C
|
31/08/2013
NE VOUS TROMPEZ PAS DE SONNETTE.
13:58 | Lien permanent | Commentaires (0)
29/08/2013
SYRIE...
20:11 | Lien permanent | Commentaires (0)
27/08/2013
LA CRISE DANS TOUS SES ETATS (1).
Juin 2013 :"Il règne un climat pré-révolutionnaire en France et tout çà pour une histoire de mariage gay ou plutôt de la destruction de cette institution fondatrice de notre civilisation. Qu'adviendra-t-il quand notre pays connaîtra le sort de la Grèce avec la baisse drastique des salaires et des retraites couplée à une hausse vertigineuse des impôts ? Nous sommes en récession et la zone euro est à l'agonie... Ne l'oublions pas ! Le chômage explose, la pauvreté s'installe semble-t-il durablement (faute de solution de la part des collabos mondialistes qui nous "gouvernent"), le pouvoir d'achat n'est plus qu'une mauvaise blague, notre souveraineté perd des plumes au fil des mois (maintenant, c'est au tour de la Défense... Pas sûr que çà plaise à tous les militaires !), la dette du pays ne cesse de se creuser (nous en sommes à 90% du PIB tout de même) et le peuple est méprisé, ignoré, bafoué... Voir à ce sujet le terme "populiste" que pour ma part je revendique avec fierté mais qui est abordé avec tant de dédain par tous ces journaleux et autres politiques du système... Le temps est à l'orage et certains auront bien du mal à passer entre les gouttes !"
06:48 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
26/08/2013
LA CRISE DANS TOUS SES ETATS (2).
Par SAIGNEUR VENIN
06:42 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
23/08/2013
IMPRESSIONS DE PRE-MARAUDE...
Par le Pasteur BLANCHARD
Président de l'Action Sociale et Populaire
Dans une société qui change à chaque instant, depuis plus de six ans que nous suivons l’évolution de la misère dans les rues de Paris, nos impressions ne peuvent être que paradoxales. Pourtant, certains repères restent stables : parmi eux, le légendaire Francis.
Nous l'avons rencontré en 2008. A l'époque, il dormait dans le renforcement d'un bâtiment à la sortie d'un garage. Il y avait amoncelé des tas d’objets sur une hauteur de deux mètres et vivait au milieu de ce fatras. Le temps passant, il devint une destination incontournable de nos sorties. , à tel point qu’il était devenu un point nodal. A sa rencontre, chaque maraudeur recevait comme une onction de légitimité.
Un jour, plus de Francis. Cela faisait un certain temps qu'il était malade. Il sombrait à vue d'oeil de rencontres en rencontres ; ce qui l'amena à faire plusieurs séjours à l'hôpital. Avant de disparaître tout à fait dans la nature. Qu'était-il devenu ? A chacun de nos passages dans son secteur, nous ne pouvions nous empêcher de nous interroger sur ce qu’il était devenu.
Enfin, un soir, nous l'avons retrouvé installé à quelques mètres de son ancien quartier général soigné après une longue hospitalisation. Il était bien là, encore, lors de cette pré- maraude en compagnie de Stéphane et Céline. Depuis son retour, c'est chaque fois le même rituel. Dès qu’il me m'aperçoit, il s’écrit "tiens, voilà le Pasteur !", ajoutant, tout de go, en parlant de Catherine "et la photographe !" Dans un monde instable, il reste égal à lui-même tel que l’éternité le change.
09:41 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (0)
21/08/2013
PRE-MARAUDE DU 20/08/2013.
Cliquer ICI
10:38 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (0)
20/08/2013
Combien sommes-nous? Par Alain de Montere
09:50 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
16/08/2013
Aux sources du protestantisme intégral.
http://identitelutherienne.hautetfort.com/
Dans le débat sociétal qui traverse notre civilisation, la voix du protestantisme est peu connue, notamment le luthéranisme, qui ce trouve à l’origine de l’Allemagne du nord, et d’une grande partie du monde germanique, dans sa composante originelle il est certainement l’élément le plus représentatif d’un conservatisme intégral au sein de la Réforme.
Ces pour faire découvrir cette dimension, que nous avons avec mon ami le Pasteur Volff créé : Identité Luthérienne, notre blog traite des aspects historique, et sociologique de ce mouvement , sans s’interdire d’aborder la théologie. Il s’adresse à tous ceux qui spirituellement ou pas s’intéressent à cette culture, composante essentielle de notre continent, et une des clefs de notre avenir.
