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28/06/2016

Périco Légasse :

 

 « Notre pays importe les cordes avec lesquelles nos agriculteurs se pendent »

 

 

 

 

En pleine crise agricole et à dix jours du Salon de l’Agriculture, Périco Légasse déplore les dégâts causés par la Commission européenne, la FNSEA et la spéculation boursière sur une filière jadis reine en France.

 

 

 

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LE FIGARO. - La crise agricole est en train de prendre une tournure inquiétante. Est-on arrivé à ce fameux point de rupture dont certains experts pensent qu’il pourrait générer des chaos encore plus tragiques ?

 

 

Périco LEGASSE. - Tout porte à le croire, car les mesures décidées par le gouvernement et présentées par le Premier ministre devant l’Assemblée nationale prouvent qu’il y a, cette fois-ci, une grande inquiétude au sommet de l’Etat. Et s’il s’est décidé à passer à l’acte aussi rapidement, c’est qu’il y a urgence. Que faut-il, après les incidents de ces derniers mois, pour qu’enfin l’on comprenne à Paris comme à Bruxelles que cette crise-là n’est pas comme les précédentes ? Elle est celle de ceux qui n’ont plus rien à perdre. On sait depuis trop longtemps que certains secteurs au bord du désespoir vont basculer dans l’irréparable. Violences, suicides, affrontements.

 

 

N’empêche, des situations aussi extrêmes auraient pu être évitées bien plus tôt puisque nos dirigeants trouvent soudain les moyens de prendre la crise par les cornes. N’empêche, la méthode reste la même : on continue, à coups de millions d’euros, trouvés dieu sait où, finalement payés par le contribuable, à colmater les brèches, à panser les plaies, à mettre des rustines sur les fuites, pour repousser le problème au prochain déluge. Cette stratégie est irresponsable car elle ne résout rien sur le fond. Elle est surtout l’aveu que le gouvernement français ne dispose plus des leviers nécessaires à une réforme structurelle du mode de fonctionnement de notre agriculture. Ces leviers, c’est la Commission européenne qui les détient et nous savons de quelle agriculture rêve la Commission. Son modèle ? Les usines à cochon allemandes, avec main d’œuvre bulgare payée à la roumaine, dont la viande de porc agglomérée a donné le coup de grâce aux éleveurs intensifs bretons auxquels on avait assuré que leurs tarifs étaient imbattables. C’est ça l’Europe libérale libre et non faussée ? [....]

 

 

La suite sur Le Figaro.vox

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24/06/2016

Ancienne Maraude:

 

 

 

 

Maraudes de l’ASP : accroissement de la misère à Paris:

 

Posté par Jérôme Moreno le21 août 2010

 

 

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Ignorés et méprisés par les bobos socialo-écolo-gauchistes de l'équipe municipale de Delanoë, les SDF et autres exclus sont les premières victimes d'une société inégalitaire, matérialiste et ultralibérale.

 

 

 

Par le Pasteur Jean-Pierre Blanchard (ASP),

 

 

Nous revoilà dans les rues de la capitale1, en repérage de nouveaux secteurs pour notre prochaine campagne : force est de constater que le besoin de nos compatriotes ne fait que croitre.

 

 

 

Cette tournée, la dernière de l’ami Nicolas avant qu’il ne retrouve sa natale ville rose, est sous le signe de l’émotion et de l’amitié. Pour autant, nous ne pouvons qu’être frappés par la misère qui grandit, laissant en premier les nôtres sur le carreau, comme une lèpre s’étalant dans les rues. Nous conduisons jusqu’au métro « Nationale », où un homme âgé, sur le coup d’une heure du matin, fait la manche, quémandant quelques pièces pour pouvoir se nourrir. Nous constatons qu’autour de la station, ils sont nombreux à dormir à même le sol.

 

 

 À quelques encablures de là, sur les quais de Seine, nous ne pouvons nous garer pour cause de travaux. Je vais demander à la police fluviale l’autorisation de circuler en voiture jusqu’au camp de SDF : chose qu’elle accepte avec gentillesse. Quelle n’est pas notre stupeur de constater que, depuis notre dernière visite, les tentes se sont multipliées. Nos vêtements, nourriture, café sont pris d’assaut. Nous les quittons le cœur et les sacs de distribution légers : avec le sentiment du devoir accompli. C’est dans cet état d’âme que chaque étape de notre parcours nous trouvera, nous pouvons dire que l’équipe est fin prête pour relever les défis de cette nouvelle saison. 

