29/12/2010
JOYEUX NOEL
Vous avez le droit d’exiger qu’on vous montre la Crèche. La voici. Voici la Vierge, voici Joseph et voici l’Enfant Jésus. L’artiste a mis tout son amour dans ce dessin, vous le trouverez peut-être naïf, mais écoutez. Vous n’avez qu’à fermer les yeux pour m’entendre et je vous dirai comment je les vois au-dedans de moi.
La Vierge est pâle et elle regarde l’enfant. Ce qu’il faudrait peindre sur son visage, c’est un émerveillement anxieux, qui n’apparut qu’une seule fois sur une figure humaine, car le Christ est son enfant, la chair de sa chair et le fruit de ses entrailles. Elle l’a porté neuf mois. Elle lui donna le sein et son lait deviendra le sang de Dieu. Elle le serre dans ses bras et elle dit : « Mon petit » !
Mais à d’autres moments, elle demeure toute interdite et elle pense : « Dieu est là », et elle se sent prise d’une crainte religieuse pour ce Dieu muet, pour cet enfant, parce que toute les mères sont ainsi arrêtées par moment, par ce fragment de leur chair qu’est leur enfant, et elles se sentent en exil devant cette vie neuve qu’on a faite avec leur vie et qu’habitent les pensées étrangères.
Mais aucun n’a été plus cruellement et plus rapidement arraché à sa mère, car Il est Dieu et Il dépasse de tous côtés ce qu’elle peut imaginer. Et c’est une rude épreuve pour une mère d’avoir crainte de soi et de sa condition humaine devant son fils. Mais je pense qu’il y a aussi d’autres moments rapides et glissants où elle sent à la fois que le Christ est son fils, son petit à elle et qu’il est Dieu. Elle le regarde et elle pense : « Ce Dieu est mon enfant ! Cette chair divine est ma chair, Il est fait de moi, Il a mes yeux et cette forme de bouche, c’est la forme de la mienne. Il me ressemble, Il est Dieu et Il me ressemble ».
Et aucune femme n’a eu de la sorte son Dieu pour elle seule. Un Dieu tout petit qu’on peut prendre dans ses bras et couvrir de baisers, un Dieu tout chaud qui sourit et qui respire, un Dieu qu’on peut toucher et qui vit, et c’est dans ces moments là que je peindrais Marie si j’étais peintre, et j’essayerais de rendre l’air de hardiesse tendre et de timidité avec lequel elle avance le doigt pour toucher la douce petite peau de cet enfant Dieu dont elle sent sur les genoux le poids tiède, et qui lui sourit. Et voilà pour Jésus et pour la Vierge Marie.
Et Joseph. Joseph ? Je ne le peindrais pas. Je ne montrerais qu’une ombre au fond de la grange et aux yeux brillants, car je ne sais que dire de Joseph. Et Joseph ne sait que dire de lui-même. Il adore et il est heureux d’adorer. Il se sent un peu en exil. Je crois qu’il souffre sans se l’avouer. Il souffre parce qu’il voit combien la femme qu’il aime ressemble à Dieu. Combien déjà elle est du côté de Dieu. Car Dieu est venu dans l’intimité de cette famille. Joseph et Marie sont séparés pour toujours par cet incendie de clarté, et toute la vie de Joseph, j’imagine, sera d’apprendre à accepter. Joseph ne sait que dire de lui-même : il adore et il est heureux d’adorer.
Ce texte magnifique de tendresse et de respect sur le mystère de Noël a été rédigé par un célèbre écrivain français. Lequel ? Il s’agit de l’extrait d’une pièce de théâtre écrite pour Noël 1940 ? Pour des prisonniers ?
L’auteur a refusé que cette pièce figurât dans ses œuvres complètes ? Il s‘appelait Jean-Paul Sartre !
03:49 Publié dans Religion | Lien permanent | Commentaires (0)
27/12/2010
PASSAGES A NIVEAU ET RUINE DE LA SNCF
Résumé :
Le terrible accident du 14 décembre 2010 et tous les accidents précédents ont un lien évident avec la ruine de la SNCF. Il est utile de cerner les causes multiples de cette ruine en particulier grâce aux rapports de la Cour des Comptes. La SNCF est un des nombreux mammouths qui paralysent l'économie française et auxquels un pouvoir « Libérateur » devrait s'attaquer avec résolution.
LES ACCIDENTS
De nouveau un terrible accident de passage à niveau. Le 14 décembre 2010 au passage de Jonches dans l'Yonne, un bus scolaire a été percuté par un TER. Plusieurs enfants ont été blessés. Ce passage à niveau était classé comme préoccupant parce qu'il y avait 15 000 passages de véhicules par jour.
La SNCF est coutumière de ce type d'accidents. Il existe 15 100 carrefours où quotidiennement le trafic routier rencontre le trafic ferroviaire et en 2007 ils ont été l'occasion de 115 collisions avec 38 tués.
