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31/03/2017

Impressions de Maraude ..........

 

 

          

 

                     Par le Pasteur BLANCHARD

              Président de l'Action Sociale et Populaire

 

 

 

Maraude Françis 1.JPG

 

 

 

Dans une société qui change à chaque instant, depuis plus de six ans que nous suivons l’évolution de la misère dans les rues de Paris, nos impressions ne peuvent être que paradoxales. Pourtant, certains repères restent stables : parmi eux, le légendaire Francis.

 

 

 

Nous l'avons rencontré en 2008. A l'époque, il dormait dans le renforcement d'un bâtiment à la sortie d'un garage. Il y avait amoncelé des tas d’objets sur une hauteur de deux mètres et vivait au milieu de ce fatras. Le temps passant, il devint une destination incontournable de nos sorties. , à tel point qu’il était devenu un point nodal. A sa rencontre, chaque maraudeur recevait comme une onction de légitimité.

 

 

 

Un jour, plus de Francis. Cela faisait un certain temps qu'il était malade. Il sombrait à vue d'oeil de rencontres en rencontres ; ce qui l'amena à faire plusieurs séjours à l'hôpital. Avant de disparaître tout à fait dans la nature. Qu'était-il devenu ?  A chacun de nos passages dans son secteur, nous ne pouvions nous empêcher de nous interroger sur ce qu’il était devenu.

 

 

 

Enfin, un soir, nous l'avons retrouvé installé à quelques mètres de son ancien quartier général soigné après une longue hospitalisation. Il était bien là, encore, lors de cette maraude  en compagnie d' Emmanuel et sa belle mére. Depuis son retour, c'est chaque fois le même rituel. Dès qu’il me m'aperçoit, il s’écrit "tiens, voilà le Pasteur !", ajoutant, tout de go, en parlant de Catherine "et la photographe !" Dans un monde instable, il reste égal à lui-même tel que l’éternité le change.

 

 

 

Pasteur Blanchard

 

 

 

Maraude Françis 2.JPG

29/03/2017

Éditions Pardès:

 

 

 

Pardés.jpg

 

 

 

Adresse : 44 Rue Wilson, 77880 Grez-sur-Loing

 

Téléphone :01 64 28 53 38

28/03/2017

Apparu ignore-t-il que le multiculturalisme est la cause du communautarisme ?

 

 

                                               

 

 

 

 

 A l’origine de tous nos maux, il y a une politique migratoire parfaitement déraisonnable, depuis un peu plus de 40 ans.

 

 

Juriste



 
 
 
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Je ne vais pas citer à nouveau cette célèbre phrase attribuée à Bossuet, un peu galvaudée. Vous la connaissez trop bien. Pourtant, cette sentence décrit à merveille les dernières déclarations de Benoist Apparu. Quand le porte-parole d’Alain Juppé affirme que l’« identité heureuse », concept cher à son mentor, paraphrasant trompeusement Alain Finkielkraut, s’accorderait avec le multiculturalisme, tout en refusant le communautarisme, il déplore les conséquences de ce dont il chérit les causes. Il ne fait, en effet, aucun doute que le multiculturalisme, conséquence négative d’une immigration qui ne s’est pas assimilée, est la cause première du communautarisme.

 


 
À l’origine de tous nos maux, il y a une politique migratoire parfaitement déraisonnable, depuis un peu plus de 40 ans. Cette politique porte un nom : l’immigration massive. D’abord voulue par le patronat pour jouer à la baisse sur les salaires des autochtones, l’immigration répondait aussi à une vision du monde universaliste dévoyée faisant suite aux conflits post-coloniaux. Je ne ferai pas ici l’historique de cette idéologie, mais elle domine désormais la pensée occidentale. Sur le plan politique, elle se traduit par le multiculturalisme, c’est-à-dire le fait de ne pas reconnaître une culture majoritaire, enracinée dans l’Histoire, pour une nation. On supposera donc que la France, État-nation multiséculaire, puisse ne pas procéder intégralement d’une culture française et européenne.