 

 

 

Commentaires:

 

Commentaire par Wouam le 21 août 2010 @ 13:40

Une des nombreuses promesses non tenues du nabot :

http://www.youtube.com/watch?v=7c0uV9nNaJE

Commentaire par franck le 21 août 2010 @ 13:40

Oui les sdf sans toit mais de beaux appartements et maisons pour chaque femme de polygames et de beaux appartement pour les sans papiers mais rien pour les blancs mais jusqu’à quand allons nous subir ces vexations ? la colère gronde en france !

 

 

Commentaire par franck le 21 août 2010 @ 13:41

sdf = français de souche

 

 

Commentaire par Stanley K. le 21 août 2010 @ 15:08

Je rêve d’un monde ou il n’y aura plus de SDF. Un monde que l’on pourra rendre possible par le vote. Moi je vote FN pour 2012.

Commentaire par Jean-Luc G. le 21 août 2010 @ 15:36

Je suis d’accord avec Stanley ! Tous aux en 2012, mes chers concitoyens.

 

 

Commentaire par locktat131 le 21 août 2010 @ 16:01

« Je veux, si je suis élu de la République, que d’ici à deux ans, plus personne ne soit obligé de dormir sur le trotoire et d’y mourrir de froid parce que le droit à l’hebergement, c’est une obligation humaine  » !!!!!

OUAI C’EST ça, menteur !!!!!!!!!!!!!!!!!

 

 

 

Commentaire par Jean-Pierre le 21 août 2010 @ 16:10

Mes compliments au pasteur et à son équipe, il y en a aussi une équipe dans le grand Est, tout spécialement en Alsace.

 

 

 

 

Commentaire par Dubail le 21 août 2010 @ 17:29

Arrêtez de critiquer Paris, c’est une ville de gauche.

 

 

 

Commentaire par Patek Philippe le 21 août 2010 @ 19:20

l’Ultralibéralisme et le mondialisme vont de pair. l’Ultralibéralisme a besoin de ce monde sans frontières, pour pouvoir se payer (pas cher) une main d’oeuvre corvéable à merci dans l’espace et dans le temps. Si le SMIC est trop cher ici, on délocalise en Chine. Pour ce qui est de la main d’oeuvre non délocalisable (BTP, restauration etc…), qu’a cela ne tienne, on fait venir des « sans-papiers ». la prochaine étape sera de faire venir des techniciens et des ingénieurs, pour des secteurs comme l’informatique, l’Inde en regorge. il feront pour 800 Euros par mois, ce qu’un ingénieur français ne ferait pas pour 5000 Euros. Alors oui, Ultralibéralisme = Mondialisme.

 

 

 

Commentaire par F.F. Coppola le 21 août 2010 @ 19:50

Jean-Luc, tu as du oublier le mot « urnes » dans ton post.

 

 

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Commentaire par H.G. Clouzot le 22 août 2010 @ 2:01

Oui, si le nabot-Sarko passait ne serait-ce qu’une nuit dans la rue, il aurait vite les idées changée. Mais en entendant, il se prélasse sur les yachts de ses copains milliardaires.

 

 

 

Commentaire par marina le 22 août 2010 @ 3:49

bah voyons….comme dit si dessus SDF sont les initiales de francais de souche a l’envers…ces gens auraient un travail et un logement si on ne se serait pas laisser envahir…de « chances pour la france »

FN 2012 viiiiiiite

 

 

 

Commentaire par barabas le 22 août 2010 @ 11:06

Bonjour Un SDF m’a donné ce poème qui j’en suis sur va vous plaire .Homme que je ne connaissais pas, nous avons sympathisés je vais le voir de temps a autres,je lui apporte des vêtements qu’ils partagent avec d’autres déshérités,aussi quelques Euros, je lui demande pourquoi avec votre intelligence votre grande culture vous vous retrouvez dans ce milieu,il me répond que dans la rue il trouve plus de compassions plus de générosités plus de grandeurs d’âmes, et moi je lui réponds plus toujours plus de pauvres. A vous tous qui écrivez des commentaires,je vous dédie ce beau poème

lA Neige La neige le matin,tombe Légèrement sous les toits Etbles près… Les enfants y sortent bien emmitouflés l’hiver pour s’y amuser,pendant la récréation.

Un jour ou le soleil eut trop Brillé, fit fondre la neige, Glissa dans le ruisseaux, Rejoignit les rivières Gonflant les fleuves pour s’endormir dans la mer.

  1. CAMUS

 

 

 

Commentaire par Attention aux idées reçues le 22 août 2010 @ 12:05

Attention ! Au moins 30 % des SDF sont des malades psychiques, des études ont été effectuées en Suède à ce sujet. Leur place n’est pas dans la rue, mais en HP.

En revanche, les idiots qui veulent les orienter de force vers des foyers de SDF, font une très grave erreur : ils font fuir la population réinsérable qui refuse (par simple bon sens) de vivre avec des malades non contrôlés.