La SNCF prétend nous consoler en remarquant que le nombre de collisions diminue grâce à ses efforts. En 1997 nous en étions à 184 accidents. Également le nombre de personnes tuées est en diminution puisqu'alors, nous en avions 51 par an !
En 2008 après un épouvantable accident, François Fillon déclara « qu'il va falloir accélérer la suppression des passages à niveau qui sont encore trop nombreux en France ». Après les larmes et résolutions d'usage, les jeux politiciens ont repris de plus belle.
Si la SNCF était une entreprise indépendante et rentable, comme elle devrait l’être, il y a très longtemps qu'elle aurait dégagé les moyens humains et financiers nécessaires pour résoudre rapidement ce problème, ne serait-ce que pour faire face aux risques juridiques qui pourraient inquiéter ses dirigeants.
Mais c'est une entreprise publique et en ruine comme tous les dinosaures publics. On est donc bien obligé de lier dans les faits l’état calamiteux des passages à niveau avec la déroute financière de la SNCF.
Simultanément un autre fait intervient ; au même moment se déroule le procès de l'assassinat dans un RER de la merveilleuse Anne-Lorraine Schmitt et d'étranges liens apparaissent. En effet, à l'occasion du procès, il se révèle que ce RER est très souvent vide et les jeunes femmes tremblent de peur en l'empruntant, certaines d'entre elles ayant fait des rencontres terrifiantes. La SNCF, entreprise publique, fait donc rouler des RER vides sans se soucier du reste. Voici parmi de multiples autres causes une des raisons de la ruine de la SNCF.
SNCF ET RFF
En évoquant cette ruine, il faut évidemment englober Réseau Ferré de France (RFF) tant les comptes sont imbriqués et obéissent au bon plaisir changeant des politiques.
La Cour des Comptes a démontré que, la séparation entre SNCF et RFF s’est effectuée dans le plus complet désordre. Si les immobilisations ont bien été transférées à RFF, les dettes sont restées pour des raisons obscures dans le bilan de la SNCF avec en contrepartie une créance sur RFF : la clarté n’était pas au rendez-vous. Chacun pouvait espérer que les flux financiers seraient transparents entre les deux entités désormais séparées, or il n’en n’est rien.
RFF reçoit la contribution que l'État versait auparavant déjà à la SNCF pour les charges d’infrastructure et l’on se demande devant cette information à quoi répondait en fait la création de la nouvelle entité ! Elle reçoit aussi de la SNCF le produit des péages pour l’usage des réseaux.
Mais la SNCF a gardé « l’entretien du réseau dont elle n’est plus propriétaire et le fonctionnement des installations techniques et de sécurité.» Elle verse donc une rémunération à RFF à ce sujet ; la Cour, avec son langage feutré habituel, remarque que ces échanges d’argent présentent « quelques lacunes. », ce qui en bonne comptabilité signifie que personne ne s’y retrouve. En fait, c’est l’illustration de la politique du « bon plaisir » qui aboutit à prendre des décisions un peu au hasard selon les intérêts très provisoires des politiques et pas du tout dans un vrai cadre contractuel : « La convention de gestion est imprécise et elle est imparfaitement appliquée. » Quant au tarif des péages versés à RFF, il est tout simplement fixé « selon la capacité contributive de la SNCF » : en d’autres termes, « Vous me devez de l’argent mais ce sera selon ce que vous pourrez payer ! »
La conséquence sur le résultat net apparent de l’entreprise ferroviaire a, certes, été immédiate : dès 1997, le résultat est devenu positif, les pertes financières ayant été mises de coté comme elles le sont souvent dans une faillite. En 2008, tout continuait et la presse a prétendu que la SNCF gagnait de l’argent ! Les connaisseurs estiment que les recettes de la SNCF ne couvrent que la moitié de ses dépenses, le solde venant par divers canaux de subventions, qui se répercutent sur tous les comptes publics.
LES TGV
Venons en aux TGV. Il n'est certes pas question de dénigrer le plaisir que l'on goûte à emprunter ces magnifiques jouets et à contempler la beauté des paysages défilant à toute allure, à condition évidemment que le bijou ne vous abandonne pas en rase campagne sans vous informer de quoi que ce soit, ce qui arrive encore trop souvent !
La Cour des Comptes, encore elle, nous a décrit la vérité comptable. Dans un des chapitres de ses rapports, la facture des TGV est visée très expressément comme étant à l'origine de la déroute financière : « Le lourd endettement de la SNCF induit principalement par les investissements considérables effectués pour construire et équiper les lignes nouvelles à grande vitesse. » Tout est dit dans cette simple phrase.
