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27/09/2013

MON AMI LOUIS.

 


 
Depuis tout ce temps que nous nous connaissons,
 
nos racines de sudistes ont fini par créer des liens.
 
En effet, nous partageons la même origine :
 
celle de "Montagne Pyrénées",
 
cet amour sans borne pour notre région,
 
et pour le rugby.

Il a gardé l'accent que j'ai perdu dans les brumes du nord.
 
 
J'avais trois ans quand mon père, devenu Gendarme,
 
fut muté à Saint-Quentin.
 
Dix ans plus tard, suite à une autre mutation,
 
nous voilà de retour à Mazamet.
 
Le temps de passer mon certificat d'étude à l'école du Gravas,
 
et de m'entendre dire par mon paternel
 
que j'étais bon pour devenir ouvrier délaineur.
 
L'accent ne change rien,
 
nous nous reconnaissons entre peuplades du sud,
 
par une certaine manière de parler,
 
par des tics, des expressions qui nous sont propres,
 
que nous sommes seuls capables de décrypter.
 
Ce fut le cas entre Louis et moi,
 
ce qui, de suite, a généré de la sympathie,
 
presque une forme d'amitié,
 
cette inexpugnable fidélité à nos valeurs et notre terre.
 
C’est pour cette raison que je me réjouis de savoir 
 
qu'il a depuis toujours soutenu nos campagnes de soupes à St lazare puis de maraudes. 
 

 
 
                                              
Pasteur  Blanchard

25/09/2013

Pré-Maraude du 24 Septembre 2013

24/09/2013

Des nouvelles phobies scolaire

 

Parmi les mission assignées à l’École figure désormais la lutte contre l’"homophobie", qu’il conviendrait d’élargir aux "transphobies" et autres "phobies" connexes, selon un rapport sollicité par la Rue de Grenelle. Morceaux choisis.

 

Les pouvoirs publics n’en finissent pas de désigner de nouveaux fléaux sociaux. Parmi ceux-ci figurent désormais les "LGBT-phobies". Lesquelles « doivent être abordées avec la même force et les mêmes convictions républicaines que le racisme, l’antisémitisme ou le sexisme par l’ensemble des acteurs de la communauté éducative », soutient Michel Teychenné, auteur d’un rapport commandé par le ministre de l’Éducation nationale, Vincent Peillon.

LGBT-phobieEn préambule, l’auteur propose la définition suivante de la "LGBT-phobie" : « peur, rejet ou aversion, souvent sous la forme d’attitudes stigmatisantes, de comportements discriminatoires ou de violences envers les lesbiennes, gays, bisexuels, transsexuel(le)s ». On devine qu’elle se décline sous des formes diverses. Moqueries et insultes seraient, parait-il, les plus répandues. Leur « banalisation » serait même observée « dès l’école primaire », où « l’emploi de mots comme "pédé" ou "enculé", par exemple, n’est d’ailleurs souvent pas conscientisé par le jeune ». Les instituteurs devront-ils expliquer aux élèves ce dont il retourne ? On leur souhaite bien du plaisir ! Selon le rapporteur, « une éducation sur les stéréotypes, les préjugés, les rôles ou l’identité peut être mise en place dès le plus jeune âge [...] afin de conduire à l’acceptation de la diversité humaine, y compris de la transidentité ou de la transgression du genre ». À l’école primaire, précise-t-il, « c’est au travers notamment de la diversité des familles, de l’homoparentalité, du refus des insultes et des discriminations que le sujet peut être abordé ». Soucieux d’« agir sur les représentations et les préjugés », il entend « valoriser des représentations positives des LGBT en assurant une meilleure visibilité de l’homosexualité et de la transsexualité à l’école ». Autre proposition, plus explicite : « sensibiliser à ces questions les éditeurs de manuels scolaires qui pourront notamment s’appuyer sur les travaux et les recommandations de la Halde ». Laquelle regrettait, par exemple, que nulle mention ne soit faite, dans les manuels de SVT (sciences de la vie et de la terre), des comportements homosexuels observés parfois chez les animaux.

La suite sur le blog du journal d’un eurosceptique désabusé

09:46 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

19/09/2013

L'EQUIPE DE L'ASP (RAPPEL).