 


 
En ce sens, les déclarations de Benoist Apparu font écho à l’affirmation du théologien musulman Tariq Ramadan qui voudrait que l’« islam [soit] une religion française ». Il existe un islam en France, c’est un fait. Mais il n’existe pas d’islam de France. Plus précisément : l’islam n’a pas d’enracinement charnel en France. C’est donc à l’islam de s’adapter à la culture française, et non l’inverse. Dès que l’on imagine que la France puisse être multiculturelle, on admet qu’elle puisse accepter la présence de catégories différenciées de Français organisées en communautés d’intérêts selon des affinités le plus souvent ethno-religieuses.

 


 
Le multiculturalisme est opposé à l’essence de la France, sa substance, mais aussi à son incarnation politique qu’est la République, laquelle distingue les nationaux des étrangers par la citoyenneté. Si le multiculturalisme est officialisé politiquement, il se traduira concrètement par l’apparition d’une multi-citoyenneté. Que voulait dire Benoist Apparu, au fond ? Que la France est une société multiethnique, multiculturelle. Qu’au fond, les pouvoirs politiques agissent sur le réel, et qu’il serait impossible de mettre en place une politique d’assimilation. Plus encore, que notre pays doit accepter toujours plus d’immigration pour répondre aux injonctions de l’ONU et de l’Union européenne, organismes supranationaux sans identités culturelles et politiques, tétanisés par la démographie délirante du Sud.

 

 

 


 
N’étant pas d’une nature défaitiste, et étant attaché à la France historique, présentant une permanence culturelle, je pense qu’il faut refuser farouchement les volontés des juppéistes. Elles sont dangereuses. Oui à la France polyculturelle, de Charlie Maurras à Charlie Hebdo. Non à la France multiculturelle et multiconflictuelle. Voilà l’enjeu des prochaines décennies. Vous ne pourrez pas dire que vous ne saviez pas.

 

 

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24/03/2017

LES MEMBRES FONDATEURS DE L'ASP...

 

 

 

 

 

NICOLAS PONS

Vice-président de l'ASP

 

 

 

 

Ce fut lors d'une de nos premières réunions, dans un local prêté par un ami à Vanves, que nous avons fait la connaissance de Nicolas. Il demeurait à l'époque à deux pas du lieu de réunion. C’est sur internet qu'il découvrit l'annonce de notre association, qui lui était totalement inconnue. C’est un peu par hasard qu'il fut présent à nos tout débuts.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il a été aussi pour la toute première maraude, et lors des premières saisons il fut un pilier de nos sorties. Avec le temps sa présence s'estompa un peu, mais pas son engagement au sein de l'association, dont il fut le trésorier. C’est aussi lui qui m'installa internet et m'initia à l'informatique. Comme beaucoup de gens du sud-ouest, il avait la nostalgie du pays, où il retourna suite à une mutation dans sa ville natale de Toulouse. Pour autant il reste un actif vice président de l'ASP. Le temps passant, bien des éléments de notre association disparurent, mais il est toujours bon de retrouver ceux qui sont restés fidèles, et qui depuis les temps héroïques de nos débuts, nous ont fait confiance. Nicolas est de ceux-là, et même plus : un ami véritable.

 

 

 

Pasteur   Blanchard

 

                                                                                                    

 

 

22/03/2017

Maraude du 21 / 03 / 2017..............

 

 

21/03/2017

Ces journalistes qui s’évertuent à nier le réel…

 

                                

 

 

autruches-deni-denial-journalistes.jpg

 

Qui nie l’évidence n’inspire pas franchement confiance.

 

Ecrivain, journaliste
 
 
 
 
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Comment endiguer la montée de l’extrême droite ? Telle est la question angoissante, lancinante, inextricable qui vient et revient, comme la marée, dans tous les débats politiques de la grande presse française, et maintenant européenne. On se gratte le menton, on conjecture, on échafaude : jouer de la flûte traversière, sauter à l’élastique, mimer « le papa pingouin » ? Et simultanément, même, si cela pouvait fonctionner.

 

 

Parfois, pourtant, il s’agit moins de faire que de ne pas faire.