Ces investissements ont-ils été rentables ? Le rapport en fait ne s’en occupe pas alors que c’est la vraie question ; s’ils avaient été rentables l’énormité de l’investissement aurait du conduire à des bénéfices considérables et à un redressement spectaculaire de l’exploitation ferroviaire en France. Les chiffres que le rapport donne montrent bien que l’endettement de l’ensemble SNCF plus Réseau Ferré de France (RFF) est sans limite et continue à être un vrai boulet financier pour l'entreprise ferroviaire et pour la nation entière par ricochet. Il en résulte donc bien que l’opération TGV dont les comptes ne seront jamais officiellement et réellement faits est un désastre.
Mais, pire encore, dans cette fuite en avant si l'on ose dire, les nouveaux projets de TGV vont plomber l'endettement encore plus. La seule explication de cette fuite en avant est le caprice et les intérêts des Hommes de l'État, dont principalement les bien trop nombreux élus locaux qui tirent gloire et richesse des chimères qu’ils réalisent avec l’argent des autres. Partout, l’idéologie égalitaire aidant, les populations réclament « leur » TGV : Turin-Lyon, tunnel à travers les Pyrénées, TGV de l’Est et Marseille-Nice sont à l'ordre du jour, ceci sur fond d'endettement public en folie.
En plus, la même SNCF maîtrise l'information par la manne publicitaire qu'elle déverse sur les médias. Ceux-ci prétendent que les TGV sont la vache à lait de l'entreprise. Ayant mis le passif de coté, elle garde le lait !
LA RUINE AILLEURS
Le même rapport signale d'autres aspects de la ruine « La SNCF souffre de faiblesses structurelles qui, aujourd’hui encore, affectent sa rentabilité. » On s’en doute à lire ailleurs les incroyables privilèges du personnel avec les multiples primes, les retraites fastueuses et les horaires élastiques avec grèves en permanence. Parmi ce personnel, les employés du TGV sont particulièrement gâtés. !
Nous nous trouvons donc au final devant une chaine d'évènements dramatiques avec des tués dans les passages à niveau, la terreur dans des trains fantômes, mais aussi en arrière fond la ruine d'un dinosaure public, comme il en existe tant dans le paysage économique français.
La conséquence est la paupérisation du pays que le pouvoir masque adroitement par de fausses statistiques. La réalité pourtant est là : chômage persistant, prospérité insolente des restos du cœur, quasi blocage des salaires même de beaucoup de cadres méritants ! Tout se tient ainsi dans ce désastre national, pendant que la classe politique solidaire toutes tendances confondues se contente de promettre de raser gratis en 2012.
L'ISSUE EXISTE
Rappelons, pour terminer et grâce à l'Ifrap, le chiffre du nombre de voyageurs transportés par agent dans diverses compagnies de chemin de fer : SNCF 4 847, Danemark 9231 et Japon 50 872 !
Le mammouth SNCF est un des plus redoutables mammouths dont les Français sont obligés par la force publique de nourrir la voracité incroyable. Si un pouvoir « Libérateur » arrivait il y aurait néanmoins des issues dont au moins deux.
Il faudrait supprimer une partie généralement peu évoquée du monopole de la SNCF. C'est elle en effet qui détient légalement le droit d'autoriser ou non le transport régulier de voyageurs par la route. L'effet de paupérisation est immense car de ce fait une quantité de personnes sont privées de transport à faible coût comme il en existe dans d'autres pays ; simultanément l'entreprise ferroviaire est encouragée à l'immobilisme ayant le droit légal de tuer la concurrence.
Il faudrait nécessairement briser les syndicats comme Margaret Thatcher l'a fait avec des syndicats bien plus puissants que ceux que nous subissons abusivement ici. Rappelons en passant qu'un quarteron de chefs syndicalistes avec grèves à répétition des trains de banlieue mettent 10 millions de Français dans l'incertitude absolue pour savoir s'ils trouveront un train ou pas et à quelle heure : on imagine le désastre psychologique pour des personnes qui ont des activités à assurer.
Un champ d'action immense est ouvert et c'est pourquoi l'on peut parler de la nécessité d'une vraie « Libération ».
Michel de Poncins
01:30 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
22/12/2010
Maraude du 21 Décembre 2010
11:47 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (0)
20/12/2010
GRAND EMPRUNT : L'ARLESIENNE RUINEUSE
Résumé
Le grand emprunt est comme l'arlésienne de l'opéra de Bizet : il va et vient depuis un an. François Fillon vient de le faire ressurgir dans l'actualité en énonçant les projets qu'il financera avec de l'argent obtenu par endettement public. Tour d'horizon d'une liste incroyable d'investissements qualifiés d'avenir et qui en fait accentueront la ruine générale.
UN FAIT NOUVEAU
Le « grand emprunt » est comme l'arlésienne de l'opéra de Bizet : une belle fille qui se faisait attendre ; depuis environ un an cette arlésienne va et vient et comme d'autres belles filles elle est ruineuse.
