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30/05/2017

La fraude aux allocs explose. À qui la faute ?

 

 

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La fraude entretient un climat malsain et répand un sentiment d’injustice qui deviendra explosif.Dans son rapport annuel publié jeudi dernier, la Caisse nationale d’allocations familiales (CNAF) nous informe que, pour 2015, ce sont près de 40.000 fraudes (+22 % par rapport à 2014) qui ont été détectées, pour un total de près de 250 millions d’euros (+18 % par rapport à 2014), soit une moyenne de 6.250 euros par fraude. Près de 75 % des fraudes sont dues à des omissions ou de fausses déclarations, notamment sur les ressources réelles perçues. C’est le RSA qui constitue le « poids lourd » de la fraude aux allocations, soit 68,5 % des fraudes avérées.

 

 

Depuis quelques années, les contrôles sont mieux ciblés, notamment grâce au « data mining », qui permet d’extraire automatiquement des informations grâce à des méthodes statistiques et mathématiques, révélant donc des incohérences. De plus, les contrôles au domicile se sont vus renforcés et continueront de l’être.

 

 

On pourrait me rétorquer, et à raison, que comparée aux 2,6 milliards d’euros récupérés en 2015 via des évadés fiscaux « repentis », la fraude aux prestations sociales est insignifiante. Cependant, et au-delà des chiffres, le problème n’est pas de savoir qui, entre celui qui trompe la CAF et celui qui cache son argent à l’étranger, est le pire des salauds. Ce n’est pas parce qu’il existe pire que soit que l’on gagne forcément en vertu. Au final, le fraudeur de prestations sociales et le fraudeur fiscal sont jumeaux en idées, seuls leurs moyens pour abuser de la communauté nationale pour faire du profit divergent. En somme, leur philosophie est la même que Hollande, « ça ne coûte rien, c’est l’État qui paye ».

 

 

Pour La Dépêche du Midi, la fraude aux allocations ne serait qu’une « fraude de survie ». Soit un joli qualificatif en forme d’excuse trouvé afin de ne pas vexer les fraudeurs en question, mais également pour ne pas affoler les contributeurs, puisque au lieu d’assister des vies, ils les sauvent ! Une « fraude de survie » ne servirait donc pas à s’enrichir mais juste à améliorer les fins de mois. Donc, si l’on vole son voisin sans chercher à s’enrichir, s’agit-il d’un « vol de survie » ?

 

 

La fraude est comme un mensonge ayant une valeur monétaire : il entretient un climat malsain et répand un sentiment d’injustice qui deviendra explosif. Quant au système de protection sociale lui-même, force est de constater qu’avec plus de 70 milliards d’euros dépensés en prestations diverses à 11,8 millions d’allocataires, la fraude ne concernerait donc que 0,33 % de la population des bénéficiaires. Cependant, cette colossale somme d’argent, correspondant à huit fois le budget de la justice, démontre un constat encore plus alarmant que la fraude.

 

 

Notre système de protection sociale devait, à son origine, juste « aider les plus nécessiteux à court terme ». Aujourd’hui, il est devenu pour beaucoup un « complément de revenu », créant donc une dépendance dangereuse vis-à-vis de l’État. Ce dernier, pour pérenniser le système, n’a d’autre choix que d’emprunter. Comme le disait Reagan : « L’État ne règle pas les problèmes, il les subventionne. »

 

 

 

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26/05/2017

Ancienne maraude 10 décembre 2010:

 

 

 

 

La Maraude vue par Edouard FERRAND

 

 

 

 

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      UN MOMENT INOUBLIABLE ! 

 

 

Francis, Isabelle, Yves, François, Raymond… Des héros anonymes en bas de chez nous ! Le blessé, le pauvre, la victime, le malade, sont au cœur de nos villes ; la société les nomme sans domicile fixe. Accidentés ou simplement mal partis, poussés par le malheur sur le bord du chemin, ils sont réellement là ; ce sont des enfants du Bon dieu. Avec des amis du Front national, j’ai passé une soirée de grande fraternité avec ces gens plein d’honneur, de dignité et de gentillesse dans le cadre de la maraude de l’Action Sociale Populaire. Tous les 10 jours, le Pasteur Blanchard, son épouse Catherine et une équipe de maraude bénévole partent dans les premiers arrondissements de Paris, à la rencontre de ces hommes et femmes qui dorment dehors.