Le bon coeur, c’est bien – Mais le bon coeur sans les compétences terrain, c’est parfois beaucoup plus dangereux que l’indifférence !!!

 

 

 

 

 

22/06/2016

Maraude du 08 / 10 / 2015..............

 

 

 

 

M Millau Brassié 08 10 15.jpg

 

 

 

Philippe MILLAU  Anne BRASSIE

21/06/2016

Entretien avec Alain de Benoist:

 

 

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La suppression des normes fait disparaître le subtil plaisir de la transgression:

 

 

         

En bonne logique, la démocratie équivaut au règne, parfois passager, mais institutionnellement légitime, de la majorité. Et pourtant, grande est l’impression que les minorités auraient aujourd’hui vocation à devenir dominantes. Simple vue de l’esprit ?

 

 

La démocratie est le régime qui repose sur la souveraineté populaire et sur le principe de l’égalité des droits politiques entre ces sujets démocratiques que sont les citoyens, le principal de ces droits étant la possibilité donnée à chacun de participer aux affaires publiques. Le suffrage, qui n’est pas l’essence de la démocratie, n’est qu’une technique permettant de constater l’ampleur de l’accord ou du désaccord entre les gouvernants et les gouvernés. La majorité est fondée à exercer le pouvoir parce qu’elle est le reflet de la volonté populaire. Il ne s’ensuit pas que les minorités comptent pour rien, ne serait-ce que parce qu’elles peuvent devenir la majorité de demain. Mais les minorités dont il est question ici sont généralement des minorités d’opinion.

 

À côté de cela, nous avons vu à date relativement récente toute une série de minorités d’un genre différent jouer un rôle grandissant dans les affaires publiques : minorités ethniques, minorités sexuelles, groupes de pression, ligues de vertu, lobbies confessionnels, etc. Ces minorités compensent leur infériorité numérique par des interventions bruyantes ou spectaculaires, qui visent à sidérer l’opinion et à imposer leur point de vue par le relais des médias et des réseaux. Un bon exemple nous a été fourni par le projet de mariage homosexuel, qui a suscité des débats sans fin dans l’opinion publique, alors qu’il s’agit d’un problème qui ne concerne qu’une minorité de minorité, soit moins de 1 % de la population.

 

Un vecteur privilégié du pouvoir des minorités réside dans le politiquement correct. Nombre de contraintes linguistiques imposées par la novlangue contemporaine visent à faire disparaître les expressions jugées offensantes par certaines minorités. Le mot « nègre », courant dans l’entre-deux-guerres (« l’art nègre »), est désormais jugé péjoratif, les aveugles sont devenus des « mal-voyants », les estropiés se sont transformés en infirmes, puis en handicapés, puis en « personnes-en-situation-de-handicap ». Ces tournures de langage, forgées pour la plupart aux États-Unis, visent à refaçonner la langue pour la corriger dans le sens d’un nouveau conformisme qui, lorsqu’il ne tombe pas purement et simplement dans le ridicule, refaçonne les rapports sociaux à l’enseigne de l’hypocrisie et d’un prodigieux refoulement du non-dit. On imagine ce que Michel Audiard, Alphonse Boudard, Albert Paraz ou Paul Chambrillon auraient dit de cette moraline… Là encore, il n’est pas exagéré de parler de dépossession de la majorité.

 

 

La marginalité a toujours existé. Mais finalement, n’était-ce pas une norme communément admise qui lui assurait sa pérennité ? Et cela ne serait-il pas en train de changer ?

 

 

Le mot « normal » peut se comprendre de deux manières totalement différentes, et que l’on a trop tendance à confondre : au sens statistique ou au sens moral. Au sens statistique, il est tout aussi « anormal » d’être génial que d’être débile : l’écart par rapport à la moyenne est le même. Que l’homosexualité soit statistiquement moins « normale » que l’hétérosexualité ne veut pas dire qu’elle est moins naturelle, ni qu’elle soit moralement plus contestable.

 

Aucune société ne peut vivre sans normes. Mais on s’imagine trop souvent, quand on parle de normes, que seuls s’opposent ceux qui veulent les maintenir et ceux qui veulent les faire disparaître. En réalité, la première catégorie se dédouble : il y a d’un côté ceux qui tiennent aux normes parce qu’ils veulent s’y soumettre et ceux qui y tiennent au contraire pour le plaisir de les transgresser. Cette dernière position était, par exemple, celle de Georges Bataille. La transgression ne veut pas voir disparaître l’interdit ; elle en a au contraire besoin, car c’est l’interdit qui donne sa valeur à ce qu’il frappe. La suppression des normes fait évidemment disparaître le subtil plaisir de la transgression.

