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25/08/2015

Entretien avec Alain de Benoist:

 

 

 

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La « décroissance », un problème plus philosophique que politique…

 

   

Entretien réalisé par Nicolas Gauthier.

 

 

Grande est l’impression d’être gouverné par des comptables – d’ailleurs pas toujours très doués pour la comptabilité. Mais au fait, comment mesure-t-on la croissance ? Et, pour reprendre un slogan de Mai 68, peut-on tomber amoureux d’un taux de croissance ?

 

 

C’est une paraphilie parmi d’autres ! Mais défions-nous pour commencer de ces statistiques qui reflètent davantage la capacité des banques centrales à créer de la monnaie plutôt que celle des nations à créer de la richesse (la Réserve fédérale américaine crée tous les mois de 50 à 85 milliards de dollars de papier, soit ce que François Hollande cherche à économiser annuellement avec son « pacte de compétitivité »). Et n’oublions pas, non plus, que nous ne sommes plus à l’époque où une forte croissance permettait des compromis de classe positifs entre le travail et le capital. Aujourd’hui, la croissance ne profite pas également à tous, puisque beaucoup ne cessent de s’appauvrir tandis que d’autres ne cessent de s’enrichir. Elle n’est donc plus un vecteur de réduction des inégalités.

 

La croissance se mesure au moyen du produit intérieur brut : 1 % de croissance en plus, c’est 1 % de PIB de gagné. Le PIB mesure sous une forme monétaire la quantité de biens ou de services produits dans un pays sur une période donnée, mais cela ne veut pas dire qu’il mesure le bien-être ni même la richesse nette. Il est en effet parfaitement indifférent aux causes de l’activité économique, ce qui veut dire qu’il comptabilise positivement les catastrophes ou les accidents pour autant que ceux-ci provoquent une activité engendrant elle-même production et profits. Les dégâts causés par la tempête de décembre 1999, par exemple, ont entraîné une hausse de 1,2 % de la croissance. Il en va de même du nombre de pollutions. D’autre part, le PIB ne prend pas en compte les coûts non marchands (ce qu’on appelle les « externalités »), par exemple ceux qui résultent de l’épuisement des ressources naturelles et des matières premières, alors que la croissance dépend au premier chef des apports énergétiques et des flux d’énergie.

 

La croissance, donnée pour infinie, serait-elle un but en soi ?

 

 

Évidemment pas. Mais la question est de savoir si elle est seulement possible. Une croissance matérielle illimitée sur une planète aux ressources limitées est un non-sens, et il en va de même de la croissance démographique. Si tous les habitants de la planète consommaient à l’égal d’un Occidental moyen, il nous faudrait trois ou quatre planètes supplémentaires pour faire face aux besoins. Les « décroissants », menés en France par Serge Latouche, appellent depuis des années à revoir notre mode de vie et à envisager une « décroissance soutenable ». George W. Bush disait en 2002 que « la croissance est la solution, non le problème ». Et si c’était le contraire ?

 

 

 

 

 

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21/08/2015

LES MEMBRES FONDATEURS DE l'ASP...

 

 

 

 

 

 

Oscar 

 

Membre du conseil d'administration

 

Il fût un temps, ceux de nos débuts à la Cité du Refuge de l'Armée du Salut, au bon vieux temps de notre jeunesse, époque inoubliable, où être un travailleur social professionnel était une vocation et une véritable aventure humaine. Depuis, la machine administrative a éteint cette flamme en fonctionnarisant le secteur.

 

 

 

 

 

 

C’est par l'intermédiaire du blog, qu'après des décennies, nous nous sommes retrouvés. Ce qu'il y a de paradoxal dans ces retrouvailles, c’est que ce fut par l'intermédiaire d'un de nos ancien collègue, aux idées d'extrême gauche, qui, voulant dénoncer mon parcours, a permis notre rencontre. Il ignorait en effet que Oscar partageait mes valeurs, le même amour pour la France. Depuis, Oscar est de toutes nos actions, mais surtout là où il s'avère le plus utile : pour trouver de solutions à tous ceux qui font appel à nos services, afin de régler des problèmes d'hébergement ou d'orientation. Le fait qu'il soit un professionnel en activité est pour nous une aide précieuse. 

 

 

 

Pasteur  Blanchard   

 

19/08/2015

Pré-maraude du 18 / 08 / 2015..........

18/08/2015

Le Haut Conseil à l’égalité veut conditionner les subventions à la lutte contre les stéréotypes:

 

 

 

 

 

Le Haut conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes vient de proposer dans un rapport remis aux ministres des Affaires Sociales Marisol et du Droit des femmes Pascale Boistard de conditionner les financements publics à la lutte contre les stéréotypes de sexe.