 

 

Mais plus qu’une distribution de soupe, de café chaud ou de linge, le Pasteur Blanchard est à l’écoute de ces Français ou étrangers qu’il embrasse et réconforte chaudement par des paroles magnifiques. Affublé de son col romain notre homme de Foi procède à la reconnaissance de l'autre au-delà de sa situation de vulnérabilité. Bravo à toi Pasteur ; tu fais honneur à ta foi et à ces gens. Merci aussi à Marie-Christine Arnautu cheville ouvrière des opérations et à Jany Le Pen qui me succèdera pour la maraude de Noël en apportant des cadeaux à ces hommes et femmes merveilleux. Merci Pasteur pour ce grand moment de bonheur ; sois remercié au nom du Front national.

 

 

 

Edouard Ferrand

Membre du Bureau politique

Président du Groupe FN Bourgogne

 

19/05/2017

501 SDF morts dans la rue en 2016:

 

 

 

 

 Mais on achète des hôtels pour les migrants…

 

 

 

 

 

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Le nouveau mobilier urbain de Madame Hidalgo a été conçu pour éviter que les SDF ne viennent y trouver refuge…

 

 

 

 

 

 
Journaliste
 
 
 
 
 

Ancien directeur des rédactions de l’Agence Gamma

 
 
 
 
 

Ce quinquennat misérable s’achève sur un bilan peu glorieux qui n’est pas celui, pourtant désastreux, du chômage. Celui des 501 SDF, ces laissés-pour-compte de notre société, qui sont morts dans la rue, comme 501 bougies qui se seraient éteintes dans l’indifférence de la nation. 501 cadavres relevés dans nos rues pendant les 365 jours de 2016. Pour cette année 2017, déjà, ce sont 84 corps qui ont été retrouvés sur le macadam, dont Christina, âgée de 45 jours, et Christian, un pauvre hère abandonné de 72 ans.

 

 

 

 

Un terrible bilan, en effet, peu glorieux mais hélas endémique, pour ceux qui ont la charge de la survie de leurs concitoyens. Et lorsque les statistiques vous annoncent froidement que la moyenne d’âge de ces victimes de l’indifférence est de 49 ans, on ne peut que s’offusquer du peu de réalisme de notre devise républicaine : liberté (oui, celle de crever dans la rue), égalité (non), quant à la fraternité, qu’en dire ?

 

 

 

 

Chacun d’entre nous est responsable, bien sûr, quand nous tournons la tête devant ce pauvre homme qui nous tend une main crevassée.

 
 
 
 
 
Chacun d’entre nous devrait remettre une piécette à cette main qui appelle au secours afin de pouvoir dormir ce soir, dans un foyer ou un petit hôtel. Mais que penser de cet État dit républicain qui abandonne ainsi les plus faibles ? Que penser, par exemple, de Mme Hidalgo, que les bobos parisiens ont placée pour six ans à la tête du destin de la capitale, lorsque l’on apprend que le nouveau mobilier urbain a été conçu pour éviter que les SDF ne viennent y trouver refuge ? Que penser lorsqu’une dépêche très peu diffusée par nos médias nous informe que la République vient de racheter à Accor 62 hôtels Formule 1 pour y     loger, non pas des Français, mais une dizaine de milliers de migrants ?
 
 

 

 

 

En effet, la SNI, filiale de la Caisse des dépôts qui vient de remporter l’appel d’offres du gouvernement afin de créer des logements d’urgence, a donc acquis, dans un premier temps (ce qui veut dire que les achats d’hôtels vont se poursuivre), 62 hôtels économiques dont les chambres vont être réhabilitées et leur gestion confiée à Adoma.

 

 
 
 

Allez-vous continuer à dormir tranquilles lorsque cette injustice est institutionnalisée ? Allez-vous continuer à voter pour des hommes et des femmes aussi peu soucieux du sort de leurs concitoyens et qui leur préfèrent une population allogène venue d’ailleurs et en toute illégalité ? Car, nous le savons bien, en dehors de quelques milliers de migrants venus chercher la paix chez nous, et que nous devons accueillir, l’immense majorité sont des clandestins économiques qui viennent tenter d’occuper nos villes et nos campagnes, et souvent dans un but de nous inculquer, insidieusement, leur religion.

 

 

 

 

Le quotidien La Croix a eu le courage de publier le nom de ces 501 morts anonymes pour qui le collectif Les Morts de la rue avait organisé, le 23 mars dernier, un hommage solennel sur la place du Palais-Royal à Paris. Face au Louvre, posées sur de petits tapis verts figurant le gazon d’un cimetière, 501 feuilles portant le nom des 501 victimes de notre société avaient été disposées au pied d’un petit pot de primevères. Chaque feuille, bordée d’un liseré noir, mentionnait le nom du défunt, son âge, la date et l’endroit où son corps avait été trouvé.

