QUOI

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • SOLIDARITÉ EN IDF : LES MARAUDES DU PASTEUR BLANCHARD

     

     

     

     

    Solidarité en IDF 1.JPG

     

     

     

     

    Et si vous donniez de l’amour aux autres ? Pourquoi ne pas accompagner le Pasteur Blanchard dans ses maraudes auprès des SDF.

     

     

     

    Soeur Emmanuelle disait à propos de l’amour :

     

     

    « L’amour vrai, l’amour don, l’amour qui cherche la joie de l’autre. Mais combien de fois ne baptise-t-on pas amour ce qui n’est que recherche de soi-même ! Il est difficile de sortir du cercle de l’ego. Sortir de son ego, c’est jour après jour, heure par heure, minute par minute. On en est tous là. On ne sort de son ego que si on brise le cercle, le carcan dans lequel il nous enferme en nous laissant happer par quelqu’un qui nous dit que nous pouvons lui être utile, et qu’on choisit de marcher avec lui. J’ai toujours vu des hommes et des femmes refuser certains plaisirs pour lutter de toutes leurs forces vives, pour faire ressusciter ce qu’il y a d’étincelles de vie dans les autres, pour faire naître du vivant et traverser les forces de mort. C’est fantastique ! Je remercie chaque jour Dieu d’avoir donné à chaque être humain cette capacité extraordinaire d’être à sa ressemblance. »

     

     

     

    Nous pensons qu’il faut arriver à décrypter le sens de la vie. C’est ardu. Pourquoi sommes-nous là ? Quel sens donner à notre vie ? La vie file très vite, comme une étoile filante. On cligne des yeux et on a déjà 20 ans, puis 30 ans, puis 40 ans … On se retourne et on regarde. Et si vivre n’avait finalement de sens que dans une participation active au grand schéma de Dieu et pas simplement vivre pour soi ? L’intuition qui est la nôtre consiste à se dire : « Il n’est pas possible que depuis la création de l’univers et après plusieurs milliards d’années d’évolution, l’étape finale de tout ce processus soit celle qui a permis la naissance de la télé-réalité et de la junk food » . L’homme doit prendre sa part dans la construction de la cité de Dieu. Participer à l’harmonie du tout. Devenir un jardinier de Dieu. Et si notre bien-être et notre bonheur ne se construisaient pas contre les autres ou en dépit des autres (vision capitaliste), mais avec les autres ? Et si le bonheur passait pas l’amour que l’on apporte à autrui, à ses enfants, à ses amis, à ses concitoyens, à notre nation, aux nations étrangères ? Vivre pleinement, sagement, respectueusement d’autrui ? Prendre sa part sans en exiger plus ? Laisser la Terre plus belle que lorsqu’on l’a soi-même trouvée ? La question est ouverte.

     

     

     

    Solidarité en IDF 2.jpg

     

     

  • DANS CERTAINS COINS DE FRANCE:

     

     

     

     

     

     ON A LE CHOIX ENTRE LE HALAL… ET RIEN !

     

     

     

     
     
     
     
     
     
     
     

     

     

    Pendant qu’une certaine France laïcarde frémit d’angoisse face à « l’invasion des crèches profanatrices de laïcité », le communautarisme musulman, tranquille comme Baptiste, use les nerfs de la nation.

     

     

     

    Jugez plutôt : « La justice doit en effet trancher un litige opposant l’office de logement social de Colombes (Hauts-de-Seine), Colombes Habitat Public, au magasin d’alimentation Good Price, installé au pied des tours de la cité des Grèves, dans l’ouest de la ville. L’office, présidé par la maire Les Républicains de Colombes, Nicole Gouéta, reproche au commerce et à son gérant de ne pas respecter le contrat de location stipulant que le local doit être occupé par un “commerce général d’alimentation”. Or, Good Price est de facto une épicerie halal où le porc et le vin sont proscrits. Et l’office HLM attaque pour non-respect d’une clause du contrat dans l’intention affichée de ne pas permettre une “communautarisation” des commerces de la ville » (Le Figaro).

     

     

     

     

    Mais comme l’a expliqué le gérant de l’enseigne incriminée, sa clientèle ne raffole pas du cochon et de l’alcool. Toutefois, la justice a tranché en ordonnant « la fermeture de l’épicerie halal qui ne vend pas de vin [estimant] que le commerce ne correspond pas à la “notion large d’alimentation générale” » (20minutes).

     

     

     

    Ne boudons pas notre plaisir, pour une des rares fois que la justice décide de sonner la fin de la récréation à l’égard de ces exigences, pour la plupart incompatibles avec notre société.

     

     

     

    Ces restrictions alimentaires islamiques s’invitent quelquefois violemment. En juin 2021, à Nice, une serveuse s’était vue menacée et giflée par un Tunisien – en situation irrégulière – parce qu’elle servait de l’alcool en période de ramadan. L’agresseur avait écopé de huit mois de prison ferme, au lieu d’être expulsé du territoire manu militari.