 

Notre association est reconnue loi 1901 par le JO du 12/11/2005. Nos moyens sont faibles mais nous maraudons depuis le 18/09/2007.

Notre prochaine campagne d'hiver débute le 8/10/2013 en présence de Jany Le Pen et Gilbert Collard.

Si les temps sont durs pour tout le monde, merci quant même, de nous aider à soulager ceux qui n'ont même plus de toit pour s'abriter.

 

 

17/09/2013

Les deux libertés

 

Par Paul-Marie Coûteaux
publié dans "Valeurs actuelles" du 27 août 2013

 

 

La dérive autoritaire de la gauche fournit à la droite l'occasion historique de se réapproprier la défense des libertés naturelles.

Dans la longue guerre idéologique qui oppose, depuis trois siècles, les Classiques aux Modernes (opposition dont la césure droite-gauche n'est qu'une traduction contingente, tant les contours en sont variables), le thème de la liberté est un enjeu constant : si les Modernes en font souvent un étendard, il leur arrive de la jeter au ruisseau, les Classiques reprenant alors la main en pointant les menaces que font peser sur les libertés concrètes les totalitarismes parés des plumes de l'égalité et de ses surenchères. En somme, le thème va et vient de part et d'autre de notre échiquier politique.

Or, il pourrait bien passer aujourd'hui de gauche à droite : celle-ci, avec la Ve République, a endossé le rétablissement de l'autorité de l'État au prix d'une certaine "statocratie", de sorte qu'elle fut vite submergée par une rhétorique de la liberté maniée sans vergogne mais non sans succès par une gauche qui, passée au moule de 1968, prospéra trente ans sur ce thème. Nouveau renversement aujourd'hui : ladite gauche, que les événements contraignent à montrer un visage plus autoritaire, inquisiteur, voire policier, perd sous nos yeux son avantage. Il ne manque plus à la droite que de savoir redonner au mot sa vieille magie.

Comment ? La recette est simple : il suffit de distinguer deux conceptions de la liberté. D'un côté, celle des classiques, de nature essentialiste, qui est la volonté d'être ce que l'on est selon son héritage et sa nature, en somme de se connaître assez soi-même pour l'être toujours plus profondément — plus "essentiellement" ; d'un autre côté, la liberté au sens des libertaires, qui est le droit de faire ce que l'on veut, ou ce qui passe par la tête, de jouir ou de se choisir "sans entraves", c'est-à-dire sans être lié à quelque essence que ce soit — jusqu'à l'extrapolation existentialiste, qui entend s'affranchir de toute loi de la nature.

Si la liberté des libertaires a triomphé, ce n'est pas seulement en raison de l'hégémonie de la gauche et de la domination intellectuelle de l'existentialisme ; c'est aussi parce que la société marchande préfère une liberté qui pousse l'individu délié de toute attache à faire ce qu'il veut, ou ce que le marché veut qu'il veuille, transformant l'homme lui-même en une sorte de matière plastique — au point de lui permettre, par exemple, de choisir son sexe, comme le veut la théorie du genre.

Cette liberté moderne, il est aisé de voir qu'elle atteint ses limites : limites des ressources naturelles, épuisées par la surconsommation ; limites de la jouissance, épuisée par la « tyrannie du plaisir », dont Jean-Claude Guillebaud a décrit les enchaînements ; limites financières, aussi, quand le droit de faire ce que l'on veut se transforme en devoir intimé à l'État d'en payer la satisfaction, laquelle pousse jusqu'à l'absurde la drogue des dépenses publiques — car, par un de ces retours fréquents dans l'histoire, la satisfaction de toutes les "libertés" engendre autant de droits qui, assortis d'allocations et subventions, rétablissent peu à peu l'État-Léviathan ; limites morales, également, que l'affaire du "mariage pour tous" a splendidement révélées : l'évidence de nature selon laquelle un enfant ne peut naître que d'un homme et d'une femme ouvrit les yeux de ceux (pas tous, hélas !) qui pensaient que tout était ou devait être possible ; limites de la tolérance libertaire, enfin, l'insultante répression des adversaires du mariage génétiquement modifié montrant le vrai visage des libertaires. Qui ne voit que cette liberté-là étouffe la liberté d'expression, la liberté de conscience, la liberté d'être ce que l'on est, jusqu'à celle de parler sa langue, qui est une si grande part de notre être, au point que finalement elle se nie ?