 

 

 

 

46 de ces personnes étaient des femmes, 11 des mineurs. 5 étaient réputées mortes de froid, les autres avaient succombé à une maladie, un accident, une agression ou à leur suicide. De fait, ils étaient surtout morts de notre insensibilité. De la lâcheté endémique de notre société et de ses gouvernants.

 
 
 
 
 
 
 
 
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

08:43 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

16/05/2017

L’Europe ne fait plus rêver. Partout, la peur a remplacé l’espoir:

 

 

 

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Elle n’ouvre pas un avenir, elle rend le présent angoissant.

 

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Homme politique

Ancien député UMP, Président du Rassemblement pour la France, Président de La Droite Libre

 
 
 

Partout en Europe, la peur a remplacé l’espoir. L’Europe ne fait plus rêver. Elle n’ouvre pas un avenir, elle rend le présent angoissant.

 

 

La peur – qui est loin d’être un fantasme – de voir les Européens submergés par une immigration excessive venue de cultures par trop différentes et rétives à l’assimilation, la peur de n’être plus chez soi, de perdre une identité qu’on a reçue et qu’on désire transmettre, voilà qui a joué le rôle principal dans le vote des Anglais en faveur du Brexit. S’y est ajoutée la crainte de voir les étrangers occuper les emplois et, ce faisant, peser sur les salaires et le chômage.

 

Maintenant que le peuple s’est prononcé, d’autres inquiétudes se font jour sur les conséquences de ce choix. Les Irlandais du Nord redoutent de voir réapparaître la frontière avec leurs voisins du sud et de ne plus pouvoir circuler aussi facilement sur le continent. Beaucoup cherchent à obtenir la citoyenneté de la République d’Irlande. Les Écossais demandent un nouveau référendum sur l’indépendance, de peur de se trouver pris dans les difficultés économiques britanniques issues du retrait de l’Union européenne.

 

 

Les Espagnols ont élu leurs députés hier. Durant ces élections, deux peurs se sont affrontées. La première avait expliqué le recul du Parti populaire et la montée de l’extrême gauche de Podemos en décembre 2015. Ce parti a utilisé et développé une véritable phobie à l’encontre du capitalisme et de la mondialisation, en mélangeant dans son réquisitoire les soucis de justice sociale et de risque environnemental. Il est, en Espagne, le parti de la peur.

 

Mais c’est le Parti populaire qui a remporté les élections du 26 juin, plus fortement que prévu, sans toutefois atteindre la majorité. On pourrait penser que les résultats relativement bons sur le plan économique et la baisse du chômage expliquent ce succès modéré de Mariano Rajoy. Il n’en est rien. Le gain de 700.000 voix et la perte de plus d’un million d’électeurs par Podemos proviennent de la panique qui a saisi nombre d’Espagnols après le Brexit. Immédiatement, les taux d’intérêt ont bondi dans ce pays où la dette vient de franchir les 100 % du PIB, la Bourse a chuté de 12 % à Madrid. Les Espagnols ont, pour beaucoup, préféré ce qu’ils tenaient plutôt que le risque et l’incertitude d’un bouleversement politique qui pouvait aussi conduire au démembrement du pays avec le souhait d’indépendance des Catalans.

 

 

L’Europe est soumise au balancier des peurs. La chancelière allemande, madame Merkel, a joué dans ce choc des peurs le rôle essentiel. L’Allemagne a été portée par l’espoir de la réunification qu’elle a réussie. Elle est, grâce à son mark bon marché, qu’on appelle l’euro, la première puissance européenne. Elle ignore la peur beaucoup plus que les autres. La seule frayeur qui l’habite est celle de son terrible passé. Elle a donc, sans vergogne, appelé les autres États à plus de sérieux. Beaucoup ont du mal à répondre à son attente : ni la Grèce, ni l’Espagne, ni même la France n’ont pu atteindre les objectifs imposés. Elle a aussi appelé les migrants à venir chez elle, par générosité certes, par souci de se faire pardonner aussi, mais surtout devant l’effroi que suscite son hiver démographique.

 

 

Assiégée par le terrorisme, envahie par des étrangers qui ne s’assimilent pas, dépassée par les nouveaux venus de l’économie planétaire, l’Europe n’est plus gouvernée que par les peurs antagonistes. La seule révolution qui vaille serait que des hommes politiques soient capables de lui rendre l’espoir, l’espoir d’être elle-même, d’être une puissance qui protège, certes, mais qui compte dans le monde. Il faudrait, pour cela, que quelques hommes à la tête des principales puissances du continent redonnent sa vigueur au projet du général de Gaulle d’une confédération de nations. L’Europe n’a pas besoin d’autre chose.