Pasteur Blanchard….Président d’Identité Luthérienne
11:13 Publié dans Religion | Lien permanent | Commentaires (0)
13/08/2013
Respect de la loi contre liberté de conscience
Dans Le Figaro, Thibaud Collin signe une tribune sur l'objection de conscience des maires :
"Le refus par certains maires de célébrer des mariages entre personnes de même sexe révèle deux logiques qui se font face. Celle du pouvoir qui rappelle qu'une loi doit être appliquée quelques soient les états d'âme des citoyens et a fortiori des maires. En effet, si l'application de la loi était mesurée par la conscience individuelle, le sens même de la loi serait détruit. Celle-ci ayant pour objet la vie commune ne peut accepter sous peine d'anarchie que des individus s'y soustraient. Face à cette logique légaliste, se dresse celle de la conscience morale, sanctuaire irréductible à tout rapport de force, lieu où l'humanité éprouve sa dignité et le courage de dénoncer des lois injustes. En effet, si toute loi devait être appliquée sans discernement, cela signifierait que la loi est mesure du juste et qu'il devient impossible de contester une quelconque loi votée. Coupée de la conscience, la démocratie deviendrait alors le règne de l'arbitraire et du fait accompli majoritaire.
Dès lors, ne sommes-nous pas devant un problème pratique insoluble ? Une société ne peut se passer de lois et toute loi exige une obéissance soutenue par la possible coercition. Mais la même société ne peut se passer de la voix de la conscience humaine, ressource d'un perpétuel questionnement sur la justice des lois. L'inquiétude morale ne peut sans dommage être exclue du champ de la vie politique.
En épousant le diagnostic et la solution élaborés par la philosophie politique moderne depuis le XVIIème siècle, la République laïque n'a-t-elle pas mis au cœur de son identité le respect de la conscience ? Revenons sur les présupposés de la situation actuelle pour en estimer la gravité.
Le régime démocratique libéral est élaboré pour répondre au conflit des croyances religieuses cherchant chacune à imposer son hégémonie dans le champ politique. Pour éteindre ce foyer de guerre civile, il convient de neutraliser la dimension politique des croyances en les circonscrivant à la vie privée. La paix repose ainsi sur la division du monde humain en deux sphères régies par deux principes différents mais pensés comme complémentaires : la sphère de la vie publique régie par les lois, communes, contraignantes et neutres en matière religieuse et intellectuelle; la sphère de la vie privée régie par la conscience personnelle libre. Cette solution semble pertinente mais elle a un coût, longtemps passé inaperçu, qui rejaillit dans le débat actuel.
Ce coût est la perte de l'unité de la personne, du lien intrinsèque entre ce qu'elle pense et ce qu'elle fait. Spinoza l'assume explicitement dans son Traité théologico-politique.« Nous voyons suivant quelle règle chacun, sans danger pour la paix de l’État, peut dire et enseigner ce qu'il pense ; c'est à la condition qu'il laisse le souverain le soin de décréter sur toutes actions, et s'abstienne d'en accomplir aucune contre ce décret, même s'il lui faut souvent agir en opposition avec ce qu'il juge et professe qui est bon. » Il s'agit donc d'une sorte de troc : ma liberté de penser sera d'autant plus garantie que j'abandonnerais la détermination de mes actes à la loi. Mais une telle position s'oppose de plein fouet à l'honneur d'un homme libre en tant qu'il lui conseille tout simplement l'hypocrisie. Elle contient aussi un secret mépris pour l'agir humain identifié à un strict conformisme de façade et non plus à l'expression de la personne dans son orientation fondamentale. Bref, cette dualité fondatrice ne fonde-t-elle pas une logique de dépersonnalisation des rapports humains et de la politique ?
Le maire ou le fonctionnaire ne serait que le maillon impersonnel d'une loi et sa liberté ne pourrait se manifester que dans son for interne. Qui ne voit qu'on a là le ressort d'une politique court-circuitant toute responsabilité au profit d'un pouvoir anonyme déroulant ses procédures ?
Vaclav Havel, dans un texte écrit pour être lu à Toulouse en 1984 et intitulé La politique et la conscience, exhorte les démocraties de l'Ouest à considérer les régimes de l'Est comme l'avant-garde d'un danger majeur, « la domination totale d'un pouvoir hypertrophié, impersonnel, anonymement bureaucratique, qui opère en dehors de toute conscience ». « Le politicien moderne est transparent. Derrière son masque circonspect et son langage artificiel, nous ne trouvons pas un homme enraciné dans l'ordre du monde naturel par son amour, sa passion, ses goûts, ses opinions personnelles, sa haine, son courage ou sa cruauté ; tout cela est tenu pour une affaire purement privée, est relégué dans sa salles de bains. Si nous découvrons quoi ce soit derrière le masque, ce ne sera qu'un technologue plus ou moins adroit du pouvoir. »
En ignorant de manière procédurale les cas de conscience de maires ou de fonctionnaires cherchant la vérité sur ce qui est juste, la République risque de nier ce qui la rend possible : l'honneur et la responsabilité des citoyens."
10:25 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
09/08/2013
La décadence de la France, par Jean-Luc TARI
U
|
09:46 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (1)