 

 

On parle du « peuple », des « gens », de la « majorité silencieuse »… Mais ces notions recouvrent-elles une réalité sociologique ? Vu de droite (la Manif pour tous) comme de gauche (les défilés eu 1er mai), le « peuple majoritaire » ne serait-il qu’un simple fantasme ?

 

 

La « majorité silencieuse », expression que l’on n’emploie plus guère aujourd’hui, ne voulait pas dire grand-chose dans la mesure où elle n’était majorité que comme silence. Mais il n’en va pas de même du peuple majoritaire, qui est une réalité que l’on voit s’affirmer pour autant qu’on lui en donne l’occasion. Bien entendu, le peuple reste partagé entre des courants différents. Mais lorsque l’on constate que les partis de gouvernement, représentants de la Nouvelle Classe, ne recueillent plus qu’un tiers des suffrages, toutes tendances confondues, on voit bien que les choses sont en train de changer.

 

Le problème est que la démocratie représentative d’inspiration libérale a été conçue de façon telle que le peuple y soit tenu en laisse et sa souveraineté ramenée à la portion congrue. Démocratie et libéralisme ne sont nullement synonymes, comme l’ont bien montré Carl Schmitt, Chantal Mouffe ou Marcel Gauchet. Un peuple a en effet d’autant moins besoin d’être représenté qu’il peut être politiquement présent à lui-même. Le régime parlementaire, disait récemment Jacques Julliard, c’est la « distillation fractionnée de la volonté générale et sa dilution dans le pouvoir des assemblées ». C’est sans doute pour cela que ses jours sont comptés. Le corps électoral est aussi un corps désirant !

 

Entretien réalisé par Nicolas GAUTHIER

 

 

09:08 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

17/06/2016

LA FRANCE SUR UNE ROUTE SANS ISSUE ?

 

 

 

Examinons et analysons la situation actuelle de la France

avec une objectivité totalement apolitique.

notre proche futur est irréversible,

 

 

nous allons vers le défaut de paiement et la faillite.

 

 

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Que peut-on faire ?

 

 

Rien.

 

 

Car tout ce qui pourra être tenté

afin d’améliorer cette situation dramatique est voué à l’échec

par l’opposition politique

quelle soit de gauche ou de droite,

par les syndicats,

par les corporatismes,

par les grèves.

Qui interdira le droit de grève ?

Qui autorisera les manifestations (sans violence)

uniquement les dimanches et jours fériés ?

Vous connaissez déjà la réponse, n’est-ce pas ?

 

 

Je reste persuadé

que Nicolas Sarkozy avait la ferme intention de réformer en 2007

mais il a dû renoncer,

comme il devra également renoncer s’il était réélu

ou comme devra renoncer celui qui sera élu,

le nouveau président.

 

 

En 1789, le roi, les courtisans, la noblesse, etc.

ont ruiné la France

et le peuple s’est soulevé et la royauté a disparue.

Les régimes qui ont suivi n’ont guère apporté d’améliorations,

ni les républiques successives.

 

 

 

Route 2.jpg

 

 

 

Alors quoi ?

Une nouvelle révolution est-elle obligatoire ?

 

 

Sans aucun doute oui

mais pour installer quoi ou qui à la tête du pays?

La royauté certainement pas,

une énième république inopérante,

le communisme,

un nouveau de Gaulle,

une démocratie différente mais laquelle ?

L’Islam, il arrivera peut être sans révolution.

Alors ?

 

Seul un homme fort peut nous sauver.

Une dictature donc ?

Un Staline,

un Hitler,

un Franco ?

Bien sur que non.

Nous sommes capables de nous révolter

mais incapables de savoir

par quoi ou par qui remplacer ce que nous avons.

 

Comment nous retrouvons-nous devant un tel marasme ?

Contrairement à l’analyse générale qui dit que

«l’euro est une monnaie sans nation»

je dirai que «l’euro est une monnaie avec trop de nations».

 

 

 

 

La paternité du système monétaire européen revient à Jacques Delors.

Il savait qu’une monnaie devait suivre la création d’une nation

mais qu’elle ne devait jamais la précéder.

Il a inversé sciemment l’ordre naturel des choses

afin que d’aboutissement de l’euro devienne moyen

de faire avancer la construction de l’Europe.

Il a tenté ainsi un énorme pari qui aujourd’hui se retourne contre l’Europe.

 

Tous les chefs de gouvernements analysent objectivement les situations

mais leur désir légitime d’être réélus est le plus fort.

 

Donc, puisqu'il n'existe pas de solution,

que va-t-il se passer ?