La droite française veut-elle retrouver quelque fondement ? Qu'elle sache opposer, aux impasses de la liberté libertaire, les libertés naturelles, ou essentielles, autorisant les hommes à se vouloir hommes, les pères à être pères, les mères à être mères, les Français à être français, la France à être la France — à dépasser en somme la dictature de la dénaturation universelle pour que chaque chose, chaque être puisse être pleinement ce qu'il est.

 

 

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13/09/2013

Mariage gay : lettre ouverte d’Alain Dubrulle à François Hollande

 

 
Alain Dubrulle, Principal honoraire du Collège Gambetta à Cahors
A
lain Dubrulle, Principal honoraire du Collège Gambetta à Cahors, opposé à la dénaturation du mariage a écrit une « Lettre ouverte » à François Hollande. Le bon sens près de chez nous. La voici dans son intégralité.
Il y a cinquante-trois ans et demi, lorsque mon épouse et moi-même nous sommes mariés, nous avons souscrit aux termes d’un contrat parfaitement clair, qui ne laissait place à aucune ambiguïté, et qui était prévu pour durer jusqu’à la fin de nos jours. Aussi, aujourd’hui – six enfants, dix-neuf petits enfants et quatre arrière-petits-enfants plus tard – sommes-nous surpris d’apprendre que, sans nous consulter, les termes du contrat ont été complètement modifiés, et ses objectifs totalement dénaturés. Nous avons donc décidé, mon épouse et moi-même, d’un commun accord, d’entamer une procédure de divorce, le mariage civil ayant perdu pour nous toute signification. Notre mariage religieux, qui conserve, lui, tout son sens pour l’éternité, suffira à assurer notre bonheur et celui de notre famille.¢
 


En tant qu’ancien membre de l’enseignement public, professeur de philosophie, puis pendant trente ans chef d’établissement, commandeur des Palmes Académiques, je suis personnellement très attaché aux principes de la laïcité – la vraie -, et je déplore que par votre projet du « mariage pour tous » un coup fatal soit porté à l’une des institutions les plus représentatives de notre code civil, laïque et républicain. Le mariage civil perdant, par cette tromperie, beaucoup de sa valeur, c’est le mariage religieux qui sera revalorisé aux yeux de nombreux citoyens. Sans doute est-ce d’ailleurs pour cette raison que vos partisans se sont opposés à la suppression de l’obligation du mariage civil avant tout mariage religieux : laisser le choix serait peut-être trop dangereux !
 
On peut comprendre, Monsieur le Président, que vos échecs personnels en ce domaine vous conduisent à attacher peu d’importance et de considération au mariage. Mais en arriver à modifier le code civil contre l’avis d’une majorité des citoyens et à imposer au pays, comme première dame de France, une concubine ou une maîtresse – on ne sait pas trop quel terme choisir – n’est pas, pour moi, le fait d’un Président normal.
 
N’espérant pas vous avoir convaincu, mais la conscience libérée d’un grand poids, le respect n’interdisant pas, mais supposant au contraire la franchise, j’ai l’honneur de vous prier, Monsieur le Président de la République, de bien vouloir agréer l’expression de mon plus profond respect.¢
La vie quercynoise
 
 
 

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10/09/2013

PS : Familles, je vous hais ! par Jean-Yves LE GALLOU

 

 