 

09:48 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

15/05/2017

Maraude avec Bruno Subtil et Philippe Arbonat


 

Le commentaire de Didier Fiot :

Bravo à Bruno et Philippe pour cette journée offerte aux plus démunis et oubliés !!

12/05/2017

LES MEMBRES FONDATEURS DE L'ASP...

 

 

 

 

 

Thierry AURIAT

Coordinateur Général de l'ASP

 

 

 

Les débuts de l'association furent héroïques. Nous étions seuls, complètement isolés. Toutes les portes se fermaient devant nous. Nombreux étaient ceux qui pensaient qu'après l'expérience des soupes à St Lazare, je n'avais plus d'avenir. Ce fut une dure traversée du désert. Il est arrivé même que l'on déconseille à des personnes de s'engager dans notre projet, en affirmant que je n'avais aucune chance de sortir la tête de l'eau.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

C’est à cette époque que j'ai fait la connaissance de Thierry, par l'intermédiaire du Docteur Merlin. Thierry me connaissait de nom depuis l'époque où tous deux nous demeurions à Vitry. Dès notre première rencontre il a accepté de s'engager à nos côtés. Depuis, son soutien à nos actions est total, un dicton dit que c’est dans l'adversité que l'on reconnait ses amis. Je lui voue une éternelle reconnaissance d'avoir été un des rares, à nos débuts alors que tout le monde nous fuyait, à s’être engagé sans la moindre arrière pensée. A cette époque, son chaleureux accueil fut essentiel.

 

 

 

 

 Pasteur  Blanchard  

10/05/2017

Maraude de clôture: 09/05/2017..........

 

 

09/05/2017

Elle n’avait que 7 euros dans son petit sac noir en bandoulière !

 

 

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Brutalement, un scooter tapi en embuscade s’élance derrière la vieille dame…

 

 

 

 

 
 
Ancien officier de Gendarmerie

Diplômé de criminologie et de criminalistique

                                                                                      

Le temps hésite,  lundi 24 avril après-midi, entre nuages et soleil dans la région parisienne, plus exactement à Malakoff, dans les Hauts-de-Seine. À l’angle de la rue Savier et de la rue d’Hébécourt, une octogénaire rentre chez elle. Elle a mis son sac en bandoulière en sécurité sur son épaule. À cet âge-là, les plaisirs sont simples et c’est une joie de rejoindre son appartement pour profiter de la fraîcheur et retrouver son mari qui l’attend impatiemment.

 

Brutalement, un scooter tapi en embuscade s’élance derrière la vieille dame, elle n’a pas le temps de se retourner que l’homme qui conduit l’engin essaie de lui arracher le sac en tirant sur la courroie. Mais la vieille dame résiste, elle ne veut pas lâcher son bien. Alors, l’homme la traîne par terre sur plusieurs mètres. Sonnée, presque évanouie, son sac se libère enfin de son bras et l’agresseur prend la fuite avec son butin.

 

 

Deux personnes, une automobiliste et un piéton qui viennent d’assister à la scène, se portent à son secours, la relèvent, vérifient son état de santé et la raccompagnent chez elle.

 

 

Elle est meurtrie mais saine et sauve, elle a retrouvé son foyer. Certes, son sac manque mais elle est vivante. À son compagnon, bouleversé de découvrir son épouse dans cet état, elle parle de son agression. Ses pensées sont flous mais elle se souvient qu’il y avait au moins un homme sur le scooter.

 

 

Quelques heures plus tard, la douleur qu’elle ressentait au poignet s’est accentuée, le mari contacte le médecin de famille qui, inquiet, décide de la faire hospitaliser.

 

Le personnel médical est obligé de noter un état bien plus grave qu’un simple os cassé. Ils détectent une hémorragie cérébrale due à la chute. Malgré les soins, la situation ne fait qu’empirer. Finalement, elle décède le lendemain matin. Elle n’aura survécu que quelques heures à son agression.

 

 

Le plus affreux, dans cette histoire, est que la victime est morte pour un total de sept euros, le nombre de pièces qu’elle avait dans son petit sac en bandoulière avant qu’il ne lui soit dérobé, selon la police judiciaire chargée de l’enquête.

 

 

Le parquet a immédiatement saisi le SDPJ 92 pour vol avec violence sur personne vulnérable ayant entraîné la mort sans intention de la donner. Les enquêteurs ont lancé un appel à témoins et recherchent notamment les deux passants (l’homme et la femme) qui se sont arrêtés pour porter secours à la victime.