 

Demain, les marchés financiers prendront le pouvoir

et ils le feront à leur manière,

c'est-à-dire sans états d’âme, sans pitié et avec brutalité.

Les effets seront désastreux

surtout comme toujours pour le peuple.

 

Nous serons confrontés à une crise d’ampleur

bien plus dramatique qu’en 1929.

 

Seules une saine et rigoureuse gestion des deniers publics, de l’économie

et une réglementation  drastique du secteur financier

pourraient nous sortir du gouffre…

 

 

 

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Mais ne rêvons pas !!

 

 

Pasteur  BLANCHARD

 

09:22 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (1)

15/06/2016

Maraude du 23 / 12 / 2013..............

 

 

 

 

 

M De Chassey Goffmann 23 12 13.jpg

 

 

Thibaut de Chassey  Patrick  Goffmann

 

 

 

 

14/06/2016

« Rien ne m’empêchera de continuer à dire ce que je crois ! »

 

 

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Journaliste et écrivain
 
On est en guerre civile larvée !

 
 
 
      

En 2014, alors qu’il faisait la promotion de son livre Le Suicide français, Éric Zemmour avait donné une interview au journal italien Corriere della Sera, dans laquelle il affirmait notamment que les musulmans « ont leur Code civil, c’est le Coran », qu’ils « vivent entre eux, dans les périphéries », si bien que « les Français ont été obligés de s’en aller ». Bien entendu, le polémiste a immédiatement été poursuivi pour provocation à la haine raciale. Son procès s’est déroulé vendredi dernier. Boulevard Voltaire était présent à l’audience et a pu se procurer l’intégralité de son intervention à la barre, que nous reproduisons ci-dessous. Délibéré attendu le 17 décembre 2015.

 

 

C’était il y a près de cent ans. La Première Guerre mondiale venait de s’achever. Le traité de Versailles avait été signé. Un grand économiste, le plus grand de son temps, l’Anglais John Maynard Keynes, publiait un ouvrage, Les Conséquences économiques de la paix, pour expliquer que la France et les vainqueurs avaient été trop durs envers l’Allemagne vaincue, et qu’en particulier celle-ci ne pourrait jamais payer les énormes réparations pécuniaires réclamées. Un grand historien français, journaliste de profession, Jacques Bainville, lui répondit dans un livre intitulé Les Conséquences politiques de la paix. Il expliqua au contraire que le traité de Versailles avait été, selon sa célèbre formule qu’on apprenait naguère dans les cours d’histoire, « trop mou pour ce qu’il avait de dur et trop dur pour ce qu’il avait de mou ». Mais cet affrontement de points de vue sur le traité de Versailles n’intéresserait plus aujourd’hui que les historiens si, dans son livre, Jacques Bainville n’avait, avec une prescience extraordinaire, annoncé tous les événements qui conduiraient à la guerre, la remilitarisation de la Rhénanie, l’Anschluss avec l’Autriche, le dépeçage de la Tchécoslovaquie, le pacte germano-soviétique et l’attaque de la Pologne, avant celle de la France et de l’Angleterre.

 

 

Jacques Bainville prophétisait ces événements en 1920 alors même qu’Hitler n’était encore qu’un peintre raté. À l’époque, Bainville fut violemment attaqué par les Anglais et Keynes bien sûr, mais aussi et surtout par la gauche. Sa proximité avec l’Action française en faisait une cible facile. Il fut moqué, insulté, accusé d’être germanophobe, xénophobe, belliciste. Toute la gauche l’accusait de monter les Français contre les Allemands, de pousser à une nouvelle guerre, d’être un criminel, alors qu’il voulait seulement mettre en garde ses compatriotes contre les illusions et la naïveté. Il en tira une leçon que je vous livre : « Les démocraties ont coutume de reprocher à ceux qui ont prévu les événements de les avoir causés. »

 

 

Et encore, le grand Bainville ne savait pas qu’on pouvait être attaqué pour des mots qu’on n’avait pas prononcés, qu’on n’avait même pas entendus. Il ne savait pas qu’on pouvait être renvoyé par un de ses employeurs, en l’occurrence i>Télé, parce que des propos prononcés dans un journal italien n’avaient pas l’heur de plaire ni à la directrice de l’antenne ni à la rédaction. Il ne savait pas que l’expression liberté d’opinion ne valait que pour les dessinateurs de Charlie Hebdo. Il ne connaissait pas les beautés cachées de la loi Pleven, des délices et poisons de l’incitation à la discrimination et à la haine raciale. Il ne savait pas, l’heureux homme qui vivait dans une République qui respectait encore les libertés fondamentales, qu’on pouvait être traité comme un délinquant parce que ses idées ne plaisaient pas au pouvoir.

