Alain Dubrulle, Principal honoraire du Collège Gambetta à Cahors |
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09:52 Publié dans Les copains | Lien permanent | Commentaires (0)
11:40 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (0)
Parmi les mission assignées à l’École figure désormais la lutte contre l’"homophobie", qu’il conviendrait d’élargir aux "transphobies" et autres "phobies" connexes, selon un rapport sollicité par la Rue de Grenelle. Morceaux choisis.
Les pouvoirs publics n’en finissent pas de désigner de nouveaux fléaux sociaux. Parmi ceux-ci figurent désormais les "LGBT-phobies". Lesquelles « doivent être abordées avec la même force et les mêmes convictions républicaines que le racisme, l’antisémitisme ou le sexisme par l’ensemble des acteurs de la communauté éducative », soutient Michel Teychenné, auteur d’un rapport commandé par le ministre de l’Éducation nationale, Vincent Peillon.
LGBT-phobieEn préambule, l’auteur propose la définition suivante de la "LGBT-phobie" : « peur, rejet ou aversion, souvent sous la forme d’attitudes stigmatisantes, de comportements discriminatoires ou de violences envers les lesbiennes, gays, bisexuels, transsexuel(le)s ». On devine qu’elle se décline sous des formes diverses. Moqueries et insultes seraient, parait-il, les plus répandues. Leur « banalisation » serait même observée « dès l’école primaire », où « l’emploi de mots comme "pédé" ou "enculé", par exemple, n’est d’ailleurs souvent pas conscientisé par le jeune ». Les instituteurs devront-ils expliquer aux élèves ce dont il retourne ? On leur souhaite bien du plaisir ! Selon le rapporteur, « une éducation sur les stéréotypes, les préjugés, les rôles ou l’identité peut être mise en place dès le plus jeune âge [...] afin de conduire à l’acceptation de la diversité humaine, y compris de la transidentité ou de la transgression du genre ». À l’école primaire, précise-t-il, « c’est au travers notamment de la diversité des familles, de l’homoparentalité, du refus des insultes et des discriminations que le sujet peut être abordé ». Soucieux d’« agir sur les représentations et les préjugés », il entend « valoriser des représentations positives des LGBT en assurant une meilleure visibilité de l’homosexualité et de la transsexualité à l’école ». Autre proposition, plus explicite : « sensibiliser à ces questions les éditeurs de manuels scolaires qui pourront notamment s’appuyer sur les travaux et les recommandations de la Halde ». Laquelle regrettait, par exemple, que nulle mention ne soit faite, dans les manuels de SVT (sciences de la vie et de la terre), des comportements homosexuels observés parfois chez les animaux.
La suite sur le blog du journal d’un eurosceptique désabusé
09:46 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
Notre association est reconnue loi 1901 par le JO du 12/11/2005. Nos moyens sont faibles mais nous maraudons depuis le 18/09/2007.
Notre prochaine campagne d'hiver débute le 8/10/2013 en présence de Jany Le Pen et Gilbert Collard.
Si les temps sont durs pour tout le monde, merci quant même, de nous aider à soulager ceux qui n'ont même plus de toit pour s'abriter.
16:14 Publié dans L'équipe de L'ASP | Lien permanent | Commentaires (1)
Par Paul-Marie Coûteaux
publié dans "Valeurs actuelles" du 27 août 2013
La dérive autoritaire de la gauche fournit à la droite l'occasion historique de se réapproprier la défense des libertés naturelles.
Dans la longue guerre idéologique qui oppose, depuis trois siècles, les Classiques aux Modernes (opposition dont la césure droite-gauche n'est qu'une traduction contingente, tant les contours en sont variables), le thème de la liberté est un enjeu constant : si les Modernes en font souvent un étendard, il leur arrive de la jeter au ruisseau, les Classiques reprenant alors la main en pointant les menaces que font peser sur les libertés concrètes les totalitarismes parés des plumes de l'égalité et de ses surenchères. En somme, le thème va et vient de part et d'autre de notre échiquier politique.