 

 

Ne pas faire, par exemple, comme Michel Veron, envoyé spécial de MyTF1News.fr, lit-on, au Rendez-vous de Béziers. Il a flairé les tables rondes et, heureux comme un chien truffier, a rapporté triomphalement, au petit trot, la « théorie complotiste du Grand Remplacement » dont il s’est employé, dans un morceau de bravoure, à démontrer l’inanité, avec cette conclusion : « Moins de 250.000 personnes viennent en France chaque année (ce chiffre diminue d’ailleurs d’année en année) (sic). Une partie significative d’entre eux étant des étudiants, beaucoup ne restent que quelques années en France (resic). On est donc loin du prétendu raz-de-marée que laissent entendre Renaud Camus et ses partisans. »

 

 

On ne peut m’accuser d’être une groupie exaltée de toutes les thèses de Renaud Camus. Son malthusianisme revendiqué (je l’ai souvent dit ici) me semblant être, pour notre pays, l’ultime défaite, la mise au tombeau consentie : si la famille n’a pas d’héritier, la maison est vendue. Ainsi va la vie.

 

 

Mais tout cela commence à bien faire, non ? Qu’a donc fait le pauvre mot « remplacement » pour être précipité dans la géhenne de feu du dictionnaire ?

 

 

Les Français prennent le métro, se promènent dans la rue, fréquentent les hôpitaux, emmènent leurs enfants à l’école, font leurs courses dans des grandes surfaces, et tutti quanti. Ils ont des yeux pour voir, en lesquels ils n’ont pas de raison de douter, et qui leur semblent même, à dire vrai, plus fiables que les analyses statistiques laborieuses de monsieur Veron. La population de notre pays a changé, c’est un fait, et dans des proportions telles que l’on utilisera plus volontiers, pour en parler, l’adjectif « grand » que « négligeable », « anecdotique » ou « infinitésimal ».

Le dire ne signifie pas d’ailleurs qu’on le déplore — certains peuvent s’en réjouir, ou n’en avoir strictement rien à cirer —, ni que l’on soupçonne un Docteur No à petites lunettes métalliques et gros rire sardonique de tirer les ficelles d’un obscur « complot ». C’est un constat – pas un jugement de valeur – que chacun fait par-devers soi. Évidemment. Or, qui nie l’évidence n’inspire pas franchement confiance. Si, lorsque je constate qu’il pleut, ma voisine de palier me regarde d’un sale œil et crie au complot dans toute la cage d’escalier, on me permettra de ne pas voter pour elle au conseil de quartier, et de lui préférer le bonhomme du dessus qui évite de m’engueuler quand je lui dis une vérité. D’où ce conseil bienveillant à l’attention de Michel Veron : veut-il rester l’idiot utile de « l’extrême droite », comme il dit ? Qu’il continue ainsi.

 

 

 

09:07 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (1)

17/03/2017

Réponse tardive à Agora Vox :

 

 

 

Agora vox.png

 

 

 

Au FN, les SDF ont tout intérêt à être... « blancs européens »

 

Agora 1.jpg

 

 

 

 

la "maraude" à SDF dont il parle n'est pas la sienne. C'est celle du Pasteur Jean-Pierre Blanchard. Un autre beau cas d'espèce, car le pasteur est évidemment lui aussi... du FN. Une photo sans ambiguité le démontre : l'homme aux rouflaquettes (à l'époque il n'en a pas encore) y serre la main de Jean-Marie, le père de celle qui commande des études d'économies de notre visiteur du soir de SDF blancs. Le social, vu par le FN, ça donne... un tri sélectif : lors de la création de l’association, notre première orientation a été de venir en aide aux patriotes défavorisés des communes de mon secteur géographique." Les "patriotes" pourraient être aidés, les autres... on ne sait pas, pour ne pas être méchant. Chez notre pasteur, toutes les brebis "défavorisées" ne sont donc pas égales ; seules les blanches comptent. Vous qui pensiez que l'aide sociale était entière et ne s'arrêtait pas aux opinions politiques, c'est raté. Ce n'est pas le SAMU (sociail), ici ! Pour le pasteur trieur, pas de problèmes : il est devenu depuis secrétaire général du FN. Logique(1), il en était un pilier depuis longtemps comme il le dit lui-même : "le climat de haine au moment de la scission du FN. Certes je penchais pour Mégret, mais je n’ai jamais été compromis dans aucun complot. Je n’ai jamais été membre du MNR. Depuis mon licenciement du « Paquebot », je m’en tiens à une stricte neutralité. En 2002, j’ai envoyé la même lettre de soutien aux deux candidats. Cela a été terrible pour moi de voir des amis de longue date ne plus me parler, pire, me traiter de félon, alors que j’ai failli sombrer. J’ai été à deux doigts de devenir SDF. J’en ai été profondément marqué." Que faisait un pasteur dans le "paquebot", et sa dérive financière, réglée par un imprimeur (Fernand Le Rachinel) qui a fini par se rertourner contre son capitaine, c'est une autre histoire (un pasteur salarié du FN(2) et permanent, donc, comme l'indique l'Express du 3 octobre 2007 ?) : en tout cas, il ne semble pas qu'à cette époque il ait été pasteur à bord. En fait, notre si bon pasteur qui trie les bonnes brebis des mauvaises ne nous dit pas tout : il a un sacré passé derrière lui. Car son curriculum fourni benoîtement par ses propres amis, mérite amplement d'être illustré.