 

 

Il ne savait pas que la gauche, la gauche bien-pensante, la gauche humaniste, si bienveillante et pacifique, si laïcarde et anticléricale, avait rétabli subrepticement le délit de blasphème, qui avait été aboli à la Révolution. Oui, le délit de blasphème ! Bien sûr, il ne s’agit plus de condamner le chevalier de La Barre parce qu’il n’a pas ôté son chapeau devant une procession catholique. Mais il s’agit de condamner quiconque n’ôterait pas respectueusement son chapeau devant la nouvelle religion, la nouvelle doxa antiraciste, celle de l’identité heureuse, comme dit un ancien Premier ministre, celle du pas d’amalgame, celle de l’islam modéré, religion d’amour et de paix, celle de l’intégration harmonieuse dans le respect des différences.

 

 

Oui, tous ceux qui ne croient pas en cette nouvelle religion, tous ceux qui n’ont pas la foi doivent se taire ou être condamnés.

 

 

Ou plutôt, pour que la masse continue à se taire, il faut que certains soient condamnés. J’ai l’honneur, je dis bien l’honneur, d’être devenu une cible privilégiée. La cible privilégiée parce que mes livres ont beaucoup de succès, parce que mes interventions sont regardées, écoutées. Mes adversaires croient que je suis un danger parce que je convaincrais les Français alors que ce sont les Français qui reconnaissent en moi ce qu’ils pensent tout bas. Illusions du nominalisme !

 

 

Quand l’historien Georges Bensoussan dit dans Le Figaro : « Nous sommes en train d’assister en France à l’émergence de deux peuples, au point que certains évoquent des germes de guerre civile », que dit-il de différent de moi ? Quand il évoque le témoignage de policiers, d’élus, de médecins aux urgences, « le sentiment que deux peuples sont en train de se former, côte à côte, et qui se regardent souvent avec hostilité, ce sentiment-là est aujourd’hui partagé par beaucoup », pourquoi lui et tous ces témoins ne sont pas traînés comme moi devant ce tribunal ?

Il y a quelques mois, lors d’un autre procès – puisque je passe, désormais, une partie de ma vie au palais de justice -, la représentante du parquet me demandait si ma première condamnation, il y a quatre ans, m’avait conduit à changer mes méthodes de travail. Je lui renverrai aujourd’hui sa question : est-ce que la relaxe dont j’ai bénéficié dans une récente affaire a conduit le parquet à changer ses méthodes de travail ? Est-ce que le parquet s’est remis en cause ? Est-ce qu’il a décidé de ne plus se mêler de la vie des idées en France ? Est-ce qu’il a enfin décidé de ne plus instrumentaliser une loi pleine de belles intentions pour en faire une arme politique ? Est-ce qu’il a enfin compris que son rôle était non pas de criminaliser les opinions dissidentes mais de protéger les citoyens contre les voyous, et accessoirement de respecter la liberté de pensée et d’opinion en France, un de nos acquis les plus précieux hérités des générations précédentes ? Est-ce que ces messieurs-dames du parquet ont admis, enfin, qu’ils n’étaient pas là pour imposer l’idéologie politique de leur ministre, aussi charismatique soit-elle, de leur syndicat, aussi impérieux soit-il, ou plus prosaïquement leurs propres convictions politiques, aussi légitimes soient-elles ?

 

 

Quand le ministre de la Justice – madame Taubira, pour ne pas la nommer -, avertit dans une interview qu’il faudra compter de plus en plus avec les « gens comme nous, car ils seront de plus en plus nombreux », que fait-elle d’autre sinon opposer une partie des Français à une autre, séparés par l’origine, la race, la religion ? Est-ce que le parquet a dit quelque chose ? Quand le Premier ministre parle d’apartheid, ne fait-il pas référence à la séparation géographique de deux peuples, selon le modèle des Blancs et des Noirs en Afrique du Sud ? Séparation géographique, raciale, culturelle, avec chacun ses règles, ses lois. Je n’ai pourtant pas entendu une plainte du parquet.

 

 

Quand le parquet cessera-t-il de servir de relais à des lobbys antiracistes qui vivent du racisme, ou du prétendu racisme (et encore : de manière hémiplégique), comme d’autres vivent de la défense des baleines ou des ours ? Jusqu’à quand le parquet alimentera-t-il une logique liberticide qui rappelle les régimes totalitaires communistes, qui permet à n’importe quelle association de signaler à la police des opinions dissidentes, afin que le parquet, au nom de la défense de l’État et de la société, ne poursuive les affreux dissidents ?