     

     

     

    Des violences qui ne datent pas d’hier. Déjà en 2020, un boucher-charcutier portait plainte suite à une énième agression subie au marché de Sarcelles (Val-d’Oise) parce qu’on trouvait de la viande haram sur son étal, « le seul endroit dans la ville où on peut acheter des côtes de porc », soupirait à l’époque une cliente (Le Parisien).

     

     

     

     

    Pourtant, en 2018 Le Monde, avec son sens aigu du déni, parlait d’« un passage de témoin en douceur » lorsque le dernier boucher traditionnel de Pantin prenait sa retraite, ce dernier reconnaissant « la disparition des bouchers “traditionnels” et l’essor des “halal” ». Son successeur a ouvert une boucherie confessionnelle musulmane.

     

     

     

    Au-delà des quartiers à forte présence musulmane – où les commerces traditionnels de bouche jettent massivement l’éponge et cèdent la place au halal –, il suffit de se promener dans les rayons des enseignes de la grande distribution pour constater que le halal s’est installé confortablement sur l’ensemble du territoire, ce qui pose de sérieux problèmes de vivre ensemble, cette antienne qu’on nous sert pourtant matin, midi et soir !

     

  • IMPRESSIONS DE MARAUDE...

     

     

     

    Thierry 1.JPG

     

     

     

    Par Thierry Auriat,

     

     

     

     

     

    Je  participe, mardi 15 juin 2021, pour la quatrième fois à une maraude.

     

     

     

    Mon ami le Pasteur Blanchard, président de l'Action Sociale et Populaire, m'a fait l'honneur de m'inviter à collaborer à cette sortie, pour venir en aide à nos compatriotes sans-abri, avec un autre membre fondateur de l’ASP, mon ami Oscar Wesley .

     

     

     

    Pendant toute l'année, le Pasteur et ses fidèles bénévoles, parfois accompagnés d'élus et de cadres du Front National, mais aussi d'autres personnes de tous  les milieux de notre famille politique.

     

     

     

    Bien plus que d'apporter de la soupe, du café, des couvertures, des vêtements ou des chaussures aux nôtres sans-abri, ces maraudes ont aussi pour but d'ébaucher des liens d'amitié, de tisser un suivi fait de chaleur humaine.

     

     

     

      

    Jeudi, toute la soirée et une bonne partie de la nuit, c'est ce que nous avons fait ensemble. Et je garde un souvenir ému de toutes ces rencontres , ces discussions avec Stéphane, Yves, Igor, Romain, Adrien et les autres…. Ils ne possèdent rien. Ils vivent dans la rue, à quelques pas des immeubles cossus et de la jeunesse dorée de Paris. Ils ont pourtant beaucoup, un peu de grandeur d'âme et un peu de chaleur humaine. Et, c'est une joie d'avoir pu se rendre utile en leur donnant un peu de nourriture, quelques couvertures et d'avoir échangé quelques paroles ce soir-là.

     

     

     

     

    A force, si l'on peut dire, certains ne quitteraient pour rien au monde la rue, d'autres la détestent, quelques-uns pourront en sortir. Tous nous ont accueillis avec le sourire ; des regards qui en disaient long, faits de la détresse de gens perdus pour les uns, emprunts de dignité, pétillants, souriants et chaleureux pour les autres.

     

     

     

     

     

    De Sèvres à la Porte d’Orléans, de Denfert-Rochereau à Austerlitz en passant par la Place d’Italie, du Jardin des Plantes à Saint-Michel ou encore rue de Rivoli, cette soirée nous a dévoilé, une fois de plus, qu'un monde parallèle existe dans nos rues. Ils sont dix mille à Paris, trois mille dans le XIIIe arrondissement, qui n'ont rien et qui parfois ne demandent rien. Leur seule richesse : peut-être un certain détachement par rapport de  notre société de consommation ? tellement égoïste et trop individualiste. Mais une indépendance qu'ils paient au prix fort.

     

     

     

     

    Une autre constatation choquante durant cette soirée est l'évident manque de moyens accordé par l'Etat à l'aide des sans-abri. L'Etat semble plus compter sur la générosité privée que sur lui-même : "cachez cette misère dont je suis responsable et que je ne saurais voir".

     

     

     

     

     

     

    Il serait temps aujourd'hui en France de revoir complètement notre politique sociale. Comment accepter en effet qu'une immigration qui vient d'arriver ait droit à tout (logements aidés, soins gratuits, etc.) alors que nombre de Français et d'européens sont dans le froid dans nos rues, sans soutien et que quelques-uns en arrivent par exemple à la solution extrême de devoir soigner leurs problèmes de dents en se les arrachant à vif.