 

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Selon lui-même, le traumatisme reçu sur la tête c'est celui de mai 68 :"dans les années 1970, les errements idéologiques de sa génération le pousseront au festival de l'île de Wight, dans les rangs de la Ligue communiste d'Alain Krivine, puis dans l'aile situationniste des Maoïstes (keske c'est ???), pour finir dans les fêtes de Lutte ouvrière." Il me fait penser à un gars de chez Agoravox qui a raconté plusieurs fois ici "son" île de Wight (ou il s'était endormi pour Hendrix). Sur son propre blog, le pasteur indique qu'il n'est pas resté en usine car "le travail en usine me déplaisait" (et écrit deux lignes plus loin être devenu plus tard un "ouvrier modèle"). C'est pourquoi il a fait... l'armée : "je signais un contrat d'apprenti garçon de restaurant au Grand Balcon, l'hôtel le plus huppé de Mazamet. Mon engagement lors des événements de 68 inquiéta ma famille. Mon père, militaire de carrière, pensa qu'il n'y avait rien de plus sûr que l'armée. Je signais à Toulouse en septembre de la même année un contrat de trois ans dans l'armée de l'air." Pas mal, comme parcours : restait plus qu'à faire un tour de plus pour passer de l'extrême gauche à l'extrême droite (son père était en fait gendarme). Pas tout de suite, d'abord il lui faut d'abord quitter l'armée :"l'armée, ne sachant que faire de moi, se souvint que j'avais été garçon de restaurant et m'envoya au mess des officiers en plein cœur de la forêt noire en Allemagne à Hornisgrinde. Ce fût un véritable cauchemar où j’étais isolé dans une petite station couverte de neige pendant plus de six mois de l'année. Insupportable à un tel point que comme on le dit familièrement, je "pétais les plombs" au point de me faire expulser de l'armée. De retour à la maison, ce fut la grande révolte". Notre futur pasteur n'aimait pas les oppressants sapins, ce devait être ça. Mais voyons de quelle "révolte" il s'agît...

 

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Car juste après l'épisode de Wight, notre militaire sapinophobe découvre la foi (c'est souvent une révélation, les religions révélées !) en se retrouvant d'abord "animateur" de l'Armée du Salut à Paris dans le 13e... pour se retrouver, toujours selon ses propres dires, "pasteur dans le 15e", après "un stage pastoral" et une "ordination au Saint Ministère" (ce qui parait expéditif(3), mais bon, les autorités religieuses peuvent le vérifier, je suppose, on leur fait confiance). Dans le XVeme, il y a effectivement trois lieux de culte : l"Eglise luthérienne de la Résurrection l'Église luthérienne du synode du Missouri et le Foyer de Grenelle. C'est alors qu'il devient le "chapelain" de... Jany LePen, qui est protestante, elle aussi (née Jeannine Marie Louise Paschos, et c'est aussi la présidente de SOS Enfants d'Irak). Un chapelain, c'est, rappelons la définition quelqu'un "chargé d'une chapelle ou d'une "paroisse personnelle" : maison noble, communauté linguistique, école, mouvement, unité militaire, etc. Il ne tient pas de registre et n'administre pas de territoire géographiquement déterminé, sa communauté se limitant aux fidèles qu'il rassemble". Chapelain de paquebot, alors, disons.... les chapelains étant aussi, "les officiers ecclésiastiques de la maison du roi et des princes, qui servent à leurs chapelles" : voilà notre homme servant un prince, ou une princesse, donc. Appelons-celle-ci Jany, alors. Et lui, ratichon, ce qui est beaucoup plus drôle : il n'y a pas que Jean-Marie Le Pen à dénicher de vieilles expressions françaises, mince !

