamental de Martin Heidegger dans le champ de la philosophe, s’inscrivant dans la lignée de la révolution conservatrice. En participant à la révolution conservatrice, en se posant comme guide spirituel, il n’a fait qu’enrichir la philosophie, la libérer des contraintes du monde moderne. Faire connaitre cette démarche, est donc une tâche urgente de libération.

  • Le nouveau livre du Pasteur:

     

    Alternative-holiste-quadri-1.jpg

     

    L’Alternative holiste ou la grande révolte antimoderne

     

    Jean-Pierre Blanchard

     

    21,00

     

    Les multiples affrontements qui ont ensanglanté l’histoire de la planète depuis la Ire Guerre mondiale s’ordonnent presque tous autour du conflit central qui oppose partisans et adversaires de la modernité. Les adversaires de la modernité ne s’affichent pas comme tels. La grande révolte antioccidentale est donc d’abord une révolte antimoderne. Elle s’achève aujourd’hui avec l’islamisme, dernier mouvement de retour au passé, montrant que la forme holiste de refus de la modernité est un enjeu mondial du IIIe millénaire.

     

  • Plus notre société est moribonde, plus elle refuse la mort:

     

     

    b28c7517283f9e57d25d7ceaa99cbd66.jpeg

     

     

     

     

    Ecrivain, musicienne, plasticienne
     
     
     
     

    J’ai évoqué, ici, il y a quelques semaines, un sujet particulièrement brûlant dans la mesure où il est propre à déchaîner des passions (un rapide coup d’œil aux réactions de certains lecteurs m’en a d’ailleurs encore apporté la preuve). Je parle de la fin de vie. De la mort. Pas de celle qu’on voudrait pouvoir donner, cette euthanasie dont Arnaud  Montebourg regrettait à l'époque qu’elle figurât parmi les promesses non tenues de François Hollande. Non, tout simplement la mort qui vient et que toute notre société refuse – le corps médical en tête.

     

     

    Notre monde est agité de toute part par de pseudo-guerres de religion qui sont, avant tout, des guerres de civilisation ; on brandit cette phrase de Malraux, sortie de son contexte et de son sens, qui annonçait un XXIe siècle religieux pour échapper au néant qui faillit nous emporter au XXe. On s’assassine au nom de rituels et de prescriptions qui ne sont que matériels et la religion n’est parfois – et de plus en plus – qu’un sujet d’affrontements et un prétexte à la conquête par la violence et la contrainte. Mais la foi, la vraie ? La spiritualité ? L’acceptation apaisée de ce qui nous échoit ? L’amour du prochain, de « l’autre comme soi-même », où est-il ?

     

     

    Évidemment pas chez les plus fanatiques quand ils brandissent le glaive et lâchent leurs bombes, mais pas non plus à l’hôpital. Ni chez ceux qui refusent l’évidence pour maintenir un proche à l’état de mort vivant, le condamnant – au nom de leur foi ! – à la prison dans un corps inerte quand ils devraient le laisser aller vers ce que les anciens nommaient les champs Élysées et les chrétiens appellent le paradis.

     

     

    Entre l’égoïsme aveugle de ceux qui demeurent et la toute-puissance scientiste des usines à malades, on ne peut plus mourir en paix, au sens profond du terme.