Le voici qui ressurgit soudain le 9 décembre 2010. François Fillon III a annoncé que 35 milliards d'euros prélevés sur le « grand emprunt » seraient dépensés pour préparer l'avenir : enseignement supérieur, numérique, recherche industrielle, PME, développement durable sont sur les rangs. Plusieurs opérateurs publics ont déjà reçu l'argent et le répartiront. 23 appels à projets ont été lancés et 800 dossiers on été déposés. A l'énumération ci-dessus, s'ajoutent, pour compléter le dispositif, des prêts verts, des réseaux électriques intelligents, les énergies renouvelables marines, l'économie sociale et solidaire, le déploiement du très haut débit. Certains de ces supposés investissements ont déjà reçu des sous. L'énoncé de ces projets censés sauver la France donne le tournis et balise, en fait, les chemins de la ruine.
L'ENVOL DE L'IDEE
Lancé en novembre 2009, le grand emprunt reposait sur l'un des principes mensongers de la « République Fromagère » (R.F.) : « Je dépense donc je suis ». Un courtisan avait eu l'idée tout à fait par hasard et l'avait ajoutée au dernier moment dans un discours de l'hyper actif président : la fusée s'était aussitôt envolée. Le prétexte initial était la crise qu'il fallait surmonter, les énarcho-socialos au pouvoir pensant illégitimement que l'État est le seul à pouvoir agir efficacement alors que c'est le contraire.
Les idées fausses foisonnaient : d'abord, par imitation du capitalisme, se trouve le concept que l'État pourrait investir pour créer de la richesse. Ensuite, s'ajoute le mépris de l'endettement public, l'État se précipitant dans un endettement supplémentaire. Et, merveille parmi les merveilles, l'idée de l'endettement était lancée sans savoir ce qui allait être fait avec de l'argent qui n'existait pas encore. Chez les entrepreneurs privés, dans la mesure où ils résistent encore aux assauts destructeurs du gouvernement, la question d'un endettement éventuel n'est posée que si l'on se trouve en face d'un projet déjà structuré et porteur d'avenir, c'est-à-dire annonciateur de profits.
Après réflexion, l'emprunt ne fut pas placé dans le public, de crainte d'un désaveu magistral malgré la servitude probable des banques. De même, une salutaire réflexion conduisit progressivement à diminuer son importance. On se contenta donc de piocher dans la gestion courante de la trésorerie publique, celle-ci pouvant encore emprunter sur les marchés sans que personne ne sache quand cette possibilité disparaîtra les prêteurs internationaux sonnant la fin de la « récrée » ! Vue ainsi, l'arlésienne devient un fantôme d'emprunt couplé avec une simple invitation pressante à dépenser de l'argent inexistant.
LA PARLOTTE INEVITABLE
Pour savoir où investir, il fallait d'urgence ouvrir une parlotte. Elle rassembla pendant plusieurs mois 24 membres. La trouvaille fut de confier la présidence de la commission à deux richissimes cumulards, Rocard et Juppé, dont le seul titre de gloire avait été de créer deux impôts censés boucher le trou insondable de la sécu.
La mission, qui leur fut octroyée sans rire était de « dessiner la France de demain ». Les énarchos-gauchos au pouvoir ignorent que la France de demain ne peut être dessinée que dans le cadre de la liberté d'action de chacun des Français et en particulier des créateurs d'entreprises. Les projets pendant le déroulement de la parlotte générale ont flotté au hasard de la pression des lobbies, des syndicalistes et des partis politiques officiels, chacun tirant à hue et à dia.
FROMAGES ET PQ
En dehors des comités Théodules dont la commission était l'un des exemples, la création permanente de nouveaux fromages publics est une autre « valeur » de la « R.F » évoquée plus haut.
René Ricol fut nommé commissaire général à l'emprunt et rattaché directement au premier ministre. Remarquons qu'il n'était pas Haut-commissaire, ce qui nous montre qu'une hiérarchie subtile existe entre les fromages. Il est aidé par un comité de surveillance qui comprend notamment des parlementaires et des Personnalités Qualifiées (« PQ » pour les intimes). Ce comité de surveillance doit assurer la circulation des fonds depuis le commissaire général jusqu'aux opérateurs existants avec des contrats d'objectifs très précis.
Une bureaucratie publique étant éternelle par définition nous voilà mal partis !
LA RUINE EN TEMPETE
Qui sème le vent récolte la tempête. Voici, en un bref énoncé, comment le vent de la ruine générale souffle dans une opération aussi folle : dépenses publiques avec impôts à l'appui, endettement supplémentaire, vanité des projets où l'argent disparaît sans espoir de récupération, délais interminables et démarches obscures imposées aux entrepreneurs ayant la faiblesse de déposer des projets pour avoir des subventions, création d'une nouvelle administration, assèchement des financements privés seuls créateurs de richesses, combines pour bénéficier de la manne publique. Ayant beaucoup de respect pour les PQ de la R.F., nous n'osons aller jusqu'à pouvoir penser à ce que pourraient « envelopper » les combines.