 

 

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"Ratichon" a fait un autre aveu dans son blog, on l'a vu : "deux mois plus tard, j'étais à l'Isle de Whight, avant de vivre toutes les dérives de ma génération" affirme-t-il, ce qui laisse les paris assez ouverts : cannabis ou coke (4)? Partouzes ou sexualité de groupe(5) ? Champignons ou alcool(6) ? On n'en saura pas plus, mais depuis plus de 40 ans, notre homme ne travaille donc pas, en tout cas(7). Pas à l'usine, en tout cas. Pasteur n'est pas vraiment un métier, à bien regarder. Curé non plus, mais le premier n'est pas obligé de faire croire à tout le monde qu'il ne couche pas avec sa bonne. Le pasteur est marié. Une rente, alors, disent les mauvaises langues. Signalons qu'aujourd'hui, pour être Pasteur, c'est un peu plus... long : il faut, je cite,"être titulaire d’un master pro (5 ans d’études) en théologie protestante délivré par l’Institut protestant de théologie (Paris-Montpellier) ou d’un diplôme reconnu équivalent. Il faut avoir l’autorisation de la Commission des ministères (CDM) pour entrer en proposanat (période probatoire en pleine responsabilité sur un poste). Ce proposant dure deux ans et comporte 3 sessions d’une semaine regroupant les proposants pour un temps de formation". Question salaire, il vaut mieux être protestant que catholique en tout cas : "dans l’Uepal(L'Union des Églises protestantes d'Alsace et de Lorraine, réunies en 2006), un pasteur débutant touche 1432, 65 euros net par mois. Après 30 ans de service, il touche 2318,75 euros."(8) C'est en effet toujours mieux que mendier comme un roumain ou être SDF (même blanc )

 

 

     

 

 

Oui, le curé-chapelain, aujourd'hui "responsable des actions sociales au sein du cabinet du secrétaire général" (sa patronne, la vice-présidente chargée des Affaires Sociales du FN s'appelant Marie-Christine Arnautu(9)), est un monsieur à qui on se confesse, où à qui on se confie, donc : il doit en savoir, notre bonhomme, me direz-vous. Oui, et c'est bien ce qui explique sa... longévité dans un parti qui n'a pas toujours digéré la cission Mégrétiste dont il a fait partie... Le confident donc de la première dame du parti, décrite ainsi dans Le Point : "Nous sommes chez M. et Mme Le Pen, à Rueil-Malmaison. Depuis qu'il est remarié avec Jany, le président du Front national a en effet quitté son viril castel de Saint-Cloud, n'y gardant que ses bureaux, pour partager le coquet domicile de sa femme. Un petit paradis, à dix minutes de la Défense, que Jany Le Pen, qui aime à se décrire comme une « femme au foyer », rechigne à quitter - on la comprend - pour se lancer dans l'arène politique". Une dame dont le pasteur ne tarit pas d'éloges, et qui a, disons, de drôles d'opinion sur la plèbe qu'elle ne rencontre jamais, tant elle a des habitudes disons i-un tantinet "bourgeoises" : "ce serait en tout cas un vrai bouleversement dans la vie de cette lève-tard, dont les journées sont rythmées par ses séances de gym, le coiffeur et les dîners en ville. Il y a quinze jours, l'apprentie politicienne prenait son premier bain de foule à la fête Bleu-blanc-rouge. Cette bourgeoise à la chevelure auburn y fut un peu déroutée par le public « lumpen » du FN. « Les braves gens du Front, quand je les embrasse, j'oublie complètement qu'ils sont moches », lâche- t-elle ingénument". Moches, comme les SDF du tract de la fille de son nouveau mari ? Il est vrai aussi que Jany s'est trouvé un deuxième ratichon : un grand défenseur des pygmées. Durant toute la balade, note le journal, la dame s'est baladée en arborant "un T-shirt avec les initiales du LPDR, le parti libéral démocrate de Russie de l'ultra-nationaliste Vladimir Jirinosvki". Avec eux , c'est extrèmes-droites de tous les pays, unissez-vous ?