«
Familles, je vous hais», «Familles françaises, je vous hais», telle semble être la devise du gouvernement Ayrault, lequel a consacré sa première année à la dénaturation du mariage pour complaire aux exigences libérales/libertaires et satisfaire à tous les caprices du lobby homosexualiste.
Il attaque sa deuxième année en démantelant la politique familiale sous couvert de réforme des retraites.
Dans un système de retraite par répartition, ce sont les enfants des familles nombreuses qui paient les retraites des célibataires ou des couples inféconds ou moins féconds, par choix ou fatalité. Dans un esprit de solidarité, il est donc logique que les parents de familles nombreuses bénéficient d’un bonus (de 10 %, 15 % ou 20 %) sur leurs retraites. Bonus qui vient (partiellement) compenser leurs sacrifices antérieurs en termes de revenus ou de patrimoine. Dans le même esprit, les mères de famille bénéficiaient de deux annuités supplémentaires par enfants. Le gouvernement Ayrault a décidé de rayer d’un trait ces mesures d’équité.¢
 


C’est une réforme injuste précisément en ce qu’elle consiste à diminuer la retraite de ceux qui permettent aux autres d’avoir une retraite. Le message est le suivant : « Pauvres pommes, vos enfants paieront la retraite des autres, mais la vôtre sera diminuée. »
 
C’est une mesure nuisible : la France a peu d’atouts dans la compétition internationale. Grâce à sa politique familiale, sa natalité en était un par rapport à l’Espagne, à l’Allemagne, à l’Italie et à la Grande Bretagne. Et pas seulement grâce à l’immigration mais aussi grâce à la fécondité des Françaises de souche, nettement supérieure à celle des Européennes de souche des pays voisins.
 
Voilà qui était insupportable idéologiquement aux socialistes attachés à promouvoir « le grand remplacement » de la population française par haine de l’identité nationale.
 
D’autant qu’électoralement, les familles nombreuses de la classe moyenne française ne leur sont pas électoralement favorables. C’est donc elles qu’il faut faire payer, de même qu’il faut leur faire payer leur opposition à la loi Taubira.
 
Ajoutons que les sommes ainsi dégagées ne permettront pas d’équilibrer le régime des retraites mais qu’elles alimenteront le tonneau des Danaïdes des banlieues de l’immigration, gouffre financier mais… vivier électoral du Parti socialiste.
 
Les socialistes font ainsi d’une pierre deux coups : ils satisfont leurs fantasmes idéologiques et servent cyniquement leurs intérêts électoraux.
 
Ceux – syndicats et patronat notamment – qui se rendront complices de ces mesures par leur silence sont de beaux salopards.
 
Face à cela, les familles françaises doivent se mettre en état de légitime défense.¢
Boulevard Voltaire

 

10:18 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

06/09/2013

L'ASP DEVOILEE A TOUS POUR 0.10 EUROS.

 

 

  

 

ILs distribuent  la plaquette de présentation de l'Action Sociale et Populaire qu'ils se sont procurées pour la modique somme de 0.10 euros pièce port compris en envoyant un chèque à :

 

Action Sociale et Populaire

BP 7

91201 Athis-Mons Cedex

 

 

                                                       

 

 

03/09/2013

A mon ami Richard ROUDIER

Ces dans les années 70, en plein cœur des combats régionalistes , que j'ai fait la connaissance de Richard, j'étais alors sympathisant de " Lutte Occitane", lui le légendaire patron de "Poble d'Oc", il dirige maintenant" la ligue du midi"......Pasteur Blanchard

 

 

 

Ligue du Midi

 

 

 

 

 

Membre du Réseau-identités
 
 

 

 

 

 

 
 
Samedi 7 septembre de 9 h à 18 h
Région de Nîmes
 
Université d’Eté de la Ligue du Midi
 
Ouverte aux Patriotes du Grand Sud de Bordeaux à Menton
 
Se préparer au combat de demain
 
Présentation de l’Université : Johan
Connaitre notre histoire pour forger le futur : Erick Cavaglia, Antoine Carceller
Nation, Patrie, Etat : Philippe Gibelin
Vocabulaire et sémantique : Richard Roudier
Atelier propagande et préparation de la Manif du 14/09 à Paris : Martial
 
Conclusions et perspectives : Richard Roudier
 
 
 
P.A.F comprenant le repas
Jeunes et précaires : 5 €
Adultes : 10 €
Réservation obligatoire
 
 
 
Ligue du Midi

 

BP 1-7114

 

30912 – Nîmes cedex 2

 

 

 

 

 

 

 

Tel: 04 34 40 41 29 / 06 83 25 36 10