 

 

 

Une méthode qu’il souhaiterait voir appliquée dans trois domaines décisifs et prioritaires : les médias, la communication institutionnelle de l’Etat et des collectivités territoriales et l’éducation. Elle a voulu encourager cette lutte en définissant des grilles pour aider à mesurer les stéréotypes de sexes, notamment dans les fictions télé, les émissions d’informations, de divertissement et de téléréalité.

 

 

Bref distiller la propagande de manière encore plus grossière afin que la société suive naturellement l’évolution souhaitée. Une manière de faire encore une fois totalitaire alors que les Français ont été nombreux à descendre dans la rue contre le Gender, à s’offusquer de l' »art » obsédé du nouveau protégé de la mairie de Paris, mais également à signer la pétition contre l’ignoble exposition « zizi sexuel » soit disant destinée aux enfants… Les élites continuent contre vents et marées à imposer leur révolution sexuelle basée sur les études sur le genre aux conséquences pourtant déjà dramatiques…

 

 

Et pendant ce temps-là, l’association Agir contre la prostitution des enfants s’alarme de la banalisation du sexe chez les enfants et de la multiplication d’actes s’apparentant à de la prostitution chez les collégiens… On se demande bien ce qui peut pousser des enfants à banaliser le sexe, si ce n’est des adultes obsédés par le sujet, qui le présentent de la manière la plus bestiale et violente possible…

 

09:29 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

14/08/2015

CLES EN MAIN...

 

 

 

 C'est le samedi 8 août que se sont réunies à Athis-Mons les instances de notre association : bureau et conseil d'administration élargi au docteur Coulomb .
  
Cette réunion avait une double fonction :

tout d'abord,  faire le point sur nos projets , avec notre  secrétaire général Benoit Vaillant et sa charmante épouse Karine ;

♣  celui-ci nous a défini dans les grandes lignes les nouvelles étapes du fond de dotation dont l'objectif est de venir en aide aux patriotes défavorisés.

 

 

Les premiers jalons ont été posés cette année par des coups de main à des familles, par la fourniture de matériel électro-ménager. Des personnalités importantes de notre famille politique ont été approchées. Avant de dévoiler leur identité, nous attendons de savoir quelle suite elles donneront.

C’est là une étape fondamentale pour notre croissance, au service du peuple, au service des "Nôtres".


                              
Pour le bureau

Pasteur Blanchard, Président 

11/08/2015

Entretien avec Alain de Benoist:

 

 

 

Alain de Benoit.png

 

 

Et si la « croissance » était plus le problème que la solution ?

 

         

Entretien réalisé par Nicolas Gauthier.

 

 

Après la chasse au Dahu, celle de la « croissance » qui, décidément, n’est pas « au rendez-vous »… Manuel Valls se fait fort de la faire revenir, mais c’était aussi l’objectif de Montebourg. Qu’est-ce donc qui différencie ce nouveau gouvernement du précédent ?

 

 

Le putsch du 25 août de l'année derniére, qui avait permis à Manuel Valls de faire sortir du gouvernement ses deux alliés de la veille, Arnaud Montebourg et Benoît Hamon, a eu comme effet remarquable de confirmer l’unité profonde du libéralisme économique, représenté par le nouveau ministre de l’Économie, le banquier Emmanuel Macron (promotion 2012 des « young leaders » de la French-American Foundation), et du libéralisme « sociétal » incarné par Najat Vallaud-Belkacem. On espère, sans trop y croire, que le ralliement officiel du gouvernement à la politique du Medef dessillera les yeux des derniers zozos encore assez candides pour croire que nous sommes dirigés par des « socialistes ». Quant à la droite UMP, elle ne dissimule pas sa gêne puisque, ne pouvant plus proposer une « autre politique », elle se trouve condamnée à dire qu’elle fera la même, mais en mieux. C’est-à-dire en pire.

 

Pour le reste, ils sont tous d’accord : la solution, c’est la croissance ! Politique de l’offre ou politique de la demande, invocation des mânes de Keynes ou de Milton Friedman, aide aux ménages ou politique d’austérité propre à transformer les Français en Grecs comme les autres, tous les moyens sont bons pour « aller la chercher », la « débusquer », la « retrouver », etc. Nicolas Sarkozy se faisait même fort de la « décrocher avec les dents ». Emmanuel Macron a lui-même appartenu à la Commission Attali pour la « libération de la croissance ». Les hommes politiques sont des « true believers » : la croissance, c’est leur croyance rédemptrice, leur planche de salut, la condition de la « reprise » et de la baisse du chômage, la sortie du tunnel, la fin de la récession. On connaît la chanson.