 

Réponses :

 

 

(1) Depuis 2005 je ne fais plus de politique, pour autant je reste fidèle à mes idées et voterais Marine aux présidentielles.

 

 

 

(2) Mais au banc de mon synode et du protestantisme je me suis tourné vers Jean-Marie Le Pen, mauvaise idée 3 ans plus tard je me retrouvais à la rue suite à la crise mégrétiste.

 

 

 

(3) Qui vous a fait Pape, pour décider ce qu’un synode doit faire pour ordonner ces pasteurs (voir article ci-joint).

 

Ordination.jpg

 

 

(4) non

 

 

(5) non

 

 

(6) non, en fait j’étais Sorélien sans le savoir, ce qui choque mes amis, déjà à l’époque , je pouvais m’appliquer la maxime de mon cher Péguy «  la révolution sera morale, ou ne sera pas »

 

 

 

(7) J’ai travaillé jusqu'à 62 ans, ma retraite est fort modeste puisque je ne suis pas imposable, combien gagne un journaliste ?

 

 

(8) Les salaires dont vous parlez, concernent l’Alsace Lorraine encore sous le concordat, pas le reste de la France.

 

 

 

(9) Je salue mon amie Marie-Christine Arnautu, femme exemplaire de notre famille politique.

 

 

 

 

 

 

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16/03/2017

Qui suis-je ? - Éditions Pardès:

 

 

 

Editions Pardés.jpg

 

 

 

Adresse : 44 Rue Wilson, 77880 Grez-sur-Loing

 

Téléphone :01 64 28 53 38

 

14/03/2017

Vers le changement:

 

 

 

De nombreuses initiatives fleurissent en vue d’un vrai changement dans notre beau pays qui va si mal, la dernière étant le collectif « Horizon ». Il suffit d’ailleurs de voir les rayons de librairies pour se rendre compte que tout le monde s’accorde sur la nécessité de changer de cap. Mais la question n’est pas tant de savoir ce qu’il faut faire, et surtout ce qu’il faut arrêter de défaire, mais de définir comment le faire.

 

 

Car le « système » a bien verrouillé son pouvoir et a organisé sa défense en profondeur : l’idéologie de gauche continue de dominer, abondamment relayée dans les médias et les forces de résistance, que sont pêle-mêle les syndicats, les énarques, la commission européenne et les grands patrons, tiennent les rennes et ne sont pas prêts à se remettre en question. Jusqu’à nos soi-disant alliés américains ou arabes qui s’accommodent parfaitement d’une France en demi-teinte, assez faible pour être influencée, assez forte pour assoir sur la scène internationale leurs propres intérêts.

 

 

 

 


 

 

 

 

Or la politique est l’art du possible et même avec les projets les plus salutaires, on voit mal comment inverser la vapeur, comment couper les jarrets de ces « forces de progrès » qui conduisent le pays à la ruine et en tout cas menacent de rendre ingouvernable la France de 2017.

 

 

L’urgence est de saper les fondations gauchistes. Il faut des actes forts, éminemment politiques, purement politiques même, qui ne s’attaquent pas aux derniers développements hollandesques mais qui ébranlent tout l’édifice. Militons notamment pour la reconnaissance du génocide vendéen, pour une séance de repentance en bonne et due forme devant ce crime qui remettra en question le mythe fondateur de la Révolution française. Le terrain a été magnifiquement préparé par le Puy du Fou ; la réappropriation par les Français de leur Histoire suivra naturellement…

Deuxième séries de mesures urgentes à prendre, couper les vivres à tous ceux qui usurpent le monopole de la représentativité et ont les moyens d’occuper le terrain, nourris par ceux qu’ils haïssent : syndicats, médias, associations, lobbys, professionnels de l’anti-culture. Pour être clair, il faut torpiller Libé, dissoudre la CGT, brocarder le festival d’Avignon, fermer des mosquées radicales, etc. Après, les amoureux de la France auront sans doute un peu plus de liberté d’action.