 

 

Cette personne avait exactement 85 ans, l’âge du père Jacques Hamel égorgé dans son église de Saint-Étienne-du-Rouvray. Les médias ne se sont pas emparés de son accident funeste de la même manière. On peut le comprendre : il ne s’agissait pas de terrorisme et la mort n’est pas survenue de façon aussi horrible.

 

 

Pourtant, il ne se passe pas de mois sans que des personnes âgées ne soient attaquées dans la rue pour s’emparer de leurs quelques économies. Il ne se passe pas de mois sans qu’en prenant le métro ou en sortant d’une discothèque, une femme ne soit agressée physiquement.

 

 

Le gouvernement nous répète que nous sommes en guerre, que Daech est devenu l’ennemi absolu. Il est regrettable qu’on nous parle moins d’une guerre présente sur notre sol, une guerre insidieuse qui infecte nos quartiers. Une guerre que l’État ne veut pas reconnaître et, pourtant, qu’il est en train de perdre. Celle que nous livrent les bandes et leur violence quotidienne.

 

 

Elle était fière de son petit sac en bandoulière de couleur noire, elle se méfiait (on n’est jamais assez prudent), elle le tenait fermement contre elle. Hélas, cet humble joyau a été fatal à sa propriétaire.

 

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06/05/2017

Il s’agit d’un choix de civilisation. Nul ne pourra dire qu’il ne savait pas !

 

 

 

Tout est sur la table, rien n’est caché, le choix est d’une absolue clarté.

 

 

Le 7 mai, les Français auront à se prononcer de façon simple sur l’avenir de leur pays, en répondant à la question suivante : souhaitez-vous que la France historique perdure, ou préférez-vous qu’elle se transforme en une région multiculturelle soumise à une Europe centralisée, possédant tous les pouvoirs ? Car telle est la question fondamentale.

 

 

Emmanuel Macron ne s’en cache pas : il souhaite une ouverture complète des frontières, sans la moindre restriction, la chance qu’offre l’immigration se traduisant par la création de communautés multiples, autonomes, n’ayant aucun passé historique et n’ayant pas utilité à communiquer entre elles.

 

Son objectif est de transformer la France chrétienne en une sorte de patchwork multiconfessionnel, coupé de toutes racines nationales, et transformant la personnalité française en une collection d’individus anonymes censés s’accepter les uns les autres. De cela résulte une politique résolument européiste, s’appuyant sur une économie totalement libérale et ouverte, dans un cadre moral et culturel axé sur la seule recherche de la jouissance individuelle effrénée, le dieu Argent devenant l’alpha et l’oméga de la vie sociale. Il s’agit donc de créer un magma de « citoyens du monde » indifférenciés, une France déculturée remplaçant définitivement la France bimillénaire détestée.

 

 

À l’inverse, Marine Le Pen affiche un programme résolument axé sur le rétablissement de la souveraineté française, afin que la France historique renaisse de ses cendres. Il s’agit d’un projet de reprise en main du destin de notre pays, ayant pour objectif le meilleur épanouissement de chaque Français.

 

 

 

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Le communautarisme et l’islamisation de la France doivent donc être prioritairement combattus, par le rétablissement des frontières permettant de stopper une immigration devenue invasion. L’économie se doit d’être au service de la nation, et non l’inverse, et c’est dans ce cadre que le projet d’une réorganisation monétaire doit s’insérer. Le libéralisme libertaire, aboutissant à la destruction des repères moraux et culturels traditionnels, doit être combattu, par la remise en perspective de ce qui est naturel à la personne : c’est à ce titre que la loi Taubira doit être abrogée.

 

 

Les électeurs vont donc devoir se prononcer sur deux projets clairement antinomiques : un projet Macron, pouvant être qualifié de libéral-libertaire mondialiste, axé sur l’exaltation de l’individu anonyme itinérant, et un projet Marine, conservateur et souverainiste, axé sur l’épanouissement de la personne charnelle enracinée. Les électeurs de droite peuvent donc faire leur choix en toute connaissance de cause, et ne pourront dire, ultérieurement : je ne savais pas, je ne m’en suis pas rendu compte, je n’aurais jamais cru que, si j’avais su…. Tout est sur la table, rien n’est caché, le choix est d’une absolue clarté. Si l’Église officielle de France demande sans surprise le vote Macron, des évêques et prêtres viennent d’indiquer qu’ils voteront Marine. À chacun de voter en connaissance et en conscience, et bien évidemment d’accepter toutes les conséquences futures de son vote, que chacun peut désormais connaître sans la moindre ambiguïté.

 

 

 dans Boulevard Voltaire

 

 

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03/05/2017

Maraude du 08/05/2008..........

 

 

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Louis  ALIOT