 

 

À toutes ces questions, je connais déjà la réponse. Le parquet s’est empressé de faire appel de la décision de relaxe dont j’ai bénéficié il y a quelques semaines. Et m’a poursuivi pour mes propos dans le Corriere della Sera. Je préfère prévenir respectueusement le parquet et la cour : rien ne m’empêchera de continuer à dire ce que je crois, même si j’ai bien compris que rien n’arrêtera le ministère public dans sa volonté de me faire taire. J’ai bien conscience aussi d’être le pot de terre contre le pot de fer. Mais un jour, j’en suis convaincu, l’Histoire donnera raison au pot de terre, comme elle l’a donné au grand Bainville, et le pot de fer aura honte. Mais il sera trop tard.

 

02:25 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

08/06/2016

Maraude du 07 / 10 / 2014..............

 

 

M Gollnisch Subtil 7 10 14.jpg

 

Bruno   GOLLNISCH  Bruno SUBTIL

07/06/2016

«La thèse officielle? Une foutaise!»

 

 

 

 

Spécialiste reconnu des avalanches, le Suisse Werner Munter planche nuit et jour depuis trois ans sur le réchauffement climatique. Et, pour lui, l’homme n’y est pour rien!

 

 

Il y a une semaine, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) pointait une nouvelle fois d’un doigt accusateur l’homme et le CO2 qu’il produit comme principaux coupables du réchauffement climatique. Pour Werner Munter, spécialiste mondialement reconnu des avalanches, qui se penche compulsivement sur le phénomène depuis trois ans, «ces gens sont des imbéciles qui répètent en boucle des bêtises, le savent et sont payés pour!» Le Bernois nous a longuement reçus dans son appartement d’Arolla (VS) pour étayer ces accusations entre une tranche de viande séchée et deux verres de Cornalin. Son diagnostic climatosceptique, loin d’être celui d’un hurluberlu, est partagé par d’éminents scientifiques dont deux Prix Nobel. Il nous l’explique.

 

 

 

 

 

 

Vous affirmez que l’homme n’a rien à voir avec le réchauffement. Pourquoi?

Précisons tout d’abord que je ne conteste pas le réchauffement lui-même. Je l’ai d’ailleurs constaté en tant que guide de montagne en voyant les glaciers reculer. Celui qui nous fait face par exemple a perdu 100 m depuis que j’ai acheté cet appart en 1989. En 2005, le pilier Bonatti des Drus s’est effondré à cause du réchauffement du permafrost. Ce que je remets en cause, ce sont les causes de ce réchauffement. Elles n’ont rien à voir avec l’homme ou avec le CO2 comme on nous le serine. Je suis arrivé à cette conclusion pour trois raisons.

 

 

 

Quelles sont ces raisons?

 



La première, c’est tout simplement l’analyse des données climatiques reconstituées sur des millions d’années. Rien que dans les 10 000 dernières années, il y a eu cinq pics de températures comparables à celui que nous vivons. Ces optima correspondent à des cycles naturels. Au Moyen Age, il était par exemple possible d’aller en vallée d’Aoste depuis Arolla avec les troupeaux car le glacier n’existait plus. Lors des deux premiers optima, le Sahara était une savane avec des lacs, des arbres et des éléphants. Avant cela, pendant des centaines de milliers d’années, il a fait plus chaud qu’aujourd’hui. Et parfois jusqu’à 7 degrés plus chaud! Or le GIEC se concentre sur les 150 dernières années. Autant dire qu’il regarde autour de son nombril. Les reconstructions paléoclimatiques montrent aussi que, pendant des centaines de millions d’années, il n’y a pas eu de corrélations entre le CO2 dans l’atmosphère et la température sur terre.

 

 

Votre second argument?

 



La concentration de CO2 – qui est soit dit en passant un gaz vital et non pas un poison – dans l’atmosphère est négligeable. Il y en a un peu moins de 0,5‰ dans l’atmosphère, et au maximum 5% de cette quantité est imputable à l’homme. Pour un million de molécules d’air, il y a seulement 20 molécules de CO2 produites par l’homme. Et chaque année, notre industrialisation rajoute 4 molécules de CO2 pour chaque million de molécules d’air, mais la moitié est absorbée par les océans et les plantes. Et on veut nous faire croire que cette infime proportion due à l’homme est une catastrophe? J’ai beaucoup de peine à le croire (rires).

 

 

Pourquoi dès lors la thèse officielle fait quasi consensus? Vos collègues scientifiques ne sont pas tous des imbéciles!