     

     

     

    Si un soutien leur était apporté avant la chute presque irréversible, combien nous déclarait faire le choix volontaire de rester dans la rue ? Car bien souvent, l'élément déclencheur est une dépression, une rupture, un mal être, autant de causes sociales et/ou économiques qui pourrait être traité et endigué si on en prenait la peine ; si on s'intéressait aux gens, au lieu de se détourner de l'humain.

     

     

     

    Je voudrais, en conclusion, parce qu'ils prennent justement la peine (et le plaisir) de venir en aide à ces personnes avec de petits moyens, donner un grand coup de chapeau au Pasteur Blanchard et aux militants de l'ASP. Sincères et humains, ils connaissent un nombre impressionnant de sans-abri parisiens par leur prénom, savent un peu de leur vie, de leur parcours parce qu'ils font gratuitement l'effort de s'intéresser en vérité à ceux qu'ils croisent durant leurs maraudes.

     

     

     

    Si vous souhaitez cette association à se développer, si vous ne pouvez le faire financièrement, faites-le un soir en donnant de votre temps. Et puis, vous pouvez aussi nous procurer des couvertures, des chaussures de grande pointure et des vêtements chauds. Les besoins sont importants car ou dans la rue, un vêtement ne dure pas bien longtemps.

     

     

     

    Thierry Auriat

     

     

     

    Thierry 2.JPG

     

     

  • Depuis la reprise des maraudes……..

     

     

     

     

     

     

     

     

    Maraude 9 10 18.jpg

     

     

     

    Maraude du 9 / 12 / 2018

     

    Jérôme  TRIOMPHE

  • JANY ET LE SOCIAL.

     

     

     

    Jany et le social.JPG

     

     

     

    C’est suite à une émission de France inter où était interviewé Samuel Maréchal que je fis la connaissance de Jany et Jean-Marie Le Pen. Quelque temps plus tard, la décision fut prise de créer le Cercle des Amitiés Protestantes qui allait si profondément bouleverser le court de ma vie.

     

     

    Quand le Président du Front National me confia la responsabilité du social au sein de son mouvement, à l’époque de la création des soupes Gare St Lazare, Jany m'apporta un soutien total qui n’a jamais été démenti. Elle, dont le milieu social est totalement différent de celui où règne la grande précarité, a su avec sa naturelle gentillesse, sa disponibilité, son énorme cœur et son total désintéressement se faire aimer de ces gens, d'une approche parfois difficile.

     

     

     

    La clef de cette compréhension véritable est la réelle empathie dont elle fait preuve. Elle ne triche pas, elle est totalement sincère et c’est là certainement sa plus grande qualité ; ce qui fait d'elle le parfait complément de son grand homme de mari.

     

     

     

    Pasteur  Blanchard

  • Communiqué de Phillipe RANDA:

     

     

     

    Article Randa 1.jpg

     

     

     

     

     

     

     

     

    Jean-Pierre Blanchard : 50 ans de combat contre la précarité:

     

     

     

    Qui est le Pasteur Blanchard ?

     

     

     

    Depuis des années, le Pasteur Blanchard se dévoue corps et âmes pour soulager la misère en Île-de-France. De la Cité de refuge de l’Armée du Salut dans les années 70, à l’actuelle présidence de l’Action Sociale Populaire (ASP), en passant par les médiatiques « soupes de la Gare Saint-Lazare » dans les années 90, il aura été de tous les combats contre la précarité.

     

     

     

    Le combat continue depuis 2006 par le biais de maraudes organisées par l’ASP dans les rues de Paris. Une équipe soudée qui ont foi en l’engagement caritatif du Pasteur et de son épouse Catherine qui anime les activités de l’association. Depuis 2008, les actions ont été élargie à la visite de personnes âgées et en 2011 à l’aide de familles de patriotes défavorisés.

     

     

     

    Comment peut-on les aider ?

     

     

     

    Par vos dons en argent CCP : 601 0275 Y 033 (délivrance de reçus fiscaux) ou matériels, duvets, couvertures, vêtements.

     

     

     Contact :

     

     

    Adresse postale : ASP BP7 91201 Athis-Mons Cedex

     

     

    Téléphone : 06 74 03 18 15

     

     

    Messagerie : simonnot.fn@gmail.com 

     

     

     

    FAITE UN ACTE MILITANT EN VISITANT LE BLOG DE L’ACTION SOCIALE ET POPULAIRE:

     

     

     

    http://actionsocialeetpopulaire.hautetfort.com/

     

     

     

    Pour vous desabonner de FrancePhi Diffusion Info avec l'adresse diffusion@francephi.com

     

    Cliquez sur le lien ci-dessous, ou copiez et collez l'adresse sur votre navigateur.

     

     

     

    http://www.francephi.com/cgi-bin/ava_mail/mail.cgi/u/fphi...

     

     

     

    Article Randa 2.jpg