RONALD REAGAN
Le regretté président des USA déclara un jour : « Les mots les plus terrifiants dans la langue anglaise sont : je suis le gouvernement et je suis là pour vous aider ».
Ce n'est pas l'avis des fausses élites qui nous gouvernent, ceci non seulement pour des raisons idéologiques mais pour protéger leurs propres intérêts solidement engagés dans le développement perpétuel de la susdite R.F. Cette prétention insupportable de nous aider fait prendre au pays le chemin de la ruine. Le résultat est une économie indéfiniment languissante avec chômage et paupérisation.
La solution existe pourtant et est à portée de la main : libérer l'économie est la seule façon de préparer l'avenir et beaucoup de pays s'y sont résolument engagés.
Michel de Poncins
00:21 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
17/12/2010
Ancienne Maraude
Maraudes de l’ASP : accroissement de la misère à Paris
Posté par Jérôme Moreno le 21 août 2010
Par le Pasteur Jean-Pierre Blanchard (ASP),
Nous revoilà dans les rues de la capitale1, en repérage de nouveaux secteurs pour notre prochaine campagne : force est de constater que le besoin de nos compatriotes ne fait que croitre.
Cette tournée, la dernière de l’ami Nicolas avant qu’il ne retrouve sa natale ville rose, est sous le signe de l’émotion et de l’amitié. Pour autant, nous ne pouvons qu’être frappés par la misère qui grandit, laissant en premier les nôtres sur le carreau, comme une lèpre s’étalant dans les rues. Nous conduisons jusqu’au métro « Nationale », où un homme âgé, sur le coup d’une heure du matin, fait la manche, quémandant quelques pièces pour pouvoir se nourrir. Nous constatons qu’autour de la station, ils sont nombreux à dormir à même le sol.
À quelques encablures de là, sur les quais de Seine, nous ne pouvons nous garer pour cause de travaux. Je vais demander à la police fluviale l’autorisation de circuler en voiture jusqu’au camp de SDF : chose qu’elle accepte avec gentillesse. Quelle n’est pas notre stupeur de constater que, depuis notre dernière visite, les tentes se sont multipliées. Nos vêtements, nourriture, café sont pris d’assaut. Nous les quittons le cœur et les sacs de distribution légers : avec le sentiment du devoir accompli. C’est dans cet état d’âme que chaque étape de notre parcours nous trouvera, nous pouvons dire que l’équipe est fin prête pour relever les défis de cette nouvelle saison.
Commentaires
Une des nombreuses promesses non tenues du nabot :
Oui les sdf sans toit mais de beaux appartements et maisons pour chaque femme de polygames et de beaux appartement pour les sans papiers mais rien pour les blancs mais jusqu’à quand allons nous subir ces vexations ? la colère gronde en france !
sdf = français de souche
Je rêve d’un monde ou il n’y aura plus de SDF.
Un monde que l’on pourra rendre possible par le vote. Moi je vote FN pour 2012.
Je suis d’accord avec Stanley !
Tous aux en 2012, mes chers concitoyens.
« Je veux, si je suis élu de la République, que d’ici à deux ans, plus personne ne soit obligé de dormir sur le trotoire et d’y mourrir de froid parce que le droit à l’hebergement, c’est une obligation humaine » !!!!!
OUAI C’EST ça, menteur !!!!!!!!!!!!!!!!!
Mes compliments au pasteur et à son équipe, il y en a aussi une équipe dans le grand Est, tout spécialement en Alsace.
Arrêtez de critiquer Paris, c’est une ville de gauche.
l’Ultralibéralisme et le mondialisme vont de pair.
l’Ultralibéralisme a besoin de ce monde sans frontières, pour pouvoir se payer (pas cher) une main d’oeuvre corvéable à merci dans l’espace et dans le temps.
Si le SMIC est trop cher ici, on délocalise en Chine.
Pour ce qui est de la main d’oeuvre non délocalisable (BTP, restauration etc…), qu’a cela ne tienne, on fait venir des « sans-papiers ».
la prochaine étape sera de faire venir des techniciens et des ingénieurs, pour des secteurs comme l’informatique, l’Inde en regorge. il feront pour 800 Euros par mois, ce qu’un ingénieur français ne ferait pas pour 5000 Euros.
Alors oui, Ultralibéralisme = Mondialisme.
Jean-Luc, tu as du oublier le mot « urnes » dans ton post.
Oui, si le nabot-Sarko passait ne serait-ce qu’une nuit dans la rue, il aurait vite les idées changée.