 



Ces théories visent à nous culpabiliser. Quand des scientifiques comme ceux du GIEC disent qu’ils veulent sauver la planète, je dis qu’ils ne sont pas crédibles. Ils mentent pour préserver des intérêts économiques dont les leurs. Car il y a tout un business derrière la lutte contre le réchauffement. Il y a une volonté de faire peur aux gens par exemple en dramatisant la montée des océans, alors que ceux-ci ne s’élèvent que de 2 à 3 mm par an! C’est aussi une manipulation intellectuelle de parler de CO2 en tonnes plutôt qu’en proportion. Des tonnes, ça impressionne, mais rappelons que l’atmosphère pèse 5 000 000 000 000 000 tonnes!

 

 

Votre dernier argument est que la thèse officielle contredit les lois de la physique. C’est-à-dire?

 



Celle de la thermodynamique en particulier. Pour faire simple: la terre fait 15° en moyenne. L’atmosphère censément polluée de CO2 est grosso modo à -30° à 10 km d’altitude. Qu’elle réchauffe la Terre qui est bien plus chaude qu’elle est une aberration. La thermodynamique nous dit que la chaleur va toujours vers le froid et jamais dans le sens inverse, ce que correspond à notre expérience quotidienne.

 

 

Alors au final, comment expliquez-vous ce fichu réchauffement?

 

 

Je n’ai pas de réponse car trop de facteurs entrent en jeu. Par contre, j’ai des hypothèses. Je soupçonne par exemple les variations de l’intensité du rayonnement solaire – qui répondent à des cycles – de jouer un rôle central, tout comme les processus nucléaires complexes et méconnus qui sont à l’œuvre au centre de notre Terre. Quoi qu’il en soit, c’est de l’arrogance de croire qu’en 150 ans d’industrialisation nous avons changé le climat. La nature est bien plus forte que l’homme, nous ne sommes pas les maîtres de la Terre!

 

 

Source: Le Matin

09:16 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

03/06/2016

P.V DE l'ASSEMBLEE GENERALE DE L'A.S.P PARIS LE 28 MAI 2016:

 

 

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Le Pasteur prononce quelques mots d'introduction afin de remercier pour leur présence tous les membres présents à l'AG de notre Association

 

 

L'Assemblée générale démarre selon l'ordre du jour qui a été remis à tous les participants

 

 

 

1) Un regard sur les maraudes par Marie-Simone POUBLON, auteur et amie de l'A.S.P :

 

 

Marie-Simone nous raconte sa première maraude avec l'A.S.P qu'elle a faite en Novembre 2015 et nous en donne ses impressions

 

 

Elle annonce la sortie de son livre prochainement ...

 

 

2) L'image de l'ASP dans les milieux de la droite nationale, par Laurent POULTIER du Mesnil, chroniqueur à Radio Courtoisie, ami de l'ASP :

 

 

 

Laurent nous parle de l'excellente réputation de l'ASP au sein de la droite nationale

 

 

Il rappelle les annonces qu'il fait lui et d'autres sur Radio Courtoisie, notamment les appels aux dons de vêtements ...

 

4) Intervention de Jany LE PEN, Marraine de l'ASP :

 

 

Jany revient sur ses 20 années aux côtés du Pasteur et de l'ASP, les premières soupes qui étaient préparées au "Paquebot" ancien siège du Front National

 

 

Le Pasteur remercie Jany pour son dévouement et sa fidélité exemplaires

 

 

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5) Bilan financier par Gaël FOUILLEUL, Trésorier de l'ASP :

 

 

Après une chute substantielle des dons en 2012, les collectes 2013, 2014 et 2015 sont reparties à la hausse.

 

 

 Le nombre de donateurs continue sa chute : 72 en 2013, 68 en 2014 et 60 en 2015

 

 

Le nombre de donateurs fidèles d'une année sur l'autre est stable, à environ une quarantaine.

 

 

Le solde du compte courant sont stable.

 

 

Côté dépenses : elles sont stables. Et même en baisse si l'on tient compte de la célébration des 10 ans de l'ASP qui nous a coûté dans les 2000 Euros ...

 

 

Cela grâce aux faibles dépenses d'entretien du véhicule acheté en 2013. Cet investissement de 6000 Euros en valait la peine

 

 

 

6) Bilan moral par le Pasteur BLANCHARD :

 

 

Le Pasteur nous rappelle les points qu'il a déjà développés et nous demande de trouver des volontaires pour nos prochaines maraudes ...

 

 

7) Election du Bureau et du CA de l'ASP :

 

 

 

Le Bureaux et le CA de l'ASP sont reconduits à l'unanimité des membres présents

 

 

 

Notre réunion s'achève par les savoureuses mélodies chantées et accompagnées à la guitare par notre ami le Docteur MERLIN

 

 

 

Puis nous buvons le verre de l'amitié accompagné d'un délicieux petit buffet campagnard

 

 

 

Alexandre SIMONNOT

 

Membre du CA de l'ASP

 

 

 

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