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omment?... mais comment pouvons-nous encore, en cette aube grise du vingt-et-unième siècle, supporter toujours - il est vrai de plus en plus mal -cette méprisable frange de la société qui, se dénommant « POLITIQUE », s'arroge par le système du trucage électoral le droit prétendu de nous gouverner. Quel droit?
Moi, féodaliste, dont la vénérable Maison, à l’égale de celle de Montmorency, a fait la France, je dénonce ce prétendu droit!
Moi, monarchiste légitimiste, dont la Maison a fait la Fance, je dénonce ce prétendu droit!
Moi, monarchiste Orléaniste, dont la Maison a fait la France, je dénonce ce prétendu droit!
Moi, Bonapartiste, dont la Maison a fait la France, je dénonce ce prétendu droit!
Moi, aristocrate étranger, dont la Maison a fait l'Europe, venu en France parce qu'attiré par ses lumières (pas celles des hallogènes attirant les allogènes comme des phalènes), et qui ai servi dans l'armée nationale de conscription, je dénonce ce prétendu droit!¢
Moi, l'Anar, qui ne reconnaît aucun système de gouvernement, surtout pas la démocratie qui est la forme la plus pernicieuse de prostitution politique, je dénonce ce prétendu droit!
Moi, le pauvre con qui paie, paie, paie et repaie l'impôt toujours plus inéquitable, (parce qu'un Franc chez Bergé et un Franc chez moi ce n'est pas vraiment la même chose), je dénonce ce prétendu droit!
Moi, autre pauvre con, que l'on va bientôt contraindre à boufffer halal parce les POLITIQUES trouvent quelque(s) avantage(s) personnel(s) ou sont trop lâches pour s'opposer aux envahisseurs qui lèvent leur cul pour en adorer leur innommable divinité, je dénonce ce prétendu droit!
Moi, le travailleur immigré européen d'hier (pas le rouge venu foutre le bordel, pas le profiteur des alocs et du travail au noir...) qui ai sué sang et eau pour me faire une place dans cette France qu'une Taubira appelle "Hexagone", je dénonce ce prétendu droit!
Moi le Hmong, moi le Harki, qui nous sommes battus pour la France, et que les POLITIQUES ont méprisés, nous dénonçons ce prétendu droit!
Moi...
Oh! non pas le rouge héritier d'un détraqué comme Robespierre; d'un opportuniste comme Danton; d'un illuminé pédéraste comme Saint-Just; d'un taré comme Marat; d'assassins comme Fouquier, Collot-Herbois, Billaud-Varennes... Non! Parce-que c'est justement lui et ses semblables qui sont aujourd'hui au pouvoir en France, comme hier à la Convention.
Combien de centaine de milliers, de millions parmi vous dont le QI est nettement supérieur au bigleux de l'Élysée? J'écarte comme ne pouvant entrer en lice un Ayrault, une Duflot ou une Taubira..., nullités avérées qui pointeront demain au chômage, telle une Voynet après son improbable parenthèse ministérielle - comme quoi ces gens sont sans pudeur!. Combien parmi vous, docteurs, agrégés, chercheurs et penseurs (nous oublierons bien évidemment le Lévy de service qui s'auto-proclame LE philosophe du siècle... mais lequel?), que le POLITIQUE méprise et ne caresse dans le sens du poil que lorsque nécessité oblige?
Combien parmi vous, obscurs, qui ont purement et simplement deux sous de jugeote?
Combien...?
Combien sommes-nous enfin pour dire qu'il y en a MARRE, et dénoncer ce prétendu droit de gouverner de ce gouvernement d'insufférables (1) fantoches parvenus?
Montebourg, là, y a un os: c'est une grande gueule... Et s'il lui prenait l'envie de me la casser?
Tapie? bah!...
Quel (le) sera le(la) suivant(e)?
Pendant ce temps les POLITIQUES continuent d'engraisser sur notre compte. Et certains naïfs ont pu une seconde envisager que la Duflot démissionnerait pour soutenir sa collègue. D'abord, entre meufs, pas de solidarité qui tienne; cette connerie, c'est bon pour certains mecs à l'esprit attardé! Songez à la différence de montant entre les virements sur le compte bancaire de l'intéressée avant et après sa nomination de ministre!
Comme il faut bien savoir terminer, je vais le faire, mais non sans une pensée pour l'armée égyptienne, et l'immense regret que la nôtre ne soit plus foutue de mettre en ligne des généraux, voire des colonels qui en aient dans la culotte et le prouvent pour l'amour de leur Patrie!¢
Note
(1) Le mot « insufférable » signifie insupportable, insoutenable. Il s'agit d'un terme ancien, vieilli, peut-être vaguement dialectal (Sud-Ouest de la France). Il est en effet fréquemment utilisé par Robert MERLE dans sa suite romanesque « Fortune de France », qui présente la particularité de "reconstituer" le langage d'un gentilhomme périgourdin du XVIe siècle.
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