 

Et si c’était fini ? Et si la croissance telle qu’on l’a connue à l’époque des Trente Glorieuses était tout simplement terminée ? Cette question iconoclaste, certains, comme les économistes Robert Gordon et Paul Krugman, commencent à la poser. Le déclin de la productivité, la raréfaction des ressources énergétiques, la baisse tendancielle des taux de profit, nourrissent la thèse d’un essoufflement de la dynamique expansive du capitalisme, la financiarisation croissante du capital constituant une sorte de réponse fonctionnelle à la stagnation des économies occidentales. Sous l’influence de l’idéologie du progrès et de l’obsession productiviste, l’imaginaire contemporain s’est habitué à l’idée que la croissance est un phénomène normal, naturel en quelque sorte, ce qui n’a jamais été le cas pendant des siècles, et même des millénaires. Or, on constate aujourd’hui qu’entre 1990 et 2011, 54 % des pays ont déjà connu une croissance négative. Ce n’est pas terminé.

 

 

 

 

 

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07/08/2015

REFLEXION DU PASTEUR...

 

 

 

 

 

Sur le social

 

 

L'impératif catégorique sur le social a été exposé de manière la plus convaincante par Proudhon, toutes les fois qu'il traite de la capacité du peuple à peser sur l'économie. Son œuvre est ponctuée de nombreux plaidoyers en faveur de la capacité des gens à agir. Cette capacité repose sur la mise en porte-à-faux de la société et de l'Etat, lequel doit son existence à l'hypothèse erronée de l'impersonnalité et de l'inertie physique, intellectuelle et morale du peuple de France dans la question sociale. Selon Proudhon, rien ne peut être résolu définitivement sans la prise en main des rênes de l'administration politique. Pour en revenir à la vie réelle des hommes vivants et agissants, il nous faut, nous dit le jeune Marx, cesser la spéculation et s'engager dans une action qui agisse sur l'activité pratique des hommes.

 


 
Mon hypothèse est que" la praxis" constitue la première norme à respecter en ce qui concerne l'approche sociale. Il y a la possibilité pour les hommes de diriger l'économie au lieu de la subir comme c’est le cas maintenant. La praxis sociale solidaire est là pour transformer le réel, et éliminer le plus possible ce qui est contraire à un gouvernement populaire.

 


 
Evidemment, le risque d'échec encouru est grand, il faut agir ici et maintenant, sur le terrain de l'économie, car si le monde suivait la même volonté, il s'en porterait mieux. Cela passe par la mise sur pied de structures de micro crédits, de commerce équitable national, d'échanges non monétaires ou d'accompagnements et création d'entreprises alternatives et solidaires pour notre pays et pour les nôtres, qui font réseau sur tout notre territoire.

 


 
Cela ne se fabrique pas " in vitro" mais "in vivo". Les "œuvres" des patriotes alternatifs et solidaires ne peuvent donc pas se caler dans des dispositifs standardisés. On a sublimé les outils d'accompagnements mais minoré l'initiatives du citoyen. Pratiquer une approche sociale patriotique et alternative, c’est d'une certaine manière revenir en le modernisant, aux communautés de valeur de l'ancienne France. Cela se définit comme un mouvement critique de notre société, porteur d'une culture alternative pour un véritable changement social.

 


 
C’est comme cela que se nouera des relations d'entraide où chacun est le pair de l'autre. C'est le contraire de la relation d'assistanat, et cela par la mise en place de réseaux d'encadrement dans la convivialité.


     

 

Pasteur Blanchard

 

                                                       

 

 

 

09:28 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0)

04/08/2015

DJIHADISTE CALIBRE 14, VERSION BRIGADISTE CLASSE 36’.

 

 

 

 

 

Il est recruté en France, au Danemark, en Belgique ou en Grande-Bretagne entre-autres. Nos chefs d’Etat et leurs ministres des Affaires étrangères, de la Défense et de l’Intérieur devraient tous faire amende honorable et effectuer leur autocritique lors d’un Journal Télévisé.

 

 

Parce que depuis plus de 20 ans, l’Union Européenne, à la remorque des USA et de leur bras armé, l’OTAN, ne cesse d’empiler les fiascos : d’abord en Irak en 1991, puis en Afghanistan, à nouveau en Irak et en Lybie, en ayant gaspillé des milliards d’euros en pure perte (milliards ayant pu être investis dans l’achat de matériel hospitalier par exemple).

 

Qui peut prétendre aujourd’hui que la pendaison de Saddam Hussein (après un simulacre de procès), la destitution des Zine el-Abidine Ben Ali et Hosni Moubarak, l’ignoble assassinat de Muammar al- Kadhafi, aient apporté un bien-être aux populations locales, une relation harmonieuse entre les communautés ou l’instauration d’un début de commencement de « démocratie » telle que rêvée par les valets de l’euro-mondialisme ?