Mais en entendant, il se prélasse sur les yachts de ses copains milliardaires.
bah voyons….comme dit si dessus SDF sont les initiales de francais de souche a l’envers…ces gens auraient un travail et un logement si on ne se serait pas laisser envahir…de « chances pour la france »
FN 2012 viiiiiiite
Bonjour Un SDF m’a donné ce poème qui j’en suis sur va vous plaire .Homme que je ne connaissais pas, nous avons sympathisés je vais le voir de temps a autres,je lui apporte des vêtements qu’ils partagent avec d’autres déshérités,aussi quelques Euros, je lui demande pourquoi avec votre intelligence votre grande culture vous vous retrouvez dans ce milieu,il me répond que dans la rue il trouve plus de compassions plus de générosités plus de grandeurs d’âmes, et moi je lui réponds plus toujours plus de pauvres. A vous tous qui écrivez des commentaires,je vous dédie ce beau poème
lA Neige
La neige le matin,tombe
Légèrement sous les toits
Etbles près…
Les enfants y sortent bien
emmitouflés l’hiver pour s’y
amuser,pendant la récréation.
Un jour ou le soleil eut trop
Brillé, fit fondre la neige,
Glissa dans le ruisseaux,
Rejoignit les rivières
Gonflant les fleuves
pour s’endormir dans la mer.
M. CAMUS
Attention ! Au moins 30 % des SDF sont des malades psychiques, des études ont été effectuées en Suède à ce sujet. Leur place n’est pas dans la rue, mais en HP.
En revanche, les idiots qui veulent les orienter de force vers des foyers de SDF, font une très grave erreur : ils font fuir la population réinsérable qui refuse (par simple bon sens) de vivre avec des malades non contrôlés.
Le bon coeur, c’est bien – Mais le bon coeur sans les compétences terrain, c’est parfois beaucoup plus dangereux que l’indifférence !!!
22:04 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (1)
13/12/2010
CO2 : ENNEMI PUBLIC NUMERO UN
RESUME
La réunion de Cancun est l'occasion de comprendre comment le CO2 est devenu l'ennemi public numéro un grâce à la nouvelle et fausse religion écologique dont les grands prêtres font la fête à au Mexique, après Kyoto et Copenhague. Certes ces grands prêtres se chagrinent de voir la Chine, les Usa, le Japon et la Russie trainer les pieds ; mais la probabilité d'un échec relatif ne ne doit pas nous rassurer car la violence des fausses chimères est celle d'un vrai torrent. Le plus incroyable est que ce CO2 est effectivement un malheur mais pas pour les raisons affichées par les fidèles ou les idiots utiles et pour bien d'autres raisons.
LA PYRAMIDE DES CHIMERES
Voici sauf erreur ou omission, l'énoncé de l'empilage des chimères sur laquelle repose l'escroquerie en cours.
Il y aurait un réchauffement, le soleil n'y serait pour rien, l'homme seul en serait responsable, il y aurait des gaz à effet de serre, parmi eux le CO2 serait le principal, ce serait donc l'ennemi public numéro un, les privés seraient incapables de s'occuper du problème, les politiques seuls responsables de l'intérêt général devraient donc augmenter leurs pouvoirs pour organiser la lutte, les statisticiens devraient imaginer des mesures impossibles, la secte des écolos serait seule à défendre l'environnement, les hommes ayant perdu l'usage de la raison ne sauraient pas gérer les évènements climatiques comme ils l'ont fait depuis des millénaires.
LES COUPS DE POUCE
L'une des tactiques employées par les fidèles, comme dans toute désinformation, est de donner sans cesse des coups de pouce dans le « bon » sens. Les exemples au niveau du Giec sont nombreux. Comme la terreur n'est jamais suffisante, il vient d'être publié que toutes les prévisions de relèvement du niveau de la mer sont insuffisantes et bien plus proches que prévu : des cartes épouvantables sont publiées avec des villes disparaissant sous la mer. Le sang devant couler à la une, les médias en rajoutent facilement . De coup de pouce en coup de pouce, les chimères deviennent du béton.
Les gamineries ne sont pas absentes. Gaz de France vient d'écrire que 950 000 clients ont souscrit à la facture électronique ce qui économise le papier ! Il existe certaines sortes de papier utilisés pour un usage disons poliment plutôt médiocre : faudra-t-il aussi les économiser pour sauver la planète ? Il nous est demandé maintenant d'être « eco-responsable » au bureau : cela veut dire par exemple qu’il faut réduire le nombre de pages d'un rapport en écrivant recto-verso !
Quant aux autres diverses phases du parcours chimérique il est facile de donner sans cesse des coups de pouce. Pour être bien vu des écolos, le gouvernement donnera des bonus-malus aux automobiles ; cela ne l'empêchera pas de rectifier le tir en catastrophe comme il l'a fait en septembre : les prévisions étant fausses il s'était trompé dans les calculs !
ET VOICI LES INTERÊTS
Parallèlement aux coups de pouce, des intérêts se révèlent successivement, s'organisant, se regroupant et s'épaulant.