 

 

 

Puis il y a tout le reste, les migrants, le chômage, les impôts, l’école, la famille, l’islamisme mais aussi l’avortement et le monde rural. La tâche est immense et ça va faire mal ! Un virage à 180 degrés ne serait possible qu’après un chaos total et on ne peut le souhaiter même si on le voit arriver à grands pas. Pour prendre un nouveau cap, il faut s’appuyer sur des valeurs auxquelles les Français adhèrent sans hésitation. Par exemple : liberté et responsabilité. Arrêter de faire croire que les solutions ne peuvent venir que de l’Etat mais laisser se développer et même encourager les initiatives, les audaces et le panache, que ce soient ceux des petits entrepreneurs ou ceux des projets pédagogiques alternatifs. Et au niveau de l’Etat, liberté et responsabilité portent un autre nom : souveraineté.

 

 

En d’autres termes, ce qu’il nous faut, ce n’est pas un catalogue de mesures, mais une méthode et une volonté, bref un nouvel état d’esprit.

 

 

Source:  politiquemagazine.fr

Vers le changement:

 

 

 

De nombreuses initiatives fleurissent en vue d’un vrai changement dans notre beau pays qui va si mal, la dernière étant le collectif « Horizon ». Il suffit d’ailleurs de voir les rayons de librairies pour se rendre compte que tout le monde s’accorde sur la nécessité de changer de cap. Mais la question n’est pas tant de savoir ce qu’il faut faire, et surtout ce qu’il faut arrêter de défaire, mais de définir comment le faire.

 

 

Car le « système » a bien verrouillé son pouvoir et a organisé sa défense en profondeur : l’idéologie de gauche continue de dominer, abondamment relayée dans les médias et les forces de résistance, que sont pêle-mêle les syndicats, les énarques, la commission européenne et les grands patrons, tiennent les rennes et ne sont pas prêts à se remettre en question. Jusqu’à nos soi-disant alliés américains ou arabes qui s’accommodent parfaitement d’une France en demi-teinte, assez faible pour être influencée, assez forte pour assoir sur la scène internationale leurs propres intérêts.

 

 

 

 


 

 

 

 

Or la politique est l’art du possible et même avec les projets les plus salutaires, on voit mal comment inverser la vapeur, comment couper les jarrets de ces « forces de progrès » qui conduisent le pays à la ruine et en tout cas menacent de rendre ingouvernable la France de 2017.

 

 

L’urgence est de saper les fondations gauchistes. Il faut des actes forts, éminemment politiques, purement politiques même, qui ne s’attaquent pas aux derniers développements hollandesques mais qui ébranlent tout l’édifice. Militons notamment pour la reconnaissance du génocide vendéen, pour une séance de repentance en bonne et due forme devant ce crime qui remettra en question le mythe fondateur de la Révolution française. Le terrain a été magnifiquement préparé par le Puy du Fou ; la réappropriation par les Français de leur Histoire suivra naturellement…

Deuxième séries de mesures urgentes à prendre, couper les vivres à tous ceux qui usurpent le monopole de la représentativité et ont les moyens d’occuper le terrain, nourris par ceux qu’ils haïssent : syndicats, médias, associations, lobbys, professionnels de l’anti-culture. Pour être clair, il faut torpiller Libé, dissoudre la CGT, brocarder le festival d’Avignon, fermer des mosquées radicales, etc. Après, les amoureux de la France auront sans doute un peu plus de liberté d’action.

 

 

 

Puis il y a tout le reste, les migrants, le chômage, les impôts, l’école, la famille, l’islamisme mais aussi l’avortement et le monde rural. La tâche est immense et ça va faire mal ! Un virage à 180 degrés ne serait possible qu’après un chaos total et on ne peut le souhaiter même si on le voit arriver à grands pas. Pour prendre un nouveau cap, il faut s’appuyer sur des valeurs auxquelles les Français adhèrent sans hésitation. Par exemple : liberté et responsabilité. Arrêter de faire croire que les solutions ne peuvent venir que de l’Etat mais laisser se développer et même encourager les initiatives, les audaces et le panache, que ce soient ceux des petits entrepreneurs ou ceux des projets pédagogiques alternatifs. Et au niveau de l’Etat, liberté et responsabilité portent un autre nom : souveraineté.

 

 

En d’autres termes, ce qu’il nous faut, ce n’est pas un catalogue de mesures, mais une méthode et une volonté, bref un nouvel état d’esprit.

 

 

Source:  politiquemagazine.fr