 

 

Plus grave ! Après les fameuses « Révolutions de Jasmin », plusieurs ministres et haut responsables européens ont publiquement appelé à l’élimination physique du président syrien, Bachar al-Assad. L’Europe, les USA et les Rois du pétrole ont recruté, entraîné, armé et payé des volontaires musulmans étrangers, pour abattre le dirigeant alaouite. Des milliers de « conseillers » militaires sont sur le terrain depuis plusieurs années, malgré les dénégations des Etats concernés.

 

 

C’est donc avec convictions et la foi en Allah que des milliers d’européens se sont engagés dans les brigades islamistes, à l’exemple des socialo-marxistes qui avaient rejoint les Brigades Internationales en Espagne. Les partis politiques et les syndicats encourageaient ces volontaires dans la certitude d’accomplir leur devoir d’aller combattre Franco de 1936 à 1939. Héros ici, terroristes là-bas ?

 

 

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Et pourquoi se plaindre maintenant ? Parce que les « gentils petits islamistes modérés » -version ASL- sont devenus d’affreux barbares sanguinaires ? Parce que quelques têtes blondes tombent de temps à autre ? Il est tout de même curieux de constater que les otages et les décapités sont toujours des blancs et que cela ne concerne pas des asiatiques, des noirs ou des amérindiens…

 


La secte politico-médiatique abuse de la désinformation, du devoir d’oubli, de l’émotivité et de la sensiblerie pour faire pleurer Margot.

 


En Indochine, les Japonais ont aussi décapité des centaines d’Européens et armé les « terroristes » d’Oncle Hô, au nom de « l’Asie aux Asiatiques ». En Algérie, dès 1945 et surtout avec le massacre de Melouza le 28 mai 1957 (301 hommes tués et 150 blessés), les fellaghas, qu’ils appartiennent au MNA, au FLN ou à l’ALN, ont eux aussi décapités, émasculés, démembrés et massacrés des femmes, des enfants et des vieillards, par dizaines de milliers, pour parvenir à leurs fins et bien après 1962.

 

 


Comme l’avait d’ailleurs officiellement déclaré Hocine Aït Ahmed, l’un des chefs historiques de la guerre d’Algérie, le 29 novembre 2000 lors du Congrès du PS français à Grenoble : « durant ce débat sur la torture, sur les exécutions sommaires, sur les disparitions, ….on découvrira aussi qu’il y a eu des tortures du côté du FLN….il y a eu des dépassements de l’armée de libération. »

 


L’Histoire récente est jalonnée de massacres et de barbaries, mais curieusement, dans l’arc musulman (de la Mauritanie aux Philippines) on ne parle que rarement des chrétiens martyrisés depuis plus de 40 ans ! Silence, on tue …Et peu d’analystes évoquent la guerre de religion entre les sunnites et les chiites, permanente depuis quatorze siècles.

 

Maintenant, il est légitime de s’inquiéter en conséquence de ce qui pourrait se produire à l’avenir dans nos banlieues. Ces 751 Zones Urbaines Sensibles et ces 64 Zones de Sécurité Prioritaires, en France, où des dizaines de milliards d’euros ont été déversés depuis 20 ans, au nom de la « Politique de la Ville »

 

ou du « Vivre Ensemble » par des ministres imbéciles qui, de Bernard Tapie à Najat Vallaud-Belkacem, pensaient acheter la paix sociale dans les quartiers…Mais qu’en sera-t-il, lorsque quelques « têtes brûlées » décideront d’imiter Merah ou Nemmouche, pour la plus grande gloire d’Allah ?

 

 

Quand on n’est pas capable chez nous, de maintenir l’ordre dans les quartiers, on ne va pas là-bas, bombarder les barbus, chez eux !

 

 

Et pour ceux (ou celles) qui croient encore aux étrennes apportées par Saint-Nicolas ou par le Père Noël, voici un message de paix, d’amour et de tolérance en provenance directe des islamistes :

 

 

« La meilleure chose que vous puissiez faire est de vous efforcer de tuer tout infidèle, qu’il soit Français, Américain ou d’un de leurs pays alliés », a déclaré Abou Mohamed al-Adnani, dans un message audio, diffusé le lundi 22 septembre 2014.

 


« Si vous ne pouvez pas trouver d’engin explosif, ou de munitions, alors isolez l’Américain infidèle, le Français infidèle ou n’importe lequel de ses alliés. Ecrasez-lui la tête à coup de pierre, tuez-le avec un couteau, renversez-le avec votre voiture, jetez-le dans le vide, étouffez-le ou empoisonnez-le » poursuit-il.

 

 

C’est pourquoi et dès aujourd’hui, vous regarderez 3 fois avant de traverser la rue !

 

 

Pieter KERSTENS.

 

09:50 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)