Les avantages des savants qui s'engouffrent dans la chimère sont connus ; dans beaucoup de disciplines il serait impossible de publier des travaux ou d'enseigner sans faire allégeance à la nouvelle religion. Les intérêts des politiciens sont immenses. Malgré la pénitence provisoire infligée à Borloo, la France « bénéficie », si l'on peut dire, d'une Madame Nathalie Kosciusko-Morizet, ministre de l’écologie, du développement durable, des transports et du logement. La truffe est si bonne que la plupart des autres pays ont à supporter aussi un tel ministère. Derrière la figure de proue, une multitude d'élus et de fonctionnaires se nourrissent sur la truffe d'autant plus que les ramifications s'étendent au mille échelons des collectivités : leur nombre est impossible à connaître. Les statisticiens officiels s'en donnent à cour joie en jouant sur des moyennes de moyennes.
Du coté des privés, ce n'est pas mieux. Les grandes sociétés ont vite saisi la violence du courant et nombre d'entre elles ont un directeur du développement durable. Ce dernier dirige les investissements de la firme vers des produits supposés en phase avec la nouvelle religion. La publicité fait le tam-tam et nous vante une voiture « écologique ». Les particuliers sont invités à investir dans les éoliennes ou les panneaux photovoltaïques ; leur risque est immense car il n'agissent pas sur un marché libre mais vendent leurélectricitéé à un l'Edf, organisme public. Celle-ci ne se gêne pas pour minorer les prix au gré de son bon plaisir et de même le gouvernement suspend ses aides quand cela lui plaît !
Toute fausse religion a besoin d'une bible de remplacement ; le « grenelle de l'environnement » réalise ce rêve avec l'appui bruyant d'associations riches des subventions publiques.
Personne dans tous ces milieux n'a intérêt à dire la vérité ni même à afficher le moindre doute, chacun apportant ainsi sa pierre à l'édifice en carton.
LA ROUTE DU MALHEUR
Quand il y a des chimères, la première conséquence est l'effet de ruine.
En l'espèce, il commence par le coût exorbitant de toutes les actions publiques ou privées conduisant soit à une déferlante d'impôts soit à un renchérissement des prix des produits frappés. Il s'ajoute les fausses orientations industrielles ou commerciales ; bonus-malus avec allers et retours et voici l'industrie automobile chahutée dans tous les sens. Personne évidemment ne peut calculer l'intensité de la ruine.
Les États, même s'ils ne s'engagent que modérément dans les chimères, en profitent pour resserrer leur emprise sur la vie économique et la vie tout court. Les conséquences dévastateurs de toute action publique s'enchaînent en conséquence. La chimère du réchauffement est l'occasion rêvée d'attaquer l'économie libre seul moyen pourtant de créer la richesse nous permettant de nous adapter au climat quel qu'il soit. Cela s'étend même hors frontière : avec une grande cruauté les chefs d'État occidentaux ont essayé d'interdire aux pays émergents de parcourir le chemin que nous occidentaux avons franchi dans la durée pour échapper à la faim ou à la misère.
Il conduit les manipulateurs du réchauffement à penser que les hommes sont de trop dans la nature ; leurs prétentieux calculs aboutissent carrément à chiffrer le CO2 dont les nourrissons seraient responsables (sic) ; ils appellent la Chine et l'Inde à limiter leurs populations au besoin en détruisant leurs petits à naître. Il y a conjonction avec la culture de mort. Des investissements deviendront inadéquats : des banques, apparemment sérieuses et non portées sur les gamineries, prêchent à leurs clients de diminuer « l'empreinte carbone » de leur épargne !
Le résultat final, si le scandale ne s'arrête pas, sera que les gens seront privés de leur faculté d'adaptation aux évènements climatiques qu'ils ont depuis toujours observés et gérés.
C'est de cette façon que le CO2 est nuisible et pas du tout par de supposés dégâts causés par le niveau des mers.
ET DEMAIN ?
Les Européens n'offrent qu'une résistance molle aux « verts » et cela n'arrange rien alors que d'autres phénomènes minent irrésistiblement les industries européennes. En France, il est question couramment de « verdir » les logements ce qui veut dire de renchérir leur prix et d'appauvrir les occupants. Le ministère du logement veut exiger que dans les petites annonces la qualité énergétique du logement soit spécifiée (sic) : c'est une sorte de nationalisation rampante des petites annonces qui jusqu'ici représentaient un espace tranquille de liberté. La ministre de l'écologie est sur le pied de guerre pour punir de toutes les façons possibles les Français assez intelligents pour s'affranchir des chimères.
Plus que jamais il faut changer de personnel politique, les politiciens actuellement visibles étant tous prisonniers de la même idéologie et de leurs propres intérêts.
Michel de Poncins
05:10 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
10/12/2010
La Maraude vue par Edouard FERRAND
UN MOMENT INOUBLIABLE !