Or, il pourrait bien passer aujourd'hui de gauche à droite : celle-ci, avec la Ve République, a endossé le rétablissement de l'autorité de l'État au prix d'une certaine "statocratie", de sorte qu'elle fut vite submergée par une rhétorique de la liberté maniée sans vergogne mais non sans succès par une gauche qui, passée au moule de 1968, prospéra trente ans sur ce thème. Nouveau renversement aujourd'hui : ladite gauche, que les événements contraignent à montrer un visage plus autoritaire, inquisiteur, voire policier, perd sous nos yeux son avantage. Il ne manque plus à la droite que de savoir redonner au mot sa vieille magie.
Comment ? La recette est simple : il suffit de distinguer deux conceptions de la liberté. D'un côté, celle des classiques, de nature essentialiste, qui est la volonté d'être ce que l'on est selon son héritage et sa nature, en somme de se connaître assez soi-même pour l'être toujours plus profondément — plus "essentiellement" ; d'un autre côté, la liberté au sens des libertaires, qui est le droit de faire ce que l'on veut, ou ce qui passe par la tête, de jouir ou de se choisir "sans entraves", c'est-à-dire sans être lié à quelque essence que ce soit — jusqu'à l'extrapolation existentialiste, qui entend s'affranchir de toute loi de la nature.
Si la liberté des libertaires a triomphé, ce n'est pas seulement en raison de l'hégémonie de la gauche et de la domination intellectuelle de l'existentialisme ; c'est aussi parce que la société marchande préfère une liberté qui pousse l'individu délié de toute attache à faire ce qu'il veut, ou ce que le marché veut qu'il veuille, transformant l'homme lui-même en une sorte de matière plastique — au point de lui permettre, par exemple, de choisir son sexe, comme le veut la théorie du genre.
Cette liberté moderne, il est aisé de voir qu'elle atteint ses limites : limites des ressources naturelles, épuisées par la surconsommation ; limites de la jouissance, épuisée par la « tyrannie du plaisir », dont Jean-Claude Guillebaud a décrit les enchaînements ; limites financières, aussi, quand le droit de faire ce que l'on veut se transforme en devoir intimé à l'État d'en payer la satisfaction, laquelle pousse jusqu'à l'absurde la drogue des dépenses publiques — car, par un de ces retours fréquents dans l'histoire, la satisfaction de toutes les "libertés" engendre autant de droits qui, assortis d'allocations et subventions, rétablissent peu à peu l'État-Léviathan ; limites morales, également, que l'affaire du "mariage pour tous" a splendidement révélées : l'évidence de nature selon laquelle un enfant ne peut naître que d'un homme et d'une femme ouvrit les yeux de ceux (pas tous, hélas !) qui pensaient que tout était ou devait être possible ; limites de la tolérance libertaire, enfin, l'insultante répression des adversaires du mariage génétiquement modifié montrant le vrai visage des libertaires. Qui ne voit que cette liberté-là étouffe la liberté d'expression, la liberté de conscience, la liberté d'être ce que l'on est, jusqu'à celle de parler sa langue, qui est une si grande part de notre être, au point que finalement elle se nie ?
La droite française veut-elle retrouver quelque fondement ? Qu'elle sache opposer, aux impasses de la liberté libertaire, les libertés naturelles, ou essentielles, autorisant les hommes à se vouloir hommes, les pères à être pères, les mères à être mères, les Français à être français, la France à être la France — à dépasser en somme la dictature de la dénaturation universelle pour que chaque chose, chaque être puisse être pleinement ce qu'il est.
11:11 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
Alain Dubrulle, Principal honoraire du Collège Gambetta à Cahors |
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10:31 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
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10:18 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
ILs distribuent la plaquette de présentation de l'Action Sociale et Populaire qu'ils se sont procurées pour la modique somme de 0.10 euros pièce port compris en envoyant un chèque à :
Action Sociale et Populaire BP 7 91201 Athis-Mons Cedex
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10:10 Publié dans Présentation de l'Action Sociale et Populaire | Lien permanent | Commentaires (0)
Ces dans les années 70, en plein cœur des combats régionalistes , que j'ai fait la connaissance de Richard, j'étais alors sympathisant de " Lutte Occitane", lui le légendaire patron de "Poble d'Oc", il dirige maintenant" la ligue du midi"......Pasteur Blanchard
Ligue du Midi
BP 1-7114
30912 – Nîmes cedex 2
Tel: 04 34 40 41 29 / 06 83 25 36 10
10:39 Publié dans Les copains | Lien permanent | Commentaires (0)