Francis, Isabelle, Yves, François, Raymond… Des héros anonymes en bas de chez nous ! Le blessé, le pauvre, la victime, le malade, sont au cœur de nos villes ; la société les nomme sans domicile fixe. Accidentés ou simplement mal partis, poussés par le malheur sur le bord du chemin, ils sont réellement là ; ce sont des enfants du Bon dieu. Avec des amis du Front national, j’ai passé une soirée de grande fraternité avec ces gens plein d’honneur, de dignité et de gentillesse dans le cadre de la maraude de l’Action Sociale Populaire. Tous les 10 jours, le Pasteur Blanchard, son épouse Catherine et une équipe de maraude bénévole partent dans les premiers arrondissements de Paris, à la rencontre de ces hommes et femmes qui dorment dehors.
Mais plus qu’une distribution de soupe, de café chaud ou de linge, le Pasteur Blanchard est à l’écoute de ces Français ou étrangers qu’il embrasse et réconforte chaudement par des paroles magnifiques. Affublé de son col romain notre homme de Foi procède à la reconnaissance de l'autre au-delà de sa situation de vulnérabilité. Bravo à toi Pasteur ; tu fais honneur à ta foi et à ces gens. Merci aussi à Marie-Christine Arnautu cheville ouvrière des opérations et à Jany Le Pen qui me succèdera pour la maraude de Noël en apportant des cadeaux à ces hommes et femmes merveilleux. Merci Pasteur pour ce grand moment de bonheur ; sois remercié au nom du Front national.
Edouard Ferrand
Membre du Bureau politique
Président du Groupe FN Bourgogne
18:02 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (0)
08/12/2010
Maraude du 7 Décembre 2010
11:09 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (0)
03/12/2010
La maraude vue par Bernard CHAUVET SD Front National du Loiret
Hier j'ai rajeuni de 60 ans, quand nous cherchions des fruits que nous chapardions ! Hier, comme un taxi en maraude, avec mes amis, je cherchais des "clients". Des clients d'un genre assez particulier, vous allez voir ! Mais qu'elle est la recette pour réussir une bonne maraude ? Simple comme bonjour ! D'abord il faut un pasteur, Jean-Pierre Blanchard aux moyens modestes et son épouse Catherine. désinteressés, d'une générosité et d'une simplicité sans borne ! Puis, il faut une "guimbarde" de 1983, avec laquelle ils font des prodiges, sans désembueur qui ressemble à une "SPF" : "sans parking fixe". Elle doit être bourrée jusqu'à la gueule des ingrédients nécessaires à la réussite de cette "recette" : chaussettes, chaussures, pulls, tea-shirts, pantalons, polaires, bonnets et écharpes, couvertures, sacs de couchage, anoraks*, dons de chacun d'entre nous qui avons choisi l'ASP (l'action sociale et populaire - BP 7 - 91201 ATHIS-MONS cedex ) plutôt que les restaurants du Coeur ou le secours populaire ! Vous prenez quelques cafetière et cruchon d'un bon potage chaud concoctés par Catherine qui réchauffent nos amis dans cette nuit froide et humide. Et puis il faut Paris qui "cache" ses clochards et souhaite même s'en défaire avec la complicité de la police qui reçoit des ordres.... Le départ est donné vers 21 h, il faut 4 à 5 heures de préparation. Nos"clients"sont des clochards, des SDF, ce sont Yves, Michel, Isabelle, André, Romain, Patrice, Stéphane etc...etc...Des bougres que la vie n'a pas gâté, des gaillards qui n'ont pas eu de chance ou qui ne l'ont pas provoquée, des faibles qui ont été entraînés sur de mauvaises pentes, des cossards, des alcooliques aussi, tous sans famille . Qu'importe, ce sont les nôtres et la solidarité ne doit pas être un vain mot. Cette nuit là, le "four" n'était pas à 180 °, mais plutôt à 3 ou 4°!!!..Nos amis d'une nuit étaient étendus qui, sur une "grille" de métro, qui, sur le "plat" du trottoir, sur une simple couverture, sous une porte de magasin. Quels contrastes ! Sous le pont d'Austerlitz, face aux bâteaux-mouches, où les touristes se régalent indifférents à leur misère où les sdf ne daignent même pas leur jeter un cil ! Place du Palais-Royal à la sortie des théatres ou les intellectuels bourgeois, devisent en couples et évoquent leurs petites misères à côté de Rolland assis en tailleur sur ces grilles de métros salvatrices, sous la pluie ! Nous sommes médusés par leur regard, la chaleur de leur accueil car Jean-Pierre et Catherine sont populaires ! Quelle soirée enrichissante, intellectuellement , de les avoir rencontrés, ces St Vincent de Paul modernes et leurs protégés ! Moins enrichissante matériellement, au retour, car perdu dans les souvenirs de cette soirée inoubliable, le flash d'un radar et la loi m'ont vite replongé dans notre réalité quotidienne ! Merci Pasteur, merci Catherine !
18:48 Publié dans Action sur le terrain | Lien permanent | Commentaires (0)
01/12/2010
Quand le PCF était protectionniste
12:30 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (1)